Note: This story was dynamically reformatted for online reading convenience. Le Complot des Pasteks (Mb, bb, b+b, Mg, b+g, oral, anal, mast, nepi, viol, SF, hum, ped) Série : Justin Violeur, Saison 1 - épisode 1 Alexandre Culfel (C) 2015, tous droits réservés. L'auteur autorise cependant tout réalisateur à adapter son texte dans le cadre d'un film. Contact : jeanlucseca@mail2tor.com Déclameur : Attention, ce texte est une œuvre de fiction. Toute ressemblance avec des personnes réelles, ou des événements qui se seraient réellement produits, ne serait que pure coïncidence. De même, toute ressemblance avec une œuvre existante, une série télé ou quoique ce soit, ne serait aussi qu'une pure coïncidence. Tanana nana nana ... Nabil ne réussissait pas à détourner le regard de l'étrange bo"te rose. En position de guetteur toute la journée pour les grands frères de la cité, il avait vu appara"tre cette espèce de kiosque à journaux dans le terrain vague derrière les barres d'immeubles. Oui, appara"tre, deux ou trois clignements d'yeux et hop la voilà. Il n'avait pourtant pas fumer depuis au moins la veille, même à 12 ans les effets ne devaient pas durer aussi longtemps. Plus bizarre encore, un mec était sorti de la bo"te magique, le type portait un caleçon et un débardeur sous un long imperméable dégueulasse, d'ailleurs le peu que Nabil aperçut de l'état du cale-bute faillit lui donner la gerbe. Une vraie gueule de pervers, entre 30 et 40 ans, des lunettes carrées avec des verres à triples foyers, plutôt grand et athlétique à part ça. Il sortit avec un sac poubelle qui semblait contenir quelque chose de lourd, il déposa son paquet dans une benne à proximité avec un air de dégoût, puis, humant l'air il se dirigea du côté de l'espace commercial ; vers la maison d'aide sociale et la crèche municipale - peut-être les seuls b timents officiels du quartier à ne pas avoir encore brûlés. Lorsque le type se fut éloigné, Nabil céda à sa curiosité, sortit de sa planque, et s'approcha de la bo"te. Un peu plus grande qu'une cabine téléphonique, mêmes proportions, elle arborait des vitrines comme un magasin de jouets, avec des poupons et des godiches en porcelaines dans des mises en scène niaises au possible. Au dessus de ce qui semblait être la porte, une sorte de fronton indiquait en lettres peintes, en blanc sur le rose clair, le nom du mystérieux engin : La Crèche. Nabil était à la fois fasciné et révulsé par le truc au milieu du terrain vague, tant et si bien qu'il resta là plusieurs minutes à découvert, il secoua finalement la tête et fit ce que ferait n'importe quel petit marocain de douze ans élevé en banlieue parisienne ... il sortit la bombe à taguer qu'il avait toujours sur lui et entreprit d'écrire sa signature personnelle sur l'objet inconnu. Mais, quelque chose d'inhabituel dérangea le garçon : des sirènes. Des sirènes de police ! On n'en avait pas entendu depuis des années, même aussi près du << centre >> de la cité. Il devait vraiment se passer quelque chose d'important pour que les keufs osent rappliquer ici. Nabil, pris de panique, ne sut trop que faire, il savait qu'il devait courir, mais il ne put que se tourner dans tous les sens. Il fit du sur place jusqu'à ce que son œil capte les lumières des gyrophares à l'autre bout de la rue, et devant une nuée de bagnoles de flics, l'homme à l'imper qui courait comme si sa vie en dépendait. Il courait, imperméable au vent, caleçon rayé et débardeur t ché collés par la sueur de sa course, et serrant quelque chose qui gigotait dans ses bras. Les keufs étaient presque sur le bonhomme quand il arriva à la hauteur de Nabil. Là, il s'arrêta dans son élan et prit le temps de regarder le début de trace de peinture sur la façade de sa bo"te rose. Il se libéra un bras et attrapa l'oreille du garçon et la tordit fermement. Aïe enculé, l che moi b tard, j'vais fumer ta mère ! Se débattit Nabil. Ah ça mon garçon, tu ne vas pas t'en tirer comme ça, je vais t'apprendre moi à saloper le matériel des autres, dit sévèrement l'inconnu en imper, pendant que les pneus des flics crissaient et que des hommes en blouson de cuir commençaient à se disperser en gueulant. Mais d'abord, je dois régler ce petit imprévu, le XXIème siècle c'est vraiment une époque de merde, pas possible de trouver du carburant sans qu'on vous fasse chier, ajouta l'inconnu en jetant un coup d'œil vers les policiers. Mais toi, tu vas venir avec moi, on va se trouver une année bien tranquille et tu vas nettoyer, petit con ! Ajouta-t-il enfin en poussant la porte de la cabine et en tirant derrière lui l'oreille de Nabil et le reste de son corps tonitruant. Eh enculé, l che mon oreille, tu vas l'arracher conna ... Mais la voix du jeune garçon se tue quand il découvrit l'intérieur de la cabine.Il n'en croyait pas ses yeux. - Oui, je sais, c'est plus grand à l'intérieur : technologie des Seigneurs des Glands, ne touche à rien, dit l'homme à l'imper libérant finalement le lobe meurtri de Nabil. Premier réflexe, la porte : fermée, elle n'avait même pas de poignée ! Nabil se retourna pour observer l'impensable, le dedans de la cabine faisait bien la taille du kebab de Momo, mais en octogone, avec des hublots près de la voûte du plafond et plein d'appareils à la fois high tech et viellots : écrans plats, trompes de phonographes, consoles lumineuses et pistons à soufflet en caoutchouc. Il se trouvait bien dans la bo"te, car il entendait le bruit étouffé des sirènes et des coups sourds qui tambourinaient contre la porte. C'est là qu'il se rendit compte de ce que transportait le type à l'imper. Celui-ci s'agitait dans tous les sens, qui réglant un appareil, qui tapotant sur des boutons, le tout d'une seule main, il tournait autour d'une sorte de comptoir rond encombré de trucs au milieu de la pièce, et il tenait avec son autre bras ... un bébé braillant ! Soudain, le manège s'interrompit, l'homme ouvrait une sorte de capot dans le comptoir en marmonnant. Le capot comportait un trou à hauteur de la charnière et un demi cercle sur le devant. Nabil put voir à l'intérieur une sorte de renfoncement en plastique prenant la forme d'un poupon bras écartés mais sans les jambes. L'inconnu, marmonnant toujours, plaça le bébé rouge de détresse - une petite fille blanche de pas plus de quatre ou cinq mois, avec de jolies boucles blondes et de grands yeux bleus noyés de larmes. Tout en lui parlant, le type entreprit de lui ôter son body, et sa couche. Bien, mademoiselle, nous sommes un peu pressés là, alors je vous prierais d'arrêter de gigoter comme vous faites ! Le body, c'est fait, maintenant la couche, hmm, magnifique, mademoiselle est propre, on ne va pas devoir patauger dans la merde cette fois. Et ne vous inquiétez pas, nous allons prendre le temps de faire connaissance, juste le temps de vous présenter votre nouvelle maison. Là dessus, il dégagea la couche talquée de la petite au travers de la pièce avec une seule main et coucha le bébé dans le réceptacle en plastique. Le trou s'ajusta parfaitement à la corpulence de l'enfant qui continuait pourtant ses efforts dérisoires pour s'échapper. L'homme attrapa une mimine puis l'autre et les attacha de part et d'autre avec des liens en cuir prévus à cette effet dans l'espèce de machine, si bien que seules les gambettes restaient ballantes. Comme la gamine hurlait toujours, il s'empara d'un objet ayant la forme d'une tétine, mais avec un trou au milieu, en força l'entrée dans la bouche tordue par la gêne. Il y eut alors comme un bruit de succion, et les lèvre de l'enfant s'ajustèrent à la tétine, plus que l'inverse. On entendait presque plus le bébé hurler. Alors l'homme attrapa un tuyau transparent en plastique gondolé relié de l'autre côté du comptoir à un entonnoir, le passa dans le trou du capot et, enfin, l'adapta à l'embout. On entendit plus rien. Même si les yeux larmoyant du bébé montraient une détresse infinie. Parfait, maintenant que l'on peut s'entendre, nous allons pouvoir faire les présentations, mademoiselle mon nom est Violeur, Justin Violeur. Je me suis permis de requérir votre aide car mon carburant précédent n'a pas tenu la route. Un modèle asiatique du VIème siècle, de la camelote si vous voulez mon avis ... Bref, et votre nom ? Oh suis-je bête vous ne pouvez pas parler, nous pouvons considérer que l'heure de la conversation se termine alors. Finissant ces paroles sur un ton enjôleur, Justin Violeur prit subitement les deux jambes minuscules et les tordit vers la tête du bébé, - ce devait être très douloureux. A côté des oreilles de la fillette, deux pinces sortirent de trappes aménagées et agrippèrent les chevilles charnues pour maintenir la position. Pieds et poings liés, le bébé présentait au bord du comptoir un petit cul p le bien écarté et une vulve immature, bien fermée sur elle-même et toute lisse. De là où il était, Nabil avait une vue plongeante sur l'intimité de la petite fille maintenue dans cette posture très inconfortable, il voyait le bouton rose entre les fesses, petite rosette à peine dessinée. Visiblement satisfait de son œuvre, l'homme retira son imperméable d'un grand coup d'épaules magistral et rajusta ses lunettes triples foyers avec un doigt. A quelques centimètres de la fillette, il sortit une bite à demie bandée et commença à la frotter contre la minuscule chatte légèrement bombée. Bien vite, le chibre prit son extension, 20 cms d'une chair brune parcouru de veine, avec une épaisseur de 3 cms à la base du gland, gland sur lequel se plissait un prépuce à moitié retiré et déjà trempé. Sans attendre, Justin poussa contre la rosette fermée du bébé. Sans succès au début, son engin s'aplatissait contre l'orifice rétif, les traits de son visage se tordaient sous l'effort, quand soudain, la force de l'adulte excité l'emporta sur la résistance de la chair tendre. Le gland disproportionné viola l'entrée du sphincter dans un << plop >> sonore. Nabil crut voir tout le bassin du bébé trembler sous l'effet de la douleur, mais comme il n'entendait plus les cris, il ne pouvait qu'imaginer avec effroi la cuisante souffrance de l'innocente fillette coincée dans sa prison de plastique. Loin de se contenter de son premier succès, Justin poussa plus fort et quand la moitié de sa bite se fraya un passage dans la cavité bien trop étroite il commença à faire des va et vient prudents. Quand son sexe se retirait un peu, on voyait des traces rouges sur la verge, laissant imaginer quelle destruction se déroulait à l'intérieur du rectum. On entendait des coups sourds sur la porte de la cabine, quelque part dehors les flics voulaient défoncer le battant avec un bélier. Inconsciemment, les coups de reins du Violeur prirent le rythme des << boum, boum >> à l'extérieur, à vrai dire toute la pièce semblait vibrer en chœur avec les percussions. Ils essayaient de défoncer la porte, Justin, lui, défonçait carrément le fion de la fillette écartelée. Sa bite entrait et ressortait à présent d'un bon tiers, couverte d'écarlate, et rerentrait à grands coups de pistons. A en juger par sa posture, il devait atteindre le fond, mais cela ne l'empêchait pas de tenter quand même de s'introduire plus avant, en force. Après quelques allers et retours, il resta le plus au fond possible et ses fesses creusées et poilues s'agitèrent en de petits mouvements rapides, son visage se crispa alors que toute la cabine tremblait. Dans un souffle rauque, il se figea dans un dernier coup violent et soupira. Quand il retira son sexe de l'orifice meurtri, sa bite était couverte de liquide blanc poisseux, de sang et d'un peu de merde. Il abaissa le capot d'une main en se reculottant de l'autre et on ne vit plus que le tuyau qui dépassait du trou en haut et, coincé dans le trou du bas, l'arrière train du bébé, la vulve, et l'anus détruit juste exposés au bord du comptoir. Nabil était toujours choqué par cette scène obscène, dans le coin près de la porte. Il ne pouvait détacher son regard de la cavité béante de la petite fille, d'où dégoûtait doucement de gros globules de sperme teinté de rose sur le sol en carrelage de la pièce. Bien sûr, à 12 ans il avait vu son lot de porno hardcore sur internet, mais jamais il n'avait rien vu d'aussi violent que le viol de ce bébé de quelques mois. Remettant son imperméable, Justin Violeur parut enfin remarquer sa présence. ça y est, nous sommes partis, tes amis policiers ne nous embêteront plus. C'est un bon carburant, même pas besoin d 'utiliser le turbo , ajouta-t-il en montrant du pousse la fentine encore intacte de la fillette. Mais je manque à tous les égards, je suis Justin Violeur, dit-il enfin en tendant la main au garçon prostré. Jus... juste un violeur ? Demanda Nabil en bégayant à moitié. Non, Justin violeur, Justin c'est mon prénom, es-tu idiot ? dit Justin en redirigeant sa main, tendue en vain, sous le menton du jeune garçon avec un air appréciateur. Hmm, humain, m le, onze ou douze ans, trop vieux pour servir de carburant, cr ne ras, pas de poux, bien, bien, ascendance mauresque, 1m40, 38 kgs, pas encore pubère de toute évidence, débita-t-il sans s'arrêter. Est-ce qu'au moins tu éjacules ? Demanda-t-il enfin en désignant l'entonnoir relié au capot de la fillette. Deux trois gouttes, c'est encore claire, répondit Nabil, mal à son aise. Bon, bon, nous verrons, c'est que nous sommes ici dans ce qui fait de mieux en matière de vaisseau spatio-temporel ! Je te présente la Crèche, une machine pour traverser le temps et l'espace, inventée par mes glorieux ancêtres les Ma"tres des Glands, une machine fonctionnant uniquement avec l'énergie sexuelle dégagée dans les coïts les plus violents, dégradants et humiliants connus dans l'univers ! En tenant ce discours, Justin montrait son antre avec de grands gestes extatiques et virevoltait autour des appareils incongrus pendant que la pièce vrombissait doucement. Mais ... mais, si c'est une machine à voyager dans le temps et que vous avez dit que nous sommes partis, alors ça signifie que je ne vais plus jamais revoir ma mère ? Et mes frères et sœurs, et les copains, non, s'il vous pla"t, je veux retourner chez moi ! s'écrira Nabil les larmes aux yeux. Du calme mon garçon, tenta de le rassurer l'homme. Un voyage avec le Violeur, ça ne se refuse pas, imagine tout ce que tu pourras voir, et toucher ! Et puis, pense à ton apprentissage, à ton ge, il y a certaines ... expériences qu'un garçon doit conna"tre ! Enfin, si vraiment tu n'as rien écouté, ce vaisseau est une machine à voyager dans le temps, je pourrai te ramener chez toi en deux trois coups de bite, juste pour l'heure du d"ner, et peu importe le temps que nous aurons passé à voyager. Alors, qu'en dis-tu ? A dire vrai, Nabil était terrifié par cet homme aussi fou que pervers, il calcula rapidement ses chances de s'échapper, les remit à plus tard, et se dit qu'il ne fallait pas froisser les maniaques. Eh bien, je crois que c'est d'accord, je veux dire, maintenant qu'on est partis ... Et où va-t-on à ce propos ? Demanda-t-il encore peu assuré. Les années 60 ! éructa le Violeur. La belle époque où s'affrontent la morale de papa et les débuts de la libération sexuelle, une époque où le sexe était encore tabou dans les campagnes et où des petits paysans se déniaisaient en enculant des poules ! Bien sûr, pas une époque formidable pour les tiens : immigration, bidons villes et travail à l'usine ... mais bon, tout ça c'est du passé n'est-ce pas ? Là dessus Justin retira le garçon de la porte sans ménagement, et sans un effort l'ouvrit en poussant. Elle laissa para"tre un paysage rural. La cabine s'était matérialisée dans un champs de blé, à l'heure d'un crépuscule d'été. Plus loin, après la courbe d'une colline, on apercevait une route mal goudronnée et dans le fond, un groupe de maisons de briques blotties autour d'une église architecture XIXème, humble et bourgeoise. Le Violeur sortit de la cabine et fit signe à Nabil de le suivre. Le garçon, tout à la surprise de ce changement de décor, obéit sans un mot. La porte se claqua derrière lui. Bien, dit Justin en resserrant son imper autour de lui et en commençant à avancer vers le village, à grandes enjambées, suivi par le jeune garçon trottinant. Nous n'avons pas beaucoup de temps - oui, je sais c'est ma blague préférée - mon contact m'a lancé un appel de détresse depuis cette époque, sans me donner plus d'explications. Je ne sais pas ce qui a pu l'empêcher de développer, mais de deux choses l'une, soit il est très occupé, soit il est en danger, ! J'espère juste que nous arriverons à temps. Ils cheminèrent ainsi jusqu'aux habitations. Les rues en terre battues étaient désertes, on entendait à quelques distances des cris et des rires d'une communauté fêtant quelque chose, comme l'on sentait des odeurs de viande rôtie à vous donner l'eau à la bouche. Parfait, nous sommes dimanche, expliqua le Violeur. Les gens sont occuper à pique niquer dans la fra"cheur du soir, quelque part dans un pré communal, pendant que les enfants finissent le catéchisme. Nous bénéficions de l'effet de surprise, garde toujours à l'esprit que le ma"tre mot c'est la discrétion, Machin. Nabil, je m'appelle Nabil. Comme tu veux, tu es dorénavant mon apprenti, puisque tu ne sers à rien comme carburant, alors rappelle toi que la discrétion est la première règle. Hmf, d'accord ... mais pourquoi ? Ces gens sont-ils nos ennemis ? Chut, pas de questions, je donne des réponses, tu ne poses pas les questions. Mais c'est idiot ! Tais-toi, nous sommes arrivés. Ils s'étaient arrêtés devant la porte principale de la petite église, sur laquelle était affichés divers avis d'activité, d'horaires et de règles à respecter. La porte n'était pas fermée, et ils entrèrent sans la moindre difficulté. A l'intérieur, personne n'occupait les lieux, Le Violeur traversa l'allée principale vers l'autel, et observa un moment en silence en humant l'air. << Par là >>, fit-il simplement. Ils se dirigèrent vers la sacristie, une petite porte sur le côté en défendait l'accès. Justin essaya la poignée, la porte était fermée à clé. Alors il sortit d'une poche de son imperméable une sorte de gros gode en métal avec des diodes clignotantes. Et en le passant sur la serrure il entreprit un explication pour son compagnon. Tu vois, ceci est un gode sonique, un bijou de technologie. Aucune serrure, aucune porte d'aucune sorte dans l'univers ne lui résiste. Il faut être un Ma"tre des Glands pour l'utiliser, et comme je suis le dernier de mon espèce, le gode sonique est l'outil exclusif du Violeur... Justin se tut, un clic se fit entendre. Il ouvrit la porte doucement en rangeant son outil et mit son doigt devant sa bouche pour intimer l'ordre au garçon de se faire discret. Ils pénétrèrent dans une petite pièce où quelques meubles, en bois verni, servaient au rangement des artifices du sacerdoce. Dans un coin, un curé en soutane était assis qui tenait un petit garçon brun flué sur ses genoux- 6 ou 7 ans tout au plus - en chemise de coton et short bleu, baissé. Le prêtre manipulait le zizi tout dur du garçonnet qui se débattait mollement dans ses bras. Allons, allons Antonin, disait le curé. ça ne fait pas mal, ce sera notre secret à tous les deux, si tu le dis, de toute façon personne ne te croira et tu iras en enfer. Sur ces mots, le vieil homme décalotta le gland rouge du petit asticot tout blanc, et commença à branler gentiment la courte hampe du gamin. Pervers ! Intervint Nabil. Le Violeur jeta un regard noir à son acolyte, mais le mal était fait. Le prêtre se leva précipitamment, en reculottant vaille que vaille le jeune Antonin. Puis, l'écartant de lui il bafouilla des excuses. Oh mon Dieu, ce n'est pas ce que vous croyez, je lui apprenais une prière après le catéchisme, je ne faisais rien de mal, je vous assure ! Oh mon Dieu ! Ne dites rien à personne, je vais me confesser, je vous promets, que vont penser les paroissiens ! débita-t-il d'un seul trait. Là, là, mon père, pas de panique, je suis Justin Violeur, vous m'avez appelé. Juste un violeur ? Demanda le vieil homme. Non, Justin Violeur, Justin c'est mon prénom, répondit Justin Violeur. Ah, bien, vous n'allez pas me dénoncer alors ? Bien sûr que non, nous savons tous les tentations que peuvent nous faire subir les enfants, ils ont le Diable en eux et ils veulent toujours qu'on les touche. D'ailleurs, quoi qu'en disent les imbéciles, vous ne faites qu'aider ces pauvres anges à extirper le démon en eux, c'est une sorte d'exorcisme. ... Quant à mon jeune ami grossier ici présent, veuillez ne pas en tenir compte, c'est un infidèle. Oui, je n'avais jamais vu les choses sous cet angle, mais vous avez raison, je ne fais qu'assister ces jeunes êtres innocents, pour leur bien, dit enfin le prêtre en s'asseyant pour reprendre ses esprits. Bon, n'en faites pas trop quand même, reprit le Violeur. Vous avez appelé le numéro de la Crèche, Père Gustave, c'est donc que vous avez requis ma présence. C'était donc vrai, les curés se passent ce numéro de téléphone depuis le moyen ge, sans savoir ce que cela signifiait, ils disaient dans leurs écrits << laissez venir à moi les petits enfants, mais s'ils t'échappent, compose ce numéro >>. je n'y croyait pas et pourtant vous voilà ... Oui, c'est moi qui ai écrit cela dans la marge d'une bible manuscrite à l'époque, je savais que ça servirait un jour. Que ce passe-t-il, les enfants n'ont pourtant pas l'air de vous échapper , dit le Violeur en regardant le petit Antonin. Eh, eh, celui-là non, mais, depuis quelques mois,une institution s'est installée de l'autre côté du bois, une sorte de pensionnat pour garçons. Et le problème c'est que non seulement ils n'envoient pas leurs enfants au catéchisme, mais qu'ils prennent en charge de plus en plus de garçons du village gratuitement ; garçons qui, du coup, ne viennent plus au catéchisme. Je ne peux plus, eh bien, vous savez <<extirper le démon >> de leur reins... car les parents sont trop contents d'envoyer leurs enfants dans cette institution qui les nourrit et les habille gratuitement ; si ça continue il n'y aura plus rien à branler dans cette maudite commune ! Je vois, c'est très étrange, je ne sais pas ce qui se trame derrière tout cela mais je vais le découvrir ! dit alors le Violeur d'un air décidé. Venez avec moi, Père Gustave, nous allons éclaircir ce mystère. Vous ne voulez pas mettre un pantalon d'abord ? Demanda le prêtre comme s'il remarquait pour la première fois que son invité se baladait en caleçon dans son église. Pas le temps ! Nous partons enquêter dès maintenant, sur cette institution, viens Nabil et vous aussi mon père, quant à toi Antonin, retourne chez toi, et n'oublie pas ce que t'a dit monsieur le curé, si tu parles à qui que ce soit de ce qu'il t'a fait, tu iras en enfer, tout ça, c'est bien compris ? Antonin s'esquiva rapidement en dodelinant de la tête devant ce grand énergumène au regard concupiscent. A combien est l'institution du village ? Reprit Justin. A pieds, c'est à une demie heure en passant par la forêt, mais il va bientôt faire nuit, ce n'est pas prudent, répondit le curé. Je peux vous y conduire en voiture en moins d'un quart d'heure par la route. Parfait, passez devant Père Gustave ! Sortant par une porte latérale, le prêtre les conduisit les deux compères jusqu'à une cour près du presbytère. Là, une magnifique deux chevaux flambant neuve les attendait. Voici ma merveille, s'extasia le curé en montant au volant. En parlant de machine à remonter dans le temps, siffla Nabil. Montre un peu de respect, jeune dévergondé, répliqua Justin en lui donnant une calotte derrière le cr ne et en le poussant à l'intérieur. La petite voiture partit au quart de tour, bringuebalante sur la rue en terre battue du village, puis sur la route qui allait vers la forêt. Entre deux cahots, Nabil, peu décontenancé par la taloche qu'il venait de prendre demanda en criant à moitié : Y a quand même quelque chose que je ne comprends pas, fit-il. Vous connaissez le nom du curé, mais lui ne semble pas vous conna"tre ... Justin se retourna si brusquement, que Nabil se recroquevilla dans la banquette arrière, s'attendant à se prendre un nouveau coup. Mais le Violeur partit dans une explication : Rien de plus simple, j'ai rencontré le père Gustave dans les années 70, dans une ... << convention >>, malgré son ge le bougre sera encore au fait de ce qu'il se fait de plus glauque dans quelques années. Bref, comme je ne le connaissait pas encore, puisqu'il s'agissait de son futur, il m'aborda en m'expliquant qu'il m'avait rencontré dans son passé, il me dit que je devais aller au Moyen Âge pour y écrire la note que tu sais dans une Bible manuscrite, sachant qu'il en hériterait d'un grand oncle et qu'il aurait besoin de moi dans les années 60. C'est toujours aussi chtarbe les voyages dans le temps ? Demanda le jeune garçon en se massant les tempes. Tu t'y feras, il n'y a qu'une seule règle, je ne dois jamais croiser ma propre ligne temporelle. Justin s'apprêtait à continuer, mais la deux chevaux ralentissait déjà pour pénétrer dans le parc de l'institution. Celle-ci se constituait d'un grand manoir entouré par des parterres de fleurs ternes coupés au cordeau, une petite dépendance sur le côté et tout autour la forêt dont les arbres tendaient leurs branches dans la pénombre comme autant de mains prêtes à saisir les intrus. Bien, père Gustave, garez-vous derrière ce gros arbre là, et pour l'amour des dieux, éteignez ces phares, soyons discret ! dit promptement Justin. Le curé s'exécuta, et roulant doucement sur le gravier d'une allée sombre il cacha tant bien que mal son véhicule derrière un gros feuillu centenaire. Les trois compagnons sortirent en retenant les portières et se dirigèrent vers le b timent principal lorsque le Violeur fit signe de s'abaisser derrière un banc décoratif. De leur point d 'observation, ils virent ce qui avait mis en alerte l'homme à l'imperméable : à quelques mètres, une colonne de jeunes garçons sortaient du manoir pour se rendre dans la dépendance, accompagnés de deux adultes. Ils étaient une vingtaine, gés de 8 à 13 ans environ, en chemisette et bermudas, tous marchant en rangs, tête baissée. Les deux hommes qui les escortaient portaient des blouses grises de surveillants, ils étaient tous deux dégarnis et leurs traits bouffis n'étaient rien d 'autre que quelconques. Une seule particularité marquait pourtant ces deux hommes, ils marchaient en canard, de manière assez grotesque, comme s'ils avaient quelque chose de coincé dans le derrière. Quand le groupe fut entré dans la maisonnette, Justin parut réfléchir un instant. Hmm, je ne suis pas sûrn mais cette démarche me dit quelque chose, je dois en avoir le cœur net, dit-il enfin. Messieurs suivez-moi, nous allons faire un petit test. Parcourant la distance qui les séparaient de la dépendance, ils entendirent des voix d'enfants chanter une étrange complainte : << Vois sur ton chemin, enfant égaré, oubli-é ! >>, récitée sur un air à la foi triste et concentré. Eh mais je connais ce truc, commença Nabil ..  Chut, fit le Violeur, quelques soient ces individus, ils ont visiblement de mauvaises intentions, ce ne devrait pas être permis de torturer ainsi de pauvres enfants innocents ! Saint Mère de Dieu, priez pour nous, conclut le curé. Arrivés devant, la porte vitrée de la dépendance, Justin fit signe à ses compères de rester où ils se trouvaient. Puis, lissant les bords de son imperméable, il entra pour effectuer son test dans l'auditorium. Huit rangées de banc devant lesquels des garçon par ordre de taille continuaient à chanter face à l'un des hommes en blouse tenant une baguette, l'autre patientant assis sur le côté. Justin se plaça dans l'allée centrale. Nabil et le père Gustave ne manquèrent rien de la scène à travers les carreaux de la porte vitrée. L'arrivée de cet individu en sous-vêtements sous son manteau figea l'homme à la baguette, l'autre se leva d'un bon, tous les garçons tournèrent la tête d'un seul mouvement vers le nouvel arrivant. Eh là, les enfants, qui veut t ter de ma bite contre un bonbon ? Demanda Justin en montrant son sexe flacide, sorti de son caleçon, les pans de son imperméable grands ouverts. Certains des garçons présents montrèrent de la gêne ou furent choqués, mais la plupart sourirent et rire de cette surprenante exhibition. L'homme à la baguette et son copain se décidèrent alors à agir. Devenant cramoisis, ils se dirigèrent vers Justin et d'une étrange voix métallique, ils entonnèrent : Le Violeur est là ! CHASTETE, CHAS-TE-TE ! Tout en hurlant ces mots, l'impossible se produisit. Dans un éclair de lumière crépitant une jupe apparut sur les jambes de chacun d'entre eux, une jupe qui semblaient faite de blindage renforcé par des boulons et des écrous ! Par un artifice similaire, la baguette de chef d'orchestre du premier adulte se changea en un instrument tubulaire décoré de pinces et de lames vibrantes d'énergie. Justin se mit à courir. Passant à toute allure devant Nabil et père Gustave, le Violeur leur lança un << des émasculateurs, ne vous laissez pas toucher par les rayons, et maintenant courez ! >>, ordre qu'ils ne se firent pas prier d'exécuter quand un rayon rouge passa très de leur tête. Alors, ils suivirent Justin dans le noir vers la forêt. Poursuivis pendant de longues minutes par des éclairs rouge et des << CHASTETE !>> derrière eux, ils finirent par s'immobiliser dans une clairière. Bien, dit le Violeur, plié en deux par le manque de souffle. Nous sommes à l'abri, les Pasteks ne sont pas connus pour leur compétence à la course et leur priorité sera de mettre les petits sous clé. Les Pasteks ? demanda Nabil, un peu moins essoufflé tant il était habitué à courir pour fuir les flics. Oui, les Pasteks, mon test a révélé leur présence. Ce sont des aliens, en tout point identiques à des humains, mais dont la planète a développé des moyens de procréation sans contacts ; associés à des lois trop restrictives, leurs corps et leurs esprits s'en sont trouvés changés. En quelques générations, leur peuple ne se constituaient plus que d'hommes - ce qui n'est pas une mauvaise chose en soi - mais, frustrés de sexe comme ils l'étaient en permanence, leurs organes génitaux se sont congestionnés, et ils sont devenus fous. Depuis, ils marchent en canard et ils essayent d'imposer la chasteté à l'univers entier, ce sont les pires ennemis de mon peuple. OK, d'accord ... reprit doucement Nabil, et donc qu'est-ce qu'ils viennent faire dans un pensionnat en France, dans les années 60. Ils ont perdus la guerre contre les Ma"tres des Glands, je les croyais tous exterminés, mais s'il en restait quelques uns et qu'ils n'avaient plus accès à leur technologie de procréation, alors ils devraient ... réfléchissait Justin à voix haute. C'est ça ! Ils ont trouvé un moyen de se reproduire différemment ! En frustrant des jeunes m les humains en plein développement sexuel, ils comptent en faire des Pasteks ! L'heure est grave, père Gustave, j'ai besoin de vous. Père Gustave ? Le curé s'était affalé sur le sol de la clairière, reprenant difficilement son souffle après une course peu compatible avec son ge. Debout vieille carne, lui lança Justin alors que le vieux essayait tant bien que mal de se relever. Vous connaissez la plupart de ces enfants, n'est-ce pas ? Dites-moi, mon père, y a t-il parmi eux ce que l'on pourrait appeler << une fiote >> ? Demanda Justin. Un fiote ? Interrogea le curé. Oui, dans tous les groupes de garçons, il y en a toujours un qui fait sa chochotte, qui pleurniche, qui se déhanche et qui roule du cul quand il marche ... expliqua le Violeur. Vous voyez le genre, celui qui se fait toujours martyriser par ses camarades parce qu'il est différent. Eh bien oui, le petit Camille correspond à cet description, 9 ans, blond, le teint rose, un amour ce petit, mais il n'aime pas le contact, si vous voyez ce que je veux dire... Pourquoi demandez-vous cela ? Questionna le père Gustave. Réfléchissez, dit Justin. Nous sommes grillés, mais les Pasteks sont en général trop confiants dans leurs préceptes, ils ne se méfieront pas de l'ennemi intérieur. Camille sera notre arme fatale, ne reste plus qu'à se faufiler à l'intérieur. Mouarf << Camille >>, c 'est un nom de fiote ça, fit Nabil en rajustant son pantalon. Sinon c'est quoi le plan ? Nan, parce que là j'étais parti pisser ; avec des mecs comme vous dans le coin j'ai préféré m'éloigner un peu ... D'un seul mouvement Justin et le père Gustave se retournèrent vers le jeune maghrébin de cité. Une idée venait de germer dans leurs esprits. Une heure plus tard, Nabil se dirigeait vers la porte principale de l'institution. Il s'était bien sûr rebellé contre l'idée des deux autres à base de << l che moi enculé ! >> et << ta race tarba ! >>, mais face à deux adultes adeptes des taloches, il avait décidé qu'il tenterait sa chance avec les tarés en jupe de métal. Le bermuda en velours que Justin lui avait trouvé dans La Crèche lui grattait affreusement le derrière, surtout avec le truc que Justin lui avait mis dans la poche arrière, et la chemisette en lin blanc ne le protégeait que très chichement contre la fra"cheur de cette nuit d'été. Mais, le pire c'était bien la perruque. Les deux comparses lui avaient collé sur la tête une espèce de balai brosse jaune en guise de cheveux blonds. Il avait bien rétorqué qu'avec sa peau brune, les Pasteks allaient forcément se douter de quelque chose, mais le Violeur lui avait expliquer que ces derniers étaient rendus particulièrement stupides par leur frustration sexuelle congénitale. Ceci étant, Nabil ne pouvait s'empêcher de répéter dans sa barbe inexistante en tirant sur la cloche à l'entrée : << ça ne marchera jamais, je vais me faire couper les couilles, ça ne marchera pas ... >>. La porte s'ouvrit sur un homme en costume trois pièces de laine grise, une bosse proéminente au niveau de la braguette et ses jambes un peu trop écartées. Il fixa un moment Nabil avec un air ahuri sur ses traits cireux et tirés. Soudain, il s'écarta de la porte pour laisser entrer le garçons, sans manquer de montrer le bermudas de Nabil en poussant un << CHAS-TE-TE ! >> grésillant : le modèle choisi par Justin devait être un peu trop court. De sa démarche caractéristique de canard douloureux, le Pastek conduisit Nabil jusqu'au dortoir, un vaste couloir où les lits étaient alignés, recouverts de caisses en bois. Le garçon fut conduit à un lit libre et sommé d'un geste de se glisser dans les draps sous la caisse, et les mains dessus. Ainsi donc, le Violeur avait doublement raison, non seulement les Pasteks obligeaient les garçons à se coucher avec les bras au dessus de la caisse pour les empêcher de se toucher, mais en plus ils étaient de gros crétins, puisqu'ils n'avaient pas fait la différence entre lui et l'un de leurs pensionnaires. Maintenant qu'il était couché comme les autres garçons, les bras bien en évidence, il pouvait réfléchir à la suite du plan. Sur le papier, sa mission était simple : trouver la fiote, approcher celle-ci suffisamment d'un Pastek, appuyer sur le bouton et désactiver le bouclier. Mais, deux Pasteks parcouraient le dortoir en permanence pour surveiller les mains des enfants alités, et il ne savait pas du tout à quoi ressemblait Camille, comment allait-il le repérer sans se faire prendre ? Heureusement, ce soir là, la chance était du côté de Nabil. Dans la pénombre du dortoir, une petite main blanche se leva, l'un des Pasteks comprit le message et aida un garçonnet mince aux cheveux blonds, coupés au bol, à se désincarcérer de sa caisse. Quand le jeune maure vit le Pastek accompagner le petit garçon vers ce qui semblait être la porte des sanitaires communs, il remarqua le déhancher du blond dans son pyjama blanc en coton léger et reconnut instinctivement la fiote de 9 ans qu'il désespérait de trouver une minute plus tôt. Nabil leva la main et, sans attendre, il se dégagea pour rejoindre Camille et son escorte à pas précipités comme pour une envie pressante. Comme nul ne l'arrêta, il se retrouva seul dans la grande pièce éclairée où les douches, sans séparation, faisaient face à des toilettes sans rien pour protéger l'intimité des utilisateurs. Camille tiqua en voyant ce grand garçon étranger avec une perruque ridicule, mais il ne se décontenança pas et entreprit de pisser dans une cuvette. Le Pastek surveillait l'enfant, sans doute pour que ses doigts ne s'attardent pas trop sur sa courte nouille rose en train de s'épancher. Nabil profita de l'inattention de l'adulte pour faire ce que Justin et lui avaient répété dans La Crèche : sans hésiter il attrapa le pantalon du Pastek et tira de toutes ses forces. Ce dernier, surpris par le geste du garçon, resta tout confus en regardant sa bite et ses couilles énormes, gonflées comme sur le point d'éclater, violettes et parcourues de veines bleues. Alors que Camille se retournait étonné, Nabil lui lança un ordre impérieux : << et maintenant, sale fiote, suce le ! >>. Le garçonnet ne sembla pas comprendre ce qu'on lui demandait, mais le maghrébin sortit son arme secrète : le gode sonique que le Violeur lui avait fourré dans sa poche arrière en partant. Mais je ne suis pas un Ma"tre des Glands, s'entendait-il encore opposer. Vous avez dit que vous seul pouviez vous en servir ! Une fiote ne se déverrouille pas comme une porte, jeune imbécile, tu n'as qu'à appuyer sur le bouton là, à la base, et le tour est joué, c'est juste mécanique, avait répliqué Justin. Nabil ne voyait toujours pas comment le gode Sonique allait << déverrouiller >> la fiote, mais dans le feu de l'action il appuya sur le bouton en brandissant l'objet phallique en métal. Des petites pointes aiguës sortirent de la hampe du gode, façon cran d'arrêt. Camille ouvrit de grands yeux, déglutit, et, semblant comprendre l'ordre initial, il se jeta littéralement sur le sexe du Pastek pour y appliquer sa bouche juvénile. Le paradoxe de la fiote, c'est qu'il est tellement submergé par ses envies de bites qu'il s'en retrouve bloqué, avait dit Le Violeur dans le souvenir de Nabil. C'est pour cela que, pour son propre bien, il faut toujours un peu forcer la fiote, dès tout jeune. Dans l'urgence, il faudra sans doute en passer par une stimulation radicale pour réveiller les instincts fiotiques de Camille. En regardant la bouche minuscule cherchant fébrilement à englober le gland turgescent du Pastek, Nabil comprenait à présent le discours de Justin. Le spectacle était à la fois écœurant et fascinant, Camille éprouvait visiblement des difficultés à sucer le gros chibre, mais il y mettait tout son cœur. Après quelques essais, il força sa m choire et un bon tiers de la bite du Pastek disparut dans sa cavité buccale distendue. Ses fines lèvres rose s'ajustèrent alors sur le frein pour ne plus le l cher et la fiote fit de petits à coups, malgré sa position bloquée, pour pomper le jus en caressant les couilles enflées de l'homme. Comme prévu, le garçonnet de 9 ans suçait cette bite comme s'il en avait rêvé toute sa vie et répété les mouvements dans sa tête. A présent, la fiote pompait plus fort, on devinait derrière ses joues tendues au maximum, sa petite langue rose titillant l'urètre resserrée. Puis, sans préambule, Camille fut projeté en arrière, à l'autre bout de la pièce, par un geyser de foutre blanc éructant de la bite violacée du Pastek. On aurait dit le jet d'un Kärcher ; des décennies de frustration, les couilles et la prostate en permanence sur le point d 'exploser, libérèrent enfin leur semence. Nabil n'en revenait pas, il observait le jeune Camille essayant de se relever en glissant dans une flaque de sperme gluant, son pyjama de coton entièrement trempé collait à son corps frêle. Le pire était le visage du petit garçon, son visage et ses cheveux, complètement recouverts dune sorte de lait collant ; combien en avait-il avalé au passage ? Le jeune maure en eut un haut le cœur rien que d'y penser. De son côté le Pastek était recroquevillé contre le mur, sa bite surdimensionnée quelques instants auparavant, dégonflait à vue d'œil, seules quels gouttes de foutre s'écoulaient encore mollement sur le sol carrelée des sanitaires. Le plan avait fonctionné, le Pastek était vaincu. Déjà quelque chose dans l'air changeait sensiblement comme un poids qu'on ôtait des épaules. Il suffit d'un seul Pastek vaincu pour rompre la cha"ne énergétique, avait expliqué Le Violeur. Une fois cette cha"ne rompue, le bouclier qui entoure l'institution cédera, et nous pourrons entrer. Par contre, cela risque d'alerter tous les Pasteks du b timent, j'espère que nous serons là à temps, avait-il ajouté. Nabil entendait déjà les copains du Pastek inconscient hurler des << CHASTETE ! >> dans le dortoir, tous convergeaient vers sa position. Quand cinq Pasteks se pressèrent derrière la porte des sanitaires, le jeune garçon disait déjà adieux à sa virilité quand un bruit se fit entendre. Une sorte de vagissement de bébé faisant ses dents emplit l'air, puis de trois souffles comme des ahanements, La Crèche apparut en clignant entre les douches et les cuvettes. Quand Justin sortit, les cinq Pasteks s'arrêtèrent. En un éclair, leurs jupes de métal blindées couvrirent leurs jambes et des émasculateurs apparurent dans leurs mains. Justin sortit de La Crèche calmement et s'adressa aux Pasteks sans plus se formaliser du petit garçon qui essayait encore de se mettre debout, en vain, glissant et pataugeant dans le sperme. Bien, bien, nous y voici, vous me connaissez n'est-ce pas ? Je suis le Violeur, le bourreau de votre espèce, commença Justin avec grandiloquence. Ce n'est pas la peine de brandir vos machins, La Crèche est munie d'un champs protecteur contre toute tentative d'émasculation sur un rayon de 10 mètres - là, Nabil souffla de soulagement. Nous pouvons régler ce contentieux calmement, libérez les garçons, quittez cette planète et nous en resterons là, mais résistez et je vous garantis qu'aucun d'entre vous ne partira d'ici sans avoir connu la jouissance, continua le Violeur. Tes menaces sont creuses Violeur ! éructa l'un des Pasteks qui semblait être le chef du petit groupe. CHASTETE ! CHASTETE ! Tu es coincé ici, tu ne peux rien contre nos protections et tu le sais ! Les Pasteks vaincront gr ce à la nouvelle génération que nous préparons, nous avons gagné ! Je ne crois pas, dit Justin avec un sourire. Votre plan comporte une faille majeure, deux en fait. Première erreur, pour vous reproduire vous avez besoin de garçons prépubères, ou entrant tout juste dans la puberté, et nous savons tous que ces spécimens sont des bombes sexuelles prêtes à exploser ... vous pensez ma"triser le risque en les gardant sous surveillance mais ... C'est là votre deuxième erreur, pendant que vous focalisez votre attention sur votre grand ennemi de toujours, vous avez oublié que le Violeur n'est jamais seul. Pendant que nous parlons, mon ami le père Gustave s'est subrepticement introduit par une fenêtre, et il est présentement en train de faire une distribution dans votre dortoir, une distribution de magasines sulfureux que je garde toujours dans La Crèche. A ce moment, on entendit des rires et des gloussements dans le couloir. Comme un seul alien les Pasteks se retournèrent, comprenant le danger, mais trop tard. Déboulant dans le dortoir, ils virent un curé en soutane au milieu de vingt garçons feuilletant des magasines pornos en ricanant et en se poussant du coude. Le chef des Pastek hurla : Non, posez ça, CHASTETE ! CHASTETE ! C'est une catastrophe. ! Violeur vous nous avez tous condamnés. Certains garçons étaient visiblement gênés, mais d'autres commençaient à se frotter entre les jambes sous elur pyjama. Bientôt une demie douzaine de gamins sortaient leur petites bites durcies et se masturbaient sans retenue. Les Pasteks commencèrent à s'agiter dans tous les sens en brandissant leurs émasculateurs. Mais, ils furent trop lents à réagir. Alors que quelques enfants s'écartaient pour se branler dans l'intimité avec leur magasine de charme, d'autres ne se cachaient plus et jouaient même avec les quéquettes de leurs camarades, qui, pour les plus jeunes, n'étaient pas forcément d'accord au début mais finissaient par y trouver leur compte. Sur les lits, sous les lits, assis à même le sol ou debout, les garçons se branlaient maintenant partout dans le dortoir. Alors qu'un des Pasteks trouvait suffisamment de ressources pour viser avec son arme, sa jupe de métal explosa comme sous l'effet d'une pression intérieure énorme. Le métal se fissura, puis, coulant des failles, un liquide blanch tre et gluant se répandit avant de rompre le barrage. Lorsque la jupe s'effondra tout à fait en petits morceau, le Pastek se retrouva au sol à baigner dans son propre foutre, inconscient, la bite molle. Trois autres Pasteks ne tardèrent pas l'imiter, et il ne resta plus que le chef toujours hurlant << CHASTETE ! CHAS-TE-TE ! >> avant de s'écrouler à son tour, sa protection blindée pulvérisée. Le couloir n'était plus qu'une étendue marécageuse de flaques de foutre. C'est à cet instant que le petit Camille, encore un peu assommé, décida à sortir voir ce qui se passait, il ne manqua pas de glisser sur quelques mètres avant de s'étaler dans une mare de sperme. On ne sut jamais si quelque chose en lui se déverrouilla encore dans sa petite tête, mais il n'essaya pas de se relever comme précédemment, il s'appliqua au contraire à lécher et aspirer le généreux mélange de foutre. Quand Nabil sortit des sanitaires, le premier truc qu'il remarqua c'était la fiote, à quatre pattes, recouvert de son pyjama maintenant tout collé et transparent, en train de nettoyer le sol avec sa languette rose. Il avait une vue sur son cul blanc sous le tissu détrempé et ne put s'empêcher d'éprouver une légère excitation qu'il eut du mal à refouler. Pourtant, Nabil se reprit bien vite et s'aventura avec précaution dans le marécage. Le Violeur se glissa derrière lui, clabaudant sans retenu dans les flaques, il se dirigea vers le curé occupé à tripoter un garçon de 12 ans, moins farouche que les autres. Père Gustave, vous êtes un héros ! dit Justin avec emphase. Oh, je n'ai fait que mon devoir de pasteur, répondit le prêtre tout en accélérant ses étirements sur la tige beige du préadolescent p mé. Louée soit la sainte religion catholique ! dit le Violeur en faisant signe à un Nabil fasciné par le spectacle du petit Camille en train de laper le sperme sur le sol. Eh, viens m'aider. Justin et Nabil s'affairèrent à tra"ner les corps inertes des Pasteks en dehors du dortoir, le jeune garçon avait du mal à retenir sa nausée en évitant tant bien que mal les flaques parterre. Plusieurs aller et retours plus tard, les garçons de l'institution étaient encore à leurs jeux masturbatoires avec le curé, mais déjà, certains s'endormaient, comblés, pèle mêle sur les lits, ou les uns sur les autres à même le sol. Le père Gustave ne tarda pas à ronfler, complètement épuisé. Le lendemain, les garçons de l'institution se levèrent tard. Le curé supervisa personnellement leurs ablutions, et, vers 13 heures, tous étaient rangés en bermudas et chemisettes, bien propres et bien coiffés dans la cour principale. Ou plus exactement, l'un d'eux était encore en pyjama, le tissu de coton fin littéralement couvert de traces jaun tres. Les traits fatigués de la bouille rose de Camille, montraient encore des croûtes blanches, les mèches de ses cheveux blonds étaient comme cartonnées par endroit, pourtant, plus que les autres il semblait aux anges. Au grand regret des jeunes garçons, Justin avait repris tous les magasines, pour les mettre en tas dans La Crèche à côté de l'entonnoir. Il avait une idée pour rentabiliser son aventure, mais avant, il devait se débarrasser des Pasteks encore dans les vapes. Alors, on fit un grand feu, où les caisses en bois des lits et les corps des Pasteks brûlèrent ensemble une partie de l'après-midi. Malgré l'odeur de cochon grillé, les enfants de l'institution dansèrent et jouèrent autour du brasier, poursuivis par le vieux curé et ses mains baladeuses. A la fin de l'après midi, on rangea les garçons en file devant la porte de La Crèche par ordre du plus vieux au plus jeune. Chaque garçon entra dans la bo"te rose, n'ayant pour instruction que d'éjaculer dans l'entonnoir. Justin organisait la file, pendant que le père Gustave se trouvait de l'autre côté de la bo"te, là où le Violeur lui avait indiqué un trou caché en forme de serrure qui permettait de mater discrètement à l'intérieur. Les premiers prenaient les magasines avec gourmandise, empoignant leur sexe surmonté de quelques poils, ils se branlaient comme des fous malgré la séance de la veille, comme si les mois de frustration les avaient gonflés à bloc, on voyait à peine le mouvement de leurs prépuces sur leurs glands roses tellement leurs mouvements étaient rapides, leurs visages juvéniles se crispaient et de bonnes giclées de foutre tombaient dans l'entonnoir. Le sperme abondant parcourait le tube transparent jusqu'à l'embouchure dans le comptoir où la fillette de quelques mois recevait les rasades en silence. Le curé ne se lassait pas de ce spectacle, il y en avait pour tous les goûts, des longs, des courts, des bien développés et des immatures qui n'en donnaient pas moins leur obole à La Crèche. Quand les plus jeunes entrèrent dans la machine, s'émerveillant du fait que c'était plus grand à l'intérieur, le rythme se ralentit, les gamins prépubères avaient beau s'échiner avec application sur leurs petits chibres, rien ne sortait. Pourtant certains réussissaient quand même à tirer une giclée d'un liquide clair peu nourrissant, ils sortaient quand même avec l'air des vainqueurs. D'ailleurs, ce temps fut mis à parti par les plus grands, qui déjà se remettaient à la fin de la queue pour un nouveau tour. L'opération dura plusieurs heures, quand la dernière goutte possible de sperme fut jeté dans l'entonnoir, Justin décida qu'il avait fait le plein de carburant pour son prochain voyage. Il partit à la recherche de Nabil, il ne trouva pas tout de suite le jeune maghrébin, croisa père Gustave, à moitié évanoui, se tripotant encore sous sa soutane, et se dirigea vers les buissons. Entendant du bruit, le Violeur se cacha discrètement derrière un arbre pour observer son compagnon de voyage adossé à un gros chêne, jean et caleçon baissés, en train de se faire sucer par le petit Camille. La fiote de 9 ans, portait toujours son pyjama de coton souillé, de là où était Justin, il pouvait sentir l'odeur organique du tissu imbibé de semence. Cela ne semblait pas déranger Nabil, qui tenait une pleine poignée de cheveux maculés de sperme séché et imprimait un mouvement forcé sur la tête de l'enfant qui lui pompait la bite. Vas y, suce, petite pédale, disait Nabil dans un souffle. Oh oui, c'est une bonne lope ça, tu aimes la bite d'arabe hein, sale pute ! Ajoutait-il en sortant une seconde son pénis brun d'une dizaine de centimètres pour tapoter le nez retroussé en bouton de Camille. Le sexe de Nabil n'était pas très long, circoncis, il avait un gland en pointe, l'ensemble bien droit paraissait d'importance face à la bouchette étroite du blondinet. Quand le garçon maghrébin remit sa bite dans l'orifice buccale de Camille, celui-ci recommença à pomper avec ardeur, ses grand yeux bleus reconnaissants, aux cils collés, vers le préado qui s'appliquait, quant à lui, à s'enfoncer dans sa gorge. Après un moment, Nabil agrippa des deux mains la tête du petit garçon, et poussa son sexe bien au fond, son pubis glabre contre le nez de Camille. Aaah pédé, tu me fais juter ! Putain c'est bon, avale tout ! éructa le jeune garçon en étouffant à moitié l'enfant qu'il plaquait à deux main contre ses couilles. C'est cet instant que Justin choisit pour se montrer. D'un air gêné, Nabil se retira et écarta du pied le petit garçon souillé. Le maghrébin se reculotta en grommelant qu'il n'était pas un << dep' >> et passa devant le Violeur sans oublier de cracher un gros mollard sur le visage de Camille. Justin suivit son compagnon jusqu'à La Crèche avec le sourire aux lèvres, le père Gustave et quelques garçons l'y attendaient. Alors vous nous quittez ? demanda le curé, l'air contrit. Oui, je dois voguer vers de nouvelles aventures, maintenant que mon réservoir est plein, répondit le Violeur. Et puis je dois raccompagner mon jeune camarade chez lui, je lui dois bien cela. Mais ne vous inquiétez pas, nous nous rencontrerons à nouveau, dans mon passé et dans votre futur, et en attendant je sais que vous prendrez bien soin de ces garçons en les remettant sur le chemin de la foi, continua-t-il. Comptez sur moi Violeur, je me fais fort de les rééduquer, je prierai pour vous ! Les adieux déchirants vite expédiés, Justin et Nabil se retrouvèrent dans La Crèche, et alors que l'homme en imperméable manœuvrait boutons et manettes et qu'un bruit de vagissement de nourrisson désespéré emplissait l'air, Nabil posa la question : C'est vrai, vous me ramenez chez moi ? Oui, mon garçon, direction la banlieue ! La Crèche partit dans un vrombissement à travers les couloirs de l'espace et du temps, menant en quelques instants les deux comparses vers leur destination. La première chose que remarqua Nabil lorsqu'il descendit du vaisseau, c'est qu'il n'était pas tout à fait chez lui. Les grandes barres délabrées, une voiture incendiée et une autre, modèle sport, flambant neuve, lui indiquaient qu'il devait bien être en banlieue parisienne, mais pas là où il avait été enlevé. Il se retourna pour faire la remarque à Justin, mais déjà la porte de La Crèche claquait sans un << au-revoir >> et l'engin disparaissait. Pas grave, cria Nabil, je vais prendre le RER, enculé ! Et le jeune maghrébin s'enfonça dans les rues inconnues, à la recherche d'une gare, en maudissant Justin Violeur de ses déboires. FIN ?