Extrait brut et non corrigé de : " Le livre interdit "                                             

Auteur : Alain Terdit 

Titre : Le livre interdit  (Ce récit est imaginaire et doit le rester).

 

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Le récit complet, corrigé est déposé à l'INPI par enveloppe SOLO,  il reste la propriété de son auteur. 
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                                   Le livre interdit

 

 

 

L'enlèvement…

 

Qu'il faisait bon se promener le mercredi après-midi…

Jour bénit, les fillettes déambulaient dans les rues, seules ou avec leur maman. Les pucelles graciles se baladaient, flânaient, rigolaient, insouciantes de tous mâles…

Il réservait tous ses mercredi pour ça… La chasse à la "gaminette", sept à onze ans maximum, innocentes, belles, fines, sensuelles…

Les suivre à distance était devenu un jeu. A une dizaine de mètre il contemplait leur petit cul, leurs galbes, leurs mimiques, tout lui plaisait.

Bien sur il y avait beaucoup de " déchets ", heureusement une sur cent avait ce charme indéfinissable qui lui plaisait tant, elle était désirable…

La jeune maman donnant la main à sa fille avait attiré son regard aussitôt, mignonne la mère, alcoolique, mais mignonne… 

Sublime sa fille…

Toutes les deux en jeans bleu délavé, un peu "dégueu", pas vraiment bien habillé ni propre les deux femelles. Elles chinaient de boutique en boutique, s'arrêtant uniquement aux étalages bon marché, soldant en " dernière démarque ".

La fillette était très belle. ses petites fesses bien galbées, moulées par le jean, laissaient entrevoir délicatement les coutures de sa fine petite culotte.

Une chute de reins paradisiaque descendait doucement, sans aucun sacrilège, sur des jambes fines, longues et très bien proportionnées.

Il les suivaient depuis près de trente minutes, les "connaissant" un peu mieux…

Intérieurement il résuma la situation: "  La mère est fauchée et alcoolique chronique, leur propreté, à toutes les deux laissent à désirer, pourquoi ne pas faire directement à la mère une proposition pécuniaire. Pourquoi pas… ".

Elles s'étaient arrêtées devant l'étalage d'un marchand de chaussures, discutant sur un modèle…

C'était le moment idéal… Il s'approcha à les toucher, leur parla le plus calmement et le plus distinctement possible : " Elles sont pas terribles ces chaussures, j'ai une proposition qui peut vous faire gagner tout de suite énormément d'argent, si vous voulez je peux vous en parler maintenant …".

La mère et la fille se retournèrent immédiatement, interloqués…

La femme pas sur du tout que le message qu'elle est entendu soit bien à son intention dit immédiatement : " vous voulez répéter…".

Il répéta exactement la phrase déjà prononcé, sans rien omettre, en y mettant une certaine tendresse.

La femme resta sans voix…

De suite il continua… Cela n'engage à rien, si vous voulez on en parle maintenant, je vous explique tout en prenant un petit verre…

Elle le regarda intensément, fixant ses beaux yeux bleus, et finit par dire :

" Et ça consiste en quoi… ? "

D'un geste d'invitation il lui montra du doigt la terrasse d'un café en rajoutant:

" Là on sera tranquille pour parler… ".

La fillette n'avait pas prononcé un seul mot…

Ils se dirigèrent vers la terrasse du café, s'assirent. Réceptif à un signe de la main, le garçon de terrasse vint prendre leur commande sans attendre…

Quelques minutes après le serveur revint avec deux Whisky et un jus d'ananas.

Il régla l'addition, laissa un très bon pourboire, du genre, qui voulait dire :

" Bon maintenant tu te casses et tu nous fout la paix ".

Enfin seules, il se présenta : " Je suis le Docteur Faudiere, pédopsychiatre, je suis spécialiste du comportement des enfants ". pour appuyer ses dires, en même temps qu'il se présentait il tendit à la maman sa carte de visite ".

Le morceau de carton en main, la maman se détendit, rougissant un peu …

Elle était un peu rassuré, mais pas complètement…

Il continua à lui expliquer : " J'écris un livre sur l'éducation des enfants, mes collègues et moi nous faisons des expériences, nous recherchons des fillettes de huit à dix ans pour ces dîtes expériences… C'est très bien payé, dix mille francs par semaine…

Il rajouta : " payable d'avance, en espèce…".

La fillette n'avait encore rien dit, elle écoutait sagement, sans vraiment avoir compris quoi que ce soit de la conversation.

Le silence reprit ses droits quelques instants, puis la maman questionna :

" Et concrètement cela consiste en quoi … ? "

La réponse ne se fit pas attendre, on vous donne dix mille francs, et vous nous confier votre fillette pour une semaine.

Il rajouta, les tests peuvent durer de quatre à dix semaines, ce qui vous fait quarante mille francs au minimum et cent mille Francs au maximum .

Ces tests ne sont pas fait en une seule fois d'affilée, d'abord une semaine chez nous, puis elle rentre chez vous quelques semaines, on la rappelle quand on en à besoin… Bien sur vous pouvez avoir au téléphone votre gamine une fois par jour.

La maman réfléchit longtemps, puis demanda :

" Les tests c'est quoi… ? ".

Sans se démonter, il répondit :

" Des tests sur son comportement, nous recueillons aussi son témoignage, sur sa vie actuelle, ainsi qu'à l'école…   ".

 

Le dialogue continua …

 

-         Et je ne peux pas rester avec elle ?.

-         Non pas du tout, c'est fait scientifiquement, son entourage ne doit pas la perturber…

-         Mais elle à peine huit ans, c'est jeune pour des expériences.

-         Expérience est un bien grand mot, C'est l'age le plus intéressant pour les tests…

-         vous pourriez lui faire mal…?

-         Mais non, on ne fait pas mal du tout…

-         Si vous accepter elle va se retrouver avec trois autres petites copines de son age qui participe déjà à ces tests.

 

Elle resta muette, sans voix ni aucune réaction. Le docteur pour appuyer sa demande sortit de sa poche une enveloppe d'ou dépassait une quantité de gros billets de banque. Il en compta vingt, les sortit le plus discrètement possible, lui montra, puis les glissa de son côté sous la nappe en papier qui recouvrait la table.

Si vous êtes d'accord, je vous donne dix milles Francs maintenant, J'emmène votre fille en taxi à la clinique, vous lui téléphonerez ce soir, mais pas avant vingt heures…

Vous ne risquez rien du tout, elle non plus, vous avez mon nom, l'adresse et le numéro de téléphone… Je suis un docteur réputé dans cette ville…

Demain vous viendrez à l'adresse de la clinique indiquée sur la carte, pour amener quelques affaires à votre fille, vous me demanderez :

Service de pédopsychiatrie du Dr Feaudière, quatrième étage…

La femme renchérit : " Mais pourquoi ne pas attendre demain…".

Il rétorqua aussitôt : "  Il manquait une candidate pour aujourd'hui, je cours la faire inscrire et la présenter à mes collègues ce soir, c'est le dernier délais pour le cahier des charges…". C'est ça l'administration…

Ne comprenant pas tout, elle réfléchit…

Voyant qu'elle " tiquait " un peu, il décida d'essayer le tout pour le tout…

Bon écoutez, ce n'est absolument pas grave, je suis heureux de vous avoir connu vous et votre fille, si un jour vous avez besoin d'une consultation passez me voir à la clinique, maintenant je vais vous laisser… Je vais aller faire cette offre à une autre maman dont un de mes collègue docteur m'a parlé, je devais y aller lorsque je vous ai aperçu tout à l'heure, je me suis dit, pourquoi ne pas en faire profiter cette dame et cette gentille petite fille, cela me faisait gagner du temps…

Il se leva pour la saluer, lui tendit la main droite, pendant que l'autre main se dirigeait vers l'endroit ou se situait les billets de banque, s"apprêtant à les reprendre…

La femme craqua… Bon je suis d'accord… Dit elle !

Il se ré-assit immédiatement, leva son doigt en prononçant assez fort la phrase qui allait aider l'alcoolique à conclure le marché plus facilement :

" Garçon la même chose s'il vous plait ".

En sirotant leur deuxième whisky, ils mirent certains détails au point.

le docteur nota son nom, adresse, et téléphone, ainsi que tous ce qui pouvaient concerner la fillette, date de naissance et pleins d'autres renseignements…

Tout y passa, en cinq minutes il sut beaucoup de chose, le papa était parti depuis deux ans, aucune nouvelle… La mère de la petite était au chômage, presque sans ressource…. L'idéale pour lui…

Il reprit l'argent sous la nappe en papier, le tendit à la mère… Elle le rangea immédiatement dans son sac à main…

Il appela le garçon de café à nouveau, lui demanda d'appeler un taxi,  rapidement… Il ne voulait pas que la mère se ressaisisse, elle pouvait encore changer d'avis…

Le taxi arriva cinq minutes plus tard… La femme parla à sa fille, elle s'appelait

Emmanuelle, lui expliqua qu'elle lui téléphonerait ce soir, qu'elle passerait la

voir demain pour lui apporter des affaires. En attendant il fallait qu'elle soit

sage et fasse tout ce que le docteur lui dirait…

La fillette n'était pas enchantée, mais certaine de revoir sa mère demain et contente pour elle qu'elle ait de l'argent, elle ne fit pas d'histoire.

La petite lui demanda juste si avec l'argent elle allait lui acheter des nouvelles chaussures de danse… Sa mère lui promit aussitôt…

Les adieux furent rapides, le docteur prétextant être très en retard…

Il lui dit encore une fois qu'il aurait plus de temps demain entre dix et onze heure, le moment ou, amenant ses affaires elle pourrait embrasser sa fille à nouveau…

Il monta avec Emmanuelle à l'arrière du taxi. D’une voix assez forte il prononça à l’intention du chauffeur l'adresse de la clinique à laquelle il désirait se rendre.

Assez fortement pour que la mère l’entende…

La voiture démarra, le regard de la femme croisa avec intensité celui de sa

fille… C'était peut être la dernière fois qu'elles se voyaient dans ce monde…

 

En cours de route, le docteur parla au chauffeur lui expliqua qu'il avait oublié

un dossier médical d'un patient, qu'il fallait qu'il se rende d'abord à une autre

adresse. La voiture changea donc de direction, s'arrêta en plein centre ville aux abords d' une rue piétonnière. Le pourboire laissé au chauffeur fut normal, sans

plus… Le taxi reparti sans se douter de quoi que ce soit.

Il marcha assez vite, donnant la main à Emmanuelle, lui parla très gentiment,  expliqua que c'était pour son bien, qu'elle verrait plus tard, quelle reverrait sa maman demain matin…

La môme ne comprenait pas réellement ce qui se passait… Il fallait faire vite.

Il n'était plus qu'à une dizaine de minutes de l'endroit ou sa voiture était garée.

Le véhicule était toujours là… Il fit monter la gamine à côté de lui, côté passager, prit deux comprimés dans sa trousse médical, avec gentillesse il demanda à la petite fille de les avaler… Il lui tendit une petite bouteille d'eau plate pour faire passer le médicament… Elle le prit sans rechigner.

Ce somnifère très puissant était prévu pour un adulte, à prendre quinze minutes avant de s'endormir. Selon lui dans très peu de temps elle dormirait…

Il roulait depuis près de quarante minutes en direction de la campagne, la petite fille s'était assoupis, dormant profondément.

Il souleva un de ses bras en hauteur, puis le laissa retomber tout seul…

Avec un bruit mat le membre retomba en plein milieu des deux sièges, sur le cendrier, elle aurait pu avoir mal. Le somnifère agissait…

 

 

L'idée lui vint… La route serait moins monotone à faire si …

Sa main droite se posa sur la cuisse de la fillette, puis remonta sur le ventre plat.

Il caressa de longues minutes… La marchandise était parfaite, rien à redire.

D'un geste adroit, il dégrafa le bouton du jean au niveau du nombril, la fermeture éclaire glissa doucement, il l'aida jusqu'en bas…

Il introduit sa main dans le jean baillant en grand… La douceur et la chaleur de la petite culotte en coton le fit frémir de plaisir. Il visita le tout, parcourant l'ensemble, des cuisses au ventre… D'un doigt il traça la fente de son sexe, appuyant légèrement, juste assez pour que le tissu très fin rentre un peu…

La gamine dormait toujours profondément…

Il voulut la posséder tout de suite… Sa main remonta jusqu'au nombril, bien à plat sur la douce peau satinée, puis redescendit en appuyant à fond…

Les doigts s'engagèrent sous le tissu de la petite culotte, puis rapidement toute la main se retrouva dans le temple de la gamine.

Aucun poil… La fente bien dessinée fut honorée d'une caresse longiligne pendant quelques secondes… Puis l'index d'un seul coup se replia en appuyant très fortement… Le vagin de la petite fille venait d'enserrer son doigt…

Il la pratiqua plusieurs minutes, jouant avec son canal vaginal…

C'était doux, chaud comme il aimait… Du miel, comme il disait…

 

Il était déjà dix huit heures, dans deux heures sa maman téléphonerait à la clinique, elle demanderait le service d'un docteur complètement inconnu de l'établissement… Ca allait faire du grabuge… A moins que…

Il s'arrêta pour téléphoner à la sortie d'un petit village, composa le numéro de téléphone que la mère de la petite lui avait donné tout à l'heure…

Il l'eut tout de suite au téléphone et commença par lui dire d'un ton calme et monotone  :

" Vous me laissez parler et vous ne m'interrompez pas, ce n'est pas la peine de téléphoner tout à l'heure, ni de venir demain, votre fille à été victime d'un enlèvement. Je l'ai enlevé tout à l'heure sous vos yeux. Vous reverrez votre fille très rapidement si vous ne prévenez pas la police. Si vous prévenez les flics, je serai obligé de supprimer l'enfant… De plus faites attention, des personnes tout à l'heure on dû vous voir recevoir une somme d'argent de la part d'un homme, qui en contrepartie est parti avec votre gamine…

Vous aurez du mal à faire croire à la police que vous n'étiez  pas de mèche avec lui. le garçon de café, le chauffeur de taxi pourront témoigner, et certainement d'autres témoins aussi… Donc vous ne prévenez personne…

Dans quelques semaines je vous renverrai votre fille en très bonne santé. Sinon… ".

Elle l'avait laissé parler sans l'interrompre une seule fois…

Il lui demanda : " Vous avez bien compris… ".

Il entendit une petite voix entrecoupée de sanglot qui murmura :

" Oui, ne lui faite pas de mal, rendez moi ma fille…".

Il reprit : " Si vous ne prévenez pas la police je vous la renverrai dans quelques temps…".  Il raccrocha…

L'idée d'avoir téléphoner ne lui paraissait pas mauvaise, il verrait bien si sa mère la fermait… Il remonta dans sa voiture et démarra aussitôt.

Il arriva à sa maison de campagne une dizaine de minutes après, c'était très retiré, loin de toutes habitation, il serait tranquille pour la suite…

Il valait mieux, car ce qu'il allait faire endurer à la fillette n'avait rien d'enviable…

Elle dormait encore, la môme ne pesait vraiment pas très lourd, un vrai poids plume. Il n'eut aucune difficulté pour la porter, puis la déposer sur le grand lit du local, réservé à des fins très spéciales…

 

 

 

    La chambre de torture

 

La pièce était entièrement tapissée de laine de verre sur tous les murs, ainsi qu'au plafond. L'ensemble recouvert d'une très épaisse moquette de couleur rose faisait de cette endroit de quatre mètres sur cinq une parfaite chambre sourde, aucun son ne pouvait en sortir. Il avait aussi rendu la porte étanche, la recouvrant des mêmes matériaux, avec en plus des joints caoutchouc…

L'essai avec sa chaîne HIFI volume à fond avait été concluant, dans le couloir à un mètre, on entendait rien. Il avait fallu qu'il plaque son oreille sur la porte pour entendre très légèrement la musique…

Une fillette pourrait gueuler de douleur, personne ne l'entendrait…

La chambre de torture, comme il la nommait n'avait rien de commun avec une pièce d'habitation, seul un grand lit recouvert d'une grande couette de couleur rose avait un aspect humain, le reste était uniquement fonctionnel.

Aucun doute n'était permis, tout dans cet endroit était fait pour faire souffrir. Des anneaux aux murs sur lesquels pendaient de longues chaînes en acier inoxydables, se terminant par des colliers avec serrure pouvant se fixer aux extrémités des membres.

Un système de trapèze commandé par des poulies et un treuil avaient été aménagés au plafond,  permettant d’immobiliser et d’écarter dans toutes les positions un corps humain, ceci pour procéder à toutes les interventions désirées.

Rien n'avait été laissé au hasard,

Au milieu, une grande roue était installée à la verticale, elle pouvait tourner sur elle même, des bracelets de cuir pendaient à différents endroits…

Un portique sur lequel pendait aussi deux harnais et des sangles, sans oublier les bracelets de cuirs trônait près d'un mur.

une table gynécologique permettant d'ausculter les petites femelles, cuisses écartées, jambes en hauteur reposants sur des étriers, bras et chevilles maintenus, attachées par des sangles.

Une armoire en bois sans porte, remplie de médicament, seringues, bocaux, tuyaux de lavement et ustensiles médicales.

Une autre entièrement en verre laissait apparaître sur chaque étagère une multitude d'instruments de torture, pinces à seins, cisailles, tenailles, limes, scies, écarteurs, aiguilles de dimensions divers, bistouris, perceuses et scie électrique…

Une collection incroyable de godemichés de toutes dimensions ayant des formes les plus bizarres trônait sur la plus haute étagère.

Fixés à l'un des murs, et reposant uniquement sur des crochets, des fouets, martinet simples ou se finissant par des petites boules métalliques, planches à clous, badines, nerfs de bœufs, barre de ferre, ceintures de cuir…

Dans un coin de la pièce, un petit lavabo muni d'une clef spéciale sur la canalisation principale, permettait de supprimer l'eau en cas de punition…

A côté d'un mur, une douche sommaire, un bidet pour que les fillettes puisse se laver et rafraîchir ce qui très vite allait devenir congestionné et en feux…

Une particularité avait était rajouté sur ce dernier accessoire de lavage du sous bassement des gamines.

On pouvait les y asseoir, et les forcer à rester dessus autant qu'il plaisait.

Des sangles avaient été fixées aux murs, elles permettaient de maintenir les bras tendus en hauteur. Les attaches fixés sur le sol étaient chargés d'immobiliser les cuisses en position écartées. La petite fille était donc forcé de rester assise le postérieur et le vagin dans l'eau autant de temps qu'il le voulait…

Cela n'avait l'air de rien, mais il savait pour l'avoir pratiqué que cette torture était horrible…

Il suffisait d'asseoir la gamine dessus, les cuises étant tenus écartées à fond par les attaches fixées au sol, de boucher un peu le trou d'évacuation et de laisser couler l'eau très légèrement…

L'eau froide remplissait son office très rapidement, engourdissant le bas ventre et le postérieur de la fillette, au bout de trente minutes elle commençait à trembler de froid, au bout d'une heure elle suppliait pour qu'on la détache…

Il l'avait expérimenté avec une fillette de huit ans qui refusait de sucer sa bitte,

il l'avait laissé une heure dessus… Elle le suppliait tellement d'arrêter, qu'il s'était mis debout, les jambes écartées au dessus d'elle, la bitte sortie …

Elle avait happé aussitôt la bitte et avait fait sa première fellation en avalant toute la jutte, sans en laisser une goutte, comme il lui avait ordonné…

En plus le bidet nettoyait et insensibilisait en même temps, lorsqu'une fillette avait trop mal, c'était la solution idéale…  

Le ravissement des yeux n'avait pas été oublié, sur l'un des murs un présentoir de six étages, lui aussi entièrement en verre transparent laissait apparaître une multitude d'habits, de gaines, des petites culottes d'enfants, des soutiens gorges avec ou sans bonnets, des bas et collants de toutes les couleurs.

Sans oublier les petites culottes spéciales, avec ouverture par boutons pression ou fermeture éclaire sur le devant ou le derrière, pour laisser passer les instruments de travail…

Un étage plus haut que les autres supportait une tringle sur laquelle coulissait des portes manteaux avec attaches. Un assortiment complet de mini-jupes, short, tuniques, pouvait être sélectionné rapidement…

Uniquement des vêtements érotiques d'enfants,  pas n'importe quelle taille, juste de sept à onze ans. Le ravissement …

Il déposa la petite fille d'à peine huit ans sur le grand lit, elle dormait profondément…

Il verrouilla la porte de la chambre sourde, appuya sur un interrupteur, un déclic se fit entendre, suivit aussitôt par un léger bourdonnement, le système de ventilation venait de se mettre en fonctionnement.

La laisse de cou, comme il l'appelait, portait bien son nom, d'une longueur de cinq mètres, elle permettait à la fillette de faire tout ce qu'on lui demandait sans problème. Le petit collier en métal extrêmement résistant enserrant  la gorge de l'enfant se fermait avec un cadenas de sécurité. Une chaînette en acier reliait l'ensemble à une attache fixée dans le mur. Jamais aucune jeune pucelle n'avait pu retirer le collier toute seul…

Comme d'habitude, il n'eut aucune difficulté à la mettre en laisse…

Elle était à lui, il pouvait enfin s'amuser comme il le voulait, il fallait juste attendre qu'elle se réveille…

Il était très patient, capable de préparer une fillette pendant des semaines, cela dépendait uniquement d'elle… Oui c'était ça, sa survie dépendait uniquement d'elle. Si elle était obéissante et le faisait jouir souvent et pleinement, il la gardait des mois, sinon, quelques jours seulement…

Il lui en fallait toujours plus, la dernière fillette avait neuf ans, il l'avait garder trois mois à peu près en bonne état, et puis les supplices irrémédiables avaient commencés…

Trois semaines d'agonie horrible, la petite fille transpercées de partout par des aiguilles, empalée vingt quatre heures sur vingt quatre, le bout des seins coupés, puis brûlés pour éviter l'hémorragie fatale. Ne lui donnant comme seule boisson et nourriture que trois doses se spermatozoïde par jour la première semaine…

La fillette crevait de soif et aspirait tout au maximum, sans rien laisser…

La deuxième semaine, elle avait tellement soif et faim qu'il avait eu pitié d'elle,

il avait descendu le trapèze à l'horizontal le plus bas possible, et il lui avait uriner dans la bouche… elle avait tout avaler…

Puis il lui avait proposer d'ouvrir la bouche, pour y chier dedans, elle avait refusé… Il l'avait fouetté le plus fort qu'il avait pu avec le martinet à boules métalliques une trentaine de coups… Agonisante et sanguinolente, elle avait acceptée…

Il avait collé son anus sur sa bouche grande ouverte, la merde était rentré petit à petit… Il avait menacé de lui brûler la chatte, si elle ne mangeait pas tout…

Elle n'avait rien laissé… Il avait joui, se masturbant en entendant la fillette déglutir et avaler… Pour finir il lui avait demandé de nettoyer son cul avec sa langue, lui ordonnant qu'il n'en reste pas… Elle l'avait fait.

Tous les jours il avait continué ce manège, elle avalait la merde de mieux en mieux et de plus en plus rapidement à chaque fois.

Avec la matière fécale et la pisse ingurgitée, elle reprenait des forces. Pour éviter les infections dues aux coups et à la nourriture, il lui faisait des piqûres d'antibiotique, toujours avec la plus grosse aiguille possible…

Il avait ouvert son cul et son vagin comme aucune petite fille n'avait été ouverte.

Elle hurlait de douleur et de jouissance, tenue en extension sur le trapèze, deux énormes chibres dans ses trous. Son clitoris transpercé par des aiguilles, auquel il avait attaché des poids de deux cent grammes…

Il retirait chaque jour les godemichés, et mettait à leur place son poing fermé dedans.

Tout rentrait sans problème, miracle de la femelle, même à neuf ans…

La gamine avait encore souffert une dizaine de jours… Et puis l'issue fatale…

 

 

 

 

        La préparation d'Emmanuelle

 

 

En premier lieu, il la déshabilla complètement, mon dieu qu'elle était bien faîte.

Rien ne clochait, des formes paradisiaques… Huit ans à peine, il allait pouvoir s'amuser… L'âge idéal, les fillettes étaient encore malléables, après un petit stage d'éducation sexuelle elles ferait tout ce qu'il voudrait…Et même plus.

Il allait pratiquer comme les fois précédente, sa méthode avait fait ses preuves…

Il lui attacha la laisse de cou, puis la laissa se reposer quelques heures, il ne pouvait rien faire pour annuler l'effet du somnifère, il fallait attendre…

Il en profita pour préparer tous les accessoires dont il allait avoir besoin pour la suite, puis alla se restaurer un peu.

Huit heures après il revint. Elle dormait encore, il fallait la réveiller…

Lui mettant sous le nez un petit flacon, il lui fit respirer une essence spéciale, l'effet ne se fit pas attendre, Emmanuelle ouvrit les yeux…

Tout de suite, avant qu'elle ne réagisse il lui donna à boire une grande tasse de café extrêmement fort. Sans sucre c'était vraiment dégueulasse, surtout pour une fillette de huit ans, mais c'était très efficace pour se réveiller rapidement.

Trois minutes après la gamine avait retrouvé tous ses moyens. Elle posait des questions, ne comprenant pas pourquoi elle se retrouvait toute nue et attachée…

Il alla chercher un martinet à simple lanière dans l'armoire spéciale, puis le tenant d'une main devant elle, il lui expliqua…

Ma petite Emmanuelle, comme tu le sais ta maman t'a confié à moi pour différents tests… J'ai entièrement carte blanche, j'ai payé pour ça…

Je peux tout faire avec toi, ta maman est d'accord…

Si tu fais bien tout ce que je te dis, tu l'a reverra dans peu de temps, sinon cela durera très longtemps…

Dans tous les cas, j'ai bien dit dans tous les cas, il faut que tu fasse ce que je te dirai, sinon… Il lui montra le fouet. Tu as bien compris ?.

La fillette avait peur, en plus elle crevait de froid, elle lui fit un signe de tête qui selon elle voulait dire oui…

Un coup de fouet cingla ses cuisses… Tu dis oui Monsieur à chaque fois…

Tu as compris ?.

Au bord des larmes, elle répondit un "oui… Monsieur" presque imperceptible.

Bon, je vais te faire prendre une douche… Il prit dans sa poche la clef de sa laisse de cou, l'ouvrit, puis lui demanda de le suivre…

La douche dura assez longtemps, il prit un malin plaisir à lui savonner l'entrejambe… Elle était parfaite, le cul bien saillant, une chute de reins splendide, des jambes magnifiques…

Il allait prendre un sacré plaisir en la remplissant de spermes…

 

 

 

 

Il l'a ramena aussitôt dans la chambre des tortures, puis rattacha sa laisse.

Il descendit le trapèze du plafond. Aux quatre extrémités pendaient des cordelettes d'environ dix centimètres sur lesquels étaient fixés un bracelet de cuir sur chaque. Il les régla à la bonne dimension, puis les lui fixa à l'extrémité de chaque membre…

Vint le tour de la fixation du harnais passant au tour de la taille, il serra les sangles de la guêpière en cuir au maximum, puis attacha sur celui-ci le câble principale chargé de la maintenir en hauteur.

La gamine en croix, les membres écartées au maximum était à sa disposition. Elle ne pouvait plus bouger du tout…

Lui par contre pouvait manœuvrer la machinerie comme il le voulait…

Il éleva la fillette à trente centimètre de hauteur, puis régla les cordes reliant les chevilles de façon que la petite se retrouve les jambes en l'air, cuisses écartées en grand…

Le panorama lui plaisait, les bras étirés en arrière, jambes écartées, relevées.

Son cul et sa chatte était offert au maximum, juste à la hauteur de sa bitte…

Il pouvait travailler ses orifices comme il le désirait, et à volonté lui rentrer tout les instruments qu'il désirait.

Bon lui dit-il, je vais d'abord te faire un lavement… Il prit les accessoires préparés, glissa une bassine spéciale au niveau des fesses de la fillette. Puis il remplit d'eau froide un grand récipient en verre transparent muni d'un grand tuyau en caoutchouc sur lequel avait été rajouté une grosse canule en plastique, muni d'un tout petit robinet.

Le liquide qu'il mélangea patiemment à l'eau froide avait une couleur jaune de consistance épaisse… De la moutarde… Pour activer un petit cul, il n'avait jamais rien trouver de mieux… Il allait l'entendre gueuler de souffrance…

En plus comme lavement c'était radicale. Il fallait la vider de toute sa merde,

un premier lavement maintenant, puis si c'était nécessaire un autre dans environ huit heures allait permettre de nettoyer tout ça…

Pour son premier enculage il fallait qu'elle soit libéré de son caca, sa bitte irait plus loin, tout au fond, là ou ça faisait le plus mal…

A partir de maintenant elle serait à jeun pendant quelques jours, juste son sperme comme boisson et nourriture…

Elle resterait en extension en hauteur de nombreuses heures, ses muscles ne travaillant plus allaient se ramollir un peu, cela faciliterait les pénétrations annales et vaginales de tous les instruments, même du sien…

Le bâillon pour ne plus l'entendre gueuler de douleur était prêt, un tampon de gaze dans la bouche et un morceau de sparadrap sur la bouche feraient l'affaire.

Mais pas pour l'instant, il voulait d'abord entendre sa petite voix de femelle de huit ans hurler de douleur, c'était trop bon…

La fillette tremblante et horrifiée la regardait faire ses préparatifs, ne comprenant pas ou il voulait en venir… 

 

 

 

Le mélange de couleur jaune moutarde était prêt, il attacha en hauteur le récipient en verre et amena la canule sur l'orifice annale de la môme, puis poussa l'engin à l'intérieur de son trou du cul, à fond dans son intérieur…

Aucune difficulté, en extension et ouverte comme elle était, il aurait pu rentrer ce qu'il voulait…

Il ouvrit le petit robinet se situant sur la partie de la canule non rentrée dans l'anus… Le système des vases communicants aidant, le récipient se vidait lentement, et le petit cul se remplissait en même temps…

Il lui restait à s'occuper de sa chatte et de ses minuscules tétons…

Le tube de pommade révulsive allait faire l'affaire… Pour commencer…

Il répandit une très belle noisette de pommade sur toute la longueur de sa chatte, l'ouvrant très légèrement, puis surtout en recouvrit l'endroit ou se trouvait le clitoris de la gamine.

Il fit de même pour ses tétons, les recouvrant complètement… Dans quelques minutes elle allait commencer à "chauffer"…

Il alluma son caméscope, l'image enregistrée était aussi diffusé sur un petit écran de télévision en couleur… Le réglage était bon, l'image parfaite. L'objectif grand angle, fixé en hauteur prenait toute la scène, sans rien omettre…

Il avait l'habitude… C'était la huitième fillette…

Il n'eut pas longtemps à attendre, deux minutes après la petite fille commença à pleurer…

Le récipient en verre se vidait doucement, déjà un quart de litre était parti dans le ventre de la gosse, la moutarde agissait…

La petite se trémoussait en pleurant de douleur.

Ce n'était encore pas assez pour lui. Il prit deux pinces à seins, les lui fixa sur chaque minuscule téton recouvert de pommade…

Elle hurla aussitôt.

Les mâchoires des pinces écrasaient très fortement chaque bout…

Elle le suppliait d'arrêter, ses cris commençaient à l'exciter.

Il bandait de plus en plus… il changea d'idée, après tout, pourquoi ne pas la baiser par devant maintenant… La dépuceler tout de suite, se payer le menu du roi, comme il disait…

Pendant que le lavement la remplissait par derrière, pourquoi ne pas la remplir par devant, en même temps…

Avec le travail que faisait la moutarde par derrière il devait pouvoir s'amuser par devant…

Il se mit à genoux sur le lit, entre ses jambes. Super, juste à la bonne hauteur.

Le tuyau qui remplissait son petit cul ne le gênait absolument pas pour la saillir par devant.

Sa queue se positionna juste à l'entrée de son vagin. Traçant son sillon avec sa verge dure pendant quelques minutes, il ramena pas mal de pommade révulsive sur son gland, celle-ci le chauffa rapidement, l'excitant encore plus…

Maintenant, la fillette hurlait de douleur, elle appelait sa maman continuellement en pleurant…

Il adorait… Ces petites salopes étaient toutes les mêmes, d'abord Maman ou papa avant d'être travaillé…

Pendant qu'elles jouissaient, il n'y avait plus d'appel au secours…

Juste : " C'est bon Monsieur…Encore… Oui c'est bon… Continuez…".

Il appuya à l'entrée du vagin déjà remplit de pommade. Doucement d'abord, de plus en plus fort… Puis sans ménagement il poussa à fond…

Le gland de sa bitte fut avalé d'un seul coup par la petite chatte… 

Elle hurla encore plus fort, un cri strident… Puis plus rien… Le silence complet.

Les yeux grands ouverts regardant le plafond, la fillette ne pleurait plus, surprise par la pénétration, elle avait eu trop mal…

C'était super, chaud et très serré comme il aimait. L'expression "aller au joints était on ne peut plus vrai…". Et là le joint était parfait…

Les tissus du vagin étaient vraiment très élastiques, la nature avait tout prévue.

Il essaya de bouger sa bitte, tirant, poussant légèrement… La gamine en suspension suivait le mouvement. Il mit ses deux mains sur ses petites hanches, l'immobilisa, puis recommença à bouger. Sa queue rentra un peu dans son vagin, puis ressortit… Il la tringlait sur environ cinq centimètres, ce n'était pas beaucoup. Il poussa encore plus dans son ventre, fortement… Elle gémit à nouveau, il gagna encore cinq centimètres… Il y était, le besognage était efficace, dix centimètres coulissait normalement dans sa chatte.

Elle n'était plus vierge…Il s'en assura en ressortant complètement sa queue de la petite fille, un peu de sang ressortait de sa chatte. Il l'avait dépucelé…

Ce n'était pas le moment d'arrêter, il replongea dans son intimité, la besognant plus rapidement, taraudant son petit trou à fond, c'était génial…

Aucune chatte de femme ne pouvait donner autant de plaisir à un homme que celle d'une petite fille. Un vrai paradis…

En même temps qu'il la travaillait, ses mains parcouraient son corps, ses tétons étaient devenus tout violacés. Il retira les pinces à seins, puis joua avec ses bouts un bon moment, les roula, les tira, les écrasant avec ses doigts…

Elle ne pleurait plus, réagissant juste en gémissant lorsqu'il lui faisait trop mal.

Elle devait être complètement insensibilisé par le lavement de moutarde…

Il n'en restait plus beaucoup dans le bocal, son petit trou du cul avait presque tout avalé…

Il lui roula délicatement le clitoris, le tirant, le titillant… Son bourgeon s'était développé considérablement en quelques minutes, plus rien à voir avec celui d'avant…

Pendant près de dix minutes, il la tringla, caressant son clitoris…

Il connaissait la musique, aucune fillette ne pouvait résister longtemps à ce jeu.

Une petite fille était avant tout une femelle, les instincts en sommeil se réveillait lorsque le clitoris était excité…

Les premières réactions de jouissance de la petite se firent ressentir…

Ses yeux devirent pétillants, puis les premiers gloussements.

 

La petite salope commençait à prendre son pied…

Il l'activa encore plus, rentrant sa queue encore plus profondément, tirant assez fortement avec ses doigts sur son petit bourgeon de chair, c'était magique, la souffrance était court-circuitée, supprimée, partie, envolée…

Il ne restait que le plaisir… La petite bougeait de plus en plus, se trémoussant, gesticulant, gémissant de plaisir…

Sa première "monte"…

Elle n'allait pas tarder à recevoir sa première dose de sperme…

Il hurla, de plaisir, puis se répandit dans le ventre de la petite fille…

De nombreuses giclées, longues et généreuses…

Surprise, elle ouvrit ses yeux très grands, en attente de remplissage, comme toutes les femelles, profitant de l'instant présent au maximum…

Et puis une seule petite phrase magique : " Oh… C'est chaud… ".

En pleine éjaculation il retira la canule de lavement mise dans son postérieur.

Le liquide commença à ressortir de l'anus, un jet continu d'eau, de moutarde et de merde se répandit dans le grand récipient installé sous les fesses de la fillette.

Elle fut surprise un peu plus, elle fit juste entendre un : " Oh…".

Puis elle se détendit à fond, se laissant remplir et vider en même temps…

Le bruit que faisait le liquide en coulant dans la grande bassine en plastique le comblait énormément… Un jet continu d'eau et de moutarde, pendant de longues secondes, puis un bruit plus mat interrompait la régularité du son…

Un petit paquet de merde venait de tomber dans la bassine…

Et puis le jet reprenait, jusqu'au prochain petit paquet de caca…

La gamine de huit ans se vidait du cul, se répandant complètement…

Son éjaculation étant fini, il se retira de la petite, la bitte recouverte de sperme et de sang mélangé…

Il écarta les lèvres de sa chatte, le sperme légèrement rougit ressortit, coulant sur ses cuisses. Elle était pleine de jutte.

Il contempla aussi, sous elle, la bassine à moitié remplie… Drôle de mélange.

Il attendit patiemment que ses intestins soient vides, retira la bassine, alla la vider.

Puis il lui fit un brin de toilette, nettoyant à l'eau claire sa chatte et son trou du cul, retirant aussi la pommade sur ses tétons…

Bon lui dit-il, je vais peut être te laisser dans cette position quelques heures, je reviendrai te voir demain. Il faudra que tu fasses tout ce que je te dirai, sinon…

Les yeux horrifiés, elle acquiesça d'un signe de tête. Maintenant elle savait de quoi il était capable…

Il partit, quittant la chambre des tortures, refermant la porte à double tour derrière lui…

 

Déjà vingt quatre heures… Portant un slip comme seul vêtement, il ouvrit doucement la porte. La gamine ne dormait pas, elle le regarda aussitôt…

Un regard très inquiet…

 

Bonjour, Emmanuelle. Es tu prête à faire tout ce que je te dirai, sans exception ?.

 

-         Oui Monsieur…

-         Bien dans ce cas je te détache tout de suite, mais attention, au moindre refus de ta part, je te fouette et t'attache à nouveau en suspension pendant trois jours… Tu es d'accord ?.

-         Oui Monsieur….

 

Pour le lavement, on laisse tomber, un seul suffira. Comme tu ne mangeras pas pendant quelques jours, tes intestins resteront vides.

Je vais juste te faire boire ma pisse comme boisson, et ta seule nourriture sera mon sperme. Tu es d'accord Emmanuelle ?.

 

La gamine tremblante, les yeux écarquillés en grand comprit qu'elle ne pouvait pas dire non…

 

-         Oui Monsieur…

 

-         Très bien, je veux juste entendre ça… Sinon le fouet…

 

Cela ne lui prit que quelques minutes pour la faire redescendre et la détacher du harnais, puis des sangles qui l'immobilisait.

Il la fit mettre à genoux, en profita pour lui fixer sa laisse de cou…

 

Elle était juste à la bonne hauteur, son visage à trois centimètres de son slip…

Il voulut savoir si la fillette avait compris le message, si elle était réellement soumise entièrement…

 

-         Emmanuelle, met ta bouche sur mon slip, et lèche le, juste ou il y a la bitte…

 

Les vingt quatre heures de souffrance en suspension avaient fait leurs effets… Elle s'exécuta tout de suite, sortit sa petite langue, puis commença son travail de lèche… 

 

Quelques minutes après, il fit passer sa queue en érection hors du slip.

La fillette comprit aussitôt, engouffrant immédiatement la bitte bien dure dans sa petite bouche…

 

 

 

Il s'assit jambes écartées… Pendant dix minutes la petite fille lui lécha et suça la queue, plutôt mal que bien. Il la reprit plus de dix fois, lui disant comment il fallait faire. La môme se remit à pleurer… Il ne supporta pas plus de dix secondes, d'un coup de fouet énergique sur les fesses il lui ordonna d'aller s'allonger sur le lit, cuisses et bras écartés. Secouée par des saccades de pleurs incontrôlables elle s'allongea rapidement. Elle venait de comprendre son erreur….

 

 

                                                                                                                                    Les supplices

 

 

Il l'attacha solidement. Des cordelettes reliées à des bracelets en cuirs aux quatre coins du lit la maintenait immobilisés, bras et jambes écartées…

 

-         Petite fille, je vais te donner en détail le menu de tes supplices…

 

-         Tu vas souffrir petite salope, tu vas avoir très mal, la souffrance extrême… Déjà tes tétons… Ce n'est pas des seins que tu as, je vais te les étirer très fortement, te les faire tripler de volume. A coup de badine te les rendre tout violacés, puis te les percer avec de très longues aiguilles…

Te les travailler à l'électricité, ensuite te les piquer à l'acide.

Dans quelques jours, tu ne les reconnaîtra pas, tu verras…

 

Puis viendra le moment sublime…

Le découpage en fine rondelle avec la machine que j'ai fabriqué exprès pour les petites filles…

Une ancienne machine à découper le jambon, modifié par moi…

Tu verras comme je fais de belles petites tranches de sein de gamine…

 

Viendra le tour de tes petites fesses, martelé à grands coups de bâton,

ou de fouet à boules métalliques, piquées à l'acide… Le tout bien sur en étant sodomisé par une bitte en caoutchouc géante…

Une derrière… Une devant…

Comme ta maman aime… Mais en plus gros…

Je veux que tes trous s'écartent au maximum, comme jamais une petite fille n'a été écartée…

Et enfin le découpage de chaque fesse en fine lamelle, toujours cette fameuse machine à jambon… La machine tourne tellement vite que tu ne ressens aucune douleur… Sur le moment…

Je te ferai goutter une petite tranche grillée, tu verras comme c'est bon une tranche de sein ou de fesse de petite fille…

La machine n'existait que don son imagination, elle faisait de l'effet à chaque fois… La gamine était terrifiée… Le but recherché était atteint.

Mais avant, il y avait d'autres raffinements, des  supplices sexuels fantastiques, inédits, des véritables saloperies réservé uniquement pour les petites filles…

 

 

Il se mit à califourchon sur elle, sortit sa bitte et ses couilles de son slip…

" Tu ouvres ta bouche petite salope, et tu suces ma queue …"

La gamine s'exécuta rapidement, elle ouvrit en grand, ses lèvres se refermèrent sur son sexe… La fillette fut un peu rassuré, si il n'y avait que ça… Elle l'avait déjà fait…

C'était sans compter sur l'ingéniosité et la dégueulasserie du mec…

Il attendit plusieurs longues minutes, faisant coulisser sans arrêter son membre dans la petite bouche.

C'était génial, chaud, humide en même temps…

Avec sa main gauche il saisit un des instruments préparés, mis bien en évidence sur la table de nuit… Une simple pince à linge…

D'un geste précis et rapide la pince en bois se retrouva sur le nez

d' Emmanuelle, enserrant ses deux narines, l'obligeant à respirer uniquement par la bouche. Elle comprit rapidement le problème… Le sexe dans son orifice buccal prenait beaucoup de place, l'air pour respirer ne pouvait maintenant venir que de la bouche, seulement de la bouche…

Pour prendre un peu mieux sa respiration, elle essaya d'ouvrir à fond…

Elle y arriva sans problème… Il n'attendait que ça.

Sa bitte bien dure s'engouffra à fond dans son petit gosier, jusqu'au plus profond de la gorge de la petite fille…

Elle commença à manquer d'air, suffoquant immédiatement, se trémoussant de tous côtés. Les liens immobilisant ses quatre membres tenaient bon.

Le visage horrifié de la fillette le faisait jouir, le rythme cardiaque de la suppliciée s'accéléra très rapidement, des spasmes secouaient tout son corps.

Au bout d'une minute, elle manquait d'air, au bord de l'asphyxie, les yeux à l'envers… Le visage de la petite salope devenait tout bleu…

Encore une minute… Juste pour savourer le moment…

Puis encore une autre minute… Il maintint sa verge au fond de sa gorge…

Juste avant qu'elle ne s'évanouisse, il retira sa pine…

Elle respira un grand coup, à fond…

Son rythme cardiaque s'était accéléré à un point incroyable…  Il voulait profiter de ces instants magiques…

Il retira les bracelets qui immobilisaient ses chevilles, lui mit en hauteur ses deux cuisses, les faisant reposer chacune sur une de ses épaules…

Sa bitte bien dure appuya aussitôt sur l'entrée de son sexe…

Il appuya à fond, sans aucun ménagement… Quel plaisir… La petite salope haletait toujours, essayant de reprendre son souffle et ses esprits…

Son bas ventre forcé s'ouvrit aussitôt… Il poussa à fond dans le vagin…

Un viol parfait, sans lubrification, ni jouissance de la fillette…

Très dur à rentrer, comme il aimait…

Il rentra tout, à fond, jusqu'aux couilles…

 

Entre deux respirations, haletant toujours, elle fit entendre un gémissement de douleur, monstrueux, aigu et perçant…

Quel bonheur, que c'était serré et chaud… Rien n'équivaudrait jamais le plaisir de pénétrer une petite fille de huit ans…

Le vagin s'ouvrait sans problème, l'anus aussi…

Les gaminettes à cet âge pouvaient tout apprendre, sans comprendre…

Il pouvait tout faire avec la petite, c'était son jouet à lui… Aucune gêne à avoir, aucune précaution à prendre, le viol physique et psychologique, sans consentement, l'idéal… La soumission totale dans la souffrance.

 

Il commença à tringler l'enfant femelle supplicié, sans ménagement…

Elle haletait toujours… Quel plaisir, on aurait pu penser que c'était du à la jouissance de la bitte qui rentrait et ressortait de son vagin.

Pendant cinq minutes il la pratiqua sauvagement…

Elle commençait à se calmer un peu, La lubrification de son vagin se faisant, la petite salope commençait presque à apprécier sa pénétration, sa respiration redevenait presque normale. Tout à coup elle se remit à pleurer…

D'une main il alla chercher d'autres instruments sur la table de nuit…

Deux pinces à seins… Immédiatement placés sur chaque téton…

L'horreur, un cri inhumain de douleur… Sublime…

Les mâchoires des instruments rentraient tellement dans la chair que les bouts des tétons devinrent très rapidement déformés et violacés.

Elle hurlait de douleur… Trop de cris pour lui… Il allongea son bras et reprit sur la table de nuit un morceau de sparadrap autocollant préparé à l'avance.

La bouche de la gamine fut rapidement recouverte et obstruée…

La pince à linge toujours sur le nez, la petite fille ne pouvait plus respirer à nouveau…

Sa bitte se dégagea rapidement de son vagin, visant maintenant son trou du cul, il poussa sa verge sur l'anus de la petite fille…

Le visage horrifié de la fillette suppliciée, devint à nouveau tout rouge, puis commença à virer à nouveau sur le bleu…

Il attendit encore une minute, puis il retira la pince à linge du nez…

Elle respira un grand coup, puis se remit à haleter…

Il en profita pour pousser sa bitte sur son anus à fond, il l'encula d'un seul coup, lui défonçant presque le trou du cul.

Le soubresaut qu'elle fit fut inhumain…

Il rentra le maximum qu'il pouvait… Quel cul sublime…

Il la besogna durement pendant quelques minutes. Elle ne pleurait plus, ayant enfin compris que cela ne servait à rien, et surtout que cela pouvait être pire pour elle.

Il se retira d'elle d'un seul coup…

 

Il lui parla aussitôt : " Bon petite salope, je vais te détacher, tu vas venir me sucer la bitte, tu avaleras toute mon sperme, sans en laisser, surtout en t'appliquant, sinon je recommencerai à te torturer…".

Il retira le sparadrap placé auparavant sur sa bouche, retira les pinces à seins, ce n'était pas beau à voir… Ses tétons étaient tuméfiés, tout violets.

Après avoir retiré les attaches des poignets, il s'assit cuisses écartées sur le seul fauteuil du local. Pendant quelques minutes il lui laissa reprendre son souffle, puis il lui parla : " Bon quand je t'appellerai, tu viendras aussitôt entre mes cuisses… Tu sais ce que tu aura à faire ?…"

La réponse ne se fit pas attendre, un : " Oui Monsieur", tout tremblant et apeuré… La petite salope avait compris…

L'instant d'après la fillette à genoux entre ses cuisses s'emparait avec sa bouche du membre tout mou…

Elle s'appliqua aussitôt, pipant avidement le sexe.

Quelques minutes après, la bouche de la petite fille travaillait une belle bitte, bien dure…

Il la prévint : " Cela va sortir, tu avales tout, sans qu'il en ressorte, sinon je te torture à mort…".

Le sperme sortit… La bouche de la petite se remplit par jet successif…

Les yeux horrifiés, elle déglutit régulièrement, avalant tout sans aucune discussion.

Enfin… Elle était soumise et souillée comme il le désirait.

Elle l'avalait, le vidait sans rien laisser. Le sperme ressortant légèrement sur ses lèvres le ravissait. Quel plaisir indescriptible, une petite fille de huit ans soumise lui vidait les couilles.

Il lui donna l'ordre de ne plus avaler… Il fallait qu'elle garde le sperme dans sa bouche. La "gaminette" s'exécuta, elle bloqua les dernières giclées de jutte, les laissant dans sa cavité buccale…

Epuisé, il retira sa pinne, demandant aussitôt à Emmanuelle d'ouvrir sa bouche en grand, le plus grand possible…

Il s'approcha… Quel spectacle magnifique, le liquide blanc et onctueux recouvrait la langue, toute l'intérieur de la cavité était tapissée de crème, même le fond de sa gorge en était recouvert.

Avec autorité il lui demanda de faire tourner le foutre avec sa langue, ainsi que de l'amener délicatement sur ses lèvres, de faire comme si c'était une espèce de rouge à lèvres liquide…

Il contempla la petite salope faire tourner sa langue avec le liquide onctueux, puis elle en recouvrit ses deux lèvres, finalement elle fit le geste qu'il attendait, ce que toutes les connes font avec leur rouge à lèvres, pour mieux l'étaler…

Il continua à lui parler…

C'est pas mal… Maintenant tu laisses ta bouches ouverte en très grand, ta tête en arrière, quand je te le dirai tu avaleras par petite quantité la jutte…

Mais attention… La bouche grande ouverte, sans la fermer…

Tu laissera le liquide couler dans ta gorge et l'avalera délicatement.

Si tu fermes ta bouche une seule fois, je te punis aussitôt…

Il s'approcha ses yeux de sa cavité buccale, son regard contemplait le spectacle… Il lui donna l'ordre de commencer…

La petite putte, toujours à genoux, la tête complètement en arrière déglutit une première fois, le liquide coula doucement dans sa gorge, la bouche ne pouvant pas se fermer produisait un doux bruit de raclement… Le liquide onctueux se plaçait tout seul au fond de sa gorge, coulant délicieusement dans son gosier…

Elle se forçait pour déglutir, sa bouche ouverte en grand.

Impression sublime… Il contempla longuement sa semence glisser dans le petit gosier…

Bon c'est bien… Tu peux arrêter…

La gamine redressa la tête.  Le spectacle le ravissait, le bas du visage, du nez au menton était recouvert de sperme. Les yeux de la fillette avait une expression bizarre, un mélange de peur et de soumission.

Bon maintenant tu nettoies ma bitte avec ta bouche et ta langue, je ne veux pas qu'il reste une seule trace de jutte…

Elle engouffra à nouveau le membre plus vraiment virile dans sa bouche, pipant automatiquement sans qu'il lui dise… Les fillettes étaient vraiment faites pour ça, l'automatisme des femelles… Ouvrir leurs cuisses à fond et pratiquer une fellation aux mâles étaient inclus dans leur programme génétique.

Elle nettoya correctement, s'appliquant à faire disparaître toutes traces de sperme en pipant. Puis ressortant la queue, elle lécha le membre redevenu très viril, pratiquant de longues passes, langue ressortie à fond, des couilles au gland…    

Epuisé, il se laissa faire, savourant de longues minutes…

Il lui donna l'ordre d'arrêter, de se relever puis de se retourner, jambes écartées en grand… Puis bras en l'air… Il la testait…

Elle s'exécuta au quart de tour. Elle était devenue son esclave sexuelle, le jouet de ses désirs…

Il lui demanda d'aller s'asseoir sur le bidet…

Il accrocha les attaches des bras, puis des jambes…

Sublime… Les bras emprisonnées en hauteur, les jambes maintenues écartées à fond, attachées par des bracelets de cuirs aux cuisses, le cul entièrement dans le bidet…

Il ouvrit le robinet… L'eau envahit la petite cuvette, recouvrant bientôt complètement le soubassement de la suppliciée.

Le cul et sa chatte entièrement dans l'eau froide, sans possibilité de bouger…

Il ferma un peu le robinet, il fallait régler le débit de l'eau pour que son cul reste entièrement dans l'eau… Sans que cela déborde, bien sur…

 

Il s'assit sur son fauteuil et attendit… Pendant cinq minutes il ne se passa rien, cela devait même lui faire du bien, lui rafraîchir sa chatte et son cul nouvellement défoncés…

Et puis l'eau rafraîchissant peu à peu ses petits trésors, elle commença à avoir froid… De plus en plus froid…

Tremblante de froid, tout son petit corps secoué par des spasmes…

Dix minutes après, les tremblements s'accélérèrent , elle se remit à pleurer…

Il la laissa faire, c'était même agréable à ses oreilles…

Comme pour les autres, il voulait qu'elle le supplie…

Cela arriva rapidement… Dix minutes après elle le suppliait en hurlant,  lui demandant d'arrêter, elle ferait tout ce qu'il voudrait…

Que c'était bon… La petite salope devenait toute blanche, la chaire de poule sur tout le corps…

Comme pour les autres enfants, il se releva de son fauteuil, puis se mit à califourchon sur elle, bitte au niveau de sa bouche.

Elle comprit d'elle même très rapidement, engouffrant son sexe aussitôt…

Elle pipa frénétiquement la bitte bien chaude…

Il eut un peu pitié d'elle, il lui dit  :

" Bon je vais te donner une boisson chaude… Cela va te réchauffer un peu…

Tu vas laisser ouvert ta bouche en grand, je vais pisser dedans…

Je veux que tu avales tout, si tu ne le fais pas, je te laisse sur le bidet jusqu'à ce que tu t'évanouisses. Si tu avales tout, j'arrête l'eau aussitôt après, et je te réchauffe".

Il retira sa queue de la cavité buccale…

Aussitôt, la gamine effarée, les yeux exorbités d'horreur ouvrit en grand…

La bitte à trois centimètres de sa bouche, il ne pouvait que viser juste…

Un jet de pisse drue et continue, s'engouffra au plus profond de sa gorge…

Elle avala immédiatement… Elle y mettait une bonne volonté évidente,

il n'en ressortait pas beaucoup…

Pisser dans la bouche d'une fillette soumise, et qui avalait tout, lui procurait  à chaque fois une jouissance extrême…

Surtout la déglutition, comme pour le sperme, il adorait voir la petite gorge soumisse se contracter, puis avaler tout le liquide, en faisant un doux bruit…

Soulagé de toute sa pisse, il se retira de sa bouche…

Elle l'implorait du regard… Allait-il tenir sa promesse ?.

Il la détacha rapidement, lui donna l'ordre d'aller se coucher dans le grand lit… Elle s'y précipita immédiatement, tout en tremblant…

Tout nu, il la rejoignit aussitôt…

La température de la petite, était énormément tombée… Elle ressentit la chaleur de son corps et se blottit immédiatement le dos contre lui…

Il la laissa faire, l'enserrant même de ses bras, entremêlant ses cuisses avec les siennes, queue contre cul… Elle était "gelée"…

La suppliciée était dans le lit de son bourreau, soumise et consentante…

Ils s'endormirent rapidement…

 

Il se réveilla en sursaut… La fillette dormait calmement dans ses bras.

Elle était réchauffée, chaude à souhait pour de nouveaux supplices…

Sa queue bandante vint se placer sur son anus… Il poussa doucement.

La fillette se réveilla juste au bon moment, celui de son enculage…

 

Elle n'eut pas le temps de réagir. Tout en la maintenant serrée contre elle, maintenue par ses jambes, ses bras l'emprisonnant fermement. La bitte vint appuyer sur l'anus fermé de la petite fille. Il appuya sans ménagement sur l'entrée du petit trou du cul…

La gamine comprit vite ce qui se passait, cherchant à se dégager par tous les moyens, commençant à pleurer, la fillette ne put rien faire… Elle hurla de douleur lorsque la queue l'encula à sec…

Le gland était bien rentrée, bien au chaud, serré au maximum…

Elle pleurnichait… C'était génial, les spasmes des sanglots se transmettaient à sa verge… Cela l'excitait encore plus…

Il lui parla : " Ecoute petite enculée, si tu ne te laisses pas faire, je te rattache sur le bidet toute la journée, par contre, si tu arrête de chialer, je te baise rapidement…Après je te donne quartier libre presque toute la journée.

Tu as compris petite salope ?. ".

Un "oui Monsieur" imperceptible et entrecoupé de sanglot sortit de la gorge de la suppliciée.

Il la besogna pendant plus d'un quart d'heure, à fond dans son petit cul, jusqu'aux couilles…

Sur le lit il l'écarta, la cambra dans énormément de postures, à la limite du supportable. La petite enculée était incroyablement souple, un vrai plaisir…

Puis il déchargea son foutre dans son intimité anale…

Sa vide couille faisait l'affaire, du moins pour l'instant…

 

 

Il tint parole, elle eut "quartier libre"… Il attacha la laisse de cou sur la gosse, cinq mètres de chaînes lui permettait de se déplacer dans toute la pièce et de faire ce qu'il lui avait ordonné…

 

-         Bon, tu prends une douche, et sans faire semblant, je contrôlerai après si tu est bien propre. Ensuite tu va choisir un slip à dentelle ainsi q'une tunique, tu la mets. Puis tu regarderas tous les ustensiles sexuelles sur les étagères. Je veux que tu les connaisses, que tu les prennes en main… Car tu va tous les essayer un par un, dans ton petit cul ou ta petite chatte…

 

Il "l'aida" à choisir un slip à dentelle de couleur bleue…

 

La gamine resta prostrée sur son lit toute l'après-midi.

Il l'obligea à regarder la télévision… Magnétoscope oblige, des k7 de film X… Elle rougissait très souvent au spectacle de petites filles se faisant baiser par lui… Car sur l'écran c'était bien lui… Toute sa collection personnelle y passait…

 

Elle réagissait surtout aux sodomie… Le spectacle de petites filles se faisant enculer sous ses yeux la perturbait incroyablement. Les gamines se faisaient défoncer le postérieur sans ménagement, hurlant de souffrance, pleurant sans arrêter… Le montage vidéo était bien fait, une à une les fillettes se faisaient remplir le cul dans toutes les positions imaginables…

Puis vint les scènes de fellation,  des petites femelles, toutes plus belles l'une que l'autre lui vidaient les couilles, une des gosses ne devait pas avoir six ans, la plus âgée ne dépassait pas les onze ans. Toutes les techniques y passaient…

Les petites, apeurées se remplissaient la bouche, faisant des efforts désespérés pour ne pas recevoir un coup de martinet à boules métalliques.

Engin que l'homme menaçant tenait de sa main droite…

Elle avalait tout à la perfection, sans rien laisser, les expériences malheureuses devaient les avoir marquées…

C'était ça ou les supplices recommençaient…

 

En début de soirée il arrêta brusquement la séance de cinéma, il l'invectiva…

 

-         Petite salope, j'espère que tu as compris ce qu'il faut faire pour me faire plaisir. En somme c'est simple, tu dois faire tout ce que je te demande à la perfection, sans rechigner, ni marquer aucun mécontentement. Si tu veux me parler, tu lèves le doigt et tu attends le temps qu'il faut que je te réponde… Bien sur si je veux… Tu es en période de soumission totale, c'est à dire que pendant le temps que durera ton traitement, tu dois apprendre à ne plus dire non… Lorsque tu sera entièrement soumise, tout redeviendra normal… si cela ne va pas les supplices reprennent pour te corriger.

 

La gamine en baissant les yeux leva un doigt timidement… Elle avait quelque chose à lui demander…

 

-         Va y je t'écoute…

 

" Monsieur, j'ai soif et faim, et puis j'ai envie de faire pipi".

 

 

-    Pour la faim, c'est non, tu dois rester sans manger pendant encore 3 jours.  Je veux que tes intestins soient vides…

Pour mieux les remplir à ma façon…

Tu verras c'est spécial… La seule nourriture que tu auras, c'est mon sperme… Deux ou trois doses par jour à avaler, je te conseille de ne pas en laisser, tu aspires à fond à chaque fois et tu n'auras plus faim.

Pour la soif, tu aura le droit de boire un verre d'eau à chaque fois que tu auras avaler toute ma pisse…

Pour ton pipi, tu pisses dans le bocal en verre au pied de ton lit… Si tu as soif dans la journée ou la nuit, tu bois ton urine…

Au passage je te demande de faire caca dans le plat en métal au pied de ton lit… Celui qui a une cloche hermétique… Tu chies sur le plat et tu remet le couvercle métallique dessus… Tu verras pourquoi par la suite.

 

-         Bon si tu veux faire pipi ou caca, tu peux maintenant… Je te regarde faire.

 

La gamine les yeux hagards, se leva doucement de son lit, puis se dirigea immédiatement au pied de celui-ci, elle s'accroupit… Rapidement un doux bruit de jet de pipi de petite fille se fit entendre, sonore et cristallin. Résonant sur la paroi de verre du flacon de verre, telle une pisse dans un pot de chambre, mais en plus mélodieux…

 

Il ne lui laissa pas trois secondes de répit…

 

-         Bon maintenant tu vas boire un coup à mon robinet… Tu te met à genoux dans la douche, et tu ouvres la bouche et tu bois… Je vais te pisser dedans, mais juste après je vais te pisser dessus, partout, sur ton visage et tout ton corps… Et tu as intérêt à te laisser faire sinon…

 

Il avait pris en main son sceptre de roi des salauds…

Le fouet à boules métallique menaçait la fillette…  

 

Apeurée et vaincue, avec sur le visage une expression de lassitude extrême la fillette se dirigea d'un pas très lent vers la pierre en marbre blanc de la douche. Elle s'agenouilla, ferma les yeux et ouvrit sa bouche en grand.

 

-         Je veux que tu gardes les yeux ouverts pendant que je t'inonde de pisse, si tu les fermes, tu auras droit à une journée de supplices, et surtout n'oublie pas, tu bois tout ce que je te mettrais dans la bouche, sinon…

 

Elle ne mit pas une seconde à réouvrir ses yeux.

 

Rapidement il fut à côté d'elle… Sa bitte en main, il visa en premier sa bouche… Le jet dru et jaune clair frappa directement le fond de sa gorge

 

Les yeux exorbités, terrorisée la petite fille se laissa remplir la bouche…

Elle comprit très rapidement que l'urine allait ressortir… Il fallait qu'elle avale vite… Sa gorge se contracta une fois, puis une autre dans un bruit qu'il adorait…Elle déglutissait, avalant la pisse tiède… Doux bruit de gorge de fillette avalant la pisse d'un mâle.

 

Il estima au bout de quelques secondes qu'elle était rassasiée. Il mania sa queue de façon que le jet change de direction, d'abord en pratiquant de petits cercles dans sa bouche, puis de plus en plus grands…

 

-         Ouvre très grand salope et n'avale plus, garde la pisse dans ta bouche…

 

Le jet d'urine remplit rapidement la cavité buccale de la môme, rapidement la pisse commença à couler sur son menton, puis sur sa poitrine…

 

Il visa le haut du visage… Le jet frappa son front en premier. Puis continuant à manier son robinet en tournant, élargissant le cercle, aucune partie du visage ne fut épargnée…

La fillette faisait des efforts incroyables pour garder les yeux ouverts, la pisse lui piquait les yeux… Elle les ferma plusieurs fois…

 

Maintenant il jouait avec sa queue, aucun endroit de son corps ne fut épargné… La petite salope était souillée entièrement, et toujours sa bouche

grande ouverte remplit d'urine…

 

La vessie vidée entièrement le jet s'arrêta…

 

-         Bon tu peux avaler la pisse

 

Le doux bruit de gorge se fit entendre à nouveau… Trois…Quatre fois… La gamine avala tout…

 

-         Bon maintenant je vais te donner ta nourriture, une bonne dose de sperme…

 

Il la prit par la main et alla s'asseoir sur le seul fauteuil installé dans la pièce. La gamine fut installée à genoux entre ses cuisses grandes ouvertes…

 

-         Tu sais comment faire, à toi de jouer…

 

Emmanuelle contempla la bitte toute molle encore mouillée de pisse à quelques centimètres de sa bouche. Elle comprit immédiatement, saisit la verge entre ses lèvres et commença à piper doucement…

 

C'était génial, il se détendit d'abord un maximum, son chibre tout mou à l'intérieur de la bouche de la petite salope… Elle faisait bien son boulot, la petite bitte molle était bien mouillée, le mouvement de va et vient se faisait régulièrement, le petit bout était serré comme il fallait, sans trop de pression.

Le miracle se fit rapidement…En moins d'une minute la queue prit de l'ampleur et par conséquent du volume et de la longueur…

Quelques instants après la petite fille faisait travailler avec ses lèvres une bitte de belles dimensions…

 

La fillette regardait son bourreau prendre du plaisir, il gémissait tout haut… L'orgasme n'était pas loin…

 

-         Avale salope…

 

Le premier jet la surprit un court instant. Elle venait de prendre une première giclée de jutte dans sa bouche…

Une deuxième, puis une troisième… La gorge de la petite fille se contracta un instant, puis elle déglutit enfin… La gosse prenait son repas…

 

Pas une seule goutte ne ressortit… Elle aspira le tuyau de nombreuses minutes… Elle avait faim.

 

Il savait pertinemment que demain et après demain cela serait pire, elle dégusterait le sperme avec encore plus d'appétit… Quand on a très faim… 

 

Il lui dit… C'est bien… Mais tu m'as désobéit tout à l'heure, tu as fermé les yeux lorsque je te pissais dessus… Je dois te punir sévèrement…

 

Mais avant tu va prendre une douche, tu sens la pisse et presque aussi mauvais que ta maman… Elle ne doit pas se laver souvent ta putte de mère…

 

Le fait de penser à sa mère et d'entendre parler d'elle en ces termes, fit qu'immédiatement la fillette se remit à sangloter…

 

-         Pas de ça avec moi… tu auras un jour de plus de supplice

 

 

Résignée elle se doucha mécaniquement, tel un robot… Il la sécha, puis la parfuma partout, surtout entre les cuisses, puis il lui ordonna de se diriger vers la vitrine d'accessoires érotiques… Rapidement il lui tendit un slip à dentelle de couleur rose, spécial bouton pression au niveau des orifices annales et vaginales. Puis une mini tunique transparente de même couleur…

 

Puis saisissant un godemiché électrique vibrant de taille moyenne, il lui tendit l'accessoire…

 

-         Tu t'habilles, tu vas t'étendre sur le lit et tu te rentres cette bitte dans ta chatte à fond, je ne veux presque plus rien voir qui ressort de ton bas ventre.

 

  La fillette s'allongea sur le lit, puis les cuisses écartées, dégrafant les boutons pression de la petite culotte elle entreprit très doucement sa pénétration vaginale…

 

Pendant ce temps le docteur fixait à nouveau le harnais de maintien et les sangles aux extrémités de ses membres…

Les lacets de la guêpière furent serrés. La taille de la fillette, au niveau du ventre fut écrasé au maximum, laissant bien ressortir et saillir son cul et son bas ventre…

Puis vint le tour des cordelettes reliées au trapèze… Tout était prêt.

Quant il le désirerait il manoeuvrerait les poulies pour soulever la gamine dans la position souhaitée.

 

-         Bon c'est trop tard, c'est moi qui mettrait la bitte dans ta chatte…Il fallait de dépêcher… Lorsque je te dis quelque chose il faut le faire tout de suite… Je vais te punir immédiatement….

 

Il manoeuvra les cordes reliant les poulies des treuils… La petite fille se retrouva rapidement en hauteur, à 10 centimètres de la surface des draps, bras et cuisses écartées en croix, perpendiculairement au lit. Le corps en U, ceci pour qu'elle puisse voir tout ce qu'il allait lui faire comme saloperies.

En même temps son soubassement, vagin et cul compris étaient offert aux accessoires.

 

Il alla chercher dans un tiroir de l'armoire une bande de sparadrap autocollant. Sa bouche fut rapidement recouverte par la bande adhésive.

 

-         Je ne vais pas t'entendre hurler comme un cochon qu'on égorge…

 

L'armoire à accessoires se trouvait à portée de main, il fallait juste tendre la main pour saisir l'engin de torture souhaité…

Le martinet simple pour commencer…

 

 Bon tu n'y est pas arrivé tout à l'heure… moi je vais t'ouvrir la chatte, tu vas voir… 

 

Il leva très haut le manche… Visa juste l'entrejambe. Les lanières s'abattirent avec une force inouïe, juste ou il fallait, entre ses cuisses relevées, en plein sur les lèvres vaginales…

Un coup, deux coups, trois coups avec une violence inhumaine…

 

La petite fille hurlait et se tordait de douleur, les câbles de fixation ne bougeait presque pas, son corps non plus…

L'ingéniosité machiavélique de l'appareil qui l'immobilisait avait fait ses preuves.

L'engin idéal pour torturer les petites filles…

 

Il contempla son œuvre, de jolies striures, empreintes de lanière sur tout l'entrejambe. Les lèvres de chatte de la petite était toutes violacées, ouvertes, baillant en grand… Le canal vaginal était visible, tout irrité, couleur sang…

Le clitoris petit, mais bien visible était lui aussi rougit, tuméfié…

 

L'anus et les fesses de la gamine n'avait presque rien prit comme coup…

 

Tendant le bras vers l'armoire, il saisit un gros god en latex, le présenta au trou du cul offert, puis poussa sans ménagement.

A sec… Tout en maintenant sa taille d'un bras, L'autre main vacante poussait à fond, cherchant à introduire le gros engin dans l'orifice annale…

Elle hurlait de douleur… Le sparadrap sur la bouche remplissait bien son office… Il pouvait apprécier l'expression de souffrance et d'horreur sur son visage, sans en avoir trop de conséquence pour ses tympans.

 

Il poussait de plus en plus fort, rien ne rentrait. Il fallait la lubrifier…

Tendant le bras à nouveau, il ramena un simple pot de "crème…".

Créé par lui ce mélange avait fait ces preuves, un quart de pommade intime, un quart de crème pour les mains, un quart onguent antiseptique, et surtout le dernier quart… De la simple moutarde jaune… L'ensemble mélangé et amalgamé pendant quelques minutes était parfait pour l'intimité des fillettes, pas trop huileux, se tenant bien dans la main, ne coulant pas…

Le mélange pouvait se garder pendant des mois à température ambiante.

Il lui en bourra le trou du cul, rentrant et tournant ses doigts à l'intérieur pour l'enduire et en même temps détendre ses chairs…

Puis aussitôt reprenant sa démarche précédente pour rentrer le gros god, il repoussa à fond, sans aucune précaution…

Il la déchirait… Ou cela rentrait…

Les cinq centimètres de diamètre déformèrent à fond le sphincter du rectum, puis d'un seul coup l'anus forcé laissa rentrer le gland de l'instrument…

 

Aussitôt il s'arrêta pour contempler l'expression de stupeur de sa suppliciée…

Les yeux exorbités en grand, les stigmates d'une douleur extrême sur son visage.

 

Il maintint l'engin sans bouger pendant quelques minutes… Sans arrêter de la regarder, il voulait surprendre l'instant ou la fillette allait en plus de la douleur de son écartèlement, ressentir celle de la crème moutarde qui allait lui chauffer l'intérieur de son postérieur…

 

En premier elle commença à bouger sa tête de gauche à droite plusieurs fois, puis vint le bassin, qu'elle chercha à soulager par tous les moyens…

Les cris atténués sous le sparadrap devinrent encore plus inhumains…

Des convulsions envahissaient tout son corps, son visage devint tout rouge…

 

C'est le moment qu'il choisit pour commencer à faire travailler le godemiché dans son intimité anale… Il poussa l'engin délicatement, centimètre par centimètre jusqu'à aller à la moitié de sa longueur, puis il commença sa manœuvre de retrait, jusqu'au gland qu'il laissait bien en place dans l'anus… Puis la tringlette commença régulièrement, va et vient délicat et méticuleux pour sodomiser le tout petit trou du cul écartelé à fond…

 

La fillette gémissait et gesticulait de souffrance de plus en plus, tous les stigmates de l'horreur sur son visage…

 

Il la contemplait avec un ravissement inégalé, sa queue bandante comme jamais, gorgée de sang, prête à exploser…

Sachant pertinemment que se branler maintenant pour atteindre l'éjaculation lui retirerait tout plaisir malsains…

Il fallait tenir des heures sans se masturber, pour obtenir un maximum de plaisir… La torture pendant des heures encore…

De longues heures horribles pour elle… De longues heures de plaisir pour lui…

 

Cela coulissait de mieux en mieux, le petit cul prenait de plus en plus de longueur, douze centimètres rentraient et ressortaient doucement… Sur cinq centimètre de diamètre. Cela faisait un drôle de morceau dans le cul pour une fillette de huit ans à peine.

   

Comment un cul de cet age pouvait-il s'ouvrir comme ça, aussi largement, et prendre une longueur aussi conséquente… Il suffisait de remarquer le diamètre et la longueur d'une merde que faisait une fillette de cet âge pour comprendre que ce qui pouvait sortir… Bien sur pouvait rentrer…

Comme docteur, il en avait vu des merdes de gamines… C'était même ce qui lui avait envie d'essayer sa première fillette…

Il avait commencer à prescrire à ses petites patientes un examen des selles, puis patiemment il avait noté l'âge et les dimensions… Il avait vite compris. A l'age de sept ans, tout était faisable, ou presque, alors à presque huit ans…

 

Endormir les fillettes que lui confiaient ses patientes le mercredi, les sodomiser pendant leur sommeil, rapidement ne lui suffit plus…

La torture et le sadisme exige de l'intelligence, du savoir faire. On ne les pratiques bien que lorsqu'on a appris à se dominer à tout point de vue…

 

La moitié de la longueur du godemiché ne lui suffisait pas, il continua sa poussée un peu plus loin dans l'anus. A chaque allé retour, il gagnait un centimètre en longueur… L'expression de ses yeux et la secousse faite par son corps au moment ou l'engin appuyait à fond pour se frayer un peu plus de longueur étaient édifiants. La gosse empalée, percée par le pieu de latex était au bord de l'évanouissement… Son rythme cardiaque s'était brusquement accéléré… Il calma le jeu pendant quelques minutes. La petite enculé récupéra un peu, sa respiration s'apaisa.

 

Pendant ce temps il contempla sa chatte tuméfiée, il joua avec ses grandes lèvres ouvertes, les dégagea entièrement… Pour faire bien apparaître son canal vaginal… Il enfonça son majeur à fond dans le conduit… Quelle était chaude… Il le retira, puis à l'aide de deux doigts il comprima son petit clitoris, le pinçant très fort. La petite femelle se contracta aussitôt.

Selon lui elle réagissait bien, mais pour la suite, il fallait que son clitoris double au minimum de diamètre… Il n'était pas assez développé et irrité à son goût. La crème moutarde n'était pas loin… Une petite noisette recouvrit rapidement le petit bourgeon tuméfié… Puis il se dit que remplir le conduit vaginal aussi pourrait accélérer le processus… Ses quatre doigts remplis d'onguent bourrèrent la petite chatte jusqu'à la garde.

Il s'essuya les mains sur ses petits tétons, il n'avait plus qu'à attendre…

Moins d'une minute après les effets se firent ressentir, comme pour le trou du cul, mais en plus fort… Son corps fut secoué de spasmes, et de réflexes incontrôlables. Il accéléra la cadence d'enculage du godemiché, le poussant encore plus loin… Il y était enfin, son rectum avait entièrement avalé la grosse bitte en latex… Brave petite fille de huit ans enculé à fond…

Il travailla avec le godemiché, le ressortant presque complètement, puis le rentrant à fond à nouveau… Quelques filament de sang perlaient sur le chibre…

 

Son trou du cul perdait un peu d'hémoglobine, pas énormément c'était rassurant pour elle. Il lui avait presque défoncé le trou du cul.

 

La fillette hurla et se démena horriblement pendant cinq bonnes minutes, puis un phénomène bizarre se produisit, tout d'abord elle se calma un peu, puis elle commença à haleter et à gémir… Des gémissements langoureux, et des contractions avec le bas de son ventre…

 

Le docteur savait ce que cela voulait dire.

Il l'avait déjà remarqué sur une fillette qu'il avait fait souffrir de longues heures avant Emmanuelle… Le cerveau de la gamine avait déconnecté la souffrance… Trop c'était trop…

Il ne restait qu'une forme de celle-ci… Remplacée par une jouissance mécanique et automatique.

Le clitoris pouvait être un petit organe de souffrance ou de plaisir, ou les deux à la fois…

Faites l'expérience : Immobilisez complètement les quatre membres d'une femelle, faite la jouir jambes écartées à fond, en lui suçant le clitoris,  jusqu'à l'orgasme…

La femelle prend son pied comme jamais, mais au lieu d'arrêter lorsqu'elle à jouie, essayer de continuer de lui sucer le clitoris pendant très longtemps…

Au bout d'un quart d'heure, elle va vous supplier d'arrêter, pleurer, faire une crise de nerfs, et enfin souffrir… Idem pour le bout des seins…

 

Avec les petites filles c'est pareil bien sur… Mais si vous commencer par la souffrance, le phénomène s'inverse, la jouissance apparaît…

 

Emmanuelle commençait à jouir, mécaniquement… l'expression de ses yeux avait changé, la pupille s'était dilatée, elle essayait de soulever ses reins par à-coups, comme pour recevoir un coup de bitte dans son vagin.

Ses gémissements ne trompaient pas, la petite fille prenait son pied…

Il vérifia avec ses doigts l'état du canal vaginal… Elle mouillait copieusement.

Son clitoris avait triplé de volume,  C'était le moment de passer à l'étape suivante…

 

Le petit bourgeon tout rose, devenu turgescent était prêt à être transpercé de part en part, a l'aide d'une très fine aiguille…

 

Il laissa le godemiché en place à fond dans l'anus, puis il se tourna vers l'armoire…

Une petite seringue contenant un produit de couleur ambre avait été préparé par ses soins, au bout de celle-ci une aiguille de fine taille avait été rajouté…

 

La gamine jouissait toujours… Elle ne remarqua même pas le docteur immobilisé son petit bourgeon entre deux doigts… De l'autre main il présenta l'aiguille juste au milieu du clitoris gonflé, et d'un geste précis il appuya à fond…

 

Le petit morceau de chair fut transpercé de par en part par l'aiguille…

 

La fillette se crispa en un instant, arrêta de remuer quelques instants son bassin, mais continua à haleter de plus belle…

 

Il fit coulisser l'aiguille dans le petit bourgeon plusieurs fois, comme si il voulait agrandir le trou, puis il fit le geste médical qu'il fallait… Il retira très doucement l'aiguille, mais pas complètement, laissant le bout de celle-ci dans le morceau de chair… Puis il pressa délicatement le piston de l'aiguille, injectant un peu de produit dans le clitoris… La fillette s'immobilisa à nouveau et très rapidement elle recommença à être excitée…

Il réinjecta plusieurs fois du produit dans le petit organe, puis il repoussa l'aiguille à fond pour la faire ressortir de l'autre côté, comme il l'avait déjà fait… Il retira la seringue et laissa la petite aiguille dans son bourgeon transpercée.

 

Pendant cinq minutes il réactiva son enculage avec le godemiché, la fillette prenait toujours son pied…

 

 Il contempla son œuvre, résultat de l'injection, le clitoris avait encore doublé de volume, gros maintenant comme un petit bout de doigt de la gamine…

Il allait maintenant pouvoir le transpercer à nouveau et y mettre un anneau qui y resterait à demeure.

 

C'était l'assurance pour lui d'une dépendance permanente de la gamine, la fillette allait ressentir sans arrêt son clitoris, en gros le contraire de l'excision…

 

 En plus il pourrait y fixer des poids, ou s'en servir comme d'une électrode, si il désirait la travailler à l'électricité…

 

Il prenait son pied à contempler l'aiguille pendu au clitoris de la petite fille… Il ne put résister à tirer légèrement dessus, plusieurs fois… C'était l'idéal pour faire ressortir encore plus son bourgeon.

 

Mais le travail n'était pas fini… Il prépara l'anneau qu'il allait fixer à demeure, une petite boucle d'oreille. Pas si petite que ça…

 

 

Il prépara la perceuse prévue à l'origine pour percer les oreilles, ce genre d'outil faisait tourner très vite une petite fraise. Normalement cela ne faisait pas mal dans l'oreille, mais dans le clitoris c'était horrible… Il avait déjà pratiqué deux gamines…

Il connaissait le résultat.

Elle allait sûrement avoir très mal… Surtout qu'il voulait faire un trou minuscule, mais bien fait, capable de supporter un anneau de petite taille, mais suffisamment solide. Bien sur en rapport avec son petit bourgeon…

De toute façon immobilisée comme elle était, elle ne bougerait pas plus que tout à l'heure…

Il fallait absolument la percer lorsque la salope était en érection, sinon impossible à faire.

 

La gamine continuait à jouir, c'était le moment… Il réactiva son bourgeon quelques minutes, et joua en même temps avec le godemiché dans son cul.

 

D'un geste sur il retira l'aiguille du petit bourgeon en érection, puis il amena la petite perceuse juste au dessus et appuya sur l'interrupteur.

Un bruit d'appareil de dentiste, aigu et strident se fit entendre… Il saisit le clitoris entre deux doigts, le roula et tira dessus un peu pendant quelques minutes… La petite salope apprécia, elle gloussa de plaisir. Il gagna encore un peu en turgescence. La minuscule fraise tournant à une vitesse vertigineuse s'approcha du petit organe sensible et entama sa perforation.

Elle hurla de douleur… L'engin continua à percer… En deux secondes il avait transpercé le petit clitoris… Le minuscule forêt ressortait de l'autre côté. Pour permettre une cautérisation directe il fallait usiner le trou effectuer dans la chair, ceci pour permettre que la chaleur dégagé par la fraise aseptise directement, cela permettait aussi d'élargir le trou ainsi effectué, pour éviter qu'il ne se rebouche…

La gamine avait cambré ses reins, ses yeux étaient grands ouverts, elle ne bougeait plus, paralysé par la souffrance et la peur.

Il laissa tourner la fraise dans le trou effectué deux bonnes minutes, puis il la retira du petit organe, éteignit la perceuse. Il reprit une autre petite seringue munie d'une très fine aiguille préparée à l'avance, puis piqua directement dans le clitoris de la petite fille, puis injecta le peu de produit que contenait le récipient.

 Il attendit quelques minutes. Le clitoris percé doubla à nouveau de volume. Il prit l'anneau ouvert dans une pochette, le plaça délicatement à sa place définitive, dans le trou du petit bourgeon. La pince à sertir enserra l'anneau, il appuya à fond… L'anneau était placé, rien ou presque ne pourrait le retirer, il faudrait un outil spécial, ou le couper avec une pince…

Il joua avec plusieurs minutes avec un doigt c'était agréable au toucher, il tira dessus assez fort, faisant bouger le petit organe dans le sens qu'il désirait…

La petite se mordit les lèvres un instant, elle était au bord de l'évanouissement.

Il pensa un instant qu'on devrait poser cet accessoire sur toutes les petites filles…

Il rangea ses outils, puis reprit sa sodomie avec le godemiché…

 

-         Bon je vais te retirer le sparadrap de ta bouche, je ne te conseil pas de gueuler. Si tu veux tu pourras parler…

 

D'un coup sec il retira le morceau obstruant sa cavité buccale.

 

-         Oh Monsieur j'ai très mal, arrêtez… Je ferai tout ce que vous voudrez, mais ne me faites plus mal…

 

Pour toute réponse, il rejoua avec le godemiché inséré dans son trou du cul depuis déjà pas mal de temps… Il le repoussa à fond dans le beau petit cul.

 

-         Au lieu de dire des conneries petite salope, pense uniquement à ta jouissance… Tu as vu comme tu as aimé ce que je t'ai fait tout à l'heure. Tu as joui pour la première fois de ta vie. Je vais te poser la question qui m'intéresse vraiment, j'espère que tu vas y répondre sincèrement…

 

-         Préfère tu être prise par devant ou par derrière, c'est à dire par ton minou, ou par ton derrière ?.

 

Le chibre en latex rentrait et ressortait sans arrêt du petit cul… La réponse vint enfin…

 

-         Par devant ça fait moins mal que par "le derrière"…

 

Pourtant, à voir la démarche de ta mère, je suis sur qu'elle aime aussi se faire enculer, tu n'es peut être pas comme elle…

 

-         Bon je vais te rebaillonner, j'ai encore du travail à effectuer sur ton joli petit corps, sois courageuse et laisse toi faire complètement, même si cela fait mal… Essaye de trouver du plaisir comme tu l'a fait tout à l'heure et tout ira rapidement mieux pour toi.

 

Sans plus parler il recolla une bande adhésive sur la petite bouche…

 

Il rejoua pendant une bonne dizaine de minutes avec le godemiché installé à demeure dans son postérieur, le sortant presque entièrement…

Laissant uniquement le gland dedans, mais tirant légèrement dessus, jusqu'à presque le faire ressortir…

 

 

Puis il le bloquait, attendait quelques secondes et contemplait avec plaisir la petite rondelle de l'anus ouverte encore plus, déformée au maximum…

Puis d'un seul coup il repoussait le god à fond, recommençant sa tringlette en poussant un peu à chaque fois pour regagner les douze centimètres dans ses intestins…

L'anus ouvert sur cinq centimètres de diamètre devenait de plus en plus souple, tout rougi par l'irritation.

 

Il laissa le god à fond dans le trou du cul….

 

-         Comme tu préfères ça,  je vais m'occuper maintenant de ton petit vagin….

 

Il prit sur l'étagère le spéculum… Le grand modèle, celui prévu pour inspecter l'utérus des femmes, puis perplexe il le reposa…

La gamine était toujours suspendu, écartelé à environ trente centimètres au dessus du lit, perpendiculairement à celui-ci…

Pas terrible comme position…Avec les tringles fixées au plafond et le système de poulie il pouvait tout faire… La petite fille écartelée fut amenée au centre de la pièce dans la même position, corps inclinée en U…

Il joua sur les cordelettes pour parfaire la position, tira légèrement sur celle du bustier et en profita pour écarter les jambes encore plus… Cela ne lui plaisait pas encore… Il voulait avoir accès à son soubassement facilement, avoir sa chatte écarté à fond devant lui… Il fixa sur chaque cuisse un bracelet de cuir, prit deux cordelettes sur des poulies libres, les attacha… Puis il commença à faire bouger les treuils… C'était bien, mais il pouvait faire mieux… Il alla chercher deux poids de 1 Kilogramme, en attacha un sur chaque bracelet en cuir des cuisses…

Les cuisses déjà ouvertes à fond s'écartèrent encore plus, à la limite du supportable… La gamine se mordit les lèvres, c'était la bonne position. La salope de huit ans souffrait le martyre… 

Il prit une chaise, s'installa entre ses cuisses… Sa chatte juste à la hauteur de sa bouche… Il pouvait la sucer, ou rentrer tous les instruments qu'il désirait sans aucun effort.

Les grandes lèvres déjà rougies et irritées, laissaient apparaître le canal vaginal… C'est lui qui allait s'ouvrir à fond… Comme jamais il ne l'avait été.

Le clitoris percé par l'anneau, tuméfié, boursouflé par l'opération de tout à l'heure le tenta… L'anneau en or bien en place était très joli…

Il tira dessus assez fortement… Cela tenait bien…

La fillette cambra ses reins de souffrance.

Il présenta le spéculum fermé dans le trou de chatte, poussa délicatement à fond… Il maintint l'engin d'une main pendant que de l'autre il commença à serrer la vis… Un tour, deux tours… Le petit trou s'ouvrait devant ses yeux.

 

Justement ses yeux… Selon lui…Pas assez de lumière pour contempler le beau spectacle. D'un simple geste de la main il alluma le commutateur qui commandait le lampadaire allogène… Le réflecteur était bien dirigé, une lumière blanche intense éclaira le soubassement de la petite fille.

Il serra la vis de l'écarteur, s'arrêtant lorsque le diamètre de la cavité fit cinq centimètres… Il savait sans problème qu'il pouvait aller encore plus loin… Il verrait tout à l'heure…

Le spectacle était grandiose, le tissu vaginal était d'un beau rose immaculé.

La gamine les yeux effarés, se demandait ce qu'il allait se passer…

Elle n'eut pas longtemps à attendre… Il se tourna vers l'étagère, saisit une seringue vide munie d'une aiguille fine. Puis d'un geste lent et précis, il guida l'instrument dans le vagin de la gosse… Il piqua bien au fond, rentrant l'aiguille sur un bon centimètre, juste pour jouer au docteur… Elle n'eut aucune réaction… Il ressortit l'aiguille et s'amusa à piquer à des endroits différents, quelques gouttes de sang perlèrent dans le conduit vaginal…

Cela ne l'amusa même pas, elle n'avait pas assez de réaction…

Il ressortit l'aiguille… Se posa la question, ou piquer la petite salope…

Le clitoris avait été assez abîmé pour l'instant, pour la suite il valait mieux le laisser cicatriser et ne pas toucher à l'anneau implanté.

L'idée lui vint rapidement… La petite poitrine…

Une seconde après s'être mis debout, l'aiguille fut posée juste sur le bout d'un téton…  Transpercé de part en part en une seconde…

La gamine eut un soubresaut inimaginable… Voilà qui était bien…

Il retira l'aiguille, se dit qu'une seule piqûre était dérisoire… Il posa la seringue, ouvrit une petite boite remplit d'aiguilles de toutes dimensions…

En prenant une de taille moyenne il honora à nouveau le petit téton, le transperçant de part en part… Nouveau soubresaut et hurlement de douleur complètement étouffé par le sparadrap…

Du beau travail de torture…

Il laissa l'aiguille dedans… Il avait trouvé… Le jeu allait consister à piquer le sein de la gosse, en descendant de plus en plus…

Adroitement, d'une main il tira sur la première aiguille de façon à faire saillir la toute petite poitrine… Le mamelon se dessina légèrement. L'autre aiguille rentra juste un centimètre dessous, en plein dans la mamelle…

La suppliciée hurlait en secouant la tête de gauche à droite.

Puis vint rapidement deux autres aiguilles disposées de telle façon que le sein de la fillette soit étiré et maintenu artificiellement en extension par la dernière pointe placée…

Le sein travaillé paraissait beaucoup plus volumineux que l'autre…

D'une main il souleva à fond toute les aiguilles, tirant très fort sur le sein…

Il plaça trois autres aiguilles à cent vingt degré l'une de l'autre, plus grosses et plus longues que les autres dans la glande mammaire… Il relâcha sa traction, le sein artificiel levé ne retomba pas… Les aiguilles l'en empêchaient.

 

La fillette de huit ans donnait l'impression d'avoir un sein de gamine de douze ans, pendant que l'autre était bien celui d'une petite fille de huit ans…

Superbe poitrine artificielle…

Le regard de la môme n'était plus normal, vide d'expression… Elle hurlait, pleurait pendant plusieurs minutes, puis gémissait de douleur quelques instants… Et le cycle recommençait…

Il lui parla… Juste une petite phrase :

 

-         Bon c'est pas tout, je vais m'occuper de ton autre sein…

 

Et le supplice identique fut pratiqué sur l'autre sein… L'une après l'autre les aiguilles transpercèrent le mamelon, le remontant à chaque fois…

Il lui fallut un bon quart d'heure pour rendre le sein de la fillette identique à  l'autre… Peut être un peu mieux réussi artistiquement parlant…

 

La gamine ne bougeait plus, silencieuse elle regardait fixement le plafond, les yeux grands ouverts… Seule sa respiration haletante lui faisait dire qu'elle vivait encore.

 

Le docteur recula de trois bon mètres pour savourer la scène…

La fillette écartelée, cambrée en hauteur, un godemiché imposant dans l'anus, plus un spéculum écartant son vagin au maximum… Sans oublier le final…

Le clitoris et son joli anneau doré, et surtout les aiguilles transperçant les petits seins, qui maintenant pointaient artificiellement vers le plafond.

Bon cela suffisait pour l'instant, dans une heure il avait rendez vous…

 

Il retira les accessoires de ses parties intimes…  Pour le godemiché dans l'anus, il tira d'un seul coup dessus… Il joua avec la vis du spéculum dans le vagin, avant de le retirer complètement, lui vint l'idée de l'écarter au maximum…

L'ouverture faisait déjà cinq centimètres de diamètre… Il vissa encore…

L'ouverture gagna encore deux centimètres… Il prit une règle graduée et mesura le diamètre de l'orifice forcé par l'écarteur… Sept centimètres, pour une gamine de huit ans, c'était colossale…

Puis un peu à regret il desserra l'engin complètement et le retira…

 

 

Il voulut profiter de l'élasticité provoqué par le spéculum, sa main s'approcha de la belle petite chatte refermée, ses doigts repliés s'enfoncèrent dans le vagin… Ses doigts rentrèrent presque à fond et jouèrent à l'écarteur, s'ouvrant au maximum dans la cavité vaginale … C' était chaud et tout humide…

La moitié de sa main disparut dans le minou de la fillette… A huit ans elle pouvait prendre les plus grosses bittes sans aucun problème… 

Les ficelles des tringles furent abaissées, très rapidement la suppliciée reposa à nouveau sur le lit. Il défit toutes les attaches, remit uniquement la laisse de pied… La chaîne fixée par un anneau à la cheville d'un côté et scellé au mur de l'autre mesurait bien 4 mètres.

Il alla remplir un verre d'eau au robinet, puis avec une certaine délicatesse, il retira le ruban adhésif de ses lèvres, puis glissant un bras sous les épaules de la petite il porta le verre plein à la commissure de ses lèvres…

Un peu de liquide se répandit dans la petite bouche… Elle déglutit.

Puis voyant que l'eau était bonne… Avec empressement elle but avidement la moitié du contenu du verre…

Elle aurait bien tout bu, si il ne l'avait empêché d'ingurgiter le reste.

Elle ouvrit les yeux doucement… Il lui parla doucement…

 

-         Bon avant que je parte, tu vas prendre ton repas… C'est l'heure de ta jutte… Tu vas ouvrir ta bouche, et faire coulisser ma bitte, puis tu avaleras mon sperme sans en laisser…

 

Il la déplaça un peu, la remonta un peu pour lui placer la tête sur l'oreiller.

Juste dans la position idéal… Très rapidement il se retrouva à califourchon au niveau de son visage. La bitte bien droite força la petite bouche tiède…

Les yeux grands ouverts, la gamine enroba l'engin qui commença à coulisser, aidés par les légers coups de reins que le docteur donnait…

Il éjacula peu de temps après… Elle dégurgita rapidement, tout y passa sans rechigner. Elle avait trop mal, trop peur aussi pour se rebeller, c'était fini…

Il pouvait lui dire de faire n'importe quoi, elle le ferait…

La gamine avala tout, pompa avidement, faisant bien attention de ne rien laisser… Elle craignait sa colère…

Il laissa sa queue "débandante" dans sa bouche de longues minutes, il ce dit que c'était très agréable… Ressentir peu à peu sa verge mouillée se ramollir, toujours activé par le mouvement des lèvres d'une petite fille, quel délice…

Il se retira brusquement d'elle…

Avant de partir et de refermer la porte, il jeta un dernier coup d'œil sur sa proie… La fillette dormait, épuisé de souffrance…

Il sourit, les seins déformés, piqués par les aiguilles ne lui donnaient aucun remord, l'anneau dans le clitoris non plus… Il n'en était plus là.

Il n'était plus dans le monde des "humains" depuis longtemps… 

 

Déjà six jours… La fillette était de plus en plus soumise. Il la pratiquait par tous les trous. La faim la tenaillait, aucun aliment solide n'avait perturbé son conditionnement. Elle recevait juste ses doses de sperme, buvait son urine quand il lui demandait… Et quand elle était sage, un verre d'eau de temps en temps.

La soumission totale.

Le docteur lui prodiguait les soins médicaux appropriés, lui désinfectant deux fois par jour sa belle petite poitrine, piquée et transpercée par les aiguilles…

Il l'avait mise sous antibiotique, à haute dose, aucune infection ne pourrait se déclencher…

La petite "chienne en laisse", obéissait au doigt et à l'œil : " Baisse toi, écarte tes jambes, suce la bitte, retourne toi, avale, debout, couché, lèche, à genoux…".

Deux semaines de gagnées. Pour arriver à ce stade d'habitude les petites filles mettaient environ trois semaines… Six jours c'était très bien.

La gamine étendue sur son lit, en nuisette, petite culotte à dentelle attendait les ordres du mâle…

En arrivant, d'une façon un peu plus gentille que d'habitude, il s'adressa à elle : " Bon c'est bien, tu me plais, tu es soumises, tu fais tous ce que je dis…

En plus de ça tu es jolie… Je crois que je vais te laisser la vie sauve longtemps.

Peut être même pour toujours…

Mais je te préviens si une fois tu ne fais pas ce que je te dis, je recommence…".

Il continua : " tu vas garder les aiguilles dans les seins quelques temps, j'ai envie de jouer très souvent avec…

L'anneau sur ton clitoris, c'est pour la vie que tu l'a…

Bon aujourd'hui, je vais te donner quartier libre, tu va pouvoir faire ce que tu veux, je t'ai amener des bandes dessinées et aussi une boite de gâteaux…

Tu dois avoir faim… Mais avant tu vas faire ta pipe du matin, comme d'habitude, sans rien perdre de la jutte, tout avaler comme d'habitude…

La fillette contempla la boite de gâteaux avec envie… Puis automatiquement elle se mit à genoux, bouche ouverte en grand, prête à recevoir la bitte du docteur…

Quelques secondes après la queue coulissait dans la petite bouche.

Emmanuelle s'activait à travailler la queue avec plus d'attention que d'habitude, une récompense gourmande l'attendait…

Le docteur entreprit d'ouvrir le paquet de gâteaux, devant les yeux de la fillette…

 

Il prit une madeleine, joua avec, la fit sentir à la gosse, puis, s'arrangea pour que celle-ci effleure ses lèvres à chaque passe que faisait la gamine…

Il lui dit : " Tu mets une madeleine dans ta bouche, puis sans l'avaler tu la mâches, tu la mélanges avec ta salive, puis te re-pipe la bitte… ça va être bon…

La fillette resta interloquée une seconde, puis rapidement la madeleine fut happée, puis mâchée…

La petite fille dévisageait son bourreau, sans comprendre. Elle mâcha une bonne minute, puis fit ce qu'il lui avait demandé… Elle engouffra à nouveau la bitte.

La sensation était plaisante, en plus de la chaleur et de la moiteur de la cavité buccale, il ressentait la pâte mouillée et un peu rappeuse du gâteau lui gratter délicatement les parties les plus sensibles de son gland.

C'était vraiment génial…

Quelques minutes après, la salive aidant, la texture de la madeleine avait changée, encore plus mouillée, la bouillie du gâteau faisait magnifiquement coulisser la bitte…

Par crainte de sa colère, la petite fille n'avait toujours rien avalé.

 

L'éjaculation n'allait pas tarder à venir, il prévint l'enfant : " Tu vas garder toute la jutte dans la bouche, la mélanger complètement avec le gâteau, tu avaleras l'ensemble seulement quand je te le dirai ".

 

Quelques secondes après le sperme gicla abondamment dans la petite bouche…

La môme reçue six ou sept  jets, tout en continuant à piper…

Les joues gonflées du mélange de sperme et de madeleine étaient déformées…

Les sensations au bout de sa bitte étaient super, dégueulasse à souhait…

 

Il donna enfin l'autorisation à la petite fille d'avaler doucement, en goûtant, il fallait qu'elle déguste le mélange…

 

La gosse avala d'abord doucement, la première gorgée de matière descendit délicatement dans son gosier, un bruit unique de déglutition se fit entendre…

 

La gamine avait très faim, elle avala plus rapidement, puis de plus en plus vite…

Le mélange fut ingurgité  rapidement, la petite langue fouilla à l'intérieur pour ramasser encore un peu de  bouillie " spermée ". Puis bientôt le petit bout rose ressorti, passa sur ses lèvres à la recherche d'un peu de sperme et de gâteau.

Elle dégusta quelques minutes, puis ayant toujours aussi faim, elle entreprit de lécher la bitte recouverte de mélange… Elle ne laissait rien, la gamine se régalait tout en nettoyant la belle queue bien dure. Quelques minutes après tout était consommée, la verge reluisait de la salive de la gosse, tout était propre…

 

Il lui tendit enfin le paquet de gâteau et tout haut lui annonça la bonne nouvelle : " Tiens tu peux tout manger, tu l'a bien mérité…".

 

La petite fille comme un animal affamé se précipita sur le paquet de madeleines et ingurgita la première en quelques secondes…

 

Il la laissa manger, déposa les livres, puis referma à clef la lourde porte capitonnée derrière lui.

 

 

 La maman d'Emmanuelle

 

 

L'idée malsaine lui trottait dans la tête depuis quelques heures…

La maman d'Emmanuelle l'avait elle bouclée, ou avait elle prévenue la police ?.

Il se remémora la très jeune femme, elle était pas mal du tout...

Alcoolique, peut être un peu camée et si …

La ville la plus proche était à vingt kilomètres… Il s'arrêta près d'une cabine téléphonique, puis composa son numéro de téléphone… Il était vingt deux heures, elle devait être chez elle…

La sonnerie retentit 8 fois, il allait juste raccrocher lorsqu'une voix féminine endormie et pas vraiment claire ni fraîche fit entendre le  " allô " tant attendu…

 

-         Bonsoir, vous n'avez pas prévenu la police ?

 

En une seconde la maman d'Emmanuelle avait compris qui l'appelait…

 

-         Ma fille, ou est ma fille… Qu'en avez vous fait, ou est elle ?. Passez la moi au téléphone, je veux lui parler… Ou est elle ?…

 

L'homme reprit calmement : " Je vous ai posé une question, avez vous prévenu la police ?.

 

La Femme se ressaisit aussitôt et fit entendre un : " NON ", entrecoupé de sanglots…

 

-         Votre fille va bien, vous pouvez la revoir très rapidement, pour ça il va falloir que vous fassiez ce que je vous dis… Sans discuter, et sans chercher à comprendre. Je vais vous faire une proposition, vous verrez votre fille tous les jours si vous accepter… Vous êtes d'accord ?

 

Tout en pleurnichant la jeune femme fit entendre un léger "oui" de consentement.

 

Il reprit aussitôt :

 

-         Vous allez me laisser parler sans m'interrompre. Pour voir votre fille, il va falloir que vous fassiez un petit travail pour moi…Vous allez me procurez une autre gamine. Vous allez vous débrouiller toute seule…

Et pas n'importe qu'elle fillette, il faut qu'elle est entre sept et dix ans au maximum, jolie, fine, encore plus jolie que la votre… Demain c'est mercredi, vous avez toute la journée pour vous en procurez une… Je vais vous donner une idée des lieux ou trouver ce genre de marchandise. Galerie marchande, square, cinéma, fêtes foraines, manèges. Débrouillez comme vous voulez, il m'en faut une demain soir, sinon vous ne reverrez jamais Emmanuelle. Bien sur, vous allez la kidnapper et sans vous faire prendre… Quand vous l'aurez à disposition vous vous rendrez avec votre voiture, dans la foret de Cuissage, à dix kilomètre de chez vous. En plein bois, il y a le château de Saute vierge. Juste en face du château, il y a une allée forestière, vous la prendrez et continuerez environ un kilomètre, jusqu'à une barrière… On ne peut pas aller plus loin… Votre fille m'a dit ce que vous avez comme voiture, je connais aussi sa couleur.

Je vous contacterai dans la soirée, Même si il faut attendre tard dans la nuit, vous m'attendez… Si tout va bien je prendrai livraison de la petite et on ira voir votre gamine. En plus je vous donnerai la même somme que je vous ai donné il y a quelques jours… Pour la gamine a enlever, je vais vous donner un tuyau, pour être tranquille vous lui faites boire une boisson mélangée avec deux cachets de somnifère…

N'hésitez pas, deux comprimés conviennent parfaitement…

Puis il énuméra rapidement ce que la jeune femme avait besoin comme accessoires pour l'enlèvement…

 

-         Avez vous tout compris, et êtes vous d'accord ?.

 

Pendant toute l'explication, la jeune femme n'avait fait entendre que des sanglots. Elle gémit en articulant un "oui" presque inaudible, puis presque aussitôt, elle reprit en parlant plus fort d'un ton languissant " Je vous en prie, ne lui faites pas de mal, je ferai tout ce que vous voudrez ".

 

-         Ah encore une chose, si il vous venait l'idée absurde de prévenir les flics, jamais vous ne reverriez votre pucelle…

-         Elle mourrait atrocement de faim et de soif… Maintenant à vous de jouer…

 

Elle n'eut pas le temps de répondre, le bip sonore de la tonalité de ligne se fit entendre très peu de temps après… Il avait raccroché.

 

Il rentra aussitôt… L'idée qu'il avait eu n'était pas mauvaise. Si la maman d'Emmanuelle lui rapportait une recrue, elle même devenait une ravisseuse d'enfant, une hors la loi.

Il pourrait alors la manipuler sans problème …

 

Pour la première fois depuis son rapt Emmanuelle se détendait en lisant ses bandes dessinées. Allongées sur son lit la petite fille récupérait des tortures occasionnées par son bourreau. Le docteur s'assit près d'elle sur le rebord du lit. Le spectacle était beau et désolant en même temps, la petite culotte érotique en dentelle de satin bleu ciel embellissait sa chute de reins la rendant divinement belle. Les nombreuses aiguilles traversant ses petites" mamelles" lui donnait un air de monstre irréel, une nouvelle race de " d'humanoïde hérisson" 

Le docteur écarta délicatement ses cuisses. La petite moule était refermée…

Il ne put résister à tirer sur l'anneau transperçant son clitoris, délicatement d'abord, puis de plus en plus fort… La gamine se mordit les lèvres…

 

La traction dura longtemps…La fillette gémit de douleur.

Il tira de plus en plus fort, continuellement…

Quelques minutes après, ce qu'il désirait arriva…

Elle ouvrit ses cuisses en grand, puis les releva d'elle même en hauteur…

La belle petite moule baillait légèrement…

Pour soulager la douleur, la fillette s'ouvrait…

Le jeux sexuel était suffisant pour l'instant. Il relâcha l'anneau…

Les jambes de la gosse retombèrent aussitôt sur le lit…

 

Avant de refermer la porte capitonnée il prévint la gamine… :

 

-         Demain tu vas peut être avoir de la visite, à mon avis tu vas être très contente…

 

La gamine le regarda intensément dans les yeux. Elle ne comprenait pas…

 

 

 

                  Le rapt d'Isabelle

 

Nadège, la maman d'Emmanuelle se leva avec une belle "gueule de bois".

Comme d'habitude, son premier geste fut de se remplir un grand verre de bière… Elle le porta à ses lèvres, puis comme par magie elle eut un déclic. Pensant à sa fille elle se ravisa. Elle avait perdue sa fillette à cause de l'alcool…Si elle voulait sauver Emmanuelle, il fallait qu'elle garde la tête froide… Pas comme d'habitude. Elle prendrait son petit verre plus tard…

A la place, avec un peu d'eau elle avala deux comprimés contre le mal de tête… Elle se recoucha, pensa aux bons moments passés avec Emmanuelle. Puis vinrent les mauvais…

Ce connard de mec… Son con de père, qui les avaient abandonné…

Parti sans prévenir, et avec une gosse mineur en plus…

La dégringolade sans fin, spirale infernale. L'alcool, plus de travail…

Et pour finir le rapt d'Emmanuelle. Quelle chienne de vie…

En quelques jours la jeune femme immature était devenue une mère responsable…Cela lui avait coûté sa fille, ce coup ci elle avait compris…

Elle se leva, décidée à revoir sa gosse très rapidement… Pour ça, il fallait qu'elle kidnappe une autre fillette. C'était aujourd'hui ou jamais…

 

La galerie marchande grouillait d'enfant… Le Mercredi tous ces charmants bambins un peu désœuvrés et désargentés se faisaient souvent "chier"…

Lorsque les parents avaient des moyens suffisants, les gosses pratiquaient une occupation, genre sport ou poney… Les autres un peu déshérités s'occupaient en meublant leur temps comme ils pouvaient…

Comme partout, le fric faisait la différence…

Il était déjà quinze heures…

Nadège n'avait pas vraiment trouvé de proie facile…

Elle avait bien repéré une trentaine de gamines, mais les gosses étaient toujours accompagnés d'une ou plusieurs copine, ou de leur maman…

Son caddie pas vraiment plein, la jeune femme prit sa place dans la file d'attente qui menait à la caisse numéro treize…

Seulement trois personnes devant elle… Cela allait assez vite… La jeune femme regardait sans arrêt de droite à gauche, essayant d'apercevoir une future victime… Rien…

Nadège ressentit une présence derrière elle… Dans une file d'attente, aux caisses d'un super marché, quoi de plus naturel…

La jeune femme ne se retourna pas tout de suite.

Elle commença à installer son trop peu d'articles sur le tapis roulant… Ruban adhésif, cordelette, paire de ciseaux et quelques objets utilitaires du même acabit… Tout fut déposé en quelques instants.

Ce fut seulement à ce moment que la jeune femme se retourna enfin vers la personne nouvellement venue derrière elle.

Elle n'en crut pas ses yeux…

Une fillette d'une dizaine d'année, belle comme le jour attendait patiemment que son heure vienne… Seulement deux articles à régler, une tablette de chocolat et un paquet de bonbons…

 

Nadège en une seconde comprit… C'était maintenant ou …

La jeune femme engagea la conversation… La gamine un peu timide au début se dégourdit rapidement. La jeune femme essaya…

 

-         Dis je connais pas encore ton prénom, mais je cherche quelqu'un pour garder ma fille cet après midi, juste une heure le temps que je fasse d'autres courses, elle est un peu plus jeune que toi…

     Si tu es d'accord, je te donnerai 50 Francs…

 

La fillette hésita un instant, puis réfléchissant un peu, hocha sa tête de gauche à droite, comme pour dire qu'après tout, c'était peut être faisable…

 

Remarquant l'intérêt que portait l'enfant à sa proposition, la jeune femme continua en expliquant…

 

-         Ce n'est pas très loin d'ici, si tu veux on y va en sortant. Au maximum à dix sept heures tu seras libre…

 

Elle continua essayant toujours de la persuader…

 

-         Comme je cherche quelqu'un très souvent pour la garder, si cela

t'intéresse tu viendras souvent chez nous… Vous pourriez devenir copine toutes les deux… En plus de ça, si tu es d'accord je te paie ton paquet de bonbons et ta tablette de chocolat… Ton prénom c'est comment ?

 

 

La gamine se débloqua enfin…

 

  – Ben…oui…enfin…Ben… C'est faisable, moi c'est Isabelle…

 

Nadège en souriant prit les deux articles de la gosse et les posa à côté des siens… La caissière venant juste de terminer avec l'autre cliente ne se posa pas de questions. Pour elle une maman et sa fille faisaient leurs courses ensembles…

 

Tout fut payé en espèce en un instant…

 

La jeune femme et Isabelle sortirent du supermarché en parlant… La voiture n'était pas loin… Quelques minutes après celle-ci démarra doucement, Nadège expliqua…

 

-         J'habite à quelques kilomètres d'ici… Ce n'est pas loin, de toute façon je te raccompagnerai chez toi tout à l'heure…

 

La gamine se détendit entièrement lorsque la jeune femme lui montra une photo de sa fille… Peut être une future copine ?  N'avait elle à peu près le même âge ?

 

Ils roulaient depuis déjà dix minutes, lorsque la gamine posa la première question embarrassante…

 

-         Pourquoi on sort de la ville ?

 

Nadège rétorqua qu'elle habitait dans un pavillon à la campagne… Qu'elle allait voir… Que c'était super… Qu'elle allait pouvoir s'amuser dans le jardin…

 

La voiture traversa un bois, la jeune femme trouva l'excuse d'une envie pressante de faire pipi… Il fallait qu'elle s'arrête, elle ne pouvait plus se retenir…

Le véhicule s'engagea dans une allée forestière.

Assez profondément pour être à peu près sur d'une tranquillité parfaite…

La femme reprit qu'elle ne voulait absolument pas qu'on la regarde faire pipi…

Ils s'arrêtèrent enfin… En une seconde le silence prit le dessus, seuls les sifflements d'oiseaux se faisaient entendre…

 

En une seconde elle ouvrit la portière… Au lieu de se diriger vers le sous bois pour aller faire ses besoins, la jeune femme contourna la voiture et ouvrit le coffre… Elle fouilla et trouva rapidement ce qu'elle cherchait…Le sac plastique contenant le ruban adhésif, la cordelette et les ciseaux fut extirpé…

 

Le tenant fermement dans sa main Nadège se dirigea vers le sous bois touffu…

Elle s'assit enfin… D'ou elle était la petite fille ne pouvait plus la voir…

Rapidement le jeune femme saisit le ruban adhésif, en coupa trois morceaux de dix centimètres… Elle déroula aussi la bobine de cordelette et en coupa cinq morceaux d'un mètre chacun, auquel à chaque bout elle fit un nœud coulant… L'ensemble fut rangé méthodiquement à nouveau dans le sac…

L'opération n'avait duré que le temps d'un gros pipi…Un peu plus peut être…

Elle ressortit enfin du sous bois. L'aspect soulagé et délivré de son envie pressante, elle se dirigea à nouveau vers sa voiture…

La gosse toujours à l'intérieur ne comprit pas pourquoi la femme ouvrit sa portière au lieu de celle du côté conducteur…

Elle ne comprit pas non plus pourquoi en une seconde la femme voulut recouvrir sa bouche avec une espèce de ruban… La bande adhésive colla immédiatement l'ouverture de la petite bouche… La petite fille comprit enfin que quelque chose n'allait pas… Elle n'eut pas le temps de se débattre, la jeune femme lui saisit les poignets et les enroula de suite avec un morceau de cordelette, les serrant très forts… La fillette comprit enfin… Elle chercha à se débattre, essayant de crier… C'était trop tard, le ruban adhésif remplissait son office… Le nœud coulant aussi. La femme refouilla dans le sac, en ressortit un nouveau morceau de bande autocollante qui fut immédiatement appliquée à nouveau sur la bouche de la gamine…

Puis aussi rapidement une deuxième cordelette entrava les poignets de l'enfant.

La petite gesticulait incroyablement… Surtout des pieds et des jambes… Nadège sans ménagement tira la gosse de la voiture et la fit glisser dans l'herbe… Quelques instants plus tard deux cordons enlaçaient fortement les chevilles de l'enfant…

A bout de souffle, haletante, la jeune femme put enfin attendre un peu que sa respiration reprenne son cours normal…

La fillette le regard horrifié la regardait intensément, ne comprenant absolument pas ce qui se passait, ni pourquoi elle faisait ça…

Nadège ouvrit la portière arrière et, traînant isabelle par les pieds, elle réussit à l'installer sur le plancher du véhicule, en bas des fauteuils…

Le plus dur était fait… Il lui restait à peaufiner en recouvrant le corps de la gosse d'une couverture… Elle ferma son véhicule et resta dehors une bonne dizaine de minutes…On entendait rien, tout était normal.

Les oiseaux continuaient leur concerto…

A son avis, personne ne devait avoir observé quoi que ce soit…

 

Le véhicule redémarra à seize heure juste…

 

 

Quand vous l'aurez à disposition vous vous rendrez avec votre voiture, dans la foret de Cuissage, à dix kilomètre de chez vous. En plein bois, il y a le château de Saute vierge. Juste en face du château, il y a une allée forestière, vous la prendrez et continuerez environ un kilomètre, jusqu'à une barrière… On peut pas aller plus loin…

 

La jeune femme se remémorait constamment les phrases que le "docteur" avaient prononcés au téléphone…

 

Elle avait le temps…Il était seulement dix sept heures… La gamine à l'arrière gémissait de temps en temps, assez souvent quand même pour énerver la jeune femme… Après tout, elle avait la solution. Le somnifère…

S'arrêtant en pleine campagne la jeune femme ouvrit une petite bouteille d'eau, remplit un verre en plastique et n'oublia pas de rajouter deux petits comprimés blancs dedans.

Elle attendit au moins cinq minutes, remuant le liquide de temps en temps pour que les comprimés se dissolvent plus facilement…

Personne en vue… Nadège souleva la couverture recouvrant la gosse. Le visage apeuré de l'enfant apparut… En une seconde, d'un geste brusque elle retira le ruban adhésif recouvrant les lèvres de la fillette…

 

-         Tu te tais, et tu écoutes…Dans quelques heures tu seras libérée, tu n'as rien à craindre… Je vais te donner un peu à boire.

 

Sans lui laisser le temps de parler ni de comprendre, elle approcha le gobelet de la bouche de l'enfant et la fit boire de force…

La gamine devait commencer à avoir soif, elle ingurgita le contenu entièrement...

Sans vouloir lui laisser en placer une, Nadège remit immédiatement les morceaux de rubans adhésifs sur sa bouche…

 

La jeune femme d'un signe de son index sur ses lèvres fit signe à la petite fille de se taire, et elle recouvrit à nouveau l'enfant avec la couverture…

 

A dix neuf heures la jeune femme se retrouva devant le château de Saute vierge.

Les derniers visiteurs reprenaient leur voiture pour rentrer chez eux, satisfais d'avoir pu contempler pendant quelques heures l'endroit magique ou le marquis de Crade pratiquait ses petites victimes…

 

Nadège attendit encore une bonne heure avant de prendre l'allée forestière juste devant le château…

 

La voiture stoppa… Impossible d'aller plus loin… Une barrière en bois cadenassée interdisait l'accès. La jeune femme coupa le moteur et attendit… Près d'une heure… Rien, aucune présence, aucun bruit suspect…

La portière côté passager s'ouvrit presque par magie… Aucune personne visible par la vitre… 

Le revolver qui s'immisça entre les battants de la portière était bien réel.

 

-         Vous êtes bien seule, vous n'avez prévenu personne ?

 

-          Non… ma fille ou est ma fille…?

 

-         Vous allez la revoir… On va y aller ensemble… Vous avez trouvé une gosse, comme je vous l'avais demandé…?

 

-         Oui, elle est derrière, elle dort…

 

-         Bon c'est bien… on va aller voir votre fille…Mais avant je dois prendre quelques précautions… Je vais vous mettre des menottes aux poignets et aux chevilles et un bandeau sur les yeux… Je vais conduire votre voiture… Vous n'avez rien à craindre de plus… Et puis c'est la seule façon pour que vous revoyez votre fille en vie… Alors pas de discussion…

 

La jeune femme soumise ne protesta pas. En une minute, elle fut cadenassée aux poignets et aux chevilles… Un foulard noir recouvrit entièrement son champ de vision…

 

-         Bon je vais examiner la marchandise à l'arrière… Il vaudrait mieux que vous ayez eu bon goût… Sinon…

 

Il ne pouvait résister plus longtemps… A genoux sur le siège il fit glisser la couverture recouvrant la fillette…

Il ne mit pas dix seconde pour se rendre à l'évidence… Elle était divine. Divinement belle… Gracile…

 

Il la palpa, ausculta ses cuisses, son bassin, ses fesses… Rien à redire, du premier choix…

 

-         C'est bien, tu l'a bien choisi… Au fait je te tutoie Nadège, à partir de maintenant, comme on est appelé à travailler ensemble… Mais avant, il faut qu'on soit bien d'accord… Et sur tout… Je sauve ta gamine à condition que tu acceptes toutes mes conditions… Et sans aucune restriction… Déjà sexuellement… Je te ferai l'amour quand je voudrais… Et bien sur avec ta gamine aussi… Tu sais en quelques semaines ta fille a appris beaucoup de chose… Elle est très soumise, il faut que cela continue. Tu vas être surprise lorsque tu vas la revoir… Elle est dans un drôle d'état… J'ai du pratiquer sur elle quelques petites modifications…   Il ne faut pas avoir peur, dans quelques jours elle sera sur pied et tout redeviendra comme avant. Mais pour voir si tu as bien compris je vais faire une petite expérience sur toi… Je vais te demander de te laisser faire… Je vais te caresser, je veux que tu te laisses faire…Si tu écartes tes cuisses, nous serons d'accord… Dans le cas contraire, on pourra dire qu'il y a rupture de contrat… Tu réfléchis bien avant… Si tu veux revoir ta fille vivante tu te laisses faire… Si tu es d'accord, tu bouges ta tête…

 

Elle mit quelques secondes à réagir… Puis accepta d'un signe de tête…

 

Le docteur fit glisser sa main vers l'entrejambe de la jeune femme, ses doigts s'immiscèrent entre ses cuisses serrées… Le miracle se produisit… Nadège ouvrit ses jambes doucement, mais à fond… Très rapidement la fermeture éclaire du jan glissa vers le bas… La jeune femme se laissa caresser, entièrement, jusqu'au plus profond de son intimité, jusqu'à mouiller abondamment… Le pacte était honoré, le vagin aussi…

 

-         Bon on est d'accord, c'est super… Je crois qu'on va faire du bon travail avec toi et ta fille…

 

Cinquante minute après la voiture arriva à destination… Le docteur retira le foulard des yeux de Nadège et la prévint encore une fois… Ce que tu vas voir n'est pas forcément beau ou moche…. Cela existe, c'est tout. le mal et le bien se mélange sur terre… Ce que j'ai fait à ta fille, je ne le regrette pas. Tu es arrivée à temps pour la soustraire à la mort… Tu vas être horrifié par les tortures que je lui ai prodigué… Je te demande de surmonter tes sentiments… Il faut que tu comprennes que c'est certainement moins atroce que de laisser mourir des centaines de milliers d'enfants de faim sous couvert de " merdocratie ", ou de bombarder des populations au napalm… La conscience des nations et de ceux qui les dirigent n'existe pas… Et à nous on nous demande d'avoir la conscience que nos dirigeants n'ont pas… Moi, je dois être fou… Mais à mon avis je suis  plus normal et conscient que certains de nos dirigeants…

Les yeux fixes, entièrement dans le vide, il se remémora sa phrase favorite…

 

Lorsqu'on tue un homme on est un assassin…

Lorsqu'on en tue cent mille on est un conquérant…

Lorsqu'on les tues tous, on est Dieu…

 

Il se reprit rapidement…

 

Bon je vais te retirer les menottes des pieds, pour les mains, on verra après…

Je ne veux aucune crise de larme… Tu rassureras ta fille…Si tu surmontes le spectacle, je m'occupe de soigner ta fille immédiatement…

J'espère que tu as bien compris ?

La jeune femme acquiesça d'un signe de tête.

 

Le couple descendit enfin de la voiture. Le docteur n'oublia pas de prendre dans ses bras le joli petit colis de dix ans dormant sur la banquette arrière…

Isabelle dormait très profondément. Mon dieu qu'elle était belle…

 

La porte du laboratoire s'ouvrit enfin…

 

La maman aperçu sa fille dans l’embrasure de la porte…

En contemplant ses seins transpercés par les aiguilles et l'anneau doré implanté sur le clitoris, elle ne put pas s'empêcher de crier d'effroi…

La fillette reconnaissant immédiatement sa mère se mit à l'appeler frénétiquement sans arrêter, en psalmodiant un maman effréné…

Deux secondes après la maman et sa fille s'embrassaient et se cajolaient tout en faisant bien attention de ne pas se blesser avec les fameuses aiguilles transperçant les seins de la gosse…     

Le beau spectacle dura plusieurs minutes… Plusieurs fois la gosse et la maman firent entendre des cris de douleurs significatifs…

Les aiguilles transperçant la fillette empêchaient les effusions rapprochées.

La maman les larmes aux yeux tourna enfin son regard interrogateur et méchant vers le docteur… La question ultime lui brûlait les lèvres depuis quelques minutes… Elle osa…

 

-         Pourquoi…?

 

Jean Charles soupira longuement, puis prenant sa plus belle voix, sa plus grave, sa plus "compassionnel" expliqua à la petite conne…

 

-         Pourquoi ?. La réponse est horriblement compliqué, elle se base sur une centaine de données, de la plus conne à la plus philosophique… Les gens ne se posent pas les bonnes questions… En admettant que Dieu existe, ou qu'il n'existe pas… Ils oublient qu'ils sont sur  la Terre pour apprendre à souffrir, et ceci pour savoir mourir… Peut être pour la suite du voyage… Le bonheur n'existe pas, le monde est conçu pour qu'il n'existe pas… Celui que l'on trouve parfois est toujours relatif, toujours fait pour les gens incomplets. Ceux qui se retrouvent dans ce " bonheur ", uniquement pour masquer la solitude de leur égo sont toujours aussi seuls… De toute façon, je vous expliquerai ça plus longuement… Bon maintenant je vais "libérer" Emmanuelle… Quand je dis libérer, c'est un bien grand mot… Je vais avoir besoin de vous deux pendant un certain temps. Isabelle va prendre la place de ta fille…

 

 

Le docteur retira la laisse de cou d'Emmanuelle… Isabelle fut cadenassé à sa place… Lorsqu'elle se réveillerait, elle ne comprendrait pas grand chose…

 

Les menottes enlaçant les mains de la maman furent retirées rapidement… Elle ne bougerait pas… Il le savait, sa fille était sa priorité absolue… 

 

Le petit hérisson humain perdit ses aiguilles une à une… Il les retira avec volupté, délicatement, sans se presser… La fillette eut légèrement mal, sans plus.

La fillette conserverait les cicatrices pour la vie…

Il prévint la maman et sa fille… : " Pour l'anneau dans le clitoris… Elle le garde pour l'instant et pour longtemps…".

 

Bon maintenant, et pour notre plus grand plaisir, je vais vous dire ce que j'attends de vous deux…

 

A suivre…

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P.S. Note sur l'inceste et la pédophilie :

 

Ce récit est imaginaire et doit le rester…

Une petite fille ou un petit garçon est un être humain, et ne mérite en aucune façon d'être perturbé dans son développement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour et ne l'auront peut être jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un être.

Le véritable courage dans la vie, consiste à donner le bonheur qu'on a pas eu,

et surtout de ne pas rendre le mal qu'on nous a fait…

 

Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour tenter Adam et Eve… Lucifer se porta volontaire, lui qui était pourtant l'un des sept grands archanges de notre système solaire, ou sa mission était de garder la planète Vénus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanité à faire grandir sa spiritualité en la soumettant à toutes les tentations.

Ce qu'il fit… La tâche que lui confia dieu fut certainement une des plus importantes de la création. Elle n'est pas finie, elle doit permettre à l'être humain de s'élever, de révéler sa véritable lumière intérieur, d'affirmer sa spiritualité en résistant au mal, qui lui même fait parti intégrante du bien.

Comprenne qui pourra …

 

Extrait brut et non corrigé de : " Le livre interdit "                                             

Auteur : Alain Terdit 

Titre : Le livre interdit  (Ce récit est imaginaire et doit le rester).

 

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Le récit complet, corrigé est déposé à l'INPI par enveloppe SOLO,  il reste la propriété de son auteur.
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