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ATTENTION
: Textes apocryphes d'Alain Terdit.
Tous
les murs de la pièce étaient entièrement tapissés de laine de verre, ainsi que
le plafond… L'ensemble recouvert d'une très épaisse moquette de couleur rose
faisait de cette endroit de quatre mètres sur cinq une parfaite chambre sourde.
Aucun son ne pouvait sortir de cet endroit. Il avait aussi rendu la porte
étanche, la recouvrant des mêmes matériaux, avec en plus des joints caoutchouc…
L'essai
avec sa chaîne HIFI volume à fond avait été concluant. Dans le couloir à un
mètre, on entendait presque rien. Il avait fallu qu'il plaque son oreille sur
la porte pour percevoir très légèrement la musique…
Une
fillette pourrait gueuler de douleur, personne ne l'entendrait…
La
chambre de torture, comme il la nommait n'avait rien de commun avec une pièce
d'habitation, seul un grand lit recouvert d'une grande couette de couleur rose
avait un aspect humain, le reste était uniquement fonctionnel.
Aucun
doute n'était permis, tout dans cet endroit était fait pour faire souffrir. Des
anneaux aux murs sur lesquels pendaient de longues chaînes en acier
inoxydables, se terminant par des colliers avec serrure pouvant se fixer aux
extrémités des membres…
Un système de trapèze commandé par des poulies et un treuil avaient été aménagé au plafond, permettant d’immobiliser et d’écarter dans toutes les positions un corps humain, ceci pour procéder à toutes les interventions désirées.
Au
milieu, une grande roue était installée à la verticale, elle pouvait tourner
sur elle même, des bracelets de cuir pendaient à différents endroits…
Un
portique sur lequel étaient suspendus aussi deux harnais et des sangles, sans
oublier les bracelets de cuirs, trônait près d'un mur.
Une
table gynécologique permettait d'ausculter les petites femelles, cuisses écartées,
jambes en hauteur reposants sur des étriers, bras et chevilles maintenus,
attachées par des sangles.
Une
armoire sans porte, remplie de médicament… Seringues, bocaux, tuyaux de
lavement et ustensiles médicales.
Une
autre entièrement en verre laissait apparaître sur chaque étagère une multitude
d'instruments de torture, pinces à seins, cisailles, tenailles, limes, scies,
écarteurs, aiguilles de dimensions divers, bistouris, perceuses et scie
électrique…
Une
collection incroyable de godemichés de toutes dimensions ayant des formes les
plus bizarres trônait sur la plus haute étagère.
Fixés
à l'un des murs, et reposant uniquement sur des crochets, des fouets, martinet
simples ou se finissant par des petites boules métalliques, planches à clous,
badines, nerfs de bœufs, barre de ferre, ceintures de cuir…
Dans
un coin de la pièce, un petit lavabo muni d'une clef spéciale sur la
canalisation principale, permettait de supprimer l'eau en cas de punition…
A
côté d'un mur, une douche sommaire, un bidet pour que les fillettes puisse se
laver et rafraîchir ce qui très vite allait devenir congestionné et en feux…
Une
particularité avait était rajouté sur ce dernier accessoire de lavage du sous
bassement des gamines…
On
pouvait les y asseoir, et les forcer à rester dessus autant qu'il plaisait.
Des
sangles avaient été fixées aux murs, elles permettaient de maintenir les bras
tendus en hauteur. Les attaches fixés sur le sol étaient chargées d'immobiliser
les cuisses en position écartée. La petite fille était donc forcée de rester
assise le postérieur et le vagin dans l'eau autant de temps qu'il le désirait…
Cela
n'avait l'air de rien, mais il savait pour l'avoir pratiqué que cette torture
était horrible…
Il
suffisait d'asseoir la gamine dessus, les cuises étant tenus écartées à fond
par les attaches fixées au sol, de boucher un peu le trou d'évacuation et de
laisser couler l'eau très légèrement…
L'eau
froide remplissait son office très rapidement, engourdissant le bas ventre et
le postérieur de la fillette, au bout de trente minutes elle commençait à
trembler de froid, au bout d'une heure elle suppliait pour qu'on la détache…
Il
l'avait expérimenté avec une petite fille de huit ans qui refusait de sucer sa
bitte. Il l'avait laissé une heure dessus… Elle le suppliait tellement
d'arrêter, qu'il s'était mis debout, les jambes écartées au dessus d'elle, la
bitte sortie …
Elle
avait happé aussitôt sa queue et avait fait sa première fellation en avalant
toute la jutte, sans en laisser une goutte, comme il lui avait ordonné…
En
plus le bidet nettoyait et insensibilisait en même temps, lorsqu'une fillette
avait trop mal, c'était la solution idéale…
Le
ravissement des yeux n'avait pas été oublié, sur l'un des murs un présentoir de
six étages, lui aussi entièrement en verre transparent laissait apparaître une
multitude d'habits, de gaines, des petites culottes d'enfants, des soutiens
gorges avec ou sans bonnets, des bas et collants de toutes les couleurs.
Sans
oublier les petites culottes spéciales, avec ouverture par boutons pression ou
fermeture éclaire sur le devant ou le derrière, pour laisser passer les
instruments de travail…
Un
étage plus haut que les autres supportait une tringle sur laquelle coulissait
des portes manteaux avec attaches. Un assortiment complet de mini-jupes, short,
tuniques, pouvait être sélectionné rapidement…
Uniquement
des vêtements érotiques d'enfants, pas
n'importe quelle taille, juste de sept à onze ans. Le ravissement des yeux …
Il
déposa la petite fille d'à peine huit ans sur le grand lit, elle dormait
profondément…
Il
verrouilla la porte de la chambre sourde, appuya sur un interrupteur, un déclic
se fit entendre, suivit aussitôt par un léger bourdonnement, le système de
ventilation venait de se mettre en fonctionnement…
La
laisse de cou, comme il l'appelait, portait bien son nom, d'une longueur de
cinq mètres, elle permettait à la fillette de faire tout ce qu'on lui demandait
sans problème. Le petit collier en métal extrêmement résistant enserrant la gorge de l'enfant se fermait avec un cadenas
de sécurité. Une chaînette en acier reliait l'ensemble à une attache fixée dans
le mur.
Jamais
aucune jeune pucelle n'avait pu retirer le collier toute seul…
Bientôt
elle serait à lui… Il allait enfin s'amuser comme il le désirait…
Il
fallait juste attendre qu'elle se réveille…
ATTENTION
: Textes apocryphes d'Alain Terdit.
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: Textes apocryphes d'Alain Terdit.
Les supplices de Laura
En fin d’après-midi Laura fut emmenée à la petite maison et enchaînée nue au mur dans une des chambre de la cave insonorisée par Jean Yves. Le décor était lugubre, un lit avec matelas, une armoire rempli d’instrument médical et de flacons de médicament. Un système de poulies et de treuil avait été aménagé au plafond, celui-ci permettait d’immobiliser et d’écarter dans toutes les positions un corps humain. L'ingénieux dispositif permettait de procéder à toutes les interventions désirées.
Le docteur décida d’essayer le mécanisme de suite. Il revêtit la petite fille qui dormait encore de bracelets de cuir aux poignets et mollets. Puis il l’habilla d’un harnais ceinturant son bassin et ses hanches. Il fixa les cordes du treuil aux 5 crochets qui dépassaient des bracelets et du harnais et activa la mécanisme…
Le corps de la fillette monta doucement à 1 mètre du sol, bras et cuisses écartées au maximum en position horizontale, il en profita pour contempler sa chatte et son anus, remarquant aussi l’état de rougeur des tétons gonflés et tuméfiés…
Il essaya le mécanisme dans une autre position, Laura se retrouva à la verticale, bras tendus en l’air, jambes écartées, pieds à 20 centimètres du sol.
Il pouvait tout faire, la mettre dans toutes les positions. Il préféra une pose intermédiaire, entre verticale et horizontale, bras et cuisses écartés.
Le bassin était tiré vers le mur, devant elle. Ce qui lui donnait une drôle de position. Elle avait les bras et les jambes écartés derrière elle, son bassin courbé vers l’avant.
Tout son corps faisait un léger arc de cercle. Il alla chercher dans l’armoire un flacon qu’il déboucha et qu’il plaça sous le nez de la petite fille, l’effet ne se fit pas attendre longtemps, Laura commença à retrouver ses esprits et ouvrit ses paupières.
La petite fille sortit d’un mauvais rêve et rentra immédiatement dans un vrai cauchemar. Reconnaissant instantanément le docteur et Sandy, elle voulut bouger… Ses bras et ses jambes étaient maintenus en arrière, le harnais et les bracelets de cuir remplissaient bien leur office. La fillette ne put que se mettre à pleurer, le bâillon ayant été retiré, la fillette exprimait sa détresse…
Ils sortirent de la chambre, refermèrent la porte, et purent constater que le bruit des sanglots étaient complètement étouffés, presque inaudible de l’autre côté.
Ils attendirent un bon quart d’heure, rentrèrent à nouveau, la petite était calmée, bien sur toujours dans la même position cambrée dans l’espace.
Le docteur prit une chaise et décida d’expliquer à la fillette les règles du jeux…
Laura si tu fais tout ce qu’on te dit, tout ira bien, tu mangeras et boira à volonté, sinon rien à manger et à boire, tu seras fouetté et on te fera encore plus mal…
Si tu fais tout ce qu’on te dis, dans quelques semaines tu seras libre.
Tu as bien compris ? … oui ou non… ?.
De la gorge de la fillette sortit un oui presque inaudible…
Bon on va voir si tu a compris, le docteur plaça sa chaise juste sous la tête de Laura. Il demanda à Sandy de descendre la fillette d’un bon mètre et d’orienter sa tête vers le bas, ce qu’elle fit. Le docteur retira son pantalon et son slip, il se replaça cuisses écartées sur sa chaise… Sandy avait compris, elle manœuvra le treuil jusqu’à ce que la bouche de la petite fille touche le sexe du docteur…
Il demanda avec autorité que la fillette ouvre la bouche…
Les lèvres de sa bouche touchaient la bitte encore môle, mais la gamine refusait pour l’instant d’ouvrir… S’adressant à Sandy, il lui demanda de prendre la martinet dans l’armoire, ce qu’elle fit.
Il dit seulement 5 coups entre les cuisses…
Sandy se mit en position derrière les fesses ouvertes, le premier coup s’abattit juste ou il fallait, en plein milieu de l’entrejambe… Elle tressaillit et hurla de douleur. La position cambrée, cuisses écartées était parfaite pour la punition.
Les quatre autres coups furent de la souffrance à l’état pur, elle pleurait en hurlant de douleur…
Le docteur attendit 5 minutes qu’elle se calme… On recommence…
Je t’ai demandé de me sucer la bitte, petite salope, tu as compris ce coup-ci … ?
La fillette ouvrit la bouche et happa la queue très rapidement…
La bitte fut très rapidement en érection et le docteur commença à aller et venir dans sa bouche. Il ordonna à la môme de serrer plus fort ou de mouiller avec de la salive, La fillette s’exécuta …
Met lui un godmichet dans le cul, ordonna t’il à Sandy. L’apprentie revint de l’armoire avec une belle bitte en latex, puis se plaçant derrière Laura, elle lubrifia l’anus en rentrant sa langue à fond… Quelques instants après elle commença à faire rentrer le god dans le petit cul de rêve.
Le docteur ayant le visage de la fillette devant lui, put contempler la souffrance de la gamine lors de l’enculage de l’engin…
Le chibre en latex rentra entièrement dans le derrière de la petite fille,
elle souffrait horriblement. Le docteur prenait un malin plaisir à rentrer sa bitte au fond de sa gorge, à la limite de l’étouffement…
Sandy se dirigea vers l’armoire, elle y prit deux pinces à sein, une ficelle pendait à chaque bout, permettant d’y accrocher des poids ou ce qu’on voulait de lourd… Elle se positionna sous la gamine, accrocha les pinces à chaque tétons déjà bien tuméfiés… L’horreur et la souffrance remplirent les yeux de Laura…
Sandy n’en resta pas la et accrocha au bout de chaque ficelle un poids d’environ 100 grammes. La petite poitrine naissante fut déformée et tirée par le bas.
En quelques secondes la petite mammifère parut avoir des petits seins de 12 ou 13 ans…Elle gémissait de plus en plus, seule la queue dans la bouche l’empêchait de hurler.
Le docteur abandonna sa position assise, modifia complètement le réglage pour qu'elle se retrouva à horizontale, yeux et poitrine vers le haut, bras et jambes tendus écartés au maximum. Il releva le haut de son corps, puis descendit son bas ventre juste à la hauteur de sa queue.
C'était parfait pour être "saillie" par la chatte…
Comme son buste était légèrement surélevé, la fillette pourrait contempler ce qu’on lui faisait, même voir la bitte rentrer…
Elle pleurait très fort, plus rien n’obstruait son gosier. Les poids des pinces à seins glissant de chaque côté de son corps, tiraient moins qu’avant sur les mamelons, elle devait avoir moins mal aux tétons.
Le god l’enculait toujours autant, le docteur demanda à Sandy de le retirer, ce qu’elle fit de suite, sans ménagement. Le docteur voulait que la môme prenne sa pinne à fond dans son vagin, rien d’autre ne devait la gêner dans son ventre…
Il donna l’ordre à Sandy de lui retirer les pinces à sein et de lui sucer et rouler doucement ses tétons. Les bouts étaient tout violacés, pas beau à voir…
Sandy s’exécuta, trop contente de faire plaisir au docteur.
Il se mit à genoux entre les cuisses de la petite fille, sa langue commença à faire un travail d’investigation et d’humidification du petit vagin. Elle était juste à la bonne hauteur, aussi bien pour la sucer que pour la prendre lorsqu’il se relèverait… Il tourna, retourna sa langue dans le petit trou, mouilla, inonda un maximum avec sa salive, titilla pendant un long moment le clitoris de la fillette. Un très long moment… Jusqu’à ressentir le petit bourgeon se développer et grossir sous sa langue... La fillette n'y pouvait rien, le clitoris était là pour la jouissance… Même celui d’une petite fille.
Beaucoup de cons l’ignoraient ou feignaient de l’ignorer…
Il continua son manège encore une bonne dizaine de minutes, la petite ne disait plus rien, détendue elle se laissait faire, sa chatte s’humidifiait doucement, son clitoris gonflait toujours, ses yeux devenaient pétillants.
Le docteur gouttait à la petite fille, le liquide qui suintait de sa chatte était sacré, quelle saveur, quel bouquet… Quel met de Roi, et ils si connaissaient les rois, depuis le temps qu’ils pratiquaient…
Laura commençait à perdre la tête en gémissant doucement, le travail du clitoris, plus le léchage des tétons faisaient leurs effets.
Le docteur se releva, toujours en érection sa bitte se trouva aussitôt sur le minou de la petite fille. Elle était déjà écartée, dans la bonne position… La pinne vint se poser juste à l’entrée de la petite fente de 10 ans et demie.
Il l’avait déjà prise par devant tout à l’heure, seul le bout de son gland était rentré, il en gardait des sensation de bien être incroyable, serré et enveloppé comme il ne l’avait jamais été.
L'envie d’aller plus loin dans son petit ventre le démangeait …
La petite fille regardait la bitte les yeux pétillants, grands ouverts, gémissant doucement. Des râles de plaisir incontrôlables l’envahissaient, le travail sur sa chatte avait duré plus d’une demi-heure et portait ses fruits…
Elle était offerte, sans comprendre. Après la souffrance autant de plaisir, elle se laissait faire, sa soumission était totale.
La rébellion n’aurait servie à rien.
Il fallait qu’elle se laisse faire, elle le savait.
Maintenant c’était bon, tout son corps avait chaud, des pétillements partout…
Il promenait sa bitte de haut en bas sur la fente, sans oublier le clitoris chargé de maintenir son désir au paroxysme. Ses mains caressaient ses côtes, son ventre, ses fesses, les palpant, les écartant au maximum.
La bitte traçait seule son chemin, parcourant la petite fente, appuyant là ou il fallait, les lèvres de son sexe commençaient à s’ouvrir légèrement et à se colorer d’un beau rose vif…
Il appuya plus fort. Ensemble ils purent contempler la pinne déformer le petit vagin encore fermé. La fillette fit une grimace, serra les dents.
Il appuya à fond… Le bout de la queue rentra entièrement. Le gland avait disparut dans le bas ventre de l'enfant…
A nouveau le joint était parfait, sensation magique. La petite avait tressailli de tout son être, un léger cri aigu était sorti de sa bouche lors de la pénétration.
Il était serré à souhaits, la chaleur de la fillette irradiait le bout de sa queue.
A l'aide de très légers coups de reins, il la balançait doucement d’arrière en avant, les cordages suivaient le mouvement de la bitte.
Sans chercher à rentrer plus dans son ventre, il rejoua comme il l’avait fait la première fois, pendant plus de cinq minutes. Elle gloussait de plaisir…
Belle et chaude petite enfant femelle… Il bougea de plus en plus, ressentit une humidification dans son vagin, la petite salope mouillait de plus en plus.
Elle était prête pour être saillie à fond…
Il accrocha ses mains de chaque côté du harnais, l’immobilisa tout en continua son va et vient. La gamine prit aussitôt cinq centimètres de longueur dans sa chatte, elle fut surprise, eut un petit cri.
Les cinq centimètres repartirent aussi vite, puis reprirent leur place aussitôt… Cela coulissait merveilleusement bien, il lui restait à rentrer sept ou huit centimètres dans une chatte de rêve…
Centimètre par centimètre, son engin rentrait, elle mouillait abondamment, prenant du plaisir. La "gaminette" contemplait sa première pénétration avec attention et stupeur, se demandant comment cela pouvait rentrer dans son ventre, sans vraiment faire mal, et même procurer un certain plaisir…
Cette chaleur qui montait de plus en plus, cette sensation quelle n’avait jamais ressentie avant, elle ne pouvait pas l'expliquer…
Se laisser faire, il fallait se laisser faire, elle verrait bien après…
Il la besognait délicatement, rentrant centimètre par centimètre. Sandy qui jouait toujours avec le bout des tétons de la môme depuis le début abandonna son occupation. Elle vint se mettre à genoux derrière le docteur, mit une main entre ses cuisses, entreprit un massage de ses testicules…
Elle caressa en même temps la chatte de la gosse, et put constater que presque toute la longueur était rentrée dans son bas ventre.
La petite femelle de 10 ans et demie gémissait, se tordant de plaisir. Peu de temps après les couilles battaient sur son entrejambe, prise à fond, il la besognait maintenant comme il aurait fait avec une putte professionnelle, sans aucun ménagement, à grands coups de bitte.
Il la travailla cinq bonnes minutes avant d’exploser dans son ventre…
A chaque giclée de jutte la petite fille se crispait un maximum en hurlant de bonheur. A chaque jet, elle vibrait de plaisir en parlant tout haut : " hoo oui, hoo oui…"
Il la remplit copieusement jusqu’à ce que ses couilles soient vidées à fond.
La fillette ne bougeait plus, ses yeux était tout pétillant, son visage détendu avait une vague expression de bonheur. Il resta assez longtemps sans force, puis décida de se retirer. Il ressortit sa pinne doucement, laissant uniquement le gland. Il était serré un maximum, il tira doucement, le ventre de la petite était comme soudée à sa bitte, faisant comme une ventouse. Il essaya encore, à chaque fois le même phénomène se produisait, la bitte et la petite chatte était comme soudées l’un à l’autre… Il attendit quelques minutes.
Il débanda un peu, d’un coup sec il souleva ses reins et ses fesses. La bitte se disjoignit du vagin en faisant un bruit d’air. La petite fut surprise, le manifesta en faisant sortir de sa bouche un petit " oh…".
Il détendit les cordes. la fillette se retrouva allongée par terre. Il la détacha, puis la déposa sur le lit, demanda à Sandy d'aller chercher une bassine d'eau puis de nettoyer un peu la gosse. Il écarta ses cuisses, contempla son sperme ressortir du vagin. Elle était remplie au maximum, avec sa main il appuya sur son bas ventre, le sperme s'échappa encore un peu plus de sa petite moule...
Ses doigts recueillirent le précieux liquide blanc, qu'il s'empressa aussitôt d'étaler sur la bouche de la petite.
Il lui demanda d'ouvrir ses lèvres et d'avaler ce qu'il lui donnait…
la fillette toute tremblante était revenue à la réalité, elle s'exécuta aussitôt…
Ils attachèrent une cheville de Laura avec une menotte. Une grande chaînette de trois mètres lui laissait une certaine liberté…
On va revenir Laura, dans quelques heures… On en profitera pour t'amener à manger et à boire, mais je te préviens tout de suite, il faudra que tu sois très gentille, que tu fasses tout ce qu'on te dira, sinon rien…
Bon on va chercher du matériel qui nous manque et on revient…
Ils refermèrent la porte de la chambre à clefs et discutèrent un peu sur les méthodes à employer sur Laura. Sandy venait de lui donner une idée…
Il était 21 heures lorsque ils regagnèrent le pavillon. Jean Yves était nu dans le grand fauteuil du salon… Regardant la télévision, Audrey et Nadine s'occupaient de lui, caressant ses parties génitales, elles étaient juste habillées d'une petite culotte en dentelles rose …
Le docteur salua Jean Yves, lui dit de ne pas interrompre ce qu'il faisait.
Rapidement il lui expliqua que Sandy et lui dormiraient dans le pavillon des tortures, ils étaient venus chercher du matériel…
Ils mirent une bonne heure à trouver tout ce qu'ils leurs manquaient, nourriture incluse. Le docteur décida au dernier moment d'emmener Kévin , le petit garçon allait aussi leur servir pour quelques expériences…
Vers 23 heures ils furent de retour au pavillon des tortures. Ils rouvrirent la porte de la pièce ou était enfermée Laura. La gamine dormait, Sandy la réveilla, lui présenta Kévin. Les deux mômes se seraient bien passer de faire connaissance, ils étaient tous les deux transis par la peur…
Le docteur leur expliqua… Vous allez faire tout ce qu'on vous dit et tout ira bien. En cas de contestation ou de mauvaise volonté, vous serez fouettés.
Pas de nourriture ni boisson avant, après si tout c'est bien passé…
La fillette avait pour seul habit son harnais lui ceinturant la taille, et les bracelets aux extrémités des membres. Le docteur amena les cordes qui pendaient du plafond, les rattacha sur la fillette. Peu de temps après la petite fille était à nouveau en suspension à un mètre cinquante du sol, cuisses et bras écartés en position horizontale.
Sandy habilla le petit Kévin avec des habits de fillette, slip en dentelle rose, soutien gorge, minijupe… Le petit garçon de 9 ans se retrouva attaché en croix aux murs. Ecartelés, maintenus par des attaches aux extrémités des quatre membres. Sandy redescendit la petite culotte rose en dentelles sur ses genoux…
Le gamin et la fillette étaient à leurs merci. Ils avaient accès à leurs parties génitales comme ils le désiraient…
Le docteur sortit d'un sac, un appareil de stimulation électrique, servant d'habitude à faire perdre du ventre ou des fesses.
L'électricité donnait des impulsions aux muscles, qui eux se contractaient sous l'effet de la décharge, l'appareil était réglable en temps et en intensité.
L'engin professionnel, pouvait être commandé en manuel ou automatique, avec sélection des quatre sondes…
Ils allaient l'utiliser d'une autre manière… Le docteur découpa le surplus des cercles des électrodes, ne gardant qu'une bande de un centimètre de large sur trois centimètre de long. Il disposait maintenant de quatre électrode double, en tout huit endroits qui diffuseraient du courant électrique sur les parties sensibles du corps de la petite fille… Bien sur, il choisit en premier, le clitoris…
il maintint l'électrode à l'endroit du petit bourgeon avec un bout se sparadrap, la deuxième qui allait de paire avec la première fut placé à l'intérieur du vagin de la petite…
Deux autres sondes furent placés sur chaque tétons tuméfiés de la gosse.
Il en rentra une autre dans l'anus, celle qui allait de paire fut fixée entre le trou du cul et la chatte.
Il se demandait bien ou fixer la quatrième paire, il réfléchit…
La longueur de chaque sonde étant de près de trois mètre, il se décida pour le petit garçon, Kévin se vit placer une sonde sur les testicules et une autre dans son anus…
Il s'assit sur une chaise, le boîtier de commande sur les genoux, il alluma l'appareil, il était prêt à faire joujoux…
Sandy n'en perdait pas une, elle vint se placer par terre à côté du docteur, commença par lui sortir la bitte, puis lui massa les couilles doucement.
Il régla les quatre interrupteurs à Zéro, baissa l'intensité au minimum…
Il ouvrir l'interrupteur 1, celui qui commandait le clitoris et la chatte, mit la puissance sur 5. Il appuya en manuel une fois sur le bouton. Laura fut secouée par la décharge, elle tressaillit, les cordes bougèrent, elle se mit à crier…
L'appareil était en position cinq, il pouvait monter jusqu'à cinquante…
Il mit l'anus en fonctionnement, il appuya… Secousse identique de la gosse et commencement des pleurs. Il essaya les tétons…
La encore la réaction fut violente…
Il ne manqua pas d'essayer le petit Kévin, la décharge fut identique, il se secoua énergiquement pour essayer d'avoir moins mal.
La petite fille et le gamin les regardaient, implorant du regard, rien n'y fit,
Le docteur mit l'appareil en automatique, à la puissance vingt.
Toutes les dix secondes les huit sondes enverraient leur décharge électrique pendant cinq longues secondes… Il appuya.
C'était horrible, leurs corps se tendit au maximum pendant la décharge, ils hurlèrent de souffrance, les sondes étaient posés à vif sur leurs parties intimes.
Ils avaient comme des convulsions et se tordaient de tous les côtés.
Cinq secondes horribles, dix secondes suivantes de soulagement, dans un silence profond, puis à nouveau le supplice des cinq secondes…
Le docteur baissa légèrement la puissance à quinze. Ils allaient s'habituer progressivement aux décharges, il monterait l'intensité tout à l'heure…
Pendant cinq minutes ils contemplèrent sans rien dire les petits corps se convulsionner à chaque secousse. Les gosses ne pleuraient plus, les impulsions électrique les en empêchaient.
Le docteur bandait fortement, il s'approcha de l'aura, mit sa queue à la hauteur de sa chatte. Il retira d'abord la sonde du clitoris, puis celle de son vagin, appuya sa pinne sur les lèvres de son sexe. Incroyable, elle mouillait énormément…
Il enfonça sans problème la moitié de la longueur de sa queue et attendit la secousse… Elle vint rapidement, c'était génial, le petit trou du sexe très serré, plus l'électricité venant de son anus, avec en même temps les contractions involontaires que la petite fille faisait avec tout son corps, lui procuraient des sensations encore inconnues à ce jour… Il fit coulisser sa bitte, la besognant à fond. Il ressentait l'électricité aussi sur sa verge, il toucha ses seins, retira sa main aussitôt, là aussi le courant passait… La fillette avait les yeux grands ouverts, une expression d'horreur dominait son visage, elle n'avait plus la force de crier, elle mouillait énormément du sexe, elle ne jouissait pas, mais le courant lui procurait cette réaction bizarre.
Sandy contemplait le petit garçon, sa petite bitte était en érection, belle dimension pour un petit de neuf ans, elle ne résista pas longtemps, se mit à genoux entre ses cuisses et commença à lui faire une belle petite fellation.
Elle ressentait les contractions de sa verge à travers sa bouche ainsi qu'un petit picotement du à l'électricité…
Le docteur continuait son besognage, de sa main droite il tira le boîtier de commande qui se trouvait sur la chaise, mit le bouton sur la position maximum…
Ce fut horrible, cinq secondes après la décharge électrique secoua incroyablement les petits corps, il ressentit sur sa verge les contractions involontaires du vagin de la fillette, elle avait tressailli d'une drôle de manière, des secousses inhumaines la parcourait.
Mais que c'était bon pour lui, elle n'arrêtait plus de contracter son vagin, même entre les secousses électriques…
Son petit cœur battait à une vitesse incroyable, elle était en sueur. Il décida de réduire en urgence l'intensité de l'appareil, il attendit deux minutes que la petite se calme un peu, ce fut mieux…
Il continua son va et vient dans son ventre, elle était consciente, gémissante de douleur. Les secousses étaient certes moins fortes, l'appareil étant réglé à la moitié, mais elles faisaient cambrer le corps de la gosse à chaque fois.
Jamais il n'avait été aussi serré dans une petite chatte, aucune femelle ne l'avait fait jouir de cette façon, c'était sublime. Il attendit le début d'un cycle électrique pour décharger le peu de jutte qui lui restait dans les couilles dans le bas ventre de Laura. Il gémit de bonheur, elle gémissait de douleur.
Epuisé
il se retira d'elle, arrêta le générateur de courant. Il regarda Sandy, elle
souriait. Le petit Kévin était évanoui, respirant calmement… Il n'avait pas
supporté. Il retourna la tête vers la petite Laura, elle aussi venait de fermer
les yeux, épuisée elle dormait…
P.S.
Note sur l'inceste et la pédophilie :
Une petite fille
ou un petit garçon est un être humain, et ne mérite en aucune façon d'être
perturbé dans son développement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect
de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour
et ne l'auront peut être jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un être.
Le véritable
courage dans la vie, consiste à donner le bonheur qu'on a pas eu,
et surtout de ne
pas rendre le mal qu'on nous a fait…
Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour
tenter Adam et Eve… Lucifer se porta volontaire, lui qui était pourtant l'un
des sept grands archanges de notre système solaire, ou sa mission était de
garder la planète Vénus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanité à
faire grandir sa spiritualité en la soumettant à toutes les tentations.
Ce qu'il fit… La tâche que lui confia dieu fut
certainement une des plus importantes de la création. Elle n'est pas finie,
elle doit permettre à l'être humain de s'élever, de révéler sa véritable
lumière intérieur, d'affirmer sa spiritualité en résistant au mal, qui lui même
fait parti intégrante du bien.
Comprenne qui pourra ….
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ATTENTION
: Textes apocryphes d'Alain Terdit.