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Le livre interdit
Qu'il
faisait bon se promener le mercredi après-midi…
Jour
bénit, les fillettes déambulaient dans les rues, seules ou avec leur maman. Les
pucelles graciles se baladaient, flânaient, rigolaient, insouciantes de tous
mâles…
Il
réservait tous ses mercredi pour ça… La chasse à la "gaminette", sept
à onze ans maximum, innocentes, belles, fines, sensuelles…
Les
suivre à distance était devenu un jeu. A une dizaine de mètre il contemplait
leur petit cul, leurs galbes, leurs mimiques, tout lui plaisait.
Bien
sur il y avait beaucoup de " déchets ", heureusement une sur cent
avait ce charme indéfinissable qui lui plaisait tant, elle était désirable…
La jeune maman donnant la main à sa fille avait attiré son regard aussitôt, mignonne la mère, alcoolique, mais mignonne…
Sublime
sa fille…
Toutes
les deux en jeans bleu délavé, un peu "dégueu", pas vraiment bien
habillé ni propre les deux femelles. Elles chinaient de boutique en boutique,
s'arrêtant uniquement aux étalages bon marché, soldant en " dernière
démarque ".
La
fillette était très belle. ses petites fesses bien galbées, moulées par le
jean, laissaient entrevoir délicatement les coutures de sa fine petite culotte.
Une
chute de reins paradisiaque descendait doucement, sans aucun sacrilège, sur des
jambes fines, longues et très bien proportionnées.
Il
les suivaient depuis près de trente minutes, les "connaissant" un peu
mieux…
Intérieurement
il résuma la situation: " La mère
est fauchée et alcoolique chronique, leur propreté, à toutes les deux laissent
à désirer, pourquoi ne pas faire directement à la mère une proposition
pécuniaire. Pourquoi pas… ".
Elles
s'étaient arrêtées devant l'étalage d'un marchand de chaussures, discutant sur
un modèle…
C'était
le moment idéal… Il s'approcha à les toucher, leur parla le plus calmement et
le plus distinctement possible : " Elles sont pas terribles ces
chaussures, j'ai une proposition qui peut vous faire gagner tout de suite
énormément d'argent, si vous voulez je peux vous en parler maintenant …".
La
mère et la fille se retournèrent immédiatement, interloqués…
La
femme pas sur du tout que le message qu'elle est entendu soit bien à son
intention dit immédiatement : " vous voulez répéter…".
Il
répéta exactement la phrase déjà prononcé, sans rien omettre, en y mettant une
certaine tendresse.
La
femme resta sans voix…
De
suite il continua… Cela n'engage à rien, si vous voulez on en parle maintenant,
je vous explique tout en prenant un petit verre…
Elle
le regarda intensément, fixant ses beaux yeux bleus, et finit par dire :
"
Et ça consiste en quoi… ? "
D'un
geste d'invitation il lui montra du doigt la terrasse d'un café en rajoutant:
"
Là on sera tranquille pour parler… ".
La
fillette n'avait pas prononcé un seul mot…
Ils
se dirigèrent vers la terrasse du café, s'assirent. Réceptif à un signe de la main,
le garçon de terrasse vint prendre leur commande sans attendre…
Quelques
minutes après le serveur revint avec deux Whisky et un jus d'ananas.
Il
régla l'addition, laissa un très bon pourboire, du genre, qui voulait dire :
"
Bon maintenant tu te casses et tu nous fout la paix ".
Enfin
seules, il se présenta : " Je suis le Docteur Faudiere, pédopsychiatre, je
suis spécialiste du comportement des enfants ". pour appuyer ses dires, en
même temps qu'il se présentait il tendit à la maman sa carte de visite ".
Le
morceau de carton en main, la maman se détendit, rougissant un peu …
Elle
était un peu rassuré, mais pas complètement…
Il
continua à lui expliquer : " J'écris un livre sur l'éducation des enfants,
mes collègues et moi nous faisons des expériences, nous recherchons des
fillettes de huit à dix ans pour ces dîtes expériences… C'est très bien payé,
dix mille francs par semaine…
Il
rajouta : " payable d'avance, en espèce…".
La
fillette n'avait encore rien dit, elle écoutait sagement, sans vraiment avoir compris
quoi que ce soit de la conversation.
Le
silence reprit ses droits quelques instants, puis la maman questionna :
"
Et concrètement cela consiste en quoi … ? "
La
réponse ne se fit pas attendre, on vous donne dix mille francs, et vous nous
confier votre fillette pour une semaine.
Il
rajouta, les tests peuvent durer de quatre à dix semaines, ce qui vous fait
quarante mille francs au minimum et cent mille Francs au maximum .
Ces
tests ne sont pas fait en une seule fois d'affilée, d'abord une semaine chez
nous, puis elle rentre chez vous quelques semaines, on la rappelle quand on en
à besoin… Bien sur vous pouvez avoir au téléphone votre gamine une fois par
jour.
La
maman réfléchit longtemps, puis demanda :
"
Les tests c'est quoi… ? ".
Sans
se démonter, il répondit :
"
Des tests sur son comportement, nous recueillons aussi son témoignage, sur sa
vie actuelle, ainsi qu'à l'école…
".
Le
dialogue continua …
-
Et
je ne peux pas rester avec elle ?.
-
Non
pas du tout, c'est fait scientifiquement, son entourage ne doit pas la
perturber…
-
Mais
elle à peine huit ans, c'est jeune pour des expériences.
-
Expérience
est un bien grand mot, C'est l'age le plus intéressant pour les tests…
-
vous
pourriez lui faire mal…?
-
Mais
non, on ne fait pas mal du tout…
-
Si
vous accepter elle va se retrouver avec trois autres petites copines de son age
qui participe déjà à ces tests.
Elle resta muette, sans voix ni aucune réaction. Le
docteur pour appuyer sa demande sortit de sa poche une enveloppe d'ou dépassait
une quantité de gros billets de banque. Il en compta vingt, les sortit le plus
discrètement possible, lui montra, puis les glissa de son côté sous la nappe en
papier qui recouvrait la table.
Si vous êtes d'accord, je vous donne dix milles
Francs maintenant, J'emmène votre fille en taxi à la clinique, vous lui
téléphonerez ce soir, mais pas avant vingt heures…
Vous ne risquez rien du tout, elle non plus, vous
avez mon nom, l'adresse et le numéro de téléphone… Je suis un docteur réputé
dans cette ville…
Demain vous viendrez à l'adresse de la clinique
indiquée sur la carte, pour amener quelques affaires à votre fille, vous me
demanderez :
Service de pédopsychiatrie du Dr Feaudière,
quatrième étage…
La femme renchérit : " Mais pourquoi ne pas
attendre demain…".
Il rétorqua aussitôt : " Il manquait une candidate pour aujourd'hui,
je cours la faire inscrire et la présenter à mes collègues ce soir, c'est le
dernier délais pour le cahier des charges…". C'est ça l'administration…
Ne comprenant pas tout, elle réfléchit…
Voyant qu'elle " tiquait " un peu, il
décida d'essayer le tout pour le tout…
Bon écoutez, ce n'est absolument pas grave, je suis
heureux de vous avoir connu vous et votre fille, si un jour vous avez besoin
d'une consultation passez me voir à la clinique, maintenant je vais vous
laisser… Je vais aller faire cette offre à une autre maman dont un de mes
collègue docteur m'a parlé, je devais y aller lorsque je vous ai aperçu tout à
l'heure, je me suis dit, pourquoi ne pas en faire profiter cette dame et cette
gentille petite fille, cela me faisait gagner du temps…
Il se leva pour la saluer, lui tendit la main
droite, pendant que l'autre main se dirigeait vers l'endroit ou se situait les
billets de banque, s"apprêtant à les reprendre…
La femme craqua… Bon je suis d'accord… Dit elle !
Il se ré-assit immédiatement, leva son doigt en
prononçant assez fort la phrase qui allait aider l'alcoolique à conclure le
marché plus facilement :
" Garçon la même chose s'il vous plait ".
En sirotant leur deuxième whisky, ils mirent
certains détails au point.
le docteur nota son nom, adresse, et téléphone,
ainsi que tous ce qui pouvaient concerner la fillette, date de naissance et
pleins d'autres renseignements…
Tout
y passa, en cinq minutes il sut beaucoup de chose, le papa était parti depuis
deux ans, aucune nouvelle… La mère de la petite était au chômage, presque sans
ressource…. L'idéale pour lui…
Il
reprit l'argent sous la nappe en papier, le tendit à la mère… Elle le rangea
immédiatement dans son sac à main…
Il
appela le garçon de café à nouveau, lui demanda d'appeler un taxi, rapidement… Il ne voulait pas que la mère se
ressaisisse, elle pouvait encore changer d'avis…
Le
taxi arriva cinq minutes plus tard… La femme parla à sa fille, elle s'appelait
Emmanuelle,
lui expliqua qu'elle lui téléphonerait ce soir, qu'elle passerait la
voir
demain pour lui apporter des affaires. En attendant il fallait qu'elle soit
sage
et fasse tout ce que le docteur lui dirait…
La fillette
n'était pas enchantée, mais certaine de revoir sa mère demain et contente pour
elle qu'elle ait de l'argent, elle ne fit pas d'histoire.
La
petite lui demanda juste si avec l'argent elle allait lui acheter des nouvelles
chaussures de danse… Sa mère lui promit aussitôt…
Les
adieux furent rapides, le docteur prétextant être très en retard…
Il
lui dit encore une fois qu'il aurait plus de temps demain entre dix et onze
heure, le moment ou, amenant ses affaires elle pourrait embrasser sa fille à
nouveau…
Il
monta avec Emmanuelle à l'arrière du taxi. D’une voix assez forte il prononça à
l’intention du chauffeur l'adresse de la clinique à laquelle il désirait se
rendre.
Assez
fortement pour que la mère l’entende…
La
voiture démarra, le regard de la femme croisa avec intensité celui de sa
fille…
C'était peut être la dernière fois qu'elles se voyaient dans ce monde…
En
cours de route, le docteur parla au chauffeur lui expliqua qu'il avait oublié
un
dossier médical d'un patient, qu'il fallait qu'il se rende d'abord à une autre
adresse.
La voiture changea donc de direction, s'arrêta en plein centre ville aux abords
d' une rue piétonnière. Le pourboire laissé au chauffeur fut normal, sans
plus…
Le taxi reparti sans se douter de quoi que ce soit.
Il
marcha assez vite, donnant la main à Emmanuelle, lui parla très gentiment, expliqua que c'était pour son bien, qu'elle
verrait plus tard, quelle reverrait sa maman demain matin…
La
môme ne comprenait pas réellement ce qui se passait… Il fallait faire vite.
Il
n'était plus qu'à une dizaine de minutes de l'endroit ou sa voiture était
garée.
Le
véhicule était toujours là… Il fit monter la gamine à côté de lui, côté
passager, prit deux comprimés dans sa trousse médical, avec gentillesse il
demanda à la petite fille de les avaler… Il lui tendit une petite bouteille
d'eau plate pour faire passer le médicament… Elle le prit sans rechigner.
Ce
somnifère très puissant était prévu pour un adulte, à prendre quinze minutes
avant de s'endormir. Selon lui dans très peu de temps elle dormirait…
Il
roulait depuis près de quarante minutes en direction de la campagne, la petite
fille s'était assoupis, dormant profondément.
Il
souleva un de ses bras en hauteur, puis le laissa retomber tout seul…
Avec
un bruit mat le membre retomba en plein milieu des deux sièges, sur le
cendrier, elle aurait pu avoir mal. Le somnifère agissait…
L'idée
lui vint… La route serait moins monotone à faire si …
Sa
main droite se posa sur la cuisse de la fillette, puis remonta sur le ventre
plat.
Il
caressa de longues minutes… La marchandise était parfaite, rien à redire.
D'un
geste adroit, il dégrafa le bouton du jean au niveau du nombril, la fermeture
éclaire glissa doucement, il l'aida jusqu'en bas…
Il introduit
sa main dans le jean baillant en grand… La douceur et la chaleur de la petite
culotte en coton le fit frémir de plaisir. Il visita le tout, parcourant
l'ensemble, des cuisses au ventre… D'un doigt il traça la fente de son sexe,
appuyant légèrement, juste assez pour que le tissu très fin rentre un peu…
La
gamine dormait toujours profondément…
Il
voulut la posséder tout de suite… Sa main remonta jusqu'au nombril, bien à plat
sur la douce peau satinée, puis redescendit en appuyant à fond…
Les
doigts s'engagèrent sous le tissu de la petite culotte, puis rapidement toute
la main se retrouva dans le temple de la gamine.
Aucun
poil… La fente bien dessinée fut honorée d'une caresse longiligne pendant
quelques secondes… Puis l'index d'un seul coup se replia en appuyant très
fortement… Le vagin de la petite fille venait d'enserrer son doigt…
Il
la pratiqua plusieurs minutes, jouant avec son canal vaginal…
C'était
doux, chaud comme il aimait… Du miel, comme il disait…
Il
était déjà dix huit heures, dans deux heures sa maman téléphonerait à la
clinique, elle demanderait le service d'un docteur complètement inconnu de
l'établissement… Ca allait faire du grabuge… A moins que…
Il
s'arrêta pour téléphoner à la sortie d'un petit village, composa le numéro de
téléphone que la mère de la petite lui avait donné tout à l'heure…
Il
l'eut tout de suite au téléphone et commença par lui dire d'un ton calme et
monotone :
"
Vous me laissez parler et vous ne m'interrompez pas, ce n'est pas la peine de
téléphoner tout à l'heure, ni de venir demain, votre fille à été victime d'un
enlèvement. Je l'ai enlevé tout à l'heure sous vos yeux. Vous reverrez votre
fille très rapidement si vous ne prévenez pas la police. Si vous prévenez les
flics, je serai obligé de supprimer l'enfant… De plus faites attention, des
personnes tout à l'heure on dû vous voir recevoir une somme d'argent de la part
d'un homme, qui en contrepartie est parti avec votre gamine…
Vous
aurez du mal à faire croire à la police que vous n'étiez pas de mèche avec lui. le garçon de café, le
chauffeur de taxi pourront témoigner, et certainement d'autres témoins aussi…
Donc vous ne prévenez personne…
Dans
quelques semaines je vous renverrai votre fille en très bonne santé. Sinon…
".
Elle
l'avait laissé parler sans l'interrompre une seule fois…
Il
lui demanda : " Vous avez bien compris… ".
Il
entendit une petite voix entrecoupée de sanglot qui murmura :
"
Oui, ne lui faite pas de mal, rendez moi ma fille…".
Il
reprit : " Si vous ne prévenez pas la police je vous la renverrai dans
quelques temps…". Il raccrocha…
L'idée
d'avoir téléphoner ne lui paraissait pas mauvaise, il verrait bien si sa mère
la fermait… Il remonta dans sa voiture et démarra aussitôt.
Il
arriva à sa maison de campagne une dizaine de minutes après, c'était très
retiré, loin de toutes habitation, il serait tranquille pour la suite…
Il
valait mieux, car ce qu'il allait faire endurer à la fillette n'avait rien
d'enviable…
Elle
dormait encore, la môme ne pesait vraiment pas très lourd, un vrai poids plume.
Il n'eut aucune difficulté pour la porter, puis la déposer sur le grand lit du
local, réservé à des fins très spéciales…
La chambre de torture
La
pièce était entièrement tapissée de laine de verre sur tous les murs, ainsi qu'au
plafond. L'ensemble recouvert d'une très épaisse moquette de couleur rose
faisait de cette endroit de quatre mètres sur cinq une parfaite chambre sourde,
aucun son ne pouvait en sortir. Il avait aussi rendu la porte étanche, la
recouvrant des mêmes matériaux, avec en plus des joints caoutchouc…
L'essai
avec sa chaîne HIFI volume à fond avait été concluant, dans le couloir à un
mètre, on entendait rien. Il avait fallu qu'il plaque son oreille sur la porte
pour entendre très légèrement la musique…
Une
fillette pourrait gueuler de douleur, personne ne l'entendrait…
La
chambre de torture, comme il la nommait n'avait rien de commun avec une pièce
d'habitation, seul un grand lit recouvert d'une grande couette de couleur rose
avait un aspect humain, le reste était uniquement fonctionnel.
Aucun
doute n'était permis, tout dans cet endroit était fait pour faire souffrir. Des
anneaux aux murs sur lesquels pendaient de longues chaînes en acier
inoxydables, se terminant par des colliers avec serrure pouvant se fixer aux
extrémités des membres.
Un système de trapèze commandé par des poulies et un treuil avaient été aménagés au plafond, permettant d’immobiliser et d’écarter dans toutes les positions un corps humain, ceci pour procéder à toutes les interventions désirées.
Rien
n'avait été laissé au hasard,
Au
milieu, une grande roue était installée à la verticale, elle pouvait tourner
sur elle même, des bracelets de cuir pendaient à différents endroits…
Un
portique sur lequel pendait aussi deux harnais et des sangles, sans oublier les
bracelets de cuirs trônait près d'un mur.
une
table gynécologique permettant d'ausculter les petites femelles, cuisses
écartées, jambes en hauteur reposants sur des étriers, bras et chevilles
maintenus, attachées par des sangles.
Une
armoire en bois sans porte, remplie de médicament, seringues, bocaux, tuyaux de
lavement et ustensiles médicales.
Une
autre entièrement en verre laissait apparaître sur chaque étagère une multitude
d'instruments de torture, pinces à seins, cisailles, tenailles, limes, scies,
écarteurs, aiguilles de dimensions divers, bistouris, perceuses et scie
électrique…
Une
collection incroyable de godemichés de toutes dimensions ayant des formes les
plus bizarres trônait sur la plus haute étagère.
Fixés
à l'un des murs, et reposant uniquement sur des crochets, des fouets, martinet
simples ou se finissant par des petites boules métalliques, planches à clous,
badines, nerfs de bœufs, barre de ferre, ceintures de cuir…
Dans
un coin de la pièce, un petit lavabo muni d'une clef spéciale sur la
canalisation principale, permettait de supprimer l'eau en cas de punition…
A
côté d'un mur, une douche sommaire, un bidet pour que les fillettes puisse se
laver et rafraîchir ce qui très vite allait devenir congestionné et en feux…
Une
particularité avait était rajouté sur ce dernier accessoire de lavage du sous
bassement des gamines.
On
pouvait les y asseoir, et les forcer à rester dessus autant qu'il plaisait.
Des
sangles avaient été fixées aux murs, elles permettaient de maintenir les bras
tendus en hauteur. Les attaches fixés sur le sol étaient chargés d'immobiliser
les cuisses en position écartées. La petite fille était donc forcé de rester
assise le postérieur et le vagin dans l'eau autant de temps qu'il le voulait…
Cela
n'avait l'air de rien, mais il savait pour l'avoir pratiqué que cette torture
était horrible…
Il
suffisait d'asseoir la gamine dessus, les cuises étant tenus écartées à fond
par les attaches fixées au sol, de boucher un peu le trou d'évacuation et de
laisser couler l'eau très légèrement…
L'eau
froide remplissait son office très rapidement, engourdissant le bas ventre et
le postérieur de la fillette, au bout de trente minutes elle commençait à
trembler de froid, au bout d'une heure elle suppliait pour qu'on la détache…
Il
l'avait expérimenté avec une fillette de huit ans qui refusait de sucer sa
bitte,
il
l'avait laissé une heure dessus… Elle le suppliait tellement d'arrêter, qu'il
s'était mis debout, les jambes écartées au dessus d'elle, la bitte sortie …
Elle
avait happé aussitôt la bitte et avait fait sa première fellation en avalant
toute la jutte, sans en laisser une goutte, comme il lui avait ordonné…
En
plus le bidet nettoyait et insensibilisait en même temps, lorsqu'une fillette
avait trop mal, c'était la solution idéale…
Le
ravissement des yeux n'avait pas été oublié, sur l'un des murs un présentoir de
six étages, lui aussi entièrement en verre transparent laissait apparaître une
multitude d'habits, de gaines, des petites culottes d'enfants, des soutiens
gorges avec ou sans bonnets, des bas et collants de toutes les couleurs.
Sans
oublier les petites culottes spéciales, avec ouverture par boutons pression ou fermeture
éclaire sur le devant ou le derrière, pour laisser passer les instruments de
travail…
Un
étage plus haut que les autres supportait une tringle sur laquelle coulissait
des portes manteaux avec attaches. Un assortiment complet de mini-jupes, short,
tuniques, pouvait être sélectionné rapidement…
Uniquement
des vêtements érotiques d'enfants, pas
n'importe quelle taille, juste de sept à onze ans. Le ravissement …
Il
déposa la petite fille d'à peine huit ans sur le grand lit, elle dormait
profondément…
Il
verrouilla la porte de la chambre sourde, appuya sur un interrupteur, un déclic
se fit entendre, suivit aussitôt par un léger bourdonnement, le système de
ventilation venait de se mettre en fonctionnement.
La
laisse de cou, comme il l'appelait, portait bien son nom, d'une longueur de
cinq mètres, elle permettait à la fillette de faire tout ce qu'on lui demandait
sans problème. Le petit collier en métal extrêmement résistant enserrant la gorge de l'enfant se fermait avec un
cadenas de sécurité. Une chaînette en acier reliait l'ensemble à une attache
fixée dans le mur. Jamais aucune jeune pucelle n'avait pu retirer le collier
toute seul…
Comme
d'habitude, il n'eut aucune difficulté à la mettre en laisse…
Elle
était à lui, il pouvait enfin s'amuser comme il le voulait, il fallait juste
attendre qu'elle se réveille…
Il
était très patient, capable de préparer une fillette pendant des semaines, cela
dépendait uniquement d'elle… Oui c'était ça, sa survie dépendait uniquement
d'elle. Si elle était obéissante et le faisait jouir souvent et pleinement, il
la gardait des mois, sinon, quelques jours seulement…
Il
lui en fallait toujours plus, la dernière fillette avait neuf ans, il l'avait
garder trois mois à peu près en bonne état, et puis les supplices irrémédiables
avaient commencés…
Trois semaines
d'agonie horrible, la petite fille transpercées de partout par des aiguilles,
empalée vingt quatre heures sur vingt quatre, le bout des seins coupés, puis
brûlés pour éviter l'hémorragie fatale. Ne lui donnant comme seule boisson et
nourriture que trois doses se spermatozoïde par jour la première semaine…
La
fillette crevait de soif et aspirait tout au maximum, sans rien laisser…
La
deuxième semaine, elle avait tellement soif et faim qu'il avait eu pitié
d'elle,
il
avait descendu le trapèze à l'horizontal le plus bas possible, et il lui avait
uriner dans la bouche… elle avait tout avaler…
Puis
il lui avait proposer d'ouvrir la bouche, pour y chier dedans, elle avait
refusé… Il l'avait fouetté le plus fort qu'il avait pu avec le martinet à
boules métalliques une trentaine de coups… Agonisante et sanguinolente, elle
avait acceptée…
Il
avait collé son anus sur sa bouche grande ouverte, la merde était rentré petit
à petit… Il avait menacé de lui brûler la chatte, si elle ne mangeait pas tout…
Elle
n'avait rien laissé… Il avait joui, se masturbant en entendant la fillette
déglutir et avaler… Pour finir il lui avait demandé de nettoyer son cul avec sa
langue, lui ordonnant qu'il n'en reste pas… Elle l'avait fait.
Tous
les jours il avait continué ce manège, elle avalait la merde de mieux en mieux
et de plus en plus rapidement à chaque fois.
Avec
la matière fécale et la pisse ingurgitée, elle reprenait des forces. Pour
éviter les infections dues aux coups et à la nourriture, il lui faisait des
piqûres d'antibiotique, toujours avec la plus grosse aiguille possible…
Il
avait ouvert son cul et son vagin comme aucune petite fille n'avait été
ouverte.
Elle
hurlait de douleur et de jouissance, tenue en extension sur le trapèze, deux
énormes chibres dans ses trous. Son clitoris transpercé par des aiguilles,
auquel il avait attaché des poids de deux cent grammes…
Il
retirait chaque jour les godemichés, et mettait à leur place son poing fermé
dedans.
Tout
rentrait sans problème, miracle de la femelle, même à neuf ans…
La
gamine avait encore souffert une dizaine de jours… Et puis l'issue fatale…
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P.S.
Note sur l'inceste et la pédophilie :
Une petite fille
ou un petit garçon est un être humain, et ne mérite en aucune façon d'être
perturbé dans son développement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect
de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour
et ne l'auront peut être jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un être.
Le véritable
courage dans la vie, consiste à donner le bonheur qu'on a pas eu,
et surtout de ne
pas rendre le mal qu'on nous a fait…
Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs
pour tenter Adam et Eve… Lucifer se porta volontaire, lui qui était pourtant
l'un des sept grands archanges de notre système solaire, ou sa mission était de
garder la planète Vénus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanité à
faire grandir sa spiritualité en la soumettant à toutes les tentations.
Ce qu'il fit… La tâche que lui confia dieu fut
certainement une des plus importantes de la création. Elle n'est pas finie,
elle doit permettre à l'être humain de s'élever, de révéler sa véritable
lumière intérieur, d'affirmer sa spiritualité en résistant au mal, qui lui même
fait parti intégrante du bien.
Comprenne qui pourra …
Le récit complet, corrigé est déposé à l'INPI par enveloppe SOLO, il reste la propriété de son auteur.
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