Rose sans bonbon

                                       

   Auteur :  Alain Terdit

 

 

 

                                AVERTISSEMENT, mise en garde :

 

 

Les scénarios décrits sont inspirés de faits réels. Ils sont développés pour étudier et connaître les méthodes de ceux qui kidnappent ou torturent des enfants. Les récits imaginés et inspirés par ces méthodes sont de la pure fiction et  imaginaires. Bon nombre critiqueront, pourquoi avoir fait ce ramassis d'histoires "honteusement merdiques". Je leur répondrai que justement, c'est parce que la merde existe. Lorsqu'on la voit, on peut l'éviter, ne pas marcher ou tomber dedans… Il ne s'agit pas que ces histoires soient lues par des mineurs, c'est tellement évident. Ces récits doivent être consultés par des gens responsables et sains d'esprit, dans le but unique de connaître sans se voiler la face que de telles pratiques existent…

 

Pour m'écrire : [email protected]

               Ou : [email protected]                                                             

 

 

Récit livré brut et non corrigé :  Rose sans bonbon   202 Pages

                                         

 

Le récit complet, corrigé est déposés à l'INPI par enveloppe SOLO,  ils restent la propriété de son auteur. 
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Table des matières

  

    1 - Avertissement et mise en garde

    2 - Table des matières

    3 - Nadine

    6 - La pipe de Nadine

    9 - La pisse et l'enculage de Nadine

  15 - La fellation et l'examen gynécologique

  19 - Le dépucelage de Nadine

  24 - La levrette avec Nadine

  30 - Les courses en ville et la promenade dans le bois

  37 - la baise et l'orgasme de Nadine

  40 - Dans le jardin avec Nadine

  43 - La pipe de Nadine au cinéma

  47 - La rencontre de Jean Yves

  48 - L'enculage de Nadine à trois

  52 - La harissa dans le string de Nadine

  54 - La rencontre d'Audrey à la plage

  60 - Les deux pipes de Nadine

  67 - La casse de voiture et le ferrailleur I

  71 - Le rapt d'Audrey

  77 - La soumission et l'initiation d'Audrey

  83 - L'enculage d'Audrey

  85 - A quatre dans le lit

  89 - Les courses et le god de Nadine

  96 - la casse de voiture et le ferrailleur II

102 - Les tarifs

105 - Trois trous et trois bites pour Audrey

109 - L'organisation du bordel

114 - Le rapt du petit Kevin

120 - L'enculage et l'initiation de Kevin

127 - La partouze I

137 - Sandy

139 - Laura

155 - Mr Dupuis

165 - La visite médicale du CE 2

175 - La visite médicale du CM 1

182 - Le rapt d'Amélie

196 - La livraison

202 - Notes sur l'inceste et la pédophilie

204 - Violence et pédophilie - Le plaisir du corps et l'origine de la violence -

         Assistance aux personnes en prise avec des attirances pédophiliques

 

 

 

Nadine

                                    

 

La Fillette se nommait Nadine. Elle se laissait faire, debout, serrée contre lui… A peine 11 ans. Presque consentante...

Il continua à palper ses vêtements. Comme la gamine ne disait rien, il apposa une main sur sa petite poitrine naissante, recherchant sur le tissu un de ses petits tétons. Il plaqua l'autre au niveau d'une de ses fesses. Elle frémit…

Elle portait sur elle un tee-shirt moulant blanc et une adorable petite jupette de couleur jaune… Adorable enfant, cheveux blonds mi-longs, les yeux d’un bleu ciel transparent. Visage parfait, corps magnifique. L’absolu beauté.

Ses doigts sculptaient avec délicatesse ses fesses, les palpaient tout en suivant les coutures de la très légère petite culotte qu’il devinait sous le tissu.

La fièvre montait en lui, il se raisonna, il avait tout le temps…

La petite repartirait de chez lui avec sa mère en début de soirée vers 20 heures,

il était seulement 10 heures du matin.

Sa maman l’avait amené à 9 heures, comme convenu hier soir…

Au regard que lui avait lancé Nadine dès qu’ils furent seuls, il avait compris immédiatement qu’une très grande complicité allait s’établir entre eux.

Il avait ressenti dans son regard un besoin d’affection spécial, en même temps qu'une certaine interrogation sortant totalement de l’ordinaire…

Elle voulait peut être apprendre ce que beaucoup à son âge ignoraient.

Sans un mot il lui prit la main, l’emmena à quelques mètres sur un grand canapé. Il s’assirent l’un à coté de l’autre. La petite était un peu tendue.

La prenant doucement par les épaules, il lui déposa un bisou très tendre dans le cou, puis remonta jusqu’à trouver sa bouche.

Il appuya doucement ses lèvres sur les siennes…

Sa langue se fraya un chemin. Nadine se laissa faire…

C’était à son avis la première fois, elle semblait aimer. La main droite de l'homme descendit doucement jusqu’à effleurer le genoux droite de la gamine. Elle se laissa écarter doucement les jambes, l’exploration commença. Ses doigts remontèrent doucement sur les cuisses, soulevèrent très délicatement la jupette.

Il avança encore un peu, effleura le tissu très doux de la petite culotte, continua à remonter vers l’entrejambe. Le temple de la fillette était sous ses doigts…

Il chercha volontairement à situer la fente de son sexe en appuyant délicatement sur le tissus. Nadine eu un léger soubresaut et chercha à refermer ses cuisses.

Il décida de ne pas aller plus loin, du moins pour l’instant, se contentant de faire naître en elle des envies quelle n’avait jamais encore connues.

Sans insister, il continua à l’embrasser, lui caressa le haut des cuisses longuement tout en titillant de temps en temps les bords de sa petite culotte.

Il valait mieux attendre que le tranquillisant très spéciale et mélangé au jus d'orange bu par Nadine trente minutes auparavant fasse son effet… 

Nadine aimait ses caresses, elle était déjà très sensuelle pour ses 11 ans.

Oui c’était bien ça, à sa façon de ressentir le moindre attouchement, on devinait une sensualité naissante et exacerbée.

Elle était faite pour le plaisir…

La fillette commençait à avoir sommeil, il lui proposa de s’allonger de tout son long sur le canapé, elle acquiesça. Il lui mis un petit coussin moelleux sous la tête, remit sa jupette comme il fallait, tout en lui caressant son petit derrière… 

Elle était désirable, il avait envie de la regarder toute nue, de l’embrasser partout, de sentir son odeur de pucelle.

Ses jolis petits yeux se fermèrent, sa respiration devint plus lente, elle dormait d’un sommeil bizarre. Il la contempla cinq minutes sans rien faire.

Le moment était venu…

La bouche à l’oreille de la petite, il se mit à lui parler  "Nadine tu m’entends… ", plusieurs fois il répéta cette phrase, aucune réaction, il continua, "Nadine tu m’entends…"

Elle tressaillit une première fois, puis elle eut un autre sursaut plus petit quelques secondes après… Les yeux toujours fermés il entendit distinctement : " Oui Monsieur ". Elle était dans un état de semi-conscience, cela allait lui permettre de faire beaucoup de chose. Ce mélange de médicaments il l’avais déjà testé, donnait des résultats stupéfiants.

Sans plus attendre il lui demanda de se retourner, de se mettre sur le ventre.

Ce quelle fit immédiatement avec une passivité déconcertante…

Elle n’avait plus aucune volonté…

Il lui caressa doucement sa jupette, commença à lui peloter son postérieur.

Très ferme et d’une forme parfaite… De ses deux mains il releva sa jupette.

Le spectacle magnifique de ses deux petites fesses enrobées dans la petite culotte rose lui apparut.  il fit glisser doucement le léger morceau de tissu sur ses cuisses, presque au genoux, il releva aussi le tee-shirt jusqu’au épaules.

Comme le regard et la palpation  lui avait prédit, ses fesses, sa chute de rein étaient parfaites, sa peau était d’une douceur fantastique.

Ses deux mains se promenaient sur toutes les parties du corps qu’il avait dénudé.

La réaction fut immédiate, son sexe commença à devenir très dur et raide.

Il décida de profiter de tous ces instants au maximum, il savait ce qu’il pouvait faire. Il se dévêtit entièrement… Enfin presque, seul son slip resta sur lui.

Il bandait terriblement, le tissu déformé dessinait une forme oblongue généreuse.

Il lui restait à déshabiller complètement la fillette, ce qu’il fit promptement, en douceur. Elle se laissa faire sans aucun problème, toujours à demie consciente.

Elle fut rapidement nue, les fesses toujours vers lui, couchée sur le ventre.

Le coussin quelle avait sous la tête tout à l’heure allait lui servir pour un autre usage, il voulait le mettre sous son ventre.

Ce qu’il réussit à faire sans problème  en soulevant doucement la petite fille.

Elle avait maintenant le bassin et les fesses surélevées, le cul offert…

Le spectacle était super, aucun poil sur son minou bien visible, mais bien fermé. L’anus et sa petite corolle fripée en étoile était magnifique.

Ce n’était pas suffisant pour lui, il ouvrit doucement mais complètement ses cuisses. " La petite grenouille " était offerte au maximum.  Il ne put résister, approchant sa bouche de la petite croupe, il déposa  sur la ligne des fesses une grande quantité de salive. Il avait calculer juste, celle-ci commença à couler directement sur son anus. Il se mit un doigt dans la bouche, le mouilla, l’approcha de l’anus de la gamine. Très délicatement, l'index força l'anus en faisant rentrer un maximum de salive.

Il fut surpris par le petit cri que Nadine émit.

Très lentement, il continua d’un mouvement de va et vient à rentrer toute la salive en attente sur sa croupe.

Il bandait de plus en plus, n’y tenant plus il sortit son sexe. Celui-ci se mit immédiatement en position verticale, érection maximum…

L'idée lui vint de mettre sa bitte sur son anus. Il changea donc sa position, elle se laissa faire sans problème. Il la mit à genoux, cuisses très écartées, son corps parallèle au divan et tête en bas.

Il se glissa derrière elle, entre ses cuisses, après avoir inondé sa verge de salive,  approcha son gland du trou du cul de la petite. Chacune de ses mains écarta une de ses petites fesses, son gland commença à appuyer très doucement sur la corolle du trou du cul de la gamine.

A chaque pression minime de sa bitte, il voyait la corolle étoilée de la fillette se déformer pour épouser la forme de son gland. Il ne voulait pas la pénétrer, du moins pas maintenant…

Au bout de quelques minutes, il remarqua que l’anus de la petite changeait de couleur, il devenait un peu rouge violacé depuis qui lui martelait doucement son trou.

Elle était bien détendue, dans une position idéale pour une sodomie.

Sans arrêter son petit martèlement, il décida de commencer à toucher sa fente. L’exploration de son sexe commença, ses lèvres étaient bien fermées.

Il parcourut la fente avec un doigt en exerçant une pression très légère. 

A chaque parcourt de la petite fente il s’attardait à l’endroit ou devait se trouver son petit clitoris, il appuyait un peu plus fermement en faisant faire un petit cercle à son doigt.

Il fut récompensé. Quelques minutes après ce petit manège, il remarqua que les lèvres de son sexe commençait à s’ouvrir.

Il pouvait déjà mettre son doigt à l’intérieur, puis en ressortant jouer avec les petits morceaux de chair fragile. Il palpa sur le haut du sexe une toute petite boule qui gonflait de plus en plus, il la caressa… Le clitoris de la fillette.

 

 

 

                                                 La pipe de Nadine

 

 

Il garda le rythme, son gland tamponnait le petit anus doucement, les doigts fouillaient son sexe, sans ignorer le clitoris. La gosse qui n’avait pas eu beaucoup de réaction jusqu’à maintenant commença à remuer doucement, ainsi qu’à émettre des légers gémissements.

Il ressentit monter le plaisir en elle, ce qui fut vérifié par les doigts qui fouillaient sa fente et qui commencèrent à être mouillés d’un liquide tiède.

La petite prenait du plaisir. Il voulait savoir jusqu’où cela pourrait aller avec une fillette de onze ans ans, Il continua donc, de plus en plus la fillette se tordait, gesticulait en articulant des petits sons.

Il décida de s’octroyer un petit plaisir supplémentaire, il abandonna sa position derrière son cul, s’allongea sous elle, la tête à la hauteur de son minou. Juste en levant la tête, en sortant la langue de sa bouche il devait pouvoir lécher son sexe. De ses deux mains il descendit un peu son bassin, oui il était à la bonne hauteur…

Il commença à donner quelques petits coups de langue, goutta le liquide qui sortait d’elle. Très rapidement il mit sa bouche sur les lèvres de son sexe assurant une étanchéité totale. Il ne voulait plus rien perdre de ce qui sortait de son vagin. C’était bon…

Il resta dans cette position un long moment ne pensant qu’à lécher entièrement la petite fille, il rentrait sa langue avec délicatesse en faisant bien attention de ne pas la blesser. Il n’oubliait jamais le clitoris donnant un petit coup de langue de temps en temps. Nadine bougeait maintenant tout le temps, les petits cris qui sortaient de sa bouche avec sa voix d’enfant lui faisait un effet terrible.

Sa bitte était terriblement gonflé, prêt à éclater… Ses testicules étaient pleins…

Il remonta sous la gamine de façon à mettre sa bitte à hauteur du visage de la fillette. Il était maintenant assis jambe tendues, la fillette était dans la même position qu’auparavant peut-être les jambes un peu plus fléchit, cul offert en haut, le visage juste sur sa bitte. Il prit sa tête avec ses deux mains, amena sa bouche à la hauteur de sa queue. Il lui demanda doucement mais fermement :

" Ouvre ta bouche Nadine s’il te plaît ". La fillette attendit cinq secondes avant de s’exécuter très doucement et d’ouvrir sa bouche. Il lui donna un autre ordre :  " Ouvre plus grand s’il te plaît Nadine ". La fillette lascivement s'exécuta à nouveau.

Il approcha de plus en plus sa bitte, ressentit la chaleur sortant de la bouche de la petite fille sur son gland… Il glissa son sexe dans la bouche de la petite…

La gamine n’eut aucune réaction. Il était bien dans sa bouche… La chaleur moite irradiait toute sa bitte, il ressentait la salive de Nadine sur toute sa queue.

Il lui demanda : " Ferme bien ta bouche Nadine et SUCE,SUCE longtemps…".

La petite enroba la bitte encore mieux… Il commença à effectuer un léger mouvement de va et vient avec sa queue dans sa bouche…

Il continua quelques minutes, puis  s’arrêta  brusquement… La fillette prit la relève aussitôt sans qu’il ait eu à lui dire quoi que ce soit…

Il l’aidait de temps en temps, poussant à fond la bitte dans sa bouche, jusqu’à toucher le fond de sa gorge, mais sans jamais lui procurer une gène respiratoire. La petite suçait très bien.

Elle était redevenue plus calme, ses deux mains étant libre, il décida de s’occuper de sa petite poitrine naissante, pinça chaque téton en faisant rouler les bouts avec deux doigts tout en tirant légèrement. La fillette gémit doucement. Au bout de quelques minutes les deux tétons étaient devenus plus rouges, ils avaient doublé de volume.

La petite continuait à faire sa pipe, il se rendit compte que bientôt il allait lui juter dans la bouche. Il prévient la petite fille : " Nadine, il y a du jus chaud qui va rentrer dans ta bouche, c’est un médicament il va te faire du bien, il va falloir tout avaler... Sans en laisser… Il faudra tout avaler, tu as bien compris ".

Le : " Oui Monsieur " quelle répondit était complètement étouffé et déformé par la bitte dans sa bouche, mais elle avait compris c’était sur.

Il n’en pouvait plus, c’était imminent, il tirait de plus en plus fort sur ses tétons,  la petite devait commencer à avoir mal, son gémissement s’accentuait et devenait de plus en plus aigu et fort.

Il juta instantanément dans la bouche de la fillette, en s’arrangeant pour que la première décharge de sperme aille vers le haut du palais, et non au fond de sa gorge pour ne pas quelle s’étrangle. Il y eu 5 ou 6 jets suivants, la bouche de la petite fille se remplissait de sperme. Il lui cria " Avale tout Nadine, avale tout ma puce…". Il vit la gorge de la gamine se contracter…, puis déglutir.

Elle avalait bien, sans grimace. Bien sur tout n’était pas ingérer, il en ressortait de la bouche, elle en remettait sur la queue. Elle en avait plein les lèvres, ce qui ressortait était le fruit de la première giclée, elle avait été surprise.

Les autres arrivant avec moins de pression étaient avalées par la fillette.

Il répandit une dernière giclée de semence dans sa petite bouche elle continua à avaler…

Il fallait maintenant lui apprendre à pomper une bitte, ne pas en laisser…  "Nadine tu ne dois pas en laisser, lèche partout avec ta langue, avale tout, si tu n'en trouve presque plus tu aspires la queue à fond pour en faire remonter un peu".

La petite fille continua à avaler et commença à rechercher le précieux médicament perdu. Elle sortit sa langue, la passa sur ses lèvres.

Elle ramena une bonne quantité de sperme quel avala à nouveau.

Il se sentit aspirer plusieurs fois, la petite le vidait complètement…

Il restait la bitte à nettoyer, il lui dit : " Nadine sort ta langue et lèche tout le médicament, je ne veux pas qu’il en reste ". La gamine commença à nettoyer sa queue en la léchant maladroitement.

Elle ramena plusieurs fois du sperme dans sa bouche, avala à nouveau.

Il lui dit : " Il faut que tu aspires encore une dernière fois pour faire monter ce qui reste ".

La gamine s’exécuta, il ressentit une nouvelle fois sa bitte aspirée.

Il commença à débander, son sexe devint plus mou dans la bouche de Nadine.

Elle continua à le pomper. Il lui dit : " Continue à aspirer jusqu’à ce que je te dise d’arrêter ". Elle continua à aspirer assez fortement et régulièrement, il avait l’impression d’être vidé complètement.

Son sexe était maintenant complètement mou, elle continuait à aspirer…

Il appréciait beaucoup, surtout au moment ou le peu de jute quelle trouvait encore se trouvait avalé en même temps que sa salive. Il restèrent un moment comme ça. Il n’avait plus de force, il demanda à Nadine d’arrêter.

Elle se dégagea du sexe tout en gardant sa position. Il l’a redressa, l’assit sur le canapé, elle avait les yeux ouverts, son regard était lointain, pas du tout dans son état normal la môme…

Elle avait encore du sperme à certain endroits du visage.

Il alla chercher un linge mouillée, lui fit une toilette sommaire puis l’allongea sur le canapé, décida de la laisser se reposer, mais avant il lui dit :  " Nadine ma chérie, maintenant tu vas dormir, lorsque tu te réveillera tu seras en pleine forme,  tout ce que tu as vécu ici, tu n’en parleras jamais à personne, sauf à moi si tu veux. A partir de maintenant tu auras toujours envie que je te caresse et t’apprenne de nouvelles choses, elles t’apporteront beaucoup de plaisir et de bonheur. Tu m’as bien compris ? ".

Il eut droit à un " Oui Monsieur  ".

Il rajouta : " Dors maintenant ma chérie, à toute à l’heure ".

La gamine se réveilla vers 16 heures, aussitôt il s’approcha d’elle, son visage était reposée. Elle lui sourit, il lui rendit son sourire, lui demanda si tout allait bien. Un signe de la tête de la fillette le rassura complètement.

J’ai faim dit elle…

Le reste de la journée se passa devant le poste de télévision, sur le même canapé ou avait eu lieu leurs ébats. Très vite une complicité s’établit entre eux.

La fillette se blottit contre lui, il la prit par les épaules tendrement, ils restèrent longtemps comme ça…

 

 

 

 

                          La Pisse et l'enculage de Nadine

 

 

Sa mère sonna à 20 heures 15, elle demanda si tout s’était bien passé.

Il lui répondit que l’expérience s’était déroulée comme prévue, que tout allait  bien. Il questionna ? : " on continue demain ? ".

D’accord on continue demain répondit la mère…

Nadine et sa maman repartirent peu après, non sans que la petite ait fait une bise au docteur.

Le lendemain la sonnette retentit à 8 heures, Il était encore en robe de chambre, alla ouvrir, fit rentrer Nadine et sa maman. La petite fille l’embrassa sur la joue.

La mère avait l’air gênée. Docteur, j’ai un service à vous demander lui dit-elle, ce n’était pas prévu mais je dois partir au Kosovo pour quelques semaines, cela ne vous dérange pas de garder Nadine pendant ce temps… Comme vous me l’avez proposé l’autre fois…

Le stratagème avait été préparé de longues dates, tout avait été mis au point , ce qu'il fallait dire et faire croire à la petite fille...

Il répondit par l’affirmative, puis ajouta qu’il allait pouvoir poursuivre ses expériences et l’éducation de la fillette. Elle lui répondit qu’elle était d’accord.

La mère prit congé rapidement après avoir laissé un grand sac d’affaire de rechange pour Nadine et embrassé sa fille en lui recommandant d’être très sage.

Ce que la fillette lui promit aussitôt…

Ils se retrouvèrent seuls tous les deux, intimidés, sans savoir qui allait parler le premier. Il alla chercher dans la cuisine deux verres de jus d’orange, il commença à boire le sien, tendit l’autre à Nadine. Elle lui dit merci et commença à boire…Bon tu veux faire quoi aujourd’hui ? La réponse lui parvint rapidement, je suis pas en forme…

J’ai encore sommeil, j’ai mal dormi cette nuit. Bon lui dit-il et bien on va aller se coucher, moi aussi j’ai "encore" sommeil…

Il lui prit la main, l’emmena dans la chambre à coucher, l’assit sur le lit,

lui demanda de finir son jus d’orange, pour ne pas le renverser …

Elle s’exécuta, il prit le verre vide, le déposa sur la table de nuit.

Bon je vais te trouver une chemise de nuit, commence à te déshabiller.

Il ouvrit l’armoire, lui trouva une petite nuisette rose très légère, presque transparente. Tiens lui dit-il en lui tendant le vêtement, tu vas être drôlement mignonne la dedans. Elle rougit… Voyant qu’elle hésitait à se déshabiller, il lui proposa de l’aider, ce qu’il commença à faire aussitôt. Elle avait à peu près les mêmes vêtement qu’hier, c’est à dire pas grand chose sur elle, c’était les vacances de Juillet, il faisait chaud. Il l’a mit debout, déboutonna la petite jupette qui glissa toute seule sur ses sandales et laissa apparaître une très belle petite culotte rose ornée de petite dentelle sur les cotés. Il retira le tee-shirt en lui faisant lever les bras, il remarqua que sa petite poitrine était rouge et gonflée.

Les petits tétons rougis ressortaient nettement, alors qu’hier avant qu’il s’occupe d’elle, ils étaient complètement rentrés. Il l’assit sur le lit et finit par retirer le reste de ses habits.

Son slip, il le trouva trop beau pour l’enlever maintenant…

Il lui glissa par la tête, bras en l’air, la légère petite nuisette, puis lui demanda de se remettre debout.

Magnifique… La très courte chemise de nuit lui arrivait au ras de ses petites fesses, laissant dévoiler la petite dentelle de la culotte. C’était très mignon, érotique à souhait, et aussi très pratique…

Il l’a prit dans ses bras, la déposa sur le lit du côté gauche, puis il la couvrit de l’unique drap. Il retira sa robe de chambre, garda son slip, se glissa dans le lit à côté de la fillette.

Il se tourna sur le côté gauche, vient aussitôt se blottir contre elle, mit sa main droite sur la nuisette juste à la hauteur de son ventre, sa main se soulevait au rythme de la respiration de la fillette.

Il palpa doucement, ressentit la dentelle de la petite culotte sous la chemise de nuit. Elle tourna sa tête vers lui, à voir ses yeux il comprit qu’elle avait deviner ce qui allait se passer.

Dans quelques temps, il pourrait se passer de la tranquilliser et de l’endormir avec le médicament mélangé dans le jus d’orange.

Il remonta sa nuisette légèrement au niveau du nombril, commença à descendre sa main sur le devant de la petite culotte,  mit ses doigts à la hauteur de sa fente, et commença à masser doucement. Voulant quelle s’habitue à sa bitte, il prit sa petite main droite, la posa juste sur son slip à la hauteur de sa queue en érection. La curiosité l’emporta, Nadine ne retira pas sa main, commença à palper maladroitement. Pour le moment elle n’avait pas du tout envie de dormir.

Il continua donc à lui caresser la fente de sa main droite. Avec sa main gauche il releva sa nuisette, remarqua ses tétons gonflés.

Il se baissa légèrement dans le lit, la main de Nadine sur son slip avait suivi.

Il mit sa bouche à la hauteur du téton droit qu’il serra entre ses lèvres tout en le mouillant de salive, il continua en le titillant avec sa langue. Elle eu comme une décharge électrique, elle se raidit, se re-détendit aussitôt.

Du coté de sa petite culotte le massage qu’il lui faisait sur sa fente commençait à porter ses fruits.

Le tissus à l’endroit de la fente devenait humide… Même plus il était mouillé…

La décharge qu’il avait remarqué quelques instants auparavant avait certainement amenée un peu de pipi. Il calma le jeu aussitôt, lui demanda : " Nadine tu a envie de faire pipi ? ". Elle répondit par l'affirmative aussitôt.

Bon et bien Tu va faire différemment de d’habitude, attends je reviens.

Il alla dans la salle de bain, ramena quatre serviettes assez grande, en déposa trois à sa place sur le lit. Il s’allongea de tout son long à sa place, demanda à Nadine de retirer sa petite culotte pour faire pipi, puis de venir se placer à califourchon au dessus de sa tête.

 

Quelques instants après elle était en position culotte retirée.

Le spectacle de sa petite chatte de fillette juste au dessus de sa tête lui procura un ravissement incroyable. En levant sa tête légèrement il devait pouvoir boire tout le pipi de la petite fille, si elle arrivait à uriner… La quatrième serviette était à portée de mains à côté de lui, pour s’essuyer en cas de problème. Il lui dit : " Nadine normalement le pipi on ne le boit pas, mais dans certains cas c’est un médicament qui guérit beaucoup de chose, hier c’est moi qui t’ai donné mon médicament à boire, aujourd’hui c’est à toi de me donner ton médicament.

Il faut que tu fasses pipi et que je le boive ".

Etonnée, elle sourit, pour La fillette s’était un peu comme un jeu, s’était très bien qu’elle le prenne comme ça…

Bon tu peux commencer quand tu en a envie. Il vit son bas ventre se contracter.

Il attendit bouche grande ouverte, presque collée sur le sexe de la fillette.

L’urine jaillit d’un seul coup, un long jet continue, il fallait boire tout de suite, sinon la bouche serait vite pleine.

Il avala au fur et à mesure, c’était tiède et pas désagréable du tout. Il ne bougeait surtout pas sa tête de peur que le pipi change de direction.

Le jet continu dura à peine une minute, il savourait avec volupté l'urine de la fillette.

La fin du pipi approcha, le jet devint moins régulier, puis s’arrêta.

Quelques gouttes tombèrent encore dans sa bouche, puis plus rien.

Il avait tout avalé… Seuls quelques gouttes avaient giclées sur son menton et ses joues. Il prit la serviette restée en attente à côté, s’essuya avec. La fillette était  étonnée, contente en même temps d’avoir osée faire ça.

Elle se détendit. Ses yeux commençaient maintenant à se fermer de temps en temps, son attention diminuait vite. Elle était toujours offerte, la chatte à sa bouche.

Il décida de la sucer, nettoya sa fente, en même temps il titilla le petit clitoris à petit coup de langue. Elle soupira de plaisir. En quelques minutes le petit bouton grossit, sa couleur passa de rose à rose écarlate. La petite fille commença à onduler de la croupe. Il mit une main sous chaque fesse de la fillette, écarta pour ouvrir l’anus au maximum. Elle avait le cul ouvert en grand. Il changea une main de place, mit ses doigts sur l’étoile de l’anus, ouvrit doucement ses doigts, le cul et les fesses s’ouvrirent à fond. D’un doigt il appuya sur la petite rondelle étoilée de la fillette. Le cul s’ouvrit immédiatement,  le doigt rentra…

Il amena un doigt de l'autre main sur l'entrée de son vagin et força l'ouverture…

Elle mouillait copieusement, c'était agréable chaud et moite en même temps.

Ses doigts la travaillait maintenant des deux cotés…

Elle gémissait en gesticulant, à un moment donné elle parla tout haut : " Oh c’est bon, oh c’est bon Monsieur… ".

Le doigt dans l’anus la fouillait complètement détendant complètement ses chairs. Comme elle mouillait aussi un peu du cul, il décida de passer à une grosseur supérieure, il introduit un deuxième doigt dans son cul.

Elle émit un petit cri, continua à se tortiller en jouissant. Son minou coulait abondamment, il le léchait toujours de temps en temps avec sa langue, avalant le liquide  qui sortait, puis remettait son doigt en continuant son va et vient.

A son avis Nadine aimait énormément les doigts dans ses parties intimes, à sa façon de les faire rentrer elle même en bougeant ses fesses et son ventre…

Il fouillait pourtant assez profondément son trou du cul, en écartant, elle aimait ça…

Il fallait qu’il sache si il pouvait l’enculer avec sa queue sans lui faire de mal…

Il décida de mettre un troisième doigt. L’anus était tellement détendu et souple qu’il n’y eu aucun problème. Elle continua à s’empaler sur ses doigts avec plaisir.

Il décida d’essayer de la sodomiser tout de suite. Arrêta son travail, regarda la petite fille. A son avis le médicament faisait son effet, elle gémissait encore de plaisir. Il fallait faire vite, elle était chaude. Ses chairs de son cul étaient détendues il fallait en profiter. Il se releva rapidement, la mit en position, les genoux reposant sur le lit, tête baissée, cul ouvert au maximum. Elle se laissa faire très docilement.

Il prit un tube de pommade sur sa table de nuit, en mis un gros paquet sur l’orifice annale, rentra la pommade dans l’anus d’abord avec un doigt, puis deux, ceci tout en tournant. Il répéta l'opération plusieurs fois.

Elle en eut rapidement une grosse quantité dans son conduit annal.

Il s’occupa aussi de sa queue qu’il couvrit complètement de graisse.

Il se dépêcha la petite ne gémissait plus, passa derrière son cul sans perdre de temps, amena son gland juste sur l’étoile de son anus, appuya doucement, la petite rondelle de son derrière se déforma s'ouvrant très légèrement.

Il appuya nettement plus fort, d’un seul coup tout le gland de sa queue rentra dans le cul de la fillette. Elle n'avait rien dit…

Il ne voulait pas pousser, il resta sans bouger quelques secondes.

La petite fille était enculée pour la première fois de sa vie.

Il remit sa main droite sur la fente de son sexe, chercha le clitoris, il le trouva et comme il l’avait fait avant, recommença le travail avec ses doigts. De sa main gauche il lui prit le sein gauche, effectua un massage de celui-ci, de temps en temps il tirait sur le téton doucement. Il voulait la réactiver pour qu’elle sente bien son enculage. La fillette était à lui, il la possédait déjà presque complètement,  elle était toujours vierge. Son pucelage il voulait qu’elle s’en souvienne, il verrait plus tard. Il la dépucellerait dans d’excellente condition, si possible sans qu’elle dorme, sans médicament…

Pour l’instant il la besognait doucement, sa queue ne bougeait presque pas…

Son gland était enserrée par son petit cul, il pouvait encore lui mettre plus de 10 centimètres dans son petit ventre. Il contemplait ses fesses, aurait voulu les voir bouger. Comme si elle avait lu dans ses pensées la petite gémit doucement, il ressentit son petit clitoris grossir à nouveau, elle recommença à onduler de la croupe. Il tira fort sur son téton en maintenant la pression avec trois doigts.

Nadine cria fort, son derrière bougea de plus en plus, mais ce coup ci, c’est elle qui appela la bitte à rentrer avec des petits coups de rein, elle prit quatre à cinq centimètres d’un seul coup, les garda…

La bitte était à la moitié de son chemin. Il ne voulait surtout pas lui défoncer son petit cul, il voulait quand même l’enculer à fond. Le travail sur le clitoris donnait de bons résultats. Depuis un bon moment elle avait pris le rythme en bougeant ses fesses, tous les huit à dix coups de reins, elle en donnait un plus important pour faire rentrer la verge un peu plus loin dans son ventre. Elle avait regagné deux ou trois centimètres. L’idéal pour lui serait que les testicules arrivent à battre sur ses fesses… La elle serait bien enculée.

Elle jouissait, les cris parfois forts qui sortaient de sa gorge ne risquaient pas d’être entendu par quelqu’un. La maison de campagne était isolée, loin de toute autre habitation. Il continua à la besogner. Encore une fois il se demanda si tout pourrait rentrer dans son petit cul. Il décida d’appuyer un peu plus pour gagner quelques centimètres… Au même moment la fillette fit le même geste en sens contraire pour rentrer un peu plus de longueur.

La bitte rentra d’un seul coup à fond… Nadine poussa un grand cri.

Les couilles appuyaient maintenant sur ses fesses, elle était enculée à fond…

Elle avait eu certainement un peu mal, mais maintenant à voir sa façon de bouger son cul en gémissant à nouveau de plaisir on pouvait supposer que la douleur s’était envolée.

Il sentait la pression montée dans sa bitte, il besognait la fillette violemment, ses couilles battaient sur sa croupe. Ne pouvant se retenir plus longtemps, il déversa par saccade dans ses fesses toute le sperme qu’il avait en lui. La petite fille ressentit le liquide chaud rentrer dans son ventre, elle poussa un cri plus fort au moment ou il se vida. Il resta un instant sans force, mais il voulait voir sa jute.

Il ressortit sa bitte, s’aperçut qu’elle était couverte de sperme et aussi d’un peu de caca de la fillette. D’un coup sec il rentra à nouveau sa bitte dans le cul de Nadine, poussa à fond. La gamine poussa un grand cri à nouveau, mais ses testicules appuyaient à nouveau sur les fesses de la petite fille… La bitte avait retrouvée sa place à fond dans son cul.

Epuisé il se coucha sur le côté, entraîna la petite fille dans sa chute, collée contre lui, la bitte dans le fond du cul. Il resta dans cette position longtemps. La gamine dormait tranquillement, il ne tarda pas à s’assoupir aussi.

Lorsqu’il se réveilla il sentit que son sexe était toujours dans les fesses de la fillette, il ne bandait plus mais sa queue était encore à l’intérieur. Il regarda la pendule, elle indiquait quinze heures, il avait faim. Il se dégagea de ses petites fesses rapidement, aussitôt Nadine commença à se réveiller. Il lui sourit, elle était encore un peu dans les vaps…

-         Ca va Nadine ?

-         J’ai mal au derrière…

Ça va passer, on va aller prendre une douche, après on mangera un morceau…

Il lui donna la main pour qu’elle puisse se lever plus facilement. En marchant, il remarqua que sa démarche était bizarre. Elle devait vraiment avoir mal aux fesses.

La salle de bain était très spacieuse, l’endroit lui servait aussi de salle de gymnastique. Des appareils de musculation, un solarium le rendait très convivial, des carreaux verts recouvraient les murs. La lumière du soleil rendait cette pièce très agréable.

 

 

 

 

La fellation et l'examen gynécologique

                                           

Je vois à ta démarche que tu as mal ma puce, il va falloir que je regarde ça…

Elle était toujours nue, il lui demanda de s’allonger à plat ventre sur le tapis du solarium, puis d’écarter les jambes, ce qu’elle fit.

Il regarda mais ce n’était pas suffisant pour voir si tout était normal.

Il lui demanda de changer de position, de se mettre à genoux jambes écartées.

La vue était toute différente… Son anus était gonflé et violacé, quelques heures d’abstinence, une bonne douche devait remettre tout ça dans l’ordre…

Ils se lavèrent mutuellement. Curieuse, gênée à la fois, elle regardait souvent la bitte qui pendait. Il lui demanda de la laver, il ressentit ses petits doigts dans le gant de toilette se promener sur sa verge et sur ses testicules. De son côté il s’appliqua sur toute les parties de son corps, sans trop frotter pour ne pas irriter ce qui était déjà bien rouge…

Après s’être habillé puis restauré, ils se détendirent, jouèrent avec l’ordinateur.

Il se demanda si il devait tout de suite se connecter à Internet pour lui montrer les choses assez spéciales qui lui réservait pour parfaire son éducation.

Il décida de lui parler :  «  Nadine il faut que tu saches que tu a été choisie parmi d’autres petite fille pour faire une expérience très intéressante, qui va changer ta vie actuelle et futur. Tu t’es certainement rendu compte autour de toi que tout le monde n’est pas heureux, ce manque de bonheur viendrait du fait que pendant leur enfance les petites filles comme toi on leur aurait caché la vérité sur beaucoup de chose de la vie. On fait cette expérience avec toi, avec l'accord de ta maman pour que tu sois plus épanouie dans la vie, que tu puisse choisir ton véritable destin. On veut te faire rencontrer à ton âge des situations que même des grands n’ont pas rencontrer ou refuse de rencontrer. C’est un peu compliqué, tu comprendras tout au fur et à mesure que tu grandira. Ce qu’il faut savoir c’est si tu veux continuer à nous faire confiance ? » La gamine qui avait été sélectionné pour son intelligence, sa vivacité d’esprit lui répondit qu’elle était d’accord et que sa maman lui avait déjà expliqué tout ça.

Il continua, tu sais à notre avis ce qui bloque le plus les adultes dans leur vie vient de leur sexualité. C’est ce qui leur fait faire toutes les bêtises, ils se droguent, boivent de l’alcool, fument, mentent sans arrêt, tuent, violent . Ils veulent tous trouver le bonheur à l’extérieur, chez d’autres personnes. Ils oublient tous que le bonheur se trouve d’abord à l’intérieur de soi. Pour le trouver, il faut se connaître à fond, ne plus avoir peur de rien. Nadine quand tu connaîtra tout ce qu’on va t’apprendre tu pourra sélectionner, choisir ce que tu aimes vraiment. Les enfants que l’on instruit aujourd’hui passent à côté des véritables valeurs. Tout le monde veut du bonheur et du plaisir, mais combien de gens savent en donner ?.

Je vais te donner un exemple pour l’éducation sexuelle à l'école, il n’est pas normal de donner un minimum de bases théoriques à un enfant, puis de le laisser se débrouiller avec la pratique dès qu’il commence à grandir. Il vaudrait mieux qu’il connaisse les deux en même temps si possible.

C’est compliqué ma petite puce, mais c’est vrai…

Il l’embrassa tendrement sur la joue. Ils n’avaient pas vu passer la soirée, entre la télévision, l’ordinateur, le dîner. Il était 20heures, ils étaient assis l'un à côté de l'autre sur le fameux canapé. Il faisait chaud pour un mois de Juillet, 22 degrés dans la pièce. Il reluquait sa petit jupette de tissus léger, son tee-shirt en coton. Elle s'en aperçue… Elle avait les cuisses légèrement écartées.

Lui, torse nu avait mis un short pour être plus à l'aise.

Elle eut envie de s'allonger sur le canapé, fit reposer sa tête sur ses cuisses, son visage tourné vers son ventre. Il posa sa main droite sur sa jupette au niveau du bassin, commença à descendre sa main vers ses cuisses, rencontra le bord de la jupette, glissa sa main dessous, remonta doucement entre les jambes jusqu'à la petite culotte. Il pinça légèrement le tissus au niveau de sa fente. Elle comprit tout de suite, ouvrant ses cuisses un peu plus.

Elle se laisserait faire, c'était clair, sans médicament dans le jus de fruit.

Voyant sa réaction  il mit directement sa main dans sa petite culotte, appuya doucement sur la fente de son sexe, traçant le sillon d'un doigt, tapota plusieurs fois délicatement l'entrée de son vagin. Juste pour lui faire comprendre que par la, on pouvait rentrer beaucoup de chose…

Sa bouche était toujours tournée vers sa braguette. Il déboutonna les 3 boutons, écarta pour laisser apparaître le tissus de son slip,  prit la main de la petite fille, la mit directement dans son short. Elle était d'accord, mais elle ne savait pas quoi faire… Il mit sa main sur ses doigts, massa le tout.

Le massage de sa chatte qu'il effectuait depuis plusieurs minutes commençait à porter ses fruit, elle mouillait, sa petite fente s'humidifiait, il continua…

Avec sa main libre il réussit à dégager sa bitte par le dessus, glissa son slip sous ses couilles. La queue se mit toute droite aussitôt. Il mit la main de Nadine dessus, lui montra comment le branler. Elle ne fut pas longue à comprendre, au bout de quelques minutes elle effectuait un branlage très correct de sa bitte.

Sa bouche était toujours à cinq centimètres de sa queue C'était trop tentant.

Il agrippa en douceur ses cheveux avec sa main, joua avec la hauteur de sa tête de façon à ce que sa queue rencontre quelques fois ses narines, quelques fois sa bouche selon sa volonté. Il voulait quelle s'habitue à l'odeur de la bitte de l'homme, il lui laissa celle-ci sous les narines pendant quelques secondes.

Puis il lui demanda de sortir sa langue, de sucer sa bitte. Elle hésita… Timidement  elle commença à donner des petits coups de langue sur sa verge.

Non ma chérie, il faut lui donner des grands coups de langue, en douceur, de bas en haut…Elle eut une mimique en secouant sa tête qui voulait dire, quelle allait essayer. Au bout de quelques minutes il la félicita : " c'est bien Nadine c'est comme ça qu'il faut faire ". En effet c'était bien.

Il pensait de plus en plus à sa chatte, sa principale préoccupation était de savoir si il allait pouvoir la pénétrer par devant, pour en même temps la dépuceler.

Il voulait vérifier si c'était faisable sans que la fillette ait trop mal.

Il arrêta ses caresses sexuels, dit doucement à Nadine d'arrêter de le sucer.

Lui fit un baiser d'amoureux sur la bouche, lui demanda très gentiment

de se déshabiller, de remettre sa petite chemise de nuit rose, celle qui était jolie et qui lui plaisait…Peu de temps après la petite fille était nue dans sa nuisette rose en tissus très léger. Plus rien dessous. Elle était magnifique,  encore plus désirable dans cette tenue…

Sans rien lui dire, il lui prit la main, l'emmena dans un long couloir parmi un dédale de pièces ou elle n'avait jamais mit les pieds.

Le pavillon était immense. Ils s'arrêtèrent devant une porte fermée recouverte de velours rouge. Il fit un code sur un clavier installé sur le mur, un déclic se fit entendre, la porte s'ouvrit miraculeusement.

La fillette aussitôt rentrée fut saisie, s'arrêta net, elle venait de découvrir un cabinet de docteur avec tout son attirail, table d'examen, armoires vitrées remplies de médicament, chariot à roulettes sur lequel reposait des instruments. Et cette drôle de table  avec deux supports métallique de chaque côté .

Il la rassura aussitôt…

C'est mon cabinet de travail, il ne faut pas avoir peur…

Il se dirigea vers un porte manteau, décrocha une blouse blanche, la passa sur son slip, se lava les mains au lavabo, revient vers elle en lui disant : " Il va falloir que je te fasse quelques examens avant que nous poursuivions, cela ne te fera aucun mal je te le promet ".

Pour commencer ma petite Nadine tu vas grimper ici. Il lui désigna la table d'examen avec les deux étriers. Je vais t'aider, il l'a prit dans ses bras, la déposa dessus, lui demanda de s'allonger, ce qu'elle fit.

Elle n'était pas rassuré, il décida de changer de tactique, se dirigea vers une armoire vitrée, l'ouvrit, prit une petite seringue qu'il remplit avec le contenu d'un petit flacon. Il se saisit d'un morceau de coton qu'il imbiba d'un désinfectant.

Revint vers la fillette d'un air triomphant en lui disant : " Tu as de la chance je suis le roi de la piqûre, personne ne les fait aussi bien que moi ".

Il lui saisit le bras droit, prit un garrot sur la table d'instrument, le serra autour, désinfecta avec le coton,  piqua aussitôt d'un geste précis une petite veine.

Il relâcha le garrot. La petite n'avait pas sursauté… C'était vrai il faisait bien les piqûres. Il injecta doucement le produit…

Très rapidement Nadine se détendit complètement. Bon on va pouvoir commencer lui dit-il.

Il régla les étriers pour la grandeur de la fillette, lui prit le pied gauche le posa dessus, immobilisa sa cheville avec une bande velcro. Il fit pareil pour l'autre jambe.

Il lui attacha les deux mains bras tendus avec des fixations identiques qui se situaient de chaque côté de la table.

 

Il voulut se faire un petit plaisir. Il glissa un tout petit coussin long et circulaire sous les reins de la fillette, c'était peut être moins confortable pour elle, mais elle serait encore plus offerte, il verrait encore mieux son anus et sa chatte…

Il mit sur son front une lampe médicale qu'il alluma, revint entre ses cuisses.

Le spectacle était fantastique. Elle était écartée au maximum, il pouvait contempler en même temps le sexe de la petite fille ainsi que son anus.

Le trou du cul étaient irrité, la petite corolle de l'anus était violette et gonflée. Les lèvres de son sexe étaient ouvertes, il les toucha doucement, elles étaient très souples. Ils les bougea et joua avec un court instant.

Il n'était jamais rentré dans la chatte de la petite fille, se contentant toujours de la caresser, faisant attention de ne pas la pénétrer.

Il tira doucement les lèvres de chaque côté, fit apparaître le vagin. Sa muqueuse vaginale était d'une belle couleur rose vif.

Il distingua au milieu la collerette de l'hymen, toute mince, de forme semi-lunaire, transparente, barrant une partie de l'entrée du vagin.

Il prit sur la table à instrument un spéculum de vierge qui allait lui permettre de l'écarter, puis de la sonder. Il introduit l'appareil dans le vagin, passa l'instrument par le côté le permettant, l'autre côté étant obstrué par  l'hymen.

Il commença à serrer la vis du spéculum. Les deux broches commencèrent à écarter son bas ventre. Le faisceau de lumière éclairait très bien la cavité qui commençait à s'ouvrir. Nadine était à demie-consciente, elle devait sentir son bas ventre s'ouvrir de plus en plus. Il serra au maximum la vis de l'appareil, son vagin étant très souple, il s'était ouvert d'un bon diamètre. Certainement pas autant qu'il le ferait quand il introduirait sa verge dedans, mais il était maintenant certain qu'il pouvait pénétrer la fillette sans qu'il y ait de problème majeur. La longueur et le diamètre de son sexe étaient normaux ni trop long, ni trop gros, idéale pour les fillettes, aucune femme ne s'en était jamais plaint… Bien sur à coup sur il déchirerait l'hymen en la pénétrant, elle saignerait peut être un peu, encore ce n'était pas sur, il l'avait remarqué que la membrane de la collerette était très fine, presque transparente.

 

 

 

                                     Le dépucelage de Nadine

 

 

Il venait de décider de la dépuceler ce soir… Oui ici et maintenant, cela serait fait. Si il y avait un problème de saignement, étant dans son cabinet médical il pourrait parer au plus pressé. Au début il avait voulut qu’elle se souvienne de son dépucelage. Au fond il n’en voyait pas la nécessité. Cette expérience pour toutes les gamines au monde devait être traumatisante, souvent faite maladroitement. Cela ne pouvait qu’apporter un choc psychologique important aux petites filles, peut être jouer un rôle déterminant sur leur vie sexuelle à venir.

Pourquoi ne pas banaliser le dépucelage, au même titre qu’un acte médical.

C’était un simple point de vue, mais il lui semblait logique,  il laissait le débat entre les mains de la société qui actuellement faisait une majorité de frustrée, pas des gens épanouis…

Il commença les préparatifs, dévissa, retira le spéculum du vagin de la petite fille, la fente de son sexe se referma, puis il retira sa lampe frontale…

Nadine tu m’entends… Nadine tu m’entends ?

La réponse fut presque inaudible… " Oui Monsieur, c’est déjà fini ? ".

Elle n’avait plus la notion du temps.

Non ma chérie, pas encore...Il faut faire encore des examens. Mais avant tu vas essayer de faire pipi. Il lui glissa rapidement une petite sonde muni d’un tuyau dans l’urètre. L’autre extrémité était relié à un flacon servant à recueillir l'urine. Il lui demanda d’essayer de faire… Peu de temps après le liquide d’un léger jaune transparent se répandit dans le bocal. Il y en avait pas mal. Sa vessie étant maintenant vide, elle aurait moins mal pour la pénétration. Il retira la sonde, quelques gouttes de pipi perlèrent de sa fente en direction de l’anus. Il les laissa suivre leur chemin.

Il prit dans une boite sous la table à instrument un suppositoire d’opium qu’il enduit d’un peu de vaseline. Il n’eut aucune difficulté à le faire rentrer dans son petit derrière. La petite fut surprise, elle essaya de bouger. Les attaches qui la maintenait ne lui permirent que de courber légèrement son bassin.

Maintenant il fallait attendre que le suppositoire remplisse son office…

Il faisait chaud aussi dans cette pièce, il alla entrebâiller la seule fenêtre du cabinet, un semblant d’air plus frais pénétra dans le local. Il se dirigea vers une petite chaine HI FI et l’alluma.

Le CD qu’il avait choisi faisait parti de sa collection de musique classique.

En sourdine un  fond sonore relaxant, apaisant, remplit la pièce.

Il alla s’asseoir à son bureau, celui qui lui servait à rédiger les ordonnances de ses clients, il attendit tout en contemplant la belle petite fillette allongée.

Il se posa la question à savoir qu’il était peut-être un salaud…

A bien y réfléchir il repassa dans sa tête toutes les situations qu’il voyait au cours d'une journée de travail… Il en voyait tous les jours des vrais salauds…

Pour en découvrir d'autres, il n’avait qu’à ouvrir son poste de télévision…

Les enfants qu’on égorgeait, ceux qu’on laissait mourir de faim, les autres qui étaient obligés de faire le trottoir pour survivre. Ceux que l’on conditionnaient pendant toute leur enfance pour qu’ils deviennent et restent toute leur vie des cons…

D'accord il profitait d'elle, c'était bon…

Mais si il n'avait rien fait, comme les autres enfants elle aurait peut être été dépucelée par un petit copain, maladroitement comme c'était souvent le cas…

Ou même peut être par quelqu'un de sa famille, un tonton, un cousin, le voisin de pallier… Ou pire encore violer par un sadique dans les pires circonstances. Ici elle allait apprendre à faire l'amour physique… Le vrai celui que tout le monde à envie de faire, mais que personne ne fait par manque de connaissance, par peur ou par frustration…

Après…Si un gros salaud ou un petit puceau lui montait son zizi, elle ne se démonterait même pas, elle rigolerait.

Elle aura des points de repère, pourra choisir en connaissance…

Le suppositoire avait du commencer à faire son effet.

La fillette avait un sommeil artificiel agité. Il allait essayer de réveiller ses sens,  lui donner du plaisir…

Tout d'abord il approcha sa bouche de la sienne, lui fit un long baiser sur les lèvres, força sa bouche, trouva sa langue, mélangea sa salive à la sienne, joua un bon moment avec sa langue.

Il revint entre les cuisses repliées, ouvertes à fond. Il était juste à la bonne hauteur, à cinq centimètres de sa chatte. Il retira sa blouse blanche, baissa son slip. Il prit sa bitte dans sa main droite, elle n'était pas en érection complète,  mais déjà de bonne taille. Il l'amena juste à hauteur du sexe de la petite fille, commença à promener sa verge de haut en bas sur la fente en appuyant un peu. Avec l'autre main il prit une très grosse noisette de vaseline dans un petit pot sur la table à instrument, commença à enduire la chatte de la fillette, puis il en mit aussi copieusement sur sa bitte. Il lui restait de la pommade plein la main, délicatement il l'étala sur le trou du cul gonflé et violacé de la petite fille, massa la rondelle de la gamine en effectuant une légère pression au centre.

Le bout du doigt rentra d'un seul coup, la réaction de la petite fut immédiate… Elle eut un soubresaut, son bassin tressauta, La fillette chercha à se dégager en repliant ses jambes, mais tout son corps était solidement maintenu par les attaches… Il continua avec son doigt un mouvement de va et vient à l'intérieur du postérieur, poussant un peu plus loin à chaque fois.

Elle avait le trou du cul irrité, mais le travail qu'il avait effectué avant en la sodomisant avec sa queue lui avait prouvé qu'il pouvait rentrer par ce côté tout ce qu'il voulait sans problème…

Il fouillait à fond son cul avec un doigt, le repliant à l'intérieur pour

distendre encore un peu plus son intimité anale. De l'autre main il promenait toujours sa bitte en appuyant sur les lèvres fermées du sexe, titillant quelques fois son clitoris avec un doigt.

Il décida de laisser sa bitte seule appuyée sur sa fente, prit la décision de s'occuper du clitoris uniquement, le caressa de plus en plus souvent, mis un peu de pommade dessus. Avec deux doigts, il fit rouler doucement le petit bourgeon qui se dégagea de plus en plus de son capuchon.

Au bout de quelques minutes la gamine commença à gémir doucement de plaisir. Il remarqua que les lèvres de son sexe commençaient à s'ouvrir de plus en plus, les petits coups de reins qu'il donnait avec sa bitte pour entretenir le mouvement sur sa fente favorisaient ce phénomène. Il donna la priorité à ses doigts, introduit son index dans son vagin, commença à la fouiller, s'aperçut qu'elle mouillait abondamment.

Il prit immédiatement la décision de la dépuceler, retira son doigt  mouillé du ventre de la petite fille,  remit sa verge sur son sexe, appuya doucement avec son gland, ce qui écarta les lèvres encore plus…

Il choisit le bon endroit pour appliquer le bout de sa verge, força doucement d'abord, ressentit une résistance, passa outre, continua à appuyer plus fort.

Les chairs de la gamine se distendirent encore plus, la pression sur le bout de son gland devenait importante, mais sa queue n'était pas encore rentrée…

La fente de la fillette s'entrouvrit, se déformant un maximum.

Il appuya encore plus fort avec ses reins, maintenant la pression au maximum sur le bout de son gland…

Le gland de sa bitte la pénétra d'un seul coup…

Un cri aigu, déchirant de douleur sortit de la gorge de la fillette, puis plus rien…

Il regarda aussitôt de plus près la gamine, elle respirait normalement, les yeux grands ouverts. Une expression de surprise, de ravissement éclairait son visage.

Pendant un long moment il ne bougeât plus, se contenta d'apprécier la chaleur moite du conduit vaginale de la petite. Il était serré à souhait, le bout de sa bitte en feu…

Il reprit sa poussée dans son ventre, gagna quelques centimètres, cela rentrait merveilleusement bien…

Il commença à la besogner en douceur, effectua un petit va et vient dans le ventre de la petite fille, elle mouillait normalement, tout allait bien…

Les petits coups de reins s'amplifièrent pour devenir de plus longues passes dans son vagin. Il lui ramonait sa chatte avec sa bitte et son cul avec son doigt en même temps. Sa pinne coulissait bien mais il se gardait bien de la pousser à fond. Il en avait rentré cinq ou six centimètres au maximum, il en restait presque autant à rentrer…

A chaque coup de queue Nadine faisait entendre un petit gloussement venant de sa gorge, l'expression de son visage ne lui laissait plus aucun doute.

Elle commençait à jouir…

Il décida d'accélérer le mouvement de va et vient dans sa chatte.

Il était serré comme jamais il ne l'avait été par aucune fille. Il ressentait au plus profond les formes intimes de la petite fille, les parois striées de son vagin qui épousaient parfaitement la forme de sa verge commençaient à le faire jouir. Jamais il n'avait ressenti les sensations que Nadine lui faisait vivre, et cette gamine avait à peine onze ans…

Il décida de ne plus penser, il la besogna par devant c'était tout…

Il lui fallait essayer de la bitter correctement, complètement, tout lui rentrer…

Son bassin était profond, cela devait rentrer par devant, comme dans  son petit derrière. La petite fille contractait son bassin à chaque coup de queue, commençait à faire tanguer ses hanches, à se tordre de plaisir de gauche à droite. Mais elle était trop bien attaché pour pouvoir bouger comme elle l'aurait voulue.

Ses mains elles aussi se contorsionnaient essayant par tous les moyens de se libérer, d'attraper quelque chose. Elle réussit quand même à saisir les barres métallique de chaque côté de la table d'examen. Elle s'y accrocha, personne n'aurait pu la faire lâcher prise. Elle gémissait de plus en plus fort, de temps en temps elle parlait tout haut en répétant : " Maman, maman, c'est bon.., oh  c'est bon…". Excité au maximum lui aussi commençait à délirer de jouissance, il lui demanda de répéter plusieurs fois : " Nadine, dis tout haut que tu aimes…

Dis tout haut que tu aime ma bitte, dis le fort ma chérie…".

La gamine reprit aussitôt : " Oh oui, j'aime …,  oui, j'aime…, oh oui, j'aime la bitte… Oh oui…, c'est bon…".

Il retira son doigt de  l'anus, mit ses deux mains sur ses hanches.

Il avait décidé de pousser plus en avant dans son bassin, ses coups de buttoir étaient plus virulent, plus profond…

Il gagnait en longueur, à chaque fois. Tout était presque rentré, ses couilles s'approchaient un peu plus de l'entrejambe à chaque coup de bitte.

Il poussa un très grand coup…Il y était ses couilles battaient sur sa peau à chaque coût de pinne, tout était rentré dans sa chatte, elle gesticulait, hurlant encore plus fort.

Il voulait la sentir sur lui, la posséder, comme il le désirait.

Il se courba, atteignit avec ses mains les fixation velcro qui attachaient ses poignets, arracha celles-ci. Elle avait les mains libres. Il fit de même pour les chevilles, elle put à nouveau bouger comme elle le voulait.

Ses cuisses s'enroulèrent immédiatement autour de ses reins, serra ses bras très fort autour de son cou… Elle était maintenant entièrement empalée sur sa bitte jusqu'aux couilles, il la besognait debout ses fesses appuyées en partie sur la table d'examen.

Elle l'aidait à faire rentrer et sortir sa verge en tirant sur son cou à l'aide de ses bras. Il ressentit qu'il allait bientôt juter, réussit à se retenir encore un peu.

La bitte rentrait, ressortait de sa chatte à un rythme accéléré. Tout à coup la fillette se crispa, se détendit aussitôt, plusieurs fois, dans un grand cri…

Il ressentit au même moment sur sa queue plusieurs crispation du bas ventre de la petite fille,  un liquide venait de lubrifier encore plus son vagin. Elle venait d'avoir un orgasme…

Elle n'arrêta pas de bouger pour ça, mais elle le fit moins rapidement, elle gémissait moins fort. Il continua…La pression dans sa queue montait, il ne pourrait pas se retenir encore bien longtemps. Il se crispa une dernière fois en étreignant la petite au maximum, et il lâcha tout…

La première giclée de semence chaude et onctueuse jaillit dans le ventre de Nadine avec une pression importante.

Elle fut surprise, un cri unique, aigu et strident sortit de sa bouche…

Il l'inondait, remplissait son bas ventre de sperme. Il ne compta pas le nombre de fois… L'orgasme dura assez longtemps. Nadine avait les yeux brillants, une expression de reconnaissance sur son visage, elle attendait les cuisses ouvertes  les autres giclées… Il marcha en portant Nadine toujours empalée sur lui jusqu'à une chaise devant son bureau, ils s'assirent…Lui sur la chaise…Elle sur sa bitte…

Ils étaient l'un contre l'autre, poitrine contre poitrine, bouche contre bouche.

Il l'embrassa longuement, elle aimait, se laissa faire. Il ressentit qu'elle commençait à se détendre, sa bitte bandait toujours à l'intérieur de son bas ventre. De temps en temps il donnait encore un coup de rein, pour le plaisir de faire bouger la gamine, et d'aller butter au fond de son vagin.

Elle se laissait faire, cela avait été très bon pour elle, elle serait prête à recommencer quand il le désirerait… Il en aurait mis sa main au feux.

Sa première monte… Elle s'en souviendrait toute sa vie…

Il la caressa  longtemps, des attouchements sur tous le corps, son dos.

Elle adorait qu'il lui caresse le dos. Il commença à débander, prit la gamine sous ses cuisses avec ses deux mains, la souleva doucement. La bitte ressortit doucement, complètement du ventre de Nadine. Il regarda, de son sexe sortait plein de sperme qui coulait maintenant sur le haut de ses cuisses.

Il bandait encore un peu… Il mit la fillette à genoux, par terre entre ses cuisses, approcha doucement la bitte de son visage…

Elle comprit tout de suite, se souvenant de la marche à suivre, l'ayant déjà fait.

Elle sortit sa langue, commença à nettoyer sa queue. Cela dura quelques longues minutes de plaisir intense, ce fut très bien fait…

Après comme il lui avait déjà appris la première fois, elle remit son gland dans sa bouche, le pompa en aspirant le sperme qui restait dans sa verge.

Elle avait encore sa queue dans la bouche lorsqu il lui dit : " Nadine je vais devoir t'examiner, il ne vas pas y en avoir pour longtemps".

Elle marqua un temps d'arrêt,  pensa aussitôt que même si elle n'était pas d'accord, cela ne changerait rien. elle se remit à sucer sa bitte. Il lui dit d'arrêter, la releva.  Il remit son slip, resté baissé sous ses couilles pendant tout ce temps. Il la prit dans ses bras, la porta sur la table d'examen.

Il la mit dans la même position qu'auparavant, jambes sur les étriers. Il ne remit pas les attaches sachant déjà qu'elle se laisserait examiner sans problème.

Il resta à côté d'elle du côté droit, essuya le sperme en excès sur ses jambes, sur son sexe avec un essuie tout, commença à regarder les lèvres de sa chatte, elles avaient changé de couleur, elles étaient un peu irritées.

Il appuya doucement dessus, un liquide blanc sortit aussitôt. Son bas ventre était remplit de jutte. Il écarta les lèvres de sa chatte, le liquide crémeux commença à couler, puis à descendre vers son petit cul. Il ne l'essuya pas, le laissa recouvrir doucement l'anus de la fillette. Il adorait ce spectacle, il ne put résister appuya sur l'anus pour faire rentrer un peu de sperme avec son doigt dans son petit cul.

Il continua doucement par un va et vient dans son trou du cul, ça l'excitait…

Il ressentit à nouveau sa bitte gonflée dans son slip…

 

 

 

                                     La levrette avec Nadine

 

 

La petite voyant son manège se douta qu'il allait à nouveau se passer une chose inattendue. Elle avait raison… Il lui dit : "Caresse mon slip avec ta main Nadine". La petite fille comprit pourquoi il lui disait ça maintenant…

Sa main droite allongée était juste à portée, à bonne hauteur. Timidement elle bougea ses doigts,  palpa doucement tout de suite ou il fallait, puis se mit à caresser la forme oblongue sous le tissus distendu . Il continuait le massage rectale de la fillette, il savait que la pénétrer de cette façon lui procurait des sensations qu'elles appréciait beaucoup. Il eut subitement envie de la prendre encore comme ça…

Il lui dit de ne pas bouger, mit une main sous ses épaules, l'autre sous ses fesses, et sans retirer le doigt de son anus, la souleva sans problème, la posa par terre, puis l'obligea à se mettre à genoux, ses mains bien à plat.

Son doigt fouillant toujours l'intérieur de son petit cul, il l'obligea à écarter ses cuisses au maximum, ce qu'elle fit…

Elle était maintenant offerte, cul ouvert… Il s'agenouilla derrière ses fesses, fit sortir sa bitte de son slip par le côté. La main gauche alla fouiller le devant de Nadine, sa chatte… Ses doigts s'inondèrent du sperme du coup d'avant.

Il en avait besoin pour lubrifier son anus et sa verge. Il recommença une dizaine de fois… Lui vida complètement sa chatte,  prenant de la jute avec ses doigts,  la ramenant pour en enduire sa bitte, ou lui bourré le cul de sperme avec les doigts de son autre main.

Elle était prête… Il amena sa bitte sur la rondelle de son trou du cul, appuya plusieurs fois.

Il  jouait avec l'élasticité de son anus, mettait son gland dessus, appuyait un peu, voyait ses chairs se déformer, épousant la forme de son bout de bitte, juste avant que son trou n'avale le gland, il relâchait la pression. Nadine ne disait rien,  soumise elle patientait, à la limite de l'énervement et du désir…

Elle ne si attendait pas, il l'encula d'un seul coup lui décollant les jambes de par terre, seules ses mains l'empêchèrent de ne pas tomber.

Il avançait maintenant doucement, la faisant marcher sur ses mains…

Surprise, elle n'avait pas eu le temps d'avoir mal ni de crier…

 

 

Elle avançait empalée sur la bitte, enculée à fond.

En "brouette", il lui fit faire magnifiquement le tour de la pièce, poussant de plus en plus vite, la dirigeant pour lui faire éviter les obstacles.

Il calma le jeu, l'amena au milieu de la pièce, la remit à quatre pattes, cuisses écartées au maximum…

Il continua à lui besogner le cul, mit ses mains sur ses deux tétons, les massa à sa façon, tirant très fort dessus pour les faire ressortir… Ils étaient encore très sensible, il le savait… Elle se mit à hurler très fort.

Il ne relâcha pas la pression, les roulant avec ses doigts, tirant dessus un maximum.

Elle n'en pouvait plus, elle éclata en sanglot.

Ses pleurs entrecoupés par ses cris de douleurs l'excitait encore plus.

Il redoubla d'ardeur, la besogna encore plus vite. Lâcha un de ses téton, mit sa main libre entre ses cuisses, à la recherche de son clitoris, qu'il trouva aussitôt.

Il roula délicatement le petit bouton avec ses doigts, continuant à tirer un téton avec vigueur tout en l'enculant.

Elle pleurait, hurlant de douleur…

Il la besogna ainsi un long moment. La fillette gesticulait énormément.

Peu à peu ses pleurs, ses cris devinrent entrecoupés de gémissements mélangés de gloussements. Il relâcha le téton, palpant avec sa main ce qui dans quelques années deviendrait ses seins, commença un massage de ses futurs glandes mammaires, malaxant sa poitrine sans aucun ménagement, fouillant avec ses doigts, serrant, poings fermés pour emprisonner ce qu'il pouvait de chaque sein pour le tirer et le faire ressortir un maximum…

Il la trayait presque comme il l'aurait fait d'un animal…

Elle se crispait, gloussait de plaisir…

Elle allait certainement avoir un autre orgasme. Ses doigts devenaient de plus en plus mouillées.

Il retira la main de sa chatte, se concentrant sur le travail de chaque sein…

La traite de la petite femelle continuait… Il écrasait par pression successive ses deux petites glandes mammaires, tirant dessus, exactement comme il aurait pratiqué pour traire une chèvre…

La petite enculée adorait, creusait ses reins pour faire saillir sa croupe…  

La souffrance de tout à l'heure s'était évanouie, le plaisir commençait à s'installer de nouveau. De son côté il sentait la pression montée en lui…

Après le vidage de ses couilles de tout à l'heure, il n'aurait certainement pas beaucoup de jute à lui mettre dans les fesses…

Comme elle l'avait fait au premier enculage, maintenant, c'est elle même qui bougeait ses fesses pour appeler la bitte, se trémoussant, gémissant de plus en plus…

Elle commença à nouveau à parler tout haut, les gémissements ne lui suffisaient plus, elle reprit : " C'est bon…Monsieur…c'est bon…! " Tout à coup, elle se contracta à fond, puis se détendit à nouveau par saccade…

 

Elle s'apaisa complètement. Son orgasme n'avait pas duré aussi longtemps que la première fois…Quelques instants après, il jouit dans le cul de Nadine, l'inonda du peu de jute qui lui restait dans les couilles.

Ils étaient épuisés, tous les deux… Ils restèrent un bon moment sans bouger.

Il retira doucement sa bitte du postérieur de Nadine, se releva. Laissa un peu la gamine le cul ouvert en grand, contempla. Cette position flattait sa croupe…

Quelques instant après il la prit dans ses bras, la déposa sur la table d'examen. Elle avait les yeux fermés, elle dormait peut être…

Il décida de lui attacher les bras et les pieds avec les velcros. Il ne savait pas du tout quelle réaction allait avoir la petite…

En profita pour faire tous les examens qu'il désirait. Le contrôle de sa chatte fit apparaître qu'elle était dépucelée… Sa bitte avait déchiré l'hymen, elle n'était plus vierge…

L'intérieur de son cul était irrité, mais tout était normal aussi de ce côté la.

Sa poitrine l'obsédait… Le malaxage qui avait fait sur sa poitrine, sur ses tétons avaient préparés ses glandes à leur futur développement, mais ce n'était pas assez, il voulait que dans quelques semaines au maximum elle ait de véritables mamelles biens remplies, en tant que docteur il savait comment faire…

Il alla chercher dans son armoire à pharmacie une boite d'ampoule à injecter, remplit une petite seringue avec, puis sélectionna une aiguille, la plus fine possible…

Les hormones qu'il allait lui injecter directement dans ses glandes mammaires allaient avoir des effets spectaculaires, d'ici quelques jours cela commencerait à se faire ressentir, la fillette qui avait à peine 11 ans allait se retrouver avec les seins d'une jeune fille de 15 ans au minimum…

Il piqua une dizaine de fois chaque sein, à chaque fois l'aiguille rentra de plus de deux centimètres dans chaque mamelle. A chaque piqûre Nadine gémissait un peu. Le docteur injectait très lentement, il fallait que le produit se répande dans toutes les glandes uniformément, surtout ne pas se presser…

Il utilisa quatre ampoules en tout, mit plus de trente minutes pour saturer les mamelles d'hormones. Contempla la petite poitrine presque plate, qui allait en quelques semaines s'épanouir pour former de beaux petits seins, bien palpables.

Il malaxa, bien faire circuler le produit était primordial…

Il voulait que cette petite femelle puisse le faire jouir un maximum, ainsi que les hommes qui allaient la monter, tous ceux que le docteur lui présenterait…

C'était la finalité de la chose, former Nadine pour qu'elle devienne à 11 ans, non pas une petite putte, mais une vrai professionnelle du sexe…

Pendant près d'un quart d'heure il massa ses seins, tira sur ses tétons un maximum, la fillette complètement dans les vaps gémissait de temps à autre, mais ne ressentait pas grand chose, le suppositoire d'opium faisait son effet. Lorsqu'il fut sur que le produit eut bien irrigué toutes ses glandes mammaires, il arrêta enfin.  

 

 

Il retira les attaches velcro, la prit délicatement dans ses bras, sortit de son cabinet médical, rejoignit sa chambre, la déposa dans le grand lit, la recouvrit seulement d'un drap, puis décida de la laisser se reposer.

Il était déjà une heure du matin. Il se coucha à côté d'elle, se blottit au plus près de la fillette, puis s'endormit très rapidement…

Il se réveilla surpris d'avoir dans ses bras une petite fille qui dormait. Jeta un coup d'œil sur le réveil qui indiquait onze heures.

Il avait fait fort hier… Il était même un peu honteux d'avoir brûlé les étapes.

Trop rapide tout ça… Il appréhendait le moment ou la gamine allait se réveiller, elle allait se souvenir de tout c'était sur, Il allait lui dire quoi…?

Il allait se justifier comment ?

Toutes ses questions lui couraient dans la tête.

Il voulut récupérer son bras gauche, celui sur lequel la tête de Nadine reposait si bien. Il avait à peine bougé que la fillette commença à remuer.

Elle ouvrit ses paupières.

Ils se regardèrent un long moment dans les yeux... En silence.

Elle dut comprendre qu'il était gêné et qu'il ne savait pas quoi dire.

C'était bon, lui dit-elle…

Il s'attendait à tout sauf à cette réflexion de la part de la petite fille qu'elle était.

Il ne pouvait plus parler. En quelques secondes elle avait tout compris, ses angoisses, sa hantise de la situation, les remords qu'il avait.

Il se rapprocha d'elle, la serra très fort contre lui…

Elle lui fit comprendre qu'elle ne lui en voulait pas, en l'embrassant tendrement sur la joue.

Tu as bien dormi ma chérie ?

Oui mais j'ai mal au dos et à la poitrine...

Rapidement il releva sa chemise de nuit, regarda ses seins, tout était normal, aucune réaction ni rougeur, les hormones avaient été reçues sans problème par l'organisme, il n'y avait plus qu'à attendre.

Tourne toi ma puce, je vais te masser le dos…

Doucement elle se libéra de son étreinte, se mit sur le ventre.

Il retira sa petite nuisette en la passant délicatement par sa tête, se mit à califourchon sur le haut de ses Jambes. Ses cuisses reposant de chaque côté d'elle. Il commença à la masser très doucement avec ses deux mains.

Il avait déjà pris la décision, Il la masserait seulement…

Il fit ça très bien, il l'enduit même d'une huile parfumé qu'il prit sur la table de nuit. Elle se détendit un maximum. Il faisait aller et venir ses mains sur elle,

trouvant son corps parfait, tout était gracile en elle, le galbe de sa chute de reins, la courbure de ses fesses, ses jambes fines, faisaient d'elle un objet d'art précieux et unique. Il oignit d'huile avec une attention particulière pour le creux de ses reins, ne put résister à en recouvrir ses petites fesses bien fermes, en même temps si tendre à souhait. Il ne les ouvrit pas…

J'ai faim lui dit-elle…

 

 

 

        Les courses en ville et la promenade dans le bois

 

 

Le petit déjeuner fut copieux, il avait préparé tout ce qu'elle aimait… Sauf les biscottes il n'en avait pas, à la place il lui prépara du pain grillé.

De bonne humeur, elle mangea de très bonne appétit.

Rechercha sur le poste de radio sa fréquence préférée. La musique qu'elle aimait n'était pourtant pas de sa génération, mais il s'aperçut qu'elle avait bon goût, son sens critique était déjà très développée.

Ils discutèrent de pas mal de choses en mangeant et en sirotant leur chocolat chaud. Ils furent interrompu par la sonnerie du téléphone. Il décrocha.

C'était sa mère, elle téléphonait de Belgrade… Aussitôt il mit l'amplificateur pour que la petite puisse entendre… Je fais vite, car on pourrait être coupé rapidement, ici la situation est catastrophique, on est bombardé tous les jours… Nadine tu est là ?. La petite prit aussitôt le combiné…Oui Maman ça va le docteur est gentil avec moi, et j'apprends beaucoup de chose …

Bon tu es très gentille avec lui, surtout tu fais tout ce qu'il te dit… Tu as bien compris Nadine… Oui maman… Je t'embrasse ma chérie…à bientôt…

Repasse moi le docteur, s'il te plaît… Allô… Oui …Docteur…Quoi qu'il arrive promettez moi de vous occuper de ma fille… Ne vous inquiétez pas…je vous le promet… Merci… Et je voulais vous dire…. La ligne fut coupée net, plus rien. La fillette reprit le combiné, essaya ….Maman…maman…tu m'entends…?.

Dépitée, elle raccrocha le téléphone, ils restèrent sans parler un bon bout de temps.

Le silence s'imposa pendant un bon quart d'heure, il alluma la télévision pour lui changer les idées, s'installèrent dans le grand fauteuil, sa tête reposait sur son épaule. Elle était triste…

Il fallait s'organiser, il avait tout son temps à consacrer à la gamine. Son cabinet médicale étant fermé pendant toutes les vacances. Si Nadine devait rester quelques jours, voir quelques mois chez lui il allait devoir lui procurer le nécessaire indispensable, et un peu plus peut être…

Sa mère n'ayant pas amener grand chose dans le sac d'affaires de rechange, ils iraient faire des courses tout à l'heure…

 

 

Arrivé en ville ils laissèrent la voiture au parking. Après avoir déjeuné dans le centre ville ils firent des emplettes dans un grand magasin.

Il lui acheta des habits de rechange, cela alla des petites culottes, chaussettes, aux pantalons… C'était le moment de choisir des modèles de petites jupette.

La dame guida le "papa" et sa fille vers une cabine d'essayage au bout du rayon, les laissant seul pour le choix, elle alla s'occuper d'autres clients…

La fillette prit une des deux jupette, essaya une bleue ciel assez moderne, très courte et moulante. Elle se regarda dans la glace, demanda au "papa" ce qu'il en pensait…

Il commença par palper le tissu au niveau de son ventre… Pour voir si elle n'était pas trop serré,, mit sa main dans la ceinture, la fit glisser de haut en bas sur sa petite culotte, jusqu'à ce que ses doigts atteignent son bas ventre et sa fente… Il massa l'ensemble quelques minutes…

Cela allait pour la taille. Il s'agenouilla près de la petite fille pour voir de plus près, lui demanda de se tourner pour qu'il regarde derrière si rien ne clochait. Il contempla ses deux belles petites fesses serrées, prisonnière du tissus, mit ses deux mains dessus en palpant à fond ses formes arrondis. Elle se laissa faire sans broncher. Il passa une main sous la minijupe, accéda à ses dessous…

La petite culotte était faite d'un tissu très doux, il massa ses fesses, puis il dirigea sa main vers l'élastique, tirant dessus, il baissa sa culotte… Jusqu'aux pieds de la gamine.

Il remit ses mains sur la jupette, massa son postérieur à nouveau, tout en faisant rentrer légèrement le tissu dans la raie de ses fesses. Il toucha aussi le devant, chercha à situer la fente de son sexe avec ses doigts.

La dame pouvait revenir d'un moment à l'autre, il remit la petite culotte avec une maladresse qui lui fit toucher bien involontairement ses parties intimes…

Ils achetèrent les deux jupettes.

Sur le chemin du retour il arrêta sa voiture à proximité d'un sexe-shop, laissa la fillette pendant une bonne demie heure seule dans la voiture. Il revint avec un sac rempli dans chaque main, les déposa sur le siège arrière du véhicule.

Il faisait beau et chaud, il était à peine 15 heures, sur le chemin du retour ils s'arrêtèrent dans une forêt pour faire une petite ballade… Il ouvrit et franchit une des barrières en bois qui normalement étaient interdites d'accès, continua un bon kilomètre puis arrêta son véhicule à l'ombre dans un endroit désert et presque inaccessible.

Ils étaient tranquille… Ils descendirent, prit dans la voiture divers choses sans oublier les deux sacs qu'il avait ramené toute à l'heure. Il installa dans l'herbe, sous un arbre à l'abri du soleil une grande couverture épaisse.

Il avait acheté une dizaine de gâteaux à la crème, ils y firent honneur tous les deux. Puis il déboucha une bouteille de jus de pamplemousse, en remplit deux verres en plastique. Elle  ne remarqua pas la petite fiole qu'il déboucha avant d'en verser le contenu dans sa boisson.

Nadine à ta santé ma puce… Elle trinqua, bue tout de suite… Il lui dit … Nadine on va s'allonger tous les deux, on va faire des choses ensembles.

Tu veux bien que je t'apprenne de nouvelles choses ?. La fillette ne répondit pas. Elle finit son verre complètement, s'allongea à côté de lui, ce fut sa réponse…

Il la contempla ... Elle ne portait qu'un léger tee-shirt blanc avec des motifs imprimés en couleur, une jupette en soie jaune canari.

Il lui dit : " On va jouer à un jeu, tu vas fermer tes yeux Nadine, te laisser caresser, si tu triches tu seras punies ".

Il commença par effleurer sa petite  poitrine naissante, le bout était rougi, la corolle s'était élargie, les hormones commençaient à faire de l'effet…

Il s'aventura un peu plus, amena sa langue sur un des bout, commença à lécher, puis à mouiller le tissu, tandis qu'une main malaxait doucement l'autre petite glande mammaire.

Au bout de quelques minutes ses tétons saillaient beaucoup plus.

Il promena l'autre main sur sa minijupe, caressa le haut de sa cuisse juste à l'entrejambe. Il adorait jouer sur son vêtements, ressentir sous ses doigts les coutures de la petite culotte. Il rendit libre ses deux mains, releva la jupette sur son ventre, regarda le slip blanc avec des petites fleurs bleues.

Nadine tricha et ouvrit ses yeux.

Tu n'aurais pas du ouvrir les yeux. Je vais être obligé de te punir…

Tout d'abord je vais te déshabiller entièrement, te mettre d'autres habits que j'ai acheté spécialement pour toi. Il ne mit que quelques minutes pour retirer le peu de vêtement qu'elle avait sur elle. Ouvrit un des sacs rempli de gadgets qu'il avait acheté au sex-shop, extirpa un bustier rouge avec des dentelles noires sur un fond bleu ciel, commença à lui enfiler l'ensemble sans problème.

La fillette se laissait faire, savourant même qu'on l'habille d'une façon si bizarre. Ce bustier était fait d'une façon très spéciale…

Le haut était tenu par des lanières noirs qui se croisaient derrière le dos en passaient sur les épaules. A la place des seins 2 trous béants…

La guêpière pouvait être réglé par des lacets, il les serra le plus fort qu'il put au niveau de son ventre pour faire ressortir son bassin ainsi que sa cage thoracique.

Sa  petite poitrine et ses deux tétons sortaient par les deux trous.

Le bas du bustier laissait paraître à la hauteur du sexe et de l'anus un passage ouvrable à volonté par des boutons pression. Elle était maintenant allongée sur le dos.

Elle faisait vraiment petite salope dans son accoutrement.

La drogue qu'il avait mis dans son verre devait commencer à faire effet, ses pupilles commençaient à se dilater… Juste pour voir il se mit entre ses jambes,  lui écarta les cuisses en l'air en tenant ses bras tendus. Le spectacle l'émut, il n'avait qu'à dégrafer les trois pressions, il pourrait lui rentrer ce qu'il voulait dans sa chatte, ou bien dans son cul…Il en profita pour caresser longuement ses deux tétons qui ressortaient très bien du bustier.

Son ventre déjà plat naturellement était vraiment serré a maximum par la guêpière, il comprenait mieux maintenant l'expression taille de guêpe…

Il fouilla dans un des deux sacs, trouva ce qu'il cherchait… Il sortit deux pinces à sein… Fixa la première sur un téton, la fillette eu mal tout de suite, criant instantanément…

Pour la suite il fallait que la petite garde le silence, on ne sait jamais…

Il lui fourra dans sa bouche un mouchoir, prit un bâillon dans un des sacs, en couvrit la bouche de Nadine, fit un nœud par derrière sa nuque.

Elle se demanda un peu ce qui lui arrivait, mais la drogue faisant son effet elle se laissa bâillonner. Il se dit qu'elle pouvait le retirer facilement, il prit une paire de menottes, enserra les poignets de la petite fille par le devant. Ses mains prisonnières reposaient maintenant sur son ventre. Il mit la deuxième pince à sein sur l'autre téton, elle se cambra aussitôt en hurlant de douleur… Heureusement presque rien ne sortit de sa bouche, juste un petit cri étouffé,  presque inaudible, le bâillon remplissait bien son office.

Elle commençait à délirer, bougeant sa tête de droite à gauche…

Ses pupilles étaient presque complètement dilatées. Le médicament remplissait son office, elle pourrait supporter la douleur, elle ne se souviendrait pas de ce qu'il allait lui faire…

Il décida de s'occuper de son anus, sortit du sac un god en caoutchouc, de belle taille en forme de bitte terminé d'une belle paire de couilles. Il allait lui rentrer dans le cul cet appareil,  mais il allait la préparer comme il le voulait.

Il trouva dans un sac deux bracelets en cuirs, en attacha un à chaque cheville de la petite. Un petit anneau de fixation dépassait de chaque morceau de cuir.

Il avait pensé à tout, il avait préparé des piquets de tente, un maillet, ainsi que de la cordelette en Nylon, une pince pour couper la corde à la bonne dimension. Avec le maillet il fixa solidement deux piquets de un mètre vingt dans la terre au niveau de la tête de Nadine, à cinquante centimètre de chaque oreille.

Il fit rentrer dans la terre un plus petit piquet juste dix centimètres derrière sa tête. Il fit le premier nœud sur le bracelet de la cheville droite, coupa la corde à environ un mètre cinquante. Il fit pareillement avec l'autre cheville, passa les deux cordes dans chaque trou des deux grands piquets,  tira sur les deux cordes…

Les deux jambes de la fillette montèrent en même temps jusque qu'à soulever ses fesses et son bassin. Il attacha les deux cordes au petit piquet central, fit un nœud. Elle avait maintenant les jambes et cuisses écartées en l'air. Il retira la paire de menottes de ses poignets, prit une deuxième paire de menotte dans le sac. Remit l'extrémité d'une menotte à chaque poignet, accrocha l'autre bout de chaque menotte à l'anneau de chaque piquet qui se trouvait à gauche et à droite de Nadine. Elle se trouvait maintenant dans l'impossibilité de bouger, bras et cuisses écartées en hauteur. Il se mit à genoux entre ses cuisses, contempla son œuvre. Elle était soumise comme il le souhaitait. Il dégrafa au niveau du bas des reins les trois boutons pression du bustier, une partie du tissu retomba dans le vide, il releva l'autre sur son bas ventre, arrangea l'ensemble à souhaits.

Elle avait sa chatte et son anus offert en même temps. Il saisit dans un sac le flacon de gel intime, en enduit la bitte en caoutchouc préparé tout à l'heure, elle avait à peu près la dimension de sa queue. Il en mit plein sa main, commença à en répandre sur l'anus de la fillette, continua à lui bourrer le cul à l'aide de ses doigts. Il voulut voir si Nadine était encore sensible, il tira un peu sur les deux cordes des pinces à seins qui servaient à resserrer la pression de l'engin.

 

Il la vit faire un soubresaut incroyable Elle dut crier très fort, mais le mouchoir plus le bâillon devant sa bouche firent leur office, il ne sortit qu'un son sourd et étouffé.

Voyant qu'elle réagissait, il commença à appuyer le god sur son anus.

L'enculage commença à lui ouvrir ses chaires. Il rentra le bout du gland assez facilement, elle gémit de douleur…

Il continua à pousser l'engin dans son trou du cul. La moitié du god était maintenant rentrée, il continua à forcer…

L'autre moitié rentra plus difficilement, elle secouait tout son bassin en gémissant, tirait sur les cordes, mais les piquets tenaient bon.

Il arriva jusqu'aux couilles du god. Elle était enculée à fond…

Il se remit à genoux entre ses cuisses, commença d'abord par à lui lécher sa chatte à petits coup de langue, puis très rapidement l'enfouit complètement à fond, puis revint sur son clitoris, très rapidement la petite boule de chaire se développa sous sa langue… Nadine était dans un état second, mais réceptive à ce qu'il lui faisait. Il retira son short, sortit sa bitte de son slip.

Il bandait énormément… Il fouilla la gamine avec ses doigts, elle commençait à mouiller copieusement. Il continua à titiller sa petite boule sans arrêter.

Elle était chaude maintenant, elle gémissait en bougeant son ventre, la bitte en caoutchouc dans son cul, les pinces à seins, le travail sur son clitoris faisaient leur effet. Les piquets qui lui maintenaient les jambes écartées en hauteur remuaient de plus en plus.

Avec une main il prit délicatement les deux ficelles des pinces à seins, les approchant de son visage il les bloqua avec ses dents… Il tirerait dessus quand bon lui semblerait… Il approcha sa verge de la chatte de la petite fille, commença à appuyer… Les lèvres de son sexe s'écartèrent. Il était sur qu'en donnant un seul coup de reins il la pénétrerait facilement…

Il commença à tendre les ficelles des pinces à seins de plus en plus…

Elle se cambra complètement, il en profita, donna un grand coup de reins dans son ventre…

La bitte rentra à fond dans son vagin, au même moment il tira la corde à fond…

Nadine eut un cri terrifiant, heureusement complètement étouffé par le bâillon. Des spasmes secouaient tous son corps. Il attendit, ne bougea plus sa bitte.

Elle était rentrée presque entièrement. Il commença à la besogner.

Lorsqu'il poussait la petite s'ouvrait complètement. Les piquets qui la maintenaient ployaient sous la traction. La fillette délirait complètement entre  souffrance et plaisir. Elle tirait sur les menottes maintenues par les piquets, les cordes tenaient bon…  Il continua son travail pendant plus d'un quart d'heure. Maintenant la gamine gloussait de plaisir, les yeux grands ouverts. Il remarqua sur son visage cette expression d'étonnement mélangé à du vrai plaisir.

Cela le consolait, le réconfortait un peu, il remarquait encore une fois que  souffrance et plaisir n'étaient pas ennemi mais complémentaire dans la jouissance.

 

 

La pression montait dans sa queue, il allait bientôt la remplir de sperme.

Il redoubla son besognage, se crispa entièrement, éclata dans le ventre de la petite fille… Elle ressentit la jutte rentrer au plus profond de son ventre, contracta son vagin à chaque giclée qui l'inondait, c'était chaud et onctueux, c'était bon, très bon… Tout son bas ventre ressentait cette chaleur, puis il y avait cette chose dans son derrière qui l'écartait, lui donnait de drôles de sensations plaisantes. Et sa poitrine en feu, ça lui faisait des choses aussi…

Elle ne savait pas ou elle était, ni ce qu'elle faisait, elle était loin.

Dans sa tête, des couleurs, des formes bizarres. Elle n'entendait plus rien que le chant des oiseaux, elle devait être dans un bois peut être …?

Il resta à l'intérieur de la gamine pendant de nombreuses minutes.

Lorsqu'il décida de se retirer de son ventre elle dormait profondément.

Sa respiration avait changée de rythme, elle ne donnait plus aucun signe d'éveil. Il contempla le sperme qui coulait de sa chatte, ne nettoya rien, sortit délicatement la bitte en plastique de son cul, remit les trois pression du bustier.

Il retira les nœuds des piquets, la petite redescendit sur la couverture.

Il lui retira son bâillon, les menottes, les bracelets en cuirs. Il rangea tous ses accessoires dans le coffre de la voiture.

Avant de partir il lui remit sa jupette et son tee-shirt, la porta sur le siège avant de la voiture, accrocha sa ceinture de sécurité. Sa nuque reposait sur l'appuie tête. Elle n'avait pas bronché, elle dormait toujours profondément.

Il démarra la voiture, roula doucement dans le sous bois. Quelques instants après il rejoignait la route principale. La fillette avait l'air d'une petite fille qui rentrait chez elle avec son papa, après une longue ballade, elle était fatiguée et  dormait…

Il roulait depuis un petit moment. De temps en temps, il contemplait les cuisses de Nadine sous sa minijupe. Tout en conduisant il mit sa main droite sous la jupette, il caressa le bustier, les trois boutons pression…

Il les dégrafa un par un. Aussitôt ses doigts s'enduirent du sperme qui coulait de son ventre, commençant à remplir le bas du bustier. Il le laissa couler, la jutte commençait à se répandre sur la banquette de la voiture.

Il trouva le spectacle plaisant, laissa sa chatte se vider doucement sur le tissu.

De temps en temps il touchait les lèvres du sexe de la fillette, s'humidifiait avec le liquide blanc et onctueux qui ressortait…

Il arriva chez lui, la première chose qu'il fit, fut de transporter délicatement Nadine dans sa chambre, de la déposer sur le grand lit.

Il lui retira sa jupette, son tee-shirt, s'attaqua au bustier, le plus difficile fut de desserrer les lacets. Il fit très doucement pour ne pas la réveiller.

Elle était maintenant entièrement nue. Le travail qui lui avait fait enduré avait laissé des traces sur sa  poitrine, ses tétons étaient très gonflés, tout violacés.

Il alla chercher dans son cabinet un tube de pommade contre les hématomes, en enduit copieusement ses tétons , les massa doucement.

 

 

Il entrouvrit ses cuisses, contempla sa chatte, une belle petite moule avec en son milieu le liquide blanc qui suintait…

Il lui remit sa petite nuisette. Il était content de lui, il avait assouvi un fantasme qui lui trottait dans la tête depuis son adolescence. Il en avait plein d'autres, il espérait que la petite pourrait lui permettre de les satisfaire.

Il était déjà 20 heures, il la laissa dormir seule dans sa chambre.

Il partit se restaurer, regarda la télévision dans le salon toute la soirée.

A 23 heures il décida d'aller se coucher, rejoignit sa chambre. Nadine dormait d'un sommeil paisible. Il se glissa en slip dans le lit à côté d'elle, s'endormit assez rapidement.

 

 

 

 

   La baise et l'orgasme de Nadine

 

 

Les cris de la fillette le réveillèrent en sursaut, il regarda l'heure sur le radio réveil à affichage digital mis bien en évidence sur la cheminée, quatre heures du matin…

Il alluma la lumière de sa table de chevet. Nadine était assise dans le lit.

Elle était réveillée les yeux grands ouverts, elle pleurait doucement.

Il lui parla : " Nadine ma chérie…il y a quelque chose qui ne vas pas…? ".

J'ai froid dit elle en pleurnichant. En effet il remarqua sa blancheur. Elle avait la chaire de poule, tremblant sans arrêt. Il se leva, revint quelques minutes après avec une grande tasse de chocolat chaud. Elle ingurgita rapidement la boisson, se remit dans le drap. Il se recoucha, se blottit contre elle, la serrant très fort dans ses bras. Ses jambes se mélangèrent aux siennes, son bassin appuyant sur son slip.

Ils restèrent comme ça sans bouger un long moment. Elle se réchauffa peu à peu au contact de son corps, puis l'un et l'autre se rendormirent rapidement.

Il se réveilla le premier, il était 7 heures du matin. Nadine dormait paisiblement. Il bandait comme tous les matin à son réveil. Il se dit qu'il serait bête de ne pas en profiter…Une gamine de moins de 11 ans dans son lit…

Il mit délicatement sa main sur la nuisette de la petite au niveau de son ventre, descendit sur le tissu à la recherche de sa petite fente, trouva l'entrejambe tout de suite, ne put résister longtemps, rapidement il passa sa main sous sa chemise de nuit, se mit à la caresser…

Elle se réveilla doucement. Il se mit à la palper délicatement de ses deux mains, ressentit sous ses doigts les deux petits tétons qui avaient doublé de volume par rapport à la première fois…

Elle ne fut pas insensible à ses caresses longtemps, écarta les cuisses d'elle même. Il lui prit une main, la mit directement dans son slip, lui fit masser ses couilles. Elle le fit avec beaucoup d'attention, lui tira une par une en les faisant rouler tout doucement avec ses petits doigts, comme il lui avait appris…

Il avait osé un doigt dans sa chatte, il la fouilla à fond, remarqua que son vagin était beaucoup plus souple et détendu que la dernière fois.

Le travail qu'il avait pratiqué sur elle hier en lui bourrant la chatte à coup de bitte avait fait son effet…

Retourne toi, met toi sur le ventre Nadine… La gamine s'exécuta lascivement.

 

 

 

Elle était offerte, les jambes légèrement écartées, sa nuisette au ras des fesses…

Il prit dans sa main une de ses fesses, commença à la malaxer doucement en prenant soin d'écarter son cul, touchant son anus avec un doigt. De l'autre main il lui caressait sa nuque ainsi que son dos.

Ses caresses durèrent quelques minutes, contente, elle ouvrit ses cuisses à fond, commença à faire onduler sa croupe.

Il lui demanda de se mettre accroupi à genoux…

Elle avait maintenant son postérieur en hauteur, la tête écrasée dans  l'oreiller.

Il caressa le cul offert, lui écartant les cuisses au maximum.

Continue à bouger tes fesses, lui dit-il… Elle entreprit à nouveau un mouvement de rotation de son postérieur.

Il prenait son pied, bandant comme un turc rien qu'à voir la petite faire ce qu'il lui demandait. Il se mit juste derrière, amena sa langue sur le trou de son derrière, commença à lui lécher l'anus. La fillette fut surprise, arrêta d'onduler, mais ouvrit ses cuisses au maximum. Il força le petit cul  d'un coup de langue,  fouillant son postérieur… Nadine fit un "oh…" d'étonnement et de satisfaction. Une main titillait par devant son clitoris, la petite commença au bout d'un certain temps à avoir très chaud... Elle gémissait doucement, entrecoupé de " c'est bon…oh que c'est bon…". Il décida de la faire travailler un peu, se retira,  s'allongea sur le dos à coté d'elle.

Lui donna très gentiment un ordre : " Suce moi la bitte Nadine ".

Elle resta dans sa position pendant un instant, comprit que plus rien pour l'instant ne viendrait de ce côté là…

Elle décida de bouger, descendit son corps, se mit en position entre ses cuisses, sa bouche à la hauteur de son pénis.

Elle suça tout de suite sa queue de la façon qu'il lui avait appris.

Avec de longs coups de langue elle râpa sa bitte, tournant autour de son gland plusieurs fois. Il lui demanda de la mettre complètement dans sa bouche, puis de la pousser au maximum dans sa gorge. Elle faillit s'étrangler plusieurs fois…

La fellation dura un bon moment, la gamine commençait à développer une technique personnelle… Elle le suçait comme aucune fille ne l'avait faite auparavant, avec application, sans aucun d'égout. Elle aimait donner du plaisir à sa bitte. Il sentit la pression monter dans sa queue, préféra garder la jutte pour sa chatte… Il lui demanda de s'allonger, de se mettre sur le dos…

Elle s'exécuta aussitôt, compris tout de suite qu'elle allait être prise à nouveau…

Il se mit entre ses cuisses, souleva complètement ses deux jambes, les tenant écarté avec ses deux mains. Il pouvait l'ouvrir ou la refermer à volonté.

Il lâcha ses jambes, lui demanda de les laisser en hauteur sans bouger.

Pendant ce temps il descendit sa bouche à la hauteur du sexe de la fillette, commença à lui sucer la chatte, en profondeur… Il inonda son vagin de salive, la gamine prenait son pied, elle adorait, gémissant de plus en plus…

Il se dit qu'elle était assez lubrifié comme ça, revint à sa position d'avant, en lui tenant à nouveau les cuisses écartées en hauteur.

Il fit un essais, lui ferma complètement les cuisses,  les rouvrit à fond…

Les lèvres de son sexe ruisselant de salive suivaient le mouvement, sa moule s'ouvrait, puis se refermait…

Il lui demanda à nouveau de laisser toute seule ses jambes en l'air écartées à fond. Sa queue toute raide était sortie de son slip depuis longtemps, il la prit dans sa main droite, la balada sur toute la longueur de sa fente en appuyant.

Il jouait avec sa chatte, ouvrant légèrement les lèvres avec son pénis, traçant la fente de la petite fille…

Toujours le travail sur son clitoris… Juste une pression d'un doigt en titillant de temps en temps. Elle criait de plaisir, assez fort... Elle était prête à être "saillie" à nouveau. Il remit ses mains sur ses chevilles, écarta à nouveau ses cuisses, mais à fond … La fillette cria de douleur.

Son bassin étant écarté en grand, il en profita pour appuyer sa bitte au maximum sur sa fente. Le bout du gland fut "avalé" par le joint de la fillette. La bitte connaissait déjà le chemin…

Il continua à pousser à fond, le reste de sa verge disparut d'un seul coup dans la petite chatte. La fillette hurla… Un grand cri strident, puis plus rien.

Sa respiration était haletante, il regarda son visage, remarqua comme la première fois une expression de bonheur et de surprise mélangée. La pénétration avait été totale, jusqu'au couilles. Il fit quelques contraction avec sa bitte, appuya à fond pour bien sentir ses parties sur la paroi de la gamine. C'était bon… Ressentir la fillette autour de sa queue, offerte, soumise à tous ses désirs, quel cadeau…

Il commença à la besogner doucement. Sa bitte rentrait et ressortait de son trou  lubrifié… La petite mouillait abondamment.

Elle recommençait à gémir doucement. Plus la bitte accélérait son va et vient, plus les sons qui sortaient de sa bouche devenaient forts. Elle se mit rapidement à hurler de jouissance, secouant sa tête dans tous les sens.

Lorsqu'elle ressentit la jutte toute chaude inonder  par saccade le fond de son ventre, elle s'ouvrit encore plus. Il l'aspergea longuement d'un grand nombre de coups, se vidant les couilles complètement. Elle était rempli de sperme, il continua à la besogner…

Tout à coup la gamine vibra, se déchargea par saccades, eut un cri plus fort et plus long que les autres.

Il ressentit une série de crispation sur sa queue à l'intérieur du vagin de la petite. Elle venait d'avoir un orgasme… Il continua le va et vient dans son ventre pendant un moment. La gamine redevenait calme maintenant, elle avait les yeux pétillants, plein de reconnaissance envers le Monsieur qui lui donnait autant de plaisir. Jamais personne ne s'était occupé d'elle comme ca…

Il se reposa un peu, resta dans la fillette un long moment. Lorsqu'il se retira de sa chatte, elle eut comme une expression de regret sur son visage…

Elle n'eut pas le temps d'analyser, il mit aussitôt sa bitte au niveau de sa bouche… Comprenant tout de suite ce qu'elle avait à faire, elle avala docilement la bitte dans sa  bouche, effectuant un va et vient avec sa tête.

La bitte coulissait bien, la fillette le pompait énergiquement, avalant le peu de sperme qu'elle trouvait encore

 

 

 

                                       Dans le jardin avec Nadine

 

 

 

 

Il se retira de sa bouche lorsque sa queue fut redevenue entièrement molle.

La gamine regardait son sexe avec étonnement, ne comprenant pas comment sa bitte aussi grosse à certain moments, pouvait redevenir comme ça…

Ils se levèrent, prirent leur douche ensemble, déjeunèrent. La complicité qui maintenant les unissaient sonnait vraie, la gamine commençait à se sentir chez elle. Elle se baladait dans toute la maison ayant pour seuls vêtements une nuisette rose agrémentée de dentelles blanches, ainsi qu'une petite culotte bleue, elle aussi à dentelles…

A 12 heures il faisait déjà très chaud pour un mois de Juillet, lui aussi était en tenue légère, slip et tee-shirt. Nadine découvrait un nouvel univers, posait des questions sans arrêt sur des objets, les photos qu'elle remarquaient sur des meubles. Il lui expliqua sans s'étendre qu'il s'était marié, ayant eu trois enfants,

sa femme ainsi que sa petite fille n'avait pas survécue à un accident de voiture. Stéphanie avait disparue à l'âge de 10 ans…, ses deux garçons étaient maintenant mariés, vivant à l'étranger.

Il ne s'était jamais remis de l'accident, à près de 45 ans seul son travail lui donnait encore une raison de vivre…

Ils déjeunèrent sur la table de jardin. A l'ombre sous un grand marronnier, ils n'eurent pas à souffrir trop de la chaleur.

Il se mit dans une grande chaise longue, lu une partie de l'après-midi.

Nadine joua toute seule, s'occupa, découvrant le monde du jardin. De temps en temps elle faisait de la balançoire, il pouvait contempler à nouveau sa nuisette et sa petite culotte. Il adorait surtout quand elle écartait les jambes en donnant un coup de rein pour se donner de l'élan.

Il voyait très clairement sa petite fente sous le tissus, à chaque fois cela le faisait bander à nouveau… Elle remarqua son regard, prit un certain plaisir à écarter ses cuisses à chaque passage…

Après un long moment de ce manège, il lui fit signe avec son doigt de venir le rejoindre. Elle descendit de la balançoire, se dirigea vers lui. Il laissa tomber son livre par terre, lui tendit la main, l'invita à s'asseoir à califourchon sur lui…

Elle le chevaucha… Il la tira sur lui, l'embrassa longuement sur la nuque...

Elle ressentit sa bitte enroulée dans son slip appuyer sur sa culotte, juste à la raie des fesses, elle les ouvrit légèrement…

Avec ses mains sur sa taille, il la faisait bouger juste pour qu'elle ressente au mieux sa bitte. Ils jouèrent à ce petit jeux pendant un certain temps…

 

En tournant la tête elle pouvait le regarder dans les yeux, elle comprit ce qu'il voulait, lui donna d'un timide regard son accord…

Il tira assez fortement sur les bords élastiques en dentelle du derrière de sa petite culotte, la fit coulisser complètement. Elle comprit qu'il voulait la lui retirer. Nadine se cambra complètement en arrière, jambes en l'air pour que celle-ci puisse passer facilement.

La culotte glissa du bassin à ses genoux, puis finalement à ses pieds. Il la retira d'un geste, remit la gamine à califourchon sur son slip. D'une main il sortit sa queue qui se mit toute droite, glissa son slip sous ses couilles.

Il pressa la fillette contre lui. En jouant sur ses jambes, avec une main il la décolla d'une dizaine de centimètres. Il prit sa queue avec l'autre main, l'amena juste sous sons anus, fit redescendre Nadine doucement…

La gamine ne pouvait pas s'agripper, elle ressentit la pression de la bitte sur l'étoile de son anus, ne chercha pas à se dégager. Au contraire elle écarta ses cuisses un peu plus encore. Le gland de sa pinne rentra doucement dans son postérieur… Son poids aidant, la fillette s'encula toute seule sur sa verge.

Il n'avait pas mis de crème, très rapidement il s'aperçut que son cul était assez lubrifié. La moiteur de l'été aidant Nadine se retrouva  empalée jusqu'aux couilles très rapidement. Ils restèrent ainsi sans bouger un très long moment…

Elle était sodomisée à fond, à la voir détendue comme elle était, il était certain quelle aimait ça. Ce coup ci elle n'avait même pas crié…

Il ne la besogna pas, ils restèrent collés l'un à l'autre un très long moment.

Il l'embrassait dans le dos, la caressait partout sur son corps. Ses tétons étaient très sensible et douloureux, il les honora très doucement au départ, puis intensifia le massage de ses seins…

Il en était sur, en quelques heures sa poitrine s'était développée d'une manière fulgurante, les hormones agissaient. Il se remit à la traire comme il l'avait fait, rentrant ses doigts à fond dans ses glandes mammaires, tirant en même temps sur les bouts pour faire sortir un liquide imaginaire, mais au combien érotique…

Elle se laissait faire, flattée qu'il s'occupe de sa poitrine… La traite dura une bonne dizaine de minutes, elle adorait, gémissant de plaisir…

Puis il s'occupa un peu de sa chatte, de son clitoris, l'effleura délicatement.

Il était content de la posséder comme ça… Il voulait développer en elle une sensualité exacerbée…

Selon lui c'était la meilleur façon d'y arriver. Laisser son plaisir, ses sens se développer. Elle deviendrait différente, ne serait pas toute sa vie uniquement qu'un trou à recevoir du sperme.

Toutes les étapes qu'il allait lui faire franchir ne seraient pas toutes marrantes,

ni à son goût, mais elle les connaîtraient, par la suite elle pourrait choisir…

Il n'avait plus envie de penser, il avait envie de l'enculer, c'était tout...

 

Il y avait déjà plus d'une heure que la fillette était empalée sur sa bitte, Il la décolla, se retira de la gamine doucement. Il bandait toujours, mais il voulait absolument que la fillette fasse autre chose de sa journée…

Il lui dit de ne pas remettre sa petite culotte, qu'il voulait quelle joue dehors comme ça toute la journée…

Nadine passa donc son après-midi dans le jardin, cul nu. Son seul vêtement, sa nuisette lui arrivant juste au ras des fesses, laissait entrevoir de temps à autre le plus beau spectacle de l'univers…

 

 

 

 

           

                                          Nadine au cinéma

 

 

Elle jouait à attraper des petits animaux…Papillons, mouches, araignées, tout y passait…Parfois, elle essayait de l'aguicher. Passant, repassant à côté de lui, tout en montrant bien volontairement, ce qui selon elle l'intéressait au plus haut point…  A onze ans, elle avait déjà compris le plus important…

Ils dînèrent vers 19 heures, parlèrent de tout et de rien.

A la fin du repas il lui demanda si elle voulait aller au cinéma en ville…

La gamine se réjouit aussitôt.

Il ajouta qu’il ne savait pas ce qu’il y avait comme film, ils verraient bien…

Il s’habillèrent de vêtements plus conventionnels. Revêtit un ensemble jean, tee-shirt. A Nadine, il imposa une petite minijupe en tissu léger, ainsi que la petite culotte de dentelles rose achetée la veille dans le sex-shop…

L'accessoire érotique ne faisait pas vraiment petite fille…

Il lui choisit aussi un chemisier blanc ayant la particularité de se dégrafer facilement…

Pendant tout le trajet, roulant doucement, il lui expliqua qu’il allait procéder à une expérience. Quoi qu’il arrive il fallait qu’elle se laisse faire, de toute manière elle ne craignait rien, il était là…

Il insista, lui demandant si elle avait bien compris…

Puis il lui fit promettre de faire ce qu’il avait dit sans aucune restriction.

La gosse promit, ne comprenant vraiment pas pourquoi il insistait autant…

Il choisit sa salle de cinéma favorite... Pas question de l’emmener dans un cinéma pornographique ou X. De toute façon on ne l’aurait pas laisser rentrer, même si il avait put prouver qu’il était son père...

Cette salle projetait des films normaux… La particularité de l'endroit étant qu'une population assez marginale si donnait rendez vous le soir…

De plus il faisait très noir aux derniers rangs.

Bon nombre de couples " homos ou hétéros " pouvaient laisser libre cours à leurs fantasmes.

Il acheta les billets…

L’ouvreuse les emmena sans se poser de questions au dernier rang.

Il se glissèrent à tâtons parmi les fauteuils en dérangeant un couple au début de la rangée. s’assirent à l'opposé près du mur. Nadine se plaça à côté de lui, laissant un grand nombre de fauteuils vides à côté d’elle…

Ils ne distinguaient plus rien des gens autour d’eux.

Il fallait que leurs yeux s’habituent à l’obscurité.

Au bout de quelques minutes ils commencèrent à y voir plus claire…

Leur venue n’avait pas laissé tout le monde indifférent.

Un homme brun d’environ 35 ans, à deux rangs devant n’arrêtait pas de tourner la tête vers eux. Le docteur s’en aperçut, regarda ce monsieur très gentiment, sans aucune animosité.

Le jeu de leur regard dura un certain temps… L’homme reluquait sans arrêt la fillette et le docteur, sans vraiment savoir ce qu’il attendait en retour.

Il n’en crut pas ses yeux lorsque celui-ci lui fit un petit signe discret avec son indexe, l’invitant à venir les rejoindre. En même temps il  remua la tête affirmativement tout en la tournant vers la fillette.

Le message était on ne peut plus claire, le monsieur pouvait y aller… 

L’homme étonné ne savait plus quoi faire. Il ne s’était certainement jamais trouvé dans une telle situation.

Il attendit un peu, puis se leva, dérangeant les spectateurs à ses côtés.

Il prit la direction des toilettes, s'y engouffra…

Quelques minutes après il réapparut puis remonta l'allée centrale.

Il s'arrêta à la rangée ou il était précédemment, hésita un instant, décida de ne pas déranger à nouveau les spectateurs assis, continua deux rangées plus loin.

Il demanda pardon au couple. Les amoureux le laissèrent passer sans arrêter leurs ébats. Il continua sur sa lancée, s'assit juste à côté de Nadine…

Anxieuse elle regarda le docteur. Il approcha sa tête, lui dit à l'oreille :

" Ne crains rien, fais ce que je t'ai dit tout à l'heure, tu te laisses faire…".

L'homme regardait à nouveau le docteur, n'osant même plus jeter un regard sur la fillette. Il était venu les rejoindre c'était déjà assez courageux…

Il attendait pour aller plus loin une certaine autorisation du monsieur qui accompagnait la fillette. Celle-ci vint rapidement. Le docteur commença à caresser la cuisse gauche de Nadine, sa main glissa sous la jupette de la fillette.

L'homme ne perdit rien de l'action, regardant intensément les yeux du docteur. Celui-ci lui donna la permission qu'il attendait par un léger hochement de tête. Tout en guettant un signe de désapprobation, l'homme mit sa main gauche sur le genou de Nadine… Elle fut surprise, regarda aussitôt le docteur.

Il acquiesça par un petit signe de tête de haut en bas. L'homme fut rassuré, commença à faire remonter sa main sur la cuisse de la fillette. Nadine resserra ses jambes aussitôt. Le docteur regarda autour de lui si personne n'avait remarqué le manège… Tout allait bien, personne n'observait ce qu'ils faisaient. Il mit une main sur chaque genoux de Nadine, lui écarta d'autorité les cuisses… La gamine comprit qu'il fallait qu'elle se laisse faire…

La main de l'homme était passée sous la jupette de la fillette, lui massant doucement le haut de la cuisse. Elle fut rejointe par la main droite du docteur…

Le contact figea l'homme un instant. Le docteur lui prit doucement les doigts de la main, les emmena directement sur la petite culotte de Nadine.

Il lui prit un doigt, le passa sous la dentelle, commença à lui faire toucher la chatte de la petite fille…

Le monsieur comprit vite, il commença à toucher le sexe de la fillette.

Nadine avait maintenant dans sa culotte deux mains qui la caressaient.

C'était bizarre comme sensation mais pas désagréable.

Elle avait décidé de se laisser faire…

Ils étaient tranquille le film venait de commencer,  c'était un jour de semaine.

Il n'y avait pas beaucoup de monde dans la salle.

Le docteur décida d'aller plus loin. Il tira assez fort sur le côté de la petite culotte qui lui était accessible. commençant à faire glisser celle-ci sous une fesse.

De toute évidence il voulait la baisser...

L'homme comprenant son message, fit pareil de son côté…

La petite culotte de Nadine glissa sous son postérieur et se retrouva rapidement sur ses cuisses.

 

L'homme s'enhardi. Lui ouvrant délicatement les lèvres de son sexe, il rentra un doigt dans son vagin, le fit coulisser délicatement dedans…

La fillette aimait les caresses du monsieur, il était aussi doux que le docteur.

Celui-ci s'était tourné un peu plus vers la gamine utilisant ses deux mains… L'une lui caressait un de ses téton, un doigt de l'autre était rentré dans son anus, l'enculant doucement.

Ils la travaillèrent comme ça un bon moment.  Nadine appréciait, elle se crispait  complètement, puis se détendait à nouveau.

 

Il fallait calmer le jeux, sinon comme il la connaissait, la gamine allait "exploser" de jouissance, avec des cris et gloussements pas vraiment cinéphiles…

Le docteur voulut en savoir un peu plus sur le Monsieur qui avait sa main dans la culotte de Nadine. En tendant complètement son bras droit il atteint son pantalon, toucha le tissu au niveau de la braguette, ressentit immédiatement que l'homme bandait. Il massa, sur le tissu…

Voyant qu'il se laissait faire, il s'attaqua à la fermeture qu'il commença à baisser doucement. Introduisant sa main dans la braguette, il massa longuement son slip.

La forme oblongue et dure de sa bitte se contracta, pulsa sous ses doigts.

L'homme jouait avec sa verge, faisant ressentir son accord tacite.

 

Le docteur devina tout de suite que l'homme était d'une propreté exemplaire. Même dans la pénombre les signes ne trompaient pas. Il avait des chaussures de luxe, ses vêtements n'étaient pas ceux de n'importe qui.

La propreté de ce qui y avait dans la culotte devait aller de paire…

( Deux paires c'est mieux, la nature n'a pas tout prévue…) .

Il déboutonna son pantalon, eut un accès plus facile à sa queue.

Il tira sur l'élastique de son slip, mit directement sa main dedans, massa doucement. Il avait une queue bien droite, belle, normale.

Ni trop grosse, ni trop longue… Pour baiser les petites filles, c'était l'idéal.

Il alla jusqu'au testicules, les massa comme il aimait qu'on lui fasse. Fit rouler avec ses doigts une couille en tirant doucement dessus, fit l'autre après.

Il voulut aller plus loin, glissa son slip sous ses couilles.

Tout son appareil génital était maintenant dégagé, accessible facilement…

L'homme continuait à caresser Nadine, la pénétrant d'un doigt.

La gamine était au bord de la jouissance. Le docteur approcha ses lèvres de l'oreille de la fillette, lui demanda tout bas de sucer la bitte du monsieur… L'homme avait entendu aussi… Il retira son doigt du vagin de la gamine, se mit en attente sur son fauteuil les jambes bien écartées, la bitte tendue au maximum…

Nadine allait s'exécuter, cherchant comment faire…

Le docteur la bougea… Avec autorité, il la fit se mettre à genoux par terre entre les deux sièges. La gamine coincé, ne pouvait plus bouger ses jambes. Cela ne posait pas de problème pour ce qu'elle avait à faire. Le docteur courba Nadine… Il appuya sur la tête de la petite fille pour faire descendre celle-ci sur la bitte de l'homme.

 

 

 

 

 

                  La rencontre de Jean Yves

 

 

Nadine ouvrit la bouche tout de suite, la comblant avec le sexe de l'homme…

Remarquant que la coquine ne bougeait pas sa tête, le docteur l'obligea à piper normalement en tirant et poussant sur ses cheveux.

Bientôt la bitte du monsieur coulissa normalement dans l'orifice buccale…

 

La pipe fut longue… elle allait bientôt devenir généreuse.

L'homme commençait à se contracter un maximum, étirant ses cuisses, bougeant ses fesses…

Il éjacula d'un seul coup dans la petite bouche…

Le docteur compta approximativement  le nombre de giclées quelle reçut.

Il en dénombra six ou sept… La fillette savait comment faire.

Ils entendirent le doux bruit de la jutte dans sa bouche, puis celui de la déglutition de la gorge. Elle avalait tout à chaque fois…

L'homme se détendit entièrement, la petite continuait à le pomper…

Il fit comprendre au docteur qu'il fallait qu'elle arrête. Celui-ci tapa sur l'épaule de Nadine. Elle se redressa, releva sa culotte, se remit dans son fauteuil…

Tout d'apparence sur la dernière rangée de la salle était redevenu normale.

Un couple, qui d'ailleurs ne s'était aperçu de rien, s'embrassait tout en se caressant. Deux messieurs avec une petite fille regardaient leur film…

Le docteur observa Nadine. Elle avait plein de sperme sur le bas du visage et sur les lèvres. Parlant doucement, il lui demanda de se nettoyer.

La fillette sortit sa langue de sa bouche, s'essuyant à sa façon…

Pour finir, elle s'aida aussi d'un doigt de sa main droite …

Le docteur était maintenant plus que certain que Nadine aimait le sperme…

C'était un véritable plaisir de se laisser faire une fellation par une petite femelle qui aimait vraiment la jutte…

Le docteur proposa en parlant doucement : " Après tout ça, si on allait boire quelque chose ? ". L'homme hésita un peu, puis d'un signe de tête accepta…

Ils se levèrent tous ensemble, saluèrent le coupe en le dérangeant, puis se dirigèrent vers la porte de sortie.

Dehors le docteur se présenta immédiatement, lui tendant la main…

Charles Forté, docteur en médecine. L’homme impressionné hésita un peu, lui tendit enfin la main. D’une voix timide il se présenta…

Jean Yves Lefort, Informaticien, au chômage, dit-il avec regret…

Le docteur lui présenta Nadine. Il la contempla… Encore tout ému, la salua : 

 " Bonjour Nadine, je suis vraiment très heureux de te connaître ".

La gamine baissant les yeux n'osa pas répondre.

Ils s'assirent à la terrasse d'un café, commandèrent des boissons rafraîchissantes. L'homme était un peu rassuré, il se détendit, parla un peu de lui, de sa vie.

La première impression du docteur avait été la bonne, ce n'était pas n'importe qui… Il avait vingt huit ans, beaucoup de personnalité, une finesse d'esprit, une logique qui le surprenait. Ils discutèrent pendant une bonne heure.

Le docteur venait de lui proposer de travailler pour lui, de l'aider pendant un certain temps d'abord, après on verrait…

Il lui parla sommairement de son travail sur l'étude du comportement des enfants. Le sien si il l'acceptait consisterait à l'aider dans ce domaine…

Ils feraient des tests ensemble. Il prit l'exemple de ce qui s'était passé au cinéma, lui dit que ça aussi c'était un test…

Jean Yves était de plus en plus intéressé.

L'homme se dit qu'il n'avait rien à perdre, puis il y avait Nadine…

Il aurait beaucoup aimé que la gamine recommence…

En plus il était disponible de suite n'ayant rien à faire.

Une période de la vie ou tout s'écroule, amours, boulot, etc …

Le Docteur Charles lui proposa de l'héberger chez lui tant qu'il le voudrait.

Jean Yves accepta,  ils partirent tous les trois chercher la voiture.

Nadine marchait au milieu d'eux, leur donnant une main à chacun…

 

 

 

Lorsqu'ils arrivèrent à la maison, il était déjà vingt trois heures. Il prépara la chambre d'amis pour Jean Yves, non sans l'avoir prévenu qu'il était très large d'esprit, si il le désirait il pouvait venir dans la chambre ou lui même dormait avec Nadine. Il lui fit comprendre qu'il était bisexuel. Jean Yves devant sa franchise lui répondit que lui aussi ca ne le dérangeait pas non plus…

Le docteur et Nadine se couchèrent donc peu après. Il avait, c'est on jamais rajouté un troisième oreiller. La fillette était fatiguée, elle tombait presque de sommeil. En rentrant le docteur lui avait préparé un verre de jus d'orange à sa façon, elle avait tout bu… Jean Yves ne tarda pas à franchir la porte de leur chambre qui d'ailleurs était restée ouverte. Le docteur le mit à l'aise aussitôt en le tutoyant directement : " Viens avec nous dans le lit, Nadine va te faire une place à côté d'elle…". Il était lui aussi en slip sans rien d'autre sur le corps.

Il fit le tour du lit, se glissa dans les draps. La fillette lui fit une place en bougeant légèrement. Elle était étendue entre eux deux, commençant à somnoler. Le docteur fit signe à jean Yves que Nadine commençait à s'endormir, qu'il fallait attendre. Au bout d'un quart d'heure le docteur souleva une des paupières de Nadine, vit tout de suite son œil dilaté.

Je lui ait donné un hypnotique, dit il à Jean Yves… C'est un médicament qui a la particularité de provoquer le sommeil d'une façon très spéciale. Si on sait bien l'utiliser la personne dors, mais reste réceptive aux ordres qu'on lui donne.

Elle peut donc faire des actions dans son sommeil. Particularité de ce médicament le patient ne se souvient absolument pas à son réveil des actions qu'il a fait…

On va essayer quelque chose. Il approcha sa bouche de l'oreille de la petite fille,  lui murmura : " Nadine tu m'entends ?, Nadine tu m'entends ? ". Sa petite tête bougea, ils entendirent un : " Oui docteur ".

 

 

 

 

 

                       

       L'enculage de Nadine à trois

 

 

 

 

Nadine tu vas faire ce que je te dis, détend toi complètement, écarte tes jambes au maximum, en mettre une sur chacun de nous.

A partir de maintenant tu vas te laisser faire complètement, demain  à ton réveil tu ne te souviendra pas ce que tu as fait cette nuit. Tu as bien compris Nadine, répond moi ?. Elle répondit un : " oui " très lointain, bougea ses jambes et ses main, puis s'installa dans la position demandée. Le docteur retira le drap, ils contemplèrent Nadine les cuisses ouvertes. Elle était offerte en nuisette et petite culotte. Chacune de ses jambe reposait sur une cuisse de chacun, ses bras étaient perpendiculaires à son corps, reposant sur les oreillers.

Le docteur mit une main sous la nuisette, ses doigts se dirigèrent vers sa petite poitrine naissante, commencèrent à titiller un téton. Le docteur dit à jean Yves de s'occuper de sa petite chatte. Il ne se fit pas prier longtemps, sa main descendit sur le ventre de Nadine, s'aventura dans la petite culotte de la gamine. Il prit un pied fantastique à caresser sa chatte, le docteur s'en rendit compte en voyant la bosse grossir sur son slip. Il la caressèrent pendant plus d'un quart d'heure. Comme les fois précédentes la fillette commençait à s'agiter en frémissant. Le docteur demanda à Nadine de changer de position, de se mettre à genoux sur le lit cuisses écartées, la tête en bas. La fillette s'exécuta.

Elle avait les fesses offertes en hauteur, la petite culotte en dentelles mettaient ses formes en valeur. Le docteur posa la question à jean Yves : " Tu veux l'enculer ou la monter par devant ? ".

Il ne répondit pas, mais se mit aussitôt à genoux derrière elle, entre ses fesses.

Il contempla le magnifique spectacle de ce petit cul de fillette offert, emballé dans une belle petite culotte rose en dentelle. Il mit ses mains dessus, palpa le tissu très fin, doux, rugueux en même temps, écarta doucement chaque petite fesse. Elles étaient si fermes, en même temps si souples.

Il mit une main de chaque côté de sa taille, rentra ses doigts sous l'élastique maintenant la petite culotte, la fit glisser très doucement vers le bas.

Son beau petit cul apparut à ses yeux…

Le docteur bandait aussi, il ne bougeait plus, le regardant faire.

Il décida de rejoindre Jean Yves, se mit juste derrière ses fesses…

Le docteur commença à caresser Jean Yves par devant, sur son slip.

Il revint sur ses fesses, les palpa, comme d'ailleurs Jean Yves était entrain de  faire à Nadine. Jean Yves ne dit rien, il venait de comprendre qu'il pourrait tout faire avec la fillette, si lui aussi se laissait enculer, il écarta un peu plus les cuisses…

 

 

Nadine était à demie-consciente, elle ne savait plus ou elle était, éprouvant un certain plaisir… Un monsieur lui caressait son minou, juste à l'endroit ou il y avait une petite boule qui ressortait, c'était bon…

Elle ressentait aussi une chose appuyée sur son derrière, juste au milieu…

Elle savait que cela ne lui ferait pas mal. Il fallait faire tout ce que le docteur avait dit, c'était ça le plus important…

Le docteur baissa le slip de Jean Yves, lui mit de la pommade sur l'anus, s'en mit sur sa verge. Puis il lui passa le tube à Jean Yves. Il comprit tout de suite, en enduit copieusement sa bitte, puis l'anus de la fillette.

Ils étaient prêts à être enfilés… Au moment même ou jean Yves commença à appuyer son gland sur l'anus de Nadine, il ressentit aussi son cul s'ouvrir doucement…

Il continua quand même la pénétration de la petite fille jusqu'à ce que le bout de son gland soit rentré complètement dans ses fesses. L'anus de Jean Yves fut comblé en même temps, le bout de la bitte du docteur venait de le pénétrer…

Il l'avait enculé en faisant très doucement, mais sa verge n'était pas petite…

Ses doigts lui massaient les testicules, les prenant un par un, les faisant rouler,  tirant délicatement dessus…

Il adorait ce que le docteur lui faisait. Il était déjà certain qu'il ne regretterait jamais de  l'avoir rencontré. Se faire enculer en enculant une petite fille…

Même ses fantasmes les plus délirants n'étaient jamais aller aussi loin, il n'aurait jamais imaginé ça… La fillette s'était crispé un peu, elle avait émis un petit cri lorsque la pinne était rentrée dans ses fesses. Maintenant il la besognait presque à fond, son ventre recevait déjà une bonne longueur. De son côté quel plaisir il ressentait… Sa bitte et son cul était travaillés en même temps, c'était très bon…

Il n'avait rien connu d'équivalent avant. La bitte du docteur était rentrée à fond, ses couilles battaient sur ses fesses. Il n'avait pas eu mal du tout, la pommade y était certainement pour quelque chose. D'habitude lorsqu'il se faisait enculer par des copains de passage cela se passait souvent pas très bien. Depuis ce soir il envisageait la sodomie sous un jour nouveau, il recommencerait c'était sur, encore fallait il trouver quelqu'un qui encule aussi bien…

Il besognait et se faisait besogner de plus en plus vite. La gamine avait pris le rythme aussi, donnant des grands coups de fesses pour rentrer la bitte plus loin, au plus profond d'elle même. C'était sur elle aimait se faire enculer…

Elle gémissait maintenant très fort. Il lui massa sa poitrine, tirant très fort sur les bouts des tétons. Jean Yves ne put se retenir plus longtemps, il explosa dans le cul de la gamine…

Il répandit sa semence par jet successif, il y en avait beaucoup moins que tout à l'heure, quand il lui avait juté dans la bouche… Il avait tiré deux coups à quelques heures d'intervalle…

La petite ressentit la jutte rentrer dans son petit cul, elle fit un petit : " ho…" de surprise lorsque le sperme rentra, puis elle continua à s'empaler sur la bitte à grand coup de reins et de fesses…

Le docteur lui aussi était tellement excité que dans quelques secondes Jean Yves aurait sa dose au plus profond de lui même . La décharge fut longue et généreuse. Jean Yves ressentit la chaleur de la giclée… Ils laissèrent leur bitte au fond du trou pendant un long moment. Ils étaient épuisés tous les deux.

Seule Nadine continuait son petit travail d'enculage, elle n'avait pas encore jouie elle… Jean Louis se retira pourtant du cul de Nadine.

A regret la petite fille arrêta d'onduler de la croupe. Jean louis admirait l'anus de la petite fille, tout blanc de la jutte qui ressortait de la petite rondelle.

Le docteur retira sa pinne peu  après. Pareillement il contempla le sperme qui sortait du cul de Jean Yves. Ils étaient tellement fatigués, qu'ils couchèrent Nadine sur le dos, se blottirent contre elle et s'endormirent rapidement.

Le docteur Forté se réveilla le premier, il était huit heures du matin. Nadine et Jean Yves dormaient. La gamine était allongée sur le dos entre eux deux.

Il ôta le mince drap qui les recouvraient. Ils étaient beaux… Nadine sans culotte en nuisette au ras des fesses, Jean Yves entièrement nu, comme lui d'ailleurs…

Il avait un corps magnifique, une belle bitte passe partout…

Il resta près de cinq minutes à les regarder, s'aperçut qu'il commençait à bander. Il eut subitement l'idée que Jean Yves le baise et l'encule. Hier soir il avait déchargé tout son sperme dans son cul, il aurait bien aimé qui lui rende la pareille. Il en avait une envie folle. Bientôt peut être …?.

Quelques minutes après se fut au tour de Jean Yves de se réveiller… Il émergea tout doucement de son rêve, il  venait de faire l'amour avec une gamine très jeune qu'un monsieur rencontré au cinéma lui avait présentée.

Drôle de rêve… Il ouvrit les yeux doucement. En une seconde la mémoire lui revint. Il contempla Nadine à côté de lui, s'aperçut que le docteur la regardait aussi. Pour tester sa réaction le docteur Forté décida d'entamer la conversation : " Elle est belle non ? ".

Elle est magnifique répondit Jean Yves…

Ca allait, ils étaient toujours sur la même longueur d'onde.

Il rajouta : " On est toujours d'accord, tu veux toujours travailler avec moi et en même temps t'occuper de Nadine…? ".

Il lui fit un signe de tête affirmatif en baissant légèrement celle-ci. 

Un instant après les yeux de Jean Yves se promenèrent sur sa queue en érection… Le docteur se leva, fit le tour du lit, s'agenouilla à la hauteur du bassin de jean Yves, approcha doucement sa bouche, embrassa son bas ventre et son sexe. Quelques secondes après il engouffrait goulûment la bitte toute molle. Il le pipa d'abord très doucement, tirant son bout avec ses lèvres au maximum. En même temps il rentra ses doigts dans ses couilles, fit exactement le même massage testiculaire qui lui avait prodigué hier soir.

 L'effet ne se fit pas attendre longtemps. Sa queue se développa très rapidement. Jean Yves ferma les yeux, se laissa faire. Il appréciait énormément cette fellation. La technique employée lui paraissait géniale. Il rentrait la bitte à fond dans sa gorge, la faisait ressortir, tournait sa langue fois autour de son gland.

Se remettait à lécher de haut en bas tout son appareil génital, il s'employait à le piper longtemps, puis recommençait sans arrêt le cycle.

Il interrompit sa pipe, car Nadine s'était mise à bouger dans le lit, elle n'allait pas tarder à se réveiller… Le docteur dit à Jean Yves : " Je vais l'endormir à ma façon, on va s'occuper d'elle …". Il se leva rapidement, partit dans son cabinet médical, revint quelques minutes après avec une petite seringue rempli d'un liquide orangé. Il ne fit même pas de garrot à la petite, nettoya juste son avant bras, choisit une veine, lui injecta le produit. La piqûre réveilla la fillette, elle ouvrit les yeux quelques secondes, se demandant ce qui lui arrivait.

Elle n'eut pas le temps de réaliser… Le produit coulait déjà dans ses veines, elle se détendit aussitôt d'une drôle de manière. C'est une drogue puissante dit-il à jean Yves, on devrait pas mal s'amuser… Jean Yves était surpris, mais il se dit que le docteur savait ce qu'il faisait, après tout il était docteur.

Il posa la seringue sur sa table de chevet, prit dans le tiroir le tube de vaseline,  dit à Jean Yves : " Tiens tu lui met de la pommade doucement partout ou il faut, tu vois ce que je veux dire…". Jean Yves releva la petite chemise de nuit de Nadine, mit une noisette de pommade sur le con de la petite fille. En rentrant  délicatement la vaseline dans son vagin, il se dit qu'il aimerait bien que sa queue rentre par la. Ca devait être très serré, très bon à rentrer…

Il enduit aussi l'anus de la gamine, rentra beaucoup plus de pommade dans le conduit anal qu'il en aurait fallu. Il l'avait déjà enculer, il savait qu'il pouvait y aller, il mit deux doigts pour bourrer son cul… Pendant ce temps le docteur avait été cherché dans le frigo un petit pot contenant une matière épaisse et rouge, cela ressemblait à de l'harissa. Il remua le tout avec une petite cuillère, le mélange était onctueux et huileux à souhait…

Il le posa sur la commode, il allait en avoir besoin très bientôt…

Il ouvrit une armoire, fouilla dans un grand sac en sortit des accessoires de lingerie féminine, dont un string de couleur rouge et un tout petit soutien gorge de couleur rouge lui aussi. Il revint vers le lit, demanda à jean Yves de l'aider à déshabiller la fillette. Il l'assirent sur le lit, Jean Yves la maintenait pendant que le docteur lui retirait sa nuisette. Il prit le soutient gorge, l'essaya à la petite. C'était la plus petite taille, ses petits tétons nageaient un peu dedans. Il passa les bretelles chargées de le maintenir, accrocha l'attache derrière son dos.

Il essaya de bouger le tissu pour voir si il tenait bien. Il était bien fixé.

Le principal pour lui étant que les tétons restent dans tous les cas bien en contact avec le tissu… La fillette ouvrit les yeux, ses pupilles étaient complètement dilatées, elle bredouilla quelque chose d'incompréhensible. Elle n'avait pas la même voix que d'habitude, elle était complètement camée, se laissa faire…

 

 

 

 

 

 

               La harissa dans le string de Nadine

 

 

 

 

Il lui passa la petite culotte, ou plutôt le string… La ficelle passant derrière appuyait juste sur son anus. Sur le devant le petit triangle en tissu rouge couvrait juste sa petite chatte.

Il sortit d'une boite sous le lit une paire de menottes, lui attacha les mains dans le dos. La petite fille n'avait plus aucune possibilité de toucher sa chatte, ses seins, ou encore ses fesses…

La deuxième partie pouvait du supplice pouvait commencer. Il l'assit à nouveau, dégrafa le soutien gorge, le retira, le posa sur le lit. Il prit le pot contenant la matière onctueuse et rouge, en déposa le contenu d'une petite cuillère pleine au fond de chaque bonnet. Il remit le soutien gorge à Nadine, l'agrafa, appuya légèrement sur le tissu pour bien mettre en contact ses tétons avec le produit, massa l'ensemble pendant un petit moment.

Nadine n'avait pas bronché, juste un petit sursaut lorsqu'il avait remit les bonnets, c'était froid… Il allongea La fillette à nouveau sur le lit, baissa le string, remplit la toute petite culotte de "confiture rouge". Il en badigeonna sur toute sa fente, insistant particulièrement au niveau de son clitoris…

Pour ses petites fesses, il mit la harissa sur une petite compresse circulaire…

Il remit le string en massant sa chatte, remit bien la ficelle derrière en s'assurant qu'elle appuyait bien, comme la compresse sur la raie des fesses.

Il demanda à jean Yves de s'allonger sur le lit, mit Nadine à califourchon sur lui. Le docteur se mit derrière Nadine, la tenant sous ses bras par les seins qu'ils massaient vigoureusement. La petite fille sortit de sa léthargie très rapidement.

Le produit sur ses parties intimes commençait à la chauffer. La bitte de Jean Yves était en érection, toute droite, il lui fit toucher le petit triangle rouge du string, sa queue appuyait sur le tissu, il ressentait les formes de la gamine dessous…

Il décida de faire glisser sa bitte sous le tissu, passa sa queue par un côté.

Il sentit aussitôt la "confiture" épaisse sous le string… Nadine avait de plus en plus chaud, ondulant de la croupe sur jean Yves.

Le docteur lui caressait toujours les seins, tirait sur les bouts du soutien gorge en massant doucement pour que la pommade rouge fasse son effet…

Peu de temps après la fillette émit son premier petit cri de douleur et de jouissance, le docteur allongea complètement la fillette sur Jean Yves, retira le string de la gamine en le faisant glisser sur ses jambes. Maintenant elle était allongée sur lui, sur sa queue. Le docteur voulut qu'il la baise par devant, il descendit légèrement la petite pour que la bitte de Jean Yves appuie sur sa fente. Jean Yves guida sa verge pour qu'elle écarta doucement les lèvres de son sexe.

 

 

Elle était prête à être enfilée par devant. De son côté le docteur fit appuyer sa queue sur l'anus de la fillette et commença à appuyer sensiblement.

La fillette était prise en sandwich, la pression s'accentuait des deux côtés en même temps. Les bittes rentrèrent à peu près en même temps…

La petite fille se mit à hurler de douleur, ses muqueuses étaient en feu, elle était fouillée par les deux chibres qui l'écartaient un maximum. Elle bougeait énormément, essayant de détacher les menottes, la seule chose qu'elle arrivait à faire en gesticulant c'était de faire rentrer les bittes un peu plus dans son ventre. Jean Yves et le docteur la besognait maintenant avec fougue, les cris de la gamine était à la limite du supportable…

Il fallut plus de cinq minutes de travail pour que les cris de douleurs commencent à être remplacés par des râles de jouissance qui sortaient enfin de la gorge de la fillette. Nadine avait les yeux fermés, elle aidait les bittes à trouver leur chemin par des petits coups de reins rapides. La souffrance de la gamine s'était transformée en extrême jouissance, les cris lancinants qui émanaient d'elle était un réconfort pour les deux hommes qui redoublaient d'ardeur. Ils jutèrent à peu près en même temps, la gamine fut aspergée des deux côtés par une grosse quantité de sperme.

Le docteur se retira le premier, put contempler une partie de son sperme qui sortait de cul de Nadine. Jean Yves resta dans sa chatte cinq bonne minutes.

Le docteur aida Jean Yves, souleva Nadine pour sortir sa queue du ventre de la fillette, puis il retira les menottes, lui enleva son soutien gorges, ses seins étaient très rouges, irritées, il la prit dans ses bras, se dirigea rapidement vers la salle de bain. La petite était toujours dans un état comateux, elle délirait…

Il la posa délicatement dans la baignoire, mit le flexible de la douche dans l'évier, ouvrit les robinets, régla la température de l'eau, remit le flexible dans la baignoire et commença à doucher très progressivement la fillette en commençant par les jambes…

Nadine se réveilla un peu, cela devait lui faire du bien de sentir l'eau rafraîchir toutes les parties de son corps endolories par la harissa…

Il la rinça ainsi pendant quelques minutes. La fillette maintenant dormait paisiblement. Il la ramena sur le lit, décida de la laisser se reposer…

Jean Yves et le docteur se levèrent, s'habillèrent, déjeunèrent ensemble…

Ils étaient visiblement sur la même longueur d'onde, tous les deux étaient prêts à sacrifier beaucoup pour avoir d'autre moments comme ceux qu'ils avaient vécus. Le docteur commença à lui parler d'un projet qu'il avait depuis très longtemps…

 

 

 

 

 La rencontre d'Audrey à la plage

 

 

 

 

Jean Yves l'écouta attentivement… Il lui parla d'une très jeune fille, environ 9 à 10 ans. Il l'avait remarqué un jour en allant déjeuner au restaurant que son père tenait près de la plage. Elle était vraiment très bien faite, bien proportionnée, comme ils les aimaient… Très fine de visage et de corps, son bassin, ses fesses étaient déjà développées, faisant penser à une petite femme.

L'aperçu qu'il en avait eu dans son jean moulant l'avait laissé rêveur. Son visage était gracile mais emprunt d'une grande tristesse, elle était malheureuse c'était sur. Il avait vu comment son père lui parlait méchamment.

Un jour en discutant un peu devant un verre, l'homme qui buvait énormément lui avait confié que la petite n'avait plus de mère, il lui avait fait comprendre qu'elle le gênait plutôt dans son travail. La gamine était plutôt livrée à elle même…

Le docteur parla longtemps… De Nadine aussi, comment il l'avait acheté à sa mère pour une somme importante. La petite ignorait tout de la transaction, il lui expliqua la comédie qu'ils avaient joué ensemble pour trouver l'excuse de la laisser chez lui. Nadine était à lui maintenant, officieusement bien sur, mais il avait fait signer des papiers à sa mère, si elle n'honorait pas sa parole, elle pourrait avoir des problèmes juridiques très graves. Il avait autorisé sa mère à lui téléphoner de temps en temps, c'était tout. Elle reverrait sa fille bien plus tard, quand elle serait plus grande. Sa mère par contre était au courant de l'éducation proposé par le docteur, elle était d'accord…

Mais pour l'instant ce n'était pas le propos, la petite de la plage qui l'intéressait pour ses expériences se nommait Audrey…

Il en vint au fait, lui parla pour la première fois de kidnapping…

Il fut surpris par le manque de réaction de Jean Yves. Aucun mot ne sortit de sa bouche pour le contredire, il eut même un rictus de satisfaction sur son visage.

Le docteur lui demanda si il était d'accord pour lui donner un coup de main…

Jean Yves regarda le docteur dans les yeux, lui fit un signe de tête, rajouta :

 " C'est d'accord, mais il faut très bien préparer notre coup…". Jean Yves sentait que sa vie venait de basculer, il n'y pouvait rien, une force irrésistible l'attirait

vers les occupations au combien douteuses du docteur, mais il suivrait …

La Gamine se réveilla vers midi, on ne peut vraiment pas dire qu'elle était en forme. Elle avait chaud et mal partout. Le docteur lui prépara une potion pour la requinquer. Elle se souvenait vaguement avoir fait l'amour avec les deux hommes mais ses souvenirs étaient très flous. Elle s'habilla difficilement, il lui fallut près d'une heure pour retrouver enfin ses facultés.

 

Tous les trois allèrent dans le salon pour discuter un peu. Le docteur leur proposa d'aller déjeuner au restaurant de la plage, tout le restant de l'après-midi ils iraient se baigner ou jouer sur le sable.

A cette éventualité Nadine alla mieux tout de suite, elle se réjouit de passer la journée à la plage. Ils prirent le nécessaire pour se baigner, si il manquait quelque chose il l'achèterait sur place.

On était au mois de juillet, le temps était magnifique, tous les commerces qui s'alignaient en bord de plage étaient bondés de touriste. Après avoir garé la voiture avec difficultés dans une petite ruelle, ils se dirigèrent vers la rue principale, s'arrêtèrent devant le bar restaurant " La rotonde ".

C'est là fit remarquer le docteur à Jean Yves…

Ils s'assirent à la terrasse, attendirent… Le garçon vint leur demander ce qu'ils désiraient. Ils choisirent de manger à la carte, commandèrent de suite.

Le patron buvait en servant au bar une rangée de consommateurs qui devaient être des habitués de l'endroit. Le docteur remarqua une fillette assise seule à la première table juste à côté des portes donnant aux cuisines

Elle finissait de déjeuner. C'était Audrey, elle était magnifique, rayonnante de gracilité. Le garçon revint avec les plats, ils commencèrent à déjeuner.

Les deux hommes ne pouvait pas s'arrêter de lorgner le plus discrètement possible la gamine assise. Nadine s'en aperçut, leur dit :

" vous voulez que je fasse connaissance avec elle et que je vous la présente ? ".

Ils furent suffoqués par le culot de la gamine, mais l'idée n'était pas idiote… D'accord lui dit le docteur, si tu veux essayer de jouer avec elle après manger c'est O.K …

Ce fut Audrey qui finit de déjeuner la première, elle débarrassa sa table elle même, commença à se promener dans les allées du restaurant. De temps en temps elle se mettait aussi sur le pas de la porte pour regarder la plage.

A un moment Audrey passa juste à côté d'eux, Nadine en profita pour lui dire :

" Salut je m'appelle Nadine et toi c'est comment ? ".

Audrey devait être contente qu'une fille un peu plus grande qu'elle lui parle, peut être une futur copine… Moi c'est Audrey lui répondit elle.

Nadine entretint la conversation, lui disant qu'on allait se baigner à la mer.

Elle répondit qu'elle y allait tous les après-midi. Nadine rétorqua que peut être ils se verraient à la plage, ou mieux qu'ils pourraient y aller ensemble.

Le visage d'Audrey se mit à rayonner, elle lui dit qu'il fallait qu'elle en parle à son père, elle partit illico presto demander à son charmant père la permission…

La gamine revint cinq minutes après.

J'ai demandé à papa il verra ça tout à l'heure.

Pendant tout le restant du repas Audrey et Nadine firent connaissance dans la bonne humeur. Ils n'eurent pas de nouvelle du papa avant la fin du repas, l'homme vint leur amener l'addition, leur parla : " Je vous reconnais, on a discuté l'autre fois, vous êtes docteur…".

 

 

C'est exacte, voici ma fille et un ami, nous sommes en vacances à l'hôtel. Je suis docteur à Paris, Docteur Landier généraliste. Naturellement il éprouva un malin plaisir à ne pas dire la vérité, l'homme ne devait pas connaître son nom, surtout ne pas savoir qu'il était docteur dans un village proche à 50 kilomètres d'ici.

Ma fille m'a parlé, si vous voulez l'emmener avec vous à la plage c'est d'accord, enfin si vous voulez bien.

Bien sur que nous sommes d'accord, les deux enfants on l'air de très bien s'entendre…C'est le principale …

Ils discutèrent ensemble pendant un bon moment, puis Audrey alla mettre son maillot de bain, prit le nécessaire. Ils se levèrent, prirent congés du patron, affirmant qu'ils prendraient soin de la gamine, la ramènerait vers 19 heures.

Ils achetèrent le matériel de plage qui leur manquait, les petites craquèrent pour un petit bateau pneumatique qui fut rapidement emmenés par les deux enfants. Audrey et Nadine marchaient devant eux en parlant.

Ils contemplait le corps de chaque gamine, elles étaient magnifiques.

Nadine était un peu plus grande qu'Audrey, elle avait la même gracilité, le galbe de leur chute de reins était parfait, leurs petites fesses étaient désirables à souhaits. Ils installèrent leur serviette sur le sable juste au bord de l'eau, c'est la qu'il y avait le moins de monde. Le docteur sortit d'un sac un pot de crème solaire écran total, demanda à Audrey de s'allonger sur sa serviette, il en prit une très grosse noisette dans sa main, commença à enduire doucement le dos de la fillette.

Jean Yves prit le pot de crème solaire, fit pareille avec Nadine. Les deux petites filles portaient un maillot de bain deux pièces, aucune partie de leurs corps était vraiment cachée, si ce n'est les deux petits tétons, le bas de leur ventre…

Le docteur savourait le massage, il s'appliquait longuement, faisant rentrer ses doigts dans la peau ferme de la gamine. Il s'aventurait jusque en haut des cuisses à la limite des fesses, touchaient les coutures du maillot de bain. Pour le bas du dos il mit un peu trop de crème à la limite de l'élastique de la culotte, trouva cette excuse pour étaler l'excès de produit sous le tissus. Audrey se laissait faire sans broncher, elle ne trouva rien à redire quand il lui demanda de se retourner pour faire l'autre côté.

Il massa ses cuisses, remonta ensuite sur son ventre, s'attarda sur celui-ci, il était ferme et plat, à chaque respiration de la fillette la ceinture de son maillot se creusait, il pouvait entrevoir un peu de son intimité. La gamine fut recouverte de produit de la tête aux pieds, à sa façon de se lever à regret, sans se presser, il aurait parié que la fillette avait aimer ça, qu'elle aurait envie de recommencer… Les gamines en rigolant se dirigèrent aussitôt vers la mer avec leur bateau en plastique, commencèrent  à jouer dans l'eau.

Le docteur parla à Jean Yves, lui fit remarquer qu'ils auraient pu kidnapper la fillette aujourd'hui sans problème, mais bien sur ils auraient été recherchés, leurs signalements auraient été donnés à toutes les polices.

 

 

Le but de la manœuvre étant que personne ne sache qui avait kidnappé la gamine, ou même mieux que personne ne sache si c'était une fugue ou un accident qui avait provoqué la disparition. 

Ils décidèrent de rejoindre les fillettes dans l'eau, commencèrent à s'amuser avec le bateau. Pendant que Jean Yves jouait avec Audrey, le docteur sous prétexte d'apprendre à nager à Nadine lui prit la taille avec ses mains, la mit en position horizontale pendant qu'il lui demandait de faire des mouvements de brasse.

Très rapidement la main gauche du docteur se plaça sous le ventre de Nadine, il lui demanda tout bas de se laisser faire… La gamine ne broncha pas lorsqu'elle sentit sa main rentrer à l'intérieur du maillot et ses doigts masser sa petite chatte.

Il lui rentra un doigt dans son vagin, un autre dans son anus. La petite était empalée, il la maintenait en position horizontale avec sa main, juste en la faisant avancer avec ses deux doigts… La fillette continuait pour la convenance à faire des mouvements de nage avec ses bras, mais dans son ventre une réaction bizarre, la pénétration commençait à lui faire de l'effet, son vagin se lubrifiait de plus en plus. Elle commençait à donner des signes de jouissance évident.

Il décida de l'emmener un peu à l'écart, un peu plus loin derrière les rochers.

Ils n'étaient pas entièrement cachés, mais assez éloigné de la baignade générale, de loin personne ne pourrait voir ce qu'il faisait.

Il avait encore pied de justesse, redressant Nadine, il la fit s'appuyer sur son ventre tout en la maintenant avec ses mains par les hanches. De sa main droite il baissa son slip de bain, fit glisser aussi la culotte de la gamine. La fillette pour ne pas couler enroula ses jambes autour de sa taille, mit ses bras autour de son cou. Elle ressentit la bitte appuyer sur son minou, aussitôt après elle eut l'impression que le bas de son ventre était écarté et fouillé par un objet dur et chaud. C'était très bon, faisant un contraste étonnant avec l'eau froide de la mer, cela lui faisait du bien. Elle savait que la bitte du docteur était rentrée dans son minou, cela ne faisait pas mal contrairement à ce que ses copines lui avaient dit à l'école.

Elle avait l'impression qu'elle pourrait rester toujours comme ça, dans la même position d'attente. L'intérieur de son ventre devenait très chaud, elle ressentait la bitte aller et venir dans son ventre, la chauffant de plus en plus. Il la besogna pendant un long moment. Elle mordit ses lèvres tellement c'était bon, elle ne put se retenir de gémir tout en parlant au docteur : " Oh docteur c'est bon, continuer, oh…C'est bon…Encore…Encore…". Tout à coup elle se crispa, griffa le docteur avec ses ongles, tout son corps fut secouée de décharge…

Le docteur ressentit dans le ventre de la fillette des contractions sur sa verge au rythme des décharges de la petite, puis comme une inondation dans son bas ventre, un liquide c'était mis à couler à l'intérieur du vagin de Nadine. Il ne put résister longtemps, à son tour il inonda de sperme le bas ventre de la gamine.

La première giclée surprit la petite, elle émit un petit cri. Les autres furent attendus une par une par Nadine qui se contenta de fermer les yeux, en prononçant tout haut : " Oh comme c'est bon, encore…".

 

Elle bougeait ses jambes, contractant son bas ventre à chaque décharge pour faire rentrer un peu mieux le liquide chaud qui lui faisait tant de bien.

Elle gesticula, se tordit sur lui bien après que le dernière goutte de sperme fut sortie…

Ils restèrent collés l'un à l'autre pendant un long moment.

Lorsqu'elle elle rouvrit ses paupières, il s'aperçut qu'elle avait de tout petits yeux pétillants, sur son visage illuminé des larmes coulaient, elle souriait…

Il lui remit sa culotte tout en caressant sa chatte, lui nettoya le minou, frottant, écartant son vagin avec deux doigts, l'eau de mer pénétra à l'intérieur de son conduit vaginal. Il continua son lavage, rentrant un doigt dans son vagin, le fit aller et venir…

Il lui fit faire la planche, la soutenant d'une main sous la nuque, l'autre maintenait ses petites fesses. Lentement ils se rapprochèrent de la plage.

Au bout de quelques minutes ils se retrouvèrent hors de l'eau assis sur les serviettes de plage, regardant au loin Jean Yves et Audrey jouer dans l'eau.

Il décida de parler un peu avec Nadine : Ma chérie, ce qu'on fait ensemble pas beaucoup de petites filles le font, pourtant tu vois c'est pas méchant, bien sur toutes les petites filles ne sont pas prêtes à faire l'amour, il ne faut rien forcer… Mais elle doivent bien commencer un jour ou l'autre, il vaut mieux que cela soit dans de bonnes conditions.

Toi Nadine, tu aimes bien faire l'amour, tu ne voudrais pas qu'on arrête de t'apprendre à bien le faire non ?. La fillette fit un signe de tête, elle se demandait ou il voulait en venir…

Je voudrais faire une expérience avec Audrey, il faudrait qu'elle vienne chez nous pendant un certain temps, tu m'aiderais à lui apprendre beaucoup de chose, j'ai besoin de ton aide, si tu es d'accord c'est toi qui fera le plus d'expériences avec elle, tu l'éduqueras, c'est toi qui sera chargé de t'occuper d'elle.

Nous avec Jean Yves on s'occupera toujours de toi, on continuera à s'amuser ensemble, des fois on s'amusera tous les quatre ensemble. Quelques fois tu t'amuseras toute seule avec Audrey, dans tous les cas elle devra t'obéir au doigt et à l'œil.

Nadine se sentit un peu attirée par cette perspective, elle ne comprenait pas tout, mais elle trouvait au fond d'elle même que ca pouvait être marrant.

Il continua; Audrey est malheureuse, tu le sais non ?.

Nadine lui avoua ce qu'Audrey lui avait dit, son père la tapait tous les soirs, lui faisait faire des choses bizarres, quant elle était couchée, il la rejoignait dans son lit, la touchait…

C'est bien ce que je craignais lui dit le docteur… Nadine es tu d'accord pour nous aider à la faire venir chez nous et t'occuper d'elle ?.

La gamine dit oui tout de suite… Il rajouta, surtout il ne faut rien lui dire du tout, on va lui faire croire que l'on rentre ce soir à paris, que l'on ne pourra pas revenir avant une semaine. le succès de l'opération repose sur ton silence, tu fais exactement comme si je ne t'avais rien dit.

 

La gamine secoua la tête affirmativement comme elle adorait le faire.

Jean Yves et Audrey revinrent les rejoindre peu après sur les serviettes, la bonne humeur régna une bonne partie de l'après-midi, ils allèrent se baigner plusieurs fois ensemble, jouèrent avec le petit bateau, achetèrent des glaces à un marchand ambulant… Audrey et Nadine s'entendaient très bien et devenaient de bonnes copines.

 

 

 

 

         Les deux pipes de Nadine

 

 

 

Ils raccompagnèrent Audrey vers dix huit heures trente, le docteur discuta un peu avec son père, l'informant de leur départ ce soir pour Paris.

Il rentrait pour aller chercher sa femme, ils allaient prendre quelques jours de vacances ensemble avec leur fille.

Il lui confirma que Nadine et sa fille s'entendaient très bien. Si son travail le permettait ils reviendraient pour le 14 Juillet. Nadine et Audrey se retrouveraient alors, elles pourraient peut-être à nouveau jouer ensemble…

Le père acquiesça, salua le groupe, retourna boire avec les habitués du comptoir, il était déjà pas mal éméché…

Ils prirent congés, s'aperçurent de la détresse de la petite Audrey, elle aurait bien voulu que Nadine reviennent demain pour jouer avec elle.

Jean Yves conduit la voiture pour rentrer, le docteur et Nadine sur la banquette arrière, la tête de la gamine reposant sur son épaule. Ils gardèrent le silence pendant tout le trajet, au fond d'eux même ils se doutaient bien que quelque chose d'irrémédiable allait arriver…

La soirée passa rapidement, ils dînèrent vers vingt heures, regardèrent un peu la télévision, se couchèrent vers vingt deux heures, bien sur se retrouvèrent tous dans le même lit. Nadine était au milieu d'eux, ils l'embrassèrent sur la bouche,  fatigués, ils s'endormirent rapidement tous les trois.

Ils se réveillèrent à peu près en même temps, vers huit heures. Nadine mit un peu plus de temps à émerger. Ils se blottirent contre elle en la caressant doucement, la fillette sortie peu à peu de son sommeil. Elle se laissa faire, se détendit un maximum. Les deux hommes avaient gardés leur slip pour la nuit,  Nadine avait toujours sa petite nuisette rose sans rien dessous.

Le docteur rabattit l'unique drap au pied du lit, la fillette jeta respectivement un coup d'œil sur chaque slip. Voyant cela le docteur lui dit qu'elle pouvait toucher. La petite approcha chacune de ses mains sur les slips, commença à palper et caresser. Elle n'osait pas mettre ses mains dans les slips, se contentant de palper les grosses bosses qui déformaient le tissu. Elle commençait à être un peu excité par les caresses que les deux hommes lui prodiguaient.

Le docteur demanda à la gamine d'approcher sa bouche du slip de Jean Yves, de lui sortir la bitte, puis de lui faire une pipe. La fillette connaissait déjà l'expression " faire une pipe ", mais elle hésita un peu avant de s'exécuter, puis elle bougea son corps, se retrouva la bouche juste au dessus du slip de Jean Yves. Ses doigts écartèrent l'élastique, la queue sortie toute droite. Elle hésita encore un peu. Le docteur lui donna l'ordre de sucer, sinon elle allait avoir une fessée… La petite fille ouvrit sa bouche, enveloppa le bout de la bitte. Quelques secondes après la gamine pipait avec application…

 

Pendant ce temps le docteur avait un accès direct au petite fesse de Nadine, avec sa main il lui caressa son minou et son anus. Le manège dura un certain temps jusqu'à ce que le docteur dise à Nadine : " Et moi Nadine tu m'oublies un peu, fais moi pareille…". La fillette interloqué s'arrêta de piper Jean Yves, tourna sa tête vers lui, avec son doigt il lui montra la grosse bosse dans son slip.

Elle comprit immédiatement, changea de position, sortit la queue du docteur, pipa directement celui-ci sans aucune hésitation. Il fit comprendre à Jean Yves qu'il devait se rapprocher pour permettre à la Petite de sucer l'une ou l'autre bitte à volonté… Il se rapprocha d'une façon telle que les deux bittes l'une à côté de l'autre puissent se toucher. Nadine continua sa fellation jusqu'au moment ou le docteur lui dit de changer de bitte…

Elle avait saisi le jeu, "avala" à nouveau la bitte de Jean Yves, continua sa pipe sur lui. Elle avait compris d'elle même, toutes les deux ou trois minutes elle changeait de queue. La fillette savait déjà qu'en pratiquant ce petit jeux elle n'allait pas tarder à se faire remplir la bouche de liquide tiède, le docteur ne permettrait pas qu'il en reste, elle le savait, il faudrait qu'elle avale tout, comme elle l'avait déjà fait…

Ce fut Jean Yves qui lui remplit sa bouche en premier… Au bruit de la jutte dans la bouche de la fillette, les giclées furent longues et onctueuses.

Ils regardaient avec un plaisir indescriptible la petite fille avaler. A chaque déglutition, en écoutant le bruit que sa petite gorge faisait ils prenaient encore plus de plaisir. Elle absorbait tout, presque rien ne sortait de sa bouche, elle avait  les lèvres recouvertes de sperme…

Elle continua à vider ses couilles complètement, le pompa en  aspirant au maximum comme le docteur lui avait montré…

Voyant qu'elle ne pouvait plus rien tirer, le docteur ordonna à Nadine de faire sa bitte. Elle passa à nouveau à l'autre queue, il ressentit dans la bouche de la fillette le reste de la jutte de Jean Yves qui imprégnait sa verge.

Elle pompait très bien, ses lèvres enveloppaient très bien son sexe, le mouvement de va et vient qu'elle faisait pour faire coulisser l'ensemble dans sa bouche était juste ce qu'il fallait pour arriver à une éjaculation rapide.

Il ressentit qu'il n'allait pas pouvoir se retenir longtemps, il dit à Nadine :

" Au lieu d'avaler, tu vas garder le tout dans ta bouche, tu vas tourner la jutte avec ta langue, la passer partout dedans, mais surtout tu n'avales pas avant que je te le dise…".

Tu as bien compris Nadine ?.

La gamine avait saisit, elle confirma pas un hochement de tête.

La jutte ne tarda pas à sortir, ils virent la fillette recevoir le sperme, ils entendait le liquide dans la bouche de la petite, aucune déglutition ne se faisait, elle bloquait tout dans sa bouche. Elle reçut sept à huit giclées bien fournis, pas mal de sperme ressortait de sa bouche, coulant sur le bas de son visage, sur ses joues. Le docteur lui dit de faire tourner la jutte dans sa bouche avec sa langue, la gamine s'exécuta, l'on entendit le bruit du liquide dans sa bouche.

Il attendit pour qu'elle soit bien imprégnée de la saveur du sperme, puis il lui demanda de mélanger sa salive à la jutte, tout en faisant bouger ses mâchoires.

Il lui dit :" Je veux qu'on entende le bruit de la jutte dans ta bouche encore plus fort". Il rajouta avec autorité : " Et que cela dure longtemps ".

Elle s'exécuta…

Pendant quelques minutes, ils apprécièrent le spectacle, le bruit était magique, irréel, un raffinement pour leurs oreilles…

Il lui demanda d'arrêter un instant, d'ouvrir sa bouche en grand pour qu'ils puissent regarder dedans, il rajouta : " Attention, sans en faire ressortir ".

Elle ouvrit en grand, inclina légèrement sa tête en arrière pour que le sperme ne ressorte pas…

Ils s'approchèrent, contemplèrent la bouche pleine de liquide blanc, onctueux, mélangée à la salive, jusqu'au fond de la gorge, elle en avait partout… Ses dents, sa langue en était recouvert…

Il lui ordonna de faire tourner sa langue doucement, ce qu'elle fit aussitôt…

La crème onctueuse se mit en mouvement, des fils de sperme très fins se formèrent, s'accrochant aux dents…

Ils contemplèrent encore quelques instant, lui donnèrent l'autorisation d'avaler. Nadine se mit à déglutire, ingurgita le sperme, à chaque fois on entendait la jutte descendre dans sa gorge.

Elle avala le tout sans problème, réintroduit la queue dans sa bouche, pompant, aspirant la bitte pour la nettoyer…

Quand elle eut fini, elle se dégagea de la queue, continua à essuyer ses lèvres avec sa langue, avala de nouveau le peu qu'elle avait trouvé…

Jean Yves allongea Nadine sur le dos, il entreprit de lui sucer la chatte, lui écarta les cuisses au maximum, commença son travail de lèche…

Il rentrait sa langue profondément, La fillette adorait, elle le disait tout haut…

De son côté le docteur remonta complètement la nuisette, remarqua tout de suite que ses seins avaient grossis légèrement, les hormones injectés agissaient de plus en plus. Il pratiqua une nouvelle "traite" sur ses mamelles pendant quelques minutes, puis se mit à lui sucer les tétons, ils les mordaient doucement  la gamine commençait à se tordre de plaisir. Ils l'excitèrent tellement qu'en quelques minutes la gamine eut un orgasme d'une extrême violence.

Jean Yves put apprécier, lécha tout le liquide qui sortit du bas ventre de la fillette. Ils la laissèrent se reposer sans rien dire pendant un bon quart d'heure…

Ce fut le docteur qui rompit le silence en premier : " Bon j'ai faim moi, si on allait déjeuner …? ".La matinée passa, Nadine alla jouer dans le jardin pendant que Le docteur et Jean Yves mettait leur plan au point. L'enlèvement d'Audrey serait pour demain. Le docteur prévoyait de la kidnapper à l'aide de la camionnette qu'il possédait. Elle avait servi pendant des années à transporter les matériaux utilisés pour rénover son pavillon. Ils auraient aussi besoin de la voiture. Il fallait changer les plaques minéralogique des deux véhicules, en mettre de fausses, pour ça, deux solutions, ou les piquer, ou bien  aller dans une casse de voiture en récupérer sans se faire remarquer…

 

Il s'occuperait de ce détail tout seul dans l'après-midi. Jean Yves devait retourner à son hôtel prendre ses bagages…

Problèmes Nadine allait rester seule au pavillon toute l'après-midi, il était souhaitable que la gamine ne fasse pas de bêtises en s'en allant par exemple, en les dénonçant aux flics ou à quelqu'un… Elle était tellement intégrée maintenant avec eux que cela l'aurait étonné, de plus il la faisait tellement jouir…

Ils déjeunèrent rapidement. Le docteur confia la voiture à Jean Yves à quatorze heures, il en avait pour toute l'après-midi selon lui. Le docteur se retrouva seule avec Nadine, lui demanda si cela ne la dérangeait pas de rester seule à les attendre. Nadine Rétorqua aussitôt qu'elle préférait aller avec lui, selon elle, la fillette pourrait peut être lui rendre service…

Il conduit la camionnette avec prudence, il n'avait pas l'habitude de ce long "tube" dont les portes s'ouvraient sur le côté, en faisant un vacarme métallique assourdissant. Nadine était à côté de lui sur l'unique longue banquette en cuir du devant. Elle s'était habillée d'une minijupe et de son éternel tee-shirt.

Il faisait très chaud, le litre d'eau plate en plastique placé un peu en équilibre sur le tableau de bord se vidait au fur et à mesure des kilomètres. Lorsque le docteur voyait Nadine porter à sa bouche le goulot de la bouteille, il ne pensait plus qu'à une spécialité que lui faisait la petite…

Elle s'en aperçut d'ailleurs, se rapprocha encore plus de lui, fit toucher sa cuisse sur la sienne. Au bout de quelques instant il lui massait doucement le haut de sa jambe avec sa main droite… Elle remarqua la bosse sur le short, sans fausse pudeur elle mit sa petite main sur la proéminence, commença à palper.

La fillette était excitée, elle comprit rapidement ce qu'elle pouvait lui faire pendant qu'il conduisait, se mit à genoux sur le tapis de sol, dirigea son visage au dessus du short du docteur, puis de ses doigts agiles elle ouvrit sa braguette, sortit délicatement sa verge qu'elle engouffra aussitôt dans la bouche.

Elle le pipa rapidement, il fut obligé de la calmer, lui disant que si elle continuait à ce rythme il juterait tout de suite, il avait envie que cela dure longtemps…

Il lui demanda de calmer son ardeur, de lui lécher la bitte à grands coups de langue, la petite s'exécuta.

Le docteur dégrafa complètement son short, baissa son slip sous ses couilles, la fillette pouvait lui travailler la queue dans les meilleurs conditions.

Il lui demanda aussi de masser ses testicules comme il lui avait montré, en les séparant et en les faisant rouler une par une…

La petite fille adorait ce jeux, en le pratiquant elle regardait le visage du docteur, elle aimait voire les mimiques qu'il faisait, des fois il criait de bonheur se tordant de plaisir. Cela ne manqua pas d'arriver rapidement, la gamine était presque fier d'arriver à ce résultat, c'est elle qui commandait…

Le docteur de sa main droite lui caressait les seins, la gamine tordait ses fesses, écartant ses cuisses au maximum, elle avait envie de se faire prendre par le cul ou par la chatte c'était sur. Il arrêta le véhicule à l'entrée d'un bois dans un petit sentier de terre. Il releva Nadine, lui dit d'aller à l'intérieur de la camionnette.

 

En prévision du rapt il avait installé ce matin deux fauteuils, plus un grand matelas par terre. Le docteur retira son short, s'assit, demanda à Nadine de retirer sa petite culotte, il la tira vers lui, l'assit à califourchon, la petite fille empala sa chatte immédiatement sur lui, elle était très lubrifiée, elle n'attendait que ça…

Il la rentra complètement sur toute sa longueur, il entendit juste un petit gloussement de bonheur. Il lui retira son tee-shirt, l'embrassa longuement sur la bouche, la fouilla avec sa langue, tout en caressant sa petite poitrine et en lui tirant ses tétons…

Elle adorait, ses yeux pétillaient de bonheur. Elle l'appuyait jusqu'aux couilles. Ils restèrent sans bouger un petit moment, elle était comblée et heureuse…

Ce ne fut pas suffisant, elle avait besoin que la bitte coulisse dans son bas ventre. Elle mit ses bras autour de son cou, tira de toute ses forces pour que la queue ressorte un peu. Elle arriva à se soulever d'une dizaine de centimètres, puis se laissa retomber d'un seul coup, la jouissance pour les deux fut extrême. Elle attendit à nouveau quelques instants pour recommencer son manège, mais ce coup ci elle ne marqua pas de pose, continua à faire coulisser la verge en va et vient sans s'arrêter, elle s'aidait de ses bras et du bout de ses pieds qui touchaient à peine le planché métallique. Elle accéléra le mouvement, la petite voulait sa dose de jutte. La coquine gémissait de plus en plus fort, surtout à chaque pincement du bout de ses tétons.

Il pensa à Jean Yves, si il avait été la, il aurait pu la prendre par derrière en même temps, la fillette n'aurait rien dit… Il explosa dans son vagin, la petite salope cria au même moment très fort, juste pour dire que le message liquide était bien arrivé à destination au fond de son ventre. Elle n'arrêta pas de tirer sur son cou pour faire monter, puis descendre la bitte, elle en voulait encore, voulant tout vider, qu'il ne reste plus rien dans ses couilles…

Il ne désirait absolument pas qu'elle commence à prendre le dessus sur lui, il saisit la gamine par les hanches, la souleva pour que la pinne ressorte de son trou. Il la remit par terre, sans rien lui demander l'obligea à se mettre à quatre pattes les cuisses écartées, se plaça à genoux derrière elle. Il bandait encore très fort, sa bitte appuya aussitôt sur la corolle de son anus, il ressentit la petite fleur s'ouvrir, sa tige encore pleine de sperme la pénétra aussitôt.

Au cris perçant qu'elle émit elle dut avoir mal, il continua sa pénétration jusqu'à sentir ses couilles battre sur elle… Elle était enculée à fond, il l'avait soumise comme il voulait. Avec sa main gauche il fouilla sa chatte, ses doigts s'enduirent de sperme, il ramena sa main sur sa bouche, lui demanda de lécher ses doigts.

La petite nettoya sa main sans rouspéter. Elle avait compris que tout irait bien tant qu'elle ferait tout ce qu'il disait, d'ailleurs elle aimait être soumise, cela la faisait agir sans trop réfléchir, tout ce qu'il lui faisait c'était pour apprendre, alors… En plus elle adorait, elle lui faisait confiance…

 

 

 

Ce n'était pas fini, il ressortit sa bitte de son cul, s'assit à nouveau sur le siège, lui demanda de le sucer. La petite fille se retourna, happa la verge encore très dure et commença son travail de nettoyage, elle lécha comme il lui avait appris…

Au bout de quelques minutes il lui demanda de pomper, elle aspira aussi fort qu'elle le put, fit ressortir quelques gouttes de spermes qu'elle avala aussitôt.

Il débanda rapidement, complètement, il voulut faire une petite gâterie à la fillette, lui demanda de s'allonger sur le matelas, releva ses jambes en l'air, intimant l'ordre de les laisser dans cette position.

Il mit sa langue sur son clitoris, titilla pendant quelques minutes, elle était encore chaude et ne demandait qu'à repartir, ce qui fut fait quelques instants après, elle jouit rapidement… Il savoura le parfum du liquide qui coulait de la petite fille mélangée à son sperme, goutta l'ensemble, avala plusieurs fois le mélange, c'était salé, épicé en même temps, un goût inimitable, le goût de la virginité…

 

 

La casse de voiture et le ferrailleur I

 

 

 

 

Ils étaient heureux tous les deux, s'embrassèrent longuement sur la bouche pour se remercier mutuellement de s'être donné du plaisir…

Ils se relevèrent, se rhabillèrent. Il interdit à Nadine de remettre sa petite culotte, elle s'assit cul nu sur le cuir de la banquette à côté de lui, il démarra aussitôt.

Quelques minutes après ils arrivèrent à la casse de voiture, l'homme qui les reçut  le reconnut tout de suite, le docteur avait déjà eu besoin de son dépotoir pour réparer sa camionnette.

Le docteur lui expliqua qu'il cherchait des pièces pour lui et pour un ami… Comme d'habitude l'homme lui demanda de fouiller lui même. Il commença son travail à la  recherche d'une plaque minéralogique, si possible d'une autre camionnette. Il ne mit pas longtemps pour trouver son bonheur, même modèle que la sienne et aussi pourri…

La différence étant que celle-ci ne roulerait plus jamais, le moteur avait été retiré, l'arrière était complètement cabossé. Il prit dans une valise sa perceuse autonome à batterie, retira les rivets, la première plaque tomba. Il fit pareille avec la deuxième, en moins de trois minutes les plaques minéralogique se retrouvèrent cachées sous le tapis de sol. Il trouva les deux plaques pour l'autre voiture un peu plus loin, le véhicule rendu inutilisable par un grave accident était de la même époque que sa voiture, il pratiqua la même méthode utilisée quelques instants plus tôt, retira les deux plaques minéralogique.

L'homme de la casse n'avait pas pu entendre la mini-perceuse faire son travail, il était trop loin, occuper à désosser une vieille bagnole.

Il continua un petit peu sa recherche pour ne pas éveiller les soupçons, fit mine d'avoir trouver ce qu'il cherchait, rentra dans la camionnette deux phares de voiture plus une vieille galerie. Il retourna voir l'homme, celui-ci regarda à l'intérieur du fourgon, d'un air professionnel lui dit : " cent francs pour le tout ca va ? ".

le docteur ramena la somme à quatre vingt francs, le marché fut conclu.

Ils se dirigèrent avec la fillette dans la petite cabane, l'homme était obligé de lui faire un reçu. Nadine et le docteur s'assirent sur les deux chaises devant le petit bureau, l'homme rédigea sa facture, expliquant qu'il était obligé à cause du fisc. Il venait de dévisager la gamine, selon le docteur il la trouvait assez à son goût. Encore un qui " n'aimait absolument pas les fillettes, trouvant même ça dégueulasse d'en toucher une ".

 

L'homme continua à discuter avec le docteur, vint le moment ou le deuxième regard s'attarda bien innocemment sur la minijupe de la gamine.

Il n'en crut pas ses yeux, la fillette ne portait pas de petite culotte…

Le gars ne put s'empêcher de rougir…

Pour dissimuler sa gêne, il continua à déblatérer des futilités au docteur.

Nadine avait envi de se marrer, bien sur elle écarta un peu plus ses jambes… 

Le type semblait beaucoup moins pressé, cherchant à continuer la discussion sur d'autres sujets : " Elle est mignonne votre petite fille, elle a quelle âge ? ".

La réponse fut immédiate : " Si elle vous intéresse faut me le dire, moi je suis d'accord, elle aussi …".

Le gars frôla la crise cardiaque, mais en quelques secondes il se ressaisit, murmurant, mais assez fort pour être entendu : " c'est degueu, mais j'aime bien ". Ce qui sous-entendait: " je un suis salaud, mais d'accord, je veux bien la baiser ". 

Le docteur lui dit : " Je suis d'accord on va ou ? ".

L'homme le visage tout rouge se leva, leur dit de le suivre.

Il marchèrent parmi les carcasses de voitures. Il s'arrêta devant une grande caravane pas trop délabrée, les invita à rentrer, ferma la porte à clefs derrière eux. Il montra le grand lit au docteur…

D'accord fit celui-ci… Nadine avait tout compris, elle se rendit compte qu'elle allait y passer une seconde fois, ils étaient deux à nouveaux…

Il parla à Nadine tout haut : " Nadine, tu vas faire tout ce que le monsieur te dit, tu as compris ? ". Elle répondit un " oui " presque inaudible. Le docteur ajouta: "Bon tu t'allonges sur le lit et tu attends ".

Pour détendre l'homme, le docteur commença à se déshabiller, retira son short, voyant cela l'homme en fit autant, se retrouva en slip. Il avait environ cinquante ans, paraissait  propre, du moins son slip l'était.

Les deux hommes montèrent sur le lit de chaque côté de la petite fille.

Le docteur rassura Nadine, lui parla à l'oreille : " N'ai pas peur ma puce, c'est une expérience fantastique pour toi, tu t'en souviendra toute ta vie, fais moi confiance ma petite chérie, tu te laisse faire, je m'occupe de tout ".

Il lui fit un baiser sur la bouche. L'homme commença à relever la minijupe de Nadine, aperçut le beau spectacle impubère, toucha les lèvres de son sexe, Nadine frémît…

Il voulait s'occuper de sa chatte, le docteur s'occuperait du reste…

Le Papa mit sa queue à la hauteur de la bouche de sa fille, la gamine comprit…

Trois secondes après, elle engouffra son sexe, commençant sa pipe…

L'homme vit que ce n'était pas du pipeau, il pouvait y aller…

Il leva en l'air les jambes de la petite fille, les écarta à fond.

D'une main il sortit sa bitte, la promena sur la fente de la fillette, appuya doucement pour l'ouvrir… le docteur était rassuré sa queue était très moyenne, plus petite que la sienne, le bas ventre de Nadine pourrait la recevoir sans problème.

 

 

 

L'homme venait de s'apercevoir que la petite avait été remplie de jutte avant lui. Du sperme coulait encore de sa chatte, tombant sur le haut de ses cuisses.

Cela l'excita encore plus, il poussa sa queue dans le vagin de Nadine, la bitte rentra immédiatement…

Le docteur l'aida à maintenir les jambes de Nadine en hauteur, l'homme pouvait la besogner à sa convenance… La fillette se laissait faire, comme à chaque fois ses yeux pétillaient. De l'avis du docteur, elle était faite pour être baisée…

Cela ne dura pas très longtemps, les couilles de l'homme étaient pleines.

Il éjacula dans la petite moule, poussant de gros soupirs, soufflant très fort.

Nadine émit son petit cri, tout juste pour dire qu'elle avait reçu le message… L'homme se retira de Nadine, aussitôt elle voulut se lever et faire ce que le docteur lui avait appris c'est à dire le sucer… Il l'en dissuada aussitôt.

La petite ne comprit pas pourquoi, mais elle s'arrêta net...

Ils sortirent de la caravane sans dire un mot, l'homme était tout penaud.

Le docteur le rassura, lui dit que personne ne le saurait. Que de son côté, si il ne voulait pas se retrouver en taule, il valait mieux qu'il la boucle… L'homme fit un signe de tête affirmatif, puis sans un mot ils se dirigèrent vers la fourgonnette du docteur. Lorsqu'il démarra l'homme leur fit un petit mouvement amical de la main, comme pour dire à bientôt…

Ils roulèrent sans rien dire pendant un bon moment. Le docteur rompit le silence en disant à Nadine : " Tu as été super ma puce, à partir de demain j'ai besoin de toi, on va s'occuper d'Audrey, tu as un grand rôle à jouer".

Tu es toujours d'accord Nadine ? : " Elle répondit oui aussitôt…".

Lorsqu'ils rentrèrent Jean Yves était déjà la, dans le jardin en maillot de bain, torse nu, il prenait un bain de soleil sur les serviettes de plage. Le docteur lui demanda si tout allait bien.

Celui-ci le rassura aussitôt, il avait ramené toutes ses affaires, je suis entièrement disponible dit-il, il rajouta qu'aucun de ses amis ne savait ou il était parti…

Le docteur emmena Nadine prendre une douche, lui montra comment se laver le minou, en même temps comment laver le sexe de son partenaire masculin avant des rapports sexuels. Elle comprit tout ça à la perfection, décida de le faire pour sa vie entière.

Par acquis de conscience il emmena Nadine dans son cabinet, l'ausculta, glissa dans son vagin un suppositoire antiseptique.

L'homme devait être sain, mais il valait mieux être prudent.

Il donna congé à Nadine, la laissa se dorer au soleil avec Jean Yves.

Pendant ce temps il s'occupa des plaques d'immatriculation des deux véhicules.

Cela lui demanda une bonne demi-heure pour retirer les plaques, refixer les fausses avec des rivets, c'était magique, un coup de perceuse, on retirait les plaques, on remettait les autres, deux nouveaux rivets, et hop, ni vu ni connu…

 

 

 

 

Dans son cabinet, il prit tout le nécessaire pour endormir Audrey, demain…

Par prévoyance, il prit aussi bon nombre de produits qui pouvaient lui servir en cas de problème. Il remonta du garage, aperçut Nadine jouer avec Jean Yves au ballon. Il pensa à leur insouciance, se dit que si tout allait bien demain à cette heure ils seraient quatre, une gamine pour chacun…

Ils dînèrent vers vingt heures, puis comme d'habitude regardèrent un peu la télévision. En fin de soirée après une ballade dans le jardin ils allèrent se coucher. A onze heure trente Nadine dormait déjà d'un profond sommeil.

Tous deux n'arrivaient pas à s'endormir, ils étaient énervés… 

Le docteur proposa à Jean Yves d'aller boire quelque chose dans le salon, ils se levèrent, prirent un verre ensemble assis sur le canapé. Ils étaient en slip, tous deux n'avaient qu'une idée, faire l'amour… La main de Jean Yves se posa sur le slip du docteur. Celui-ci se leva, prit Jean Yves par la main, l'emmena dans la chambre d'amis. Le lit était déjà fait, ils n'eurent qu'à se glisser sous le drap.

Le docteur se mit sur le ventre aussitôt, le message était claire, il avait envie de se faire enculer… Jean Yves caressa délicatement le tissu au niveau des fesses, puis ils devint plus audacieux, baissa le slip sur ses cuisses.

Jean Yves lui demanda gentiment de se mettre à genoux, ce qu'il fit aussitôt.

Il fit glisser le slip du docteur, le retira. Ses fesses étaient offertes, il lui fit ouvrir les jambes au maximum, se plaça derrière lui, fit appuyer sa verge sur son anus. Il l'encula presque sans aucune résistance, son cul avait l'habitude de prendre des bittes… Il le tringla tout de suite. Le docteur avait la tête dans l'oreiller, les bras repliés. Jean Yves passa une main par devant, trouva le sexe du docteur en érection, il bandait dur… Il commença à le masturber, le travailla ainsi pendant de longues minutes… Jean Yves ne put se retenir très longtemps, éjacula dans son ventre. Le docteur adora, remua son cul comme Nadine le faisait, en se tordant. Les couilles de Jean Yves étaient pleines, chaque giclées au fond de son cul lui faisait du bien. Au plus profond de lui le sperme chaud irradiait jusqu'à sa prostate, il se sentait rempli et comblé. Il resta enculé par lui un long moment. Lorsque le docteur demanda à Jean Yves si il voulait bien qu'il l'encule aussi, il appréhenda la réponse… Il fut rassuré, Jean Yves lui dit qu'il n'avait plus de force, mais qu'il se laisserait faire, si il le désirait…

Quelques instants après le docteur se retrouva derrière le cul de Jean Yves, il le pénétra le plus doucement qu'il put, le travailla un peu, juta rapidement dans ses fesses. Quelques instants après il se retira de lui. Ils étaient tous les deux épuisés et ne tardèrent pas à s'endormir, il était environ minuit trente…

 

 

 

 

 

                                                    Le rapt d'Audrey

 

 

 

La gamine se réveilla la première, toute étonnée de se retrouver toute  seule dans le lit. Il était huit heures du matin. Elle se leva, se rendit dans le salon, puis aperçut la  porte de la chambre d'amis entrouverte, d'habitude elle était toujours fermée. Intriguée, elle la poussa, les vit, ils dormaient… Elle se dit qu'il fallait les laisser se reposer, repartit dans la cuisine pour préparer le petit déjeuner.

Elle revint trente minutes après, les bras chargés d'un immense plateau sur lequel trônait le petit déjeuner si gentiment préparé. Elle déposa les cafés sur une petite commode, disposa les différents mets à sa convenance autour. Le bruit commença à les réveiller, ils émergèrent doucement…

La gamine continua son petit bordel en tirant les rideaux. Ils ouvrirent les yeux tout surpris, comprirent vite la situation… Le docteur félicita tout de suite Nadine pour sa gentillesse, se leva, lui fit un petit bisou sur la bouche pour lui dire bonjour. Il prit une chaise, la déposa devant la commode, commença à déguster café et pain grillé. Il proposa à Nadine de se coucher en attendant… Elle acquiesça, se retrouva rapidement à côté de jean Yves dans le grand lit. Lui aussi était réveillé complètement, il lui fit aussi un petit bisou sur les lèvres. La gamine se détendit lascivement en prenant beaucoup de place. Jean Yves se leva, fit comme le docteur, s'assit sur une chaise, dégusta son petit déjeuner.

La fillette les regardait, ils étaient tous deux en slip, torse nu.

Nadine portait sa petite nuisette et une petite culotte à fleurs, elle était en plein milieu du lit, le seul drap était rabattu au pied, tombant sur le parquet.

La fillette jouait à la petite femme, bras écartés, cuisses repliées légèrement.

Sa nuisette laissait apparaître la petite culotte rose à fleurs sur laquelle se dessinaient l'empreinte de sa petite fente légèrement entrouverte.

Sur que la gamine cherchaient à les aguicher. Les deux hommes s'aperçurent de son manège, firent presque semblant de rien, mise à part la bosse dans leur slip qui grossissait à vue d'œil et n'avait rien d'imaginaire…

Le petit déjeuner fut envoyé rapidement.  Le Docteur et Jean Yves se regardèrent un moment, lancèrent un regard à la fillette qui pas gêné du tout les fixa sans baisser les yeux et leur dit:

"vous n'auriez pas encore un peu sommeil ? ".

Le docteur et Jean Yves se marrèrent, rejoignent aussitôt la gamine dans le lit.

Ils se blottirent contre elle de chaque côté. Elle était tournée de sorte que ses fesses soient du côté de Jean Yves, le minou tourné vers le docteur.

Elle ressentit aussitôt des deux côtés la pression des deux bittes sur le tissu de sa petite culotte. Jean Yves la lui retira en la faisant glisser pas les pieds.

La petite fille était anxieuse, les bittes appuyaient sur son minou ainsi que sur son derrière. Elle avait envi que les garçons lui donnent du plaisir, en même temps elle avait un peu peur d'avoir mal…

Les deux mâles n'appuyaient pas trop, une légère pression sur l'anus et la fente de la gamine, c'était tout. Le docteur lui dit : " Il faut que les bittes rentrent presque toutes seules, c'est toi qui les fera rentrer quand tu en aura envie… Quand tu sera bien mouillée, elle rentreront tu verras…".

Le docteur embrassa Nadine sur la bouche, la fouilla avec sa langue, de l'autre côté Jean Yves caressa toutes les parties de son corps.

La fillette fondit rapidement comme neige au soleil… Elle ressentit une drôle de sensation l'envahir, un mécanisme automatique était entrain de se mettre en route, elle avait chaud, mais pas une chaleur habituelle, celle la venait de son ventre et de son cœur, sa tête tournait doucement de l'intérieur, impression bizarre, enivrante, plaisante et dérangeante… Elle avait envie de se laisser faire, de se donner à eux. C'était déjà très bon, tout à l'heure ils la prendrait comme ils l'avaient déjà fait, ça serait encore meilleur…

Juste se laisser faire, c'était tout… Jean Yves devait appuyer un peu plus fort que le docteur, elle ressentit son petit trou du cul s'ouvrir, le bout de la bitte rentra dans l'intimité de la petite fille. Elle mordit l'un de ses doigts en criant.

Le docteur comprit tout de suite qu'elle commençait à être enculé, il poussa un peu plus sa bitte sur la chatte de la gamine. Celle-ci trouva le chemin aussitôt, son vagin reçu le bout de la verge, elle était assez lubrifié, il contrôla quand même, mit un doigt à l'intersection de sa fente et de sa bitte, elle mouillait bien… Comme à chaque fois la fillette avait les yeux grands ouverts, il pouvait apprécier le pétillement de ses yeux bleus. Ils restèrent un moment sans bouger. Jean Yves lui écarta les fesses avec ses deux mains pour faciliter l'enculage,

le docteur fit rouler le bout de ses seins avec ses doigts.

La petite fille était en émoi, ils pouvaient remarquer tous les signes de la jouissance qui se déclenchaient en elle. Ses deux trous commençaient à être comblée, comme au plus profond d'elle même elle le désirait, sa respiration changea de rythme, devint haletante, bientôt, son premier gémissement les remplit de bonheur.

La fillette bougea une première fois ses reins pour sentir mieux les pinnes dans son bas ventre et ses fesses. Elle accéléra le mouvement, ce qui aida les deux chibres à rentrer un peu plus. A chaque fois qu'elle bougeait, les gars accentuaient un peu plus leur poussée.

De la gorge de la gamine sortaient des cri langoureux et voluptueux.

Ils faisaient attention à ne pas lui déchirer le bas ventre, elle avait déjà été prise comme ça une fois, techniquement cela collait très bien, mais ils faisaient doucement quand même…

Maintenant elle criait très fort, se tordant sur les bittes, elle devenait folle de plaisir, suppliant tout haut pour que cela ne s'arrête pas : " Continuez, encore, encore  … Oui… C'est bon, oh comme c'est bon… ".

Ils la besognaient hardiment, presque toute leur longueur coulissait dans ses trous… La fillette éclata son orgasme en spasme répétée,

il ressentirent les contractions de son intérieur sur leur queue.

Les deux hommes redoublèrent leur assaut, bientôt chaque bitte libéra sa crème chaude dans le fondement de Nadine… Elle gloussa littéralement de plaisir, chaque jet de sperme des deux côtés lui procuraient des sensations paradisiaques, il y en eut beaucoup…

La fillette pensa un instant qu'elle ne pourrait plus vivre sans faire l'amour comme ça… Ils se reposèrent un bon moment, Nadine était en nage, suant énormément, de son front perlaient des gouttes de jouissance…

La fillette retrouva ses esprits peu à peu, son visage était expressif, il lui restait une impression de bien être, elle était détendue et contente.

Seul l'amour bien fait laissait des stigmates identiques sur un visage…

Ils se retirèrent de ses trous à  peu près en même temps. Le docteur se mit entre ses cuisses, lui leva les jambes en l'air en les maintenant écartées, contempla le spectacle, elle était pleine de sperme, le liquide ressortait en abondance de ses deux trous, coulant sur son bas ventre et ses cuisses.

Il la remit comme il fallait, lui fit un bisou sur la bouche, comme pour lui dire qu'elle avait été terrible, ce qui était vrai d'ailleurs…

Ils se levèrent vers onze heures, se lavèrent, déjeunèrent rapidement.

Vers douze heures trente ils étaient prêts à partir. Nadine et Jean Yves passeraient devant en voiture, le docteur suivrait avec la camionnette.

Il avait équipé les deux véhicules d'émetteur récepteur cibi, ils pourraient correspondre sans problème, confidentiellement. La technique aidant, il avait inversé les quartz fréquence des appareils, il avait appris la combine en faisant son service militaire, personne ne pourrait les écouter.

Ils avaient aussi chacun en leur possession un portable dans leur poche qui leur permettrait de correspondre en cas de problème de liaison avec la cibi.

En roulant ils essayèrent la liaison radio, ils avaient défini un nom de code : " coucou 1 pour le docteur, coucou 2 pour Jean Yves, colibri 1 pour Nadine, enfin colibri 2 pour Audrey ". Ils avaient convenu d'un commun accord de parler le moins possible, de ne rien divulguer qui aurait pu mettre quelqu'un sur une piste, deux précautions valaient mieux qu'une.

Ils arrivèrent aux abords de la plage vers treize heure trente, ils leurs fallaient une heure pour aller de chez eux à ici, donc autant pour revenir. Le docteur avait tout préparé, tout minuté…

Il tourna un quart d'heure pour trouver une place de stationnement valable dans une rue adjacente, perpendiculaire à la plage et au restaurant la Rotonde.

Cent mètres séparait la camionnette du restaurant. Il était bien garé, la porte coulissante s'ouvrait du côté du trottoir, un grand mur gris devant, tout était parfait.

Il contacta jean Yves par radio, qui répondit aussitôt. Il venait de passer devant la Rotonde, il avait aperçu le patron, mais pas de trace d'Audrey…

 

 

Jean Yves trouva à se garer à cinquante mètre du restaurant.

De leur poste d'observation ils contemplaient tout ce qui se passait à l'intérieur,  ne risquant pas de se faire repérer, le patron et Audrey ne connaissaient pas leur voiture, de plus avec le changement de plaques, ils ne craignaient même pas une contravention…

Ils attendirent près d'une heure, furent enfin récompensés de leur patience…

Audrey sortit seule avec son nécessaire de baignade, se dirigeant vers la plage. Aussitôt Jean Yves communiqua la nouvelle au docteur par l'émetteur.

Celui-ci demanda à Jean Yves de lui passer Colibri 1 par radio…

Il lui dit : " ma puce c'est à toi de jouer, tu fonces à la plage, tu repères colibri 2, tu lui dis bonjour, qu'avant de te baigner avec elle tu dois aller prendre tes affaires de bain, tu lui demandes si elle veut t'accompagner…

Tu lui dit d'emmener ses affaires avec elle, car on pourrait lui voler, Je pari n'importe quoi qu'elle sera d'accord…

Arrivé devant la camionnette, tu attends qu'il y ait personne.

Tu frappes à la porte quatre coups, j'ouvrirai aussitôt, me saisirais d'Audrey, puis refermerais la porte tout de suite derrière elle…

Tu attendras le temps qu'il faut à l'extérieur, sans te faire remarquer.

Si tout va bien, je te ferais signe par le pare brise avant, tu rejoindra la voiture de Jean Yves, nous repartirons ".

Tu as bien compris ma puce ? .

Il attendit la réponse… Aucun son ne sortit du haut parleur de la cibi…

Il demanda si le message était bien passé, si Colibri 1 avait compris.

La voix de Jean Yves se fit entendre :

" Colibri 1 est déjà partie, tout est ok coucou 1 ".

Il répondit : "ok coucou 2, tu me préviens aussitôt que tu vois les deux colibris ". Un dernier ok de coucou 2 le rassura pleinement, il n'y avait plus qu'à attendre.

Le docteur prépara son nécessaire, le plus important étant le flacon de chloroforme, ainsi que le gros morceau de coton.

Il prépara aussi des bandes de ruban adhésif larges, qui collées sur la bouche l'empêcherait de crier et étoufferaient les sons.

Il fit l'inventaire, piqûre de tranquillisant, menottes, cordes, …

Il ne manquait rien, si ce n'était la petite Audrey.

L'attente fut longue, pendant plus de trente minutes, l'angoisse l'étreignit.

Il sursauta lorsque le haut parleur de la cibi cria : " Attention coucou 1, les deux colibris sortent de la plage, colibri 2 à ses affaires dans ses bras, tout va bien ".

Le docteur répondit aussitôt : " Ok coucou 2, je réceptionne colibri 2 et je te rappelle ".

Il calcula… Dans à peu près deux minutes, Nadine frapperait quatre fois à la porte, il ouvrirait…

Il regarda par le pare brise, les deux gamines approchaient, elles riaient…

 

 

 

Il regarda une dernière fois si quelqu'un venait dans la rue, aucune trace de vie…

Elles y étaient presque, les deux gamines arrivaient à la hauteur du capot avant. Il prit le flacon de chloroforme, imbiba au maximum le grand morceau de coton. Cela puait un maximum, il n'avait jamais supporté cette odeur…

Il entendit très distinctement les quatre coups frappés à la porte.

A partir de cet instant tout fut automatique, la porte s'ouvrit très rapidement dans un grand bruit métallique. Audrey était juste devant, elle n'eut pas le temps d'être surprise, il l'agrippa, la souleva en la tirant à l'intérieur.

Il la retourna aussitôt, elle lâcha son sac d'affaires, la serviette de bain tomba sur le plancher de la camionnette, elle ne cria pas, intérieurement elle se demandait ce qui se passait. Il referma la porte aussitôt, plaqua sur le visage de la fillette le coton imbibé de chloroforme.

En une seconde la fillette venait de comprendre, elle se débattit aussitôt…

Il la maintenait serré contre lui, la soulevant pour que ses pieds ne touchent plus le sol, ses bras étaient immobilisés par ceux puissant du docteur.

Le coton appuyait très fort sur sa bouche et son nez, l'empêchant de crier.

Elle se débattit plus d'une minute, mais ce qui devait arriver, arriva…

La petite relâcha ses efforts, rapidement elle s'affaiblit, puis devint toute molle…

Le docteur laissa encore le coton pendant dix secondes sur son visage.

C'était fini, il l'avait fait… Il retira le coton du visage de la gamine, l'installa sur le matelas, prit son stéthoscope dans sa valise médicale, contrôla son cœur…

Il battait très vite, trop vite pour son goût. Il lui fit la piqûre qu'il avait préparé d'avance dans l'avant bras, il n'avait même pas nettoyé celui-ci.

Il reprit son stéthoscope, contrôla à nouveau.

Le rythme cardiaque redevenait bon. Il respira un peu mieux, se dirigea vers l'avant de la camionnette, Nadine l'aperçut.

Il leva son pouce en signe de victoire, la fillette avait une drôle d'expression…

Il décida de changer un peu ses plans, rouvrit doucement la porte métallique, lui parla doucement, la rassura sur l'état de santé d'Audrey.

Elle va bien, elle dort lui dit-il.

Va rejoindre Jean Yves ma chérie, en marchant doucement…

La petite était rassurée, il avait eu raison de faire ça, elle aurait pu craquer, aller peut-être prévenir quelqu'un…

Il ne la croyait pas capable de ça, mais tout était envisageable.

Il referma la porte, vit par la vitre avant Nadine se diriger paisiblement vers l'endroit ou était garé Jean Yves.

Le docteur attendit trois longues minutes, prit le micro de la cibi, appela :

" Coucou 2, coucou 2, tu m'entends ? ". la réponse ne mit pas deux secondes à lui parvenir : " Oui coucou 1, alors ? "

Le docteur reprit : " C'est ok, tout est ok, colibri 2 dors tranquillement, je voudrais déposer quelque part les accessoires de colibri 2, je m'absente une quinzaine de minutes, je te rappelle aussitôt que j'ai fini. Au fait colibri 1 est déjà rentré chez toi ?".

 

 

Jean Yves confirma, Nadine venait juste de rentrer dans la voiture.

Ouf… Il respira à fond, regarda Audrey, la pauvre môme était dans les vaps, mais respirait normalement.

Fouillant dans le sac, il énuméra les affaire de la gamine, serviette de plage, short, tee-shirt, un petit porte-monnaie contenant trente francs, une brosse à cheveux…

Il attacha Audrey solidement avec du cordage, lui mis un morceau de sparadrap sur la bouche, il ne voulait surtout pas qu'elle fasse du bruit ou qu'elle puisse bouger. Il sortit, ferma les portières à clefs, jeta un coup d'œil à droite et à gauche, personne…

Il se dirigea d'un pas rapide mais tranquille vers la deuxième plage.

Il marcha environ dix minutes avant d'atteindre l'endroit souhaité. il y avait beaucoup moins de monde, la baignade était non surveillée, c'était un peu le côté poubelle qui rebutait les gens, la municipalité avait axé son développement juste sur la plage principale, certainement a cause du budget…

Il longea la mer pendant un certain temps, les pieds dans l'eau. Plus personne autour de lui… Il laissa tomber les affaires d'Audrey, tout était maintenant répartis, étalés sur le sable sur une cinquantaine de centimètres.

Il revint en coupant par les dunes, regagna l'emplacement ou était garé le véhicule, ouvrit rapidement la portière, rentra rapidement à l'intérieur.

Il fit un ouf de soulagement, la fillette dormait d'un sommeil paisible, la piqûre faisant son effet environ trois heures, elle commencerait à se réveiller dans environ deux heures et demie. Il s'était absenté trente minutes pour aller à la plage, il avait le temps de rentrer haut la main. Il s'agenouilla à côté de la petite fille, la contempla. Elle portait juste sur elle les deux pièces de son maillot de bain rose et vert, elle était sublime, des formes parfaites.

C'était trop tentant, il ne put résister, baissa son slip, contempla son sexe, aucun duvet. Son bassin était parfait. Elle était plus jeune que Nadine, pourtant son bassin était déjà formé, plus ouvert.  Il remit le slip, il verrait plus tard…

Il prit le micro de la cibi, appela jean Yves, la réponse fut immédiate.

Le docteur lui dit qu'il partait dans quelques instant, lui demanda de passer devant… Quelques minutes après les deux voitures quittaient la plage, l'une derrière l'autre. Ils rentraient à la maison…

Les cinquante kilomètres furent parcourus sans embûche ni problème d'aucune sorte, tout allait à la perfection. Jean Yves descendit de la voiture, ouvrit le portail et la porte des garages. Tout était fini… 

Il détacha Audrey, retira le sparadrap de sa bouche, la prit dans ses bras, sortit dehors avec elle. Jean Yves et Nadine aperçurent Audrey. Le docteur leur dit qu'il fallait qu'il s'occupe de la petite avant toute chose, c'était le plus important. Il les laissa à vaquer à leur occupation, il emmena Audrey dans son cabinet médical, la déposa sur la table d'examen.

 

 

Pas question de la laisser libre, du moins pendant le temps que durerait l'adaptation. Il lui bloqua les mains le long de la table d'examen avec les attaches velcro, retira son slip de bain, lui écarta les jambes, grandes ouvertes, les déposa  sur les étriers, immobilisa ses chevilles avec les attaches, comme il l'avait fait pour Nadine.

La fillette dormait encore profondément. Il dégrafa le haut du maillot de bain,

il fut surpris de constater qu'elle avait déjà une poitrine qui ressortait, les mamelons étaient tout rouges, un peu irrités… 

A son avis elle avait déjà été travaillé par ce côté, on devait lui faire les seins assez souvent pour obtenir un résultat pareil sur une fillette de neuf ans.

 

 

 

 

 

 

 

 

                      La soumission et l'initiation d'Audrey

 

 

 

Il voulut regarder en premier si la petite fille était toujours vierge, il prit son spéculum sur la tablette, mit une noisette de vaseline sur sa fente, explora l'intimité de la gamine avec son doigt, les lèvres de son sexe étaient ouvertes, il remplit l'intérieur du vagin. D'un geste précis il rentra l'extrémité du spéculum sur cinq centimètres, serra la vis. Les parois de l'engin s'ouvrirent, écartant le col de l'utérus de la gamine. Il serra la vis au maximum…

Il prit une lampe, regarda l'intérieur… C'était bien se qu'il redoutait la petite n'était plus vierge, elle avait déjà été dépucelée, la corolle était complètement ouverte, la dentelle tout autour de l'hymen était déchirée complètement.

Il regarda le fond du vagin, elle était très profonde et pouvait recevoir des bittes… Elle allait en recevoir une très rapidement, même immédiatement…

Il desserra la vis du spéculum, ressortit l'engin. Il se mit entre ses cuisses, sortit son sexe.

Il commença à bander rapidement, appuya son gland sur la fente écartée de la petite, juste au niveau du vagin. Il avait envie d'elle, elle ne sentirait rien, mais il voulait la baiser tout de suite. Il appuya sur sa fente, elle était déjà lubrifiée par la vaseline, sa bitte devait rentrée sans problème…

Quelques instants après il bandait très dur.  Appuyant de plus en plus, Il vit l'entrée de son vagin se déformer, puis s'écarter sous la pression, le bout de sa bitte rentra d'un seul coup…

Quels délices, quelles sensations de chaleur et de douceur sur sa queue…

Il la tringla tout de suite, poussant sa queue au maximum dans le trou.

Il n'avait pas tout rentré, il continua à pousser encore plus fort.

La petite fille bougea doucement ses fesses.

Ses couilles n'appuyaient pas encore sur l'entrejambe, il voulut aller plus loin, plus au fond dans son vagin, donna un coup de rein plus puissant que les autres…

Il fut surpris, la gamine se mit à crier, un son aigu sortit de sa gorge. Elle ouvrit les yeux en grand, la douleur venait de la réveiller. Il ne savait plus quoi faire…

Il décida de continuer de la tringler doucement, en même temps il chercha son clitoris, trouva la petite boule de chaire, commença à la caresser doucement.

Audrey était complètement dans les vaps, mais réveillée et consciente.

De toute façon il voulait l'initier, autant commencer le plus tôt possible.

Elle passerait par différents stades pas marrant pour elle. En premier d'abord la soumission, on ne pouvait rien apprendre sans se soumettre à une discipline.

En deuxième phase il y aurait l'initiation, il fallait lui apprendre tout ce qui se faisait en amour…

 

 

Ce qu'elle ferait plus tard avec ses partenaires dépendrait de son initiation… Combien de femmes restent frustrées toute leur vie pour n'avoir jamais oser faire ce dont elles avaient eu envies. 

Si petites filles, on les avaient initiés sur tout ce qui était faisable, elles auraient put choisir,  leurs désirs seraient devenus réalité, de plus leurs partenaires n'auraient pas eu à s'en plaindre, à quand l'école de l'amour…

Pour Audrey en ce moment c'était le plus dur, elle venait de se réveiller, un monsieur, qui plus est le père d'une de ses copines rencontré à la plage lui faisait l'amour, plus exactement l'obligeait à faire l'amour…

La seule solution, arriver à la faire jouir…

il pouvait lui faire oublier les attouchements, les jeux de touche pipi, minou et autres qu'elle pratiquait avec son papa, en la faisant  jouir réellement, en lui donnant une sexualité épanouie… Le mal par le mâle, ou le bien par le mâle…

Il continua à la besogner doucement, elle n'avait pas envie de crier ni de se débattre mais à son avis plutôt envie de pleurer. Elle se laissait faire, de toute façon que pouvait-elle faire d'autres ?.

Il décida de changer de tactique, retira sa pinne de la fillette, s'agenouilla entre ses cuisses, commença à lui lécher doucement son sexe.

Il insista surtout sur le clitoris, lui donna des petits coups de langue en le titillant, tourna autour de la minuscule boule de chaire rose, rentra sa langue plusieurs fois dans le vagin de la gamine, la fit tourner dedans.

Son manège dura une bonne dizaine de minutes, il s'aperçut bientôt que la petite fille n'avait plus le même expression qu'avant, elle était plus détendue, en même temps plus attentive à ce qu'il lui faisait. Il en profita pour commencer à effleurer son anus, il prit un peu de salive, la déposa sur sa petite corolle étoilée, tenta timidement de pousser légèrement son index dans le petit trou du cul de la gamine, le bout de son doigt rentra doucement. Elle se crispa un tout petit peu, puis se re-détendit aussitôt. Elle ne disait toujours rien, aucun gémissement ne sortait de sa gorge. Il se leva, alla chercher dans une armoire vitrée une petite ampoule d'opium, remplit une seringue à moitié avec le produit.

Il nettoya l'avant bras d'Audrey avec un coton imbibé d'alcool, lui injecta le produit dans les veines, attendit deux minutes qu'il agisse…

L'effet ne se fit pas attendre plus longtemps, la petite fille se détendit complètement. Au bout de quelques minutes supplémentaires elle commença à raconter n'importe quoi, des mots incompréhensibles, elle délirait…

Il revint entre ses cuisses, la pénétra à nouveau avec sa bitte, remit un doigt dans son anus, fit un mouvement de va et vient avec. De l'autre main il prit un de ses tétons, le tira assez fort en le faisant rouler. La fillette gémit, essaya de se libérer les mains et les pieds, les attaches tenaient  bon. Il augmenta la rapidité de son besognage.

Elle  remuait son cul et ses cuisses, elle eut un premier cri de jouissance…

Il était sur le bon chemin…

 

 

Quelques minutes plus tard elle gémissait sans arrêt, remuant son bassin, le faisant onduler. Les mains du docteur se promenaient maintenant sur son clitoris et son cul en même temps. Elle adorait ce qu'il lui faisait, son visage rayonnait, l'opium faisait son effet, sa chatte était de plus en plus lubrifiée. Elle cherchait à faire rentrer la queue d'elle même, venant à sa rencontre à chaque coup de buttoir qu'il lui donnait. Le premier orgasme de sa vie se déclencha après qu'elle eut soulevé ses reins et son bassin très haut. Elle fut secouée de l'intérieur par une série de décharges, de spasmes vaginaux. Il ressentit sur sa bitte, venant du ventre de la fillette, une série de contractions qui le secouait, pendant qu'au même moment un liquide tiède se répartissait sur le gland de sa verge.

Il continua à la besogner, se dit qu'il n'allait pas tarder à la remplir de jutte, en effet quelques secondes après il l'inonda de sperme…

La petite se crispa lorsque elle ressentit les giclées chaudes lui transpercer le bas ventre. A chaque jet de sperme qui l'inondait ses yeux s'ouvraient plus grands, la gamine se demandait si il y en aurait  d'autres…

Elle resta attentive quelques secondes, puis ferma ses paupières…

Quelques instant après Audrey dormait profondément, l'important étant pour lui qu'il l'ait fait jouir, certainement pour la première fois de sa vie…

Il se retira d'elle, décrocha les attaches qui la maintenait, la prit dans ses bras, l'emmena dans la chambre à coucher, puis la déposa dans le grand lit.

Il l'habilla d'une nuisette, lui passa une petite culotte rouge à dentelle. Il voulut se faire un dernier petit plaisir, appuya sur celle-ci au niveau du bas ventre…

Le sperme se mit à couler sur la dentelle, mouillant le tissu. Elle était pleine de jutte, rempli de sperme, il voulait qu'elle le garde… Il alla chercher dans un tiroir de la commode une paire de menottes,  fixa les poignets d'Audrey aux barreaux du lit, bras tendus en l'air de chaque côté de ses oreilles. Prête à être suppliciée, soumise, il adorait…

Il sortit de la chambre, alla rejoindre Jean Yves et Nadine.

Il était dix sept heures, il les retrouva dans la cuisine, devant un thé au lait.

Leur première réaction fut de savoir comment allait Audrey. Le docteur les rassura, leur dit qu'elle dormait, il lui avait donné un médicament pour la tranquilliser, maintenant il fallait attendre son réveil.

Il pensait qu'en ce moment, son père peut être, commençait à se demander ou était sa fille… Les recherches ne commencerait pas avant quelques heures, après il auraient certainement des nouvelles par la radio ou la télévision.

Il leur expliqua que pour l'instant Audrey devait être considérée comme une prisonnière, il se trouva ainsi une bonne raison pour justifier l'enchaînement de la fillette. Tous les deux trouvèrent qu'il avait eu raison de l'attacher…

Il fallait l'éduquer, ce que la gamine apprendrait ici lui servirait pour sa vie entière…

Il comptait surtout sur Nadine pour la raisonner, lui demanda si elle voulait être à ses côtés lorsqu'elle se réveillerait. Nadine sauta sur l'occasion, lui dit qu'elle y allait tout de suite…

 

 

 

Le docteur modéra son ardeur, lui expliqua que c'était elle qui devait la commander, qu'il ne fallait pas qu'elle se laisse mener par le bout du nez.

Si elle le désirait elle pouvait faire ce qu'elle voulait avec elle pour qu'elle lui obéisse, même être sévère si il le fallait. Nadine lui assura qu'elle allait s'occuper d'elle à sa façon… Le docteur l'accompagna dans la chambre ou reposait Audrey. Nadine la regarda dormir, s'approcha doucement du lit, se pencha et lui fit un bisou sur la bouche. Le docteur fut surpris par son acte, lui demanda si elle la trouvait à son goût et si elle avait envie de lui faire des caresses ou de faire l'amour avec elle ?. Nadine lui dit qu'elle essaierait bien …

Le docteur laissa Nadine la surveiller, alla dans son cabinet, prépara un verre de jus d'orange, ajouta le fameux médicament hypnotique qui avait fait tant de miracles avec Nadine, il doubla la dose. Pendant quelques jour il désirait qu'Audrey soit entièrement soumise, pas trop consciente, ainsi elle s'habituerait peu à peu, sans choc psychologique important. Il retourna dans la chambre, confia le verre à Nadine, "dès qu'elle se réveille tu lui donnera à boire le jus d'orange", lui dit-il. Nadine posa le verre sur la table de nuit.

Il s'assit au bord du lit, avec sa main il écarta la dentelle rose de la petite culotte d'Audrey, ce qui laissa apparaître sa mignonne petite chatte. Il demanda à Nadine de regarder. La gamine approcha ses yeux du minou, vit le liquide blanc suinter… Au même moment le docteur appuya sur le bas ventre d'Audrey, du sperme sortit de sa petite moule. Nadine savait maintenant que le docteur avait fait l'amour avec Audrey. Cela ne la démonta pas, elle dit aussitôt au docteur : " j'espère qu'elle aime ça autant que moi ". le docteur lui dit qu'elle pouvait la goutter si elle voulait…  Nadine remua la tête affirmativement pour dire qu'elle était d'accord. Le docteur prit la petite main de Nadine, lui fit caresser les tétons d'Audrey, puis il descendit sa main, fit passer les doigts sous l'élastique en dentelle de la petite culotte. Nadine entreprit l'exploration du sous-vêtement et s'aventura dans le fente mouillée d'Audrey. Le docteur aperçu sous le tissu rouge le manège de sa main, elle explorait sa petite chatte, la fouillant méticuleusement. Ses doigts ressortirent quelques secondes après tout enduit de sperme, Nadine les mit à sa bouche, les lécha un par un. Voyant cela le docteur baissa la culotte d'Audrey, la retira, écarta ses cuisses et dit à Nadine que si elle voulait la nettoyer avec sa langue elle le pouvait… Elle s'allongea sur le lit entre ses cuisses, commença à lui lécher doucement son minou, avalant toute la jutte qu'elle pouvait ramasser avec sa langue. Le docteur regardait la fillette, éprouvant un certain contentement à satisfaire ses souhaits. Elle lui montrait qu'elle aussi pouvait faire des tas de choses… C'était surtout un jeu pour elle, elle adorait que le docteur la regarde faire des choses comme ça… En plus le liquide blanc, elle trouvait ça plutôt bon… Mais elle préférait quand il était plus chaud, quand il sortait directement d'un monsieur, c'était meilleur…

Le docteur l'aida, ouvrant un peu plus les lèvres de la chatte d'Audrey, appuyant aussi légèrement sur le bas ventre. La gamine mit sa langue à fond dans l'orifice vaginale, ramena le sperme en excès… Elle continua jusqu'à ce que le minou d'Audrey soit bien nettoyé, qu'il ne reste plus aucune trace de jutte.

Le docteur l'embrassa sur la bouche pour la récompenser, lui caressa la croupe, lui dit que c'était bien, qu'elle était super…

La fillette était fière, entièrement à sa botte…

Le docteur ressortit de la chambre, sans oublier de dire à Nadine qu'elle le prévienne lorsqu'Audrey se réveillerait.

Jean Yves regardait la télévision dans le salon, il attendirent les actualités régionales, déjà dix neuf heures… Ils regardèrent ensemble le journal, aucune nouvelle sur la disparition de la gamine, c'était beaucoup trop tôt.

De l'avis du docteur il faudrait attendre au minimum le lendemain midi pour commencer à avoir des échos sur l'affaire. Ils furent interrompus par Nadine qui arriva en courant dans le salon, elle était toute énervée et leur fit savoir de suite  qu'Audrey venait de se réveiller. Ils accoururent dans la chambre aussitôt…

Audrey était toujours allongée, les yeux grands ouverts, elle les observaient...

Bonjour Audrey lui dit le docteur, tu nous reconnais ?.

La gamine d'une petite voix peureuse lui dit : " Vous êtes les monsieurs de l'autre fois, à la plage ". Le docteur lui répondit par l'affirmatif, commençant à lui expliquer pourquoi elle avait été amené ici. Il lui dit quelle n'était pas heureuse, son père étant méchant avec elle, il avait été choisi en tant que docteur pour s'occuper d'elle, pour faire son éducation. Elle reverrait son père plus tard, mais pour l'instant, pendant quelques temps elle vivrait avec eux.

Il lui dit qu'elle allait être heureuse ici, mais qu'il fallait qu'elle fasse tout ce qu'ils disaient.

La gamine resta perplexe, ne trouva rien à dire. Le docteur demanda à Nadine de donner le jus d'orange à Audrey, ce qu'elle fit aussitôt. Audrey bu tout le contenu sans problème, elle devait avoir soif. Voyant que la gamine n'allait pas créer de problème, le docteur décida de lui retirer les menottes, ouvrit les serrures et rendit la liberté de mouvement à la petite fille. Il justifia la mesure qu'il avait prise pour l'attacher, il avait peur qu'elle tombe du lit…

Il ajouta que tant qu'elle serait sage, ils seraient tous gentils avec elle, par contre si elle désobéissait, ils seraient obligés de la punir sévèrement. Il lui expliqua qu'il ne fallait pas qu'elle mange ce soir, il allait lui mettre un suppositoire qui allait l'aider à aller aux toilettes, il fallait que ses intestins soient libérés complètement. Il se garda bien de lui expliquer pourquoi…

Il ouvrit un tiroir de la commode rempli de médicaments, trouva rapidement ce qu'il cherchait. La fillette était toujours nu, il lui leva les jambes, introduit le "suppo" dans son anus. La gamine était un peu gêné de montrer son intimité "à tout le monde", mais elle se laissa faire sans problème. Il lui remit la petite culotte en dentelle rouge, elle était souillée par son sperme, mais cela ne servait à rien de lui en donner une propre maintenant…

 

 

Il lui trouva une petite nuisette bleue à fleurs toute mignonne, l'en revêtit. Elle était désirable, il avait hâte de l'initier…

Il confia la garde d'Audrey à Nadine, les deux hommes sortirent de la chambre. Jean Yves lui donna un coup de main pour remettre les plaques minéralogique des voitures, cachèrent celles qu'ils avaient utilisées dans un grand bac à fleurs, elles pourraient encore leur servir un jour…

 

 

 

                                            L'enculage d'Audrey

 

 

 

 

Ils dînèrent rapidement, regardèrent ensemble les actualités régionale à la télé, personne ne relatait encore la disparition d'Audrey…

A vingt heures le docteur prit congés de Jean Yves, lui demanda de faire manger Nadine, de s'occuper d'elle comme il le désirait, surtout de ne pas de ne pas l'attendre pour se coucher.

Il lui fit comprendre qu'il allait faire l'amour à Audrey,  pour voir sa réaction, Jean Yves sourit…

Le docteur retourna aussitôt dans la chambre, Audrey dormait. La gamine lisait à côté d’elle sur le lit, elle lui fit remarquer que la petite avait demandé d'aller aux toilettes deux fois avant de s'endormir, elle avait fait en diarrhée…

Le suppositoire avait agit… Il remercia Nadine d'avoir aussi bien gardé Audrey, lui demanda d'aller retrouver Jean Yves, d'être très gentille avec lui, surtout de se laisser faire si il lui demandait des chose…

La fillette comprit tout de suite, referma la porte derrière elle…

Il était seul avec Audrey… Il se déshabilla entièrement,  resta assis à côté de la gamine, la contemplant. Sa respiration était presque normal, son pouls, son cœur battait un peu au ralenti, le tranquillisant mélangé au jus d'orange faisait son effet. Il la secoua légèrement pour la réveiller, la gamine sortit de sa léthargie peu à peu. Ses pupilles étaient dilatées, il releva sa nuisette, avec ses mains caressa sa petite poitrine, Les mamelons était rougis, irritées, il était à peu près certain que son salaud de père les lui travaillaient régulièrement.

Lui il allait lui donner du plaisir à la gamine, mais avant il fallait qu'elle passe par toutes les étapes… 

L'étape numéro un étant la souffrance. Selon sa théorie, seule la souffrance physique extrême pouvait faire oublier la souffrance morale de la fillette.

Après il y aurait la jouissance qui remplacerait et balaierait tout ce qu'elle avait vécu. Il prit deux paires de menottes, immobilisa ses deux bras en croix aux barreaux du lit.  Il commença à  parler à la fillette, lui dit qu'il était docteur, que tout ce qu'il allait lui faire c'était pour son bien, qu'il allait la guérir.

Il fallait qu'elle se laisse faire… Lui demanda si elle avait bien compris.

Le jus d'orange mélangé à l'hypnotique, plus la piqûre d'opium faisait qu'elle n'avait plus aucune résistance ni volonté, elle bredouilla un oui presque inaudible.

Il prit les pinces à sein dans un  tiroir, les fixa sur ses deux tétons, elle se raidit instantanément. Il tira doucement sur les ficelles, la petite fille hurla, un son strident et aigu sortit de sa gorge…

 

 

 

Le docteur prit immédiatement la décision de la bâillonner. Il ne voulait pas que Nadine et Jean Yves puissent entendre les cris de la petite suppliciée.

Il alla chercher une compresse l'introduit dans la bouche d'Audrey, fixa un foulard de soie derrière sa tête, celui-ci maintenait la grosse compresse dans la bouche. Il essaya de retirer doucement les ficelles des pinces à seins, la petite se contorsionna, un cri complètement étouffé sortit de sa gorge…

Il était rassuré, il pouvait faire ce qu'il voulait, personne n'entendrait.

Il tira de plus en plus fort sur les ficelles des pinces, la gamine se tordait en gémissant de plus, soulevant ses reins au maximum. Il retira son slip rouge, souleva ses jambes en hauteur en lui écartant les cuisses à fond, sa chatte et ses fesses étaient maintenant offerts à sa queue. Il choisit l'orifice du cul, plaça son gland sur son anus, appuya assez fort. A voir son trou du cul rougi, il était à peu près certain que son père l'enculait, il ne devrait pas avoir de problème pour rentrer sa bitte, même sans vaseline. En plus ses intestin étaient vidés par le suppositoire, le chemin était libre… Il appuya encore plus fort, son gland rentra d'un seul coup dans le derrière de la petite fille… Elle eut très mal, bougea son cul pour essayer de se dégager. A chaque fois involontairement la fillette s'enculait d'elle même un peu plus, sans le vouloir… La moitié de sa queue était dans son postérieur, il commença à la tringler, effectuant un mouvement de va et vient dans son ventre. Il s'aperçut très rapidement qu'il pouvait tout rentrer sans problème, continua de pousser, bientôt elle fut enculée à fond, les couilles battaient sur ses fesses au rythme de ses coups de butoirs. Il  lâcha ses cuisses qu'ils tenaient écartées en hauteur depuis un bon moment, miracle de l’enculage, elle laissa d'elle même ses jambes en l'air dans la même position…

Il caressa son petit clitoris d'une main, de l'autre il s'attarda sur les pinces à sein, tirant méthodiquement sur les ficelles, de temps en temps, par plaisir…

Ses bouts de seins étaient devenus violacés, saillant énormément. Il continua son besognage, ressentit la pression montée dans ses couilles… Il ne put se retenir plus longtemps, éjacula dans son petit derrière.

Quel cul elle avait…il ne pensa plus, se vida par saccade dans son postérieur.

Il la remplissait avec de longs jets de jutte chaude, à chaque giclée la petite fille se détendait un peu plus. Elle ne jouissait pas, mais aimait qu'on lui éjacule dans les fesses, cela se remarquait à l'expression de son visage…

Il était épuisé, retira sa queue de l'anus de la petite, se reposa quelques minutes allongé à côté d'elle. Puis il se leva, lui retira les pinces à seins, le foulard ainsi que la compresse qui immobilisait sa bouche.

Il contemplait son travail, elle avait les tétons complètement tuméfiés…

Il alla chercher dans la commode de la pommade pour les hématomes, en recouvrit généreusement les bouts de sa petite poitrine, les massa longuement. La gamine avait les yeux ouverts, elle était consciente.

Il savait pertinemment qu'elle ne se souviendrait de rien à son réveil…

 

 

 

                                                 A quatre dans le lit

 

 

Il lui releva les cuisses en l'air, contempla la jutte qui ruisselait de ses petites fesses, essuya son trou du cul avec un essuie-tout. Maintenant, il fallait laisser la fillette récupérer. Il vérifia les fermetures des portes et fenêtres, la fillette ne pourrait pas s'échapper toute seule, décida de ne pas l'attacher, sortit de la chambre, puis ferma la porte à clefs.

L'enculage d'Audrey n'avait pas duré aussi longtemps qu'il l'avait prévu , il n'avait pas utiliser les ustensiles qui auraient pu prolonger la séance pendant des heures. Il avait été ému par Audrey, il l'avait baisée par devant et par derrière sans réel plaisir, pour une fois sa conscience le travaillait, il avait pensé sans arrêt à la fillette sans défense qu'il avait kidnappé, un reste d’humanité était encore présent en lui, mais sa logique personnelle lui disait qu'il n'avait pas eu tord de faire ça… Il lui referait l'amour dans de bien meilleur conditions, elle prendrait certainement son pied…

Il alla dans la cuisine se faire une petite collation. Déjà vingt deux heures, l'épisode de l'enculage d'Audrey l'avait rendu vorace, il se fit un grand sandwich l'engouffra rapidement, termina par un reste de gâteau, s'enfila un grand verre de jus d'orange par dessus tout ça… Il allait nettement mieux, ses forces étaient revenues. Il se demanda ou Jean Yves et Nadine pouvaient bien être,  jeta un coup d'œil dans le salon, rien de ce côté… La porte de la chambre d'ami était ouverte, il la franchit, contempla le spectacle.

Ils étaient nus, dormant profondément, seule la position portait à équivoque, Nadine avait la bitte de Jean Yves dans la bouche, sa tête reposait sur son ventre. Il fixa du regard la chatte de la fillette, un liquide blanc coulait sur ses cuisses et ressortait de son bas ventre, Jean Yves lui avait donné sa dose… Il les laissa dormir, se glissa dans le lit à côté de Nadine, il avait une petite place sur le côté, pour l'instant cela lui suffirait. Il était très fatigué, la tension nerveuse toute la journée avait été horrible et continue, il ferma les yeux, s'endormit aussitôt.

Ils furent réveillés le matin de bonne heure à cinq heures… Des cris et des pleurs, c'était Audrey, Ils se rendirent tous les trois dans la chambre après que le docteur eu trouvé la clef…

Le spectacle était désolant la fillette était recroquevillée sur le lit, des spasmes de sanglots la secouait. Jean Yves et Nadine allèrent aussitôt vers elle pour la consoler. Le docteur lui prépara immédiatement une potion pour la calmer.

Il lui firent avaler le calmant puis décidèrent d'un commun accord de la faire coucher avec eux dans la chambre du docteur. Jean Yves la prit dans ses bras, l'emmena dans le grand lit, la déposa au milieu. Nadine se blottit aussitôt contre elle en la cajolant, Jean Yves et le docteur se couchèrent chacun à côté d'une fillette.

Audrey mit un certain temps pour se calmer. Au bout d'une heure tout le monde redormait, la fin du petit matin continua…

Le docteur se réveilla le premier, il était neuf heures. Il avait le corps d'Audrey serré contre lui, il respira son odeur de très près, ce parfum était propre au fillette de son âge. Mélangée avec celle du sperme, sublime odeur, douce, acide, épicée en même temps…

La fillette ne portait que sa nuisette, il descendit sa main sur son sexe, la laissa à l'emplacement du clitoris, chercha le petit bouton, le trouva avec difficulté,

il était complètement rentré. Il remit sa main à sa bouche prit de la salive avec ses doigts, retourna sur le con de la gamine, recouvra le petit bouton de salive.

Il appuya très légèrement, massa celui-ci pendant de très longues minutes.

Audrey dormait paisiblement, mais l'expression de son visage changeait peu à peu, se décrispant lentement, un sourire de contentement apparut même sur celui-ci. Jean Yves commença à émerger doucement de son sommeil.

Nadine dormait toujours le visage sur son ventre, mais elle n'avait plus la bitte dans sa bouche…

Quelques minutes après il bandait fort, la première chose qu'il fit fut de rouvrir la bouche de Nadine pour y remettre son sexe…

Il s'aperçut du manège du docteur titillant le clitoris de la nouvelle petite élue, cela lui donna envie de réactiver Nadine, il se mit à lui caresser le bout des tétons, fit coulisser sa pinne dans sa bouche. La fillette se réveilla en quelques minutes, toute surprise d'avoir un grand morceau dans la bouche…

La petite Audrey aussi se réveillait tout doucement, le docteur continuait son petit manège sur son clitoris depuis déjà une dizaine de minutes, il ressentait depuis déjà quelques temps la petite boule de chaire grossir sous ses doigts.

Elle ouvrit les yeux, aperçut Nadine avec la bitte de Jean Yves dans sa bouche. Audrey était consciente mais le calmant que lui avait donné le docteur quelques heures auparavant faisait encore son effet, elle était encore un peu dans les vaps… Le docteur décida d'exciter encore plus Audrey, se retourna, mis sa bouche au niveau du sexe de la gamine, elle même se retrouva avec la bitte du docteur au niveau de sa bouche. Le 69 était presque réussi, il se mit à lui sucer la chatte délicatement, sans oublier les petits coups de langue sur son clitoris.

Audrey fut surprise, mais c'était trop bon, elle venait de prendre la décision de se laisser faire, elle écarta les cuisses pour laisser rentrer la langue un peu plus loin.

Au bout de quelques minutes la fillette commença à trémousser le bassin et les fesses en gémissant tout doucement. Mais la bitte  était toujours offerte à la bouche de la gamine, le docteur appuyait, cherchant à lui entrouvrir celle-ci avec sa bitte, rien n'y faisait… Avec sa main il lui massa sa poitrine, tira fort le bout d'un de ses seins, la fillette cria, ouvrit la bouche… Le docteur en profita pour rentrer sa verge dans la petite bouche, la comblant aussitôt…

Elle ne pouvait plus la retirer, ne chercha pas non plus…

Il lui excitait trop la chatte et son clitoris pour qu'elle pense à autre chose.

 

 

 

Il la fouillait assez profondément avec sa langue, la petite adorait, son clitoris n'était jamais oublié, la fillette maintenant ondulait de la croupe, gémissant de plaisir, jamais elle n'aurait imaginé que cela aurait pu être aussi bon. La bitte du docteur était bien rentrée, coulissant dans la bouche d'Audrey. Il n'allait pas à fond dans la gorge, laissant la petite s'habituer à la fellation. Il demanda à Jean Yves si il pouvait mettre un doigt dans l'anus d'Audrey, pour l'exciter aussi par la… Le docteur aperçu en regardant par le côté, la main de Jean Yves se replier puis se diriger vers le soubassement de la petite fille, quelques secondes après la gamine était aussi comblé par son derrière. Le docteur prévint Audrey que quelque chose de liquide et de chaud allait sortir de sa bitte, qu'il fallait qu'elle boive tout sans en laisser, sinon elle serait punie très gravement. Il lui demanda si elle avait compris.

Entre deux gémissements il y eut une pose, ils entendirent comme un ronchonnement étouffé, c'était la réponse d'Audrey. Le docteur continua à lui lécher son minou et son clitoris, mais la pression dans ses couilles devenait insupportable, il lui dit tout haut et assez fort que la jutte allait sortir dans pas longtemps…

Il jeta tout dans la bouche d'Audrey, elle fut surprise, mais n'ayant pas le choix, elle avala le liquide chaud et onctueux. Nadine en entendant le bruit de la jutte mit son visage à côté de celui d'Audrey, regarda si sa petite copine avalait tout.

Nadine donna quelques coups de langue sur la bouche d'Audrey…

Le docteur comprit à temps que Nadine en désirait aussi, se retira d'Audrey.

Il avait vu juste car aussitôt Nadine lui happa la verge la mettant dans sa bouche. Elle eut quand même une ou deux giclées qu'elle avala de suite. Le docteur se remit sur le dos, demanda à Nadine de montrer à Audrey comment on nettoyait la bitte. La gamine instruisit la petite, les deux petites filles s'appliquaient maintenant à lui lécher sa verge pour la nettoyer.

Audrey en avait encore plein sur ses lèvres, Nadine lui dit de passer sa langue dessus pour tout lécher, tout avaler sans rien laisser…

Jean Yves avait une trique à tout casser, il fit comprendre au docteur qu'il se paierait bien Nadine. La fillette avait entendue, elle se mit tout de suite sur le dos en  attente. Jean Yves vint sur elle rapidement, la pénétrant par devant. Audrey regarda sa copine se faire besogner, elle n'en manquait pas une. L'éducation d'Audrey était commencée et pas mal partie du tout.

Jean Yves éjacula dans le vagin de Nadine, peu après et la fillette s'éclata, jouit en criant assez fort. Ils se reposèrent tous ensemble pendant un bon quart d'heure dans le lit, puis décidèrent de se lever pour aller déjeuner.

Nadine et Jean Yves préparèrent le chocolat, Audrey n'avait pas le moral, le docteur préféra lui donner un tranquillisant dans son jus d'orange…

 

 

 

 

 

Ils auraient bien écouter les informations, mais bien sur avec la petite à côté, cela posait un problème… Il déjeunèrent donc sur un fond musical choisit par Nadine, bonjour les CD… Vint le moment ou Le docteur confia Audrey à Nadine, elle allait s'occuper d'elle sans arrêt, il ne fallait surtout pas qu'elle la laisse seule un seul moment de la journée. Il lui rappela discrètement ce qu'elle lui avait promis, elle était toujours d'accord…

Les enfants allèrent se laver, après ils iraient jouer dans le jardin.

Le docteur et Jean Yves décidèrent chacun de leur côté d'écouter les différentes radio et flashs d'informations relatant peut-être la disparition d'Audrey.

Ils n'eurent pas longtemps à attendre… A onze heures pile Une radio locale relata la disparition de la gamine, elle avait disparue en allant se baigner, on avait retrouvé une partie de ses affaires sur la plage. Aucune éventualité n'était écartée, mais les enquêteurs privilégiaient la thèse de la noyade accidentelle, ils recherchaient le corps de la fillette. La mise en scène du docteur avait réussi, il faudrait attendre quelques jours pour être sur qu'il n'y ait pas de problème.

Ils continuèrent à écouter les différentes informations, toutes relataient l'affaire comme une tragédie de la mer, aucune ne parlait d'enlèvement. Jean Yves et le docteur se mirent d'accord pour qu'Audrey n'écoute pas la radio pendant quelques jours, jusqu'à ce que l'affaire soit oubliée par les médias.

Ils allèrent prévenir discrètement Nadine, le mieux était de débrancher toutes les radios et télévision, eux seules pourraient les allumer quand ils le désireraient.

Nadine fut d'accord pour les aider, elle ferait attention pour la radio…

La matinée passa rapidement,  les enfants s'ennuyaient un peu, il est vrai qu'il n'y avait pas beaucoup de jeux dans le pavillon, à part la balançoire dans le jardin, rien n'était vraiment prévu pour les enfants. Le docteur eut l'idée d'aller acheter des jouets dans un magasin, il en parla à Jean Yves qui renchérit et lui dit qu'il faudrait aussi une piscine, pour les gamines se serait super…

L'idée lui plut aussi. Le seul problème étant qu'il ne pouvait pas y aller tous les quatre. Il n'était pas question de faire sortir Audrey, du moins pour l'instant.

 

 

 

                            Les courses et le god de Nadine

 

 

 

Le docteur demanda à Jean Yves si il voulait bien garder Audrey, pendant ce temps il ferait des emplettes avec Nadine. Il faudrait aussi acheter des provisions, car elles s'amenuisaient… Jean Yves lui assura qu'il était d'accord , qu'il n'y aurait pas de problèmes.

Le docteur alla préparer quelques accessoires, prévint Nadine qu'ensemble ils iraient acheter des jouets et faire des courses en début d'après-midi.

La gamine se réjouit aussitôt, il crut voir un rictus de contentement sur le visage d'Audrey.

Vers treize heures le docteur et Nadine montèrent dans la voiture, la grande ville était distante d'environ cinquante kilomètres… Il faisait très chaud, le soleil tapait fort, sa voiture n'avait malheureusement pas la climatisation.

Nadine portait sur elle son éternelle jupette, tee-shirt, lui en short blanc,  chemisette légère. Cette tenue légère ne les empêchaient pas de transpirer…

En roulant il discutèrent de choses et d'autres. Au bout de cinq minutes, il lui dit qu'il essaierait bien sur elle un accessoire qui lui permettrait de corriger sa façon de marcher, beaucoup de femme utilisait cette méthode qui donnait de l'allure à la démarche ainsi que beaucoup de plaisir. La gamine fut intriguée, lui demanda ce que c'était.

Il s'arrêta à l'orée d'un bois, prit le sac qu'il avait emmené avec lui, en sortit un god. Il avait la forme d'un phallus sans couilles d'environ dix  centimètres se terminant par un morceau de caoutchouc épousant la forme de l'entrejambe, cette dernière particularité, l'empêchait de rentrer plus à fond dans le trou du cul…  Plus petit qu'un god, l'anus piquet était prévu pour rester dans le fondement tout en vaquant à ses occupations. Le diamètre de l'engin était quand même assez conséquent, environ quatre centimètres. Pour le trou du cul d'une petite fille de neuf ans, celai faisait beaucoup…

Il lui expliqua qu'avec cette bitte dans le postérieur, les femmes étaient obligées de marcher plus droite en cambrant les reins, ce qui leur donnaient une allure super, flattant leur croupe, en plus cela leur donnait du plaisir pendant de longues heures, car la bitte les excitaient pendant qu'elles marchaient.

La fillette comprit tout de suite que le docteur voulait lui faire essayer la bitte…

Il lui proposa d'aller s'étendre sur la banquette arrière, de l'attendre en repliant ses jambes. Nadine descendit de voiture, ouvrit la portière, s'étendit sur la banquette arrière. Il vint la rejoindre avec son god, la gamine avait  les jambes en hauteur reposant  sur le haut des sièges.

Il fit glisser sa petite culotte sous ses fesses…

Elle avait les cuisses complètement écartées, sa chatte et son cul offerts.

 

 

Il sortit de sa poche un tube de vaseline, en recouvrit le god, puis en mit une petite noisette sur l'orifice de son anus, fit pénétrer la pommade dans le conduit à l'aide d'un doigt. Il amena le god sur l'orifice étoilée de la fillette, commença à forcer son petit trou du cul. Ses chairs se distendirent un maximum, l'engin cherchait son chemin, séparant de plus en plus les deux magnifiques petites fesses, appuyant à fond sur la petite corolle…

Le bout de l'engin fut avalé d'un coup…

Nadine, les stigmates de la douleur sur son visage avait mis une main dans sa bouche, la serrant très fort avec ses dents pour ne pas hurler de douleur…

La petite enculée avait eu très mal, sa respiration s'était accélérée, elle fixait intensément les yeux du docteur, il s'en aperçut. Il lui dit aussitôt que le plus dur était passé mais qu'il fallait qu'elle soit enculée à fond pour pouvoir jouir un maximum…

Il poussa l'appareil dans son fondement, jusqu'à la gorge prévue à cette effet qui,  se refermant sur l'anus, vint épouser parfaitement les formes de celui-ci, l'empêchant de ressortir.

Il tira un peu sur l'engin en caoutchouc, le sphincter de son trou du cul remplissait bien son office, empêchant le god de ressortir. Même en marchant il ne pouvait pas se retirer tout seul…

Il l'embrassa, la réconforta pour son courage, lui remit sa petite culotte, puis lui demanda de se lever et de marcher un peu. Nadine se redressa doucement, se remettant sur ses deux pieds elle fit quelques pas maladroitement. La queue l'écartait un maximum, elle était obligée de tirer sur ses fesses pour avancer d'une façon correcte. Il lui demanda de se rasseoir sur le siège avant.

Avec précaution elle se glissa à côté de lui, raidit ses jambes pour ne pas appuyer complètement ses fesses sur la banquette. Le docteur l'en dissuada, lui donna l'ordre de s'asseoir normalement pour bien ressentir l'engin dans son petit cul, ce qu'elle fit tout de suite… La petite ouvrit les yeux plus grand lorsque l'anus piquet rentra encore plus profondément dans son derrière…

Par peur elle maintenait ses cuisses serrées, il lui demanda de les écarter en grand… Elle le fit et fut empalée à fond par le machiavel engin…

Pour finir, il lui demanda de faire onduler ses petites fesses doucement en levant ses jambes, les écartant au maximum, que ses pieds ne reposent plus sur rien…

Il la regarda exécuter ses ordres, la petite fille était dans la position la plus érotique qui soit, enculée à fond, assise, cuisses en l'air écartées et soumise…

Que pouvait il demander de plus…?.

Il trouva la réponse rapidement. La faire jouir…

Amener sa main droite sur sa petite culotte fut un jeu d'enfant. Son doigt parcourut le sillon de sa fente, rentrant délicatement un peu de tissu dans son intimité, s'attardant sur le petit clitoris, le titillant délicatement, redessinant sa fente de haut en bas, puis de bas en haut…

Ses jambes grandes ouvertes en hauteur durent la fatiguer un peu, elle calla ses pieds, l'un sur le côte de la portière, l'autre sur le tableau de bord.

 

Elle appréciait tellement les caresses qu'elle ferma les yeux…

Les caresses durèrent plus de cinq minutes, ce qui devait arriver arriva. Sa fente s'humidifia, mouillant le devant de sa petite culotte. Il redoubla d'attention pour les titillement de son clitoris qui devint de plus en plus volumineux.

Elle gémit une première fois. Il choisit cet instant pour glisser ses doigts sous le tissu de la petite culotte, c'était tiède et humide à souhait… Il rentra un doigt dans son vagin, c'était chaud et tout mouillé…

Il l'excita encore pendant près de cinq minutes, elle jouissait…

Il retira son doigt sans prévenir, il ne voulait pas qu'elle ait un orgasme maintenant… Il lui dit simplement : " Tu vois c'est bon ma puce, on continuera tout à l'heure…".

La petite un peu frustrée remit ses jambes dans une position plus adéquate pour une petite fille de neuf ans passagère d'une voiture…

Ils reprirent la route, arrivèrent au parking des Fleuréals vers quatorze heures.

Prirent un caddie. Nadine marchait à ses côtés remuant son bassin avec un certain charme, de l'érotisme émanait de sa démarche. Certains hommes la dévisageait et regardaient sa croupe onduler, se demandant pourquoi la fillette avait cette démarche…

Au début Nadine semblait un peu ennuyée par le god, au bout d'une demi-heure de marche elle s'y était fait. Lorsque le docteur lui demanda si cela allait, la fillette agacée mit un point d'honneur à lui confirmer que tout allait bien.

Il regarda ses yeux, s'aperçut que ses pupilles étaient brillantes, elle devait ressentir une certaine jouissance, elle était complètement en émoi…

Ils trouvèrent tout ce qu'ils désiraient, même une piscine de cinq mètres de diamètre en tôle galvanisée. Les jouets, ainsi que différents jeux de société furent  choisis par Nadine. Il n'y avait pas assez de place dans le caddie, Nadine partit rechercher un autre.

Le docteur s'arrêta au rayon sous-vêtement féminin, choisit trois ensembles assez coquin. Il prit la plus petite taille possible, demanda si cela plaisait à Nadine. La fillette rougit un peu, avant de lui faire un signe de tête affirmatif...

Il sélectionna aussi trois petites nuisette très courtes de couleur différentes.

Au rayon enfant, il n'oublia pas deux maillots de bain, taille 10 et 12 ans.

Vers seize heures ils ressortirent du magasin, le docteur avait payé une sacrée addition, mais il s'en foutait un peu, le bonheur de ses filles passait avant tout…

Il téléphona à la maison à l'aide de son portable, Jean Yves décrocha tout de suite, tout allait bien, Audrey pour l'instant dormait tranquillement dans un hamac du jardin, il la surveillait sans arrêt. Le docteur lui dit qu'il serait là dans la soirée, sans préciser d'heure. Ils chargèrent les courses dans le coffre et repartirent de suite. Pas besoin d'un magasin de jouets, ils avaient tout trouvé au super marché.

 

 

 

 

Ils roulaient depuis un bon moment, commençant à reluquer la minijupe de Nadine. Tout en conduisant il mit sa main sous la jupette de la gamine, glissa sous ses fesses jusqu'à ressentir la partie du god qui rentrait dans l'anus.

Il chercha à rentrer un doigt entre le god et son trou du cul déjà ouvert de quatre centimètres, c'était serré au maximum, mais il réussit en forçant à distendre ses chairs et à introduire le bout de son indexe…

Elle grimaça de douleur en l'implorant des yeux, il lui lança un regard de défi, comme pour montrer qu'elle était à lui, qu'il pouvait faire ce qu'il voulait avec…

Nadine se ressaisit rapidement, ne restant pas en reste, de sa main gauche elle palpa le tissu de son short au niveau de sa bitte de ses couilles.

Il bandait, ressentant une envie folle de lui rentrer sa queue dans son intimité.

Il chercha un coin pour s'arrêter en rase campagne, prit un petit chemin de terre, c'était calme, en plein milieu des champs. Il stoppa la voiture, ouvrit sa portière, demanda à Nadine de descendre, puis de venir le rejoindre de son côté.

Elle fit le tour, passa devant la voiture, se planta debout devant lui.

Il était toujours assis à sa place de conducteur, les pieds sur les pédales…

Sans rien lui dire, il la força à se plier en deux, de sorte qu'elle soit en position de fessée sur ses deux genoux, sa tête reposant sur le siège côté passager…

Ses jambes pendait perpendiculairement à son corps, en dehors de la voiture…

Il lui releva sa minijupe. Les deux mignonnes petites fesses enrobées par la petite culotte en dentelle apparurent à ses yeux, délicieux spectacle. Il baissa le petit morceau de tissu… Il contempla les deux belles petites pommes galbées et sculptées par Dame Nature… Et au milieu le gros god qui comblait le trou du petit cul...

Il n'en revenait pas, spectacle érotique, l'engin écartait ses toutes petites fesses, les faisant saillir encore un peu plus…

Il poussa un peu plus sur l'engin, à fond, puis tira légèrement dessus, juste pour le faire ressortir un peu. La gorge étroite de l'appareil redevint visible, il restait dans le cul un long morceau oblongue d'un diamètre de quatre centimètre à faire ressortir… Il jouit du spectacle, retirant très doucement le chibre en latex.

Il contempla l'anus se déformer, s'ouvrir petit à petit, deux, trois, puis le diamètre maximum de l'anus piquet, quatre centimètre. Avec sa main il le retenait pour que l'anus reste ouvert au maximum. Aussitôt qu'il le relâchait un peu le god rentrait à nouveau, ou cherchait à ressortir tout seul…

La petite enculée gémissait doucement, elle avait mal… Il s'en foutait, il ne se lassait pas du spectacle du trou du cul ouvert à la dimension d'une grosse pièce de monnaie. Il s'amusa de longues minutes, presque sans bouger l'appareil.

Puis subitement il le ressortit presque complètement, le rentra à nouveau jusqu'au diamètre maximum, l'enculage recommençait…

La fillette se mit à pleurer de douleur… Il continua le va et vient du chibre en latex de sa main droite, positionna ses doigts de la main gauche sur sa chatte offerte, l'index directement dans son vagin, la salope mouillait énormément…

 

 

 

Il besogna les deux côtés en même temps, titillant son clitoris à chaque passage.

Au bout de quelques minutes ses pleurs furent entrecoupés de gémissements de plaisir, il retira complètement le god de son trou du cul. Aussitôt la gamine respira à fond de soulagement. Cela ne dura pas longtemps, l'engin se mit en position à l'ouverture de son vagin… Il le poussa à fond…

Sa chatte fut comblée à fond tout de suite, sans douleur, les lèvres de son sexe se refermèrent et emprisonnèrent l'engin…

Il remit Nadine debout, lui demanda de s'asseoir sur ses jambes, le visage vers la vitre. Elle l'enjamba, à califourchon, se plaça juste au dessus de sa bitte en érection. La gamine fit attention, posa son anus juste sur l'extrémité de sa verge.  Elle redescendit doucement son corps, se laissant empaler le trou du cul.

De sa main droite le docteur toucha doucement le god enfouit dans sa chatte.

Il commença à le déplacer pour le faire aller et venir dans son vagin.

La fillette gémit plus fort, puis se laissa aller de tout son poids, son petit cul s'ouvrit encore plus, elle s'empala sur sa queue. La petite fille était enculée à fond, appuyant sur ses couilles.

Il continua le besognage de son minou avec le god, ressentit que la gamine avait envie de jouir, elle était trop excitée. Pendant une heures son trou du cul avait été comblé par la verge en latex. Maintenant sa chatte, elle n'en pouvait plus… La petite salope s'aidait d'elle même avec ses bras, s'accrochant, tirant sur le volant de la voiture, elle montait et descendait, coulissant sur la queue…

Elle adorait être sodomisée, surtout quand en même temps on lui travaillait sa petite chatte. Avec sa main libre il lui travailla les seins, tirant fortement sur les tétons, la petite perdit toute notion de réalité gémissant très fort.

L'orgasme qu'elle eut la fit jouir avec une extrême violence, elle hurla en même temps qu'elle fut secoué par des décharges dans son bas ventre.

Voyant cela il ne put se retenir, il éjacula et jouit aussi dans son petit cul.

La petite enculée se fit irriguer l'intérieur par de longs jets chauds de sperme.

Elle adorait, remuant son bassin, le faisant onduler, cambrant ses reins au maximum pour mieux ressentir les décharges de sperme…

Vidé, il attendit quelques minutes, savourant ces instants paradisiaques, retira le god de sa chatte, souleva la petite, lui demanda de se retourner vers lui.

Elle changea de position, se retourna, comprit d'elle même s'empalant la chatte sur sa queue. Il l'embrassa longuement, lui fouilla la bouche avec sa langue. Nadine fondit de plaisir, s'abandonna, ouvrit à fond les cuisses,  poussa de tout son corps pour ne pas perdre un centimètre de queue dans son bas ventre.

Avec ses deux main il écarta ses petites fesses, son trou du cul s'ouvrit  laissant ressortir une bonne partie de la jutte qu'il lui avait mise quelques minutes auparavant.

Il en ramassa le plus possible avec ses doigts, la ramena sur le visage de la petite fille, lui fit lécher toute le sperme qu'il avait ramassé…

Elle savourait méticuleusement, sans en laisser, décidément elle adorait la jutte.

Il lui demanda de sucer sa queue pour la nettoyer. Elle se dégagea, s'agenouilla entre ses cuisses pour commencer son travail de lèche.

Pendant cinq bonnes minutes elle lui "prodigua ses soins", ne fut satisfaite que lorsqu'elle ressentit sa bitte toute molle dans sa bouche, elle n'avait plus rien à avaler.

Le docteur en gros dégueulasse qu'il était eu un phantasme, il pensa lui faire goutter le sperme d'une dizaine de mec, l'un après l'autre. Il adorerait regarder le spectacle, la voire leur vider les couilles, elle se goinfrant de jutte pendant qu'ils la mettrait dans toutes les positions. Il faudrait qu'il l'amène un jour sur un chantier de travailleur pour la faire besogner par tous, c'était faisable, il y penserait…

Il reprirent la route pour rentrer à la maison. Nadine était épuisée, elle dormit pendant une bonne partie du trajet, se réveillant juste lorsque la voiture s'arrêta. Ils étaient arrivés, rejoignirent Jean Yves et Audrey dans la cuisine, ils finissaient de dîner en écoutant un C.D. de musique.

Nadine mit tout de suite sur la table les jouets et différents jeux de société achetés l'après-midi. Audrey n'était pas encore très épanouie, mais cela allait quand même un peu mieux qu'hier. Elle participa, aidant à retirer les papiers et rubans des paquets cadeaux. Un petit quart d'heure après, le docteur et Nadine se mirent à table aussi pour se restaurer un peu.

Le dîner fut rapidement envoyé, Le docteur demanda à Nadine de jouer un peu avec Audrey dans le salon. La première chose qu'ils firent dès qu'ils furent seuls fut d'allumer la télévision. Il était 19h 30, les actualités régionales n'allait pas tarder à commencer. Ils attendirent 10 minutes avant que l'affaire soit relaté comme un fait divers atroce, une fillette s'était noyée en se baignant, on recherchait toujours son corps, à en croire le présentateur, un autre gamin du même âge avait disparue dans les mêmes circonstances 3 ans auparavant, on ne l'avait jamais retrouvé… Le présentateur termina en précisant que la marée à l'endroit de la disparition avait tendance à emmener tout objet vers le grand large. Selon l'avis des enquêteurs le corps de la gamine ne serait peut être jamais retrouvé…

Le docteur poussa un ouf de soulagement, dans quelques jours l'enquête serait classée, ils pourraient respirer un peu mieux.

Souriant ils rejoignirent les gamines dans le salon. La soirée passa entre les jeux, la lecture et les questions des enfants. Le docteur leur dit que demain ils monteraient la piscine avec Jean Yves, qu'ils allaient pouvoir s'amuser à barboter dans l'eau. Vers vingt trois heures trente il ordonna aux filles d'aller se coucher, cette nuit elles dormiraient dans la chambre d'amie, du moins tant qu'ils n'auraient pas besoin d'elles… Il demanda à Nadine de bien surveiller Audrey,  lui dit doucement à l'oreille que si elle en avait envie, elle pouvait l'éduquer et faire ce qu'elle voulait avec, mais surtout pas lui faire du mal…

Nadine sourit, s'empressa de dire bonsoir. Ils leurs firent à toutes deux un bisous sur la bouche, les fillettes allèrent se coucher.

 

 

 

La casse de voiture et le ferrailleur II

 

 

 

 

 

Le docteur parla à jean Yves d'un autre projet qui lui tenait à cœur, lui expliqua comment le ferrailleur avait baisé Nadine…

Selon lui il y avait certainement beaucoup d'autres mec qui paierait très cher pour baiser une fillette, ou seulement se laisser faire une pipe par une petite fille.

En plus cela pourrait  perfectionner l'éducation des gamines…

Jean Yves donna son avis, au point ou ils en étaient,  après le rapt, ils ne craignaient rien de plus. Et puis si cela pouvait ramener beaucoup d'argent…

Le docteur continua … Si c'est bien fait, nous pouvons créer un réseau par Internet, les gens viendront de très loin pour goutter nos gamines, et pourquoi pas nos gamins…

Ce qui voudrait dire, lui répondit Jean Yves, kidnapper d'autres enfants ?.

Pourquoi pas lui rétorqua le docteur… Oui pourquoi pas ajouta Jean Yves…

Bon on va déjà essayer de faire venir quelques personnes, déjà propose Nadine et Audrey, on verra bien si elles veulent se laisser faire et prendre beaucoup de bittes. De toute façon répondit Jean Yves, si une fillette ne veut pas faire la petite putte, on l'obligera bien à se laisser faire…

Ils discutèrent un bon moment, de toute façon ils étaient d'accord pour monter leur bordel…

Quelques temps après, fatigués d'avoir fait autant de projets ils allèrent se coucher. Il était 0h 30, ils éteignirent la lumière, s'endormirent rapidement.

Ils furent réveillés vers 7 heures du matin par Nadine et Audrey, les gamines tenaient à rentrer dans leur lit pour s'amuser… Nadine était toute contente, elle avait réussi en une nuit à convaincre Audrey qui fallait être docile, ceci pour apprendre beaucoup de chose… Les garçons leurs firent une place au milieu du lit. Les deux hommes demandèrent à Audrey si elle voulait se laisser faire sans problème, la fillette regarda Nadine en rigolant, baissa aussitôt les yeux en rougissant un peu. Elle avait déjà prit des pinnes dans la chatte et dans le cul,   elle voulait certainement en apprendre un peu plus, elle savait déjà comme c'était bon quand la bitte rentrait... Nadine lui avait parlé, ils le voyaient bien…

Le docteur demanda à Jean Yves et Nadine, si ils étaient d'accord pour honorer et faire jouir Audrey ensemble, c'est à dire la baiser à trois…

 

 

 

Bien sur ils n'attendaient que ça…

Ils commencèrent à soulever la nuisette d'Audrey, les six mains caressèrent son petit corps, aucune partie ne fut oubliée. Elle avait les seins sensibles, ses tétons étaient encore très rougis par l'épisode des pinces à seins de la dernière séance.

Le docteur se mit entre ses cuisses, lui lécha longuement son petit minou.

Jean Yves ne put résister, lui mit sa bitte dans sa bouche, tandis que Nadine trouvait beaucoup de plaisir à lui caresser le bout des seins, surtout ou c'était un peu irrité et rougis… Peu après le docteur lui demanda de se retourner, puis de se mettre à genoux, il entreprit de lui lécher son petit trou du cul, rentrant sa langue dans son anus. Jean Yves se mit devant elle, rentra à nouveau sa queue dans sa bouche. Elle se laissait faire avec une certaine satisfaction, en aucun cas elle n'aurait voulu que cela cesse, mais elle était maladroite et suçait mal la bitte.

Le docteur demanda à Nadine de montrer à Audrey comment on faisait une fellation à un mec, aussitôt la fillette dit à Audrey d'arrêter et de regarder comment il fallait faire. Nadine s'approcha de la pinne de Jean Yves, l'engouffra dans sa petite bouche. Elle lui travailla la queue en experte pendant quelques minutes, s'arrêta, puis dit à Audrey, à toi maintenant…

La fillette avait compris et fit honneur à la belle bitte bien droite qui était dans sa bouche. De son côté, le docteur retira sa langue de son cul, changea sa position, appuya sa queue sur la petite corolle de son anus, la petite fille s'ouvrit complètement d'elle même. Le gland rentra doucement écartant le trou du cul de la gamine. Elle se mordit les lèvres mais se laissa enculer… Elle avait un postérieur magnifique, il mit une main sur chaque fesse écartant assez fortement chaque côté, les deux lobes s'ouvrirent encore plus, il en profita pour pousser sa bitte plus à fond dans l'orifice anale. Elle gémit fortement…

Le docteur adorait enculer des fillettes, il fallait les initier très tôt à la sodomie, une fois suffisait, après les gamines en redemandaient toute leur vie…

Jean Yves faisait toujours coulisser sa queue dans sa bouche, à voir les gémissements qu'il faisait, il allait bientôt juter dans la bouche d'Audrey.

Nadine comprit qu'il ne pouvait plus se retenir, elle prévint Audrey qu'elle allait recevoir son jus dans sa bouche, elle lui dit aussi qu'il faudrait qu'elle avale tout, comme elle même le faisait. Et comme le docteur lui avait dit de faire…

Jean Yves explosa dans sa bouche, la petite fille fut surprise, chercha à se libérer de la queue, voyant cela il lui poussa un peu plus sa verge au fond de la bouche en continuant à la remplir. Elle n'avalait pas, la jutte restait dans sa bouche. Nadine lui fit remarquer qu'il fallait qu'elle avale tout au fur et à mesure.

Sa bouche était pleine, elle comprit qu'il fallait qu'elle ingurgite tout sinon elle allait s'étrangler… Elle déglutit enfin, les gorgées se succédèrent, son estomac reçut une bonne dose de liquide chaud. Il fallait lui apprendre à aimer la jutte, le docteur en profita pour lui dire de savourer la liqueur, de la faire tourner avec sa langue avant de l'avaler. La petite Audrey s'exécuta, elle deviendrait comme Nadine, c'était sur une bonne petite pompeuse de jutte…

 

 

 

Le docteur l'enculait toujours, lui aussi arrivait au summum de la jouissance, il éjacula aussi, la petite ressenti la jutte chaude se répandre par jets successifs dans son derrière. Elle bougea son petit cul, le fit se trémousser pour faire comprendre à tous qu'elle avait bien senti… C'était idéal, la petite fille avait reçu ses deux jutes, ceci sans qu'on touche à sa chatte. Elle aimait recevoir par le cul et par la bouche, ce qui voulait dire qu'elle allait devenir une petite vicieuse au même titre que Nadine. Ils allaient pouvoir les faire remplir de jutte par beaucoup d'hommes, par le trou qu'ils choisiraient eux mêmes… Ils se levèrent, déjeunèrent vers 9 heures. Une partie de la matinée fut occupée par Jean Yves et les deux gamines à monter la piscine. De son côté le docteur s'occupa de ses affaires, donna quelques coups de téléphone, dont un au ferrailleur qu'il connaissait :

-   Allô, Mr Lantier, 

-   Oui, lui même

-   Bonjour Monsieur, Vous ne me connaissez pas réellement, enfin nous nous sommes vu l'autre fois à votre casse… La petite fille serait d'accord pour recommencer et même faire mieux, ça vous intéresse ?

L'homme resta silencieux une bonne dizaine de secondes.

-   Faut voir, si c'est faisable pourquoi pas…

L'homme avait saisi la perche, de l'avis du docteur il ne la lâcherait pas de sitôt.

Le docteur continua :

-   On est en train de créer un petit club, des Monsieurs qui aiment çà… Si vous étiez intéressé, on vous ferait des conditions exceptionnels… Même qu'à chaque fois que vous amèneriez un adhérent nouveau vous auriez un super bonus gratuit pendant quelques semaines… Déjà comme vous avez été très correcte, vous avez droit à une deuxième fois gratuite, disons 2 heures gratuites, ça vous va ?.

Il continua, vous voulez qu'on vous l'amène quand ? .

L'homme saisit la balle au bond :

-   Cet après midi, j'ai rien à faire, c'est faisable ?

-         C'est d'accord pour cet après-midi ok, vers 14 heures. Le docteur précisa : "

-         Attention fringues propre, comme tous nos clients, lavé et sentant bon ".

-         On sera donc trois avec moi, cela vous dérange ?.

-   Non mais je pourrai faire ce que je veux ?

-   Tout ce que vous désirez… ok.

-         Vous aurez des amis qui seraient intéressés pour d'autres fois ?.

-         Faut que j'en parle, mais j'en connais un qui attend que ça

-         Bon en en reparlera tout à l'heure, au fait on fera ça dans la caravane ?

-         Oui comme l'autre fois

-         Bon je vous laisse à tout à l'heure Mr Lantier

Le docteur raccrocha. Il était heureux, il allait refaire monter Nadine par ce mec encore une fois, cela l'excitait bigrement.

Il alla les rejoindre dans le jardin, la piscine était montée, un tuyau d'arrosage était en train de la remplir. Il dit à Jean Yves: " on a notre premier client, le ferrailleur veut recommencer avec Nadine ". Jean Yves se marra…

Il appelèrent Nadine qui accourut aussitôt, le docteur lui dit : " Nadine on a un client ferrailleur qui veut recoucher avec toi cet après-midi, tu vois qui ? ".

Nadine sut tout de suite qui c'était et dit : " Mais il a un tout petit zizi lui ! ".

Ils pouffèrent de rire… Ils continuèrent à lire le descriptif de la nouvelle piscine.

Il faudrait attendre pour l'utiliser, le remplissage de 15 mètre cube d'eau demandait un certain temps…

Le docteur partit avec Nadine à 13h30, il laissèrent seuls Jean Yves et Audrey, se dirigèrent vers la casse de voiture, il fallait faire environ 30 Kilomètres.

Il avait fait mettre à la petite fille un slip de dentelles rouge, une minijupe en tissu très léger. Il avait prit dans un petit sac le parfait nécessaire de la petite salope. Une des petites tenue de soirée qu'ils avaient achetés ensemble l'autre fois. Une petite nuisette, un anus-picket gonflable, Un petit fouet à lanières en cuir, de la vaseline, un god vibrant, une paire de menottes, et bien sur sa petite trousse médical contenant son matériel indispensable pour faire des piqûres…Avec une petite ampoule d'opium, et une autre d'un tranquillisant il était paré à toutes éventualités.

Ils arrivèrent sans encombre, le gars les attendaient, il referma le portail à clefs derrière eux dès qu'ils les eut fait rentrer dans la cour.

L'homme n'était plus en bleu de travail, il portait un short bleu et un tee-shirt blanc à motifs orange et vert. Sans rien dire, il serra la main du docteur, puis celle de Nadine. La gosse baissa les yeux en rougissant un peu. Ils les emmena directement dans la caravane, referma la porte à clefs derrière lui. Il ouvrit la bouche pour dire qu'il était d'accord. L'homme s'était assis sur un canapé, Nadine se trouvait en face de lui. C'était normalement un emplacement qui servait pour déjeuner dans la caravane, mais la table avait été dévissé du sol , il restait les deux banquettes l'une en face de l'autre. Le docteur dit à Nadine d'aller s'asseoir à côté du Monsieur, elle hésita un instant, puis rapidement se retrouva à côté de lui. L'homme n'hésita pas un instant, il mit sa main droite sur le tissu de la minijupe au niveau de sa cuisse et la caressa doucement. Nadine savait qu'elle devait se laisser faire, dans tous les cas,  lui avait dit le docteur… Puis sa main passa délicatement sous le tissu,  se dirigeant vers l'entrejambe de la petite fille. Nadine d'elle même écarta ses cuisses pour que l'homme puisse toucher mieux sa petite culotte.

Il caressa sa petite fente sur le tissu un moment, il retira sa main et demanda à Nadine de se mettre debout, ce qu'elle fit aussitôt. Il la fit se retourner, lui demanda d'écarter les jambes au maximum, la petite se mit dans la position souhaitée. Il caressa son petit cul avec une main, l'autre passa par devant et entreprit de masser sa petite culotte et par la même sa petite fente. Le manège dura quelques minutes, puis s'aidant de ses deux mains, il baissa sa petite culotte jusqu'au milieu de ses cuisses, puis lui demanda de se retourner.

 

 

 

Nadine était maintenant serré contre lui, les yeux baissés, elle n'osait pas le regarder, elle ressentait sa petite culotte qui la serrait aux milieu des cuisses, elle ne savait pas ou il voulait en arriver.

Il lui dit de s'agenouiller entre ses jambes, ce qu'elle fit immédiatement, lui demanda de retirer les boutons de son short puis de baisser celui-ci. Il l'aida dans sa besogne, le slip blanc à bandes bleues lui apparut… Le docteur regardait, de plus en plus l'excitation montait en lui, il retira son short aussi, se caressa la bitte devant eux. Le slip était juste devant la bouche de la petite fille. L'homme lui prit la tête dans ses mains, amena sa bouche sur le tissu, en lui demandant de sortir sa langue et de lécher. Nadine était volontaire, la gamine ne mit aucune mauvaise volonté. Il laissa mouiller complètement le devant du tissu par sa salive pendant quelques minutes, tout à coup il lui demanda d'ouvrir sa bouche en grand. Elle ouvrit ses lèvres, une seconde après la gamine recevait la bitte du Monsieur. La petite fut un peu surprise, mais pas longtemps, elle se mit à piper l'homme avec une technique que des puttes professionnels auraient enviées.

Elle faisait ça très bien, lui caressant les couilles avec ses doigts en même temps. L'homme assis se détendit, allongea ses jambes pendant que Nadine lui faisait la plus belle fellation qu'il n'ait jamais eu. Le docteur vint s'agenouiller derrière la fillette, d'une main il commença à fouiller le sac ramener de la voiture, mit tous les accessoires par terre. L'homme fut tout de suite attiré par un objet qu'il ne lâchait plus du regard. Le petit fouet aux 5 lanières en cuir, ce gros "con de salaud" avait envie de fouetter la petite fille. Le docteur réfléchit, après tout une bonne correction bien appliquée était assez érotique, cela ne ferait pas trop de mal à Nadine, encore que…Vaudrait mieux qu'elle ne s'en souvienne pas. Nadine ne remarqua pas le docteur préparer la seringue de somnifère hypnotique derrière elle, elle ne vit pas non plus l'aiguille rentrer dans une veine de sa jambe droite. Elle ressentit juste la piqûre, retourna son visage vers le docteur qui la rassura, et lui dit aussitôt de se laisser faire. Tout se brouilla rapidement dans sa tête, ses forces l'abandonnèrent en une minute… Il en profita pour lui retirer complètement sa petite culotte.

Nadine était consciente, elle le resterait pendant tout la séance, en état de léthargie, elle serait soumise ressentant tout ce qu'ils allaient lui faire.

Après elle dormirait, à son réveil tout serait oublié, ou presque…

L'homme ne savait pas que le docteur avait anticipé ses désirs et allait lui permettre de réaliser ses fantasmes. Il remit sa bitte dans la bouche de Nadine. Le docteur lui donna le fouet dans la main, lui dit qu'il pouvait y aller… L'homme n'en crut pas ses yeux, prit le manche, jongla avec l'objet, de contentement pendant quelques instants. Il retira sa queue de la bouche de la gamine, se leva. Nadine était toujours à quatre pattes, il regarda fixement son petit cul. Il leva le bras tenant le fouet, le rabattit d'un geste vif.

Les lanières cinglèrent en s'abattant sur les belles petites fesses roses de la fillette…

 

 

Elle ne s'y attendait pas et eut très mal, cria très fort, mais sans réellement vouloir bouger, elle était presque paralysé par le produit injecté.

L'homme en voulait plus, le docteur allait l'aider, il releva Nadine, la mit sur ses genoux, la tête en bas, les cuisses écartées.

Il fit signe à l'homme de recommencer…L'homme frappa nettement plus fort que la premières fois, visant le bas du bassin de la gamine. Les lanières s'abattirent sur le cul et une partie seulement du bas ventre de Nadine, elle hurla de douleur. Le docteur avait compris, l'homme cherchait à la fouetter sur sa chatte, si possible dans le sens de l'ouverture des grandes lèvres de son sexe. Mais pour cela il fallait changer de position, lui ouvrir les jambes, les tenir écartées. Il déplaça donc Nadine, l'allongea sur le dos dans le grand lit de la caravane, il se mit à califourchon sur elle. Ses pieds immobilisaient ses mains,

il lui releva les jambes en hauteur, écartant ses cuisses au maximum, la chatte offerte, ouverte en grand… Les lanières s'abattirent juste à l'endroit qu'il fallait, elles cinglèrent ses lèvres dans le bon sens avec une force incroyable.

La petite fille hurla de douleur, l'homme était de plus en plus excité, cela le faisait bander très dur, sa queue était devenue beaucoup plus grosse que la fois précédente.

Le docteur regarda la chatte de Nadine, rien de bizarre encore, ses chaires étaient rougis mais normales, il autorisa l'homme à recommencer. L'homme s'appliqua à viser juste, il frappa ou il fallait, les lanières cinglèrent sur sa fente, ouvrant les grandes lèvres de sa chatte. La fillette hurla de douleur, elle n'arrêtait plus de crier, des hurlements entrecoupés de sanglots…

Le docteur regarda l'état de ses lèvres, elles étaient rougis et tuméfiés, de grandes marbrures violettes étaient apparus sur son bas ventre.

Le docteur joua un peu avec ses morceaux de chairs, les bougeant avec un doigt. Une des grandes lèvres de son sexe était presque à vif…

Il prit avec deux doigts de chaque main chacune de ses lèvres, les tira au maximum de chaque côté, laissant découvert complètement le vagin et sa belle couleur rose, puis il retira ses mains…

Il lança un regard à l'homme, lui dit calmement :

" Encore cinq coups moyennement fort, lèvres ouvertes, là elle va jouir…".

L'homme exultait… Le coup arriva avec une violence inouïe.

Les cinq lanières avaient lacérés l'intimité de la petite fille, l'entrée du vagin, le clitoris, les lèvres du sexe étaient devenus tout rouges…

La gamine ce criait plus, elle gémissait à la limite de l'évanouissement.

Les quatre coups suivants n'arrangèrent rien… Avant chaque coup de fouet, le docteur tirait à nouveau sur les lèvres du sexe pour bien dégager l'orifice vaginal.

Ils contemplèrent leur travail… Ses lèvres étaient boursouflées, elle saignait un peu, le liquide rouge rentrait à l'intérieur du vagin…

Le docteur fit signe à l'homme d'arrêter avec le fouet, il lui dit que si il voulait il pouvait la pénétrer. L'homme ne se fit pas prier, vint entre ses cuisses.

Le docteur la maintenait toujours écarté en grand. Le type appuya le gland de son sexe sur les lèvres tuméfiées et sanguinolentes de Nadine.

Il appuya à peine, le con de la fillette avala la pinne du con de mec…

Le sang lubrifiait très bien, le bruit de la bitte rentrant puis ressortant du vagin était unique, la petite chatte était gorgée de sang…

Nadine devait être évanouie, elle ne réagissait plus du tout, se laissant bitter.

Le docteur prit son pouls, le cœur battait vite mais normalement.

L'homme la travailla cinq bonnes minutes avant d'éjaculer en elle.

Nadine ne bougeait toujours pas. Le docteur fit comprendre à l'homme que c'était à son tour de la remplir. Le mec laissa la place au docteur qui la prit par le même trou.

Il adorait mettre sa bitte dans une petite chatte qui était déjà remplie de jutte, cela rentrait mieux, on ressentait des sensations bizarres, l'odeur du sperme l'excitait encore plus… Mais là c'était encore meilleur, le sang faisait ventouse encore mieux, c'était génial…

Il juta cinq minutes après, le vagin de Nadine était tellement plein de sperme et de sang qu'il voyait le mélange rosé ressortir de son vagin en même temps qu'il la remplissait…Il resta quelques temps en elle pour goutter toutes les sensations puis se retira enfin, épuisé mais ravis…

L'homme fit du café, en proposa au docteur, ils s'assirent et discutèrent pendant que la fillette gisait inconsciente sur le lit.

 

 

                                                 Les tarifs

 

 

 

Le docteur lui fit lire une feuille sur laquelle étaient indiqués les tarifs de l'association :

Pour une fillette :

-   500 Fr pour une pipe et caresses ( maximum ½ heure )

-   1000 Fr pour le baisage par la chatte ou pour l'enculage ( maximum 1 heure )

-   Forfait pour 2 heures, comprenant toutes les spécialités en haut 2000 Fr

-         Forfait sado-maso 4 heures comprenant les accessoires + le fouet  3000 Fr

-         Forfait 1 nuit comprenant toutes les spécialités en haut  5000 Fr

-         Forfait fantasmes + 1000 Fr dans tous les cas.

 

-    Location d'une maison une nuit minimum + 1000 Fr + 1000 Fr jour supplémentaire.

-         Pour deux fillettes en même temps :

-         Tous les forfaits d'en haut majoré de 1000 Fr

-         + 1000 Fr par enfant supplémentaire.

Dans tous les vacations et forfait du haut  une personne de l'association sera présente pendant les ébats. Si obligation de laisser seule la personne + 1000 Fr

 

Pour les forfaits d'en bas, l'enfant est confié à la personne sous sa responsabilité, une caution de 50000 Fr en espèce sera demandé et restitué lors de la reprise de l'enfant.

-         Pour le Week-end forfait un enfant 10000 Fr

-         Pour une semaine forfait un enfant 20000 Fr

-         Pour un mois forfait un enfant 30000 Fr

 

Pour les garçonnets même tarif ( ou panachage fillette garçonnets )

 

Vente de fillettes ou garçonnets cession définitive ( âge à préciser ) :

100000 Fr. 

 

Pour le parrainage : Chaque personne amenant un client aura droit au demi-tarif sur tout le catalogue pendant 1 an. ( ou équivalent en espèce ).

 

Pour toutes les demandes autres et spécifiques, une étude sera effectuée, les tarifs vous seront communiqués.

Tous les règlements se font en espèce avant la vacation.   

 

 

Le type parut très intéressé par les offres, il demanda comment on pouvait le contacter, au cas ou il aurait des demandes, ou si lui même…

Le docteur lui donna son numéro de portable, lui assura qu'il pouvait laisser un message si personne ne répondait. L'homme se dirigea une dernière fois vers le lit ou reposait Nadine, la caressa partout, lui écarta les cuisses, contempla son œuvre. Elle était bien marquée des stries rouges recouvraient son bas ventre.

Les saignements s'étaient arrêtés, juste des écorchures… 

Il la retourna, regarda intensément ses fesses blanches et sa chute de rein. Le galbe était parfait, il passa sa main sur son petit cul, elle avait la peau extrêmement douce. Il lui aurait bien fouetté se côté la aussi…

Le docteur prit Nadine dans ses bras, repartit vers la voiture. L'homme ouvrit le portail, regarda le véhicule s'éloigner avec un peu de nostalgie. Il venait de se rendre compte qu'il ne pourrait plus se passer de ces petits moments de folie et de saloperie. Bien sur il recommencerait, il ne savait pas quand, mais il été déjà sur qu'il téléphonerait pour avoir un autre rendez vous.

Le docteur rentra sans problème, la fillette était toujours dans les vaps.

Jean Yves s'étonna de voir la fillette dans cet état, le docteur lui répondit que ce n'était pas grave et qu'elle avait en un client difficile… Il l'emmena dans la salle de bain et lui fit prendre un bain, cela ramena doucement Nadine à la raison, elle se réveilla et eut énormément de mal à bouger, elle avait mal. Il l'installa sur le lit, lui fit une piqûre contre la douleur puis lui appliqua sur son bas ventre une pommade contre les hématomes, le saignement avait été occasionné par une écorchure à l'entrée du vagin, pas si grave que ça…

il décida de la laisser se reposer un peu, alla rejoindre Jean Yves et Audrey.

Il résuma la situation à Jean Yves qui ne trouva rien à redire,  même excité de savoir que la petite avait reçu une correction avec un fouet entre les cuisses…

Il l'informa que durant son absence Audrey s'était laissé caressé, qu'elle lui avait fait une pipe. La gamine commençait à se dévergonder, ils allaient bientôt la faire monter par des mecs aussi.

Nadine vint les rejoindre vers 19 heures, elle marchait très difficilement, son bas ventre était complètement endolori, elle demanda ce qui s'était passé, pourquoi elle avait des marques sur le ventre et sur son minou. Le docteur l'informa sur ce qui s'était passé, sans rien oublier. Il lui expliqua que certaines pratiques sexuelles étaient liées à la soumission, aux jeux érotiques sado-maso.

De toute façon elle ne craignait rien, le docteur était resté avec elle pendant toute la séance et il la protégeait.

La gamine ne fut pas du tout convaincu, elle lui dit qu'elle n'aimait pas ça…

Peut-être lui dit le docteur, mais si tu veux devenir différente et être heureuse quand tu sera grande, il faut que tu passes par là et que tu me fasses confiance.

Il lui fit un bisou sur la bouche puis changea de conversation…

A la prochaine séance, il ferait pire, elle aurait encore plus mal.

Il la droguerait encore plus, il voulait que petit à petit elle devienne soumise,  complètement, qu'elle accepte tout ce qu'il lui demanderait…

 

 

 

La soirée passa rapidement. Après le repas, les gamines essayèrent la piscine, elle barbotèrent, s'amusant jusqu'à 23 heures, moment ou tout le monde alla se coucher, dans le même lit… Ils s'amusèrent à se caresser pendant quelques minutes. Pas longtemps, tout le monde avait sommeil, les paupières se fermèrent, ils s'endormirent rapidement.

Le lendemain fut une journée presque normal pour les enfants, ils jouèrent toute la journée dans le jardin. Les adultes étaient occupés à définir une stratégie pour leur futur bordel d'enfants. Jean Yves lui donna de bonnes idées, il décida de les mettre en application immédiatement, il voulait en plus qu'on passe directement au stade supérieur, c'est à dire louer aussi des garçonnets pour les prostituer. Cela n'aurait pas étonné le docteur qu'il ait envie de s'en payer un. Fallait-il s'en procurer maintenant ou attendre les premières commandes ?.

Le docteur savait qu'il partait dans un truc complètement fou, bien au delà de ce qu'il avait décidé au début. Cela finirait peut-être mal, cela aussi il le savait, mais l'excitation que lui procurait tout ça était tellement forte que pour rien au monde il aurait abandonner son projet. Il pouvait prolonger ses vacances jusqu'à fin Août si il le désirait, peut être plus il verrait…

Ils allumèrent l'ordinateur, cherchèrent des services sur Internet capable de faire passer leur petites annonces très spéciales. Le docteur donna les coordonnées de carte bancaire d'une de ses clientes, ouvrit un service à son nom.

Impossible donc de remonter à eux, ils changeraient de service et de nom tous les deux mois par prudence…

Le docteur alla chercher un nouveau téléphone portable, il ouvrit le service avec le nom de sa cliente, donnant le même numéro de carte bleu que pour Internet pour régler l'abonnement. La correspondante qu'il eut au bout du fils lui donna son nouveau numéro immédiatement. C'était beau le progrès…

Avec un peu de chance ils seraient tranquille pendant deux mois minimum, avant que la femme qu'il connaissait comme une de ses clientes, pour être très brouillon et avoir des pertes de mémoires ne s'en aperçoive. Et encore si elle s'en rendait compte… De plus elle était très aisée, partant souvent en croisière.

Il y avait peu de chance pour qu'elle ne soit pas en vacances en plein mois de Juillet…

Les annonces qu'ils déposèrent sur Internet étaient ambigus, mais ne laissaient aucun doute sur la finalité de la chose, ils faisaient du racolage, recherchant des clients pour des petites filles et des petits garçons… Ils s'étaient donnés un rayon d'action de 200 Km au tour de leur région.

Ils se procurèrent des journaux, écoutèrent la radio pour l'affaire d'Audrey, tout était classé de ce côté là. Les flics n'avaient rien trouvés, la petite s'était officiellement noyée, la fillette n'aurait pas du aller se baigner dans une zone non surveillée interdite à la baignade…

                

Trois trous et trois bittes pour Audrey

 

 

 

Ils dînèrent vers 19h30, décidèrent à la fin du repas d'aller se promener.

Le docteur prit la voiture, se dirigea vers le bord de mer. Naturellement il fallait qu'ils évitent la plage ou s'était passé l'enlèvement. Ils se retrouvèrent donc à une trentaine de kilomètre du restaurant la Rotonde. C'était assez loin du lieu du rapt, avec tout ce monde, et en pleine saison touristique ils n'y avait pas beaucoup de risque pour qu'on reconnaisse Audrey. Cet plage le docteur la connaissait pour l'avoir pratiqué avec sa femme et sa fille il y a quelques années.

Les souvenirs resurgissaient de sa mémoire, le déchirant intérieurement…

Il se ressaisit, proposa à Jean Yves et aux deux fillettes d'aller manger une glace dans un bistro en face de la plage. Ils s'assirent à la terrasse. Autour d'eux les touristes grouillaient, vivant leur vacances pleinement. Personne ne se souciait d'eux, ils discutèrent de chose et d'autres pendant un bon moment, dégustant leur glace tranquillement.

La plage était magnifique, les filles voulurent aller faire un tour au bord de la mer. Ils se retrouvèrent donc rapidement les pieds dans le sable, longeant le bord des dunes. Jean Yves et le docteur s'assirent dans les dunes, tandis que les filles allèrent jouer beaucoup plus loin au bord de l'eau. Ils discutaient depuis un bon moment lorsqu'ils aperçurent un type qui tournait autour des gamines et leurs parlaient. Ils étaient trop loin pour savoir comment était le gars, mais ils remarquaient bien qu'il s'attardait autour des petites, discutant avec elles.

Cela dura une dizaine de minutes, ils se gardèrent bien d'aller les interrompre  Tout à coup ils virent les deux fillettes et le type se diriger vers eux.

Cinq minutes après le jeune homme, environ 22 ou 25 ans maximum était devant eux…Il les salua, très gêné, leur dit qu'il n'avait rien à faire ce soir, que les petites lui avait parlé de la possibilité de s'amuser un peu…

Il n'était vraiment pas sur de lui, ils auraient pariés que le gars était prêt à prendre ses jambes à son cou en cavalant très vite au cas ou le docteur ou Jean Yves auraient eu l'idée de lui casser la gueule. Le docteur comprit vite la situation, le type avait presque été racolé par l'une ou l'autre des deux fillettes, peut être les deux… Naturellement comme il aimait ça, il aurait vraiment été très con de ne pas dire que ça l'intéressait. Le docteur le rassura aussitôt, lui parlant gentiment.

Le gars se détendit, respirant un bon coup… Le crépuscule s'installait doucement, la plage commençait à être déserte, seules quelques couples enlacés se promenaient au loin. Le docteur lui demanda si il était d'accord pour qu'on participe tous en même temps… Le jeune homme hésita, puis intérieurement se dit que si il disait non, il n'aurait certainement pas deux offres comme ça dans sa vie, il réfléchit un peu, puis donna son accord. Jean Yves fit remarquer qu'ils pourraient aller dans les dunes juste derrière. L'idée était bonne…

 

 

Ils se levèrent, allèrent quelques dizaine de mètres dans un renfoncement de dune, ils s'assirent les uns à côté des autres. le docteur demanda aux deux petites filles de s'allonger dans le sable et de se laisser faire… A ces mots le jeune homme se décontracta réellement, il commença à s'approcher d'Audrey, lui prit la main. Les deux fillettes s'allongèrent l'une à côté de l'autre.

L'homme se coucha à côté d'Audrey, lui caressa le bras. Il n'osait pas encore, attendant que les deux hommes lui donne le feu vert pour la suite…

Le docteur s'allongea à côté de Nadine, mit sa main directement sous sa jupette, descendit sa petite culotte à mi-cuisses, releva la minijupe sur son ventre et commença à pratiquer des attouchements au niveau de son bas ventre.

Le jeune homme comprit qu'il pouvait y aller, il mit sa main sur la jupette d'Audrey, au niveau des cuisses, massa doucement et timidement le tissu.

Très rapidement sa main passa en dessous, ses doigts en contact avec la petite culotte écartèrent les coutures du bord de l'entrejambe, puis glissèrent jusqu'à toucher la fente de son sexe…

Il caressa de nombreuses minutes la fente de la petite, la massant très doucement. La fillette aimait bien et ne disait rien... Le docteur remarqua qu'une bosse se dessinait sur le jean de l'homme au niveau de la braguette, il le fit remarquer à Nadine, lui demanda de s'occuper de la bitte du Monsieur.

Elle se remit debout, toujours la petite culotte baissée à mi-cuisses, contourna l'homme, s'allongea à côté de lui et commença à toucher son jean.

Elle palpa,  c'était très dure à l'intérieur, elle entreprit de déboutonner son jean, e faisant  apparaître son slip.

La fillette connaissait le fonctionnement d'une bitte, elle avait le mode d'emploi… Nadine approcha son visage, souleva l'élastique de son slip.

Comme par magie sa bitte se redressa toute droite trouvant la sortie d'elle même. En une seconde la fillette l'avait happée et introduit dans sa bouche. L'homme était heureux, il gémit de plaisir pendant que Nadine commençait à le piper avec méthode et application. En même temps il continuait toujours son massage sur Audrey, introduisant délicatement un doigt dans son vagin, le faisant aller et venir dedans.

La fillette gémit, écarta ses petites jambes un peu plus pour faciliter la pénétration. Jean Yves décida d'agir, il se mit entre les cuisses d'Audrey, retira sa petite culotte, lui écarta les jambes, les souleva en hauteur, tout en les maintenant  en l'air à l'aide de ses mains. Le doigt de l'homme avait suivi et s'était remis immédiatement dans le vagin d'Audrey.

Le docteur parla à l'homme, lui dit que si il voulait baiser la plus petite des filles il pouvait… Il ne si fit pas prier plus longtemps, se mit à genoux entre les cuisses de la fillette, sa verge à la hauteur de l'entrée de son vagin…

Il appuya doucement sa queue sur sa chatte, puis commença à pousser un peu plus fort sur l'ouverture de son intimité…

 

 

Le docteur demanda à Nadine qui ne faisait plus rien que regarder sa copine se faire travailler, de prendre et de masser les couilles de l'homme par derrière.

Elle se mit à genoux, mit sa main, prit les deux testicules, les travailla comme le docteur lui avait montré, les tirant légèrement, les faisant rouler avec ses petits doigts.

L'homme poussait de plus en plus, cherchant à ouvrir le bas ventre de la gamine.

Il prit un peu de sa salive, inonda l'entrée de sa chatte avec, cela rentrerait mieux… En effet il remit sa bitte sur son trou, appuya à nouveau assez fort,

le gland de sa pinne rentra immédiatement, écartant le bassin de la petite fille…

Elle eut mal, un petit gémissement sortit de sa gorge…

L'homme la travailla bien, cherchant à rentrer à chaque coup de rein un peu plus de longueur dans la fillette. Sa bitte était belle, la longueur était moyenne, mais son diamètre était assez conséquent, la fillette était écartée comme jamais elle ne l'avait été, même par eux… Le docteur n'avait pas envie qu'elle crie trop fort, il s'approcha d'Audrey déboutonna sa braguette, sortit sa bitte, l'introduit dans sa bouche. Si la fillette se mettait à crier, le son serait atténué….

Jean Yves se mit derrière Nadine, sortit sa queue, l'encula tout en lui caressant la chatte… Le jeune homme besognait Audrey doucement mais fermement en poussant un peu plus à chaque fois son chibre dans son bas ventre.

Les cuisses tenues écartées en hauteur facilitait la pénétration, le gars avait les bras très ouverts ce qui faisait que les Jambes D'Audrey étaient écartelées au maximum. Le docteur contemplait la grosse bitte rentrer dans le vagin de la petite fille, il lui manquait encore environ cinq centimètres pour qu'elle soit baisée entièrement par la queue. La fillette gémissait de plaisir et de douleur en même temps. L'homme donna un plus grand coup de rein que les autres, la bitte rentra à fond dans le vagin, ses couilles battaient maintenant sur le con de la petite fille. C'était impressionnant à regarder, le gros chibre était rentré dans la petite chatte… La bitte rentrait, puis ressortait à un rythme effréné de sa chatte  lui détendant les chairs un peu plus à chaque fois.

Le docteur faisait toujours coulisser sa bitte dans la petite bouche d'Audrey, presque prêt à la remplir de jutte… Le gars aussi donnait des signes qui ne trompaient pas, il gémissait de plus en plus fort et n'allait pas tarder à remplir le ventre de la fillette. Il explosa… L'orgasme du jeune homme fut long et généreux, la gamine reçue une dizaine de giclées qui lui inondèrent son intimité. Le docteur lui jutta dans la bouche un tout petit peu après… Les yeux de la petite fille ne trompaient pas, elle jouissait et fut surprise d'être mouillée des deux côtés en même temps.

Audrey attendait les giclées les une après les autres, elle ne savait pas quand cela aller s'arrêter. Jamais elle n'avait connu des sensations aussi fortes. Tout son corps était envahi d'une sensation de chaleur étrange et bienfaisante.

A l'intérieur dans sa tête, c'était comme-ci des petites aiguilles la chatouillaient, lui procurant beaucoup de plaisir. Elle avait tellement eu mal au bassin que maintenant elle ne ressentait plus aucune douleur…

 

Seul le liquide chaud qui lui entrait dans son petit trou lui faisait un bien intense  au plus profond de son ventre, c'était bon et chaud… Le liquide dans la bouche venait de rentrer aussi, il fallait l'avaler, comme les autres fois… Sinon Nadine, le docteur et Jean Yves ne seraient pas content…

Et puis au fond, ce n'était pas mauvais du tout, c'était un peu trop salé, mais c'était onctueux comme de la crème…

Elle adorait qu'on s'occupe d'elle comme ça, elle aimait beaucoup… Il fallait faire tout ce que le docteur avait dit, il savait lui…

Le type se retira d'Audrey quelques instants après. Le docteur demanda à la petite de se retourner et de se mettre sur les genoux cuisses écartées. Comme un automate, Audrey s'exécuta. Il demanda à Jean Yves de se retirer du cul de Nadine et de bien vouloir enculer Audrey, ses trois trous seraient remplis, la fillette aura été soumise à fond… Avec satisfaction il s'exécuta, mouilla de sa salive l'anus de la petite fille, appuya sa bitte sur le trou de son derrière et lui rentra le bout de sa queue sur cinq centimètres. Le docteur demanda à Audrey qu'elle continue à lui nettoyer la pinne, la fillette lécha et aspira tout ce qui restait…

Sa bouche était toujours comblé, en cas de cris, le bruit serait atténué par la pinne dans la bouche. Jean Yves poussa plus profondément, sa bitte défonça le petit cul de la fillette, elle gémit très fort. Bientôt toute la longueur fut rentrée dans son postérieur. Elle était enculée a fond, les belles couilles battaient sur son derrière à chaque ramonage de son conduit anal. La bitte du docteur était propre maintenant, il demanda au jeune homme de venir à sa place, il vint au niveau de la bouche d'Audrey et fit rentrer sa grosse bitte dans sa bouche. Audrey nettoya sa pinne comme celle du docteur, sans rien laisser, en aspirant à fond. L'enculage d'Audrey était à son paroxysme, Jean Yves éjacula dans ses fesses.

Il jutta en écartant avec ses deux mains les fesses de la petite fille. Elle se contracta lorsque la première giclée arriva dans son trou. Elle avait ressentie le jet chaud dans son ventre et remua un petit peu son cul de chaque côté, en faisant onduler son postérieur.

C'était fini, les trois mâles s'étaient vidés les couilles dans la même petite fille, par les trois trous de la fillette…

Jean Yves se retira du cul d'Audrey, se fut Nadine qui lui lécha la bitte et nettoya sa queue. La gamine était un peu frustrée, elle n'avait reçu aucune dose de sperme, ni par derrière, ni par devant…

Il rassura Nadine, lui dit qu'elle avait déjà fait ses preuves, qu'il ne l'oubliait pas, il avait besoin d'elle, elle serait la prochaine, et elle ferait très certainement encore mieux qu'Audrey…

Tout le monde se rhabilla, sauf Audrey. Elle était complètement épuisée par les bittes qu'elle avait reçue. Le docteur l'essuya un peu, du sperme lui sortait par tous les trous, même sa bouche dégoulinait de jutte…

 

 

 

L'organisation du bordel

 

 

 

Il la rhabilla, la prit dans ses bras et s'en retournèrent vers les habitations.

Le docteur dit au jeune homme que si il était intéressé pour tirer un coup de temps en temps dans les gamines, il fallait qu'il lui passe un coup de téléphone. Il lui donna le nouveau numéro du téléphone portable. Le jeune homme le nota avec précaution sur son petit calepin, ils se saluèrent, puis se séparèrent rapidement. Dire qu'il ne connaissait même pas son prénom…

Ils rentrèrent directement au pavillon, Audrey dormit pendant tout le trajet, Nadine resta silencieuse. Jean Yves lui donna d'autres idées qu'ils pourraient mettre en application, puis il ressentit aussi la fatigue et s'assoupit un peu.

Ils arrivèrent à 1 heure du matin. Il donna un bain à Audrey et tout le monde alla se coucher. Les fillettes dans leur chambre, les adultes dans la leur…

Ils s'endormirent rapidement, la journée, et surtout la soirée avait été très chaude…

C'est le bruit que les gamines faisaient en jouant dans la piscine qui les réveilla. Elles s'en donnaient à cœur joie, rien n'aurait fait croire, qu'hier soir encore, les deux petites filles modèles étaient devenues pour quelques heures des petites puttes professionnelles. Ils se levèrent, déjeunèrent à quatre dans le jardin, tout le monde était en forme, il était déjà onze heure du matin.

Tout le monde  avait bien récupéré. C'était selon le docteur une journée de repos, il ne sortirait pas de la journée. Les deux gamines joueraient ensemble, pendant que les deux hommes mettraient une touche finale à leur projet.

Il avait donné l'ordre à Nadine de s'occuper d'Audrey. Après le déjeuner vers 13h30 les deux gamines commencèrent à inventer des jeux, qui pour une fois restèrent des jeux d'enfants…

Le docteur et Jean Yves s'isolèrent, branchèrent l'ordinateur…Le modem crépita, la connexion Internet s'établit. 17 messages en quelques heures.

Aïe, Aïe, Aïe,… 13 messages d'insultes: Honteux, vous cherchez quoi?, vous faire la peau, les gens comme vous…, on aura tout vu …, des salauds…, ordures…, impuissants…, la guillotine…si, si…, moi si j'étais…, J'vous crèverais…, couper les couilles…, l'innocence faut pas toucher…

Les quatre messages les plus intéressants voulaient en savoir un peu plus, mais leurs assuraient déjà de la complaisance de leur expéditeur.

Le docteur leur répondit, donnant son numéro de téléphone portable et en joignant les tarifs, tout en leur assurant une très grande confidentialité.

Il leur demandait de leur côté de faire de même.

L'hameçon et l'appât était dans la rivière de la vie, il ne restait plus qu'à attendre.

Le docteur parla à Jean Yves d'une maison de campagne à cinq kilomètres d'ici, encore plus isolée que celle-ci. Il l'avait acheté au nom de sa fille dans l'espoir de la voire habiter à côté de chez lui lorsqu'elle elle serait plus grande.

La vie en avait décidé tout autrement… Il voulait l'utiliser maintenant, en cas de coups durs, cela pourrait leur servir d'abri, ou même pour isoler des enfants pendant quelques temps…

Lui restait le dilemme de savoir si il allait être d'accord pour les petits garçons…

Il en reparla à Jean Yves qui lui assura que de toute façon, fillette ou petit garçon le tarif était le même…Et puis selon lui c'était bigrement bon à enculer. Leur faire une petite branlette pour avaler leur jutte, après les avoir sodomiser était un raffinement des plus fantastique…

Jean Yves l'avait peu à peu convaincu, il restait à trouver un gamin, quel âge devait-il avoir ?. Il lui répondit qu'un gamin de 10 ans pouvait être sodomiser sans problème et facilement rendu docile par le fouet ou la drogue…

Vraiment assez dégueulasse ce Jean Yves… Même plus que lui peut être…

En pratique il fallait kidnapper un garçonnet, puis peu à peu le former à devenir un petit pédé. Pour que des mecs puissent le sodomiser comme ils le voudraient, il faudrait l'enculer progressivement, l'ouvrir de plus en plus chaque jour…

Tout un programme d'initiation sous médicaments pendant les premiers temps.

Et le kidnapper ou ?, il n'était pas question de faire le même coup qu'avec  Audrey. Les flics pourraient faire le rapprochement…

Jean Yves lui assura que ce n'était pas évident du tout, en pleine saison pas mal d'enfants se noyaient, la faute souvent à la connerie de leurs parents ou accompagnateurs, et puis la fameuse loi des séries existait aussi…

Le docteur préféra la solution de l'enlèvement, évidement ce ne serait pas la même plage, il faudrait au moins 100 Kilomètres de distance entre les deux rapts. Le docteur sorti une carte routière, ils examinèrent les grandes plages qui se trouvaient à 100 kilomètres minimum de l'endroit ou ils avaient kidnappé Audrey. Une convenait très bien. En pleine saison elle était réputée pour son engorgement de touristes, elle était située à 150 kilomètres de la villa…

Il ne restait plus qu'à mettre le projet au point. Pour Audrey, ils avaient sélectionné la gamine. Pour le gamin il faudrait agir différemment, repérer sur une plage un gamin de 9 à 10 ans, très beau de visage et de corps, qui ne soit pas con, et si possible qui aime jouer à touche pipi…

De l'avis du docteur Nadine et pourquoi pas Audrey allaient leur rendre un sacré service. Le coup de la camionnette dans une rue adjacente devait fonctionner à tous les coups. Si Nadine rabattait le môme pour eux c'était bon…

A dix sept heures Il demanda à Nadine de venir le voir, Audrey serait gardé par jean Yves pendant quelques heures. La gamine suivit le docteur dans son cabinet médical, il voulait faire un examen de contrôle...

Il installa Nadine sur la table d'examen, sans l'attacher, lui relava sa jupette, retira sa petite culotte. Il écarta sa petite fente, ses lèvres encore rougis par les coups de fouets étaient beaucoup plus ouvertes et dessinées que lorsqu'il l'avait connu…

 

On devinait que son sexe avait déjà été travaillé et ouvert par de nombreuses bittes, pareil pour sa petite poitrine, ses glandes mammaires s'étaient développées, bientôt le port d'un tout petit soutien gorge la flatterait et lui ferait très plaisir.

Il lui demanda de se retourner, de se mettre à plat ventre sur la table d'examen.

Il écarta ses cuisses, découvrit son anus, rentra facilement un doigt dedans, ses chaires étaient détendus, elle était prête pour toutes les sodomies qu'il désirerait. 

Il la rhabilla délicatement, la caressant un peu, la fit descendre de la table, puis lui demanda de s'asseoir sur une des chaise qui était normalement réservée à ses patients, il s'assit à son tour devant son bureau et commença à lui parler.

Il lui demanda si elle voulait continuer à l'aider, lui dit qu'il la considérait comme sa fille, que si elle ne le décevait pas, un jour c'est elle qui hériterait de toute sa fortune. Maintenant elle devrait le considérer comme son père…

De son côté il s'engageait à ne jamais la laisser tomber ni l'abandonner pour toute sa vie. Il lui dit qu'en plus, il l'aimait plus qu'un père, car il la trouvait très jolie, qu'il avait envie de faire l'amour très souvent avec elle…

La fillette était flattée de tout ses compliments, contente en même temps que pour une fois on lui parle comme une adulte.

Nadine j'ai besoin de toi lui dit il, je suis certain que tu sais ce qu'on va faire.

Je sais que tu n'es pas bête, tu as compris pas mal de choses. Si cela fonctionne comme on le désire, toute ta vie tu n'auras jamais de problème d'argent, tu deviendra très riche.

Il nous faudra de temps en temps des enfants, pour les avoir il faudrait faire comme on à fait pour Audrey. Tu nous a bien aidé l'autre fois, il faudrait recommencer. Il nous faudrait un petit garçon de l'âge d'Audrey.

Tu veux nous aider ?.

La fillette ne mit pas longtemps à prendre sa décision, elle demanda tout de suite au docteur : "Et je pourrai m'en occuper comme je m'occupe d'Audrey ".

Le docteur vit tout de suite que c'était gagné, il lui dit oui tout de suite.

La gamine répondit :" Dans ces conditions oui je suis d'accord ".

Le docteur poursuivit… Super, alors on va mettre ça au point comme on l'a fait pour Audrey.

Il ajouta : " Naturellement pas un mot à Audrey, du moins pour l'instant, c'est un secret entre toi, Jean Yves et moi ".

O.K. répondit la gamine. Ils rejoignirent Jean Yves et Audrey sans plus attendre. Les gamines repartirent jouer aussitôt dans le jardin en criant et gesticulant.

Le docteur parla aussitôt à Jean Yves, lui dit que c'était gagné, Nadine voulait bien les aider à racoler un petit garçon pour eux…

Jean Yves s'en réjouit, il allait pouvoir bientôt défoncer le cul d'un petit puceau.

La fin de la journée se déroula rapidement, ils dînèrent vers 20 heures. Pour une fois la soirée se passa dans le jardin à jouer à un jeu de société acheté quelques jour auparavant. Ils allèrent tous se coucher vers 23 heures.

 

 

Les gamines rejoignirent leur chambre, Jean Yves et le docteur la leur.

Après un peu de lecture et de caresses, ils s'endormirent rapidement…

Un jour avant la fête nationale… Le docteur se réveilla à 8 heures du matin avec cette idée dans la tête. Il voulait profiter de cette occasion pour kidnapper le garçonnet. Demain il y aurait beaucoup de monde, énormément de gens dans les rues, c'était le jour idéal… Jean Yves commença à se réveiller, ce fut la première chose que le docteur lui dit. Il émergea doucement, se retourna sur le côté, salua la bonne idée du docteur. Il ferait donc ça demain…

Ils se levèrent, préparèrent le petit déjeuner, l'odeur du chocolat chaud dut réveiller les gamines, elles accoururent peu de temps après.

Le temps était magnifique, il allait faire très chaud. Le docteur prépara le planning de la journée. Ce matin les filles allaient rester seuls, les deux hommes se rendraient à la petite maison de campagne du docteur…Cet après midi il prépareraient les deux voitures, sans oublier le matériel qui leur serviraient à kidnapper le gamin… Ils partirent en voiture vers 10 heures.

Les cinq kilomètres qui séparaient les deux maisons furent effectués rapidement. La difficulté majeure pour accéder à cette maison étant le petit chemin de terre qu'il fallait emprunter, recouvert d'herbe assez haute et de ronces de chaque côtés, il fallait rouler très doucement. La baraque située en plein milieu de prairie était vraiment isolée de tout.

Le docteur l'avait fait clôturer, un seul grand et haut portail d'accès barrait l'entrée de la propriété. La maison était ancienne, l'ensemble avait été en partie rénovée. Au Rez-de-chaussée, 1 salon, 1 cuisine, 2 chambres, 1 WC. Un escalier en bois donnait sur un grand grenier aménagé. La maison de campagne typique et banale. Il redescendirent, Jean Yves voulut savoir ce qui se cachait derrière une vieille porte en bois très épaisse. Le docteur lui répondit que c'était la cave, ils descendirent une trentaine de marches pour y accéder.

Elle était voûtée, compartimentée, séparée par trois portes épaisses, le sol avait été cimenté. On pouvait dire que la cave était relativement propre et saine, pas trop humide. Il avait investi en 10 ans une somme colossale pour refaire petit à petit cette maison. Elle était meublée sommairement, la décoration manquait complètement de goût, mais tout était fonctionnel et opérationnel.

Dès maintenant, ils pouvaient amener un ou plusieurs enfants, même les cloîtrer si ils le désiraient…

Ils repartirent 1 heure après. En rentrant Jean Yves prépara le déjeuner avec les filles. Le docteur alla dans le garage, commença à préparer la voiture et la camionnette, il ne lui restait plus qu'à changer les plaques minéralogique, il le ferait au dernier moment. Sa trousse médical était prête, tous les médicaments, le chloroforme, des seringues, du ruban adhésif, rien ne manquait…

Il revint déjeuner avec Jean Yves et les enfants, toute l'après-midi serait disponible pour se reposer et se détendre…

Après déjeuner, ils s'installèrent dans le jardin, bouquinant un peu. Vers 15 heures la sonnerie du téléphone portable les ramena à la réalité de leur projet.

Le docteur répondit immédiatement :

-         Oui, allô, bonjour…

-         Bonjour c'est au sujet de votre annonce sur Internet

-         La voix était masculine, l'interlocuteur devait avoir dans les quarante ans.

-         Oui bonjour Monsieur, je peux vous renseigner ?

-         Je voudrais bien savoir comment ça se passe, je serai intéressé…

-         Fille ou garçon, demanda le docteur

-         Fille…

-         Quel âge ?

-         Et bien disons…environ 8 ou 10 ans…

-         Le docteur lui demanda son adresse Internet, vérifia sur une liste qu'il prit dans sa poche, c'était bien un des quatre type qui était intéressé et à qui il avait donné le numéro du portable.

-         Vous êtes intéressé par quelle formule ?

-          Et bien le forfait 1 nuit + 1 enfant supplémentaire + les fantasmes + la location d'une maison.

-         Ce qui ferait 5000 + 1000 + 1000 + 1000  = 8000 Fr, Bon c'est disponible vous voulez réserver pour quand…

-         Le week-end à venir…

-         A quel nom on réserve ?

-         Mr Dupuis…

-         C'est donc Samedi à venir, vous allez recevoir par courrier sur Internet l'adresse du point de rencontre, les vacations commencent à 21 heures jusqu'au lendemain matin 9 heures.

-         Au revoir Mr Dupuis, à bientôt.

-         Au revoir.

L'homme raccrocha, la première "vacation" était pour dans 5 jours….

La journée se continua entre les jeux des enfants et la lecture.

Jean Yves et Nadine s'absentèrent pendant une bonne heure, ils allèrent faire la sieste dans leur chambre… Audrey vint se blottir contre le docteur, il la caressa pendant un long moment. Elle était encore un peu triste, elle pensait sûrement à son père…

Le dîner du soir fut envoyé rapidement, tous furent couchés à 21 heures, le départ demain matin était prévu à 5 h 30 du matin…

 

 

 

 

                                       Le rapt du petit Kevin

 

 

Le réveil sonna à 5 h 30, ils se levèrent, réveillèrent les gamines difficilement.

Le petit déjeuner fut envoyé rapidement, à 6h 15 ils étaient prêts à partir.

Jean Yves prendrait Audrey dans la voiture, le docteur et Nadine suivrait dans la camionnette. Ils seraient reliés comme l'autre fois par une liaison cibi, en cas de non fonctionnement, ils avaient chacun leur téléphone portable.

Jean Yves partit en premier, la camionnette suivit aussitôt… Ils avaient tout calculé, il y avait environ 150 km pour se rendre à la plage. Le jour de la fête nationale il y aurait énormément de monde. Le docteur voulait arriver de bonne heure pour pouvoir garer la camionnette facilement, il devait trouver un endroit super pour pouvoir éclipser l'enfant sans problème. Il essaya la liaison radio, tout fonctionnait à merveille. Jean Yves lui dit qu'Audrey dormait …

Le docteur lui confirma que Nadine s'était assoupie aussi…

Ils firent le plein d'essence à mi-chemin, arrivèrent aux abords de la plage vers 8 h 45. Il y régnait déjà une forte animation, elle était beaucoup plus grande que celle ou ils avaient kidnappé Audrey, beaucoup de voiture circulaient. Il firent 5 fois le tour des petites rues pour situer un peu l'endroit. La portière coulissante de la camionnette étant situé sur la droite du véhicule, il lui fallait trouver une place du côté droit dans le sens de la circulation. Il n'en trouvait pas.

Au bout de 30 minutes de recherche infructueuse il se demandait ce qu'il allait bien pouvoir faire. Ce fut la CIBI qui trouva la solution, ou plutôt Jean Yves qui par radio lui dit qu'il avait trouvé une place qui à son avis pourrait convenir, il le guida par radio. En effet en plein milieu d'une rue perpendiculaire à la grande avenue de la plage, une place qui aurait pu contenir 2 voitures lui tendait les bras…En plus juste devant, une grande palissade de bois masquait le chantier en construction d'un pavillon.

Idéal… Personne ne verrait la portière s'ouvrir. Il se gara rapidement, se mettant bien au milieu, ne laissant aucune place pour qu'un véhicule puise se garer devant ou derrière la camionnette.

Jean Yves trouva une place un peu plus loin dans une autre rue.

Par radio le docteur leur dit qu'il aimerait bien prendre un autre petit déjeuner, il se donnèrent rendez vous devant l'embarcadère…

Avant de sortir le docteur prit les serviettes de bain et les accessoires de plage.

Ils se retrouvèrent donc comme convenu, et dégustèrent un autre petit déjeuner, nettement plus copieux qu'à 5 h 30 ce matin…

Le docteur et Jean Yves firent très attention à ce qu'ils disaient, assis à la terrasse, beaucoup de gens étaient autour d'eux, il valait mieux être discret…

 

 

 

Trente minutes après, ils se baladaient, suivant l'allée commerçante de la plage. Le docteur en profita pour acheter aux gamines un cerf volant, se procura aussi un grand parasol, plus quelques jeux divers. Avec tout ce fatras ils se dirigèrent vers la plage, s'installèrent sur le sable, là ou toute à l'heure il y aurait plein de monde. Pour l'instant ce n'était pas l'affolement, juste devant eux des enfants jouaient à faire des châteaux de sable, une fillette d'une douzaine d'année et un petit garçon d'environ 11 ans. Nadine et Audrey voulurent essayer leur cerf volant, elle montèrent l'engin, déroulèrent la ficelle. Nadine tirait dessus, pendant qu'Audrey essayait par tous les moyens de lui faire prendre le peu de vent qu'il y avait. Le gamin et la gamine qui faisait leur château de sable furent intéressés par leurs nombreuses tentatives, surtout le garçon qui s'approcha et leur dit qu'à son avis il n'y avait pas assez de vent…

Le courant passa rapidement entre eux, le garçon invita les deux fillettes à leur donner un coup de main pour la construction de leur château. Elles s'essayèrent donc au métier de constructeur architecte de château de sable. Tout alla pour le mieux pendant une dizaine de minutes, jusqu'au moment ou la fillette qui était avec le garçon s'énerva, disant tout haut qu'elle en avait marre, que ces deux connes faisaient vraiment n'importe quoi…

La gamine jeta un regard méchant à Audrey et Nadine, puis partit en maugréant… Le petit garçon se retrouva seul avec les deux fillettes, il chercha à l'excuser, disant qu'avec elle c'était toujours comme ça, qu'elle s'entendait avec personne. Il rajouta que ce n'était pas sa copine, qu'ils se voyaient seulement à la plage le matin, et rare étaient les fois ou cela ne se terminait pas comme ça…

Le docteur n'en avait naturellement pas perdu une…Il avait tout entendu, tout suivi de la situation. Il essaya de détendre l'atmosphère en présentant les gamines aux petits garçons. Nadine, Audrey, et toi c'est comment ?.

Il répondit aussitôt : Moi c'est Kevin… Le docteur continua, lui expliqua qu'ils étaient venu à la plage pour une journée, pour se baigner et jouer dans le sable. Le garçon eut les yeux qui s'allumèrent.

Il dit au docteur : " Mais alors on va pouvoir rester ensemble une partie de la journée…". Le docteur voulut en savoir plus, l'interrogea sans en avoir l'air… Oui c'est faisable, mais tes parents vont bien venir te rejoindre, ce midi tu vas bien manger quelque part non ?.

Le môme baissa la tête… Ma mère elle est morte, je l'ai jamais connu…

Mon père travaille toute la journée sur un chantier à la construction d'immeuble. L'été il me fait venir pour les vacances, sinon toute l'année je suis en pension.

De toute façon mon père il se fiche bien de ce que je fais…

Le docteur n'insista pas, décidément le hasard le laissait perplexe. Il était à peu près certain que tout était orchestré de la haut, de notre naissance à notre mort, tous les gens qu'on rencontrait, tous les coups de chance, toute la vie, tout était écrit…

Les enfants s'amusaient énormément. Le docteur regarda Jean Yves dans les yeux, il avait tout compris. Ce n'était pas la peine de chercher ailleurs…

 

 

Le môme était très beau, loin d'être con, la preuve en était le contact qu'il avait établit tout de suite, et il n'était pas particulièrement heureux.

Il y avait déjà beaucoup de conditions réunis pour qu'il devienne l'élu…

Les enfants s'amusèrent comme des fous toute la matinée, allèrent se baigner vers midi. Le docteur et jean Yves les rejoignirent peu après. Il jouèrent au ballon ensemble dans l'eau… Le docteur voulut savoir si le petit pouvait être pris à l'hameçon, drôle de pêche au petit garçon…

Les enfants dit-il vous avez demandé à Kevin si il voulait déjeuner avec nous ce midi ?. Le petit garçon avait de la sensibilité, il fit semblant de n'avoir rien entendu. Bien sur les gamines avait entendu, elle n'arrêtèrent plus de demander à Kevin si il voulait déjeuner avec nous…

Le docteur ne laissa pas le petit garçon plus longtemps dans cette situation gênante pour lui, il reprit la parole, leur dit qu'on pourrait déjeuner sur la plage tous ensemble, il suffisait qu'on aille chercher des frites et des saucisses, plus des glaces bien sur…

Il n'était pas question d'aller au restaurant ou d'emmener manger l'enfant quelque part, dans quelques heures toute le pays le rechercherait peut-être…

Les filles insistèrent tellement que Kevin s'avoua vaincu…

Jean Yves fit remarquer discrètement au docteur que Nadine n'arrêtait pas de se coller et de se frotter sur le jeune garçon, cela n'avait pas l'air de lui déplaire du tout d'ailleurs. Nadine lui demanda quel âge il avait,  timidement il répondit qu'il allait bientôt avoir 11 ans, enfin dans 6 mois…

Le docteur redemanda par acquis de conscience à Kevin si il n'était pas attendu par quelqu'un, dans l'après-midi, ou la soirée…. Le petit garçon lui dit que seul son père l'attendait à la maison vers 19 heures pour aller dîner en ville.

Ce fut Jean Yves qui fut de corvée pour aller chercher le déjeuner, il mit une vingtaine de minutes pour ramener les saucisses frittes et les boissons.

Le docteur estima qu'il y avait beaucoup trop de monde autour d'eux pour manger, les enfants cherchèrent avec lui une place beaucoup plus tranquille… Ils marchèrent cinq minutes, s'éloignèrent un peu de la cohue des baigneurs, tout en restant au bord de la mer.

Quelques minutes après, Kevin réinstalla sa serviette de bain sur le sable juste au milieu de celle des filles…

Le principal pour le docteur étant qu'ils aient changé de place, ils brouillaient ainsi un peu plus les pistes.

Le déjeuner fut ingurgité dans la bonne humeur. Nadine et le docteur furent désignés pour aller chercher les glaces.

En chemin le docteur demanda à Nadine ce qu'elle pensait de Kevin…

Elle lui répondit qu'elle le trouvait super et mignon à croquer.

Elle continua en rigolant : " Et il y en a la dedans, en montrant le devant du  slip de bain du docteur ". Tu veux dire quoi lui demanda le docteur ?.

Nadine rétorqua : " Et bien j'ai touché, elle est déjà très belle…".

Le docteur reprit : " tu veux dire que tu as touché sa bitte ? ".

Nadine reprit : " oui et il aime ça ".

Suffoqué… Le docteur était suffoqué par le culot de la môme…

Le docteur reprit sérieusement, il va falloir trouver une excuse vers 16 heures pour que le petit monte dans la camionnette…

Il faudra que je monte quelques minutes avant lui pour préparer mes accessoires. Tu feras comme l'autre fois tu frappera 4 fois à la porte. Je prétexterai un bateau en caoutchouc à gonfler, j'irai à la camionnette cinq minutes avant toi.

Tu demanderas à Kevin si il veut te donner un coup de main pour ramener le bateau sur la plage, il ne devrait pas te dire non…

Tu as bien compris Nadine ?

Oui, c'est facile…

Ils ramenèrent les glaces, tous les attendaient avec impatience, il faisait très chaud, c'était le rafraîchissement tant attendu…

Le docteur en profita pour contempler le slip de bain de Kevin, en effet il put remarquer que la forme de sa bitte était déjà bien dessinée, ses bourses étaient formées, sous le tissu tendu apparaissait une charmante petite bosse oblongue...

Le docteur et Jean Yves prirent un bain de soleil, les deux filles et Kevin jouaient à côté. Les deux hommes remarquaient plus particulièrement de temps en temps les jeux de bagarre de Kevin et Nadine, la petite laissait se balader sa main sur le devant de son maillot de bain, quelques fois elle s'aventurait à caresser. La bitte du gosse ne mettait pas longtemps à se redresser dans son slip et à se mettre en érection, cela plaisait énormément à Nadine, qui en continuant à faire semblant de jouer s'intéressait uniquement au zizi du petit garçon.

Le pauvre môme avait peur qu'on s'en aperçoive, il s'arrangeait pour se tourner de l'autre côté. Bien sur le docteur et Jean Yves fassent beaucoup d'effort pour faire semblant de ne rien voir…

La journée passait, il était 15 heures trente, le docteur dit à Nadine qu'il devrait aller chercher le bateau dans la camionnette. La fillette saisit la balle au bond et demanda à Kevin si il voulait aller l'aider à ramener le bateau. Bien sur le petit gars ne vit aucune objection. Le docteur fit remarquer qu'il ferait bien d'aller le regonfler un peu avant qu'il ne s'en serve… Avant de partir le docteur demanda à Jean Yves d'allumer son portable et de rester en veille.

Il dit à Nadine et Kevin d'attendre son coup de téléphone, cela lui donnerait le temps de regonfler les boudins en caoutchouc. Il se leva, prit le sac ou se trouvaient les clefs de la voiture et parti d'un pas alerte… La camionnette était en plein soleil, il faisait une température de plus de près 40 degré à l'intérieur, le docteur laissa la porte coulissante ouverte pour faire rentrer un peu d'air frais.

Il attendit plus de 5 minutes que l'air chaud s'évacue. Il regarda dans la rue, quelques rares voitures circulaient, essayant de trouver une place pour se garer. A cette heure, tout le monde se trouvait à la plage, ou en train de se préparer à regarder le défilé de chars fleuris. Il avait vu sur une affiche que le défilé commencerait à 16 heures, c'est à dire dans cinq minutes…

Il prit son portable, fit le numéro, moins de 10 secondes après Jean Yves répondit. Il fut bref, il lui dit que les enfants pouvaient venir chercher le bateau. Il savait bien que Kevin ne pouvait pas entendre la communication, il en profita pour redonner la marche à suivre à Jean Yves… Dans 5 minutes il devrait rentrer à la voiture, il lui précisa qu'il fallait laisser la serviette de bain de Kevin sur la plage, il raccrocha…

Jean Yves dit aussitôt aux deux enfants qu'ils pouvaient y aller.

Tout content Kevin  se leva et accompagna Nadine d'un pas alerte…

Jean Yves attendit quelques minutes que les enfants soient hors de vue, il ramassa les affaires de plage, laissa la serviette de Kevin bien en évidence sur le sable. Il prit Audrey par la main, au lieu de rentrer directement et de couper par la plage, il se dirigea vers la mer, suivit celle-ci sur la gauche pendant une cinquantaine de mètres, puis remonta sur le sable en coupant tout droit.

Il se retourna, à sa gauche il aperçu la serviette de plage de Kevin.

Les couples qui se doraient au soleil  et les quelques enfants qui jouaient aux alentours ne s'étaient à son avis rendu compte de rien…

Le docteur referma la porte coulissante, ouvrit sa sacoche médicale, prépara la seringue qu'il remplit d'un somnifère, déboucha le flacon de chloroforme et prépara une grande compresse de coton.

Il attendit impatiemment. Déjà cinq minutes depuis le coup de téléphone, toujours rien… Il regardait par le pare-brise, jetait aussi un coup d'œil par le petit hublot de la camionnette. Rien, toujours rien… Sa montre affichait un retard de déjà 10 minutes sur ses prévisions…

Il appela Jean Yves par cibi qui, toujours fidèle au poste, lui demanda ce qui se passait. Le docteur lui expliqua son angoisse...

Jean Yves lui dit qu'ils n'allaient pas tarder, qu'il fallait attendre…

Il avait raison, il n'y avait plus qu'à attendre…

Il n'en crut pas ses yeux, à l'embouchure opposé sur le trottoir d'en face ils les vit enfin arriver… Ils venaient par l'autre côté de la rue…

Il venait de comprendre, Kevin avait certainement eut envie de regarder les premiers chars de fleurs et de se mêler  à la foule. Il vit Nadine et Kevin traverser la rue, arriver doucement vers la camionnette. Le docteur se rassura, après tout, qu'ils viennent de l'autre côté ne changeait rien…

Il regarda si personne d'autres était à proximité, il ne vit personne, seuls les deux enfants… A 10 mètres de la camionnette… Il ne les vit plus. Il attendit…

Les 4 coups furent frappés. Le docteur inonda le morceau de coton de chloroforme puis referma calmement le flacon…

La porte s'ouvrit brutalement, Kevin vit le docteur, lui sourit, le docteur lui tendit les bras pour le faire monter dans la camionnette. En confiance il les saisit… Aussitôt dedans, le docteur referma la porte laissant Nadine à l'extérieur, elle savait ce qu'elle avait à faire.

Le docteur n'attendit pas plus longtemps, il retourna le petit garçon en le soulevant, lui appuya la compresse sur le nez et la bouche en même temps.

Le petit se débattait diablement, il avait beaucoup plus de force qu'Audrey…

Le docteur lui immobilisait les bras, le gosse ne pouvait que remuer les jambes, il n'arrêtait pas et le docteur recevait quelques coups de pieds.

La compresse étouffait complètement ses hurlements…

Il se débattit environ 2 minutes. L'enfant de 10 ans ne pouvait rien faire de plus… Il se détendit peu à peu, le chloroforme agit, quelques petites secondes après l'enfant était tout mou et n'avait plus aucune résistance. Le docteur laissa le coton une dizaine de secondes, puis la retira. Il déposa Kevin sur le matelas, mit la compresse dans un petit sac poubelle hermétique, cela sentirait moins fort que l'autre fois.

Il ouvrit sa sacoche, prit son stéthoscope, examina son cœur, tout allait bien, au bout de deux minutes les battements étaient redevenus normaux.

Il fit la piqûre de somnifère au gamin, lui entrouvrit la bouche un peu pour qu'il respire mieux.

Il retourna vers le devant de la camionnette, appuya sur le micro de la cibi.

Il eut aussitôt Jean Yves qui lui confirma que Nadine était bien rentrée.

Le docteur de son côté aussi le rassura, l'affaire était dans le sac… On pouvait repartir.

Il retourna une dernière fois voir Kevin, s'agenouilla à côté. Il contempla le petit garçon en maillot de bain et ne put résister à toucher le devant de son maillot de bain. Il palpa ses formes, puis baissa son slip de bain jusqu'au milieu de ses cuisses et vit apparaître sa bitte et ses deux petits testicules, il tâta l'ensemble quelques temps. Il était bien fait. Il le retourna sur le ventre, admira ses belles petites fesses, ils les écarta avec ses deux mains et vit l'anus du gamin…

Il se dit que son beau petit cul allait recevoir un grand nombre de bitte et qu'il allait être éduqué pour ça… Son petit contrôle n'avait pris que quelques secondes… Il démarra la camionnette, retrouva un peu plus loin la voiture que conduisait Jean Yves. Tous les trois l'attendaient impatiemment …

Ils sortirent du village à la queue leu leu sans problème, reprirent la nationale pour rentrer chez eux. Le retour fut pénible et long, ils ne voulaient absolument pas se faire remarquer et roulèrent normalement. Deux heures et demie après ils arrivèrent dans la cour de la villa. Le docteur prit le petit garçon dans ses bras, les deux filles ne dirent rien, et le regardèrent dormir. Il dit à Jean Yves qu'il allait lui faire quelques examens dans son cabinet médical, lui demanda de s'occuper des gamines. Jean Yves lui rappela que si il avait besoin de lui ou des filles, il fallait qu'il appelle par son portable.

Arrivé dans son cabinet, il déposa Kevin sur la table d'examen, lui attacha les chevilles et les poignets avec les fixations velcro. Le petit garçon avait les jambes ouvertes en grand, le docteur contemplait son corps. Il avait l'intention de vérifier si le petit garçon pouvait réellement être enculé, pour avaler des jutes c'était différent, il n'y avait pas de problème… Mais pour une sodomie…

Le bassin des femelles, même petite était prévu pour s'écarter depuis la nuit des temps, mais le bassin d'un petit garçon de 11 ans…

Pendant quelques heures il ne sentirait rien, c'est maintenant qu'il fallait essayer.

 

 

                        L'enculage et l'initiation de Kevin

 

 

 

Le slip ne lui plaisait pas… Il retourna dans sa chambre et prit une des petite nuisette qu'il avait acheté l'autre fois. Pour une petite fille s'était déjà assez érotique, alors pour un petit garçon… Il retourna dans son cabinet, retira les attaches de la table d'examen qui entravaient le gamin. Il lui passa la nuisette bleue à dentelle, puis retira son slip… Kevin avait une toute autre allure, il était désirable à souhait. C'était certainement cette tenue qu'il lui ferait mettre pour le faire monter par des mâles… Il le rattacha sur la table d'examen, caressa son corps partout sur la nuisette, il palpa sa queue, puis ses couilles pendant de nombreuses minutes sur la dentelle, n'y tenant plus il releva le tissu de la nuisette sur sa poitrine et se mit entre ses jambes. Son visage était juste à la hauteur de son sexe, il donna un petit coup de langue sur sa petite queue toute molle. Sa bitte sentait bon, il la glissa dans sa bouche et commença à la sucer doucement. Il joua avec le prépuce, le remonta avec ses lèvres et fit tourner sa langue autour de son gland. Il s'appliqua ensuite à le piper délicatement en serrant doucement sa pinne avec ses lèvres. Faire une fellation à un petit garçon lui avait toujours plu. D'habitude les petits puceau ne se laissait jamais faire longtemps, dans sa vie il avait pu avaler seulement 2 ou 3 jutes de petits garçon, les autres n'avaient pas voulu aller à la fin... Pareille pour les sodomies… Naturellement il dormait, il aurait bien voulu le voir se tordre de plaisir à l'état de veille. De toute manière tout ce qu'il allait lui faire maintenant serait refait lorsqu'il serait réveillé, même si il fallait l'attacher pour qu'il se laisse faire...

Sa queue se raidissait un peu, il en était sur elle grandissait légèrement.

Au bout de quelques minutes de pipe, l'enfant était en érection et un sourire de contentement se dessinait sur son visage. Il activa son travail de bouche et à l'aide de ses deux mains il écarta ses petites fesses, laissant un doigt dans la raie du cul, il appuya sur la corolle de l'anus et essaya d'entrer.

C'était trop serré, personne, ni aucun objet n'était jamais rentré par là, à part les suppositoires… Il fallait l'ouvrir, ne fusse qu'un petit peu, juste pour voir…

Il prit le tube de vaseline sur sa table mobile, en recouvrit l'anus du petit.

Son doigt revint à la charge, appuyant à nouveau sur l'entrée du trou du cul.

Ce fut différent, le bout de son doigt rentra tout de suite. Il chercha à le sonder un maximum, ce n'était pas encore assez lubrifié à son goût, il remit de la pommade en quantité sur l'anus et reprit son travail de pipe avec sa bouche et d'enculage avec son doigt. Cela coulissait nettement mieux, il força un deuxième doigt qui eut beaucoup de difficulté à rentrer, mais la vaseline aidant il y arriva…

 

Son cul enserrait fortement ses deux doigts, il les bougeait à l'intérieur pour distendre un peu ses chaires, le mouvement de va et vient qu'il opérait à l'intérieur de son trou faisait bouger légèrement le corps du petit garçon.

Il bourra une troisième fois son postérieur de vaseline et remit ses deux doigts dans son intimité, cela rentrait de mieux en mieux, il poussa un peu plus loin ses doigts, presque à fond…

Le va et vient dans son cul s'accélérait, les deux doigts rentraient maintenant complètement. Il fallait qu'il sache… Le troisième doigt vint appuyer avec les deux autres, son petit cul s'ouvrit encore plus, les trois doigts étaient rentrés… L'expérience était concluante, le diamètre de sa bitte pouvait rentrer, et il venait de prendre la décision d'enculer Kevin immédiatement . Il retira ses doigts, sortit sa bitte de sa bouche, puis il se releva, baissa son short, fit glisser son slip sous ses couilles.

Il bandait très dure, sa pinne en érection était bien droite, il la recouvrit de vaseline, en remit une dernière fois sur le derrière du petit garçon.

Avec la position jambes écartée sur la table d'examen le petit garçon était dans une position idéale pour se faire enculer, juste à la bonne hauteur…

Mais ce n'était pas la position qu'il préférait… Il prit sa bitte avec sa main droite et l'amena sur l'anus du petit gars, il poussa d'abord son petit trou légèrement, puis le gland se sa bitte appuya plus fortement, ouvrant l'anus complètement.

Le bout du gland rentra dans le petit cul, le petit garçon était enculé pour la première fois de sa vie. Le docteur resta sans bouger en gouttant les sensations, le bout de sa queue était bien au chaud, son intérieur était très doux.

Il poussa très doucement, rentra centimètre par centimètre dans son derrière, puis commença sans brusquerie son va et vient d'enculage…

Sa sodomie se passait plutôt bien, pendant quelques semaines il faudrait l'enculer plusieurs fois par jour pour habituer son conduit annale à recevoir les pinnes des gars. Après cela rentrerait tout seul, l'idéal serait qu'il aime ça et qu'il en redemande… Le gosse était toujours en érection, pourtant il dormait et n'avait pas conscience de se faire enculer. La moitié de la longueur était rentrée, c'était très bon, il était beaucoup plus serré que dans le vagin d'une fillette.

Il lui caressa la poitrine, lui roula et tira assez fortement ses tétons. Le petit garçon eut sa première réaction, il eut mal et gémit assez fortement. Cela excita encore plus le docteur qui poussa encore un peu plus sa pinne dans son petit cul. Il préférait enculer les petits mâle lorsqu'ils étaient retournés le cul offert et à genoux, ici le gamin recevait la bitte dans l'autre sens, comme une femelle, les sensations d'enculage étaient différentes.

Dans la pièce il y avait toujours le pouf sur lequel il avait enculé Nadine…

Il retira sa bitte de l'enfant, dégrafa toutes les fixations qui retenaient ses membres, puis il le prit dans ses bras, et le posa directement sur le gros coussin.  Son ventre reposant sur le gros pouf, le gosse avait les fesses surélevées.

Il lui écarta les jambes à fond. Il était enfin dans la position qu'il préférait pour un enculage…Il remit sa bitte sur son anus et poussa directement, la pinne ouvrit son cul à nouveau et retrouva son chemin rapidement.

 

 

Il regagna tous les centimètres un par un, l'enfant gémit un peu, il devait commencer à ressentir le douleur…

Plus de la moitié de son chibre était déjà rentré dans le petit cul et il continuait à pousser, son besognage était efficace, il ramonait son intérieur rapidement et gagnait un peu plus de longueur à chaque aller retour… Il fut satisfait quelques minutes après, ses couilles battaient sur les fesses du petit garçon, le môme était enculé à fond… Il n'en avait plus pour longtemps, il sentait la pression montée dans sa queue et ne put se retenir plus longtemps, son sperme inonda l'intérieur du ventre du gamin… Il ne compta pas les giclées, l'enfant ne ressentait rien, il dormait et c'était mieux, pour la première fois…Le docteur s'affala sur le cul et le dos du petit, il était épuisé, vidé complètement.

Il se retira délicatement de son postérieur, Avec ses deux mains il écarta ses petites fesses et contempla son anus, presque rien ne ressortait, juste un tout petit peu de liquide blanc suintait dessus. Tout son sperme était dans son ventre et y resterait…Il contourna le puceau, prit l'autre pouf qui se trouvait dans la pièce et le déposa juste devant la tête du gamin. Il s'assit dessus, prit sa tête dans ses mains et la dirigea pour que sa verge mouillée soit à la hauteur de sa bouche, il entreprit de jouer avec, passant sa bitte sur ses lèvres. Elles se recouvrirent aussitôt des quelques gouttes de sperme qui ressortaient encore de son membre viril. A l'aide de ses deux mains il ouvrit sa bouche en grand et y introduit son sexe, ses lèvres se refermèrent, épousant aussitôt la forme de la pinne. C'était bon, humide et chaud…

Il resta dedans un bon moment, contemplant le petit garçon qui dormait avec sa bitte dans sa bouche. Il se retira enfin, prit Kevin dans ses bras, quitta son bureau et l'emmena dans la chambre d'ami, puis le déposa sur le grand lit.

Il alla chercher dans sa chambre des menottes, revint et immobilisa un de ses poignets, l'autre bracelet métallique étant fixé à un des barreaux du lit.

Il essuya délicatement avec une serviette sa petite bouche et décida de le laisser se reposer, il quitta la pièce et referma la porte derrière lui.

Jean Yves et les petites dînaient dans la cuisine en écoutant des disques.

Il rassura tout le monde en disant que tout allait bien pour Kevin et qu'il dormait dans la chambre d'ami. Il demanda à Nadine si elle voulait bien coucher avec lui cette nuit, il lui expliqua que lorsque qu'il se réveillerait il faudrait lui faire comprendre tout de suite pourquoi il était ici…

Il comptait sur elle et sur ses caresses pour qu'il ne fasse pas de problème. 

Nadine fut aussitôt d'accord et demanda si elle pouvait y aller maintenant.

Le docteur lui répondit favorablement en la prévenant qu'il était attaché par des menottes, que pour l'instant il fallait les lui laisser. La gamine ne sembla pas surprise et quitta rapidement la cuisine pour se rendre dans la chambre d'ami.

Audrey pressée, voulut aller voir Kevin aussi,  le docteur lui dit qu'elle pouvait y aller, mais après il faudrait qu'elle aille se coucher avec le docteur et Jean Yves. La gosse contente courut rejoindre Nadine et Kevin aussitôt.

Tout en dînant, le docteur parla à Jean Yves, il lui dit que pour les bittes cela irait très bien… Celui-ci comprit immédiatement que le docteur avait enculé le petit garçon.

Il continua en l'informant que demain il faudrait s'occuper de l'aménagement de l'autre maison de campagne, se procurer tout le nécessaire, des lits supplémentaires, au frigo, en passant par l'aménagement très spécial qu'il voulait apporter à la cave. Il voulait fixer des attaches aux murs, et insonoriser le local avec de la laine de verre. Jean Yves lui dit qu'il pouvait s'occuper de ça sans problème, qu'il en aurait pour au minimum 3 ou 4 jours.

Le docteur lui rappela qu'il fallait impérativement que tout soit prêt avant que leur premier clients arrive, c'est à dire dans 4 jours…

Demain le docteur lui donnerait de l'argent en espèce pour acheter tout ce qu'il avait besoin, pas question de payer par chèque ou par carte bleue…

Des pleurs interrompirent leur discussion, ils se précipitèrent dans la chambre, Kevin venait de se réveiller et se débattait sur le lit. Les filles essayaient en vain de le raisonner, rien n'y faisait… Le docteur prépara rapidement une seringue et injecta le contenu du produit dans les veines, l'effet fut immédiat, ils purent remarquer l'efficacité… Au bout de cinq minutes, Kevin planait complètement. Il était conscient, les yeux ouverts, mais l'expression de son visage avait changé, on aurait pu croire qu'il était heureux. Le docteur demanda à Nadine et à Audrey si elles voulaient bien le caresser. Nadine fut la première à effleurer son zizi… Audrey trouva ça amusant, elle se mit à lui embrasser les tétons…

Le petit garçon était désirable dans sa petite nuisette bleue, le docteur déboutonna sa braguette, sortit sa bitte et se mit à califourchon sur la tête du petit garçon, sa queue à la hauteur de sa bouche, il la força…

L'enfant le regardait, il n'avait plus aucune volonté, il ne comprenait plus rien, enfin presque… Seules les caresses que lui prodiguaient les filles lui donnaient un peu de plaisir, c'était agréable, surtout lorsque Nadine se pencha sur son sexe et " l'avala " complètement avec sa bouche. C'était bon et chaud, sa petite bitte était toute droite et Nadine s'empressa de faire coulisser son petit pénis avec ses lèvres. Le docteur demanda à Jean Yves si il voulait le remplacer…

Celui-ci accepta et le petit se retrouva avec un autre sexe dans la bouche.

Kevin à demi-conscient venait de comprendre qu'il était leur jouet, qu'il devrait faire tout ce qu'ils voulaient, tout ce qu'ils désiraient, sinon…

Le docteur se plaça derrière Nadine qui était en train de faire sa pipe à Kevin, elle était dans la bonne position, la tête baissée sur le sexe du petit et le cul relevé, elle ressentit sa petite culotte glissée sur ses fesses…

Le docteur lui écarta un peu plus les jambes et une chose très dure appuya sur l'entrée de son petit trou du cul. La gamine comprit tout de suite, elle écarta un peu plus ses cuisses, maintenant elle avait l'habitude, elle savait se mettre dans la position qui lui ferait le moins mal possible. Le gland appuya sur l'anus de la petite fille. Le docteur appréciait cet instant à chaque fois, juste avant l'enculage…Il faisait jouer l'élasticité des tissus de l'anus; son pénis n'entrait pas tout de suite, mais appuyait assez fortement pour déformer son intimité.

 

Les gamines n'appréciaient pas cet instant, elles savaient qu'elles allaient être enculé, mais sans connaître le moment exacte ou la bitte rentrerait…

Cela dura plusieurs minutes, au moment ou Nadine fut distraite par une réaction de Kevin, il poussa et encula la petite qui ne si attendait plus… Elle cria et lâcha le sexe du petit garçon… Il lui ordonna de remettre sa bouche sur le sexe du petit… Elle s'exécuta aussitôt, le docteur ne plaisantait pas…

Il besogna la fillette par le trou du cul et demanda à la petite Audrey de lui masser les couilles pendant qu'il enculait Nadine, la fillette s'approcha et lui massa ses testicules avec ses petits doigts…

Kevin terrifié ne perdait rien de la scène, sa bouche déformée par la bitte il se laissait faire… Jean Yves exulta, le sperme jaillit, le gamin eut des yeux horrifiés ne comprenant pas ce qui remplissait sa bouche… Il lui ordonna d'avaler et poussa sa queue à fond dans l'orifice… Le môme forcé déglutit sans arrêter, le sperme ressortait de sa bouche et coulait sur le bas de son visage.

Jean Yves l'étala sur son cou et sa poitrine, puis il demanda à Audrey de lécher le sperme qui ressortait, la petite abandonna son massage de couilles et elle s'appliqua à nettoyer et à lécher les tétons de Kevin enduit de jutte. Nadine enculée par le docteur continuait sa fellation sur le petit garçon, la petite bitte était toute droite et bien dure. Le gosse avalait en même temps un maximum de jutte, il allait falloir qu'il apprenne a aimer ça, et autant commencer le plus tôt possible…

Les couilles du docteur étaient pleines, la jutte gicla dans le postérieur de Nadine qui se mit à se trémousser des hanches, elle aimait être inondé, et elle le montrait…

La fellation que continuait à faire Nadine sur Kevin fut récompensée, la bouche de la petite fille se remplit du sperme du petit garçon. La fillette venait de faire juter le môme pour la première fois. Kevin avait sur le visage une expression de bonheur et de satisfaction. En quelques heures il avait été enculé, puis avait avalé sa première jute, et pour finir il avait eu son premier orgasme…

Il était prêt à se faire soumettre et à devenir leur petite putte.

Le docteur demanda à Audrey de nettoyer sa bitte, la fillette dut s'exécuter, elle lécha et nettoya la queue du maître…    

 

Le lendemain fut un jour de préparatifs, Jean Yves commença à acheter le nécessaire pour la petite maison, il emmena les deux filles pour qu'elles lui donnent un coup de main. Kevin resta dans la chambre, attaché au lit et sous tranquillisant. Il était conscient, le docteur lui apporta à manger le midi, mais avant de lui donner le plateau, il demanda au petit garçon de lui sucer la bitte,

ce qui fut fait malgré ses protestations… Le docteur continua et lui demanda se mettre en position d'enculage, il l'aida, et après lui avoir enduit l'anus de pommade il le pénétra sans trop de problème, tout en le masturbant il éjacula dans son petit cul… Le gamin n'aimait pas encore ça, mais il se laissait besogner…

Il voulait l'habituer à écarter ses petites fesses quand le mâle le voulait.

Il fallait que le petit soit opérationnel très rapidement, il allait devenir leurs vides couilles plusieurs fois par jour.

Il écouta les flashs d'information, Kevin était recherché dans toute la région, la dernière fois qu'on l'avait vu il était en compagnie d'une petite fille… Aucune éventualité n'était écartée, la fugue ou la noyade semblait probable, ses affaires ayant été retrouvées sur la plage cette dernière hypothèse semblait l'emporter…

Un peu anxieux le docteur alla se promener sur Internet et ramassa une quantité de messages, seuls trois ou quatre étaient vraiment intéressants. Il répondit comme il l'avait fait auparavant en laissant son numéro de téléphone portable.

Vers seize heures il rendit de nouveau visite à Kevin, apportant son goutter il lui fit une piqûre d'opium. Il attendit quelques minutes, puis recommença à abuser du petit garçon, il se fit sucer et l'encula de nouveau, à genoux, l'enfant écarta ses cuisses de lui même, il semblait se résigner à son sort.

Il gémissait à chaque pénétration, la pommade et l'opium ne l'empêchait pas d'avoir mal, la bitte rentrait à fond dans son petit cul et les couilles battaient sur ses fesses, preuve d'un enculage efficace. Le petit bandait, le docteur le masturbait intensément, ce dernier se demanda si le petit n'appréciait pas un peu l'enculage et la masturbation en effet quelques signes de jouissance faisaient leurs apparitions…

Il repartit après avoir joui à nouveau dans son petit cul, le môme avait les yeux ouverts, il semblait lointain et absent.

Le docteur s'occupa dans son bureau pendant quelques heures, il fut interrompu par la sonnerie du portable, il reconnût aussitôt la voix du ferrailleur…

 

-         Bonjour, on serait intéressé par une nouvelle séance, mais d'un genre un peu spécial…

-         Cela consiste en quoi …questionna le docteur.

-         Et bien on est plusieurs à organiser une petite soirée et on aurait bien aimer pouvoir s'amuser un peu. On sera six et …

-         L'homme hésita un peu, le docteur lui facilita la tâche… Combien de gamines et de gamins lui dit-il…

 

-         Je ne savais pas que vous faisiez dans les gamins, mais pourquoi pas… une autre fois peut être…

-         Pour six hommes cela fera en tout un forfait de 10000 francs, remise déduite et si je peux participer, sinon c'est plus cher…

-         Oh la…. bon enfin….

-         Deux fillettes ça va ?

-         Ok ça ira…. Pour demain soir c'est bon ?

-         D'accord mais on fait ça dans un local à nous, un pavillon exprès avec tous les accessoires, je vous téléphone demain pour vous donner l'adresse…

-         Ok à demain….

 

Le sourire aux lèvres il raccrocha, il avait préféré ne pas insister pour les petits garçons… Kevin n'était pas encore tout à fait prêt pour participer à une partouze de ce genre.

Jean Yves et les gamines rentrèrent vers 19 heures, il leur apprit la bonne nouvelle pour demain. Jean Yves rouspéta un peu, affirmant que le local n'était pas encore prêt. Le docteur le rassura, il faudrait principalement une bonne quantité de boissons alcoolisés, l'idée de fabriquer une sangria assez spéciale leur permettant d'atteindre des sommets lui plut, même si le "pavillon des tortures " n'étaient pas tout à fait prêt…

La matinée du lendemain passa rapidement, Jean Yves et les deux gamines firent la grasse matinée, vers 9 heures ils partirent s'occuper du pavillon des tortures, tandis le docteur s'occupa un peu de Kevin. Jean Yves l'avait enculé deux fois dans la nuit, le docteur l'avait aussi honoré de sa bitte deux fois dans la matinée. Le petit s'ouvrait de plus en plus facilement, les médicaments aidant il se laissait soumettre sans problème. Le docteur lui avait promis que si il continuait à être sage, il ne serait plus enchaîner, il pourrait se promener avec les filles comme il le désirerait.

Le gosse suçait bien, avalant tout ce qu'on lui demandait, il ferait une petite putte parfaite…

Le docteur téléphona au ferrailleur pour lui indiquer la route à suivre pour arriver à la petite maison, le rendez vous était fixé à 18 heures, ce qui voulait dire que les fillettes allaient se prendre des bittes toute la nuit.

Jean Yves et les deux gamines rentrèrent à 14 heures pour déjeuner. Les petites étaient toutes excitées, elles savaient qu'elles allaient rencontrer des messieurs et qu'il faudrait qu'elles se laissent faire.

Elles n'avaient aucune idée de ce qu'elles allaient endurer… 

Vers seize heure, le docteur leur donna à avale deux comprimés…

Il leur demanda d'aller s'habiller, de mettre ce qu'il avait préparé. Chacune une minijupe, culotte rose petit bateau, petite chaussette blanche et sandalette,

un tee-shirt moulant mettait en valeur leur gracilité et leur très jeune âge…

Le docteur les contempla, il leur demanda de s'allonger sur le lit l'une à côté de l'autre, les filles obtempérèrent… L'une après l'autre il baissa leur petite culotte et remplit leur chatte, puis leur cul de pommade antiseptique, il termina par de la vaseline… Elles étaient prête à être remplis de jutte par tous les trous…

 

 

 

 

 

                           La partouze 1

 

 

Il leur fit ingurgiter deux grands verres de porto chacune, le résultat fut telle qu'à 17h 30, les comprimés et l'alcool aidant, les deux fillettes étaient dans un état d'euphorie et de soumission totale. Juste avant de partir, au dernier moment, le docteur se ravisa et décida d'emmener Kevin aussi, il verrait bien si les clients acceptaient, ce serait la cerise sur le gâteau…

Il fit une piqûre au petit garçon. Les trois enfants s'installèrent à l'arrière de la voiture. Les dix minutes de trajet qui séparaient les deux pavillons s'effectuèrent à allure modérée, il valait mieux être prudent…

Deux voitures étaient garées juste devant la maison de campagne. Ils avaient bien trouvé l'adresse. les portières des deux véhicules s'ouvrirent laissant descendre les participants… Il y avait le ferrailleur, plus cinq autres mecs et une jeune femme…

Le docteur les rejoignit, leur serra la main, il se mit à discuter avec le ferrailleur; celui-ci lui remit une enveloppe…

La porte du pavillon s'ouvrit, tous furent invités à faire comme chez eux.

Jean Yves et les filles avaient bien fait les choses, un buffet froid avait été préparé, de nombreuses boissons alcoolisées étaient à leur disposition. Il y avait aussi le grand bocal de sangria, mélangé à des excitants, amené le matin par Jean Yves.

Le docteur ressortit, puis revint quelques minutes après avec les enfants  accompagné de Jean Yves. Toutes les discussions s'arrêtèrent, les participants contemplèrent les gamines… Il fit les présentations, chacun des mômes fut rapidement entouré et choyé. Nadine reçut sa première main aux fesses…

Jean Yves installa Kevin sur un lit dans une des chambres aménagée dans la cave, le môme était à la limite de la conscience et somnolait.

Les travaux du pavillon n'était pas terminés, mais le principal était fait.

Au sous-sol, la cave était déjà insonorisée par de la laine de verre, des anneaux étaient déjà fixés aux murs, des chaînes pendaient par terre, prêtes à recevoir leur proies… C'était propre et très bien fait, un lit dans chaque partie de la cave avait été monté, les portes de séparation avaient été recouvertes de laine de verre et de moquette. Le docteur essaya de s'enfermer dans la cellule ou reposait Kevin… Aucun bruit ne pouvait s'échapper, seuls quelques petits trous percés dans une cheminée laissaient passer un peu d'air frais pour assurer l'évacuation du gaz carbonique, décidément Jean Yves était loin d'être un con, c'était le partenaire idéal pour ce genre de truc…

Une grande armoire dans chaque cellule renfermait quantité d'accessoires, du fouet au martinet, en passant pas des menottes et des godes sans oublier la vaseline, plus une quantité de tenues vestimentaires érotiques.

Une seule salle de bain était disponible au sous-sol, cela ne devait pas être un problème majeur.

Le docteur remonta l'escalier, l'ambiance était bonne, quatre mecs étaient en train de picoler la sangria en discutant avec Jean Yves. Les deux autres plus pressés assis dans un fauteuil enlaçaient chacun une gamine par les épaules et commençaient à peloter les fillettes qui se laissaient faire.

La jeune femme était restée toute seule assise sur un canapé, sirotant un verre de porto. Le docteur se dirigea aussitôt vers elle… Elle était encore très jeune, maximum 18 ou 20 ans, elle lui parut superbement belle, il s'approcha, en effet elle l'était…

Son visage était encore celui d'une très jeune fille, son corps frêle et gracile accentuait l'impression de pureté qui émanait d'elle. Ses vêtement ne prêtaient à aucune confusion, elle était là pour participer aux ébats…

Il engagea la conversation, essayant de la mettre à l'aise, elle lui sourit aussitôt. Il comprit en un instant… Dans la nuit elle serait à lui, plus aucun doute n'était permis, il la désirait... Elle rougissait à chacune de ses questions, son côté fausse pucelle l'attirait énormément. Il lui demanda directement si tout à l'heure elle voulait faire l'amour avec lui, elle le regarda timidement dans les yeux en laissant échapper un : " pourquoi pas "…

Le docteur sourit, puis l'air désolé, lui fit comprendre qu'il devait s'absenter, il la quitta en lui lançant un : " A tout à l'heure ", prometteur…

Un des types avait déjà sa main dans la culotte de Nadine, l'autre mec avait agenouillé Audrey entre ses jambes, sa braguette ouverte…

Le docteur intervint gentiment, leur rappela que des lits et accessoires étaient en bas à leur disposition, les types comprirent le message et descendirent aussitôt l'escalier, les gamines marchant devant eux…

Le docteur les suivit, il leur dit qu'ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient, que le local étaient insonorisé… Les deux mecs qui étaient certainement plus que copains choisirent la même cellule, les deux fillettes se retrouvèrent dans un coin de la pièce l'une à côté de l'autre. Le docteur ouvrit l'armoire et fit contempler les instruments. Le plus âgé des types prit pour s'amuser un martinet dans sa main et balança aux gamines : " si vous n'êtes pas sage voilà ce qui vous attend…" . Il regardèrent avec satisfaction les instruments, puis se décidèrent rapidement. Ils harnachèrent autour du cou un collier en cuir à Audrey et le cadenassèrent, la fillette de 9 ans avait maintenant une laisse d'environ 3 mètres. Pour Nadine ils lui fixèrent des chaînes à chaque poignée, la gamine de 11 ans se retrouva attaché aux deux anneaux fixés au mur, les trois mètres de chaînes lui permettait d'atteindre sans problème le lit … elle s'assit par terre et attendit.

Le ferrailleur avait du prévenir que le docteur pouvait rester pendant la séance, et être ou bon lui semblerait, car aucun des deux hommes ne parut étonner de voir le docteur s'asseoir dans un fauteuil et contempler la scène avec raffinement… Il avait été convenu par contrat verbal que tout pouvait être fait aux fillette, sauf attenter à leur vie, le docteur restait là pour constater ce fait…

L'homme plus jeune s'assit sur un des fauteuils et demanda à Audrey de venir le rejoindre à quatre pattes, la fillette le cou enserré dans son collier, traînant sa petite chaîne rampa jusqu'à ses genoux. L'homme écarta ses jambes, fit approcher la petite fille au maximum, il fit reposer sa joue sur sa braguette et d'une main fit glisser sa fermeture éclaire, il écarta le tissu et demanda à la petite de sentir et de renifler fort… La nymphette s'exécuta, l'homme dirigea sa tête et la força à mettre son nez dans l'ouverture, pendant ce temps il commença à lui palper délicatement son petit cul.

L'autre homme ne resta pas en reste, il demanda à Nadine de se mettre à genoux. Il se planta debout devant elle et demanda à la fillette de sortir sa bitte et ses couilles. La grande fille de onze ans dégrafa la braguette, introduit sa petite main à l'intérieur, quelques secondes après elle la ressortit tenant la grosse bitte de l'homme entre ses doigts. Avec plus de précaution elle alla rechercher les couilles et les fit apparaître aussi. Nadine avait l'habitude…

Le type lui saisit la tête avec ses deux mains, amena la bouche de Nadine sur sa verge. L'homme lui ordonna : " suce petite salope " . La petite engouffra son chibre dans sa bouche et commença sa fellation…

Audrey avait maintenant elle aussi, la bitte dans la bouche…

Les deux hommes se laissaient travailler la bitte par les gamines qui s'appliquaient, le docteur et Jean Yves les avaient bien éduqués.

A voir le contentement des deux hommes et leur cris de jouissance elles n'allaient pas tarder à être comblé de jutte par la bouche…

L'homme le plus jeune éjacula dans la bouche d'Audrey en premier, la petite de 9 ans avala le mieux quelle put les nombreuses gorgées. Quel spectacle… le docteur prenait son pied, il regardait déglutire la petite fille, elle avalait presque tout, les yeux exorbités de surprise… Le peu de liquide qui ressortait de sa bouche maculait ses lèvres et le bas de son visage, sublime soumission, inoubliable pour une fillette et entière satisfaction pour l'homme, rien n'était incompatible…

L'homme se détendit complètement à la renverse dans son fauteuil, la petite resta sans bouger la bitte dans la bouche pendant de longues minutes.

Nadine reçut sa dose de sperme aussi, la décharge fut plus courte mais généreuse, la grande fillette de onze ans avala goulûment, elle adorait la jutte et pompa le monsieur jusqu'à la dernière goutte…

Les deux hommes rentrèrent leur bitte et décidèrent de garder uniquement leur slip, cela serait plus pratique pour tout à l'heure.

Leur imagination étaient sans bornes, ils eurent l'idées de vouloir trimbaler les fillettes en les tenant enchaînées… Ce qui fut aussitôt fait, les chaînes côtés murs furent ouvertes, les petites furent obligées de remonter l'escalier à quatre pattes, les deux hommes tenaient en même temps chacun leur chaîne et fouettaient leur croupe avec le martinet, l'effet était radical, les fillettes obéissaient au doigt et à l'œil.

Les fillettes arrivèrent dans la salle principale, tous se retournèrent pour contempler le spectacle…

 

Leur bouche encore recouvertes de sperme ne prêtaient à aucune confusion, tout le monde dans la salle savait maintenant qu'elles avaient avalé leur première jutte de la soirée. Un homme de petites tailles s'approcha des gamines, releva leur jupette sur le dos, laissant apparaître leur beau petit cul bien enrobé dans les culottes roses à dentelles… Un autre plus grand voulut retirer les tee-shirt, il fallut retirer les chaînes, puis les remettre l'opération accompli. Les gamines étaient maintenant torse nu. Le tissu à dentelles rose, élastique faisaient saillir leur petites fesses. Le ferrailleur prit le martinet d'une des main d'un des hommes et fit semblant d'en donner un coup sur le cul de Nadine et d'Audrey, c'était sans compter sur l'assemblée qui dans un tollé général demanda l'application réelle et immédiate de la sentence. Le ferrailleur demanda que l'on tienne les fillettes et qu'on les bâillonne. La jeune femme qui n'avait rien dit jusqu'à maintenant sortit deux foulards de son sac, elle ouvrit la bouche de chaque gamine, y introduit un morceau de tissu qu'elle roula en boule, puis elle recouvrit avec le foulard, et serra très fort le nœud derrière chaque tête.

Deux hommes les saisirent comme une plume , les installèrent cambrées sur le bord d'un grand canapé en velours noir, la tête et le torse renversés sur le dossier, les mains pendantes. Seuls leur cul et leurs jambes étaient tenus écartés  en hauteur, chaque homme pouvait régler l'écartement de leurs cuisses.

Tous les hommes caressèrent leur petit cul, le docteur et jean Yves preuve de leur accord firent de même. Quelle douceur fantastique, quel ravissement pour les yeux, chaque homme mit sa main dans leur petite culotte, caressant comme il le souhaitait, des mains s'aventurèrent sur leur devant, parcoururent leur petite fente. La jeune femme ne fut pas en reste, elle baissa l'un après l'autre les deux petits slips et introduisit un doigt dans l'anus de chaque fillette. Le ferrailleur demanda à la jeune femme de se retirer. Il remit les petites culottes en place et souleva en l'air le martinet. Réalisant qu'il ne pourrait en fouetter qu'une à la fois, il demanda au plus vieux de l'aider, et lui confia l'autre martinet…

Les deux hommes avaient maintenant leur fouet en l'air prêt à cingler les petits culs, les hommes tenaient écartées les cuisses des gamines, le ferrailleur voulait absolument les fouetter sur la fente, et non sur les fesses elles mêmes.

Le premier coup s'abattit en claquant sur la petite culotte d'Audrey, il avait visé juste, en plein sur la raie du cul, les deux hommes maintenait chaque petite et corrigeaient l'angle pour que le coup arrive juste sur la raie et sur l'anus…

La fillette hurla de douleur, heureusement le bâillon faisait son effet, les cris furent complètement étouffés.

Une seconde après se fut au tour de Nadine, le coup fut raté et bifurqua sur une des fesses, le ferrailleur pas content décida de s'occuper tout seul de la punition, il se remit entre les cuisses de Nadine et frappa…  Juste ou il fallait, la fillette se tordit en gémissant de douleur.

Trois coup furent donnés à chaque fillette, d'une très grande violence, avec une précision extrême.

 

Le ferrailleur baissa leur culotte l'une après l'autre… Beau travail aucune trace sur les fesses, juste la raie du cul et l'anus tout rougis par les coups…

Il demanda que l'on retourne les fillettes, il allait faire pareille sur leur chatte…

Le corps de chaque gamine fut retourné et maintenus par les hommes, maintenant les petites offraient leur devant au lieu de leur derrière.

Chacun pouvait contempler l'expression du visage des fillettes, elles pleuraient, des spasmes de sanglots secouaient tout leur corps.

Le ferrailleur fit une petite pose et baissa leur petite culotte.

L'une après l'autre, il mit sa tête entre leur cuisse, lécha leur chatte en rentrant sa langue assez profondément. Les fillettes se calmèrent assez rapidement.

Toute l'assistance était en extase, presque tous les hommes se masturbaient devant les gamines. Le ferrailleur décida de continuer sa punition avant de laisser les fillettes aux bittes des mecs. Leur petites culottes furent remises, les hommes écartèrent les cuisses des petites au maximum, elles étaient à nouveau offertes aux coup de martinet.

Le premier coup cingla Audrey sur son slip en plein milieu de l'entrecuisse, juste ou il fallait, en plein sur les grandes lèvres de la fillette.

Elle hurla, gesticulant comme jamais elle ne l'avait faite. L'autre coup cingla Nadine avec encore plus de force, pareillement la fillette se tordit de douleur…

Les deux autres coups portés à chaque gamine le furent sans ménagement, donnant le même résultat à chaque fois, les petites déliraient de douleur…

Le ferrailleur admira son œuvre, baissa leur culotte et contempla, le docteur jeta un œil aussi, le minou était rouge, irrité, mais rien d'irréparable n'avait été accompli. Le ferrailleur resta entre les cuisses d'Audrey, il sortit sa bitte, bandant très fort, il appuya sur le trou de chatte de la plus petite. La môme était dans les vaps, elle ne ressentit pas la grosse pinne rentrer dans son bas ventre.

Il la besogna durement pour une petite fille de 9 ans, sauvagement…

La jeune femme avec une bassine d'eau, humecta le visage d'Audrey, elle voulait que la gamine regarde sa pénétration. Le fait est que la fillette se réveilla, ouvrit les yeux et comprit immédiatement qu'elle était montée par une grosse bitte.

La jeune femme ne se contenta pas de ça, elle retira le bâillon et le morceau de tissu de la bouche d'Audrey, puis elle invita un garçon à lui rentrer sa bitte dans la bouche. Les hommes qui soutenaient la fillette la baissèrent légèrement, la bouche d'Audrey vint au contact de la pinne d'un mâle qui, appuyant pénétra la bouche de la petite fille.

Le ferrailleur la besognait sans ménagement, à chaque coup de bitte la fillette bougeait et gémissait de douleur. Les deux hommes lui tenaient les cuisses et écartaient son bassin au maximum avec force. Toute l'assistance pouvait remarquer que la bitte rentrait à fond dans le bas ventre de la petite fille, les testicules appuyaient à fond sur l'entrejambe. Il explosa, lui remplissant la chatte de jutte, une grande dose de sperme inonda le ventre d'Audrey.

 

 

 

A chaque giclée elle gémissait en gloussant, on aurait dit que sa souffrance s'estompait, peut être que le sperme chaud lubrifiait son intérieur, apaisant son mal ?. Peut être aussi qu'un début de jouissance l'envahissait…?.

Le ferrailleur sortit du ventre d'Audrey en gueulant très fort : " Au suivant … ",

Il changea de place avec l'un des mec qui soutenait Audrey, ce dernier vint entre ses cuisses, parlant à la petite, il lui dit : " Je vais t'enculer ma petite puce, je vais rentrer ma bitte dans ton tout petit trou du cul et tu vas aimer ça…".

Il demanda au deux porteur de retourner la fillette, les souteneurs durent replier les jambes de la petite et les écarter différemment  pour la mettre dans une bonne position d'enculage.

Le type derrière le cul d'Audrey appuya sa grosse pinne sur l'anus de la petite, il avait vraiment une grosse bitte, l'enculage n'allait pas être facile.

Le docteur voyant ceci préféra mettre de la vaseline à nouveau dans son postérieur, il lui remplit le cul complètement, en recouvrit aussi la grosse bitte de l'homme, qui se laissa faire avec délectation. Pendant tout ce temps la jeune femme caressait Nadine, se faisant lécher la chatte par elle…

L'homme appuya à nouveau son gland sur l'anus d'Audrey, les deux mecs écartaient ses cuisses au maximum. Un autre mit ses mains sur les deux petites fesses de la petite fille, les écartant au maximum.

L'homme à la grosse bitte poussa son gros gland sur l'anus de la fillette, les chairs se distendirent un maximum, Audrey gémit de douleur…

L'enculage continuait, la bitte cherchait son chemin, l'homme poussa encore plus fort, d'un seul coup la résistance fut vaincue, le gros gland rentra dans l'anus de la petite. Audrey se mit à hurler comme jamais elle ne l'avait fait, puis plus rien elle s'était évanouie…

C'était surréaliste… Un tout petit cul de fillette de neufs ans, avec en plein milieu un pieu de six centimètres de diamètre qui distendait incroyablement son anus… La nature était bien faite, chez une femelle, même très jeune, la chatte et le cul était prévu pour recevoir le mâle des deux côtés… Depuis des centaines de milliers d'années, l'habitude avait été prise…

Le docteur vint aussitôt avec son stéthoscope, le cœur battait vite mais régulièrement. Le docteur demanda à l'homme de patienter un peu avant de continuer son besognage, il sortit sa trousse médicale, fit une piqûre dans le bras de la gamine. Elle revint à elle rapidement, le docteur fit signe à l'homme qu'il pouvait continuer doucement… Il reprit son enculage très doucement, la gamine se remit à gémir de souffrance…

L'homme lui caressa en même temps son clitoris par devant, lui fouilla sa chatte avec ses doigts, au bout de quelques minutes il ressentit la petite boule de chaire sous ses doigts, la protubérance s'accentuait, devenant de plus en plus palpable au toucher. L'homme caressa son clitoris pendant de longues minutes, la gamine ne gémissait plus. L'homme décida de pousser un peu plus sa queue dans le cul de la petite fille. L'enculage continua doucement mais méticuleusement, l'homme s'enfonçait un peu plus à chaque coup de rein, la petite n'avait plus l'air d'avoir mal, le titillement de son clitoris y était certainement pour quelque chose.

Son bourgeon devenait de plus en plus gros sous les doigts de l'homme, la fillette était de plus en plus lubrifiée par devant.

Tous les yeux se portaient sur le petit cul rentré par la très grosse bitte, personne ne comprenait comment un si petit trou pouvait recevoir un aussi gros morceau.

Le gars qui mettait sa bitte dans sa bouche au début avait arrêté et regardait subjugué comme les autres l'enculage.

La fillette se mit à gémir d'une autre façon, le plaisir montait en elle, les râles qui sortaient maintenant de sa gorge n'avaient plus rien de commun avec ceux de douleur de tout à l'heure. La gamine commençait à prendre son pied, l'homme redoubla sa cadence d'enculage, la fillette avait mal au cul, mais le plaisir de l'excitation de son clitoris prenait le dessus…

Le gars devant la fillette remis sa queue dans sa bouche, et demanda à la fillette de bien le sucer, la petite de 9 ans recevait l'engin à fond dans sa gorge et paraissait accepter la fellation, ses yeux n'étaient plus horrifiés, mais tout pétillants, son visage avait une expression d'extase…

La grosse bitte de l'homme était rentré presque à fond dans les fesses de la fillette. Il continuait sa poussée, appréciant beaucoup la douceur du conduit annale, sa chaleur lui donnait des sensations jamais connues jusqu'à présent.

Il était très serré, comme jamais il ne l'avait été…

Il poussa encore un grand coup, il y était, la petite fille était enculée à fond, jamais plus la gamine ne serait écartée comme elle l'était, elle se souviendrait toute sa vie de cet enculage. Il jouit copieusement dans son postérieur, la jutte par pression successive lui remplit son ventre. La fillette ressentait tout, un monsieur lui avait mis son gros zizi par derrière, elle avait eu très mal,  maintenant tout son corps était rempli d'une étrange chaleur. C'était agréable, son minou était caressé, d'étranges sensations rayonnaient dans son bas ventre. En plus maintenant dans son derrière elle ressentait des jets de liquide qui rentraient, c'était chaud et très bon, cela retirait tout le mal de tout à l'heure…

 

"Ah encore le liquide chaud qui rentre dans ma bouche, comme tout à l'heure, il faut que j'avale, le docteur m'a dit qu'il me punirait si je le faisais pas…

C'est salé, mais c'est pas mauvais du tout, Nadine aime bien ça aussi…

Le docteur dit que c'est ça qui fait grandir les petites filles…".

 

Les comprimés de tranquillisant, plus la piqûre d'opium faisaient leurs effets,

la gamine était consciente mais détaché de tout, elle était soumise et n'avaient plus réellement mal. Ses fesses, son bas ventre étaient tellement endoloris et meurtris. Ses sens étaient exacerbés, un début de jouissance l'envahissait, elle n'avait jamais connue cette exquise confusion qui troublait ses pensées et tout son être…

 

 

 

 

 

L'homme resta dans son postérieur quelques minutes, lorsqu'il ressortit sa grosse pinne, elle était couverte du caca de la petite fille. Il partit se laver, la gosse put enfin se reposer, elle s'affala par terre dans un coin de la pièce sans bouger.

Les autres mecs rejoignirent Nadine et la jeune femme, elle se faisait lécher la chatte par la petite fille depuis pas mal de temps… Les hommes commencèrent à les caresser toutes les deux. Le docteur profita de cet instant pour s'approcher, il mordilla les seins de la jeune femme. Les autres ne trouvèrent rien à redire, invitant le docteur à la monter comme il le voulait…

Nadine se fit enculer rapidement par un des hommes, un autre lui mit sa bitte dans la bouche, un troisième lui massa sa poitrine en lui mordillant ses tétons.

Le docteur s'était déshabillé, sa bitte vint effleurer la con de la jeune femme,

elle comprit immédiatement, écarta ses cuisses aussitôt, elle mouillait, le docteur n'eut aucun mal à la pénétrer… Un autre type vint à la hauteur de sa tête et se mit à califourchon dessus, il fit appuyer sa queue et ses couilles sur sa bouche,

la jeune femme se mit à lécher méticuleusement les testicules de l'homme...

La partouze dura longtemps, toutes les couilles se vidèrent, toutes les chattes se remplirent….

 

Les hommes avaient amené un jeu de carte, vers minuit une partie de poker assez spécial commença. Les petites filles obligées de rester sous la table de jeux allaient de bitte en bitte en restant environ une dizaine de minutes sur chaque queue… Lorsque la fellation n'était pas correcte, l'homme se saisissait du martinet resté en permanence sur la table, amenait la gamine au centre de la pièce et lui administrait une correction très sévère, toujours des coups portés sur le sexe ou les fesses des gamines. Chaque fillette après deux punitions chacune, savait que les mecs ne plaisantaient pas et vidaient leurs couilles sans en laisser une goutte…

Jean Yves avait préféré rejoindre Kevin, il l'avait déjà enculé plusieurs fois dans la nuit, et cela n'était pas fini, toutes les heures il mettait le petit garçon dans la position qu'il souhaitait, toujours différente à chaque fois et il le sodomisait à nouveau.

Le docteur parla longuement avec la jeune femme, elle se nommait Sandy. Difficile de trouver plus perverse… Elle avait 21 ans, le docteur crut comprendre qu'elle avait des problèmes avec la justice. Elle avait été ramassé quatre jours plus tôt par un des mecs, qui l'avait présenté aussitôt à ses amis, depuis elle leur servait de vide couilles…

La jeune femme fut très intéressé par la proposition du docteur. Ils allaient devoir s'agrandir, une salope comme elle pouvait surveiller les mômes, et de surcroît intéresser aussi beaucoup de mecs. De plus elle était très mignonne, avec son visage innocent on aurait pu lui filer le bon dieu sans confession…

 

 

 

 

Il fallait qu'elle quitte les autres mecs, c'était le problème…

Il lui dit de revenir une heure après leur départ, ils ne sauraient jamais ou elle était parti, il valait mieux être prudent, au cas ou un des mecs la revendique. Preuve de leur futur collaboration il lui fila discrètement 1000 balles, la jeune femme n'avait pas vu autant d'argent depuis longtemps.

Vers quatre heures du matin, deux mecs un peu éméchés vinrent trouver le docteur, ils se rappelaient avoir aperçu un petit garçon… Ils aimeraient bien s'amuser avec l'enfant. Le docteur réfléchit vite, et préféra dire oui, pour la suite ce n'était pas le moment de faire de la résistance.

Il les emmena dans la cellule ou reposait Kevin, le gosse dormait sur le ventre cuisses écartées, du sperme coulait de ses fesses, le travail de Jean Yves avait laisse des traces…

Très rapidement un des hommes se retrouva derrière l'enfant, ils le firent tenir à genoux cuisses écartées, la bitte de l'homme l'empala rapidement. Le sperme dans le cul du petit facilita la tache grandement, il était déjà lubrifié, la queue rentra facilement dans l'anus de Kevin. La pénétration réveilla l'enfant qui se mit à pleurer, l'autre homme étouffa aussitôt ses pleurs en lui mettant sa queue dans la bouche…

Ils l'enculèrent chacun à leur tour sans problème, le petit garçon de 9 ans écartaient de lui même ses cuisses en grand, il savait déjà que plus il ouvrirait ses fesses, moins il aurait mal.

Les débats avec le gosse durèrent une bonne demie heure, il reçut deux doses de sperme… Les types remontèrent dans la pièce du haut, peut de temps après l'enfant épuisé s'écroula sur le lit et s'endormit aussitôt.

La partie de poker était fini, les mecs tous crevé sirotaient leur verre en discutant. Audrey dormait sur un fauteuil, seul Nadine était assise sur les cuisses d'un type, bien sur la fillette était empalé sur sa bitte. Il tira un dernier coup dans les fesses de la fillette.

Tous d'un commun accord, décidèrent vu l'heure de rentrer chez eux.

La jeune Sandy fut la première à se lever, les autres suivirent, ils serrèrent la main à Jean Yves et au docteur en leur précisant qu'ils feraient bientôt à nouveau appel à leur service. Cela leur avait plu…

Le docteur et Jean Yves se retrouvèrent seuls, tout s'était bien déroulé.

Ils laissèrent les mômes dormirent, ils avaient bien mérité un peu de repos.

Le docteur informa Jean Yves que Sandy devait revenir. Dès son retour ils feraient vite et retourneraient à la villa. Il le mit au courant de tout ce qu'ils avaient convenu ensemble, cela ne sembla pas déranger Jean Yves qui fut même content que le docteur ait une nouvelle recrue de charme...

Ils attendirent deux heures avant d'entendre du bruit au dehors. Ils sortirent dans la cour et virent Sandy assise dans l'herbe, en pleurs.

Ils la relevèrent, constatant tout de suite que la jeune femme avait été tabassé, elle portait sur le bas du corps de nombreux hématomes.

 

Ils firent vite, Jean Yves et le docteur allèrent chercher les enfants, tous montèrent dans la voiture qui démarra rapidement.

En roulant la jeune femme leur expliqua qu'ils ne voulaient pas qu'elle parte. Elle s'était sauvée en courant après un bon quart d'heure de passage à tabac.

Elle n'avait pas parler de la discussion avec le docteur, les types pouvaient très bien imaginer que Sandy en avait eu marre de voir les types se comporter de la sorte avec des enfants. De l'avis du docteur ils ne devraient pas la rechercher longtemps, ni lui faire d'histoire, elle en savait trop… Ils étaient con mais pas assassins.

Ils arrivèrent très rapidement, les premiers soins furent donner à la jeune femme, rien de grave, seulement quelques coups portés au visage et sur le corps qui ne laisseraient aucune séquelle.

Jean Yves coucha les enfants, une chambre fut donnée à Sandy, tout le monde était crevé, il était 8 heures du matin…

 

 

 

    

 

 

                                                             Sandy

 

       

Le lendemain, tous firent connaissance un peu plus avec Sandy. Elle était d'un tempérament assez bizarre, tantôt très gaie… Quelques minutes après elle s'asseyait, ne formulant plus un mot pendant une bonne heure. Peut-être le résultat du passage à tabac et de la partouze d'hier, ils verraient bien à la longue…

Les fillettes faisaient une de ses tronches… Elle avaient mal partout et n'avaient pas du tout imaginé que faire les petites puttes comme elle l'avaient fait hier était aussi dur.

Le docteur les rassura un peu et leur donna quartier libre pour la journée.

Kevin avait mal au cul, le docteur après l'avoir enculé, lui prodigua des soins pour calmer la douleur Il resterait sous tranquillisant et attaché toute la journée dans sa chambre.

Le docteur donna les rôles, Jean Yves et Sandy surveilleraient les enfants et les corrigeraient si nécessaire, ils avaient carte blanche, bien sur ils pouvaient profiter des avantages en nature quand ils le désiraient, et autant de fois qu'ils le jugeait nécessaire. Plus les gamines et le gamin auraient de l'expérience, plus cela attirerait les clients…

La jeune femme avait des goûts très spéciales, elle leur expliqua franchement ses fantasmes, pour qu'elle jouisse vraiment il fallait que son ou ses partenaires la soumette complètement et lui fasse mal. Ou alors c'est elle qui appliquait les corrections, elle adorait, selon ses dires l'ingéniosité ne lui manquait pas.

Ils avaient deux jours pour préparer la réception de Mr Dupuis, le type l'avait contacter sur Internet, l'homme serait tout seul. Il y aurait certainement moins de problème à résoudre que pour la partouze d'hier. Le docteur confia cette mission à Jean Yves, lui allait s’occuper de la nouvelle recrue…

 

Le docteur s’occupa de Sandy à sa façon toute la nuit, il put s’apercevoir qu’elle fonctionnait d’une façon bizarre, elle s’abandonnait complètement, intensément dans la plaisir, son investissement était total. Il lui fit faire toutes les choses les plus dégueulasses, la jeune fille était partante pour tout.

Elle adorait être enculée, s’écartant au maximum en attendant la pinne avec ravissement, elle suçait délicieusement et avalait le sperme avec gourmandise.

Entre deux coups de bitte elle lui expliqua qu’il pouvait lui demander n’importe quoi, même tuer quelqu’un… Selon ses dires elle n’aurait aucun scrupule.

Il pressentit qu’elle avait envi de faire ses preuves, de lui montrer ce qu’elle pouvait faire, il allait lui en donner l’occasion… Il lui expliqua que les deux fillettes et le garçonnet qu’ils faisaient travailler n’allait pas suffire, eux étaient réservés à la consommation des clients.

 

 

Il désirait rentrer dans une situation de logique sans retour, pousser au maximum ses théories sur la jouissance dans la souffrance, pour cela il avait besoin de sacrifier quelques enfants, des gamines qui seraient uniquement là pour souffrir et se plier à tous " ses jeux "…Jusqu’à l’extrême…

Il attendit la réaction de Sandy, elle avait les yeux pétillants… Elle le reprit et dit : " à tous nos jeux ?… ". d’un signe de tête il acquiesça, comprenant instantanément qu’elle serait d’accord pour la suite…

Il continua à lui expliquer… Une chambre du petit pavillon serait réservée à la torture, une fillette serait soumise aux pratiques les plus cruelles et ceci jusqu’à la souffrance extrème… Sandy était complètement excité à l’idée de pratiquer les sévices les plus ineffables possibles et de satisfaire ainsi ses fantasmes les plus secrets.

Le docteur avait bien compris que la jeune femme était dans une période de bouleversements psychologique et de grande instabilité mentale, il fallait profiter au maximum de cette possibilité…

Le lendemain matin de très bonne heure Sandy et le docteur prirent la camionnette. Les ordres avaient été laissés à Jean Yves… Ils seraient absent quelques heures, peut être plus, au cas ou il ne serait pas de retour à temps il s’occuperait tout seul de recevoir Mr Dupuis …

Ils se rapprochaient des plages, ils ne pensaient qu’à ça… trouver une petite salope de 9 à 11 ans, bien sur avec elle aucune gentillesse… Elle était déjà programmé pour en chier et souffrir un maximum, peut importe le reste. Elle allait devenir leur jouet sexuel, les sévices qu’elle allait endurer ne laissait place à aucun sentiment.

A dix heures la mer était en vue, ils garèrent la camionnette dans une rue secondaire. Ils était en tenue de plage et ne déparaient pas avec l’environnement.

Ils ne voulaient pas perdre de temps, ils leur fallait une fillette en urgence, belles, fines, vierge bien sur…

 

 

 

                                                             Laura

 

 

 

Un établissement attira leur attention, une salle de jeux ou déjà pas mal d’adolescents et d’enfants s’affairait autour de flippers ou consoles vidéo. Normalement ces jeux étaient interdit aux enfant non accompagnés, mais le gérant devait pas mal s’en foutre à voir la clientèle de mômes.

Une fillette d’environ 11 ans regardaient jouer les plus grands. Le docteur et Sandy s’approchèrent, invitèrent directement la fillette à faire une partie avec eux, elle accepta aussitôt… La petite jouait très correctement, avec passion, elle ne remarqua pas les deux adultes se reculer doucement et la contempler de haut en bas… Pas de toute ses formes étaient parfaites, rien ne clochait, elle avait un corps d’ange et des petites fesses de rêves… Son pantalon en jean et son maillot la moulait très bien, laissant apparaître un corps fantastique d'enfant.

Ils jouèrent une bonne demi-heure, le docteur trouva très naturel de l’inviter à boire quelque chose…

La fillette accepta… Aussitôt dit, aussitôt fait, ils choisirent des boissons à un distributeur automatique, puis ils s’assirent à la terrasse en dégustant leur jus de fruit. Le docteur la désirait, il se voyait déjà, lui mordillant ses petits tétons, elle implorant de ne pas lui faire mal…

Ils sympathisèrent très rapidement, la petite Laura leur avoua avoir 10 ans et demie, elle ne trouva rien à redire lorsqu’il lui proposèrent de leur montrer leur petit chien, qui devait d’ailleurs avoir une envie folle de faire pipi…

Ils se dirigèrent tous ensemble vers le véhicule garé, rien se sembla suspect à la fillette… La porte coulissante s’ouvrit, elle fut invitée cordialement à monter, elle hésita… Le docteur et Sandy, eux n’hésitèrent pas une seconde et poussèrent la petite proie dans le fourgon… La porte se referma brusquement, la petite Laura se retrouva aussitôt entravée dans ses gestes par des liens serrés, tandis qu’une grosse boule de tissu fut fourré dans sa bouche, un bâillon très serré vint parfaire le dispositif… La fillette n’avait même pas eu le temps de crier ni de se débattre…

Le docteur ressortit, dehors tout était tranquille, personne selon lui ne s’était aperçu de quelque chose, il remonta… La fillette était allongée sur un matelas, elle était pitoyable, immobilisée par des liens, les yeux horrifiés, elle venait de comprendre…

Les deux adultes étaient tout excités, la facilité du rapt les avaient surpris.

Sandy caressa la poitrine naissante de la petite et ne put résister à lui tirer très fort un de ses petits tétons… Le docteur comprit qu’il ne pouvait pas en rester la, il défit aussitôt la corde qui maintenant les jambes de Laura. Elle avait les bras enlacé par une cordelette, libérer ses jambes ne posait pas de problème.

Il écarta ses cuisses et commença à ausculter sa proie, puis caressa son ventre, et ses cuisses, les écarta, lui leva les jambes en l’air, les ouvrit…

Il déboutonna le petit jean bleu et fit glisser celui-ci jusqu’au mollet…

La belle petite culotte rose en dentelles apparue. Il retira ses sandales, puis le pantalon complètement. Il demanda à Sandy de lui tenir les jambes écartés très haut en l’air, ce qu’elle fit. Le docteur s’allongea, mit sa bouche à la hauteur de l’entrejambe, quelle odeur sublime… Il commença à donner des coups de langue sur la petite culotte au niveau du minou de la petite, il lécha longtemps…

La fillette le regardait faire horrifiée, les yeux exorbités, aucun son ni gémissement, elle avait compris que cela n’aurait servi à rien. La culotte était maintenant abondamment  mouillée. Il avait pris un malin plaisir à donner des coups de langue, mouillant juste à l’endroit du sexe de la petite, la forme de ses lèvres se dessinaient sous la petite culotte.

Il voulait voir ses fesses… Il demanda à Sandy de la retourner, elle la mit en position sur ses genoux, le corps fléchit sur un gros coffre à outils, fesses offertes… Quel spectacle, un si beau petit cul moulé par une si belle petite culotte rose… Le docteur refit le même manège, il mouilla abondamment au niveau de l’anus, rentrant sa langue ou il fallait….

Il redemanda à Sandy de la retourner à nouveau, cuisses ouvertes, écartées et tenues en hauteur par Sandy. Ce coup ci, le docteur s’aventura dans la petite culotte, quel plaisir… Il fouilla longuement la petite fente de son sexe, sans oublier de titiller le tout petit bouton juste en haut… Peu de temps après il fit glisser la culotte complètement, la retirant… Le docteur déboutonna son short et sortit sa bitte… Il était en érection, Sandy comprit qu’il allait la prendre.

Elle écarta à fond les cuisses de la gamine. La pinne appuya sur les lèvres du sexe de la fillette, sans aucun lubrifiant, à sec… Il voulait violer sa proie…

Il appuya très fort… Laura essayait de se débattre, rien ni faisait, les mains attachées restaient immobilisées derrière le dos…

Sandy  lui maintenait les cuisses écartées empêchant tous mouvement.

Le docteur appuya, il se ravisa un instant, inonda de salive le creux de sa main droite, aussitôt après le contenu liquide se retrouva sur la chatte de la petite…

Il essaya d’en faire rentrer un peu… Il remit sa pinne sur l’entrée de la fente et appuya très fort… C'était très serré, jamais personne, ni quoi que ce soit n'était rentré dans ce joli petit temple.

Le gland de sa bitte rentra d’un seul coup dans le petit trou…

La fillette eut très mal, elle pleurait, des saccades secouaient tout son corps, heureusement aucun son ne sortait de sa bouche obstruée par la boule de tissu maintenue par le bâillon serré.

Il laissa le gland dedans sans bouger, contemplant son œuvre intensément.

Le bout de sa bitte avait disparue dans la fente de la petite, le joint était parfait… Il essaya plusieurs fois de retirer doucement son gland pour voir… la chatte de la môme était collée à sa bitte, épousant son bout parfaitement.

 

 

 

Il demanda à Sandy de s’occuper de ses tétons, celle-ci releva le maillot et commença à lécher les bouts chacun leur tour, elle n’oublia pas le petit mordillement du mamelon qui secoua complètement la gosse à chaque fois…  

Il commença son besognage, mais sans faire coulisser, jouant juste avec son gland sur le joint de la petite… Tirer, pousser, tirer, pousser….

Contempler l’expression de terreur du visage de la gamine était un ravissement pour lui. Il lui massa son clitoris longtemps, tout en continuant à jouer avec son gland. Le bout de ses tétons était devenu tout violet et avait doublé de volume.

Tout à coup, il en fut sur… Le clitoris de la fillette avait grossi, il put remarquer  une certaine lubrification de la fente de la petite, ainsi qu’un pétillement des yeux de la môme…

Il en était sur la petite fille commençait à prendre son pied…

Il savait depuis longtemps que toutes les fillettes pouvaient être activée de la sorte, même très jeune, il suffisait d’être patient et de savoir travailler la chatte des gamines.

Il pensa à ses fesses, son petit trou du cul, n’avait pas été travaillé, il fallait y remédier. Il demanda à Sandy de lui mettre un doigts dans l’anus, ce qu’elle fit aussitôt… Laura eut un frémissement lorsque le doigt commença son va et vient dans le conduit anal. Sandy eut une surprise lors de la pénétration, elle ne put que constater la douceur et la très grande élasticité du conduit anal… Elle le confirma au docteur qui décida aussitôt d’essayer de la prendre par son derrière.

Il se retira d’un coup sec de sa chatte, il y eut comme un bruit de bouchon retiré à l'ouverture d’une bouteille pleine… La fillette se retrouva très rapidement sur les genoux cuisses ouvertes, le visage sur le planché de la camionnette, les mains toujours attachées derrière le dos. Quel beau petit cul offert, la perfection même,  tout rose, si doux au toucher. Il joua avec l’élasticité de l’anus et continua de l’autre main à travailler son clitoris. Comme lui avait dit Sandy, il put constater après avoir rentré un doigt dans son cul que la gosse avait une corolle très souple, l’enculage ne devait pas poser de problème.

Il fit couler de la salive sur la raie des fesses, contempla le liquide descendre doucement vers son trou du cul. Il ne ratait jamais ces moment… Le liquide alla à la rencontre de la petite rondelle, décida de s’arrêter là, recouvrant toute la superficie de l’anus. Le docteur mit de la salive aussi sur le bout de sa pinne.

La fillette ressentit rapidement quelque chose de dur juste à l’entrée de son petit cul. Elle avait compris ce que le docteur voulait faire et résistait en ondulant sa croupe de gauche à droite. Elle était à sa merci, rien ne pouvait l’empêcher d’être enculé… Il la fouillait toujours avec ses doigts par devant, activant son clitoris. Il lui fit ressentir la pression de sa queue sur son anus pendant au moins 5 minutes, appuyant légèrement juste au milieu du trou, la martelant doucement, jouant avec l'élasticité de sa petite corolle…

 

 

 

Peu de temps après la petite se détendit complètement… Les doigts du docteur était remplis de liquide tiède, son petit clitoris avait doublé de volume.

La fillette était belle et bien en "chaleur"…

Le docteur demanda à Sandy de la caresser avant l’enculage, ce qu’elle fit aussitôt en lui griffant les fesses et le dos. Puis il donna l'ordre à la petite Laura de bouger sa croupe pour ressentir le plaisir au maximum.

La gamine ne n’exécuta pas tout de suite. Elle mit 2 ou 3 minutes pour être au summum de son plaisir. Elle n’y pouvait rien, elle jouissait, ondulant de la croupe comme certainement sa maman le faisait… Le docteur en profita pour pousser le gland de sa bitte un peu plus fort sur l’anus de la môme, son conduit anal se déforma sous la pression de la pinne. La fillette avait mal mais continuait à remuer son postérieur. Les doigts magiques du docteur continuaient leur travail sur son clitoris. Il poussa un coup plus fort que les autres, le bout de son gland rentra dans le postérieur de la fillette. Elle gémit immédiatement et arrêta de bouger sa croupe, il y était, la gamine était enculée…

Le docteur ne bougea plus, profitant de l’instant au maximum. C’était chaud et très serré, comme il aimait… La petite râlait de plaisir ou de douleur, peut être les deux en même temps ?.

Au bout de quelque minutes, le docteur décida de la ramoner doucement.

Il commença un petit va et vient dans son conduit annal.

En temps que docteur il connaissait la grandeur et le diamètre des merdes que faisaient les petites gamines de dix ans, il avait vu des fillettes de six ans faire des colombins d’une longueur et d’un diamètre supérieur à celui de sa queue. Par expérience il savait bien qu’une bitte de 12 centimètres et d’un bon diamètre n’avait aucun problème pour rentrer dans un trou du cul d'une petite fille.

Son conduit annal était strié, il le ressentait bien. Avançant un peu plus à chaque coup de bitte, son plaisir devenait extrème. La chaleur de son trou du cul, les stries internes lui donnaient des sensations inconnues à ce jour.

C’était génial, quel beau petit cul… Il la besognait maintenant plus violemment,  la petite enculée avait prit toute la dimension de la bitte, les couilles du docteur battaient sur son postérieur, la jutte n’allait pas tarder à asperger son intérieur…

Il l’inonda d’une dizaine de doses de sperme, la gamine ressentit le liquide chaud, se crispant à chaque décharge. Le docteur retira enfin ses doigts de l’intérieur de son vagin, il était aussi mouillée qu'une chatte d’une jeune fille. Son clitoris avait l’aspect au toucher de celui d’une femelle beaucoup plus âgé. Ah la belle petite enculée dit il à Sandy, on a trouvé notre recrue…

Sandy acquiesça, elle n’avait pas dit grand chose, ayant été subjugué par toute l’opération, ses yeux étaient comme hypnotisées. Elle avait dégusté toute l’opération avec délectation…

Il se retira de l’enculé, sa bitte était pleine de merde. il s’essuya, puis retourna la petite fille sur le dos et l’allongea à nouveau sur le matelas. Toujours immobilisé par ses mains derrière le dos, son bâillon sur la bouche, la petite avait un regard de peur. Mais elle avait aussi les yeux tous pétillants et un visage d’après l’amour.

Ses traits étaient détendus, mais c’était vrai elle crevait de peur…

Elle avait joui, certainement pour la première fois. Soumise comme elle l’avait été, plus question pour elle de jouir banalement, il faudrait qu’elle soit prise de force par ses partenaires…

Enfin si le docteur et Sandy lui prêtait vie, et lui donnait un avenir…

Ils rhabillèrent la fillette, l’attachèrent solidement, puis la camouflère sous des vieux cartons, elle respirerait normalement et serait invisible en cas de contrôle.

Le docteur avait décidé de ne pas maquiller la disparition en noyade, l’espoir fait vivre… Il verrait bien, à son avis personne n’avait du les reconnaître ni faire attention à eux, si ce n’est le mec du bar, mais il était tellement occupé, et puis les boissons avaient été prises à un distributeur automatique. Cela ne devait pas poser de problème.

Il démarra la camionnette et prirent la route du retour, il était 11h30, c’était du rapide, 45 minutes pour faire connaissance avec la petite, et 45 minutes pour la kidnapper la baiser et l’enculer… 

Le retour se passa sans anicroche, Jean Yves ne fut pas du tout surpris lorsque Sandy et le docteur déménagèrent de la camionnette l’encombrant colis…

En attendant le transfert dans la maison des supplices, il mirent la fillette dans une chambre de la maison principale, attachée par des menottes et bâillonnée.

Le docteur lui fit une piqûre, la Môme se mit à ronfler aussitôt…

Audrey Nadine jouaient ensemble, Kévin était toujours attaché dans sa chambre. Les trois adultes improvisèrent une réunion, très rapidement ils se mirent d’accord, la petite Laura servirait pour le moment à réaliser des expériences sur la douleur et la souffrance. Elle ne serait pas offerte aux clients, du moins pour l’instant…

 

 

 

 

Le supplice de Laura

 

 

En fin d’après-midi Laura fut emmené à la petite maison et enchaînée nue au mur dans une des chambre de la cave insonorisée par Jean Yves. Le décor était lugubre, un lit avec matelas, une armoire rempli d’instrument médical et de flacons de médicament. Un système de poulies et de treuil avait été aménagé au plafond, permettant d’immobiliser et d’écarter dans toutes les positions un corps humain, ceci pour procéder à toutes les interventions désirées.

Le docteur décida d’essayer le mécanisme de suite, il revêtit la petite fille qui dormait encore de bracelets de cuir aux poignets et mollets, puis il l’habilla d’un harnais qui ceinturait son bassin et ses hanches. Il fixa les cordes du treuil aux 5 crochets qui dépassaient des bracelets et du harnais et activa la mécanisme…

Le corps de la fillette monta doucement à 1 mètre du sol, bras et cuisses écartées au maximum en position horizontale, il en profita pour contempler sa chatte et son anus, remarquant aussi l’état de rougeur des tétons gonflés et tuméfiés…

Il essaya le mécanisme dans une autre position, Laura se retrouva à la verticale, bras tendus en l’air, jambes écartées, pieds à 20 centimètres du sol.

Il pouvait tout faire, la mettre dans toutes les positions. Il préféra une pose intermédiaire, entre verticale et horizontale, bras et cuisses écartées.

Le bassin était tiré vers le mur, devant elle. Ce qui lui donnait une drôle de position. Elle avait les bras et les jambes écartés derrière elle, son bassin courbé vers l’avant.

Tout son corps faisait un léger arc de cercle. Il alla chercher dans l’armoire un flacon qu’il déboucha et qu’il plaça sous le nez de la petite fille, l’effet ne se fit pas attendre longtemps, Laura commença à retrouver ses esprits et ouvrit ses paupières.

La petite fille sortait d’un mauvais rêve et rentra immédiatement dans un vrai cauchemar. Reconnaissant instantanément le docteur et Sandy, elle voulut bouger, mais ses bras et ses jambes étaient maintenus en arrière, le harnais et les bracelets de cuir remplissaient bien leur office. La fillette ne put que se mettre à  pleurer, le bâillon avait été retiré et la fillette exprimait sa détresse…

Ils sortirent de la chambre, refermèrent la porte, et purent constater que le bruit des sanglots étaient complètement étouffés, presque inaudible de l’autre côté.

Ils attendirent un bon quart d’heure, rentrèrent à nouveau, la petite était calmée, bien sur toujours dans la même position cambrée dans l’espace.

Le docteur prit une chaise et décida d’expliquer à la fillette les règles du jeux…

Laura si tu fais tout ce qu’on te dit, tout ira bien, tu mangeras et boira à volonté, sinon rien à manger et à boire, tu seras fouetté et on te fera encore plus mal…

Si tu fais tout ce qu’on te dis, dans quelques semaines tu seras libre.

Tu as bien compris ? … oui ou non… ?.

De la gorge de la fillette sortit un oui presque inaudible…

 

 

 

Bon on va voir si tu a compris, le docteur plaça sa chaise juste sous la tête de Laura. Il demanda à Sandy de descendre la fillette d’un bon mètre et d’orienter sa tête vers le bas, ce qu’elle fit. Le docteur retira son pantalon et son slip, il se replaça cuisses écartées sur sa chaise… Sandy avait compris, elle manœuvra le treuil jusqu’à ce que la bouche de la petite fille touche le sexe du docteur…

Il demanda avec autorité que la fillette ouvre la bouche…

Les lèvres de sa bouche touchaient la bitte encore môle, mais la gamine refusait pour l’instant d’ouvrir… S’adressant à Sandy, il lui demanda de prendre la martinet dans l’armoire, ce qu’elle fit. Il dit seulement 5 coups entre les cuisses…

Sandy se mit en position derrière les fesses ouvertes, le premier coup s’abattit juste ou il fallait, en plein milieu de l’entrejambe… Elle tressaillit et hurla de douleur. La position cambrée, cuisses écartées était parfaite pour la punition.

Les quatre autres coups furent de la souffrance à l’état pur, elle pleurait en hurlant de douleur…

Le docteur attendit 5 minutes qu’elle se calme… On recommence…

Je t’ai demandé de me sucer la bitte, petite salope, tu as compris ce coup-ci … ?

La fillette ouvrit la bouche et happa la queue très rapidement…

La bitte fut très rapidement en érection et le docteur commença à aller et venir dans sa bouche, il ordonnait à la môme de serrer plus fort ou de mouiller avec de la salive, La fillette s’exécuta …

Met lui un godmichet dans le cul, ordonna t’il à Sandy. L’apprentie revint de l’armoire avec une belle bitte en latex, puis se plaçant derrière Laura, elle lubrifia l’anus en rentrant sa langue à fond… Quelques instants après elle commença à faire rentrer le god dans le petit cul de rêve.

Le docteur avait le visage de la fillette devant lui, il put contempler la souffrance de la gamine lors de l’enculage de l’engin…

Le chibre en latex rentra entièrement dans le derrière de la petite fille,

elle souffrait horriblement. Le docteur prenait un malin plaisir à rentrer sa bitte au fond de sa gorge, à la limite de l’étouffement…

Sandy se dirigea vers l’armoire, elle y prit deux pinces à sein, une ficelle pendait à chaque bout, permettant d’y accrocher des poids ou ce qu’on voulait de lourd… Elle se positionna sous la gamine, accrocha les pinces à chaque tétons déjà bien tuméfiés… L’horreur et la souffrance remplirent les yeux de Laura…

Sandy n’en resta pas la et accrocha au bout de chaque ficelle un poids d’environ 100 grammes. La petite poitrine naissante fut déformée et tirée par le bas.

En quelques secondes la gamine parut avoir des petits seins de 12 ou 13 ans…

Elle gémissait de plus en plus, seule la queue dans la bouche l’empêchait de hurler.

 

 

 

Le docteur abandonna sa position assise, modifia complètement le réglage pour qu'elle se retrouva à horizontale, yeux et poitrine vers le haut, bras et jambes tendus écartés au maximum. Il releva le haut de son corps, puis descendit son bas ventre juste à la hauteur de sa queue.

C'était parfait pour être "saillie" par la chatte…

Comme son buste  était légèrement surélevé, la fillette pourrait contempler ce qu’on lui faisait, même voir la bitte rentrer…

Elle pleurait très fort, plus rien n’obstruait son gosier. Les poids des pinces à seins glissant de chaque côté de son corps, tiraient moins qu’avant sur les mamelons, elle devait avoir moins mal aux tétons.

Le god l’enculait toujours autant, le docteur demanda à Sandy de le retirer, ce qu’elle fit de suite, sans ménagement. Le docteur voulait que la môme prenne sa pinne à fond dans son vagin, rien d’autre ne devait la gêner dans son ventre…

Il donna l’ordre à Sandy de lui retirer les pinces à sein et de lui sucer et rouler doucement ses tétons. Les bouts étaient tout violacés, pas beau à voir…

Sandy s’exécuta, trop contente de faire plaisir au docteur.

Il se mit à genoux entre les cuisses de la petite fille, sa langue commença à faire un travail d’investigation et d’humidification du petit vagin. Elle était juste à la bonne hauteur, aussi bien pour la sucer que pour la prendre lorsqu’il se relèverait… Il tourna, retourna sa langue dans le petit trou, mouilla, inonda un maximum avec sa salive, titilla pendant un long moment le clitoris de la fillette, très long moment… Jusqu’à ressentir le petit bourgeon se développer et grossir sous sa langue... La fillette n'y pouvait rien, le clitoris était fait pour la jouissance, même celui d’une petite fille.

Beaucoup de cons l’ignoraient ou feignaient de l’ignorer…

Il continua son manège encore une bonne dizaine de minutes, la petite ne disait plus rien, détendue elle se laissait faire, sa chatte s’humidifiait doucement, son clitoris gonflait toujours, ses yeux devenaient pétillants.

Le docteur gouttait à la petite fille, le liquide qui suintait de sa chatte était sacré, quelle saveur, quel bouquet… Quel met de Roi, et ils si connaissaient les rois, depuis le temps qu’ils pratiquaient…

Laura commençait à perdre la tête en gémissant doucement, le travail du clitoris, plus le léchage des tétons faisaient leurs effets.

Le docteur se releva, toujours en érection sa bitte se trouva aussitôt sur le minou de la petite fille. Elle était déjà écartée, la pinne vint se poser juste à l’entrée de la petite fente de 10 ans et demie.

Il l’avait déjà prise par devant tout à l’heure, seul le bout de son gland était rentré, il en gardait des sensation de bien être incroyable, serré et enveloppé comme il ne l’avait jamais été.

L'envie d’aller plus loin dans son petit ventre le démangeait …

La petite fille regardait la bitte les yeux pétillants, grands ouverts, gémissant doucement. Des râles de plaisir incontrôlables l’envahissaient, le travail sur sa chatte avait duré plus d’une demi-heure et portait ses fruits…

 

 

Elle était offerte sans comprendre. Après la souffrance autant de plaisir, elle se laissait faire, sa soumission était totale. La rébellion n’aurait servie à rien.

Il fallait qu’elle se laisse faire, elle le savait.

Maintenant c’était bon, tout son corps avait chaud, des pétillements partout…

Il promenait sa bitte de haut en bas sur la fente, sans oublier le clitoris chargé de maintenir son désir au paroxysme. Ses mains caressaient ses côtes, son ventre, ses fesses, les palpant, les écartant au maximum.

La bitte traçait seule son chemin, parcourant la petite fente, appuyant là ou il fallait, les petites lèvres commençaient à s’ouvrir légèrement et à se colorer d’un beau rose vif…

Il appuya plus fort. Ensemble ils purent contempler la pinne déformer la petite fente encore fermée. La fillette fit une grimace, serra les dents.

Il appuya à fond, les lèvres de sa chatte s’écartèrent. D'un coup sec et humide en même temps, le bout de la queue rentra complètement. Tout le gland avait disparut dans le bas ventre de l'enfant…

A nouveau le joint était parfait, sensation magique. La petite avait tressailli de tout son être, un léger cri aigu était sorti de sa bouche lors de la pénétration.

Il était serré à souhaits, la chaleur de la fillette irradiait le bout de sa queue.

A l'aide de très légers coups de reins, il la balançait doucement d’arrière en avant, les cordages suivaient le mouvement de la bitte.

Sans chercher à rentrer plus dans son ventre, il rejoua comme il l’avait fait la première fois, pendant plus de cinq minutes, elle gloussait de plaisir…

Belle petite enfant femelle… Il bougea de plus en plus, ressentit une humidification dans son vagin, la petite salope mouillait de plus en plus, elle était prête pour la saillie complète…

Il accrocha ses mains de chaque côté du harnais, l’immobilisa tout en continua son va et vient. La gamine prit aussitôt cinq centimètres de longueur dans sa chatte, elle fut surprise, eut un petit cri.

Les cinq centimètres repartirent aussi vite, puis reprirent leur place aussitôt… Cela coulissait merveilleusement bien, il lui restait à rentrer sept ou huit centimètres dans une chatte de rêve…

Centimètre par centimètre, son engin rentrait, elle mouillait abondamment, prenant du plaisir. La gaminette contemplait sa première pénétration avec attention et stupeur, se demandant comment cela pouvait rentrer dans son ventre, sans vraiment faire mal, et même procurer un certain plaisir…

Cette chaleur qui montait de plus en plus, cette sensation quelle n’avait jamais ressentie avant, elle ne pouvait pas l'expliquer…

Se laisser faire, il fallait se laisser faire, elle verrait bien après.

Il la besognait avec ardeur, rentrant centimètre par centimètre. Sandy qui jouait toujours avec le bout des tétons de la môme depuis le début abandonna son occupation. Elle vint se mettre à genoux derrière le docteur, mit une main entre ses cuisses, entreprit un massage de ses testicules…

 

 

Elle caressa en même temps la chatte de la gosse, et put constater que presque toute la longueur était rentrée dans son bas ventre.

La petite femelle de 10 ans 1/2 gémissait, se tordant de plaisir. Peu de temps après les couilles battaient sur son entrejambe, prise à fond, il la besognait maintenant comme il aurait fait avec une putte professionnelle, sans aucun ménagement, à grands coups de bitte.

Il la travailla cinq bonnes minutes avant d’exploser dans son ventre…

A chaque giclée de jutte la petite fille se crispait un maximum en hurlant de bonheur. A chaque jet, elle vibrait de plaisir en parlant tout haut : " hoo oui,  hoo oui…"

Il la remplit copieusement jusqu’à ce que ses couilles soient vidées à fond.

La fillette ne bougeait plus, ses yeux était tout pétillant, son visage détendu avait une vague expression de bonheur. Il resta assez longtemps sans force, puis décida de se retirer. Il ressortit sa pinne doucement, laissant uniquement le gland. Il était serré un maximum, il tira doucement, le ventre de la petite était comme soudée à sa bitte, faisant comme une ventouse. Il essaya encore, à chaque fois le même phénomène se produisait, la bitte et la petite chatte était comme soudées l’un à l’autre… Il attendit quelques minutes.

Il débanda un peu, d’un coup sec il souleva ses reins et ses fesses. La bitte se retira du vagin en faisant un bruit d’air. La petite fut surprise, le manifesta en faisant sortir de sa bouche un petit  " oh…".

Il redescendit les cordes, la fillette se retrouva allongée par terre. Il la détacha, puis la déposa sur le lit, demanda à Sandy d'aller chercher une bassine d'eau puis de nettoyer un peu la gosse. Il écarta ses cuisses, contempla son sperme ressortir du vagin. Elle était remplie au maximum, avec sa main il appuya sur son bas ventre,  le sperme s'échappa encore un peu plus de sa petite moule...

Ses doigts recueillirent le précieux liquide blanc, qu'il s'empressa d'étaler sur la bouche de la petite. Il lui demanda d'ouvrir sa bouche et d'avaler ce qu'il lui donnait… la fillette toute tremblante était revenue à la réalité, elle s'exécuta aussitôt…

 

Ils attachèrent une cheville de Laura avec une menotte. Une grande chaînette de trois mètres lui laissait une certaine liberté…

On va revenir Laura, dans quelques heures… On en profitera pour t'amener à manger et à boire, mais je te préviens tout de suite, il faudra que tu sois très gentille, que tu fasses tout ce qu'on te dira, sinon rien…

Bon on va chercher du matériel qui nous manque et on revient…

Ils refermèrent la porte de la chambre à clefs et discutèrent un peu sur les méthodes à employer sur Laura. Sandy venait de lui donner une idée…

Il était 21 heures lorsque ils regagnèrent le pavillon. Jean Yves était nu dans le grand fauteuil du salon… Regardant la télévision, Audrey et Nadine s'occupaient de lui, caressant ses parties génitales, elles étaient juste habillées d'une petite culotte en dentelles rose …

Le docteur salua Jean Yves, lui dit de ne pas interrompre ce qu'il faisait.

Rapidement il lui expliqua que Sandy et lui dormiraient dans le pavillon des tortures, ils étaient venus chercher du matériel…

Ils mirent une bonne heure à trouver tout ce qu'ils leurs manquaient, nourriture incluse. Le docteur décida au dernier moment d'emmener Kévin , le petit garçon allait aussi leur servir pour quelques expériences…

Vers 23 heures ils furent de retour au pavillon des tortures. Ils rouvrirent la porte de la pièce ou était enfermée Laura. La gamine dormait, Sandy la réveilla, lui présenta Kévin. Les deux mômes se seraient bien passer de faire connaissance, ils étaient tous les deux transis par la peur…

Le docteur leur expliqua… Vous allez faire tout ce qu'on vous dit et tout ira bien. En cas de contestation ou de mauvaise volonté, vous serez fouettés.

Pas de nourriture ni boisson avant, après si tout c'est bien passé…

La fillette avait pour seul habit son harnais lui ceinturant la taille, et les bracelets aux extrémités des membres. Le docteur amena les cordes qui pendaient du plafond, les rattacha sur la fillette. Peu de temps après la petite fille était à nouveau en suspension à un mètre cinquante du sol, cuisses et bras écartés en position horizontale.

Sandy habilla le petit Kévin avec des habits de fillette, slip en dentelle rose,  soutien gorge, minijupe… Le petit garçon de 9 ans se retrouva attaché en croix aux murs, écartelés, maintenus par des attaches aux extrémités des quatre membres. Sandy redescendit la petite culotte rose en dentelles sur ses genoux…

Le gamin et la fillette étaient à leurs merci. Ils avaient accès à leurs parties génitales comme ils le désiraient…

Le docteur sortit d'un sac, un appareil de stimulation électrique, servant d'habitude à faire perdre du ventre ou des fesses.

L'électricité donnait des impulsions aux muscles, qui eux se contractaient sous l'effet de la décharge, l'appareil était réglable en temps et en intensité.

L'engin professionnel, pouvait être commandé en manuel ou automatique, avec sélection des quatre sondes…

Ils avaient pensé l'utiliser d'une autre manière… Le docteur découpa le surplus des cercles des électrodes, ne gardant qu'une bande de un centimètre de large sur trois centimètre de long. Il disposait maintenant de quatre électrode double, en tout huit endroits qui diffuseraient du courant électrique sur les parties sensibles du corps de la petite fille… Bien sur, il choisit en premier, le clitoris…

il maintint  l'électrode à l'endroit du petit bourgeon avec un bout se sparadrap, la deuxième qui allait de paire avec la première fut placé à l'intérieur du vagin de la petite…

Deux autres sondes furent placés sur chaque tétons tuméfiés de la gosse.

Il en rentra une autre dans l'anus, celle qui allait de paire fut fixée entre le trou du cul et la chatte.

Il se demandait bien ou fixer la quatrième paire, il réfléchit…

La longueur de chaque sonde étant de près de trois mètre, il se décida pour le petit garçon, Kévin se vit placer une sonde sur les testicules et une autre dans son anus…

Il s'assit sur une chaise, le boîtier de commande sur les genoux, il alluma l'appareil, il était prêt à faire joujoux…

Sandy n'en perdait pas une, elle vint se placer par terre à côté du docteur, commença lui sortir la bitte, puis lui massa les couilles doucement.

Il régla les quatre interrupteurs à Zéro, baissa l'intensité au minimum…

Il ouvrir l'interrupteur 1, celui qui commandait le clitoris et la chatte, mit la puissance sur 5. Il appuya en manuel une fois sur le bouton. Laura fut secouée par la décharge, elle tressaillit, les cordes bougèrent, elle se mit à crier…

L'appareil était en position cinq, il pouvait monter jusqu'à cinquante…

Il mit l'anus en fonctionnement, il appuya… Secousse identique de la gosse et commencement des pleurs. Il essaya les tétons…

La encore la réaction fut violente…

Il ne manqua pas d'essayer le petit Kévin, la décharge fut identique, il se secoua énergiquement pour essayer d'avoir moins mal.

La petite fille et le gamin les regardaient, implorant du regard, rien n'y fit, 

Le docteur mit l'appareil en automatique, à la puissance vingt.

Toutes les dix secondes les huit sondes enverraient leur décharge électrique pendant cinq longues secondes… Il appuya.

C'était horrible, leurs corps se tendit au maximum pendant la décharge, ils hurlèrent de souffrance, les sondes étaient posés à vif sur leurs parties intimes.

Ils avaient comme des convulsions et se tordaient de tous les côtés.

Cinq secondes horribles, dix secondes suivantes de soulagement, dans un silence profond, puis à nouveau le supplice des cinq secondes…

Le docteur baissa légèrement la puissance à quinze. Ils allaient s'habituer progressivement aux décharges, il monterait l'intensité tout à l'heure…

Pendant cinq minutes ils contemplèrent sans rien dire les petits corps se convulsionner à chaque secousse. Les gosses ne pleuraient plus, les impulsions électrique les en empêchaient.

 

 

Le docteur bandait fortement, il s'approcha de l'aura, mit sa queue à la hauteur de sa chatte. Il retira d'abord la sonde du clitoris, puis celle de son vagin, appuya sa pinne sur les lèvres de son sexe. Incroyable, elle mouillait énormément…

Il enfonça sans problème la moitié de la longueur de sa queue et attendit la secousse… Elle vint rapidement, c'était génial, le petit trou du sexe très serré, plus l'électricité venant de son anus, avec en même temps les contractions involontaires que la petite fille faisait avec tout son corps, lui procuraient des sensations encore inconnues à ce jour… Il fit coulisser sa bitte, la besognant à fond. Il ressentait l'électricité aussi sur sa verge, il toucha ses seins, retira sa main aussitôt, là aussi le courant passait… La fillette avait les yeux grands ouverts, une expression d'horreur dominait son visage, elle n'avait plus la force de crier, elle mouillait énormément du sexe, elle ne jouissait pas, mais le courant lui procurait cette réaction bizarre.

Sandy contemplait le petit garçon, sa petite bitte était en érection, belle dimension pour un petit de neuf ans, elle ne résista pas longtemps, se mit à genoux entre ses cuisses et commença à lui faire une belle petite fellation.

Elle ressentait les contractions de sa verge à travers sa bouche ainsi qu'un petit picotement du à l'électricité…

Le docteur continuait son besognage, de sa main droite il tira le boîtier de commande qui se trouvait sur la chaise, mit le bouton sur la position maximum…

Ce fut horrible, cinq secondes après la décharge électrique secoua incroyablement les petits corps, il ressentit sur sa verge les contractions involontaires du vagin de la fillette, elle avait tressailli d'une drôle de manière, des secousses inhumaines la parcourait.

Mais que c'était bon pour lui, elle n'arrêtait plus de contracter son vagin, même entre les secousses électriques…

Son petit cœur battait à une vitesse incroyable, elle était en sueur. Il décida de réduire en urgence l'intensité de l'appareil, il attendit deux minutes que la petite se calme un peu, ce fut mieux…

Il continua son va et vient dans son ventre, elle était consciente, gémissante de douleur. Les secousses étaient certes moins fortes, l'appareil étant réglé à la moitié, mais elles faisaient cambrer le corps de la gosse à chaque fois.

Jamais il n'avait été aussi serré dans une petite chatte, aucune femelle ne l'avait fait jouir de cette façon, c'était sublime. Il attendit le début d'un cycle électrique pour décharger le peu de jutte qui lui restait dans les couilles dans le bas ventre de Laura. Il gémit de bonheur, elle gémissait de douleur.

Epuisé il se retira d'elle, arrêta le générateur de courant. Il regarda Sandy, elle souriait. Le petit Kévin était évanoui, respirant calmement. Il n'avait pas supporté. Il retourna la tête vers la petite Laura, elle aussi venait de fermer les yeux, épuisé elle dormait…

 

 

 

 

 

Ils dormirent dans la maison des supplices, se levèrent à 10 heures du matin.

La première chose qu'ils firent fut d'aller voir les enfants. Ils étaient dans un drôle d'état, prostrés, à genoux dans un coin de la pièce, l'un contre l'autre.

Le docteur leur parla gentiment, peu de temps après Sandy leur amena un copieux petit déjeuner. Ils avalèrent tout rapidement et burent beaucoup…

Le docteur les invita à faire un peu de toilette, les emmena dans la petite salle de bain aménagé par Jean Yves, il s'occupa particulièrement de la petite Laura, la doucha complètement, prit un malin plaisir à la savonner partout. Il insista sur ses parties intimes, ses tétons. Lorsqu'il eut finit il voulut savoir si la petite fille avait bien compris ce qu'il attendait d'elle, il la mit à genoux, retira sa robe de chambre, s'assit sur une chaise jambes écartées. Il était en slip, il la tira vers de lui. Il parla doucement : " Dans trois semaines au maximum tu sera libéré. Si tu fais tout ce qu'on te demande, tu retrouvera tes parents, tes amis, tout comme avant, tu es d'accord ? ".

La petite en signe d'accord fit un signe de tête. Bon tu n'est pas attaché, je vais te demander de me sucer la bitte, à toi de jouer…

La petite fillette baissa les yeux en rougissant. Il lui mit la tête sur son slip, sa bouche à hauteur de son sexe, lui prit les deux mains, les glissa sous le coton. Elle fouilla quelques temps, il baissa son slip, l'engin apparut…

La fillette regarda longuement la grande tige. Le docteur lui demanda d'ouvrir la bouche en grand. Doucement elle écarta ses lèvres, d'une main il lui tira la tête par ses cheveux, de l'autre dirigea sa queue vers l'entrée béante, sa bitte rentra doucement dans la cavité buccale. Il lui dit de mouiller un maximum avec sa salive en tournant doucement avec sa langue pour donner du plaisir.

Elle s'exécuta…C'était maladroit mais elle le faisait.

Il ressortit sa pinne, lui demanda de la lécher à petits coups de langue.

Il lui expliqua ce qu'il attendait d'elle. Elle comprit rapidement…

Il lui caressa la croupe sur son slip, la flatta en lui donnant des petites claques amicales sur les fesses, elle se cambra un peu, déjà fière de son beau petit cul. La fellation dura cinq bonnes minutes, il bandait dur.

Il releva la petite, lui baissa sa petite culotte sur les mollets, la retourna et lui demanda de venir s'asseoir sur lui, elle ne disait plus rien, elle savait que ce qu'elle vivait actuellement n'était pas le pire. Elle ferait tout pour ne plus souffrir comme cette nuit. Elle s'assit maladroitement sur la bitte, il l'aida pour que son anus ressente le bout de sa queue… Elle se tenait par les bras, les pieds par terre, ceci pour éviter la pénétration. Il écarta ses cuisses, ce qui eut pour effet de lui mettre les jambes surélevées. Il lui maintint aussi les bras pour qu'ils ne reposent sur rien. L'effet fut immédiat, son anus reposa juste sur sa bitte, la fillette commença à glisser doucement sur la verge, son petit trou du cul recevait tout le poids de son corps, la petite corolle de l'anus s'ouvrit de plus en plus, l'enculage commençait…

 

Elle glissa doucement sur le chibre. C'est lui qui déciderait du moment ou sa petite corolle s'ouvrirait, il avait dans chaque main un de ses minuscules seins . Il l'empêcha de glisser trop vite en s'agrippant aux petits mamelons. Lorsqu'il la trouva juste au milieu, il lâcha ses petites mamelles… Le bout de son gland ouvrit le petit cul qui fut avalé par  l'anus. Elle cria de douleur, il s'empressa de mettre ses doigts sur son sexe, ils explorèrent son vagin et son clitoris…

Elle continua à s'enculer doucement, sans pouvoir rien faire d'autre que de s'empaler. A un certain moment il lui souleva encore plus les jambes, les ouvrant au maximum, ils les maintint ouvertes fermement à l'aide de ses bras. La bitte en profita pour rentrer d'une bonne longueur dans son postérieur, il secoua son bassin de tous les côtés, elle gémit de douleur pendant quelques minutes.

Il y était, les treize centimètres de son membre viril était au plus profond de son intimité anale, ses couilles appuyaient à fond sur ses fesses, la fillette était enculée à fond…

Il lui parla : " tu vois petite fille, c'est pas si terrible que ça, même que tu vas commencer à aimer ça, tu verras, tu auras envie de recommencer ".

Il resta près d'un quart d'heure sans bouger, tout en lui caressant son minou…

Elle mouillait doucement, ses doigts la fouillaient, lui procurant un certain plaisir, son petit clitoris grossissait sous ses caresses. Il le roulait, appuyant dessus, à chaque fois la petite gloussait, faisant sortir de sa gorge un petit gémissement languissant et érotique. Il en profita pour lui parler, lui demanda si elle voulait faire partie de l'équipe et rester quelques temps avec eux, il lui expliqua qu'après, dans un certain temps elle serait libre, s'était promis, il lui demanda si elle était d'accord…

Dans un râle de plaisir il entendit un "oui Monsieur je suis d'accord ".

Il resta assis longtemps ainsi, sa bitte dans les fesses de la gamine, tout à coup il voulut la voir à quatre pattes… Toujours sa queue dedans il la força à se mettre à genoux, la position qu'il préférait pour enculer les petites filles, l'idéale, la soumission complète. Il la besogna un long moment dans cette position, tout en caressant et tirant les tétons de sa toute nouvelle poitrine.

Il ne juta pas, se retira d'elle quelques temps après, allongea la petite sur le dos, lui écarta et replia ses jambes, lui levant au maximum, chatte ouverte…

Il appuya sa queue sur l'entrée du vagin… Très fort… La pinne rentra dans son bas ventre sans problème. Elle cria et eut à nouveau certainement très mal… C'était toujours aussi génial pour lui, son bas ventre serré comme il l'était, l'intérieur de son vagin, la chaleur qui irradiait tout son membre, tout était la pour lui dire que c'était le plus magique des petits trous de fillette qu'il avait possédé jusqu'à ce jour…

Même Audrey et Nadine ne lui avait pas procuré cette sensation, le cul de Kévin non plus… Il voulait faire de Laura sa préférée pendant quelques temps, il en était sur. Donc pas question de lui faire trop de mal, il fallait la laisser en bonne état pour la suite.

Il la tringla cinq bonnes minutes, sans juter, il était vide et commençait à être vraiment fatigué. Il se retira d'elle, la releva, et lui dit :" J'espère que tu as compris Laura et que tu vas faire tout ce qu'on te dis sans problème, tes parents tu les reverras dans quelques semaines". Il lui mit une claque sur les fesses, elle se voulait amicale pour sceller un soit disant pact.

Après avoir attaché Laura et Kévin, ils repartirent à la grande maison, c'était le jour de Mr Dupuis, Jean Yves lui proposerait la saillie  de Nadine et d'Audrey, il se débrouillerait bien tout seul.

Sur l'ordinateur, les demandes sérieuses de pédophiles commençaient à se multiplier. Une retint plus particulièrement son attention, elle émanait d'un groupement de travailleurs étrangers qui s'occupaient de la construction d'un barrage à une cinquantaine de kilomètre d'ici, ils étaient une vingtaine selon le "chef" de chantier à rechercher de gamines pour une éjaculation de groupe et plus…

Une autre demande formulée par un Monsieur très riche, il voulait acheter une fillette de 9 ans et une de 10 ans, les conditions étant que toutes les deux soient très belles. Il offrait une somme de deux cent mille francs.

Il retint aussi la demande d'une société qui cherchait une jeune fille de douze ans pour envoi à l'étranger…

Le camp de travailleur émigré serait pour son plaisir personnel, il en bavait déjà de contempler ses gamines se faire soumettre et monter à la file, ou piper les bittes des mecs à la suite l'un de l'autre. La suite serait juste une opération bancaire "juteuse", ce qui ne l'empêcherait pas de monter les gamines avant la livraison…

Il informa Jean Yves et Sandy du travail qui les attendaient dans les semaines à venir, tout était possible à condition de changer de région pour kidnapper les mômes.

Il préférait de loin vendre des gamines, ce serait beaucoup plus lucratif et moins dangereux que de recevoir des mecs qui à la longue pourrait les dénoncer…

Il changea donc l'interprétation des annonces sur Internet dans se sens, il pourrait toujours s'amuser avec les proies pendant quelques jours avant la livraison.

Mr Dupuis serait le dernier client à venir au pavillon, après ils allaient revoir tous ensemble la procédure pour se procurer de la chaire fraîche. Ils venaient de se rendre compte qu'ils avaient un marché colossal en main, qu'il fallait en profiter et surtout ne pas se faire piquer par les flics… Donc plus de bêtises.

 

 

 

 

 

 

                                                 Mr Dupuis

 

Jean Yves alla chercher Mr Dupuis à la gare de la ville la plus proche, il était 19h 30. Après le signe de reconnaissance ils se serrèrent la main, Jean Yves l'invita à monter dans la voiture. Le trajet fut assez silencieux, pourtant le courant avait l'air de bien passer entre les deux hommes, mais la situation n'aidait pas aux dialogues. Le nouveau client était plutôt bien foutu, 1,75 mètre, soixante dix kilo, yeux marrons, costard de toile bleue, chemisette blanche ouverte sur un torse nu et poilu. Ils arrivèrent à la maison des supplices rapidement. Tout était prêt, le docteur l'accueillit chaleureusement, lui présenta Sandy, et surtout Nadine et Audrey l'objet de ses désirs. Les fillettes étaient en minijupe et tee-shirt, il faisait encore une chaleur à crever, l'homme se vit offrir des rafraîchissements, une collation lui fut servit. Le docteur et Jean Yves le mirent à l'aise complètement si bien qu'une heure après, et avec l'aide de nombreux Whisky, Mr Dupuis de son prénom Alain se retrouva assis sur un canapé avec de chaque côté une petite fille qu'il tenait par les épaules. Jean Yves et Sandy jugèrent qu'il était temps de s'éclipser et en profitèrent pour rendre visite à Laura et Kévin attachés dans la chambre des supplices…

Nadine et Audrey se laissaient caresser les épaules, le docteur leur demanda avec autorité de faire tout ce que le Monsieur voulait, il s'éclipsa à son tour et alla rejoindre son équipe. 

L'homme se retrouva seul avec les deux petites filles, le pelotage commença, rapidement l'homme se mit à perdre beaucoup de tenue. Bien sur il ignorait que le petit tableau miroir fixé au mur était en réalité une glace sans teint permettant aux trois acolytes de contempler et de surveiller toute la scène sans se faire remarquer…

Il mit rapidement une de ses mains sous chaque minijupes, caressa longuement chaque petite culotte, puis il demanda à Nadine de se mettre entre ses cuisses… La petite connaissait la marche à suivre, elle déboutonna le pantalon qui glissa rapidement sur les genoux. Il prit la tête de Nadine entre ses mains, l'amena juste à hauteur de son slip. Il bandait dur, la gamine n'eut pas grand chose à faire pour sortir la bitte toute droite et l'engouffrer dans sa petite bouche.

En même temps d'une main il massait consciencieusement les tétons de Laura, s'appliquant de l'autre à fouiller sa petite culotte, rentrant un doigt dans son vagin.

Ce manège dura une dizaine de minute, il changea de position, obligeant la petite Audrey à s'allonger sur le canapé cuisses écartées.

 

 

La petite culotte de la gosse fut rapidement retirée, elle ressentit rapidement sur la fente de son bas ventre la pression de la bitte de l'homme. Son gland rentra d'un seul coup dans le ventre de la petite Audrey…

Heureusement le docteur avait prévu de lubrifier les intérieurs des filles à la vaseline et l'engin n'eut aucune difficulté à pénétrer le bas ventre de la petite gamine. Miracle de la nature, chaque femelle, même petite s'adaptait juste à la taille de la bitte, le tissu du vagin était d'une souplesse incroyable, l'utérus, le bassin s'écartaient comme il le fallait, se resserrant pour enlacer le membre virile. Le docteur savait bien qu'une petite fille dès l'âge d'environ sept ou huit ans pouvait techniquement s'ouvrir pour recevoir le mâle sans trop de problème. Bien sur il fallait ouvrir le col de l'utérus sans faire de déchirure, d'ou la lubrification, et faire écarter les cuisses de la môme au maximum. La première fois suffisait, les fillettes savaient vite comment faire pour recevoir les mâles sans avoir mal. Dans de nombreux pays d'Asie ou d'Afrique, les gamines étaient prises très tôt… Lui en tant que docteur il en avait vu, des salauds, besognants leur toute petite fille dès l'âge de quatre ou cinq ans. Il avait vu des bas ventres déchirés pour la vie entière, des gamines rendues infirmes irrémédiablement. C'est pour ça qu'il connaissait l'âge réel d'une première "monte réussie". 

Les trois compères regardaient avec ravissement le spectacle, bien à l'abri derrière la glace sans teint. Le docteur alla chercher Laura sur sa couchette, il commença à lui attacher la gaine de maintient et les bracelets de fixation…

La gamine se mit à pleurer aussitôt, elle se retrouva bientôt en position écartée, maintenue dans les airs par le treuil. Il l'amena presque à horizontal, cul et jambes baissées, cambrés. Son visage était à cinquante centimètres du miroir de surveillance, ce qui permettait à la fillette de contempler la scène de l'autre pièce…

Elle était à un mètre du sol cuisses écartées, le cul offert pour une sodomie.

Le docteur se mit derrière elle, sortit son sexe, puis traça le fente de son anus en appuyant sur la petite rondelle. Il joua quelques minutes avec son trou du cul, déformant la corolle de son anus, c'était pour lui un vrai ravissement de contempler la déformation de ses chairs, moment sublime ou le bout de la bitte appuyait un maximum sur le trou. Il remarquait le moment ou l'engin allait s'enfoncer, juste avant il relâchait la pression, d'ou nouvelle résistance du petit cul…

Sandy alla chercher les pinces à seins, sans oublier les poids qui s'accrochaient dessus. La fillette en les voyant hurla, rien n'y fit, les petits tétons furent agrippés par les petites tenailles, des poids de 200 grammes déformèrent les deux mamelons, les tirant vers le bas. Laura hurla de douleur… Ce fut le moment ou le docteur poussa d'un seul coup sa bitte dans l'anus du petit cul… L'enculée hurla encore plus fort, un cri inhumain, aigu et strident, entrecoupé de spasmes et de pleurs.

Les tétons déformés par les poids étaient devenus tout violets, la poitrine augmentait de volume, les seins semblaient appartenir à une jeune fille de 14 ans ou plus…

 

 

Sandy maintenant jouait avec une aiguille de couturière très fine, piquant le bout des tétons de la môme. Laura hurlait très fort, rien n'y faisait, le docteur la besognait par le cul de plus en plus vite…

Sandy transperça  chaque tétons avec minutie, elle laissa les fines aiguilles en place, c'était bizarre de contempler chaque bout de sein écrasé par une pince à seins et en plus transpercé de part en part par une l'aiguille. Sandy jouait aussi en tirant sur les poids des pinces, le supplice était complet.

Jean Yves n'en pouvait plus, il se masturbait en contemplant la scène, il tira sur une corde du treuil, la position de la gamine changea, elle "offrit" bientôt sa bouche à sa queue, il força l'orifice buccale, le silence revint la petite suppliciée ne pouvait plus crier…

De son côté Mr Dupuis ne s'ennuyait pas non plus, il avait attaché Nadine par les pieds à des anneaux fixés sur une sorte de trapèze, lui même fixé au plafond… La fillette avait la tête en bas, les cuisses grandes ouvertes, la petite culotte se trouvait à environ 1 mètre du sol et l'entrejambe offert lui donnait des envies…

Il prit le martinet dans l'armoire à accessoires, se plaça juste au milieu des cuisses à un mètre de distance. Le premier coup frappa ou il fallait, juste en plein milieu, sur la petite culotte, au niveau de la chatte de la fillette.

Elle gueula très fort, il décida de lui mettre un bâillon, une bout de sparadrap sur la bouche fit l'affaire… Il se remit en place et commença à cingler l'entrecuisse à coups réguliers et soutenus… Il demanda à la petite Audrey de venir le sucer en même temps, terrorisée, elle se mit à genoux et s'exécuta tout de suite.

La fellation lui donna beaucoup de plaisir et augmenta son envie de frapper Nadine, les coups portés sur la petite culotte furent portés beaucoup plus fort... C'était génial, les lanières arrivaient juste ou il fallait sur les parties intimes de la petite fille, seule la petite culotte amortissait un peu les coups. Elle avait très mal et sanglotait sans arrêt. Il en voulait plus, il se rapprocha de la supplicié, prit dans l'armoire à accessoires une paire de ciseaux, découpa la petite culotte rose par le milieu, du devant au derrière. Il fit glisser chaque demie-partie de culotte de chaque côté du bassin, la chatte était à l'air libre et dégagé de tout tissu.

Il caressa le minou, en profita pour rentrer un doigt dans son vagin, un autre dans son anus. Il contempla le spectacle, tout le bas ventre était meurtri et rougi par les coups, et cela ne faisait que commencer…

Il écarta les lèvres de chatte de la môme, les laissa ouvertes en grand, le plus possible, c'est là qu'il voulait que les lanières cinglent.

De toute façon le docteur lui avait dit qu'il pouvait y aller, jusqu'au bout et jusqu'à l'évanouissement et même plus si il le désirait. Si il y avait trop de dégât, il paierait un supplément de 10000 Francs par fillette abîmée, Ils avaient même convenu qu'en cas de décès accidentel, le forfait serait doublé, alors…

Il se recula à nouveau, redemanda à la petite de revenir le sucer… Ce coup ci il avait choisi comme instrument un fouet muni d'une lanière tressée en cuir.

Il frappa très fort juste au milieu, la lanière vint s'abattre juste sur les lèvres et fit aussitôt une marbrure rose striée sur le bas ventre.

Nadine gesticulait comme pas possible, sans pouvoir faire grand chose, elle pleurait, la douleur était atroce. Il attendit que la position de la gamine soit stabilisée, redonna un coup de fouet avec encore plus de force que précédemment. Toujours aussi bien visé, les lèvres de chatte de la petite s'ouvrirent encore plus et devinrent toutes rouges… Cela l'excitait énormément, il se décida pour donner sans arrêter 10 coups de fouets, très fort. La série commença dans l'horreur… Les lèvres du sexe de la petite fille devenaient à chaque coup de plus en plus irritées, tout le bas ventre, les petites fesses étaient marbrés de cicatrices rougeâtres… Lorsque le dixième coup fut donné, il s'approcha et contempla son œuvre, presque un travail de boucher, elle saignait à plusieurs endroits… Nadine était évanoui…

Tout ce qu'il avait fait, avait été prémédité, il en avait parlé au docteur, celui-ci lui avait donné des conseils…Même pour ranimer sa victime… Il saisit une petite fiole, l'ouvrit, en fit respirer à la gamine, quelques secondes après le miracle se produit, la petite émergea.

Il se dirigea à nouveau vers l'armoire, prit un verre de moutarde et du poivre.

Il s'approcha de la suppliciée, mit deux doigts dans le pot, les ressortit tout jaunes et commença à enduire les lèvres du sexe de la fillette ainsi que toutes les marbrures et cicatrices. Puis il en remplit le vagin en poussant avec un doigt

Il s'essuya les mains sur les seins de la gamine, prit une grosse quantité de poivre moulu dans sa main,  porta le tout sur le derrière, remplit le cul de poudre noire en forçant l'anus et en le bourrant avec un doigt…

Rapidement il descendit le trapèze et détacha sa victime. Nadine horrifié et en pleurs chercha à s'en aller, il la frappa violemment, l'envoyant valdinguer sur la couchette… Il la força à s'allonger sur le dos, lui releva les jambes en l'air en les tenant écartées. Il plongea sa bitte dans la chatte de la fillette. Il s'était écoulé seulement deux minutes depuis qu'il l'avait décroché, la moutarde et le poivre commençaient à agir dans le bas ventre et les fesses de la fillette.

C'était horrible, cela commençait à la brûler intensément. Il adorait cette sensation, quelle chaleur dans le vagin de cette pucelle, sa queue était en feu et la petite qui se tordait de douleur sous lui, sans pouvoir crier à cause du sparadrap sur la bouche, les yeux horrifiés et exorbités tellement elle avait mal. Elle ondulait de la croupe, de souffrance. Il la besognait à fond, les couilles battaient sur son entrejambe, tout était rentré dans son vagin… Il se retira d'elle, la retourna brutalement, la mit à genoux, tête baissée, cuisse écartée… Elle se tordait de douleur, sa croupe ondulait très fortement, il l'encula sans problème. En quelques coups de reins tout fut rentré dans son postérieur, la chaleur du poivre lui chauffait incroyablement la queue et le faisait bander encore plus.

Au bout de quelques minutes, il la retourna à nouveau la remit sur le dos, reprit sa chatte avec une queue bandante nettement plus grosse qu'avant.

La petite Audrey regardait la scène avec horreur, surtout en essayant de ne pas se faire remarquer, cela ne dura pas longtemps, il demanda à la petite fille de venir à côté de lui et de se mettre à califourchon sur la tête de Nadine.

Elle avait trop peur pour discuter et s'exécuta aussitôt. Il lui donna l'ordre de faire pipi dans la bouche de sa copine, et de bien viser, sinon il lui ferait pareille…

Il ordonna à Nadine d'ouvrir la bouche, de recevoir la pisse en avalant  tout, sinon il l'attacherait et la fouetterait à nouveau… Cinq secondes après la fillette ouvrit la bouche, la laissant ouverte en grand…

Un beau jet de pisse limpide et clair coula dans la petite bouche de Nadine, un doux bruit de petite fontaine, suivi d'un bruit de déglutition, la fillette avalait tout à petite gorgée…

Le jet de pisse dura quelques minutes, la vessie de la gosse était pleine, il prenait son pied en besognant la chatte de Nadine et en regardant couler le pipi au fond de sa gorge.

Dans l'autre pièce la petite Laura continuait à être torturé par les trois compères.

Sa position avait changé, en croix à l'horizontal, maintenu dans les airs par le treuil, les cuisses grandes ouvertes à un mètre au dessus du sol…

Sandy s'occupait toujours d'elle, en plus des tétons perforés, elle s'occupait entre ses cuisses à enrouler soigneusement et à attacher les grandes lèvres de sa chatte avec des aiguilles et du fil chirurgical, ceci pour "l'ouvrir" au maximum, comme lui avait expliqué le docteur, bien sur sans calmant et sans anesthésie.

C'était horrible, la petite fille hurlait sans arrêt. Le docteur avait préparé une piqûre de morphine, mais il estimait que la douleur n'était pas assez forte, d'ailleurs elle pouvait gueuler tant qu'elle voulait et avoir le plus mal possible, c'était le but rechercher…

Le docteur eut une idée, pourquoi ne demanderait t'il pas à Mr Dupuis de participer à la torture de Laura, à voir ce qu'il faisait à Nadine, et avec ce qu'ils s'étaient dit, il ne devait pas avoir particulièrement de remords…

Il ouvrit la porte… Mr Dupuis ne fut pas surpris et continua le besognage de Nadine… L'explication dura cinq minutes, tout était dit, Mr Dupuis se retira du bas ventre de Nadine et se dirigea vers la pièce ou Laura était torturé…

Ah les salauds… Fut le premier mots que prononça Mr Dupuis en rentrant dans la pièce, mais ce ne fut pas pour condamner la position de la môme Laura, ni la torture de la petite… Il avait dit ça pour le miroir, il venait de s'apercevoir que tout ses ébats avaient été suivis par les trois compères.

Il se remit rapidement et fut attiré aussitôt par la position de Laura. Il s'approcha, demanda aussitôt si il pouvait participer, tout le monde en même temps le rassura… Il avait envie d'essayer sa petite chatte, faut dire que c'était bizarre à contempler, les lèvres enroulées et cousues, bien ouverte laissaient apparaître le col de l'utérus ainsi que les muqueuses vaginales.

Sa grosse bitte appuya bientôt sur le vagin de la petite suppliciée…

Il n'eut aucune difficulté à rentrer son gros morceau dans le ventre de la petite.

A chaque coup de rein il tirait sur les aiguilles transperçant les seins, faisant sortir un grand cri de la gorge de Laura…

Il juta copieusement au bout de cinq minutes et se retira. Comme pour conclure leur nouvelle amitié, le docteur se mit à sa place et n'eut aucune difficulté à "saillir" la môme à son tour, il adorait… Elle était pleine de jute, cette sensation était unique, l'étroitesse et la chaleur du petit trou rempli de sperme lui donnait des sensations nouvelles, en somme c'était le principal. Il juta à son tour dans la gamine et se retira. Jean Yves ne voulut pas en rester là, à son tour il se mit en position, tous purent remarquer la jutte qui sortait du petit trou et coulait abondamment sur les cuisses. Le dernier compère enfonça sa queue à fond dans le vagin écarté de la petite fille. Il jouit peu de temps après et l'inonda à son tour.

Il se retira… La gamine ne pleurait plus, les yeux grands ouverts, elle était passive, inerte et sans réaction. L'expression de douleur et de peur de son visage laissait quand même apparaître une certaine satisfaction, un air de bien être, elle était reput et comblée, drôle de mélange…

Les quatre gamins furent enfermés dans la pièce des tortures, les trois hommes et la jeune femme allèrent se restaurer dans la petite cuisine en haut du pavillon.

Ils discutèrent longtemps à vive voix, au bout de deux heures de picolage et de fantasmes, tous furent d'accord, le docteur venait de se faire encore un nouvel associé, Alain était d'accord pour faire parti intégrante de l'équipe. Il aurait la

" viande fraîche à l'œil " et était d'accord pour participer à de nouveaux rapts d'enfants.

Plus de deux heures après ils rentrèrent à nouveau dans la pièce des tortures.

Les enfants dormaient, même Laura toujours écartelée en hauteur dans la même position, la chatte dégoulinante de foutre, épuisée, dormait profondément.

Le docteur réveilla Nadine, Audrey et Kévin. Jean Yves les emmena à la salle de bain faire un peu de toilette et soigner la petite chatte de Nadine. Sandy leur prépara une collation dans la cuisine, elle même avait faim et se restaura aussi.

Le docteur et Mr Dupuis restèrent seuls avec la petite Laura dans la pièce des tortures, la petite fille avait la poitrine dans un état lamentable, mais le but était atteint, les seins avaient triplé de volume… Les pinces serraient toujours les tétons, tandis qu'eux même toujours transpercés par les aiguilles étaient gonflés et d'un rouge violacé.

Les mains des hommes parcoururent le corps de la fillette, galbé à la perfection. Ils s'attardèrent sur ses petites fesses, prenant plaisir à palper les petites pommes, une dans chaque main, les écartant à fond pour contempler le petit anus rougi par les nombreuses sodomies. Ce qui devait se passer arriva… La fillette se réveilla, contempla ses bourreaux. Elle ne pleura pas et fixa dans les yeux le docteur, un regard qui demandait, pourquoi moi ?…

Il eut un peu pitié d'elle, il lui fit la piqûre qu'il avait préparé des heures auparavant… La petite fille eut un spasme, elle se raidit complètement. Quelques secondes après l'effet contraire se produisit, elle se détendit sous leurs yeux, de plus en plus. Ses pupilles se dilatèrent à fond, l'Opium mélangé à une autre drogue très puissante faisait son effet.

Il détacha la môme, la mit sur le lit, puis retira les pinces à seins et les aiguilles qui la transperçait. Il s'évertua pendant un bon quart d'heure à réparer les dégâts causés par les sévices.

Désinfectant et pommade contre les bleus furent employés à foison.

Puis il s'occupa de sa chatte, avec une petite pince il coupa les fils qui enroulaient les lèvres de son minou, les retirant un par un. Pour s'amuser un peu il appuya sur le bas ventre, une bonne quantité de sperme ressortit du vagin et coula sur les cuisses, se dirigeant vers la raie des fesses. Il laissa le liquide se promener sur l'anus. A l'aide de son index il en remplit son postérieur, toujours la même chaleur moite et agréable dans l'intérieur de cette fillette.

Il lui demanda se de retourner, fesses en l'air, elle s'exécuta, il l'aida à peine.

Puis avec autorité lui demanda de se mettre sur les genoux, cuisses écartées et tête en bas, elle n'avait plus de volonté, rapidement Laura se retrouva dans la position souhaitée. Quel magnifique spectacle elle lui offrait, son petit cul offert en grand, un anus de fillette de neuf ans ouvert, déjà tout rougi par les sodomies précédentes. Une fillette soumise aux bittes, la tête baissée, les bras allongés de chaque côté de son corps… offerte à tout, et à tous…

Il caressa longuement sa chute de rein, son bassin, ses cuisses. Il prit dans chaque main une fesse, écarta doucement. Il lui sembla qu'elle pouvait être encore plus ouverte, il déplaça un de ses genoux vers l'extérieur, ce qui eut pour effet de lui écarter encore plus les cuisses et le bassin. Mr Dupuis contemplait avec passion, il eut envie de toucher. Le docteur l'invita à palper toutes les courbes de la petite fille. Il s'aventura sur le torse… La poitrine était petite mais saillante, elle s'était distendue incroyablement, il soupesa chaque petit sein avec aisance, les pressa doucement dans chaque main, puis de plus en plus fortement. Laura gémit de douleur, le docteur ne voulait plus l'entendre…

Il demanda à Mr Dupuis si il voulait bien se mettre jambes écartées sa bitte à la hauteur de la bouche de la gamine. Il se mit à rire, comprenant aussitôt…

Bientôt la fillette eut une belle queue gonflée dans sa bouche.

La palpation des seins continua, agenouillé entre ses fesses, la bitte bien dure à la hauteur de son anus. Il malaxait ses mamelles, tirant sur les tétons, les faisaient rouler entre ses doigts, appuyant dessus, puis les faisant rentrer complètement. La fillette se tordait de douleur, bougeant son cul pour essayer de se dégager. Il fit appuyer le gland de sa bitte sur la petite corolle de l'anus et appuya doucement…

C'était encore plein de jutte, l'anus s'ouvrit rapidement, le bout s'engouffra dans le petit trou… Quel enculage Sublime, c'était chaud et humide en même temps. Elle avait eu mal, très mal, le cri avait été étouffé par le sexe de Mr Dupuis dans sa bouche.

Il était serré dans son cul, mais qu'il était bien. Il avait encore plus de douze centimètres à lui rentrer… Il commença à aller et venir dans son ventre, cela coulissait assez bien, le trou connaissait déjà le morceau, il l'avait déjà sodomisé une fois sans problème…

Il ordonna à Laura de piper le Monsieur. Voyant que rien ne venait, il poussa sa bitte plus loin dans son cul. Mr Dupuis saisit en même temps sa tête, la fit descendre et monter, ce qui eut pour effet de faire coulisser la bitte dans la petite bouche.

Le docteur lui ordonna de continuer sans arrêter, sinon elle serait fouettée très fort entre les cuisses, et sur le minou.

La petite fille soumise s'exécuta immédiatement, elle avait compris pour sa vie entière comment faire…

La pipe était bien faite. La queue coulissait dans la petite bouche, les lèvres était bien refermée sur la verge, la gamine enveloppait tout, le mouvement était bien régulier. Elle salivait pour bien mouiller la tige, comme il fallait.

Le cul prenait de plus en plus de longueur. Il prenait du plaisir à écarter chaque petite fesse à fond de chaque côté avec ses main, contemplant sa queue sodomiser le petit trou et s'enfouir dans ses profondeurs intimes.

Les quatorze centimètres rentrèrent complètement, cela coulissait à merveille. Seul le gland restait dans l'anus lorsqu'il se retirait. Le va et vient faisait apparaître la verge complètement, puis la faisait disparaître à nouveau.

La petite enculée prenait tout dans ses fesses… Le docteur mit une main sous son bassin, à la hauteur de sa chatte, la petite était encore pleine de sperme…

Il trouva le clitoris, miracle des petites femelles, le bourgeon n'était pas rentré et saillait en une petite boule. Il palpa, caressa et titilla le bout de chaire.

Quelques minutes de travail sur le clitoris suffirent pour rendre la fillette en chaleur, à partir de cet instant le comportement de la petite salope changea du tout au tout, elle commença à gémir de plaisir. Mr Dupuis n'en croyait pas ses yeux, il sortit sa bitte de la bouche de la gamine pour pouvoir écouter ses gémissements. En effet, Laura gloussait de plaisir, elle parlait toute seule :

"Oh….Oui…Oui…encore…Oui…C'est bon…Monsieur… C'est bon…Encore…"

Pour toute réponse le docteur lui dit : " suce salope…" La petite rechercha rapidement à happer la queue devant elle, la trouva et continua sa fellation…

Au bout de cinq minutes supplémentaire de travail sur son cul et son clitoris, la petite fille se tordait, ondulant son bassin, sans arrêter de gémir de plaisir…

Elle fut surprise lorsqu'elle reçut la première giclée de jutte chaude dans sa bouche, aussitôt Mr Dupuis lui ordonna d'avaler sans en laisser et sans en perdre. Il l'aida, poussant au maximum sa verge dans le fond de sa bouche… Elle faillit s'étrangler, mais toutes les jets de jutte arrivèrent à destination dans le fond de la gorge et furent avalés immédiatement… Elle gloussait toujours de plaisir, le docteur titillait sans arrêt son clitoris, plongeant ses doigts dans son vagin. Elle s'excitait de plus en plus, semblant perdre toute notion de réalité.

La sodomie continuait, la gosse remuait son cul de chaque côté, s'enculant toute seule. Donnant des coups de reins pour rentrer la bitte elle même lorsque celle-ci n'était pas assez rapide ou pas rentré assez profondément.

Mr Dupuis se retira de sa bouche et contempla la fillette déglutir sa semence, elle en avait plein les lèvres et sur le contour de la bouche…

 

C'était vraiment surréaliste d'admirer cette gamine d'à peine 11 ans, remplie de sperme par tous les trous, se faisant enculer à fond et jouir comme une femme.

La môme était épuisée de plaisir, elle continuait à gémir et à se trémousser.

Le docteur n'arrêtait pas d'exciter son clitoris en continuant l'enculage.

Avec autorité il lui demanda de nettoyer la queue de Mr Dupuis en la léchant avec des grands coups de langue, en avalant ce qui restait dessus. Elle le fit aussitôt, elle s'appliquait à lécher de bas en haut, des couilles au gland elle nettoyait la grande tige, avalant ce qu'elle trouvait encore.

Ses yeux était tout pétillants, la drogue faisait son effet et dans son cas l'excitait incroyablement.

Elle jouissait, hurlant très fort, le docteur ne put se retenir plus longtemps, il défourailla dans le petit postérieur, à grandes giclées, il inonda son intérieur.

La fillette ressentit la jutte chaude rentrant dans son ventre, dans un cri aigu, elle émit un : " Oh…" de surprise, secouant sa tête de gauche à droite en se déhanchant comme pour mieux apprécier la liqueur chaude de l'homme…

Le docteur épuisé s'affaissa sur la gamine qui fut plaqué allongé sur le lit, il l'écrasa presque. La bitte dans ses fesses il resta un long moment sans bouger, pour récupérer. Il se retira d'elle enfin et ne put s'empêcher de regarder ses belles petites fesses, avec ses mains il les écarta… Très peu de jutte ressortait de l'anus, la petite salope était bien remplie et elle garderait son sperme …

Ereintée la petite Laura s'endormit aussitôt. Le docteur et Mr Dupuis allèrent retrouver les autres et se restaurèrent à leur tour.

Les autres enfants commençaient à récupérer. La plus amochée était sans aucun doute Nadine, le fouet l'avait cinglé sur son sexe, son ventre était zébré, marqué par les lanières. Le docteur la soigna et lui fit une piqûre pour la douleur, en réalité une dose d'opium…

Mr Dupuis était très excité et super content d'avoir rencontré une équipe qui allait lui permettre d'assouvir ses fantasmes. Il était d'accord sur tout, même le kidnapping d'enfants ne lui faisait pas peur. Comble de l'ironie, Après tout…

Il travaillait pour une association qui s'occupait de la réinsertion d'enfants. Le placement de gosses dans des familles d'accueil était le lot quotidien de son travail… Il en avait même profité quelques fois, surtout avec des familles consentantes qui acceptaient des gosses, non pas pour les choyer, mais bel et bien pour les baiser, ou les offrir comme services contre rémunération…

Il s'était vu proposer des sommes considérables pour placer dans ses familles des fillettes. Bien sur il pouvait consommer la gamine quand il le désirait.

Il prévenait de son arrivée, la petite fille était déjà dans un lit. Il n'avait plus qu'à se coucher à côté d'elle et passer la nuit avec.

C'est lui qui s'occupait des contrôles… Alors pas de problème pour les rapports en hauts lieux.

Mais il ne pouvait jamais les soumettre à fond ou les torturer comme il le faisait ici, et à force de pratique, ses besoins augmentaient, il voulait toujours aller plus loin…

Le docteur fut passionné par son récit. Voyant tout de suite qu'il pouvait tirer parti du travail de Mr Dupuis, il expliqua à celui-ci que le plus dur était de trouver de très belles fillettes. Il y avait énormément de "déchets"…

La solution idéale serait de sélectionner les petites filles en premier pour leur physique, puis d'essayer celles retenues...

En cas de réussite à l'examen et seulement dans ce cas, ils pourraient aller plus loin, voir les kidnapper…

Mr Dupuis promit à toute l'équipe de leur présenter rapidement des gamines pour consommer…  Il risquait son boulot, mais il s'en foutait.

De son côté le docteur lui dit qu'il était chez lui, plus question de le faire payer pour sa consommation propre de gamines…

 

    

 

 

       La visite médicale du CE 2

 

 

 

Le message sur Internet était clair, l'homme très riche passait commande de deux belles fillettes blondes de 9 et 10 ans. La moitié de la somme des deux cent mille francs allait être virée sur le compte ouvert par le docteur en Suisse.

Il téléphonerait à la banque demain…

On était déjà le 20 Septembre. L'école ayant reprit, il allait falloir ruser pour trouver deux belles fillettes… A la plage tout était plus simple la sélection se faisait automatiquement.

On voyait tout de suite comment la gamine était faîte, ses formes etc.…

Le docteur téléphona à Mr Dupuis pour lui demander ce qu'il en pensait…

Après tout… Il travaillait pour une association qui s'occupait de la réinsertion d'enfant. Le placement de gosses dans des familles d'accueil était le lot quotidien de son travail… Il en avait même profité…

 

Il y aurait bien une solution dit il après réflexion. En début d'année il y à toujours une visite médicale dans les écoles, comme vous êtes docteur je peux organiser une fausse consultation dans un établissement scolaire, bien sur sous des faux noms. Cela nous permettra de sélectionner les petits anges…

Il suffit de falsifier un ou deux documents. Cela paraîtra aussi vrai que nature… On peut dire que cet examen supplémentaire rentre dans le cadre d'une enquête administrative, deux ou trois tampons au bon endroit d'un document et toutes les portes s'ouvriront…

La véritable visite se fera quelques semaines après, mais l'administration est tellement complexe et fouillis, que la première consultation passera comme un examen supplémentaire dans le but d'une recherche spécifique, personne n'ira chercher plus loin, de peur de foutre la merde…

Il restera uniquement à kidnapper les gosses quelques jours plus tard, mais comme on aura leurs adresses, leurs noms, leurs habitudes, la suite devrait être très simple.

Le docteur reconnu que c'était génial, il lui donna le feux vert pour s'occuper de toute l'affaire. Lui serait uniquement là pour jouer au docteur et sceller le destin de deux petites filles de 9 et 10 ans.

Mr Dupuis le rappela trois jours plus tard, selon lui tout était prêt, il avait envoyé par courrier l'avis d'inspection exceptionnel de visite médical.

Celui-ci expliquait que dans le cadre d'une enquête administrative concernant les mauvais traitements à enfance, ils allaient pratiquer un examen médical sur les classes de CE2 et CM1, la date était imposée au lendemain. Il était ajouté à l'intention de la directrice du Lycée de jeune fille, qu'en raison du caractère spécial d'un tel examen, il était recommandé de ne pas ébruiter l'affaire et de faciliter au maximum le travail du docteur et du psychologue envoyé.

Il s'était assurer en téléphonant de la bienfaisante collaboration de la directrice,  lui expliquant que selon les enfants l'examen pouvait durer de quelques minutes à près d'une heure, voir plus si une fillette leur faisait des révélations.

La visite médicale n'étant pas uniquement un contrôle médical, mais aussi un entretien psychologique complet avec l'enfant.

La directrice n'avait éveillé aucun soupçon. Elle s'était même engagée à leur faciliter la tache, mettant l'infirmerie à leur complète disposition.

Tout serait prêt pour le lendemain. Le docteur prépara tout son attirail, deux valises complète de matériel, il n'omit rien…

Le matin à 8 heures ils investirent le lycée de jeunes filles. Ils avaient chaud, trop de mignons petits culs circulaient autour d'eux, des jolies fillettes partout… Ils se présentèrent à la directrice, montrèrent deux cartes officiels, une de docteur, l'autre de psychologue avec des faux noms… Plus vrais que nature.

La femme leur montrant le chemin, ils se dirigèrent vers l'infirmerie….

La salle était petite, mais bien équipée, une pièce de soin banale mais complète, avec des armoires à pharmacie, une banquette couchette sur roues, un petit lit d'appoint, une table et trois chaises.

Tout en revêtant chacun leur blouses blanches et en déballant une partie du matériel, le docteur expliqua que les élèves seraient appelées une par une en consultation. Le psychologue viendrait dans la classe chercher la première gamine et l'amènerait à l'infirmerie. Lorsque l'examen serait fini, la petite repartirait et appellerait un nouvel enfant. Ce qui permettrait aux élèves de manquer la classe au minimum…

La directrice fut conquise par ce procédé. Laissant le docteur préparer ses affaires et ses dossiers, elle emmena Mr Dupuis dans la première classe de CE2, celle des fillettes de 9 ans. Après présentation au professeur, la directrice fit un petit discours pour prévenir la trentaine d'élèves de la visite médicale.

Elle insista sur la nécessité d'une bonne collaboration de chaque élève, comme le docteur lui avait demandé, elle leur demanda de parler sans rien cacher.

Rien de ce qu'elles diraient ne serait répété, secret médical oblige…

La directrice prit congé, partant vaquer à ses occupations… Selon elle, son emploi du temps était très chargé…

La première fillette fut appelée par ordre alphabétique. Eve c'était son prénom, suivit Mr Dupuis dans les dédales de couloir et d'escalier, puis pénétra timidement dans l'infirmerie…

Le docteur ferma la porte à clefs, lui serra sa petite main, la jaugea aussitôt… Elle était mignonne, beau visage, beau corps, ses jambes étaient pourtant un peu trop fortes à son goût.

Il demanda à la petite fille de s'asseoir à la table. Mr Dupuis et le docteur étaient assis en face d'elle. La gamine était loin d'être à l'aise, le docteur la rassura et commença à lui poser des questions… Un formulaire avait été établi, cela commençait par l'identification complète, la date de naissance, etc…

Puis venaient les goûts et loisirs. 

Peu à peu, les questions devenaient de plus en plus personnels et intimes…

Mr Dupuis remplissait le dossier. Une des questions les plus indiscrètes étant posée, à savoir si elle avait été caressée ou touchée à des endroits très personnels par quelqu'un de son entourage. La gamine rougit, baissant aussitôt les yeux…

Le docteur lui expliqua qu'elle pouvait parler sans crainte, rien ne sortirait d'ici. La fillette assura que ce n'était pas le cas…

Même si il savait qu'elle mentait, il fit semblant de la croire…

Déjà quinze minutes de passé, le docteur demanda à la gamine de se déshabiller, il fallait qu'elle garde juste sa petite culotte. Deux minutes plus tard Eve, 9 ans était debout avec comme seul vêtement une petite culotte rose à dentelles.

Elle était presque parfaite, les jambes un peu trop fortes. Il était certain à voir son bassin qu'elle n'aurait aucune difficulté à être monté par un mâle des deux côtés sans problème…

Un docteur sans stéthoscope, n'était pas un bon praticien… Il amena l'instrument sur sa toute petite poitrine, écouta le tic tac de son horloge interne, la fit se retourner. Prenant soin de mettre ses mains sur ses hanches, sur le haut de ses petites fesses. Ils contemplèrent sa chute de reins, dommage que les jambes ne suivaient pas l'harmonie du haut.

Il demanda à la gamine de s'allonger sur la couchette, la petite s'exécuta, jambes allongées. Avec autorité il lui releva les deux genoux. Ils étaient maintenant repliées, les pieds reposant sur la couchette. Il lui demanda de soulever son bassin un peu, ceci pour baisser sa culotte… Elle rougit, détourna ses yeux de côté, mais souleva légèrement son petit cul.

Il baissa la petite culotte sur le haut des cuisses, mit une main sur chaque genoux et écarta doucement… Son minou imberbe apparut, la petite fente aussi, elle avait une très mignonne petite chatte…

Il fixa la lampe sur sa tête, puis l'alluma. L'entrejambe était bien éclairé, la lumière balayait aussi son anus.

Très visible, la belle petite corolle rose était bien fermée en forme d'étoile.

Bon dit-il, il va falloir voir ça de plus près, tout en faisant glisser la petite culotte entièrement, jusqu'à la faire passer par un des ses pieds. Il fit exprès que le léger bout de dentelle rose reste sur une des jambes de la fillette, le remonta même sur la cuisse…

Elle ne pourrait pas dire qu'on lui avait enlevé sa petite culotte complètement…

Voyant qu'elle se laissait faire sans problème, il lui demanda de mettre ses jambes en hauteur, ouvertes à fond. Il l'aida… avant qu'elle ne réagisse, chacune de ses mains leva une cuisse tout en l'écartant au maximum…

Elle les laissa en l'air, ouvertes au maximum, les maintenant toute seule…

Le docteur la rassura, lui disant qu'il allait pratiquer un petit examen, qu'elle n'aurait absolument pas mal, qu'il fallait qu'elle se détende au maximum.

Il prit le récipient contenant de la vaseline, et sans gant, à l'aide de son doigt en répandit généreusement sur la fente de la petite fille. D'abord doucement, puis petit à petit il poussa légèrement pour en faire rentrer un peu dans son vagin.

Le majeur rentra jusqu'à la première phalange, fouillant délicatement son bas ventre.

A ce stade l'hymen ne risquait pas d'être déchiré, il fallait que la fillette reste intacte, du moins si elle l'était encore…

Il prit le spéculum de vierge, bien mis en évidence sur la table du petit chariot métallique à côté de lui, l'enduit de vaseline. La vis était desserrée au maximum. Il guida l'appareil sur la petite fente, l'introduit très doucement dans l'entrée du vagin de la gosse, la lumière frontale l'aida à trouver le chemin, il poussa, l'appareil glissa dans le bas ventre de la petite Eve.

La fillette était très contractée, jambes en l'air, cuisses ouvertes, elle fermait les yeux, le visage tourné sur le côté. Le docteur lui parla très doucement pour la rassurer encore une fois : " Je vais te mettre de la pommade sur ton minou, pour que tu aies une sensation agréable, il faut que tu te détendes à fond…".

Il mit un peu de vaseline sur son doigt… Au lieu de la rentrer dans son vagin il en répandit une toute petite noisette sur le clitoris caché de la petite fille, massa très doucement, tandis que de l'autre main il commença à serrer la vis du spéculum.

Il serrait la vis d'environ un tour par minute, ce qui permettait à la petite fille de s'habituer petit à petit à l'ouverture de son vagin.

Au bout d'environ trois minutes, Eve commença à s'agiter… Le docteur constata que le massage lui faisait de l'effet, le clitoris commençait à prendre un peu de volume sous son doigt, le vagin était déjà ouvert d'environ trois centimètres.

Du regard, il explora le canal intime et tout rose de la petite fille, elle était profonde. Il distingua nettement l'hymen non déchiré, petit lambeau de chair fragile qui obstruait le vagin, mais pas entièrement... Le spéculum était passé par le côté sans déchirer le petit cordon. La fillette était pucelle, aucune bitte n'avait encore pris le chemin de son intimité… Il pouvait serrer la vis de l'engin sans problème, il voyait l'hymen il ne craignait rien. Il ouvrit le bassin de la pucelle d'environ quatre centimètres et continua son massage sur le clitoris.

La gamine ouvrit les yeux en grands… Ils étaient devenus tout pétillants, la pupille dilatée…

Le docteur rassura Eve : " C'est pour que tu n'aies pas mal, surtout il ne faut pas que tu bouges, tu vois cela ne te fais pas mal du tout, au contraire…".

La petite commençait à jouir, il le savait bien, il n'avait pas du tout l'intention d'arrêter avant qu'elle n'ait eu son premier orgasme… Il savait bien qu'elle n'en parlerait jamais à quelqu'un, par contre à partir de maintenant, tous les soirs dans son lit elle se masturberait elle même, c'était sur…

La fillette n'osait pas parler ni crier de joie, seule sa respiration devenait saccadée. Quelquefois, elle gémissait un peu en crispant tout son corps.

Cela dura cinq bonnes minutes, puis il y eut sa première délivrance, son premier orgasme... Elle ne put s'empêcher de faire sortir un petit cri de sa bouche en bougeant sa tête de chaque côte plusieurs fois…

Il remit son doigt dans son vagin et put constater que la fillette était mouillée, complètement inondée.

Ses yeux brillants avaient une expression de béatitude reconnaissante, ses traits étaient détendus. Elle avait pris son pied incroyablement, dommage qu’il n’ait pas eu le temps de l’initier à  l'enculage, elle aurait du aimer aussi…

 

Le docteur dévissa, puis retira le spéculum, le col de la fillette se referma.

Il prit un essuie tout, retira méticuleusement le surplus de vaseline de sa fente,

baissa ses jambes, remit sa petite culotte puis lui demanda de se rhabiller.

La petite encore tout étourdie et vacillante se leva, remit ses affaires.

Peu après le docteur lui demanda de s‘asseoir.

Il lui donna un verre d’eau qu’elle but d’un seul trait…

Il lui expliqua que c’était la seule façon de pratiquer l’examen de façon qu’elle n’ait pas mal. Il la rassura, lui dit que le test avait été négatif…

Qu’en effet elle n’avait jamais eu de relation sexuelles avec quelqu’un.

C’était bien, il fallait qu’elle continue dans cette voie…

Il serrèrent la main d'Eve lui dirent que l'entretien était fini, et lui demandèrent d'envoyer la gamine suivante...

Penaude elle repartit laissant les deux compères en tête à tête, elle ne parlerait certainement à personne de ce qui venait se passer, d'ailleurs qui la croirait…

Mr Dupuis n'avait pas arrêter de prendre des notes, au moins de faire semblant…

La technique était crédible. Ils avaient testé la façon de faire avec la première fillette pour savoir ce qui pouvait clocher, ils n'iraient pas aussi loin avec toutes les candidates.

Il fallait que la fillette soit superbe pour être étudiée de cette façon…

 

Les élèves se succédèrent, la visite durait environ un quart d'heure pour une candidate moyenne, c'est à dire qui n'intéressait pas le docteur et Mr Dupuis.

Dans ce cas, ils ne faisaient même pas déshabiller les gamines, ils gagnaient un temps fou.

La treizième fillette rentra. Immédiatement tout fut différent…

Le charme, la grâce, la beauté réunit en un petit bout de fille, elle sentait bon et était habillée avec beaucoup de goût.

Une vrai blonde aux cheveux courts, aux yeux bleus, très fine et bien proportionnée. La fillette avait beaucoup de personnalité.

On devinait sous ses vêtement un corps exceptionnel. Il fallait vérifier…

La voix d'Amélie était très agréable, douce et sensuelle, rien qu'en l'entendant on avait envi de lui faire l'amour. Elle répondit au questions…

Fut naturellement gênée, et rougit à la question sur les attouchements sexuels.

Le docteur lui demanda de se déshabiller. Elle le fit doucement, avec méthode et aussi avec une certaine sensualité, puis se retrouva debout en petite culotte rose agrémentée de petites fleurs imprimées et de vraie dentelle.

Elle était adorable, rien ne clochait dans ses mensurations.

Plus tard elle deviendrait une femme exceptionnelle, mais elle perdrait malheureusement la gracilité qu'elle avait actuellement…

Le docteur l'invita à se coucher sur la banquette, il dévorait des yeux la gamine. Ses tétons saillaient un petit peu, rare pour une petite de cet âge.

Il parla très doucement à l'oreille de Mr Dupuis et lui dit : " Celle la on l'endort et on l'essaye ".

Il ouvrit sa sacoche médicale, en sortit une seringue, la remplit à moitié d'un certain produit de couleur ambre, prit de l'alcool et du coton. Se dirigeant vers la petite fille, il lui dit : "C'est un produit test, pour savoir si tu es en bonne santé, tu ne sentiras rien, il faut juste que tu te détendes un maximum…".

Elle ne sentit presque rien lorsque la fine aiguille pénétra dans son avant bras. Elle ne broncha même pas… Trente secondes après la gamine fermaient ses paupières et semblait dormir complètement. Le docteur commença à lui parler doucement : " Amélie, tu m'entends, je sais que tu m'entends, tu va dormir d'un profond sommeil, tu ne te réveilleras pas avant qu'on te le dise, tu vas faire tout ce qu'on te dit, tout ce qu'on vas te demander de faire. Il faudra le faire très bien, tu te laissera faire entièrement, c'est pour ton bien. Tu ne sera jamais choqué et surprise par ce qu'on te fait, tu prendras beaucoup de plaisir à le faire.

A ton réveil, tu ne te souviendras pas de ce qu'on ta fait, tu n'auras plus aucun souvenir de ce que les docteurs t'auront fait, tu as bien compris ? ".

Un " oui " très lointain se fit entendre…

Il attendit quelques minutes supplémentaires demanda à Mr Dupuis de venir le rejoindre, souleva la petite fille, l'emmena et la déposa sur le petit lit.

Ce serait plus commode pour la suite…

Les deux hommes se mirent de chaque côté du lit. La fillette était allongée sur le dos, le docteur mit ses main sur sa poitrine et lui caressa ses petits tétons.

Surtout sans lui faire mal dit-il à Mr Dupuis, on peut tout faire, mais sans laisser de trace...

Les mains du docteur descendirent sur le devant de la petite culotte, c'était très doux. La dentelle avait cette particularité au toucher, de caresser en effeurant la peau en même temps. Cette sensation donnait un mélange sensuel et érotique.

Il releva les genoux de la fillette, écarta ses cuisses, s'allongea entre ses jambes. Doucement il mit sa bouche sur la petite culotte au niveau du bas ventre, sortit sa langue, commença à lécher en mouillant la dentelle… Ce petit manège dura un certain temps, Mr Dupuis faisait le même travail avec sa langue sur les tétons d'Amélie.

Cinq minute après la petite culotte était complètement mouillée sur le devant.

Le docteur mit ses mains de chaque côté, la fit glisser sur ses mollets.

Il ne lui resta qu'un geste à faire pour l'ôter entièrement...

Il remit sa tête dans l'entrejambe de la petite et découvrit sa belle petite chatte, les lèvres étaient bien fermées… Il respira son l'odeur, elle sentait bon la petite vierge. Sa langue vint lécher la petite fente de bas en haut, doucement,  juste dans le sillon, entre ses lèvres. A chaque passage il n'oubliait pas le tout petit bout de chair qui saillait très légèrement, son clitoris…

Il laissait le bout de sa langue dessus, appuyant doucement pour le faire rentrer, puis le faisait tourner à nouveau.

Le manège dura cinq minutes… Assez pour que le petit bourgeon prenne de la dimension et durcisse un peu. Au bout d'un moment, la fillette écarta d'elle même ses cuisses au maximum…

 

Le docteur parla doucement à Amélie, lui demanda de se relever puis de s'accroupir à genoux sur le sol en s'appuyant sur ses mains. Elle mit quelques secondes à réagir, mit les pieds par terre, s'accroupit à genoux, mains par terre… Elle avait un corps parfait, une croupe superbe et exceptionnelle, des cuisses très bien proportionnées. Il lui demanda encore d'écarter au maximum ses jambes, de creuser ses reins en même temps.

C'était génial, le bas du dos formait une petite cuvette, le cul ouvert en grand laissait apparaître le petit anus rose en étoile.

Ses mains caressèrent sa chute de reins, enveloppèrent chacune une petite fesse. Les palpant voluptueusement à volonté…

Il demanda à Amélie de baisser sa tête presque au niveau du sol, ce qu'elle fit immédiatement. Elle était encore plus belle, offerte la tête en bas, cul en l'air…

Il fit signe à Mr Dupuis de s'allonger par terre et de mettre son sexe à la hauteur de sa bouche. Il s'exécuta, dégrafa sa braguette, sortit sa bitte qui se mit rapidement en érection.

Le docteur demanda à Amélie d'ouvrir sa bouche en grand. Il lui dit qu'il allait rentrer quelque chose de très spéciale dedans, qu'il fallait déguster, faire comme avec une glace, c'était tiède et très bon…

Il fallait faire coulisser pour apprécier, mettre beaucoup de salive dessus… Surtout ne pas blesser avec les dents et ne pas mordre. C'était une friandise qui se dégustait uniquement en suçant, toujours en suçant… Jusqu'au moment ou de la crème tiède et onctueuse giclerait dans sa bouche… C'est ce liquide qu'il faut avaler et déguster, c'est salé, c'est un médicament et c'est très bon pour les petite fille comme toi. Tu à bien compris Amélie ? .

 

Oui Monsieur…

 

Ouvre ta bouche en grand Amélie…

Mr Dupuis mit la fillette en position en prenant sa tête à deux mains, plaça le gland de sa queue dans sa bouche…

Maintenant Amélie tu refermes doucement ta bouche dessus…

C'était fait, la gamine avait la bitte dans sa bouche…

Mr Dupuis commença à bouger doucement la tête d'Amélie pour que la pipe se fasse correctement…

Le docteur reprit tout haut… : " C'est bien Amélie, c'est très bien, continue comme ça, tu aimes le goût, c'est très bon et cela te plaît beaucoup.

Tu aimeras ça toute ta vie, et tu aura besoin de faire ça très souvent, tu ne pourras plus t'en passer, tu attendras à chaque fois impatiemment que le médicament sorte.

C'est lui qu'il faudra boire, toute ta vie tu aimeras ce médicament, tu le dégusteras, tu ne pourras pas t'en passer, tellement tu trouveras ça bon…

Pour l'instant tu suces le mieux possible en t'appliquant, c'est bien, tu continues sans arrêter…

Le docteur contemplait son cul ouvert, il se posait la question…

Pouvait-il l'enculer maintenant ?

Il pouvait toujours la préparer, il décida de ne pas perdre de temps, lui lubrifia l'anus avec de la vaseline…

Son doigt rentrait trop facilement dans son petit cul. Il le remplit de pommade, enfonça tout l'index sans problème.

Il tournait et repliait son doigt à l'intérieur, c'était chaud et très souple.

Il travailla doucement son intérieur pendant quelques minutes, son fondement était plein de vaseline. Il se décida pour essayer de la forcer avec deux doigts.

Il appuya, l'anus s'ouvrit et les enveloppa tout de suite. Il fit comme il avait fait avec un seul doigt, fouilla, les replia, effectua un mouvement de va et vient dans son postérieur, cela rentrait et sortait merveilleusement bien…

Il sortit sa queue de sa braguette, en recouvrit entièrement le bout de vaseline et l'appuya délicatement sur la petite corolle de son anus.

Il poussa délicatement… Le petit trou se déforma, chercha à s'ouvrir un peu plus sous la pression, d'un seul coup le gland de sa bitte disparut…

Amélie était enculée pour la première fois de sa vie…

Elle avait juste bougé un petit peu au moment précis de l'enculage, mais elle avait continué à sucer la bitte sans arrêter…

C'était encore plus serré qu'avec les autres… La petite fille avait à peine neuf ans. La queue du docteur sans être énorme faisait quand même un bon diamètre.

Il poussa sans attendre, gagnant centimètre par centimètre.

Les deux hommes étaient hypnotisés par le spectacle…

Deux petites fesses ouvertes au maximum, la grosse tige au milieu qui rentrait et ressortait de l'anus écartelé et déformé…

Ses deux mains étaient libres, il s'aventura sur sa chatte, allant directement la "clitoriser"… Il effleura, caressa et roula son petit bourgeon à l'aide de trois de ses doigts plusieurs minutes… Les toutes petites femelles étaient difficile à allumer, mais lorsque c'était parti, c'était le paroxysme…

Au bout de cinq minutes, il récolta le fruit de son travail, la petite enculée commença à jouir pour la première fois de sa vie, son clitoris avait doublé de volume, elle remuait tout le bas de son corps en gémissant.

Il continua son besognage, à voir les merdes que les petites filles sortaient, il savait que même à son âge il pouvait tout rentrer…

Il ne lui restait à mettre que quatre ou cinq centimètres, il les gagna en quelques minutes… Enfin il l'enculait à entièrement, ses couilles allaient battre à chaque fois sur sa peau, elle était bien sodomisée, à fond…

C'était à chaque fois identique et différent en même temps, la jouissance parfaite dans un petit cul très serré, la chaleur, la moiteur, tout ce qui l'attirait et le faisait jouir au paroxysme…

Mr Dupuis commençait à exulter, encore quelques secondes et il se répandrait dans son orifice buccale…

Il prévint la gamine : " Tu vas bientôt recevoir le médicament dans ta bouche Amélie.

Rappelle toi, c'est très bon, tu aimes ça, tu dois tout avaler, sans rien laisser…

Il était temps, la bouche de la gamine se remplit d'un premier jet de crème onctueuse et tiède, puis d'un second…

Elle fut surprise, mais quelques secondes après elle déglutit en avalant le sperme, pendant qu'un troisième et quatrième jet l'envahissaient à nouveau…

Ses lèvres en laissait ressortir un peu, tout autour de sa bouche… Mais presque tout était avalé, sa première jutte…

Mr Dupuis continuait à se vider, il y eut encore deux ou trois jets, aussitôt avalés par la petite gorge dans un doux bruit de déglutition…

Le docteur éjacula dans son postérieur quelques minutes après, ses couilles étaient pleines. La petite reçue sept ou huit jets…

Elle fut une deuxième fois surprise, le manifesta en arrêtant de remuer ses fesses dès la première giclée.

A chaque dose de sperme, elle cambrait un peu plus ses reins…

Ils restèrent tous les deux dans chaque orifice quelques minutes, puis se retirèrent doucement.

Il demandèrent à Amélie de se relever, ce qu'elle fit lascivement.

La môme complètement droguée et hypnotisée par la drogue n'avait plus de réflexe et paraissait être hors du temps.

Le docteur lui essuya les fesses. Les fit s'écarter pour que le surplus de jutte puisse sortir de son trou du cul. Un peu de sperme coula derrière sur le haut de ses jambes, il l'essuya, répéta plusieurs fois l'opération sur son anus.

Il voulut aussi nettoyer sa bouche, avant il préféra lui demander d'avaler ce qui restait sur ses lèvres, elle passa sa langue dessus plusieurs fois. Le ménage était fait, il continua à l'essuyer avec son mouchoir, sans oublier sa petite chatte toujours vierge…

Il la fit à nouveau étendre sur la banquette d'examen et murmura à son oreille :

" Amélie, dans quelques minutes tu vas te réveiller, tu ne se souviendras de rien, tout ce qui c'est passé dans l'infirmerie aujourd'hui sera effacé de ta mémoire.

Tu seras un peu courbatu mais tu n'auras mal nul part.

Tu repartiras dans ta salle de classe et tu demanderas à une autre élève de venir.

Si dans quelques jours nous nous revoyons, tu viendras tout de suite vers moi, aussitôt… Immédiatement tu feras tout ce que je te dirais. Tu à bien compris Amélie ? ".

La petite fille fit sortir un " oui " presque inaudible de sa gorge.

Le docteur reprit dans sa valise une seringue tout prête, nettoya son avant bras et lui fit une piqûre…

Quelques minutes après Amélie commença à se réveiller… Voyant cela le docteur fit exprès de parler à Mr Dupuis de sujets bien médicaux, pour faire docteur…

Ah, s'exclama t'il …! Amélie se réveil. Bon tu peux te rhabiller, l'examen est négatif… La fillette se releva péniblement, remit sa petite culotte, en gémissant.

Le docteur lui demanda ce qu'elle avait. La fillette répondit aussitôt qu'elle avait un peu mal au derrière, ainsi qu'un goût salé dans la bouche…

Le docteur la rassura, lui affirma que c'était à cause de la banquette médicale, elle n'était vraiment pas confortable, pour le mauvais goût c'était sans doute le médicament qui lui avait donné tout à l'heure.

Elle articula une phrase rassurante pour le docteur : "Je m'en souviens pas…".

Il prit un verre d'eau, le lui donna à boire. Amélie avec soif le but entièrement.

Il n'oublia pas un bonbon acidulé qu'elle suça avec délice…

Bon tu peux disposer lui dit le docteur en lui serrant la main, fais venir une autre de tes copines, mais pas avant treize heures trente.

Elle repartit comme elle était venue belle et pure. Toujours pucelle, mais moins innocente… Sans le savoir.

Ils avaient décidé de faire une pose pendant l'heure du déjeuner.

Ils reprirent donc leur consultation après s'être restauré…

Le défilé recommença. Rien de bien spécial sur la quinzaine de fillette qui suivirent, ils en firent déshabiller quatre, sans vraiment y toucher…

A dix sept heures, ils se préparèrent à partirent. Allèrent saluer la directrice,

qui, occupée à recevoir des parents, les ignora presque…

 

 

 

                        La visite médicale du CM 1

 

 

 

Le lendemain ils furent un peu en avance, ce qui leur permit de parler un peu plus longtemps avec la directrice. Elle comprenait très bien que de telles enquêtes commencent à être effectuées par l'administration. Elle même il y a deux ans avait été confrontée à une fillette de 8 ans, qui selon ses dires avait été violée par un proche… L'affaire avait été enterrée, étouffé par la famille rapidement. Classé sans suite, la gosse s'étant rétractée… La petite Sandra se trouvait maintenant en classe de CM 1, justement elle faisait partie de la classe à examiner aujourd'hui. Le docteur demanda le nom de la fillette, le nota, il verrait bien, et tiendrait au courant la directrice…

Le défilé commença, les gamines avait un an de plus qu'en classe de CE 2, elles étaient beaucoup plus attirante, plus fournis qu'hier…

10 ans, 10 ans ½, la petite poitrine pointait souvent un petit peu plus… 

Le galbe de leur chute de reins s'accentuait, c'était l'âge idéal, selon le docteur pour une première "monte"…

Il fallait en choisir une par classe. Pour hier leur choix s'était porté sur Amélie. La fillette était déjà suggestionnée par le docteur, il la récupérerait facilement, sans problème. Son corps était parfait, elle serait la première à être vendue comme esclave sexuelle…

Pauvre petite, elle allait en prendre des bittes et en avaler du sperme…

Les gamine défilèrent…Il fallut attendre la septième pour que le docteur en trouve une à son goût. Elle était très bien faite… Il demanda à Coralie de se déshabiller, fit quelques tests avec elle, mais ne perdit pas trop de temps avec. Son visage ingrat ne l'attirait pas du tout.

Puis vint enfin le tour de Sandra, la directrice avait eu raison de les prévenir, l'approche fut tout à fait différente…

Dès son entrée la fillette leur donna une bonne impression. Dans ses yeux plus grand chose d'innocent, mais toujours un charme pur et enfantin.

De corps elle était exceptionnelle, il lui fit ôter ses vêtements avant de la questionner, c'était pour voir…

Son visage était gracile, sa voix très douce… Il l'approcha d'elle au maximum. Elle fut gênée par la question des rapports sexuels avec des proches, trop gênée… Elle ne répondit pas, laissant un silence pesant répondre à sa place…

Le docteur, assis jambes ouvertes la tira vers lui. La gamine se tint  debout, serré entre ses jambes. Il répéta doucement la question, elle baissa les yeux…

Bon dit-il on va faire autrement, tu vas me dire ou tu as été touchée, je vais mettre ma main, c'est à toi de me faire comprendre si c'est le bon l'endroit…

Tu es d'accord ? .

Elle acquiesça d'un signe de tête…

Il la serra encore plus contre lui, la caressa doucement, mit ses deux mains dans son dos. Puis les fit glisser sensuellement sur sa chute de reins.

Ses doigts s'immiscèrent  sous la petite jupette, puis remontèrent jusqu'à toucher le doux tissu du sous vêtement…

Enfin il enveloppa délicatement ses deux petites fesses enrobées par la petite culotte rose.

Il les palpa, les caressa longuement tout en les écartant légèrement…

Elle ne savait plus ou se mettre, rougissant, perdant tout ses moyens elle acquiesça d'un nouveau signe de tête…

C'est bien là qu'il t'ont touché ?…

Elle refit le signe de tête de haut en bas avec plus de virulence.

Mais toi Sandra tu as aimer, tu aimes toujours qu'on te fasse ça ?…

Elle répondit d'une voix imperceptible : " Oui j'aime bien, mais c'est interdit, on a pas la droit de toucher à ces endroits là ".

Bon il faut que je sache tout, Je vais continuer…

La personne qui t'a fait ça, est-elle rentrée ici ?

 

Désignant son trou du cul. Appuyant au bon endroit sur le tissu de la petite culotte, il laissa son indexe dans le repli distendu par la pression de son doigt, juste au niveau de l'anus. le bout de celui-ci appuya sur la petite corolle circulaire, tendant à l'ouvrir légèrement.

 

Elle fut de plus en plus gêné, rougit encore plus en baissant les yeux.

Le docteur changea de stratégie, se retira, alla chercher sa petite seringue de produit miracle.

Il n'avait pas parlé, lui avait pris son bras droit, mit à l'horizontal, nettoyé avec un peu d'alcool et un coton.

Puis directement injecté le produit de couleur ambre dans les veines…

Il laissa sur la table à portée de main une petite fiole, ainsi qu'une seringue sans aiguille recouverte d'une canule.

Il tira la petite fille contre lui, attendit quelques temps que le produit agisse…

Une minute après tous ses muscles se détendirent, elle ferma les yeux…

Il la suggestionna comme il l'avait fait pour Amélie, lui disant qu'elle ne se souviendrait de rien à son réveil, qu'il fallait faire des examens, qu'elle se laisse faire, en plus elle allait aimer. Cela allait être très bon pour elle…

Voyant qu'elle était prête, il la cambra. Plaça son petit ventre sur une de ses cuisses. Elle se retrouva la tête en bas, cul et cuisses offerts. Sa petite culotte fut baissée rapidement sur ses mollets. Le docteur prit la petite fiole, en remplit la seringue, fixa la canule dessus et dirigea l'embout vers l'anus découvert de la petite fille, il n'eut aucune difficulté à remplir le petit cul…

Les effets de l'hypnotique par voie intraveineuse, plus ceux de l'opium mélangé à un tranquillisant par voie rectale était spectaculaire.

Quelques minutes suffisaient…

Mr Dupuis avait assisté à toute la scène avec ravissement sans rien dire depuis un bon moment. Il reconnu que "celle la", en parlant de Sandra, valait le coup…

La fillette commença à sourire, puis parla tout haut, délirant complètement, entièrement camée…

Le docteur lui dit qu'elle allait prendre beaucoup de plaisir, qu'il fallait qu'elle se laisse faire…

Les deux hommes se rapprochèrent de la petite, leurs mains explorèrent son corps, sans rien omettre. Ses tétons furent tirés et roulés méthodiquement, sans trop pincer pour ne pas laisser de trace.

Le docteur resta sur son fauteuil, sortit sa bitte, assis Sandra dessus, sa queue juste au niveau du petit trou du cul. Son postérieur était plein d'opium, le liquide était glissant comme de l'huile, il savait ce qui allait se passer…

L'anus s'ouvrit laissant passer le gland… Le poids de la fillette fit le reste, elle descendit doucement, s'empala sur la bitte, d'abord un peu, puis à moitié.

En une minute la petite fille était enculée jusqu'aux couilles…

Elle n'eut même pas mal… Juste une petite réaction, un  petit "oh…" de surprise. C'était sur, quelqu'un était déjà passé par ce petit trou, la gamine avait déjà du recevoir pas mal de longueur dans le postérieur.

Quelle sensation magnifique d'étroitesse et de chaleur …

Il poussait à fond, la faisant doucement tressauter sur lui pour ressentir le plus beau moment de sa vie, bien au fond du petit ventre de la petite fille.

Magnifique petite enculée… L'anus ouvert à l'extrème elle se détendait quand même, s'empalant au maximum.

Il écarta ses cuisses, lui relevant les jambes en l'air, en très grand…

Il gagna encore quelques petits centimètres d'enculage…

Mr Dupuis s'agenouilla devant elle entre ses cuisses, elle était ouverte en grand, la chatte offerte, cuisses maintenues en hauteur par le docteur. Il lécha la petite fente, l'inonda de salive, titillant le mignon petit bourgeon…

La petite salope gémit… Un râle venant du fond de sa petite gorge…

Trop fort selon le docteur, qui immédiatement s'empara de son mouchoir, le fourra dans la bouche de la gamine…

Mr Dupuis continua son léchage un bon moment. La "gaminette" prenait un plaisir fantastique, elle se tordait et ondulait des reins, empalée sur la queue du docteur… L'homme qui l'avait éduqué en premier à la sodomie avait bien fait son travail, la gamine était réceptive à sa pénétration. Les zones érogènes de l'anus et du rectum étaient bien éveillées. A coup sur la gamine se faisaient encore monter par derrière très souvent… Le cerveau de la fillette avait pris le pli, des liaisons synaptiques s'étaient crées dans les zones du plaisir…

La petite fille adorait les pénétrations anales et ceci pour sa vie entière…

Le docteur pensa un instant… : " Enfin, une d'éduquée correctement… ".

Mr Dupuis amena sa bitte à la hauteur de son entrejambe… Le docteur comprit qu'il voulait la baiser aussi et l'aida en la bougeant. Il la fit descendre un peu, ce qui eut pour effet d'amener sa petite chatte à la hauteur de la pinne de Mr Dupuis…

Il fallait bien viser… C'était faisable… La prendre des deux côtés en même temps… La fillette de dix ans mouillait bien, ses lèvres étaient bien ouvertes…

Le gland de sa bitte appuya juste au milieu des lèvres, doucement d'abord, puis de plus en plus fort… Le bout rentra d'un seul coup dans son vagin…

Elle eut très mal, un cri entièrement étouffé par le mouchoir.

Puis plus rien, quelques secondes après c'était déjà fini, la nature avait repris le dessus, la gamine exultait à nouveau en bougeant à nouveau tout son petit bassin…

Elle était dans une position idéale, le docteur l'enculait assise en lui maintenant fermement les jambes en l'air, cuisses écartées…

Mr Dupuis la besognait par devant en poussant de plus en plus dans son bas ventre.

La fillette devenait complètement Hystérique, jouissant de plus en plus.

Elle n'avait plus aucune retenue, bougeait tout ce qu'elle pouvait, secouant sa tête de gauche à droite. Les pupilles de ses yeux dilatés, son visage avaient une expression de bonheur et de reconnaissance. Elle attendait la jutte, au fond de son subconscient tout était paré, elle était prête à recevoir la semence.

Les mâles l'avait marqué, ouverte au maximum… C'était comme ça depuis la nuit des temps… Certes un peu plus tôt que les autres… Mais c'était un petit détail…

La bitte dans sa chatte coulissait merveilleusement bien, rentrant presque complètement. Mr Dupuis appuyait encore, la pinne gagnait du terrain… Quelques minutes plus tard Mr Dupuis s'arrêta de la besogner, il resta la bitte à fond dedans, fit constater au docteur que ses couilles appuyaient à fond sur le bas ventre de la petite fille… Tout était rentré…

Aussi bien dans l'anus que dans le vagin. Les deux en même temps…

La petite fille aimait de plus en plus. Dupuis reprit son va et vient, quel bonheur, quelle jouissance, la position de la petite fille était unique, permettant toutes les folies… Dupuis éjacula, l'inondant au plus profond d'elle même, d'innombrables jets de jutte tiède la remplirent. Brave petite femelle…

Surprise elle ouvrit encore plus grands les yeux et attendit les autres jets…

Cela n'arrêtait plus, elle se faisait remplir le bas ventre de semence tiède et onctueuse, ne sachant pas quand ce plaisir allait s'arrêter… Sept…Huit…

Maintenant, elle était détendue, heureuse attendant la liqueur de l'homme…

Il y avait aussi dans son derrière le gros morceau qui l'écartait, l'enculait comme ils disaient… Tout en la maintenant droite, immobilisée…

Cela lui avait fait mal au début, maintenant plus rien, cela lui faisait du bien…

Elle ne pouvait plus bouger… Et ça elle aimait beaucoup…

C'était encore mieux qu'avec son grand père…

La dernière dose de sperme inonda son vagin… La fillette ressentit une douce chaleur envahir tous son bas ventre, des picotements agréables dans sa poitrine.

Le bout des tétons, sa nuque, toute sa colonne vertébrale était titillée par des petits frissons agréables…

Elle venait de décider que pour la vie elle se laisserait faire…

Tous les hommes pourraient faire n'importe quoi avec elle, c'était trop bon.

Dupuis se retira d'elle. Le docteur lui demanda de s'asseoir sur l'autre chaise en face de la fillette. En même temps il se leva tout en maintenant la môme enculé sur sa bitte, il la posa doucement par terre cuisses écartées, ses genoux reposant sur le sol, il était toujours collé à elle jusqu'aux couilles.

Il retira le mouchoir de la bouche de la gamine, dirigea la bitte de Dupuis vers l'orifice buccale , fit avancer légèrement la fillette et lui demanda d'ouvrir la bouche… L'engin de Dupuis s'engouffra jusqu'au fond de sa gorge…

Sandra… Tu fermes ta bouche et tu aspires bien…

Tu avales le liquide que tu trouves… Tu as bien compris ma puce… ?.

C'était un ordre, la fillette le comprit comme telle…

Le docteur agenouillé derrière la gosse recommença son besognage. Sa bitte était restée sans bouger, bien au chaud dans le cul de la fillette, ce n'était plus très bien lubrifié. Il se retira du cul de la gosse et admira le spectacle de la petite moule dégoulinante de sperme juste au dessous de l'anus. Il ne put résister et replongea sa queue dans le vagin dégoulinant de jutte. Il fit quatre ou cinq plongées à fond dedans… C'était tiède et onctueux, serré et strié comme il aimait. Il adorait reprendre une fillette juste après l'éjaculation d'un premier mâle, cela rentrait mieux, tout en gardant quand même la verge bien serrée.

Le liquide blanc et visqueux déjà dans le ventre procurait des sensations encore plus agréables. Le bruit de la "saillie" était différent de celle d'un vagin non rempli. Il fallait être connaisseur pour apprécier et bien sur avoir déjà pratiquer des petites filles…

Il ressortit sa bitte, elle était dégoulinante de liquide blanchâtre…

La petite corolle de son trou du cul s'était sagement refermé, il remit son gland dessus, appuya à nouveau.

L'anus se déforma avalant à nouveau le bout de la bitte…

Il l'encula à fond rapidement, le sperme de Dupuis faisait bien son office de lubrifiant. Le spectacle de la fillette écartée comme elle était, enculée, avec une bitte dans la bouche lui donna envie de la remplir rapidement.  

Il redoubla ses coups de boutoir et explosa dans son postérieur…

Comme avec Dupuis les doses furent généreuses et nombreuses…

La fillette ressentit chaque jet mouiller l'intérieur de son petit cul, elle se mit à onduler de la croupe de gauche à droite, elle adorait…

L'opium et les autres drogues faisaient leurs effets…

La petite fille n'était plus qu'un cul et une chatte, tous les deux bien remplis…

Le docteur savait ce que d'autres feignaient d'ignorer… Une fillette de cet âge  pouvait s'ouvrir et laisser rentrer en elle un chibre moyen par ses deux trous.

Le summum étant que l'on peut la faire jouir en lui donnant du vrai plaisir…

C'était facile, d'abord le jeu des caresses, la nuque, puis le dos, les fesses.

Les jambes, puis les cuisses… A ce stade, restait à passer la main sur la petite culotte, caresser la fente de haut en bas, lui faire ressentir que c'est fait pour s'ouvrir…Délicatement…

Faire tourner son doigt à l'emplacement du clitoris, masser doucement…

Jouer avec l'élastique de l'entrejambe, aventurer un doigt sous le tissu,

dans la petite culotte de la fillette… Surprise, neuf fois sur dix la petite fille en émoi se laisse faire, écarte légèrement ses cuisses d'elle même, se tait, ne bouge plus, attend la suite. Lorsque les doigts fouillent dans la petite culotte, la petite perd souvent tous ses moyens. Il suffit de trouver le petit clitoris, de le caresser sans brusquerie, le titiller très doucement et graduellement, l'effleurer parfois.

Cela demande un effort de patience, souvent plus de dix minutes d'attente et de doigté. On s'aperçoit de la réussite de son travail en parcourant avec un doigt le sillon des lèvres de sa chatte. Après un certain temps d'excitation, les lèvres s'ouvrent mieux, l'accès au vagin est plus facile, on découvre souvent que la petite fille commence à mouiller doucement. Son vagin suinte et se lubrifie.

A ce stade une enfant n'a plus qu'une envie, être caressée…

Pour les fillettes consentantes, aucun problème… La solution pour les autres gamines est de les soumettre, de les obliger à découvrir que c'est bon…

Les faire jouir lorsqu'elles sont attachées bras et cuisses écartées et sous tranquillisant est un "jeu d'enfant…".

L'habitude aidant, si on pratique par force une petite fille non consentante deux ou trois fois par jour en la pénétrant par son vagin, en la sodomisant, sans oublier de lui faire avaler du sperme tous les jours, en quelques semaines la petite fille est prête.

Elle est conditionnée pour se laisser faire et être baisée à volonté.

Bien sur il faut la couper de son milieu familial, l'isoler pendant la période du "traitement"… Lui faire découvrir les punitions, elle doit par tous les moyens devenir docile sexuellement. Etre apte à tout faire, à n'importe quel moment du jour et de la nuit.

On s'aperçoit qu'avec le temps la petite fille devient de plus en plus docile et accueillante sexuellement. Elle a de moins en moins peur, s'ouvre plus facilement, commence à prendre du plaisir. Pour un résultat maximum, il faut éduquer les fillette dès l'âge de sept ans, mais rarement après dix ans…

A cet age la fillette est malléable, relativement consentante, toutes les pratiques peuvent lui être apprises facilement. Au-delà, il faut la soumettre et recourir à des punitions et sévices exemplaires…

 

La sodomie continuait malgré l'éjaculation, il lui bourrait encore son petit cul à fond, la tringlant jusqu'à ce que les couilles appuient sur ses fesses.

La petite consciencieusement continuait son travail sur la pinne de Dupuis, avalant le sperme quelle trouvait en aspirant le membre viril.

Le docteur ressortit enfin du petit cul, se releva, le bout de sa bitte était enduite de merde, il l'essuya avec la petite culotte rose de la gamine…

Mr Dupuis épuisé, vidé, pompé par la petite fille se releva aussi…

La gamine resta dans la même position à genoux, cuisses écartées, cul offert, et tête baissée…

Le docteur lui parla gentiment, lui demanda de se relever en laissant ses jambes écartées en grand. Le docteur prit un essuie tout, commença à nettoyer et à retirer le sperme en excès. A chaque fois qu'il écartait ses petites fesses le liquide blanc ressortait de l'anus, pareille pour son vagin…

Il prenait un certain plaisir à écarter ses parties intimes en contemplant la jutte qui ressortait…

Il remit la petite culotte rose en place, repassa une dernière fois son doigt en appuyant fortement sur la raie de ses fesses et celle de son vagin, la culotte s'humidifia aussitôt… Elle était remplie de sperme et cela durerait quelques heures…

La séance avait duré près d'une heure Il l'habillèrent, lui firent un semblant de toilette, puis l'allongèrent sur la table d'examen.

Il commença à la suggestionner… Lui dit qu'à son réveil elle ne se souviendrait de rien, que tout serait normal et qu'elle n'aurait mal nul part…

Que la prochaine fois qu'elle le verrait dans la rue, si il lui demandait de le suivre, elle le ferait tout de suite et sans réfléchir…

Il lui demanda si elle avait bien compris…

Un "oui" presque inaudible sortit de sa bouche…

Le docteur lui refit une piqûre dans l'avant bras, attendit une dizaine de minute que le produit fasse effet. Sandra émergea doucement de son sommeil semi-hypnotique. Elle ouvrit les yeux, les deux hommes en blouses blanches, assis à la table parlaient normalement de sujets médicaux, comme si rien ne s'était passé…

Le docteur souriant parla à Sandra, lui dit qu'elle avait eu un petit malaise sans gravité, lui donna à boire un verre d'eau fraîche, puis un bonbon à sucer.

Il lui demanda si elle pouvait se lever…

La petite fille de dix ans se mit debout sans problème en massant son postérieur et le bas de son bassin, sur le devant…

Il la questionna sur ses souvenirs… Elle ne se souvenait plus de rien, ouf…

Il la remercia, lui demanda de retourner en classe et d'appeler la prochaine élève. D'une démarche bizarre et hésitante, elle prit congé…

Les autres élèves furent bâclés, il fallait rattraper le temps perdu, mais aucune ne leur plut vraiment, toutes des défauts… Et puis ils étaient très fatigués…

Ils prirent congés, remercièrent la directrice, repartirent vers dix huit heures, les deux classes étaient "sondées et inspectées…".     

La journée du lendemain ils se reposèrent un peu, jouèrent un peu sexuellement avec Laura, et mirent au point l'enlèvement des deux gamines. Tout fut décidé pour le 15 du mois, ils avaient l'adresse des deux fillettes, c'était le principal…

 

 

 

           

 

      Le Rapt D'Amélie

     

 

   

Le docteur savait déjà que le mercredi matin Amélie faisait la grasse matinée. Elle était donc toute seule, ses parents commerçant partait à leur travail à huit heures.

Questionner les enfants sur leurs habitudes avait servi à quelques choses…

A huit heure trente il appuya sur le bon bouton de l'interphone, l'immeuble avait six étages, style pierre de taille des années 1930. La réponse ne se fit pas attendre plus de 10 secondes…

Une petite voix gracile et aigu…" Oui qu'est ce que c'est …? ".

C'est une paquet et une lettre de l'école pour les parents d'Amélie, c'est à remettre en mains propres…

Il y eut bien trente secondes d'attente, mais la curiosité fut plus forte, la petite voix se fit entendre : " je vous ouvre…".

Un déclic se fit entendre, la grosse porte en bois s'ouvrit, il monta avec sa sacoche l'escalier jusqu'au sixième étage, sans ascenseur…

Le pallier de droite…La porte à droite était entrebâillée, il frappa trois petit coup… La porte s'entrouvrit un peu plus laissant apparaître la petite Amélie, neuf ans adorable en chemise de nuit rose…

Elle reconnut le docteur, fut décontenancé un instant…

Puis son sourire revint, elle ne devait pas avoir de mauvais souvenirs…

Il ne resta pas longtemps sur le paillasson, prit la décision immédiate de rentrer dans l'appartement et de refermer la porte derrière lui…

-         J'ai des papiers à faire signer à tes parents, je peux leur parler …?

-         Ils ne sont pas là…

-         Tu es toute seule…?

-         Oui…

-         Bon je vais t'expliquer ce qu'il faudra leur faire signer et leur dire.

-         On peut se mettre ou pour que je te montre tout ça…?

 

La fillette montra le chemin, indiqua une pièce qui devait faire office de salle à manger.

Le docteur lui affirma aussitôt qu'ils seraient certainement mieux dans sa chambre, d'ailleurs il serait très heureux de la voir…

Elle hésita un instant, crut ne pas pouvoir faire autrement…

Passant devant, Amélie longea le couloir, poussa la porte qui laissa apparaître une petite chambre recouverte d'un papier peint rose avec de jolis motifs de fleurs imprimés sur les murs. Un lit d'enfant d'une personne, un petit bureau, une armoire, plus un joli bordel de jouets divers sur la moquette faisait de cet endroit une chambre d'enfant par excellence…

Il décida de ne pas la laisser réfléchir…

Tiens pendant qu'on y est, il me manque quelques examens sur toi, je fais en profiter, on va les faire maintenant…

Tu vas fermer les yeux et rester debout les pieds joints sans bouger….

Elle hésita un peu…

Bon, Amélie, tu vas faire ce que je veux, n'oublies pas ce que je t'ai dit l'autre fois, tu t'en souviens, j'en suis certain….Bon tu fermes les yeux…

Elle était conditionnée. Par suggestion son subconscient venait de se rappeler l'événement, déclenchant en elle un mécanisme automatique…

Le docteur reprit aussitôt, voilà c'est bien, tu fermes tes yeux, tu de détends, tu vas avoir de plus en plus sommeil, tu ne résisteras pas, tu vas dormir très rapidement… Tu vas tellement avoir sommeil que tu vas t'allonger sur ton lit et  dormir très profondément… La seule différence c'est que tu écouteras sans arrêt ce que je dirais, et tu le fera…

Voilà maintenant tu dors et tu t'allonges sur ton lit…

La petite fille déjà complètement conditionné, s'assit sur son lit, s'allongea, restant passive et détendue…

Bon, c'est bien reprit le docteur, tu vas faire tout ce que je te dis, comme l'autre jour on va faire des choses qui sont très bonnes pour toi…

Après, tu viendra avec moi, on ira se promener ensemble.

Mais déjà tu vas te laisser faire complètement, sans rien dire, sans avoir mal, tu vas prendre beaucoup de plaisir à faire ces choses.

Tu vas aimer beaucoup, comme l'autre fois…

Il commença, la caressant sur sa chemise de nuit, partout, elle était nue dessous…

Il voulut voir si elle était soumise, lui demanda de se relever, de se mettre debout… Les yeux fermés, elle le fit aussitôt.

Le docteur retira rapidement ses affaires, son pantalon, sa chemise, tout… Laissa uniquement son slip, s'allongea sur le lit de la petite fille, à sa place…

Il avait le temps, il le savait. Ses parents tous les mercredi lui laissaient faire la grasse matinée, ne lui téléphonaient jamais. Des commerçants n'avaient jamais le temps… Ils ne serait pas de retour avant treize heures pour le déjeuner.

Cette matinée allait être plus grasse, blanche et juteuse que prévue…

Il demanda à la petite fille d'ouvrir les yeux, elle dormirait, mais les yeux ouverts, elle distinguerait tout et ferait tout ce que le docteur lui demanderait de faire.

Vient t'agenouiller entre mes cuisses lui ordonna t'il.

Ses jambes se replièrent et s'écartèrent au même moment pour lui désigner ou il voulait qu'elle vienne…

En automate , elle se releva les yeux ouverts, les pupilles entièrement dilatées, puis s'agenouilla entre ses jambes…

Bon c'est bien Amélie, tu baisses ta bouche sur mon slip, tu vas sucer la bitte qui va sortir, cela s'appelle faire une pipe…

 

 

Il reprit : Faire une pipe c'est sucer la bitte, puis avaler le liquide qui sort quand tu as bien excité le Monsieur. Il faut tout avaler, ne rien laisser, la jutte c'est salé et très bon pour les petites filles.

Tu aimeras ça toute ta vie, tu en avaleras chaque fois que tu pourras…

Tu sais que c'est bon, l'autre fois tu en as déjà avalé,  maintenant tu vas recommencer, mais ce coup-ci c'est toi qui va travailler la bitte avec ta bouche. Tu vas te servir de tes lèvres pour faire venir toute seule la jutte dans ta petite bouche, comme une grande fille…

Elle mit maladroitement ses lèvres sur le slip, bouche ouverte.

il la regardait faire, sa bouche ouverte collé sur le tissu du slip, ne sachant pas quoi happer… Il l'aida, prit ses deux mains, plaça ses petits doigts sous le tissu du slip, les bougea… Puis plaçant une de ses mains autour de sa verge,

il comprima l'ensemble, ressentant tout de suite les petits doigts qui enserraient son membre viril.

Il lui demanda de laisser serrer fortement ses doigts autour. Le docteur baissa son slip, la bitte se mit droite en érection, une des petites mains avait suivi, les  doigts étaient toujours serrés autour du membre…

Sa bouche était toujours ouverte, d'une main il agrippa ses cheveux,

tira légèrement dessus pour diriger sa bitte vers l'orifice buccal…

Quelques secondes après le morceau était dans la bouche, la fillette avait retiré ses mains de la verge. Il les lui plaça à côté d'elle, puis lui demanda de refermer doucement ses lèvres sur la bitte et de commencer la pipe…

Elle avait tout compris, rapidement elle effectua un va et vient superbe en serrant comme il fallait avec ses lèvres…

Le docteur mit ses mains sur le tissu de la chemise de nuit au niveau des hanches et tira doucement… Les jambes, les cuisses, les petites fesses apparurent…

Il tira le tissu jusqu'au épaules…

Le spectacle était magnifique mais incomplet, il demanda à la petite fille d'ouvrir ses cuisses et ses fesses au maximum…

Elle écarta l'ensemble à souhait…

Il se détendit incroyablement, oubliant presque tout, ne faisant que contempler la petite fille de 9 ans, soumise et innocente lui faire la plus belle des fellations.

Elle pipait admirablement pour ses 9 ans, il se rappela ce qu'ils lui avait fait le jour de la visite médicale. Dupuis lui avait fait avaler son sperme…

Lui l'avait baisé et sodomisé sans problème… Il se dit qu'elle n'était plus vierge.

Il se posa la question… La prendre par la chatte tout de suite ?

Il lui fit interrompre sa pipe, lui demanda de s'allonger sur le dos, jambes et cuisses très écartées. Il se mit entre ses cuisses, lui souleva les deux jambes en hauteur en les tenant très écartés, admira le spectacle de sa petite moule pas ouverte du tout… Il n'alla pas plus loin, voulut la préparer, se releva, ouvrit sa sacoche, prépara une seringue… Elle ne bougea même pas lorsque il injecta le produit dans la veine de son bras droit, il reprit une autre seringue, la remplit d'un liquide huileux, celle la n'avait pas d'aiguille…

 

 

Il retourna près de la fillette, lui glissa sous le bassin une grande alèse plastifiée pour ne pas salir le lit, replia ses jambes, écarta à fond ses cuisses, puis s'allongea la tête an niveau de son minou, commença à la lécher, doucement, méticuleusement, sur toute la longueur de sa fente… Il jouait avec son sexe, sa langue titillait son petit clitoris, parcourant le sillon, appuyant au milieu cherchant à l'ouvrir un peu… La moule restait fermée, bien close, les lèvres ne s'ouvraient pas… Son travail de lèche lui plaisait beaucoup, il adorait sentir l'odeur d'une petite chatte, c'était un parfum unique réservé aux petites filles… Le goût aussi était spécial, unique en son genre, légèrement salé et épicé,

les sensations avec sa langue le ravissaient et lui donnaient des frissons de plaisir. Il la titilla près d'un quart d'heure avant qu'elle ne ressente les effets des soins qu'il lui prodiguait. Elle tressauta légèrement du bassin, commença à gémir doucement… Il le savait aucune petite fille ne pouvait résister à ce traitement très longtemps sans commencer à jouir, surtout avec ce qu'il lui avait administré dans les veines. Elle était nettement plus ouverte qu'avant, la langue jouait avec ses petits bouts de chair rose, son clitoris, son vagin se lubrifiait et demandait à s'ouvrir. Il rentra un doigt… En effet elle commençait à mouiller.

La petite seringue d'huile de vaseline était toujours dans sa main, il l'amena à l'entrée de son vagin, la pénétra avec. Le petit tube rentra de moitié dans le canal vaginal. Il appuya doucement sur le piston de la seringue jusqu'à ce que toute l'huile remplisse l'intérieur du bas ventre de la fillette. Il retira la seringue, la posa, contrôla avec ses doigts en écartant les lèvres de sa chatte…

L'huile ressortit et perla sur ses cuisses, sa cavité vaginale était remplie d'huile. Il massa délicatement, rentra un de ses doigts en faisant un mouvement de va et vient, cela coulissait merveilleusement bien. La fillette était excitée et gémissait de plus en plus en se trémoussant. Il trouva que c'était le bon moment pour la pénétrer… Il se remit à genoux entre ses cuisses, lui releva les jambes en hauteur tout en maintenant ses cuisses écartés en grand. Il ajusta sa posture jusqu'à amener sa bitte à l'entrée de son vagin, la fit se promener un peu sur sa fente en appuyant légèrement… La bitte traçait son chemin, miracle de la nature elle se positionna à l'entrée de l'orifice de la fillette…

Il appuya doucement… La "saillie" pouvait commencer…

La bitte écarta les lèvres, l'entrée du vagin se déforma de plus en plus… Il ne relâcha pas sa poussée, au contraire…

Le gland de sa queue rentra d'un seul coup.  Le bout de la bitte venait de s'introduire dans le vagin lubrifié par l'huile, le serrant très fortement, épousant à la perfection la forme de son bout… Elle avait poussé un petit cri aigu…

Le cri d'une monte d'une gamine de dix ans…

Amélie avait les yeux grands ouverts, une expression de surprise venait d'envahir son visage… Une chose bizarre dans son bas ventre, gênante mais comblante,  excitante et reposante en même temps… assez agréable… Venait d'entrer…

Il joua avec l'écartement de ses cuisses, à fond tout d'abord, puis il les resserra. A chaque fois le joint lui serrait un peu plus le gland de sa bitte… Seul le bout était rentré, il tirait, puis poussait très légèrement, la chatte faisait ventouse, suivant docilement le petit mouvement. Il appuya un peu plus… Il fallait la monter convenablement, lui rentrer une bonne longueur pour bien la baiser...

Il gagna quelques centimètres dans le bas ventre de la petite fille, l'huile aidant cela coulissait sans problème. Elle n'avait pas mal et se laissait faire, les yeux grands ouverts. Toujours cette expression de surprise, de contentement sur son visage…

La pinne rentra encore plus, presque la moitié… il la besognait maintenant convenablement allant et venant dans son bas ventre, essayant de gagner quelques centimètres de temps en temps. La fillette commençait à être bien fourré, regardant intensément la queue rentrer en elle. Elle avait l'air d'aimer, son expression ne trompait pas…

Il fit reposer ses jambes sur ses épaules, une main libre alla se promener sur le petit clitoris, les doigts de l'autre s'arrêtèrent sur sa poitrine, le petit téton fut pincé, tiré, et roulé…

Elle gémit, se mordit les lèvres, essaya de bouger son bassin pour retirer la bitte… Elle n'arriva qu'à faire rentrer la pinne involontairement de quelques centimètres de plus…

Il l'excita pendant cinq bonnes minutes, elle était à la limite de la souffrance,

le bout de son téton était tout rouge, tuméfié… Il s'en foutait bien maintenant, plus personne de son entourage ne s'étonnerait des sévices visibles sur son corps.

Cela l'excitait énormément de la voir se tordre de douleur et de plaisir en même temps… Lui savait bien que les deux était indissociable, au même titre que le bien et le mal, que la beauté et la laideur, que l'intelligence et la bêtise…

Dans ce monde tout allait comme ça. Les cons ne comprendront jamais, ils chercheront toujours à se mettre d'un côté, oubliant que l'autre côté existe.

Pour faire vraiment du bien, il fallait connaître le mal le mieux possible, sinon c'était un coup de bâton dans l'eau…

Elle était droguée, la souffrance était atténuée, ses sens exacerbés, tout concourait à ce que la fillette prenne son pied sans avoir trop mal.

Ses mains s'accrochaient à lui de plus en plus… La queue continuait à parcourir son chemin, petit à petit elle s'insinuait un peu plus au plus profond du vagin de la petite fille…

Il la besognait maintenant rapidement, la bitte rentrait et sortait à une vitesse normale pour un coït, il n'allait pas tarder à lui fournir une bonne dose de sperme…

Il poussait presque à fond, mais sa verge n'était pas rentré complètement,

il manquait environ quatre centimètres, il poussa un grand coup… Elle gueula, un grand cri… Il y était enfin, tout sa verge était rentrée à fond dans son vagin…

Il éjacula aussitôt après dans la fillette… Un bon nombre de giclée inonda le fond de son bas ventre… Elle tressauta, se raidit et prononça un : "Ohhhh…." Signifiant qu'elle avait bien ressentie la jutte chaude inonder son intérieur.

Il continua à se vider… La petite femelle se remplissait petit à petit… Elle se détendit complètement, attendant la suite…

C'était comme ça à chaque fois, c'était tellement bon et inattendu… Toute les petites filles qu'il avait rempli avait la même attitude, elles attendaient la jutte les yeux brillants, cuisses ouvertes à fond, et toutes en émoi…

Il prit un malin plaisir à ressortir sa bitte juste avant un jet de sperme, il la mit sur le ventre de la petite fille, rien que pour qu'elle puisse regarder la jutte…

Elle put contempler le liquide blanc sortant de sa verge se répandre sur son ventre. Il massa, en rentra un maximum dans son nombril, puis ce qui resta sur ses mains fut amené à sa bouche… Il lui demanda de lécher ses doigts et d'avaler…

Elle lécha méticuleusement, sans rien laisser… Il poussa le vice à aller chercher à nouveau du précieux liquide au niveau de sa petite chatte, il lui fouilla l'intérieur du vagin, il regorgeait de sperme qui inonda à nouveau ses doigts…

Il remonta ainsi plusieurs fois à sa bouche, à chaque fois elle léchait, avalant le liquide…

Le manège dura bien cinq bonnes minutes, elle effectuait un nettoyage méticuleux, il se dit que comme la gamine aimait ça, il pouvait directement lui faire nettoyer sa queue. Il se mit donc à califourchon sur sa tête, la bitte à la hauteur de sa bouche… Bientôt la petite fille le pompait avidement, prenant un certain plaisir à déglutir le précieux liquide.

Bon ce n'était pas tout, il fallait récupérer la fillette sans problème et assez rapidement la ramener au pavillon… Il demanda à la gosse de s'habiller, lui dit qu'elle allait continuer à dormir ainsi et qu'elle ferait tout ce que le docteur lui dirait de faire... Il la contempla pendant qu'elle remettait ses affaires, elle était très belle et attirerait beaucoup les mâles, elle viderait beaucoup de couilles…

Il en était sur, après formation elle serait docile et ferait tout ce qu'on lui dirait de faire. En cinq minutes elle fut prête, il lui demanda de prendre un sac, de mettre dedans toutes les affaires qui lui plaisaient… Comme un robot elle prépara ses vêtements, les mit dans un plastique puis revint docilement près du docteur…

Il lui dicta un petit mot pour ses parents : " Maman, papa, je pars. J'en ai marre, à bientôt peut être, je vais chez une amie. On a préparer notre départ depuis longtemps, je vous embrasse, à bientôt peut être. ".

C'était simplet, mais cela permettrait à l'enquête de piétiner un bon moment…

Il demanda à Amélie de porter son sac, puis de passer devant lui. Il lui dit qu'une vingtaine de mètre devait toujours les séparer pour sortir… Il ne rencontrèrent d'ailleurs personne dans l'escalier, il était près de dix heures, c'était une heure creuse, les travailleurs étaient déjà partis bosser et les ménagères pas encore sorties faire leurs courses…

Il la rejoignit un peu plus loin… Se dirigèrent ensemble vers la petite rue ou était garée la camionnette, ouvrit les portières, fit monter la fillette à côté de lui sur le siège passager.

 

 

Il attendit, regarda dans les rétroviseurs pendant cinq bonnes minutes, personne ne devait avoir remarquer quoi que ce soit… Il demanda à la petite fille de passer à l'arrière de la camionnette et de s'allonger sur la banquette…

Il la rejoignit quelques secondes après, elle était "consentante", toujours sous l'effet du médicament et du conditionnement. Il lui fit avaler avec un peu d'eau, un comprimé d'un puissant somnifère hypnotique, lui dit de se reposer pendant tout le trajet et de dormir, que rien ne pourrait la réveiller avant qu'ils ne soient arrivés… Elle ferma les yeux, s'assoupit immédiatement… Il resta à côté d'elle quelques minutes, contemplant sa petite robe jaune en coton imprimés de motifs de fleurs divers. Il se dit que rien n'interdisait de lui relever sa robe…

Les fines jambes et son slip apparurent, elle avait les cuisses légèrement ouvertes, il put distinguer sur le devant de la petite culotte, une empreinte mouillée sur toute la longueur de sa fente… Le sperme ressortait, inondant le devant du tissu… Il passa un doigt qui s'humidifia aussitôt…

Elle était remplie de sperme…

Le trajet se fit sans encombre. Il l'amena directement à la maison des supplices, la déposa dans une petite cellule sur un petit lit, l'enchaîna au mur maintenu par une menotte à la cheville droite… Avec une chaîne de deux mètres au pied elle ne pouvait même pas s'approcher de la porte fermée à double tour, juste s'allonger, boire au robinet et faire ses besoins, c'était tout…

 

Il en profita pour jeter un coup d'œil dans l'autre cellule, Laura dix ans et demie, la suppliciée de service était toujours bâillonnée et en extension en l'air au milieu de la pièce, bras et cuisses écartés… Un énorme godmichet était fourré dans son anus, ses deux seins étaient transpercés chacun par deux longues fines aiguilles… Les lèvres de sa chatte étaient écartées, maintenues ouvertes par un système de tringles, et petites pinces crocodiles… Son vagin était comblé par un autre énorme godmichet, seules deux grosses couilles en latex apparaissaient…

Il ressortit sans lui parler… Elle vivait tout allait bien…

 

Le lendemain une autre petite fille, Sandra dix ans et demie rejoignit Amélie neuf ans et demie dans la même cellule, Il l'avait kidnappé sur le trajet de l'école, pas moyen de faire autrement…

 

Les fillettes restèrent sans visites, attachées dans leur cellule, sans manger pendant quarante huit heures. Le troisième jour le docteur et Jean Yves se pointèrent dans la cellule, chacun un fouet dans une main, dans l'autre une assiette fumante de pattes…

Les deux gamines crièrent et posèrent des questions… Ce quelles faisaient ici et pourquoi…?. Bien mal leur en prit, elle reçurent aussitôt une quantité de coups de fouets…

Le silence revint tout de suite… Le docteur posa ses conditions : " Ici vous faites tout ce qu'on vous dit, sinon vous ne mangez pas et vous êtes fouettés ".

 

 

Pour commencer aujourd'hui si vous voulez déguster ce qu'on vous a amené il faudra le mériter.

Pour ça vous allez nous faire chacun une pipe et avaler toute la jutte qui sortira, on veut qu'il n'en reste pas une seule goutte… Vous mangerez après…

Les deux hommes se mirent chacun sur une chaise, sortirent leur bitte.

Cuisses écartées ils attendirent les gamines…

Les deux fillettes restèrent prostrées sur leur lit, aucune apparemment n'avait l'intention d'exécuter de telles choses, voyant cela le docteur dit à Jean Yves en rigolant de rengainer…

Le docteur reprit : " Bon on vous laisse réfléchir une journée de plus, sans manger, en plus vous n'aurez pas à boire jusqu'à demain… Si vous avez soif demain la première chose que vous boirez ce sera notre jutte, on reviendra et on se remettra dans la même position. Vous nous sucerez et avalerez toute notre jutte sans en laisser. Et si demain vous ne voulez pas non plus et bien on recommencera, on vous laissera une journée de plus sans boire et sans manger…".

Le docteur prit une clef spéciale, ferma l'arrivée d'eau du lavabo, prit soin de laisser couler le restant dans les tuyaux, plus rien ne sortait des robinets…

Ils sortirent, refermèrent la porte à clefs derrière eux…

 

Le lendemain Le docteur et Jean Yves arrivèrent tard dans la soirée, il s'était passé plus de vingt quatre heures depuis leur dernière visite…

Les deux gamines les regardèrent les yeux horrifiés…

Les deux hommes sans rien dire se mirent dans la même posture que la veille, ils avaient retiré leur pantalon, leur slip baissé sous leurs couilles mettaient bien en évidence leur bitte en érection et leurs testicules.

La première à s'avancer fut la plus grande, la petite suivit quelques secondes après. Sandra et Laura avait très soif et très faim, la bouteille de jus d’orange et la casserole de pattes fumantes et odorantes leurs faisaient très envie…

Trois jours sans manger, un sans boire… Elles étaient prête à tout pour survivre. La plus grande, Sandra se mit entre les cuisses de Jean Yves, tandis qu'Amélie se retrouva entre celles du docteur.

Les fillettes n'étaient plus sous tranquillisant, aucun conditionnement n'avait été pratiqué, elle allait révéler leur véritable nature, faire leur première pipe…

La plus grande se décida, engouffra la bitte dans sa bouche, se mit à faire un va et vient avec… La petite la regarda faire quelques secondes puis se décida à faire pareille …

Chacune des langues étant presque sèche, la sensation était bizarre.

C 'était chaud, beaucoup moins mouillée que d'habitude, cela râpait un peu, mais c'était bon quand même.

Les deux hommes les aidèrent un peu au début, leur expliquant comment bien faire… Serrer plus fort leur lèvre, aller plus vite, la mettre plus à fond dans la bouche, tourner avec leur langue…

Elles avaient décidé d'apprendre vite, la grande bouteille de jus d'orange et la casserole de patte y étaient pour quelque chose…

La bouche de la petite était vraiment un peu trop sèche au goût du docteur, il se décida pour enduire sa bitte de salive. Amélie la regarda faire, lorsque la queue fut bien mouillée et luisante, il lui remit l'engin dans sa bouche…

Elle ne fut pas dégoûtée, reprit son va et vient normalement. Les fillettes se débrouillaient très bien. Jean Yves se crispa le premier, la plus grande reçut la première giclée de sperme dans la bouche, puis la seconde… Elle bloquait tout dans sa bouche, Jean Yves lui ordonna d'avaler tout immédiatement à chaque jet…

Sa première déglutition s'effectua enfin… Elle avalait… Les jets continuaient à envahir sa cavité buccal, la gosse de dix ans et demie se désaltérait à chaque éjaculation, remplissant son petit estomac de spermatozoïdes.

La jutte ressortait de ses lèvres, elle n'avalait pas tout. Jean Yves l'engueula, lui dit que cela n'allait pas du tout, que si elle ne faisait pas mieux elle allait être punie sévèrement et quelle ne boirait pas et ne mangerait pas.

Aussitôt la fillette avala et déglutit très souvent, elle n'attendit plus les jets. Régulièrement, elle avalait… On entendait le bruit que faisait sa petite gorge.

Ce coup-ci tout passait dans son petit gosier...

L'éjaculation dura assez longtemps, le spectacle contentait les deux hommes, la jutte était bien consommée. les fillettes étaient soumises et auraient fait n'importe quoi pour boire et manger, c'était vraiment dégueulasse, mais pour amener rapidement une petite fille à faire tout ce qu'on voulait d'elle, on ne trouverait jamais mieux…

Jean Yves s'était vidé complètement, il demanda à la gosse de continuer à sucer en d'aspirant son bout à fond, elle le fit sans rechigner. Il se sentit vider encore un peu plus. Au bout d'un moment pompé et crevé il se retira de sa bouche, lui demanda de passer sa langue sur ses lèvres et d'avaler tout ce qui restait comme jutte. Elle le fit comme il fallait, sa petite langue sortie en gesticulant, léchant le sperme restant.

Lorsqu'elle vit que Jean Yves se désintéressait d'elle et regardait maintenant la petite Amélie continuant sa fellation sur le docteur, la fillette lui demanda poliment si elle pouvait boire. Elle avait très soif et le sperme salé qu'elle venait d'ingurgiter n'avait pas arranger les choses.

Jean Yves lui passa la bouteille d'orange, aussitôt la petite se mit à boire comme jamais il n'avait vu. Il dut lui reprendre, elle avait presque vidé la moitié…

Après elle se précipita sur les pattes cuites, les prit avec ses deux mains directement dans la casseroles, les porta à sa bouche en mangeant comme un animal, un chien avec des mains…

La petite Amélie continuait sa fellation sur le docteur, elle regardait avec envie Sandra manger… Le docteur lui dit de se dépêcher de faire venir la jutte, après l'avoir avalé elle pourrait boire et manger à sa guise. La gamine se remit à piper la queue avec encore plus de véhémence…

Quelques minutes après le sperme inondait sa petite bouche. De peur de se faire engueuler elle tenait compte des remarques que Jean Yves avait fait à  Sandra,  avalant régulièrement tout en continuant à piper. C'était très bien fait, il avait suffit de corriger la façon de faire de sa "copine" pour qu'elle en tienne compte. C'était un peu un cours collectif de fellation…

Elle le vida, le pompa complètement, le docteur lui demanda pour finir de nettoyer à fond en léchant sa verge et ses couilles à grands coups de langue…

Rapidement tout fut propre et net, il débanda rapidement, la fillette perplexe se demanda intérieurement pendant un instant ou était passé la grande tige…

Elle regardait intensément sa copine se goinfrer, il lui donna enfin l'autorisation de boire et de manger… En quelques secondes elle saisit la bouteille de jus d'orange et la vida d'un trait… Aussitôt après elle se précipita sur la casserole de pâtes…

Le spectacle des deux petites filles affamées, à genoux autour d’un plat de pâte était le plus dégueulasse qu'ils avaient vu depuis longtemps… Courbées sur la casserole, elle prenaient les pâtes à deux mains, les portaient aussitôt à leur bouche, elles avalaient presque sans mâcher…

Des chiennes autour de leur pâtée…

Le docteur ouvrit le robinet d'eau, avant de partir il prévint les gamines qu'en cas de nouveaux refus ou mauvaises collaboration de leurs parts, le tarif serait de nouveau trois jours sans manger, plus un jour sans boire…

Il les prévint en riant, que demain, elles auraient un nouveau cours de formation collectif… Puis un autre après demain…

Après, elle partirait en voyage et verraient du pays…

Le docteur referma la porte de la cellule, il ouvrit celle ou Laura reposait. Toujours en extension, la fillette écartée et suppliciée par deux gros godmichets, l'un dans son vagin, l'autre dans son anus avait aussi les deux seins transpercés par deux longues aiguilles… Sandy avait fait un sacré travail de salope…

Le docteur trouva que le supplice avait assez duré, du moins pour l'instant… Trois jours qu'elle était attachée, écartée et fourrée par les gods… Il demanda à Jean Yves de manœuvrer les treuils pour faire redescendre la petite fille.

Il lui retira le corset et les bracelets de cuirs qui la maintenait en suspension et la déposa sur le petit lit. Puis il entreprit de retirer les godmichets de ses cavités. Elle était éveillée et très faible, il lui prit sa tension, c'était loin d'être merveilleux… Il écouta son cœur, il battait vite et irrégulièrement. Il appela Sandy au téléphone, lui dit qu'il ne fallait plus rigoler, il fallait remettre sur pied  Laura et rapidement lui donner à boire et à manger… Sandy avait compris le message, elle arriverait dans quelques instants… La fillette allongée sur le petit lit avait l'air pitoyable avec ses aiguilles transperçant ses petits seins…

Il alla chercher sa trousse médicale, nettoya les petits seins et retira délicatement les aiguilles, il désinfecta, puis fit une piqûre de remontant à la gamine…

Sandy arriva quelques minutes après avec un plateau de nourriture. Le docteur lui demanda de rester à son chevet, et plus question de jouer sexuellement avec Laura… Dans quelques jours tout irait mieux, elle serait sur pieds.

 

Le docteur laissa un message sur internet : " Attendons virement au compte, la marchandise est arrivée, les deux tableaux sont prêts à partir ".

 

Un acompte avait été viré sur le compte numéroté en Suisse, il attendait le solde… Dans quelques heures la somme totale de Deux cent mille francs serait encaissée. La livraison d'Amélie 9 ans et demie et de Sandra 10 ans et demie ne serait qu'une formalité, sur une aire d'autoroute, anonyme, ni vu ni connu…

 

De plus le message reçu était codé, mais très claire… Si ils étaient content de cette première commande, deux autres fillettes suivraient aussitôt, plus deux garçonnets… Et cela dans les jours à venir… Environ cent mille francs par enfant, le trafic était nettement plus juteux que de recevoir une vingtaine de cons par jour dans un cabinet médical, pour ne pas oser leur dire à tous que la seule maladie qu'ils avaient étaient uniquement du à leur connerie, pour certain à l'excès de boisson, pour d'autres l'excès de bouffe, voir de médicaments, ou de mauvaises habitudes…

Heureusement qu'il y avait un cas sur dix ou un vrai malade, un vrai "patient", comme il fallait dire, lui rendait visite… Le pire c'est que pour celui la, c'était pas évident du tout, le patient il avait intérêt à l'être vraiment "patient", le temps de trouver réellement ce qu'il avait…

Le lendemain se fut Mr Dupuis et le docteur qui allèrent rendre visite à Amélie et Sandra… Les gosses reluquèrent aussitôt les deux plateaux de nourriture…

Le docteur leur dit tout de suite… Vous mangerez après, et seulement si vous avez bien fait tout ce qu'on vous demande… Comme vous êtes presque à jeun, vous devriez avoir les intestins légers, donc pas encombrés, et bien on va vérifier ça et vous sonder un peu…

Tout d'abord vous allez vous mettre à genoux mains posés par terre, et surtout les cuisses écartées, les fesses grandes ouvertes…

On va vous prendre par derrière, vous n'aurez absolument pas mal si vous faites bien ce que l'on vous dit. En plus vous verrez que vous allez aimer ça, cela sera même très bon.

Allez exécution… Les fillettes n'hésitèrent pas plus de quelques secondes, en sanglotant elles s'agenouillèrent et se mirent aussitôt dans la position souhaitée…

Il est vrai que la fouet dans la main gauche du docteur devait y être pour quelque chose…

Les deux mâles se déshabillèrent rapidement et se retrouvèrent tous deux en slip, le docteur passa à Mr Dupuis un petit pot de vaseline… Enduire leur cul de produit leur apporta une première satisfaction, elles se laissaient faire.

Les deux hommes faisaient exprès de rentrer leurs doigts à fond, tout en tournant et en repliant ceux-ci à l'intérieur, les fillettes se contorsionnaient de douleur en gémissant…

Le docteur leur ordonna de baisser la tête sur le sol. Leur cul en hauteur et ouvert à fond était offert avec la soumission la plus totale, un vrai régal…

Leur slip sous leurs couilles, ils mirent leur bitte sur leur petit anus et poussèrent en même temps. Les petites filles s'ouvrirent tout de suite, la vaseline faisait son effet, leur intérieur lubrifié à fond et l'élasticité de leur trou du cul fit qu'elles se trouvèrent très rapidement enculées… Les chibres écartaient les chairs à fond, les petites filles étaient empalées, comme clouées à leur bitte. Elles avaient mal et pleuraient, leur corps était secoué par le va et vient de l'enculage qui augmentait en vitesse et en fougue à chaque instant.

Elles pleuraient en gémissant de douleur, les hommes s'excitaient un peu plus, chaque sanglot était pour eux un ravissement, ils poussaient à fond leur pinne dans leur postérieur en hurlant de contentement.

Ils éjaculèrent à peu près en même temps, le petit ventre des gamines se remplit copieusement de foutre.

Le docteur joua avec sa bitte, la ressortant et la positionnant sur la raie des fesses, il contempla la jutte sortir par saccade sur la petite croupe et l'étala sur le bas du dos…

Le docteur prévint les fillettes, demain par devant, c'est le tour de la petite chatte…

 

Le lendemain ils montèrent par devant des deux gamines qui se laissèrent remplir sans problème, ils finirent en leur demandant de lécher pour nettoyer leur bitte, ce qui fut fait méthodiquement et sans rechigner…

Elles étaient soumises, prêtes à être honorées ou déshonorées par n'importe qui…

 

 

 

 

 

      La Livraison

 

 

Le docteur téléphona le jour même à sa banque en Suisse, la totalité de la somme avait été versée… Il pouvait livrer la marchandise…

 

Jean Yves conduisait. Le docteur à côté de lui se retournait de temps en temps, histoire de surveiller un peu les deux fillettes.

Amélie et Sandra dormaient sur la banquette arrière du véhicule, somnifère oblige…

Déjà quatre cent kilomètre de parcourus…

Vint enfin le moment ou le panneau indiqua le nom de l'aire de repos de l'autoroute, il était huit heures du soir, la nuit commençait à tomber.

Il roula doucement, avança le véhicule jusqu'aux toilettes, bon nombres de voitures étaient garées devant.

Seulement une camionnette répondait au signalement…

Le docteur descendit de la voiture, se dirigea vers un urinoir, sortit son engin et  soulagea sa vessie. Puis il commença à siffler un air bien connu de tous, puis trente secondes après un autre air moins connu celui là…

Puis vint la mélodie des deux morceaux enchaînées…

C'était le code de reconnaissance…

Aussitôt dehors il fut abordé par un homme d'une cinquantaine d'année, type méditerranéen. Ils parlèrent environ deux minutes, puis remontèrent dans leur véhicule et démarrèrent aussitôt.

Le docteur suivit la camionnette en laissant une distance raisonnable.

Ils quittèrent l'autoroute, roulèrent une dizaine de kilomètres avant de bifurquer vers un chemin de terre conduisant à l'orée d'un petit bois.

Les deux véhicules s'arrêtèrent…

Deux hommes et une femme descendirent et se dirigèrent vers leur voiture.

Le docteur et Jean Yves firent de même. Les présentations furent  sommaires. Rapidement les portières arrières furent ouvertes, les deux gamines qui dormaient toujours profondément furent extirpées de la voiture et rapidement placées à l'arrière de la camionnette.

La femme étant chargée d'évaluer la "marchandise", ne trouva rien à redire…

On remit au docteur une grande enveloppe contenant un acompte sur la livraison futur. Tout ce beau monde se serra la main.

Rapidement les deux véhicules repartirent chacun de leur côté…

 

La première chose que fit l'inspecteur de police Véronique trouvé, fut de s'assurer que les deux fillettes étaient vraiment en bonne santé…

L'inspecteur Gauthier conduisait la camionnette. Le commissaire principal Vaudou à côté de lui avait voulu couvrir l'affaire lui même. Un truc comme il disait " d'une telle importance " ne laissait pas de place à une bavure, si minime soit elle. Vaudou prit son portable et composa le numéro privé du procureur de la république. Celui-ci attendait impatiemment l'appel…

Le commissaire lui signifia que les deux petites filles avaient été récupérées saines et sauves…

Il précisa que l'argent pour la prochaine livraison avait été remis au docteur.

Ils étaient prêts pour la suite… Depuis des semaines une équipe de huit inspecteurs travaillaient sur l'affaire, rien n'avait été laissé au hasard…

Du moins l'espéraient-ils…

Le plus difficile avait été de réunir les fonds pour racheter les fillettes.

L'affaire était montée jusqu'au ministre de la justice, qui lui même avait fait débloquer la somme…

On n'utilisait pas facilement l'argent du contribuable, même en étant presque sur de récupérer la mise de fond.

Le gouvernement Suisse avait négocié son fameux : " secret bancaire ".

Enfin tout c'était bien passé, les banques avait joué le jeux…

Les fillettes furent déposées rapidement dans un hôpital de la région, des examens devaient êtres pratiqués.

Les familles des deux gamines furent prévenues dans l'heure qui suivit.

Les parents pleuraient de joie au téléphone…

Le commissaire Vaudou n'aimait pas cette affaire, cette façon de procéder le dégoûtait… Ses supérieurs avaient exigé que le réseau complet soit éradiquer, clients compris.

Cela se traduisait par la filature du gang pendant de nombreuses semaines.

Lui, aurait préférer intervenir tout de suite, réaliser un coup de filet au pavillon, tout aurait été plus rapide. Ses supérieurs avaient contrecarré ses plans, de peur qu'il arrive quelque chose aux enfants pendant l'intervention…

Les ordres étaient les ordres…

La récupération des deux petites filles était déjà un point positif…

Encore combien d'enfants à récupérer ?. Il fallait interroger les deux fillettes, dans quelques heures ils en sauraient un peu plus…

 

Le lendemain fut jour de repos pour tout le monde, Nadine, Audrey et Kévin jouaient ensemble. Sandy s'occupait de Laura, la fillette allait se remettre, mais cela risquait d'être assez long. Les sévices pratiqués sur elle l'avaient marqués physiquement et psychologiquement.

Le docteur regarda ses deux nouvelles proies… L'une l'intéressait plus que l' autre, elle devait avoir sept ou huit ans au maximum…

Son intimité devait être encore plus serré…

Les deux gamines furent amenées au pavillon, le docteur demanda à Jean Yves de le laisser seul…  Il allait s'occuper des fillettes lui même…

L'une après l'autre, Il les descendit à la cave. Plaçant les deux petites filles sur le plus grand lit, il commença par les déshabiller. Il ne leur laissa que leur petite culotte. Il put comparer… Leur corps était parfait. La différence d'âge était de deux ans à peu près… Il était beaucoup plus intéressé par la plus jeune.

La fillette avait huit ans au maximum… Il ne l'avait jamais fait…

Il voulait savoir si c'était faisable…

Il se rendit compte un court instant qu'il devenait fou…

Trop court moment de lucidité… Plus aucune morale ne lui effleurait l'esprit.

Il décida de passer outre, au point ou il en était…

Comme docteur il avait vu des fillettes de Quatre ans ayant été pénétrée par devant et par derrière.

Il avait été obligé de soigner ces enfants, la première fois il en avait dégueuler.

Cela l'avait tellement perturbé pendant des années. Il s'était posé la question de plus en plus souvent, à quel âge cela pouvait-il rentrer ? Cette question avait peu à peu dérangé son esprit, au point de devenir presque fou...

 

A partir de ce moment il avait commencé à désirer des fillettes, le phénomène c'était accéléré depuis ces dernières années.

Irréversiblement, le processus de fixation s'était implanté dans son cerveau.

Il avait presque été obligé de passer à l'acte, essayant quand même de résister pendant des mois… Il avait échoué…

Les gamines dormaient profondément, cela durerait longtemps. Il mit la plus jeune sur le ventre, écarta ses cuisses au maximum. Le tissu élastique de sa petite culotte moulait très bien chaque petite fesse.

Avec un doigt il fit rentrer le coton dans la raie médiane.

Les deux petits dômes bien séparés saillirent encore plus. Le petit cul de rêve laissait apparaître une chute de reins exceptionnelle, creusée et tendue à souhait. Cette petite fille était un vrai bijou…

Il avait besoin de la souiller… Trop de beauté et d'innocence l'exaspérait, le déroutait, le retournait intérieurement.

Il n'avait jamais réussi à comprendre le mécanisme de son cerveau…

Il adorait ce qui était beau, mais ce qui en était le summum pour lui était malheureusement interdit par la loi. On ne pouvait pas toucher… Même regarder des photos était devenu interdit… Cela n'avait pas été toujours comme ça.

Ces pratiques, jadis des continents, des rois et même des démocraties les avaient apprécié et toléré...

Les temps avaient changé, la soit disant morale était passée par là…

La société permettait même aux enfants de devenir homosexuels. Le bourrage de crâne commençait très tôt. La télévision, les films, les chansons, et mêmes les lois… Tout était fait pour que les gosses soient obligés d'accepter l'idée que devenir homosexuel était une chose naturelle… Lui était aussi de cet avis… Mais pour ceux qui aimaient les enfants le langage était différent… Pourtant les spécialistes étaient tous d'accord sur un point, si il y avait une déviation, celle-ci était incluse dans le code génétique, au même titre que l'hétérosexualité, la bisexualité ou l'homosexualité…

Le prétexte des "anti" était simpliste… Les enfants n'avaient pas leur libre arbitre… Bien sur qu'ils ne l'avaient pas, la majorité des adultes ne l'avaient jamais eu, alors des enfants… Le libre arbitre, c'est justement de pouvoir faire une expérience, et de savoir s'il elle vous plait. Si elle ne vous plait pas, vous passez à autre chose… L'âge n'a rien à voir la dedans…

L'apprentissage du cerveau humain fonctionnait ainsi, depuis des milliers d'années. L'acquisition de la sexualité avait un cheminement identique…

Au lieu de ça on conditionnait les adultes et les enfants à respecter des schémas types qui ne correspondaient pas à leur personnalité et à leurs besoins spécifiques…

Tous admettaient qu'on étaient différents, bien peu le pratiquaient pour eux mêmes ou pour leurs enfants. Le libre arbitre, il était ou…?

Comme toujours la formule favorite des cons restait et resterait encore longtemps :  " Fais ce que je dis et pas ce que je fais…".

Ils avaient déjà tous oublié leurs jeux de touche pipi… Lorsqu'ils avaient entre six et dix ans… Pourtant, la sexualité qu'il avait développé et construite à cet âge était toujours la leur…

Et oui sur terre il y avait autant de sexualité que d'êtres humains…

Combien de personnes le comprenaient…

La sexualité changeait doucement… Les deux hémisphères du cerveau étaient encore en conflit…Le cerveau reptilien de "l'animal humain" en place depuis des centaine de milliers d'années régressait, tandis que l'autre celui de la logique, de l'intelligence et de l'amour gagnait du terrain… Le code génétique se modifiait peu à peu… Il fallait remettre les pendules à l'heure… Tous avaient eu des descendant pédophiles, homosexuels, ou bi-sexuels, ou hétérosexuels…

Son père, son arrière grand père, ou l'arrière arrière, arrière, arrière, etc…

Personne ne pouvait jeter la pierre à quelqu'un d'autres…

Personne n'était à l'abri d'avoir un enfant "hors normes".

Surtout avec ce qu'on nous faisait bouffer et respirer, actuellement…

Le code génétique allait muter dans le bon ou le mauvais sens… ?

Les expertises étaient plutôt inquiétantes… Selon un rapport émanant des services secrets… Depuis dix ans, l'intelligence de l'être humain diminuait de un pour cent par an…

 

Alors, l'espèce humaine allait t'elle s'en sortir ? L'espèce certainement, oui…

L' humanité et les sociétés " merdocrates "… Peut être pas…

A force d'être con, et surtout de vouloir le rester…

 

Pour qu'elle s'en sorte l'humanité, Il faudrait déjà apprendre un jour à nos enfants que la sexualité sert avant toute chose à donner et à prendre du plaisir, et non uniquement à procréer. Les rapports demandés par certains gouvernements et effectués par des spécialistes étaient visibles par tous sur internet… La violence récurrente et intrinsèque de la jeunesse actuelle venait en priorité du manque de tendresse, de câlins, de caresse dans la tendre enfance. Et bien sur du manque de compréhension des choses concernant la sexualité des enfants.

 

Et si les "grands penseurs" qui faisaient les lois continuaient, à être aussi ignorant des besoins créés par la nature, la situation ne s'arrangerait jamais… Près de cent pour cent des pédophiles se contentaient de fantasmer devant des photos d'enfants…Cela leurs suffisaient. Qu'allait il arriver si ils ne pouvaient plus se défouler de cette façon, ne risquaient ils pas de sombrer dans une obsession différente et bien plus dangereuse ? Celle peut être de passer à l'acte.

 

Avant, celui qui ne pouvait pas faire autrement que passer à l'acte partait en vacances dans un pays qui tolérait plus que moins le tourisme sexuel depuis des décennies…Pendant des années ces pays avaient fermé les yeux sur ces pratiques. Cela rapportait trop de devises… Rien n'avait changé réellement d'ailleurs… Dans ces pays les mêmes hôtels pour prostitués mineurs n'avaient pas été fermés pour ça… Les gouvernement bien pensant avaient trouvé la solution idéale pour ne pas gâcher les belles et honorables relations diplomatiques entre pays… Si plainte il y avait… Le contrevenant était jugé dans son pays à son retour… Rarement dans le pays ou l'acte s'était déroulé…

 

Mais il fallait se rassurer, dans ces mêmes pays, on pouvait toujours acheter un petit garçon ou une petite fille à ses parents.

Assez cher il est vrai… Mais lorsque que vous êtes pédophile, pour être tranquille il vaut mieux être assez aisé… Il aurait fallut inventer le mot "Pédofric" pour résumer la situation en un seul mot… Non, si vous n'avez pas beaucoup d'argent, contentez vous de vous masturber en regardant des photos nus de petits garçons ou de petites filles…( Attention maintenant c'est interdit par la loi… On peut seulement aller se faire foutre…).

 

Ces mêmes pays ferment encore les yeux sur les soient disant  dons de sang ou d'organes, effectués sur des enfants… En réalité les gosses sont kidnappés et mutilés pour la vie dans le meilleur des cas… Quelquefois des corps sans vie sont retrouvés… Et puis ceux que l'on ne retrouve pas…

 

Mais les bonnes consciences pouvaient se rassurer…Le problème n'est certainement pas le même…Entièrement différent disaient-ils… ?

 

En somme se payer une petite fille ou un petit garçon "consentant" pendant quelques heures, était plus dégueulasse que de se payer un organe prélevé sur un d'enfant non consentant… Ou encore que d'acheter un enfant pour usage personnel et intensif…En gros c'était ça …?

 

Il se rappelait à Paris… Il y avait déjà vingt ans, place de la " Con corde ? " … Des petites filles âgées d'environ douze ans maximum "stationnaient" l'après midi à un endroit stratégique de la place…Une limousine avec vitres teintées et chauffeur s'arrêtait à la hauteur de la fillette… Le chauffeur en casquette et habits de maître descendait, ouvrait la portière et très courtoisement invitait la petite fille à "monter"

La voiture redémarrait, et allait certainement retrouver un Monsieur qui travaillait en usine, ou dans un bureau…Ou peut être un bas fonctionnaire

( et oui…Si il y a les hauts fonctionnaires, les "bas" doivent exister aussi…).

A l'époque le tarif était de cinq mille francs pour l'après midi…

Un de ses amis ministre l'avait rencardé…

Non… Ce n'était certainement pas un ouvrier ou un fonctionnaire de police qui pouvait se payer une voiture pareille… Eux, ils n'avaient pas encore conscience d'être pris pour des cons… Cela allait peut être venir…

 

Le manège était identique quatre jours par semaine…

Seules les voitures et les petites filles étaient différentes. Chut…

Lorsqu'on a côtoyé et conseillé des ministres et des Rois, on en sait des choses.

Mais on les gardes pour soi, tant qu'on garde sa tranquillité… Chut… 

 

Toutes ses pensées lui passaient dans la tête à une vitesse vertigineuse…

 

Lui n'avaient même plus conscience d'être passé du côté de la folie.

Si on lui avait permis d'aimer la seule petite fille qui avait réellement compté pour lui dans sa vie, tout aurait été peut être différent… Eve… Sa petite Eve…

La fille d'une de ses patiente… Pas patiente du tout la Maman, elle ne l'avait même pas écouté une seconde… Balancé aux flics…Fini le docteur…Bonjour le conseil du désordre… Le blocage l'avait anéanti… Plus que le fait de ne plus pouvoir exercer son métier… Cassé le docteur…

 

Trop de souffrance autour de lui… La sienne, celle des autres…

Pas assez de beauté, pas assez de caresses, pas assez d'Amour…

Cassé le docteur…Pas récupérable…Trop tard…Trop de cons…

 

Il mit un coussin sous le ventre de la gamine, son cul en hauteur se trouva encore plus mis en valeur…

Il se dévêtit entièrement, tout nu…

En érection complète, il s'assit sur le lit, jambes écartées.

Il s'arrangea pour lever la tête de la petite fille et mettre sa bouche à la hauteur de sa bitte… Il n'eut aucune difficulté à ouvrir sa cavité buccale et à lui rentrer sa verge dans l'orifice béant. Elle était dans une position extrêmement inconfortable, son cul et sa tête surélevée, nuque tendue au maximum…

Il apprécia la chaleur moite de son orifice buccal, joua à rentrer son engin au fond de sa gorge pendant un long moment, puis il se retira… Il alla chercher une paire de ciseaux et s'approcha de ses fesses… Il voulait qu'elle garde sa belle petite culotte rose à dentelle, elle enserrait trop bien ses deux petites fesses…

Mais il voulait aussi avoir l'accès à son intimité… Il découpa habilement un trou circulaire d'un diamètre d'une pièce de cinq francs juste au niveau de son anus, fendit aussi le devant de la petite culotte, juste au niveau de la petite fente…

Contemplant intensément le spectacle, il mit un doigt dans le trou pratiqué, ressentit immédiatement la petite corolle de son anus juste derrière.

Il fit pareille devant, ouvrit la petite découpe pratiquée sur le tissu juste au niveau de son sexe… Son minou était bien là, fermé, clos hermétiquement…

Il ne put résister longtemps, sa bouche s'approcha de la petite culotte. Sa langue  fouilla d'abord le petit trou pratiqué par derrière. Il titilla, lécha, mouilla, elle sentait le cul, comme il aimait…

 

Puis sans aucune notion d'hygiène, il fit de même avec la fente de son sexe… Celui-ci était beaucoup plus fermé que son anus. Il s'attarda à l'endroit du clitoris. Il ne palpa rien avec sa langue, mais il se doutait que le petit bourgeon était bien là, caché,  prêt à remplir son office de jouissance…

Il réussit quand même à décoller les lèvres de son sexe et à l'ouvrir un peu.

Il la fouilla méticuleusement, rentrant ce qu'il pouvait de sa langue dans son vagin… La gamine dormait, mais commençait à bouger légèrement… Inconsciemment la petite fille commençait à aimer…

Le manège dura plus d'un quart d'heure. Plus il la fouillait, plus elle s'ouvrait, un liquide au goût épicé et suave se répandit sur ses papilles…

Involontairement la fillette commençait à mouiller…

Il se releva. Alla chercher une seringue neuve sans aiguille, il la remplit d'une huile prise dans un petit flacon, puis retourna au cul de la gosse…

Il allait lui remplir l'anus, lorsqu'au même moment le téléphone de son portable sonna… Cette ligne était réservée pour les urgences, seul Jean Yves, Sandy et Mr Dupuis avaient ce numéro…

Il abandonna la petite fille, se précipita sur ses affaires, fouilla dans sa poche intérieure de veste et fut rapidement connecté…

C'était Jean Yves… Affolé… Il hurlait de peur, les forces de police donnaient l'assaut au pavillon principal…

Il s'était réfugié dans les toilettes avec son téléphone portable… Il ne savait pas quoi faire, les flics tambourinaient à la porte… Le docteur pouvait entendre les coups frappés à la porte des W.C., ainsi que les gueulement des policiers dans son téléphone…

En une seconde le docteur avait compris. Il coupa la communication téléphonique… Le sort de Jean Yves et Sandy était scellé, il n'y pouvait plus rien…

Il fallait faire vite, très vite, il se rhabilla à une vitesse incroyable, remonta par l'étroit escalier du pavillon.

Avait-il encore le temps de se sauver, de sortir de ce piège… Il regarda dehors… Tout était silencieux et normal… Il prit dans un secrétaire sa trousse médicale. Une somme d'argent, plus de deux cent mille francs dans une grosse enveloppe. Il n'oublia pas un revolver et une boite de munitions…

 

Il se précipita dehors, claqua la porte derrière lui, se mit à courir à travers champs. Il connaissait bien la région, la route nationale était à trente minutes de marche. Pour l'atteindre sans problème il devrait couper en ligne droite à travers la campagne. A son avis les flics ne devraient pas tarder, pas question de marcher sur la route départementale…

Tout essoufflé, il arriva plus de trente minutes après sur la nationale. Il était vingt et une heure. Les voitures passaient et repassaient sans arrêt. Il s'arrêta au bord de la chaussée, leva son pouce… Avec son costume sombre et sa sacoche médicale à la main, il faisait vraiment docteur…

 

Il n'eut pas longtemps à attendre. Une voiture familiale conduite par une femme s'arrêta. Très courtoisement il lui expliqua  qu'il était docteur, que sa voiture était tombée en panne au retour d'une visite chez un patient. La femme heureuse et satisfaite de pouvoir rendre service à un praticien dans le besoin, ouvrit aussitôt la portière côté passager…

Un peu plus loin ils croisèrent trois voitures de police, gyrophares allumés et sirènes hurlantes… Un rictus de sourire tendit légèrement le bas de son visage.

 

Les deux fillettes à l'arrière du véhicule étaient contentes que leur maman ait prit en stop un vrai docteur…

 

L'auto-stoppeur ne put résister longtemps. Il dit à la dame : " Elles sont gentilles vos petites filles…". Puis ne pouvant plus résister il demanda… :

" Elles ont quel âge ? …".

 

 

                                                                    FIN

 

 

 

 

      

                                    

                       

 

 

P.S. Note sur l'inceste et la pédophilie :

Ce récit est imaginaire et doit le rester…

Une petite fille ou un petit garçon est un être humain, et ne mérite en aucune façon d'être perturbé dans son développement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour et ne l'auront peut être jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un être.

Le véritable courage dans la vie, consiste à donner le bonheur qu'on a pas eu,

et surtout de ne pas rendre le mal qu'on nous a fait…

 

Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs pour tenter Adam et Eve… Lucifer se porta volontaire, lui qui était pourtant l'un des sept grands archanges de notre système solaire, ou sa mission était de garder la planète Vénus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanité à faire grandir sa spiritualité en la soumettant à toutes les tentations.

Ce qu'il fit… La tâche que lui confia dieu fut certainement une des plus importantes de la création. Elle n'est pas finie, elle doit permettre à l'être humain de s'élever, de révéler sa véritable lumière intérieur, d'affirmer sa spiritualité en résistant au mal, qui lui même fait parti intégrante du bien.

Comprenne qui pourra ….

 

                                  AVERTISSEMENT, mise en garde :

 

Les scénarios décrits sont inspirés de faits réels. Ils sont développés pour étudier et connaître les méthodes de ceux qui kidnappent ou torturent des enfants. Les récits imaginés et inspirés par ces méthodes sont de la pure fiction et  imaginaires. Bon nombre critiqueront, pourquoi avoir fait ce ramassis d'histoires "honteusement merdiques". Je leur répondrais que justement, c'est parce que la merde existe. Lorsqu'on la voit, on peut l'éviter, ne pas marcher ou tomber dedans… Il ne s'agit pas que ces histoires soient lues par des mineurs, c'est tellement évident. Ces récits doivent être lues par des gens responsables et sains d'esprit, dans le but unique de connaître sans se voiler la face que de telles pratiques existent…

 

Pour m'écrire : [email protected]

               Ou : [email protected]                                                             

 

Récit livré brut et non corrigé :  Rose sans bonbon 

Auteur : Alain Terdit  202 Pages

                                         

Le récit complet, corrigé est déposés à l'INPI par enveloppe SOLO,  ils restent la propriété de son auteur. 
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes. 
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonnées et explications de début et de fin.

 

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               Violence et pédophilie

 

 

   Recueil de rapports sur la violence et la pédophilie…

      Enquête effectuée pour la réalisation d'un ouvrage littéraire sur le sujet par Alain Terdit   [email protected]

 

 

 3   Association Protestante Néerlandaise de Planning Familial

 16  Le plaisir du corps et   l'origine de la violence

 47  Assistance aux personnes en prise avec des attirances pédophiliques

59  59  Rapport capital

    109 Communiqué : Le Monde du 26 janvier 1977

 

  La pédophilie 

Brochure
P.S.V.G.(1979)
Association Protestante Néerlandaise de Planning Familial

MODE D'EMPLOI 

Beaucoup d'entre vous auront du mal à lire cette brochure calmement. Si vous avez des problèmes avec certains passages, ne la jetez pas tout de suite. Essayez d'abord de réfléchir calmement pour savoir ce qui vous pose problème. Vous trouverez pages 14 et 15 une petite liste d'idées et d'opinions qu'on rencontre fréquemment. Si vous n'arrivez pas à comprendre d'où viennent vos difficultés, vous devriez consulter cette liste. Même si votre opinion est déjà faite d'avance, vous y trouverez peut-être matière à réflexion.

P.S.V.G. FÉVRIER 1979

Note du traducteur:

Cette brochure a été réalisée par une ASSOCIATION NÉERLANDAIS (et protestante) DE PLANING FAMILIAL. Il faut donc replacer certaines informations et affirmations dans leur contexte géographique et historique. Cette brochure fait partie d'un ensemble destiné à une diffusion très large, qui comporte entre autres: homosexualité; drogues; jeunes et sexualité; la pilule; contraception; la ménopause; maladies vénériennes etc.

INTRODUCTION

Cette brochure parle de pédophilie. Elle est destinée à tous ceux qui veulent en savoir plus sur la pédophilie, mais surtout à ceux qui sont concernés. En premier lieu, les pédophiles eux-mêmes, et les enfants qu'ils fréquentent. A côté de cela, les parents avec des enfants jeunes, et les parents ayant des enfants pédophiles, sont concernés. A cause des lois actuelles, il arrive aussi que la police et les magistrats y soient confrontés. Des travailleurs sociaux y sont impliqués également. Ainsi, il y a de nombreuses personnes qui s'occupent de pédophilie. A vrai dire, cette brochure s'adresse également aux enfants, mais ils s'apercevront rapidement qu'il s'agit malgré tout d'une brochure pour adultes. Cela vient de ce que la "pédophilie" est non seulement un mot d'adulte, mais surtout un problème d'adulte.

Par conséquent, vous lirez d'abord:

- qu'est-ce que c'est que la pédophilie? 

- que sont les pédophiles? 

- qui sont-ils? 

- que font les pédophiles avec les enfants? 

- avec qui le font-ils?

 - comment s'y prennent-ils?

et seulement après:

- que pensent les enfants de leurs contacts pédophiles?

Là aussi, les enfants n'occupent que la seconde place. Avec cette brochure nous tenterons de donner une meilleure image de la pédophilie. Nous voulons aligner des faits, et ainsi nous débarrasser de préjugés et malentendus.

QU'EST-CE QUE LA PÉDOPHILIE?

L'être humain éprouve des sensations sexuelles et amoureuses de toutes sortes: homosexuelles, pédophiles, hétérosexuelles. Certaines personnes ont plus de sensations d'une sorte que d'une autre sorte. Quand nous découvrons cela, nous nous empressons de leur coller une étiquette: une personne surtout attirée par quelqu'un de son propre sexe s'appellera homosexuel; quelqu'un qui se tourne surtout vers le sexe opposé s'appellera hétérosexuel, et ceux qui dirigent leurs sentiments surtout vers les enfants, s'appelleront pédophiles. Littéralement cela veut dire : "quelqu'un qui aime les enfants". Et c'est exactement ce dont il s'agit. Vu de cette façon, il arrive à chacun d'entre nous d'avoir de tels sentiments, consciemment ou inconsciemment. Parfois la sexualité y joue un rôle. Et parfois on s'en rend compte:on s'aperçoit par ex. qu'on aime chahuter avec des enfants. Et parce que nous avons du mal à accepter cela, on a commencé à nous mettre, et à mettre les autres, dans des catégories: pédophiles, homophiles etc. Quand une personne oriente sa sexualité surtout vers l'autre sexe, elle est hétéro: il (ou elle) DOIT se comporter de telle ou telle façon, et les autres pulsions (pédophiles, homophiles) sont cachées, opprimées ou ignorées.

QUE SONT LES PÉDOPHILES?

Les pédophiles sont des personnes qui se sentent attirées par les enfants, y compris sexuellement. Le fait de se sentir attiré par les enfants est vécu comme une partie intégrante de la personnalité: quand on n'a pas le droit d'avoir ces sentiments, on n'a pas le droit d'être soi-même.

QUI SONT-ILS?

Des personnes qui aiment surtout les enfants, on en trouve partout: ce sont des hommes et des femmes, des femmes de 25 ans et des hommes de 50 ans, des gros, des maigres, des grands, des petits, des gentils et des pas-gentils. Il y a des personnes qui se sentent attirées par les enfants de leur sexe, des enfants du sexe opposé, ou par les deux. Et, comme chez les homosexuels ça ne se voit pas sur leur figure.

QUE FONT LES PÉDOPHILES AVEC LES ENFANTS?

Pour résumer, on pourrait dire: la même chose que les autres adultes, mais parfois il s'y ajoute des actes sexuels. Le pédophile tient surtout à faire savoir à l'enfant qu'il l'aime. C'est pour cette raison que la plupart du temps il n'y aura pas "pénétration" avec des enfants jeunes. Un garçon ou une fille d'une dizaine d'années n'est pas encore suffisamment "bâti" pour cela. Un homme adulte qui essaie d'introduire son pénis dans le vagin d'une fillette, lui fera mal dans la plupart des cas. Par conséquent, les pédophiles, en général, s'abstiendront, ne fût -ce que pour cette raison. Mais qu'est-ce qu'ils font alors? Non seulement ils parlent ensemble, rient ensemble, jouent ensemble etc., mais ils s'embrassent aussi, se caressent, se montrent leurs organes sexuels. Parfois l'adulte se masturbe devant son (sa) petit(e) ami(e), ou se laisse masturber.

AVEC QUI LE FONT-ILS?

Le pédophile se sent attiré par les enfants d'environ 8 à 15 ans. Avec l'arrivée de la puberté, l'enfant perd parfois son attraction SEXUELLE pour l'adulte. Il arrive que le plus jeune accepte cela difficilement. Mais très souvent l'amitié subsiste. Comme dans les relations entre adultes, le pédophile peut avoir des relations avec des enfants qu'il connaît depuis longtemps et avec des enfants qu'il connaît depuis très peu de temps. La plupart du temps, les deux partenaires se connaissent déjà depuis très longtemps avant d'en arriver à vivre une relation pédophile. Souvent ils habitent dans le même quartier, parfois l'adulte est un ami des parents, ou un membre de la famille.

COMMENT S'Y PRENNENT-ILS ?

Comme nous venons de le voir, les partenaires se connaissent souvent depuis fort longtemps. Aussi, beaucoup de relations se développent-elles peu à peu. A un moment donné, cette relation devient plus intime, et la sexualité peut y trouver sa place. Dans ce cadre, il n'y a pas à proprement parler d'"initiative". Quand une relation se développe peu à peu, il arrive un moment où les deux partenaires estiment que la sexualité peut y trouver place. Il est à noter, cependant, qu'il arrive très souvent que ce soit le plus jeune qui "commence", ou joue les "incitateurs". Mais dans la plupart des cas, l'aspect sexuel se développe progressivement, en interaction? Le pédophile peut avoir, lui aussi, des contacts uniques et sans lendemain. Là, également, l'initiative peut venir de l'enfant comme de l'adulte. Il arrive parfois que le contact sexuel soit imposé. L'adulte peut abuser de son pouvoir; il, ou elle, peut user de contrainte, ou essayer par des voies détournées d'obtenir l'assentiment de l'enfant. Mais ceci n'est pas spécifique de la sexualité pédophile. Dans les contacts homo ou hétérosexuels également, il peut être question de contrainte et de pouvoir. Seulement, les enfants sont moins en mesure de se défendre que les adultes. Il est toujours plus facile d'abuser d'un enfant (et pas seulement sur le plan sexuel). les rapports avec des enfants exigent TOUJOURS respect et retenue. Il se trouve que les parents oublient cela bien plus souvent que les pédophiles, parce que les parents considèrent ces petites personnes comme LEURS enfants.

QUE PENSENT LES ENFANTS DE LEURS CONTACTS PÉDOPHILES?

Quand un enfant a une relation avec un pédophile sans intervention extérieure, des liens d'amitié se tissent qui subsistent souvent quand l'aspect sexuel de la relation a cessé d'être. Souvent l'adulte a une grande importance pour l'enfant en tant que personne de confiance, comme soutien, mais avant tout comme "partenaire en amour". Les sentiments que l'enfant éprouve sont des sentiments de "être amoureux de" et "bien aimer". L'aspect sexuel a probablement une signification autre pour lui que pour l'adulte. Parfois l'enfant est passif. il apprécie la tendresse et les caresses: il se laisse faire gentiment. Mais il arrive aussi que l'enfant soit actif. PROBABLEMENT l'enfant ne voit pas le sexe comme une chose à part dans une relation. On peut dire que chez certains enfants la sexualité fait encore partie intégrante de leur existence.

E N F A N T S - E T - S E X U A L I T É

Nous avons été très prudents en parlant de la sexualité des enfants; nous disions "probablement, ils le sentent ainsi". Prudence à observer, car finalement nous ne savons pas grand chose de la sexualité infantile. On entrevoit beaucoup de choses, et une de nos erreurs est de regarder leur sexualité en partant de nos propres sentiments et sensations. Nous projetons nos propres opinions, sentiments et expériences sur les enfants. Peut-être parce qu'en tant qu'adultes nous avons oublié notre propre enfance; peut-être aussi parce que nous VOULONS oublier notre enfance quand il s'agit de sexualité. Les adultes d'aujourd'hui qui ont eu des "expériences sexuelles" en tant qu'enfant ont appris que c'était "mal". 

Les sensations qu'ils ont pu avoir en jouant "au docteur" ou "au papa et à la maman" sont souvent profondément refoulées. Pour savoir quelque chose sur la sexualité des enfants, il faudrait regarder les enfants sans idée préconçue. Et peut-être aussi se regarder sans idée préconçue. Car il se peut que l'adulte ait déjà eu, à un moment ou à un autre, une réaction de recul quand il a senti la pulsion de caresser sexuellement un enfant (par ex. en lui donnant son bain...). L'enfant a toujours affaire à des adultes. Et ces adultes interdisent, punissent, se fâchent. 

Dès son plus jeune âge, on apprend à l'enfant qu'il ne faut pas faire de choses "sales". Même sans que les adultes l'expriment clairement, l'enfant sent, de par l'attitude des adultes, que certains jeux amusants sont interdits. Et c'est pour cela qu'il préfère y jouer dans des coins obscurs où l'on risque moins la découverte. Ainsi, la vie sentimentale de l'enfant est très rapidement entourée d'une ambiance un peu malsaine. Et la sexualité des enfants devient un comportement dicté par les adultes. 

L'adulte est très important pour l'enfant. L'adulte détient le pouvoir. Les adultes, les parents, les grands-parents, les enseignants, les flics, les automobilistes, les médecins et ainsi de suite, tous ces adultes déterminent ce que les enfants ont le droit, ou n'ont pas le droit de faire. Le monde de l'enfant est étriqué. La rue où il joue est dangereuse à cause des automobilistes, la maison qu'il habite est conçue par un architecte adulte, et qu'est-ce qu'il apprend? des leçons prodiguées par des instituteurs. Les frontières de l'enfant sont beaucoup plus resserrées que nous ne le pensons. Dans le domaine de la sexualité aussi, l'adulte a imposé les limites. C'est lui qui détermine ce qui est bien, ce qui est mal, ce qui est "propre" et ce qui est "sale". On pourrait dire que c'est l'opinion des adultes qui entoure de frontières la sexualité des enfants. Et, évidemment, cela est également valable pour les relations pédophiles.

D E S - M A L E N T E N D U S

Jusqu'ici nous avons essayé d'expliquer ce qu'est la pédophilie, ce que font les pédophiles, et comment les choses PEUVENT se passer dans une relation. Il y a beaucoup de malentendus et de préjugés dans ce domaine, qui déterminent en grande partie l'évolution des relations pédophiles. Nous allons les regarder de plus près.

MALENTENDU: TOUS LES PÉDOPHILES SONT DES HOMOSEXUELS

Il y a des gens qui pensent que tous les pédophiles sont des homosexuels. C'est faux. Il y a autant de pédophiles attirés par les enfants de l'autre sexe que de pédophiles attirés par les enfants de leur propre sexe.

MALENTENDU: TOUS LES HOMOSEXUELS SONT DES PÉDOPHILES

Également faux. Parmi les homosexuels, on trouve la même proportion de pédophiles que parmi les hétérosexuels.

MALENTENDU: LES PÉDOPHILES SONT DES PETITS VIEUX DÉGOÛTANTS

Faux. Le pédophile peut avoir n'importe quel âge, jeune ou vieux. Il n' y a pas que des hommes. Une femme aussi peut tomber amoureuse d'un enfant. Mais comme on considère qu'il est normal qu'une femme embrasse et caresse les enfants, elle n'attire pas l'attention...Et, au fait, ils ne sont pas dégoûtants non plus.

MALENTENDU: LES PÉDOPHILES SONT DES FRUSTRÉS

Cela devient monotone: faux également. On trouve des gens frustrés partout, chez les homosexuels, les pédophiles, les hétérosexuels. Ce qui est vrai, c'est que par l'interdiction de vivre la vie sexuelle, le pédophile peut devenir frustré. Il n'est pas frustré parce qu'il est pédophile, mais il peut le devenir s'il ne peut pas s'exprimer en tant que pédophile.

MALENTENDU: L'ENFANT QUI A UNE EXPERIENCE PÉDOPHILE DEVIENT HOMOSEXUEL

Le fait d'être homosexuel ou hétérosexuel n'a rien à voir avec une expérience pédophile. Des recherches ont démontré que parmi les personnes ayant eu des contacts pédophiles, il y a autant d'hétérosexuels que parmi ceux qui n'avaient pas eu ces contacts.

MALENTENDU: LE PÉDOPHILE EST UN SUBORNEUR D'ENFANT

Beaucoup de gens pensent que le pédophile attire l'enfant dans un endroit tranquille en lui proposant des bonbons, des glaces, des petits cadeaux. Cela arrive. Et quand cela arrive, c'est tout simplement parce que le pédophile, de par la législation actuelle et la condamnation sociale, est pratiquement forcé à agir ainsi.

MALENTENDU: LE PÉDOPHILE EST UN ASSASSIN D'ENFANT

A vrai dire on ne peut pas appeler cela un malentendu. L'accusation est beaucoup trop grave. Rarement, très rarement, il arrive qu'un pédophile en vienne à tuer. C'est en général par peur de la découverte. Cela n'est pas spécifique à la pédophilie. D'autres crimes sont commis par peur de la punition. Ainsi, un voleur PEUT devenir un assassin, et un pédophile PEUT tuer. Mais , encore une fois, cela est très très rare, et provient de la peur de la découverte (et donc de la punition). Cela n'a rien à voir en soi avec la pédophilie.

MALENTENDU: LE PÉDOPHILE EST UN DÉTRAQUE

Parmi les pédophiles on trouve des gens de toutes sortes. Quelques-uns ont l'air "bizarre", d'autres paraissent parfaitement "normaux". Il est difficile de déterminer exactement ce qu'est être "bizarre" ou "normal. Être différent ne veut pas dire être détraqué. Vouloir nuire à ses prochains, voilà une forme de déséquilibre. En suivant ce raisonnement, on pourrait bien en arriver à la conclusion que l'automobiliste "normal" qui conduit comme un chauffard et se moque du nombre de victimes d'accidents de la route, est en fait un détraqué. Être différent et penser différent ne veut pas dire: être détraqué.

N U I R E

Nous venons de parler de "nuire à ses prochains". Beaucoup pensent que la relation pédophile nuit à l'enfant. Qu'en est-il? Il y a eu beaucoup de recherches dans ce domaine, en Hollande et dans d'autres pays.. Dans aucune des recherches portées à notre connaissance, il n'apparaît qu'une relation pédophile, EN TANT QUE TELLE, peut nuire à l'enfant. Mais dans notre culture, il est rarement question d'un contact isolé. Il y a beaucoup de choses autour, et là, il peut y avoir conséquences désastreuses. 

Premièrement, il y a les ravages causés par les parents de l'enfant. La découverte d'une relation engendre souvent panique et colère. De telles réactions, engendrées par l'ignorance, nuisent à l'enfant. Ce que l'enfant éprouve comme de la tendresse, de l'amitié, devient soudain quelque chose de sale, d'interdit. 

Il y a aussi les ravages faits par les contacts avec la police et la justice. Heureusement, depuis quelques années, il y a chez les juges et les policiers, le début d'une approche plus nuancée de la pédophilie; mais un interrogatoire, l'attente dans un poste de police etc. donnent néanmoins à l'enfant l'idée qu'il s'est passé des choses terribles. 

Et le pire de tout, peut-être: quand l'enfant a l'impression que par son témoignage, son meilleur ami (ou sa meilleure amie) va se retrouver en prison. Cette terrible pensée peut parfois accompagner l'enfant tout le long de sa vie. Ainsi, ce sont surtout les réactions de l'entourage qui nuisent à l'enfant. Mais, en même temps, ce monde extérieur se nuit à lui-même. Les parents se nuisent à eux-mêmes en nuisant à leur enfant 

On peut aller jusqu'à dire qu'en tant que société nous nous nuisons à nous-mêmes en réagissant de cette façon à la pédophilie. C'est une réaction qui résulte des préjugés, des malentendus; et peut-être aussi de l'impuissance des adultes à assumer leur propre sexualité, qui recouvre aussi des sentiments pédophiles. 

La sexualité devient une chose qui doit se passer dans le noir, qui est sale et, à vrai dire interdite. C'est ainsi que l'on forge des sentiments de culpabilité: des sentiments de culpabilité qui n'ont rien à voir avec une faute réelle. A cause de ces sentiments de fausse culpabilité, il devient souvent difficile de prendre conscience de ses véritables fautes. Là aussi, il y a "dégâts". Beaucoup des ravages dont nous venons de parler proviennent de l'ignorance, des préjugés, des malentendus. En ne s'attaquant pas à ces préjugés, en n'essayant pas de se débarrasser des malentendus, l'on se rend complice, et là aussi, on nuit à ses prochains. Cela est surtout le cas de certains journaux, qui exploitent quelques débordements, et qui en font des articles à sensation. 

C'est aussi le cas de certaines personnes, qui se laissent entraîner par leurs propres émotions, sans réfléchir, en pensant ainsi protéger les enfants. Il faut parler également du tort fait aux pédophiles. A cause de tous ces préjugés et malentendus, ces personnes sont condamnées à ne pas être elles-mêmes, à ne pas être en paix avec leur conscience Et quand elles vivent activement leur pédophilie, la peur de la découverte les habite continuellement. C'est pour cela qu'il y a parfois des accidents (et ces accidents ne font que renforcer les préjugés). Cercle vicieux. Là aussi , l'on fait du tort.

LA PÉDOPHILE EST UN DÉLIT

Les rapports avec les enfants de moins de 16 ans constituent un délit. Dans notre code civil on appelle cela : attentat à la pudeur etc. Ces derniers temps, il y a de plus en plus de personnes qui voudraient se débarrasser de ces lois, et surtout supprimer les limites d'âge. La législation actuelle est faite pour protéger l'enfant, mais en fait l'enfant n'est nullement protégé, et dans la pratique il y a plus de mal fait que de bien. La meilleure façon de protéger l'enfant, c'est de lui apprendre à se protéger lui-même.

C O N S E I L S

La pédophilie est assez fréquente. En cas de découverte, il faut que les parents réagissent, que l'entourage réagisse et que (parfois) la police réagisse. Ce serait merveilleux si cela pouvait se passer d'une façon raisonnable, sans préjugés. Mais c'est beaucoup demander. Ces préjugés sont souvent bien ancrés en nous, on a grandi avec et ils ne se laissent pas mettre de côté. On a affaire à des sentiments, et tout en sachant qu'ils ne sont pas toujours justes, il est difficile de les surmonter. Mais on peut essayer, et ces quelques conseils peuvent y aider.

CONSEILS AUX ENFANTS

A vrai dire, un seul conseil suffit: ne fais jamais ce que tu n'as pas envie de faire. Les enfants sentent très bien ce qu'ils veulent par eux- mêmes, et ce qu'ils ne veulent pas. Cela n'a rien à voir avec la désobéissance. On est désobéissant quand on fait une chose dont on sait en soi-même que c'est mal (ou quand on ne fait pas une chose dont on sait qu'elle est bonne). Quand l'enfant est honnête avec ses parents, c'est-à-dire quand il leur dit franchement ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas, quand il leur dit ce qu'il veut et ce qu'il ne veut pas, à ce moment-là les parents savent où ils en sont. Tu dois pouvoir leur dire ce que tu as fait, où et avec qui. Quand les parents savent cela, ils n'ont plus aucune raison de s'inquiéter.

CONSEILS AUX PARENTS

Beaucoup de parents ont du mal à accepter la pédophilie. Il n'y a aucune raison de panique concernant l'amitié d'un pédophile et d'un enfant, même si dans cette relation il est question de rapports sexuels. 

Ayez confiance en votre enfant. Si votre fils, ou votre fille, ressent cette relation comme agréable, ne détruisez pas ce lien. Votre enfant est parfaitement capable de savoir par lui-même ce qu'il aime. Votre enfant ne comprendra pas la destruction d'un tel lien. 

Cependant il s'agit de veiller à ce que l'enfant ait un véritable chez-soi, un lieu où il se sente en sécurité, un endroit où il reçoive amour et chaleur. Cela évitera que l'enfant aborde la relation pédophile à partir d'une situation de manque, tout simplement parce qu'il a besoin de chaleur et de tendresse et qu'il accepte le rapport sexuel par-dessus le marché. 

Une éducation sexuelle honnête et claire est d'une importance capitale pour l'enfant. L'ignorance rend curieux et cachottier. L'enfant qui peut avoir des conversations honnêtes avec ses parents aura tendance à les tenir au courant de ses faits et gestes plus facilement. Il est bon qu'un enfant sache où se trouvent ses parents, et il est bon que les parents sachent où se trouve leur enfant. C'est une bonne habitude à prendre que de se raconter où l'on va. 

Les parents ne doivent pas s'inquiéter des manifestations de sexualité chez leur enfant. Vraiment, les enfants ne garderont aucune séquelle de ces jeux sexuels auxquels ils participent sans aucune contrainte. 

Comme nous le disions précédemment, le mal vient presque toujours de l'entourage. Préservez votre enfant de cette tragédie. Ne courez pas tout de suite à la police. Si votre enfant a un ami pédophile, essayez d'abord d'entrer en contact avec lui. Faite-lui savoir qu'il n'est pas question de menaces, de police, et essayez de discuter avec l'ami(e) de votre enfant. En cela, ne forcez pas votre nature: il n' y a pas de mal à ce qu'il(elle) sache que vous avez des problèmes à accepter sa relation avec votre enfant. 

Et si vraiment il s'est passé des choses désagréables (par ex. dans le cas d'une violence physique ou d'une contrainte caractérisée), vous pourrez toujours vous adresser à la police. Dans ce cas, essayez de leur expliquer calmement ce dont il s'agit. Limitez-vous aux faits et ne vous laissez pas entraîner par la peur de choses qui n'ont, probablement, pas eu lieu. Bien que dans la police l'on rencontre de plus en plus de compréhension vis-à-vis de la pédophilie, il s'agit de leur dire clairement que le plus grand tort causé à l'enfant vient souvent de l'entourage, dont la police. 

Par ailleurs: en cas de problème, il est toujours recommandé de s'adresser D'ABORD à des personnes de confiance (et ce ne sont pas forcément des professionnels).

CONSEILS AUX PÉDOPHILES

La pédophilie est difficilement compréhensible pour beaucoup de gens. Ceux qui ne reconnaissent pas en eux-mêmes ces sentiments, et ceux qui les ont refoulés, n'y comprennent rien.

De nombreux pédophiles ont du mal à accepter leur propre nature, et à se découvrir. La peur de la punition, de la condamnation sociale, de l'incompréhension chez les autres et la difficulté de s'assumer soi-même, amènent des pédophiles à se faire passer pour ce qu'ils ne sont pas. Le comportement qui s'ensuit , bien que compréhensible, ne fait que renforcer les préjugés déjà existants. Essayez de parler de vos sentiments à d'autres personnes. Cela peut très bien se faire dans le cadre d'un groupe de discussion pédophile. 

Essayez de discuter de manière franche et honnête avec les parents de votre petit(e) ami(e); à l'avance, si possible. Parlez-leur de vos sentiments, de vos projets, dites-leur ce que vous comptez faire. La plupart du temps cela ne sera pas possible, mais parfois on peut trouver le courage, et contribuer ainsi à briser le cercle vicieux. 

Ne paniquez pas en cas de découverte, même si la police s'en mêle. Restez calme. Il existe beaucoup de possibilités d'assistance juridique. Vous y avez droit. Si vous avez des démêlés avec la police, demandez TOUT DE SUITE une assistance juridique. Vous devez savoir également que vous n'êtes pas obligé de répondre aux questions. Comme nous le disions, le fait de s'accepter soi-même est très important. Ce n'est que sur les bases d'une telle acceptation qu'un pédophile peut s'interroger sur la façon dont il veut vivre sa pédophilie.

CONSEILS AUX ENSEIGNANTS

Il arrive fréquemment que des enfants rentrent à la maison en disant: "Maman, 'y avait un sadique à la sortie de l'école!". 

"Sadique" et quelques autres termes similaires sont des notions que les enfants utilisent souvent. Ils trouvent cela passionnant, et en même temps cela leur fait un peu peur. Ils s'excitent entre eux, et la rumeur s'amplifie. Les causes en sont, une fois de plus, tous les malentendus, préjugés et peurs qui accompagnent dans notre société le phénomène pédophile. 

Ces rumeurs, ces peurs, peuvent engendrer des situations très pénibles, et avoir des conséquences désastreuses. Les enseignants peuvent contribuer à "limiter les dégâts". 

Quand de telles rumeurs circulent, on peut en tirer profit et discuter ouvertement de la pédophilie en classe. Il est également bon d'essayer, dans les réunions de parents et dans les contacts plus personnels avec des parents, d'évacuer un peu de cette peur qu'ont tant de parents. Si vous découvrez qu'un enfant de votre classe a une relation pédophile, essayez d'abord d'entrer en contact avec l'adulte, et de discuter avec lui, ou elle. Ne cédez JAMAIS à la panique en courant chez les parents. Vous feriez plus de mal que de bien.

 

 

 

P O S T F A C E

Beaucoup d'entre vous ont certainement eu des difficultés à lire cette brochure. La pédophilie est un sujet chargé d'émotions, et la plupart des gens ont du mal à accepter la pédophilie, ou la refusent entièrement. Cela tient à notre regard sur les enfants, et à nos propres doutes concernant la sexualité. Dans notre société, l'enfant est considéré comme une petite personne fragile et innocente, la propriété de ses parents, qui doivent le guider jusqu'à l'âge adulte. Si nous considérions l'enfant comme une personne à part entière, avec ses propres sentiments, un cerveau, et qui ne soit la propriété de personne, alors peut-être la pédophilie deviendrait moins menaçante. La sexualité est un sujet qu'on aborde difficilement dans notre société. Elle est (encore et toujours) entourée de sentiments de culpabilité, de peur, de cochonnerie. Tant que nous aurons des problèmes avec notre propre sexualité, nous ne pourrons pas réfléchir de façon honnête et sans préjugés sur la pédophilie. Dans ce processus immense, cette brochure n'est qu'une goutte d'eau dans un océan. La modification des lois et, surtout, l'évacuation de la peur panique sans fondement vis-à-vis de la pédophilie, feront avancer bien plus vite ce processus

 

 

 

Q U E S T I O N S

 

Si, en lisant cette brochure, vous vous êtes mis en colère, en vous disant:

 

FAUT-IL VRAIMENT QUE JE TROUVE TOUT CA NORMAL? QU'ILS ESSAIENT DE TOUCHER A MON ENFANT! 

Ne croyez-vous pas que vous vous posez un peu trop en propriétaire de votre enfant? Ne pourriez-vous pas le considérer comme un être indépendant, avec ses propres sentiments et désirs?

DE NOS JOURS ON EN ARRIVE A JUSTIFIER TOUTES LES COCHONNERIES!

Pourquoi appelez-vous "cochonnerie" ce qui peut être une expression de l'amour? Pensez-vous que votre propre sexualité est "cochonne" aussi?

ET SI C'ÉTAIT MON ENFANT? 

N'avez-vous jamais envisagé que le pédophile aussi a des parents? N'avez -vous jamais réfléchi à ce qui se passerait si votre frère ou sœur, votre père ou votre mère, votre mari ou votre femme, était arrêté pour attentat à la pudeur? Si tout le voisinage montrait du doigt cette personne que vous aimez? Sachez que cela AUSSI est une façon d'être mêlé à la pédophilie.

D'ACCORD, MAIS J'EXIGE QUE MES ENFANTS SOIENT EN SÉCURITÉ!

Évidemment, chacun d'entre vous veut que la vie de ses enfants soit la plus sûre possible. Mais êtes-vous certain que votre enfant n'est pas en sécurité dans une relation pédophile? Est-ce que vous vous faites autant de mauvais sang pour l'insécurité de la circulation routière? Et l'armement nucléaire? Et les programmes de télévision? Et les jouets guerriers, inutiles et moralement condamnables? Dites-vous que la sécurité à 100% n'existe pas. D'ailleurs, il ne faudrait pas parler de sécurité et d'insécurité quand il n'est pas question de nuire. La meilleure sécurité, vous l'obtiendrez en informant vos enfants, et à les soutenir en toute sécurité.

AVEC UN TEL RAISONNEMENT, ON EN ARRIVE A TOUT JUSTIFIER!

Vraiment ?

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Le plaisir du corps et   l'origine de la violence

par

James W. Prescott

Tiré du "The Bulletin of The Atomic Scientists", Novembre 1975: 10-20

 


(Introduction à l'article dans le "Bulletin of the Atomic Scientists":)

James W. Prescott est neuropsychologue et gestionnaire dans le domaine de la santé au National Institute of Child Health and Human Development (Institut National de la Santé des Enfants et du Développement Humain) à Bethesda au Maryland. Il est membre du comité de direction de l'American Humanist Association (Association humaniste américaine). Cet article est paru en parti dans le numéro d'avril 1975 du The Futurist, publié par la World Future Society, et est réimprimé ici avec leur permission. Les opinions exprimés ici sont uniquement celles de l'auteur et ne reflètent pas forcément celles du National Institutes of Health.

Un neuropsychologue affirme que la plus grande menace à la paix mondiale origine des pays qui procurent l'environnement le plus pauvre pour leur enfants et qui sont les plus répressifs en termes d'affection sexuelle et d'expression de la sexualité féminine.

James W. Prescott

La violence humaine devient soudainement une épidémie mondiale. A travers la planète la police fait face à des foules belliqueuses, des terroristes perturbent les jeux olympiques, des pirates détournent des avions et des bombes détruisent des immeubles. Durant les récentes années, les guerres ont fait rage au Moyen-Orient, à Chypre et dans le Sud Est asiatique tandis que les combats de guérilla poursuivent leur escalades en Irlande. Pendant ce temps le crime croît plus vite que l'inflation aux États-Unis. Les chiffres du Federal Bureau of Investigation (F.B.I.) montre que les crimes graves ont crû de 16% dans les six premiers mois de 1974, une des croissances les plus considérable depuis que le FBI tient des registres.

A moins que les causes de la violence ne soit isolées et traitées, nous continuerons à vivre dans un monde de crainte et d'appréhension. Hélas la violence est souvent offerte comme solution à la violence. De nombreux membres des forces de l'ordre proposent une application plus sévère des lois comme la meilleure façon de réduire le crime. Emprisonner les gens, notre façon habituelle de faire face au crime, ne résoudra pas le problème car les causes de la violence résident dans nos valeurs fondamentales et dans la façon dont nous éduquons nos enfants. Les punitions corporelles, les film et les émission télévisées violentes enseignent à nos enfant que la violence est une choses normale. Mais ces premières expériences de la vie ne sont pas les seules ni même les principales racines de nos comportements violents. De récentes recherches soutiennent le point de vue selon lequel la privation de plaisir physique serait l'élément causal principal de l'expression de la violence physique.

p. 11, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

L'association commune entre sexualité et violence nous donne un indice pour la compréhension de la violence physique en termes de privation de plaisirs physique.

A la différence de la violence, le plaisir semble quelque chose dont on ne peut se rassasier. Les gens sont toujours à la recherche de nouvelles formes de plaisirs encore que la plupart de nos activités plaisantes paraissent être des substituts du plaisir sensoriel tactile. Nous touchons par plaisir ou pour infliger de la douleur ou nous ne touchons pas du tout. Même si le plaisir physique et la violence physique semblent à un univers de distance, il semble qu'existe une connexion subtile et intime entre les deux. Jusqu'à ce que la relation entre le plaisir et la violence soit comprise, la violence continuera son escalade.

Comme neuropsychologue du développement, j'ai consacré de nombreuses études à la relation particulière entre la violence et le plaisir. Je suis maintenant convaincu que la privation de plaisir physique constitue la principale racine de la violence. Les expériences de laboratoire avec des animaux montrent que le plaisir et la violence ont une relation réciproque, autrement dit, la présence de l'un inhibe celle de l'autre. Un animal enragé et violent se calmera soudainement si des électrodes stimulent les centre du plaisir dans son cerveau. De la même façon, la stimulation des centres de la violence du cerveau peut mettre fin au plaisir sensuel et au comportement pacifique de l'animal. Quand les circuits du plaisirs sont allumés, ceux de la violence sont éteints, et vice versa. Parmi les être humains, une personnalité orienté vers le plaisir manifeste rarement un comportement agressif tandis qu'une personnalité violente n'est guère capable d'expérimenter et de jouir d'activités sensuellement plaisantes. Si le plaisir ou la violence s'accroît, l'autre décroît.

Carence sensorielle:

La relation réciproque entre le plaisir et la violence est hautement significative parce que certaines expériences sensorielles de la période de développement de l'enfant vont créer des prédispositions soit pour la poursuite de la violence ou celle du plaisir. Je suis convaincu que de nombreux comportements sociaux et émotionna anormaux résultant de ce que les psychologues appellent la carence "socio-maternelle", c'est-à-dire le manque de soins tendres et amoureux, sont causés par un unique type de carence sensorielle, la carence somatosensorielle. Derivé du terme grec pour "corps", ce mot renvoie à la sensation de toucher et aux mouvements corporels par opposition aux perceptions lumineuses, à l'ouïe, au goût et au toucher. Je crois que la carence en toucher, contacts et mouvements corporels sont les causes fondamentales des désordres émotionnels incluant les comportements dépressifs et autistiques, l'hyperactivité, les aberration sexuelles, les abus de drogue, la violence et l'agression.

La violence face à la sexualité et l'usage de la sexualité pour la violence, particulièrement contre les femmes, a des racines profondes dans la tradition biblique.

Ces idées sont principalement inspirées des études de laboratoires de Harry F. et Margaret K. Harlow de l'University of Wisconsin. Les Harlow et leurs étudiants ont séparé des bébé singes de leur mère à la naissance. Les singes ont chacun été élevé dans une cage unique où ils pouvaient développer des relations sociales avec les autres à travers la vue, l'audition et l'odorat mais pas le toucher et le mouvement. Cette études et d'autres indiquent que c'est la carence en contacts corporels et en mouvements du corps, et non pas la privation des autres sens, qui produit la large variété des comportements émotionnels anormaux chez ces animaux élevés dans l'isolement. Il est bien connu que les bébés et enfants humains hospitalisés ou institutionnalisés pendant une longue période avec peu de contact physique tactile et de préhension développent des comportements anormaux presque identiques tels le bercement ou le secouement de la tête convulsif.

Bien que la violence pathologique observée chez les singes élevés dans l'isolement est bien documentée, le lien entre la carence somatosensorielle précoce et la violence physique chez les humain est moins clairement établi. De nombreuses études des délinquants juvéniles et des criminels adultes mettent en évidence un arrière-plan familial de ménages brisés et/ou de parents abusifs. Ces études ont rarement mentionné et encore moins mesuré le degré de carence en affection physique, bien qu'on puisse souvent en déduire l'existence de la négligence ou de l'abus et en supposer l'ampleur selon le degré de gravité. Une étude qui fait exception à cet égard est celle de Brandt F. Steele et C. B. Pollock, psychiatres à l'University of Colorado, qui ont étudié l'abus d'enfant chez trois générations de familles où l'on a abusé physiquement des enfants. Ils ont découverts que les parents qui abusent sexuellement de leurs enfant ont systématiquement subi une carence en affection physique durant leur enfance et que leur vie sexuelle adulte était extrêmement limitée. Steele remarque que les femmes qui ont abusé de leurs enfants n'ont, presque sans exception, jamais connu l'orgasme. Le degré de plaisir sexuel expérimenté par les hommes ayant abusé de leurs enfants n'a pas été établi mais leur vie sexuelle était en général insatisfaisante. L'hypothèse selon laquelle le plaisir physique inhibe actiment la violence physique peut être évaluée à la lumière de notre propre expérience sexuelle. Combien d'entre nous ont envie d'agresser quelqu'un après l'orgasme?

La contribution de Freud quant à l'effet des expériences de la première enfance sur les comportements adultes et quant aux conséquences de la répression sexuelle est bien connue. Hélas le temps et l'espace ne nous permette pas ici de discuter des différences qui l'opposent à Wilhelm Reich dans son Au delà du principe du plaisir.

L'hypothèse selon laquelle la carence en plaisir physique provoque la violence nécessite d'être évaluée de façon formelle et systématique Nous pouvons mettre à l'épreuve cette hypothèse en examinant les études transculturelles sur l'éducation des enfants, les comportements sexuels et la violence physique. Nous anticipons que les sociétés humaines qui procurent à leurs enfants une grande quantité d'affections physiques

p. 12, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

(toucher, tenir, transporter) seront moins violentes physiquement que celle qui donnent peu d'affection aux bébés et aux enfants. Semblablement, les sociétés humaines qui tolèrent et acceptent la sexualité prémaritale et extramaritale devraient être moins violence que celle qui prohibent ces comportement.

Les anthropologues culturels ont précisément rassemblé les données requises pour tester notre hypothèse sur les sociétés humains et leurs travaux sont commodément réunis dans A Cross-Cultural Summary de R. B. Textor. L'ouvrage de Textor est fondamentalement un outil de recherche pour l'analyse statistique interculturelle. Les données nous procurent 20,000 corrélations statistiquement significatives tirées de 400 échantillons de culture des sociétés primitives.

Négligence de l'enfant/Violence Adulte

Certaines variables qui reflètent l'affection physique (tel que les caresses et les jeux avec les enfants) ont été associées avec d'autres variables qui mesurent le crime et la violence (la fréquence du vol, du meurtre, etc.). Les corrélations sont exposées dans des tableaux. Les indications en pourcentage reflètent la corrélation entre les variables, par exemple, forte affection/basse violence plus base affection/forte violence. Cette procédure est suivie pour tous les tableaux.

Les sociétés classées haut ou faible dans l'échelle d'affection physique chez l'enfant (Infant Physical Affection Scale) ont été examiné quant à leur degré de violence. Les résultats indiquent clairement que ces sociétés qui procurent à leurs enfants la plus grande quantité d'affection physique sont caractérisées par le faible vol, la faible douleur physique, la faible activité religieuse, et une absence ou une quantité négligeable de meurtre, de mutilation et de torture des ennemis. Ces données confirment nettement que la carence en plaisir corporel durant l'enfance est significativement liée à un niveau élevé de crime et de violence.

Certaines sociétés punissent physiquement leurs enfants pour leur inculquer la disciplines et d'autres non. Nous pouvons déterminer si cette punition reflète une préoccupation pour le bien-être de l'enfant en la corrélant avec les soins données aux enfants. Les résultats montrent que ces sociétés qui infligent de la douleur et de l'inconfort à leurs enfants tendent aussi à les négliger. Ces résultats n'offrent pas d'appui à la prescription tirée des Proverbes (24: 13-14): Ne ménage pas à l'enfant la correction, si tu le frappes de la baguette il n'en mourra pas! Frappe-le de la baguette et tu délivreras son âme du shéol.

La violence physique adulte a été prévue dans 36 des 49 cultures (73%) avec la variable d'affection physique pour l'enfant. La probabilité qu'une corrélation de 73% soit due au hasard n'est que 4 pour 1000.

Des 49 sociétés étudiées, 13 cultures semblent faire exception à la théorie selon laquelle un manque de plaisir somatosensoriels rend les gens violent physiquement . Nous supposions que les cultures qui attribuent une grande valeur au plaisir physique durant l'enfance maintiendraient ces valeurs à l'âge adulte. Il n'en est pas ainsi. Les pratiques d'éducation des enfants ne permettent pas de prédire les modèles de comportements sexuels ultérieurs. Cette surprise initiale et apparente contradiction, devient cependant avantageuse pour des prédictions supplémentaires.

 

Les conséquences à long terme du plaisir et de la douleur chez l'enfant.

Les sociétés humaines différent considérablement dans leur traitement des enfants. Dans certaines cultures les parents débordent d'affections physiques à l'égard de leur enfants tandis que dans d'autres les parents punissent physiquement leurs enfants. Une étude des données anthropologique par l'auteur a montré que ces sociétés qui donnent à leurs enfants la plus grande quantité d'affection physique subissent moins de vol et de violence chez les adultes ce qui appuie la théorie selon laquelle la carence en affection physique durant l'enfance est liée significativement à un haut taux de crimes et de violence. Le tableau ci-dessous montre comment l'affection ou la punition à l'égard des enfants est corrélées avec d'autres variables. Par exemples les cultures qui infligent de la douleur aux enfants paraissent plus portées à pratiquer l'esclavage, la polygynie, etc. Dans les tableau, N réfère au nombre de cultures comparées et P est la probabilité que la relation observée puisse résulter du hasard ce qui a été calculé avec l'échelle de probabilité de Fischert

TABLEAU 1

Les comportements adultes dans les sociétés où les enfants sont choyés par l'affection physique

Comportements adultes

Pourcentage
%

N

Probabilité
P

Faible ostentation de la richesse

66

50

.06

Faible incidence du vol

72

36

.02

Grande indulgence envers les enfants

80

66

.0000

Faible douleur physique subie par les enfants

65

63

.03

Meurtre, torture et mutilation de l'ennemi négligeable

73

49

.004

Faible activité religieuse

81

27

.003

TABLEAU 2

Comportements adultes dans les sociétés où les parents ou les gardiens infligent de la douleur physique aux enfants

Comportements adultes

Pourcentage
%

N

Probabilité
P

Présence de l'esclavage

64

66

.03

Polygynie

79

34

.001

Statut inférieur pour la femme

78

14

.03

Faible affection physique à l'égard des enfants

65

63

.03

Faible indulgence à l'égard des enfants

77

66

.000

Faible développement du caractère nourricier chez l'enfant

67

45

.05

Dieux agressifs

64

36

.01

 

L'échelle sur l'enfance a été développée par les anthropologues culturels Barry, Bacon et Child; celle sur les comportements sexuels par Westbrook, Ford et Beach et celle sur la violence physique par Slater

 

p. 13, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

Deux variables fortement corrélées ne sont pas aussi utiles pour prédire une troisième variable que deux variables qui ne sont pas corrélées. Conséquemment, il est significatif de se pencher sur les comportements sexuels des 13 cultures dont la violence adulte n'était pas prévisible à partir du plaisir physique durant l'enfance.

Apparemment, les coutumes qui influencent et déterminent l'affection sexuelle sont différentes de celles qui soulignent l'expression de l'affection physique à l'égard des enfants.

Si l'on compare les six sociétés caractérisées à la fois par une forte affection pour l'enfant et pour une forte violence en termes de comportements sexuels prémaritaux, on découvre avec surprise que cinq d'entre elles font preuve de répressions de la sexualité prémarital, valorisant hautement la virginité. Il semble que les effets bénéfiques de l'affection physique peuvent être annulées par la répression ultérieur du plaisir physique (la sexualité prémaritale).

Les sept sociétés caractérisées par une faible affection physique pour l'enfant et une faible violence physique adulte s'avèrent toutes caractérisées par des comportements sexuels prémaritaux permissifs. Ainsi l'effet négatif de la carence en affection physique pour l'enfant semble compensé plus tard dans la vie par des expériences sexuelles plaisantes durant l'adolescence. Ces découvertes ont mené à une révision de la théorie de la carence en plaisir somatosensorielle, en faisant une théorie développementale à deux échelons permettant ainsi d'expliquer la violence physique dans 48 des 49 cultures.

En bref, la violence peut émerger d'une carence en plaisir somatosensoriel soit durant l'enfance soit durant l'adolescence. L'unique exception véritable dans cet échantillon de cultures semble être la tribu de chasseur de tête Jivaro d'Amérique du Sud. Visiblement des études plus détaillés sont nécessaires pour y déterminer les causes de la violence. Le système de croyances Jivaro peut jouer un rôle important, car comme le signale l'anthropologue Michael Harner dans Jivaro Souls , ces indiens ont une "[...] croyance profonde en ce que le meurtre mène à l'acquisition des âmes qui procurent une puissance surnaturelle et confèrent l'immunité vis-à-vis la mort".

 

L'affection physique envers l'enfant et violence adulte

Les sociétés qui procurent une grande quantité d'affection physique à leurs enfant sont caractérisés par une faible violence chez les adultes. Dans 36 des 49 cultures étudiées, un fort degré d'affection envers les enfants était associé avec un faible degré de violence adulte et vice versa. L'analyse des 13 exceptions montre que dans tous les cas sauf un (la tribu Jivaro d'Amérique du Sud) cela pouvait être expliqué par l'absence de comportements sexuels prémaritaux.

TABLEAU 3

Relation entre la carence en affection et la violence adulte

Forte affection envers les enfants

Faible affection envers les enfants

Forte affection envers les enfants

Faible affection envers les enfants

Violence adulte faible

Violence adulte forte

Violence adulte faible

Violence adulte forte

Andamanese

Alorese

Cheyenne

Ainu

Arapesh

Aranda

Chir-Apache

Ganda

Balinese

Araucaniens

Crow

Kwakiutl

Chagga

Ashanti

Jivaro

Lepcha

Chenchu

Aymara

Kurtatchi

Pukapuka

Chuckchee

Azande

Zuni

Samoans

Cuna

Comanche

 

Tanala

Hano

Fon

 

 

Lau

Kaska

 

 

Lesu

Marquiséens

 

 

Maori

Masai

 

 

Murngin

Navaho

 

 

Nuer

Ojibwa

 

 

Papago

Thonga

 

 

Siriono

 

 

 

Tallensi

 

 

 

Tikopia

 

 

 

Timbira

 

 

 

Trobriandais

 

 

 

Wogeo

 

 

 

Woleaians

 

 

 

Yahgan

 

 

 

 

Sexualité prémaritale réprimée: souligné

Sexualité prémaritale permise: italique

a Selon Harner (1972) la culture Jivaro est mal classifiée et devrait figurée dans la colonne 2 (communication personnelle).
b Selon Derek Freeman, Professor of Anthropology, Australian National University, les Samoans appartiennent à la colonne 2 (communication personnelle).
c Les Zuni sont aussi reclassifiés à la colonne 1.

Source: Textor échelle du comportement de l'enfant tirée de Barry, Bacon and Child ; et échelle de la violence chez l'adulte de Slater .

Ce tableau est une version révisée mise à jour sur la base d'informations tirées de l'article "Can More Touching Lead to Less Violence in Our Society?" (Plus de contacts peut-il conduire à moins de violence dans notre société?) de Lionel Gambill, publié dans The Truth Seeker, March/April 1989. Gambill écrit:

Subséquemment à la publication originale dans The Futurist en Avril 1975, des anthropologues culturels ont informé Prescott d'erreurs dans le codage original dans les manuels de références qui fondaient la comparaison. Une fois ces erreurs corrigées, aucune exception ne demeure. La théorie du rapport réciproque entre le plaisir et la violence, telle qu'appliquée aux cultures listées, possède une valeur prédictive de100%.

La version originale du Futurist est disponible

 

La solidité de la théorie de la violence en terme de carence en deux échelons est plus clairement illustrée si l'on contraste les sociétés faisant preuve de haut niveau d'affection physiques durant l'enfance et l'adolescence avec celles qui s'avèrent faible en affection physique pour ces deux périodes. Les statistiques associées à cette relation sont extraordinaires. La probabilité qu'une société soit violente si elle fait preuve d'affection physique à l'égard de ces enfants est de 2%. Il n'y a qu'une chance sur 125 000 pour que cela soit dû au hasard. Je ne connais aucun autre variable dévelopementale qui possède un tel pouvoir prédictif. Nous sommes donc en terrain sûr: les sociétés affectueuses ont très peu de chance d'être violentes.

Ainsi si l'affection physique et le plaisir durant l'adolescence et durant l'enfance sont corrélés avec des mesures de violences, on trouve clairement une relation significative entre la punition de la sexualité prémaritale et diverses mesures du crime et de la violence. Comme le montre le tableau 4 des agrégats additionnels de relations associent la punition et la répression de la sexualité prémaritale à des communautés de grande taille, à une haute complexité sociale, à la stratification en classes, à de petite familles étendues, à l'achat de femmes, la pratique de l'esclave et à un dieu supérieur qui guide la morale. La relation entre les petites familles étendues et les attitudes opposées à la sexualité prémaritale mérite qu'on s'y attarde car cela suggère que les cultures occidentales à familles nucléaires peuvent constituer un facteur contributif à nos attitudes répressives à l'égard de l'expression sexuelle.

p. 14, November 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

On peut suggérer le même phénomène quant à la taille des communautés, la complexité sociale et la stratification en classes.

De façon peu étonnante, si de grands besoin pour soi sont combinés avec une carence en affection physique, il en résulte un auto intérêt et de hauts niveaux de narcissisme. Semblablement, les danses exhibitionnistes et la pornographie peuvent être interprétées comme un substitut de la forme normale d'expression sexuelle. Certains pays particulièrement répressifs quant à la sexualité féminines possèdent des formes élaborées d'art pornographiques.

Sexualité extramaritale

J'ai aussi examiné l'influence des tabous quant à la sexualité prémaritale sur le crime et la violence. Les données montrent clairement que des attitudes punitives-répressives sont liées à la violence physique, au crime contre la personne et aux pratiques d'esclavage. Les sociétés valorisant la monogamie mettent l'emphase sur la gloire militaire et vénèrent des dieux agressifs.

Ces données inter-culturelles supportent les opinions des psychologues et des sociologues qui estiment que les besoins sexuels et psychologiques qui ne peuvent être satisfaits par le mariage devraient l'être autrement, sans pour autant détruire la primauté de la relation conjugale.

 

Sexualité prémaritale, violence physique et autres comportements adultes

La liberté sexuelle prémaritale chez les jeunes gens peut contribuer à réduire la violence dans une société et le plaisir physique que les jeunes retirent de la sexualité peut compenser un manque d'affection physique durant l'enfance. Une autre recherche montre également que les sociétés qui punissent la sexualité prémaritale ont tendance à être impliquée dans l'achat de femmes, à vénérer un dieu supérieur qui détermine leur morale et à pratiquer l'esclavage. D'autres résultats sont indiqués dans le tableau ci-dessous.

TABLEAU 4

Comportements adultes dans les sociétés où la sexualité prémaritale est sévèrement réprimées

Comportements adultes

Pourcentage
%

N

Probabilité
P

La taille de la communauté est grande

73

80

.0003

L'esclavage est présent

59

176

.005

La complexité sociale est élevée

87

15

.01

Les crimes contre la personnes sont fréquents

71

28

.05

La stratification sociale est élevée

60

111

.01

Forte occurrence du vol

68

31

.07

Petite famille étendue

70

63

.008

La sexualité extramaritale est réprimée

71

58

.005

Les femmes sont achetées

54

114

.02

Forte angoisse de castration

65

37

.009

Tabou long sur la sexualité post partum

62

50

.03

Extrême bélicosité

68

37

.04

Taux élevé de dysfonction sexuelle

83

23

.004

La torture, le meurtre et la mutilation de l'ennemi est courante

69

35

.07

Narcissisme élevé

66

38

.04

Valorisation de danses exhibitionnistes

65

66

.04

Dieu supérieur qui guide la morale

81

27

.01

 

Ces découvertes supportent massivement la thèse selon laquelle les carences en plaisir corporel tout au long de la vie, mais particulièrement durant les période formatrice de l'enfance et de l'adolescence, sont liées très intimement à la quantité de guerre et de violence interpersonnelle. Ces perspectives doivent aussi être appliquées aux sociétés industrielles et post-industrielles complexes.

Le crime et la violence physique ont substantiellement augmenté durant les dernières décennies aux États-Unis. Selon les statiques du FBI, les meurtres et les agressions graves ont augmenté de 53% entre 1967 et 1972, tandis que les viols ont augmenté de 70%.

Ces chiffres nous amène à nous interroger de nouveau sur la relation particulière qu'entretient la sexualité et la violence. Au delà des statistiques sur le viol, d'autres éléments signalent une préférence pour la violence sexuelle plutôt que le plaisir sexuel aux États-Unis. Cela se reflète dans notre acception de films qui intègrent la violence et le viol mais dans notre rejet de film sexuellement explicite qui ne montre que le plaisir. Des cinémas de quartier montrent des films aussi violent sexuellement que Straw Dogs, Clockwork Orange (Orange Mécanique), et The Klansman, mais bannissent des films qui exposent le plaisir sexuels (Deep Throat, The Devil in Miss Jones). Les tentatives de fermeture de salon de massage sont une autre illustration de nos attitudes hostiles au plaisir. Apparemment le sexe mêlé au plaisir est immoral et inacceptable tandis que le sexe mêlé avec la violence et la douleur est moral et acceptable.

Un questionnaire que j'ai développé pour explorer cette question a été administré à 96 étudiants du collège dont l'âge moyen était 19 ans. Les résultats de ces questionnaire appuie la liaison entre le rejet du plaisir physique (et particulièrement de la sexualité prémaritale et extramaritale) et l'expression de la violence. Les répondants qui rejettent l'avortement, la sexualité prémaritale responsable et la nudité au sein de la famille sont plus portés à approuver des punitions physiques dure pour les enfants et à croire que la douleur aide à construire un fort caractère moral. Ces répondants étaient portés à trouver l'alcool et les drogues plus satisfaisantes que la sexualité. Les résultats tirés du questionnaires fournit un fort soutient statistique à la relation inversée entre le plaisir et la violence. Si la violence est forte, le plaisir est faible, et inversement, si le plaisir est élevé la violence est faible. Le questionnaire supporte la théorie selon laquelle la relation entre le plaisir et la violence mise à jour dans les culture primitives s'avère également dans les sociétés industrialisées.

Une autre façon d'envisager la relation réciproque entre le plaisir et la violence est par l'examen des attitudes d'une société face aux drogues. Une société supporte des comportements congruents avec ses valeurs. La société américaine est une société compétitive, agressive et violente. Conséquemment elle soutient des drogues qui encouragent

p. 15, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

les comportements compétitifs, agressifs et violent et s'opposent aux drogues qui neutralisent de tels comportements. L'alcool est bien connu pour faciliter l'expression de la violence et bien qu'ils créé la dépendance et puissent être très dommageable pour les usagers chroniques, il est acceptable dans la société américaine. La marijuana d'autre part, est une substance qui accroît le plaisir lié au toucher et inhibe activement les comportements agressifs. Je crois que c'est pour ces raisons que la marijuana est rejeté par la société américaines. Semblablement l'héroïne est rejetée tandis que la méthadone (une drogue intoxicante sans le plaisir) est acceptée.

Les données de mon questionnaire appuie cette perspective. Comme le montre tableau 5 , une très haute corrélations entre l'usage de l'alcool et la punition parentale indique que les gens qui reçoivent peu d'affection de la part de leur mère et ont eu des pères qui leur administraient des punitions physiques sont portés à devenir agressifs et hostiles lorsqu'ils boivent de l'alcool. Ces personnes trouve l'alcool plus satisfaisant que la sexualité. La relation est encore plus forte entre les punitions corporelles et l'usage des drogues. Les répondants qui ont subi des punitions corporelles durant leur enfance font preuve d'hostilité et d'agression induite par l'alcool et ont tendance à trouver l'alcool et les autres drogues plus satisfaisantes que la sexualité. Le questionnaire révèle également de forte corrélations entre la répression sexuelle et l'usage de drogue. Ceux qui décrivent la sexualité prémaritale comme "non agréable" ont tendance à devenir agressif sous l'influence de l'alcool et à préférer les drogues dont l'alcool aux plaisirs sexuels. Cela constitue une preuve supplémentaire à l'appui de l'hypothèse selon laquelle les plaisirs des drogues sont des substituts aux plaisirs somatosensoriels.

 

La violence et le plaisir
Les attitudes des étudiants collégiaux

La relation réciproque entre la violence et le plaisir s'avère également vraie dans les sociétés modernes industrialisées. La théorie a été éprouvée au moyen d'un questionnaire distribué à 96 étudiants collégiaux d'âge moyen de 17 ans. Les résultats montrent que les étudiants qui ont des attitudes relativement négatives à l'égard du plaisir sexuel tendent à favoriser des punitions sévères pour leur enfant et à croire que lal violence est nécessaire pour régler les problèmes. Les étudiants évaluaient une série d'affirmations selon une échelle de 1 à 6 allant d'absolument d'accord (1) à absolument en désaccord (6). A travers une technique statistique (l'analyse factorielle), un profil de personnalité de la personne violente a été développée. Le tableau 5 montre le degré de corrélation entre les diverses affirmation qui reflètent des valeurs morales et sociales. Les données de gauches sont des coefficients de corrélations. Ils indiquent la force avec laquelle chaque variable contribue à la personnalité générale du répondant ainsi que définie dans son profil.

TABLEAU 5

Index somatosensoriel de l'affection humaine
Facteur 1:66.6%

 

Violence Approuvée

.85

La punition physique sévère est souhaitable pour l'enfant très désobéissant

.81

La punition physique et la douleur contribue à construire un individu moral.

.80

L'avortement devrait être réprimé par la société.

.76

La peine capitale devrait être autorisée par la société

.75

La violence est nécessaire pour résoudre nos problèmes

.74

La punition physique devrait être permise à l'école

.69

J'aime la pornographie sadique

.54

J'ai souvent envie de frapper quelqu'un

.43

Je supporte facilement la douleur

 

 

Plaisir physique condamné

.84

La prostitution devrait être socialement réprimée

.80

Je suis hostile à la sexualité pré-maritale responsable .

.78

La nudité familiale nuit à l'enfant.

.73

Le plaisir sexuel contribue à construire un faible caractère moral

.72

La société doit intervenir dans les activités sexuelles entre adultes consentant

.69

Je suis hostile à la sexualité extramaritale responsable

.61

Les odeurs corporelles sont désagréables

.47

Je n'aime pas la pornographie consensuelle

 

 

L'alcool et les drogues préférés à la sexualité

.70

L'alcool est plus agréable que la sexualité

.65

Les drogues sont plus agréables que la sexualité

.60

Je deviens agressif quand je bois de l'alcool

.49

Je préfère l'alcool à la marijuana

.45

Je bois de l'alcool plus souvent que j'expérimente l'orgasme.

 

 

Conservatisme politique

.82

Opinions politiques de droite.

.77

Plus vieux que la moyenne

.51

Je rêve souvent que je flotte, je vole, je tombe ou je grimpe

.45

Ma mère est souvent indifférente vis-à-vis moi

.42

Je suis souvent embarrassé quand on me touche

.40

Je me souviens des punitions physiques infligées par mon père

 

J'exprime ma reconnaissance à Douglas Wallace, du Human Sexuality Program, University of California Medical School, San Francisco, pour sa collaboration pour l'étude par questionnaire.



 

Racines religieuses

Les origines de la relation réciproque fondamentale entre la violence physique et le plaisir physique peuvent être retracées dans le dualisme philosophique et à la théologie de la relation entre le corps et l'âme. Dans la pensée philosophique occidentale, l'homme n'est pas un être unitaire car il est divisé en deux partie: le corps et l'âme. La conception philosophique des Grecs quant à la relation entre le corps et l'âme était fort différente du concept judéo-chrétien qui positionne un état de guerre entre les deux entités. Dans la pensée judéo-chrétienne, l'objectif de la vie humaine est la salvation de l'âme et le corps est conçu comme un obstacle dans la poursuite de cet objectif. Conséquemment le corps doit être puni et contraint. Ainsi dans les mots de St-Paul: "Car si vous vivez selon la chair vous mourrez. Mais si par l'Esprit vous faites mourir les oeuvres du corps, vous vivrez". " (Romains 8:13). St-Paul soutient clairement que la privation en plaisir somatosensoriel et la pratique de stimulation douloureuse

p. 16, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

sont des pré requis essentiels pour gagner son ciel.

"J'en viens maintenant à ce que vous m'avez écrit. Il est bon pour l'homme de s'abstenir de la femme" (1 Corinthiens, 7:1).

Aristote ne concevait pas un état de guerre entre le corps et l'esprit mais plutôt envisageait une relation complémentaire dans laquelle l'état de l'âme ou de l'esprit était dépendant de l'état du corps. En fait, il affirmait que "le soin du corps doit précéder celui de l'âme." (Politique)

Aristote percevait aussi la relation réciproque entre le plaisir et la douleur et reconnaissait qu'une recherche compulsive du plaisir corporel origine d'un état d'inconfort et de douleur corporels:

Or, l'excès est possible dans les biens corporels: et le vice sous ce rapport consiste précisément à rechercher l'excès, et non pas à ne rechercher que les plaisirs absolument nécessaires. Tous les hommes sans exception trouvent une certaines jouissance à manger les aliments, à boire les vins, à se livrer aux actes de l'amour; mais tous ne prennent pas ces plaisirs dans la mesure qu'il faut . Pour la douleur, c'est tout le contraire. On n'en fuit pas seulement l'excès; on la fuit absolument; car la douleur n'est pas le contraire de l'excès du plaisir [...].

C'est la ce qui doit nous engager à rechercher comment il se fait que les plaisirs du corps semblent plus désirables que tous les autres. Le premier motif, c'est que le propre du plaisir c'est de bannir la douleur, et que souvent dans la douleur excessive on recherche, comme moyen de guérison, un plaisir non moins excessif qui n'est en général que celui du corps, Mais ce sont là des remèdes violents, et ce qui fait qu'on les prend avec tant d'ardeur, c'est qu'ils semblent de nature à effacer les émotions contraires (Éthique à Nicomaque, livre 7, chapitre 8)

Il est clair que le monde jouit d'un temps limité pour changer sa manière de résoudre les conflits violemment. Nous faisons face à l'incertitude quant à savoir si nous avons le temps de défaire les dommages effectués par d'innombrable générations précédentes et combien de générations futures il faudra pour transformer notre psychobiologie tournée vers la violence en une autre plus pacifique.

Dans son analyse du plus grand bien, Aristote fut fort explicite:

"Mais il est très possible qu'il y ait un certain plaisir qui soit le bien suprême, quoiqu'il y ait plus d'un plaisir qui soit mauvais, de même qu'il peut y avoir aussi une science qui soit la science suprême." (Éthique à Nicomaque, livre 7, chapitre XII)

La conception judéo-chrétienne du plaisir corporel est manifestement opposée à celle que défini Aristote, en particulier quant au soulagement de la douleur et l'inconfort par le plaisir somato-sensoriel. Le refus du plaisir somatosensoriel dans la doctrine de Paul a conduit à des sources alternatives de soulagement à travers des stimulation douloureuse tel que l'auto-flagellation, l'auto-mutilation, la violence physique contre les autres et dans l'usage de drogues sans plaisirs sensoriels.

Des études expérimentales sur les animaux illustrent bien ce phénomène. On constate par exemple que des animaux privés de stimulations somatosensorielles se lancent dans la mutilation de leur propre corps. Des animaux privés de contacts tactiles en bas âge vont développer une perception de la douleur affaiblie et une aversion face aux contacts tactiles par autrui. Cela inhibe donc la possibilité d'expérimenter une thérapie fondée sur le plaisir corporel. Dans ces conditions, ils ont peu d'alternatives hors de la violence physique alors que le contact orienté vers la douleur est facilité par leur capacité affaiblie à ressentir la douleur. Donc la violence et la douleur physique deviennent des thérapies privilégiés pour ceux qui ont été privés de plaisir physique.

Ces considération soulèvent la question de comment la philosophie et la théologie chrétienne qui ont tant emprunté à Aristote ont réussi à éviter si non carrément à rejeter les enseignements d'Aristote concernant la moralité du plaisir. Les racines de cette question peuvent être découvertes tout au long du Vieux Testament et ce dès le début avec le compte-rendu dans la Genèse de l'expulsion d'Adam et Ève du jardin du paradis. La première conséquence de la faute d'Ève est que la nudité devint honteuse. Là pourrait bien être la début de l'hostilité des hommes envers les femmes et le l'équation de la femme avec le démon, particulièrement les démons du corps. La chose est illustrée de façon frappante par Zacharie (5:5-8) dans la description d'un ange:

"C'est un boisseau qui s'avance." Il ajouta "C'est leur iniquité, dans tous le pays" Et voici qu'un disque de plomb se souleva; et je vis une Femme installée à l'intérieur du boisseau. Il dit "C'est la malice" Et il la repoussa à l'intérieur du boisseau et jeta sur l'orifice la masse de plomb."

La violence à l'égard de la sexualité et l'usage de la sexualité pour la violence, particulièrement contre les femmes, a des racines profondes dans la tradition biblique et est exprimée très tôt. Le dix-neuvième chapitre de la Genèse (19:1-11), dans le premier livre du Vieux Testament soutient que le viol d'une femme est acceptable mais que le viol d'un homme est une chose perverse. Le chapitre sur la destruction de Sodome et Gomorre décrit l'hospitalité offerte par Lot à deux voyageurs (en fait deux anges).

Ils n'étaient pas encore couchés que la maison fut cernée par les hommes de la ville, les gens de Sodome, depuis les jeunes jusqu'aux vieux, tout le peuple sans exception. Ils appelèrent Lot et lui dirent: "Où sont les hommes qui sont venus chez toi cette nuit? Amène les nous pour que nous en abusions. Lot sortit vers eux à l'entrée et, ayant fermé la porte derrière lui, il dit " Je vous en supplie mes frères, ne commettez pas le mal! Écoutez: j'ai deux filles qui sont encore vierges, je vais vous les amener: faites leur ce qui vous semble bon, mais, pour ces hommes, ne leur faites rien puisqu'ils sont entrés sous l'ombre de mon toit" Mais ils répondirent: "Ote-toi de là! En voilà un qui est venu en étranger, et il fait le juge! Eh bien, nous te ferons plus de mal qu'à eux! Ils le pressèrent fort, lui Lot, et s'approchèrent pour briser la porte. Mais les hommes sortirent le bras, firent rentrer Lot auprès d'eux dans la

p. 17, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

maison et refermèrent la porte. Quant aux hommes qui étaient à l'entrée de la maisons, ils les frappèrent de berlue du plus petit jusqu'au plus grand, et ils n'arrivaient pas à trouver l'ouverture.

L'histoire se poursuit comme les deux anges escortent Lot et sa famille vers un refuge puis détruisent Sodome et Gomorre en raison de leur grand état de péché. Pas un mot de reproche n'est émis envers Lot pour sa volonté d'offrir ses deux filles vierges pour qu'elles soient soumises à un viol collectif. Le même récit est répété dans les livres d' Ezekiel (23:1-49) et de Juges (19:22-30).

Étant donné une telle tradition, il est compréhensible que durant l'Inquisition seules les femmes étaient accusées de forniquer avec le diable et mises à mort pour ce crime de plaisir. Quel homme est mort pour avoir couché avec Satan? Cette tradition est maintenue dans les cultures modernes où les femmes sont punies pour la prostitution mais pas leurs clients masculins.

L'acceptation historique et biblique du viol à travers les âges a secoué la psyché des hommes élevés dans cette tradition. Cela est bien illustré par le récit de Michael McCusker, un sergent de la marine américaine qui témoigne d'un viol collectif au Vietnam. McCusker raconte comment une escouade armée de neuf hommes envahit un petit village.

Ils devaient trouver ce qu'ils appelaient une pute Viet Cong. Ils entrèrent dans le village et plutôt que de la capturer, ils la violèrent. Chaque homme la viola. Un d'entre eux me dit plus tard que c'était la première fois qu'il faisait l'amour à une femme en conservant ses bottes. Celui qui dirigeait l'escouade était en fait un simple soldat. Le chef était sergent mais il semblait impuissant et il a laissé le soldat mener son groupe. Plus tard le sergent affirma qu'il n'avait pas participé au raid car c'était contre sa morale. Alors plutôt que de commander à l'escouade de ne pas le faire car ils ne l'écouteraient pas de toute façon, le sergent est allé de l'autre côté du village et s'est assis à regarder le sol fixement en se sentant lamentable. Mais quoi qu'il en soit, ils violèrent la fille et le dernier à lui faire l'amour lui tira une balle dans la tête.

Qu'est ce qui dans la psyché américaine permet l'usage du mot amour pour décrire le viol. Un acte d'amour achevé sur une balle dans la tête!


 

 

Pourquoi les hommes violent-ils les femmes? Les chercheurs rapportent que la plupart des violeurs ont un arrière-plan familial de punition et d'hostilité paternelle et de manque d'affection maternelle. J'interprète le viol comme une revanche de l'homme contre la femme en raison des manques initiaux d'affection physique. Un homme peut exprimer son hostilité à l'égard de la mère pour ne pas lui avoir donné d'attention physique en violant d'autres femmes.

Une autre explication peut être que l'accroissement de la liberté sexuelle des femmes est menaçante pour la position de pouvoir et de dominance masculine souvent maintenue à travers l'agression sexuelle. Le viol détruit le plaisir sensuel chez la femme et accroît le plaisir sadique chez l'homme. A travers le viol l'homme s'interdit le plaisir sensuel de la femme qui menace sa position de pouvoir et de dominance.

Selon moi le viol a son origine dans

 

 

p. 18, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

la carence en affection physique dans la relation parent-enfant et dans les relations sexuelles adultes ainsi que que un système de valeur religieuse qui considère la douleur et les carences corporelle morale et immorale le plaisir physique. Le viol maintient la dominance de l'homme sur la femme et soutient la perpétuation des valeurs patriarcales dans notre société.

 

 

 

Il est évident que le monde dispose de peu de temps pour modifier son habitude résoudre les conflits par la violence. Il est incertain si nous avons encore le temps de défaire les dommages accomplis par d'innombrables générations précédentes et nous ignorons aussi combien de générations future il faudra pour transformer notre psychobiologie de la violence en une psychobiologie de paix.

Si nous admettons la théorie selon laquelle le manque de plaisir somatosensoriel est la cause principale de la violence nous pouvons travailler à promouvoir le plaisir et encourager les relations interpersonnelles affectueuses comme une façon de combattre l'agression. Nous devons donner la plus haute priorité au plaisir du corps dans un contexte de relations humaines significatives. Un tel plaisir du corps est très différente de la promiscuité qui reflète une inhabilité fondamentale à expérimenter le plaisir. Si une relation sexuelle n'est pas agréable, une personne cherche un autre partenaire. Un échec continuel à parvenir à la satisfaction sexuelle mène à une recherche continuelle de nouveaux partenaires, en d'autres mots à un comportement léger. Le plaisir physique affectueusement partagé, d'autre part, tend à stabiliser une relation et à éliminer cette recherche. Cependant, une variété d'expériences sexuelles semble normale dans les cultures qui en permettent l'expression et cela peut être important pour optimiser le plaisir et l'affection dans les relations sexuelles.

Les données disponibles indiquent clairement que les valeurs rigides de la monogamie, de la chasteté et de la virginité contribuent à produire la violence physique. Le déni de la sexualité féminine doit céder la place à une acception et un respect à son égard et les hommes doivent partager avec les femme la responsabilité du don d'affection et de soin envers les enfants. Comme le père assume un rôle plus égal avec la mère dans l'éducation des enfants et devient plus affectueux envers ses enfants, des changements doivent s'ensuivre dans notre système socio-économique. Une structure de travail qui tend à séparer un ou l'autre parent de la famille par soit le voyage, les réunions interminables ou le temps supplémentaire affaiblit la relation entre les parentes et l'enfant et nuit à la stabilité familiale. Le développement d'une société pacifique passe par une emphase plus grande sur les relation humaines.

La planification des naissances est nécessaire. Les enfants doivent être correctement espacés pour que chacun puisse recevoir des soins et une affection optimaux. Les besoins de l'enfant devraient être immédiatement satisfait. Les données interculturelles n'appuient pas l'idée qu'une telle pratique va gâter l'enfant. Contrairement à ce qu'affirme le docteur Benjamin Spock, il est nuisible pour un enfant de s'endormir en pleurant. En ne comblant pas immédiatement les besoins de l'enfant. nous enseignons à nos enfants la méfiance à un niveau émotionnel fondamental mais nous établissons aussi

p. 19, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

un pattern de négligence qui peut nuire à la santé sociale et émotionnelle de l'enfant. Le rejet de l'allaitement naturel en faveur du biberon et la séparation du nouveau né de sa mère dans nos hôpitaux modernes sont autant d'exemples de modes d'éducation nuisible.

Environ 25% des mariages aux États-Unis se terminent par un divorce et un plus grand pourcentage encore ont vécu l'adultère. Cela laisse supposer que quelque chose est fondamentalement faux dans la conception traditionnelle de la monogamie universelle. Le besoin de créer un système de mariages pluralistes devient plus évident si on l'examine à la lumière des données interculturelles concernant les carences physiques, la violence et la guerre associées avec la monogamie. Des expérimentations actuelles de vie en commune et de mariage groupal chercher à combler les besoins fondamentaux qui demeurent insatisfaits dans l'isolement du mariage nucléaire. Il nous faut considérer sérieusement de nouvelles options, telles que des familles étendues comprenant deux ou trois couples qui partagent des valeurs et un style de vie. En partageant les bénéfices et les responsabilités de l'éducation des enfants, de telles familles peuvent fournir un environnement varié et affectueux pour les enfant aussi bien que pour les adultes et réduire la fréquence d'abus d'enfant et de fugues.

La famille communale, tout comme les groupes de familles étendues, peut procurer un environnement plus stimulant et encourageant pour les enfants et les adultes que la famille nucléaire moyenne. La vie communale de doit pas bien sûr être comprise comme équivalent à la sexualité en groupe, qui le plus souvent n'est pas une forme de partage mais un échappatoire à l'intimité et à la vulnérabilité émotionnelle.

La franchise au sujet du corps

Peut importe le type de structure familiale choisie, il est important d'encourager la franchise au sujet du corps et des fonctions corporelles. A ce sujet nous pourrions bénéficier d'une reconfiguration de nos maisons suivant le mode japonais qui sépare la cuvette des équipements pour le bain. Le bain familial devrait être utilisé pour la socialisation et la relaxation, et devrait procurer une situation naturelle où les enfants peuvent apprendre les différences anatomiques entre les hommes et les femmes. La nudité, comme la sexualité, peut être détournée et abusée et la peur de cela nous empêche souvent d'accepter nos corps naturellement.

La stimulation bénéfique que procure le bain tourbillon ne devrait pas être limité aux hôpitaux et aux établissements curatif ou de relaxation mais devraient être disponible au sein du foyer familial. Le bain familial devrait être suffisamment grand pour accommoder parents et enfants et être équipé de tourbillon pour maximiser la relaxation et le plaisir. La nudité, l'ouverture et l'affection au sein de la famille peut enseigner aux enfants et aux adultes que le corps n'est ni honteux ni inférieur mais plutôt une source de beauté et de sensualité à travers lequel nous sommes en relation avec les autres. L'affection physique implique le toucher, l'emprise et la caresse et ne doit pas être compris comme équivalent à la stimulation sexuelle qui est un type spécifique d'affection physique.


L'éthique compétitive qui enseigne aux enfants qu'ils doivent progresser aux dépens des autres devrait être remplacée par les valeurs de la coopération.

Aimer plutôt que rivaliser

L'éthique compétitive, qui enseigne aux enfants qu'ils doivent progresser aux dépens des autres devrait être remplacée par les valeurs de coopération et la poursuite de l'excellence pour son propre bien. Nous devons éduquer nos enfant pour qu'ils soient émotionnellement capables de donner de l'amour et de l'affection plutôt que d'exploiter les autres. Nous devons reconnaître que la sexualité adolescente est non seulement naturelle mais désirable et accepter la sexualité prémaritale comme une chose bonne et morale. Les parents devraient aider les adolescent à se réaliser sexuellement en leur permettant d'user de la maison familiale pour leur satisfaction sexuelle. Une honnêteté semblable encouragerait une attitude plus responsable envers les relations sexuelles et procureraient un environnement d'un beaucoup plus grand soutient que le siège arrière d'une voiture ou tout autre emplacement indésirable hors du foyer. Les expériences sexuelles précoces sont trop souvent un effort pour démontrer son appartenance au monde des adultes, ou pour prouver sa masculinité ou sa féminité, plutôt qu'un partage joyeux d'affection et de plaisir.

D'abord et avant tout, il faut reconnaître l'égalité sexuelle des hommes et des femmes. Le droit traditionnel des hommes à des multiples partenaires sexuels doit être étendu aux femmes. Le plus grande barrière entre les hommes et les femmes est la peur qu'ont les hommes de la profondeur et de l'intensité de la sensualité féminine. Puisque le pouvoir et l'agression sont neutralisés par le plaisir sensuel, la défense première des homme contre la perte de leur domination a été la négation, la répression et le contrôle du plaisir sensuel de femmes. L'usage de la sexualité pour procurer un simple relâchement de la tension physiologique (plaisir apparent) ne doit pas être confondu avec l'état de plaisir sensuel incompatible avec la dominance, l'agression, la violence et la douleur. C'est à travers le partage mutuel du plaisir sensuel que l'égalité sexuelle entre les hommes et les femmes peut être réalisée.

L'environnement sensoriel dans lequel un individu grandi a une influence majeure sur le développement et l'organisation fonctionnelle de son cerveau. Les stimulations sensorielles constituent un nutriment dont le cerveau a besoin pour se développer et fonctionner normalement. Le fonctionnent du cerveau détermine le comportement de la personne. Le cerveau humain à la naissance est extrêmement immature et de nouvelles cellules cérébrales se développent jusqu'à l'âge de deux ans. La complexité du développement des cellules cérébrales se poursuit jusqu'à l'âge de 16 ans environs. Herman Epstein de Brandeis University a montré que des jaillissement de croissance dans le cerveau humain se produise à peu près aux âge de 3, 7, 11 et 15 ans.

p. 20, Novembre 1975, Bulletin of the Atomic Scientists

Comment une carence précoce peut affecter ces jaillissement de croissance reste à déterminer; des données suggèrent cependant que le jaillissement final peut être annulé par une carence précoce.

W. T. Greenough, psychologue à l'University of Illinois, a démontré qu'un environnement sensoriel enrichi produit des cellules plus complexes dans le cerveau des rats qu'un environnement ordinaire ou appauvri (voir l'image). Ses études montre que la carence sensorielle n'a pas à être extrême pour induire des changements structurels dans un cerveau en développement. Plusieurs autres chercheurs ont montré que l'éducation des rats en isolement introduit des changements significations dans la biochimie du fonctionnement de leur cellules cervicales. D'autres chercheurs ont montré une activité électrique anormale dans le cerveau de singe élevé dans l'isolement. J'ai avancé l'idée que le cervelet, une structure du cerveau impliqué dans la régulation de nombreux processus cérébraux, devient dysfonctionnel quand un animal est élevé dans l'isolement et est impliqué dans les comportements violents et agressifs du à la carence somatosensorielle. Il a été démontré qu'une neurochirurgie du cervelet peut transformer le comportement agressif du singe élevé en isolation en un comportement pacifique. Les comportement prédatoire chez le chat peuvent être provoqué en stimulant le nucleus fastifial du cervelet, une des nucléi les plus profond du cervelet.

Des niveaux anormalement faibles de sérotonine platelet ont été détectés chez des singes élevés dans l'isolement ainsi que chez les enfants fortement agressifs et institutionnalisés. Ces découvertes laissent croire que la carence somato-sensorielle des périodes formatrice du développement altère de façon significative ce système biochimique du corps associé à des comportement hautement agressifs. Plusieurs autres chercheurs ont documenté des anormalités dans le système de réponse corticale adrénale parmi des rongeurs élevés en isolement et qui avaient développés des comportement hyperagressif, hyperactif et hyperréactif. Donc on peut affirmer qu'un autre important système biochimique associé à l'agressivité est altéré par une carence somatosensorielle précoce.

Il faut souligner que je propose des stimulations somatosensorielles plaisantes comme procédure thérapeutique pour corriger les anormalités causées par une carence en plaisir somatosensoriel. De semblables stimulations sensorielles peuvent influencer le fonctionnement du cerveau et il ne semble pas nécessaire, à l'exception de rares circonstances, d'avoir recours à la chirurgie ou aux stimulations électriques pour modifier des comportements violents et pathologiques. Hélas, des programmes thérapeutiques fondés sur le plaisir somatosensoriel n'ont pas encore été établis afin de déterminer leur efficacité thérapeutique. Le succès de le thérapie somatosensorielle auprès des singes élevés en isolations rapporté par Harry F. Harlow et Stephen Suomi après que d'autres formes de thérapies aient échoué chez ces animaux, fournit des encouragements supplémentaires et soutient l'utilisation du toucher et des mouvements corporels dans le traitement des désordres émotionnels.

Inversement, nos prisons ont été configurées pour maximiser les conditions précisément responsable de la violence et de l'emprisonnement du délinquant social. Il n'est pas surprenant que la violence physique dans de tels environnements soit un problème de taille. L'acceptation du plaisir somatosensoriel comme forme de thérapie somatique sera difficilement acceptable pour notre société comme l'indique l'opposition aux salons de massage.

Manifestement si nous considérons les comportements agressifs et violents indésirables, nous devons alors développer un environnement somatosensoriel qui permette au cerveau de se développer et de fonctionner d'une telle façon qu'il en résultera des comportements plaisant et pacifiques. La solution à la violence est le plaisir physique expérimenté dans le contexte de relations humaines significatives.

Pour beaucoup de gens, un principe moral fondamental est le rejet de tout credo ou politique qui inflige de la douleur, de la souffrance et de la privation pour nos frères humains. Ce principe doit être élargi: nous devons viser non seulement l'absence de douleur et de souffrance mais aussi l'amélioration du plaisir, la promotion de relations humaines affectueuse et l'enrichissement de l'expérience humaine.

Si nous nous efforçons d'augmenter le plaisir dans nos vies, cela va aussi affecter la manière dont nous exprimons l'agression et l'hostilité. La relation réciproque entre le plaisir et la violence est tel que l'un inhibe l'autre: quant le plaisir est élevé, la violence est faible; quant la violence est forte, le plaisir est faible. Ces prémisses fondamentale de la théorie de la carence en plaisir somatosensoriel nous fournit les outils nécessaires pour modeler un monde d'individus pacifiques, affectueux et coopératifs. .

La planète cependant dispose d'un temps limité pour corriger les conditions qui nous incitent à la confrontation violente. Les technologies modernes de la guerre ont rendu possible pour un individu ou une nation d'en arriver à la destruction totale de larges segments de population. Le plus grand péril provient des nations qui offrent à leurs enfants l'environnement le plus appauvri et qui sont les plus répressifs de l'affection sexuelle et de la sexualité féminine. Nous aurons le plus à craindre quand ces nations vont acquérir les armes de guerres modernes. Tragiquement ce processus est déjà entrepris.

Notes

1. R. B. Textor, A Cross-Cultural Summary (New Haven, Conn.: Human Relations Area Files (HRAF) Press, 1967). 

2. J. W. Prescott, "Early Somatosensory Deprivation as an Ontogenetic Process in Abnormal Development of the Brain and Behavior," Medical Primatology, édité par I. E. Goldsmith and Moor-Jankowski (Basel: Karger, 1971), 357-375; et Prescott, "Cross-Cultural Sludies of Violence," in Aggressive Behavior: Current Progress in Pre-Clinical and Clinical Research, Brain Information Report No. 37 (Los Angeles, Ca.: University of California, Aug. 1974), pp. 33-35.   

3. M. K. Bacon, I. L. Child et H. A. Barry, III, "Cross-Cultural Study of Correlates of Crime," Journal of Abnormal and Social Psychology, 66 (1963), 291-300; et Barry, Bacon and Child, "Definitions, Ratings, et Bibliographic Sources for Child-Training Practices of 110 Cultures," in Cross-Cultural Approaches: Readings in Cooperative Research, édité par C. S. Ford (New Haven: HRAF Press, 1967). 

4. J. T. Westbrook, Ford, et Beach, in A Cross-Cultural Summary, édité par Textor (New Haven: HRAF Press, 1967). 

5. P. E. Slater, "Killing, Torturing or Mutilating the Enemy," in A Cross-Cultural Summary, édité par Textor.   

6. Michael Harner, Jivaro Souls.  

7. Vietnam Veterans Against the War, statement by Michael McClusker in The Winter Soldier Investigation: An Inquiry into American War Crimes (Boston: Beacon Press, 1972).  

8. S. J. Suomi, et H. F. Harlow, "Social Rehabilitation of Isolate-Reared Monkeys," Developmental Psychology, 6 (1972), 487-496. 

9. F. R. Volkmar et W. T. Greenough, "Rearing Complexity Affects Branching of Dendrites in the Visual Cortex of the Rat," Science, 176 (Juin 1972), 1445-1447; et M. Coleman, "Platelet Serotonin in Disturbed Monkeys," Clinical Proceedings of the Childrens Hospital, 27 (1971). 187-194.  

Il faut conserver à l'esprit dans toutes les affirmations qui suivent concernant l'alcool que le contexte de consommation américain est fondamentalement différent du contexte français où l'alcool est le plus souvent consommé sous forme de vin et fait partie intégrante du repas particulièrement en présence de convives. Aux États-Unis, l'alcool, le plus souvent sous forme de drinks à base d'alcool fort (vodka, gin...) est surtout consommé hors des repas et est davantage perçu et utilisé comme une boisson intoxicante, que l'on consomme souvent seul, que comme un aliment. Le contexte étant différent la signification et l'effet de l'alcool le sont tout autant. 
[

Texte republié avec l'aimable permission de James W. Prescott. Parution originale dans THE FUTURIST magazine (Avril 1975). Reproduit avec la permission de la World Future Society, 7910 Woodmont Avenue, Suite 450, Bethesda, MD 20817 USA. WFS est une association éducationnelle et scientifique à but non lucratif comptant 30,000 membres dans 80 pays. Elle agit comme forum neutre et comme banque d'informations et d'idées sur les tendances actuelles et les développements futurs possibles.

Traduit par Eric Maheu. Les citations de la bible sont reproduites de la traduction de l'école de Jérusalem et celles d'Aristote de la traduction de J. Barthélemy Saint-Hilaire revue par Alfredo Gomez-Muler. Svp me signaler toute erreur.

Reconnaissance de caractères et édition HTML originale par. Si vous connaissez une autre traduction de cet article en une langue différente du français et de l'allemand ou si vous voulez en produire une, svp le contacter. Il est aussi intéressé à obtenir du matériel supplémentaire sur le sujet.

       

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Assistance aux personnes en prise avec des attirances pédophiliques

 

 

Conférence donnée au 15ème Congrès Mondial de Sexologie, Paris, Juin 2001
Aussi au congrès du
Nordic Association of Clinical Sexology, Visby en Suède, Septembre 2001 
 Dr Frans Gieles.

Introduction

Depuis une vingtaine d'années, j'essaie d'aider des gens en prise avec des attirances pédophiliques[. Je le fais à titre bénévole pour des groupes de travail du NVSH, l'Association Néerlandaise pour une Réforme Sexuelle. Au cours des deux seules dernières années,  plusieurs jeunes hommes, pour la plupart étudiants de moins de trente ans, y sont venus chercher de l'aide.

C'est d'ordinaire à ces âges-là, entre vingt et trente ans, que se nouent des liaisons et se forment les couples. Cependant, ces hommes attirés par les enfants, garçons ou filles, n'osent pas parler de ces attirances, que ce soit à leurs amis étudiants ou aux divers membres de leur famille. Cet âge est aussi celui où l'on s'éloigne de sa famille, l'âge d'une plus grande liberté de choix pour son temps libre. L'accès à Internet est également devenu plus facile de nos jours. L'attirance vers les enfants, les attirances pédophiliques, peuvent facilement devenir une obsession qui bloque complètement la personne et compromet ses études. L'histoire que nous entendons est souvent celle d'une d'obsession, d'une dépression ou de projets de suicide. Certains répriment leurs attirances; d'autres rejettent toute contrainte et connaissent de graves problèmes avec la police et la justice aussi bien que leur environnement social et familial (Cf. la liste de Constructive questions).

Il est à noter noter que, selon Nagayama Hall, Hirschman & Oliver, plus de 25% d'un échantillon d'hommes normaux ont réagi par une excitation à des stimuli pédophiliques. Nous ne sommes donc pas en train de parler d'une petite minorité déviante, mais d'une variance normale parmi les êtres humains - à une époque où la plupart des gens considéreraient comme un monstre toute personne qui manifesterait une telle réaction.

Il faut bien y faire quelque chose, mais quoi ?

Trois types d'intervention

Je voudrais ici distinguer trois types d'intervention: (1) « le traitement » , (2) l'auto-assistance et (3) la thérapie proprement dite. J'en ai mis en valeur les traits caractéristiques dans ce tableau.

Chaque méthode se révèle présenter à la fois des avantages et des inconvénients. Il conviendrait d'opérer des distinctions parmi les clients ] afin de choisir la méthode qui convienne le mieux à chacun. Il n'existe pas de méthode unique qui s'appliquerait à tous.

Le premier type d'intervention est le traitement des prédateurs, basé sur une approche cognitivo-behavioriste, auquel il est largement fait recours aujourd'hui, avec pour devise: « No cure but control » (« Pas la cure mais le contrôle»). La plupart des professionnels qui travaillent avec cette méthode ou bien écrivent sur le sujet pensent qu'il s'agit de la seule méthode possible. Cependant, cette méthode soulève plusieurs remarques critiques et, du reste, il y a plus sous le soleil.

Aux Pays-Bas (notamment dans le cadre de la NVSH), d'autres personnes dont moi-même recourent depuis une vingtaine d'années au deuxième type d'intervention, la méthode d'auto-assistance.  Il semble que nous pourrions aider beaucoup de gens avec ce type d'intervention. Je souhaite dans cette conférence mettre plus particulièrement en valeur cette méthode, comme possibilité d'aider d'autres catégories de personnes.

Cette méthode peut recevoir le soutien d'une autre méthode, les groupes de soutien, familiers à certaines communautés religieuses, décrits et recommandés par Kirkegaard & Northey. Il est aussi largement fait recours à la méthode d'auto-assistance sur Internet.

La troisième méthode est la thérapie proprement dite, ainsi que je l'appelle afin de la distinguer d'avec la première méthode, que je nomme ici traitement. Il s'agit des fameuses psychothérapies sous leurs formes les plus diverses.

Ce troisième type d'intervention est suffisamment connu; aussi me contenté-je de le mentionner comme une possibilité utile – qui peut d'ailleurs être combinée aux deux premières méthodes – et de tracer les grands traits qui distinguent les trois méthodes.

La psychothérapie individuelle était le type de traitement standard jusqu'en 1980 environ. Depuis lors, les méthodes de type cognitivo-behavioriste, que j'appelle ici la première méthode, sont devenues le type d'intervention privilégié.
 
 

Taux de récidive

Habituellement, c'est au moyen des taux de récidive que sont évaluées les méthodes de traitement. Robinson conclut de sa recherche que le taux de récidive général pour les auteurs d'infractions sexuelles non traités est de 20% en moyenne, tandis que ce taux pour les auteurs traités est en moyenne de 10%. Le traitement peut donc diviser par deux le taux de récidive.
Mais quel type de traitement ou de soutien ?

Margaret Alexander  conclut de sa recherche que les hommes traités avant 1980 (par des méthodes traditionnelles) ont récidivé à 12,8%, alors que les hommes traités après 1980 (par les méthodes actuelles) ont récidivé à 7,4%. Elle a procédé à un genre de méta-analyse, sur un corpus de 79 études réunissant des échantillons de population s'élevant à 11 000 personnes. Ainsi, il semble que le taux de récidive soit inférieur lorsqu'on recourt aux méthodes actuelles plutôt qu'à des méthodes plus anciennes.

Examinons un instant ces chiffres de la récidive. Toute personne prêtant foi aux discours de certains hommes politiques et aux ouvrages à destination du grand public croira que le taux de récidive chez les auteurs d'infractions sexuelles s'élève à 90%, sinon même plus. Aux Pays-Bas, même un professeur de sexologie a pu affirmer, voilà plusieurs années, que le taux de récidive était élevé à ce point, jusqu'à ce qu'il ait lu les articles de chercheurs sur le sujet - alors ses chiffres sont-ils allés en diminuant.

Un sénateur de l'Indiana, proposant pour cet État la tenue d'un registre des auteurs d'infractions sexuelles, a déclaré: «Les statistiques montrent que, 95% du temps, toute personne abusant d'un enfant le fera vraisemblablement encore ».  Un sénateur de Floride a fait référence aux « prédateurs sexuels qui commencent à chercher leur prochaine victime sitôt remis liberté » et un législateur de Californie a prévenu le public que les auteurs d'infractions sexuelles « commettront de nouveau immédiatement cette infraction, au moins 90 pour-cent du temps ».
Je cite ici Eric Lotke qui donne ses sources dans ses notes de bas de page #1, 2 & 3.

Quiconque lit les résultats de la recherche en la matière verra des chiffres totalement  différents. Les taux de récidive ne sont pas aussi élevés qu'on a pu le dire. Il s'agit d'un point important, parce que si les chiffres s'élevaient vraiment à plus de 90%, il serait malaisé de défendre la méthode d'auto-assistance, que j'appelle ici la deuxième méthode.

De façon générale, il existe de nombreux mythes concernant les auteurs d'infractions sexuelles. Un article, Mythes et faits concernant les auteurs d'infractions sexuelles, août 2000, par le Centre de Traitement des Auteurs d'Infractions Sexuelles (CSOM - Center for Sex-Offenders Management - http://csom.org ), dresse une liste de tels mythes, opposés aux faits.

Karl Hanson & Monique Bussière ont présenté dans leur article de 1998 la méta-analyse la plus récente sur les taux de récidive: Prédire la rechute: méta-analyse des études sur la récidive des auteurs d'infractions sexuelles. Ils ont passé en revue 61 études de contrôle, un échantillon total de près de 23,400 personnes. Le taux moyen de récidive des infractions sexuelles était faible: 13,4%. Remarquons que, d'après Hanson,  le taux de récidive général sur l'ensemble des infractions est de 36,3%. Ainsi le taux de récidive chez les auteurs d'infractions sexuelles n'est-il pas trois fois plus élévé que le taux général, mais plutôt trois fois moins.   Il est tout simplement inexact qu'au moins 90% des auteurs d'infractions sexuelles récidivent - il s'agit de 13,4% .
Là encore, le traitement se révèle utile: « Les auteurs d'infractions sexuelles n'ayant pas reçu de traitement présentaient un risque supérieur de récidive par rapport à ceux ayant reçu un traitement ».

Leurs articles figurent dans leur intégralité sur le cédérom que je vous présente ici, l'un d'eux en langue française; l'article de Wakefield & Underwager offre un bon résumé de la recherche de Hanson. Dans ma liste de références, vous trouverez davantage de liens  vers des recherches faites dans ce domaine. Vingt minutes ne suffiraient pas à toutes les présenter. Le cédérom et le site web que j'ai réalisés contiennent assez de place pour y loger bien des kilo-octets de rapports de recherche.

Je ferai juste un commentaire sur ces chiffres: ce genre de résultats est obtenu par des méthodes statistiques, par le passage en revue de milliers de personnes. C'est le mode de travail et de pensée actuariel. Cependant, si nous voulons aider des gens, nous ne pouvons les aider qu'individuellement; donc, pour notre travail de cliniciens, nous devons utiliser le mode de travail et de pensée clinique. Ces deux modes diffèrent.

Pour citer Don Grubin & Sarah Wingate: « La difficulté cruciale vient du fait que la prédiction actuarielle concerne des groupes, et que, à moins de parler d'un comportement de grande fréquence, elle ne peut nous dire grand chose sur les individus.»
Les mêmes ajoutent: «  Les auteurs d'infractions sexuelles ne sont pas de simples paquets de variables. Les caractéristiques qui peuvent être importantes pour les actuaires véhiculent une faible signification en ce qu'elles indiquent des associations mais n'impliquent  pas en soi un lien de causalité. Elles deviennent utiles dans la compréhension de la récidive seulement quand la signification qu'elles peuvent revêtir pour tel ou tel individu est clarifiée ».

Une étude peut constituer l'apothéose de l'approche actuarielle et se révéler sans pertinence pour l'approche clinique. « Des facteurs qui tendent à demeurer invisibles aux actuaires peuvent s'avérer d'une importance cruciale pour les cliniciens en vue de déterminer quand l'intervention [- et quel type d'intervention - F.G.]  est nécessaire ».

Il existe encore d'autres mythes au sujet de la pédophilie. J'ai écrit un article d'information et l'ai inclus sur ce cédérom et le site web, ainsi que de nombreuses références générales. Je me contenterai de mentionner ici deux des questions en arrière-plan de cette conférence:


Même dans le prospectus réalisé pour ce congrès [WCS Paris], la question de la pédophilie apparaît sous l'en-tête « Sexe et Violence ». Si la pédophilie devait être violente per se, je ne pourrais pas défendre la méthode d'auto-assistance. Mais tel n'est pas le cas, soutient Tom O'Carroll dans un article qui donne une vue d'ensemble sur de multiples recherches et d'autres types d'écrits. L'article en question n'a pas été retenu par le Comité de ce congrès - Tu ne connaîtras pas ceci  - vous le trouverez néanmoins sur le cédérom. 

La question de savoir si les expériences sexuelles avec des adultes ou des adolescents durant l'enfance sont toujours négatives, est aussi mentionnée en arrière-plan. Si la chose était avérée, il serait difficile de défendre la méthode d'auto-assistance. Mais il en résulte beaucoup moins d'effets négatifs que beaucoup l'ont pensé, si l'on en croit la recherche menée par l'équipe du Dr Rind. Dans environ 25% des cas, ces expériences se soldent par des conséquences négatives, spécialement pour les filles - non 100% comme on pense le plus souvent. Cette recherche se voit consacrer une section indépendante sur le cédérom. 

Dans le cadre de cette présentation, je vais maintenant proposer un aperçu critique de la première méthode.

Aperçu critique de la méthode du « traitement »

1. Pour citer Robinson : « Généralement, les études ont conclu à l'efficacité des techniques behavioristes. Malheureusement, de nombreux experts se sont inquiétés de ce que les méthodes produisent seulement des changements de courte durée dans les préférences sexuelles déviantes. »  (c'est moi qui souligne) 

2. La méthode implique un fort contrôle. Tant que les patients n'ont pas changé leurs façons de penser, de faire et même de ressentir, le traitement se poursuivra jusqu'à obtention de la «pensée correcte ». Mais la « pensée correcte » ne diffère pas, dans les faits, de la pensée politiquement correcte, à savoir: la façon de penser politiquement exigée.  Aussi les patients « joueront-ils le jeu » pour mettre un terme à l'horreur que représente la période du traitement. Ils connaissent les réponses politiquement correctes, les ont apprises, les donneront donc. Par conséquent, les résultats des échelles de mesure sont souvent faux, ainsi donc que les résultats des recherches qui s'appuient sur eux. 

3. La méthode peut produire un traumatisme au lieu d'une guérison. Elle réduit la personne à un auteur d'infractions sexuelles, en proie à une pathologie. Elle vise à changer des sensations égo-syntoniques profondes en sensations égo-dystoniques. Elle ne mène pas à l'auto-acceptation de la personne entière, attirances pédophiliques incluses, mais à supprimer et à nier ces attirances. Ce faisant, elle aliène la personne à son moi profond. Ce n'est pas guérir mais diviser la personne. Il peut en résulter un sentiment d'incertitude fondamentale et d'insécurité à un niveau très profond. Agner Fog cite les propos d'un homme à ce sujet: «... au lieu d'anéantir mes attirances pour les garçons, ils m'ont détruit en tant qu'individu, cela a détruit en moi tout sentiment de sécurité ».
J'ai pu rencontrer des patients ayant commencé ce type de traitement, pleins de vivacité et de chaleur, qui se sont vus par suite de celui-ci changés en «marionnettes en bois ». D'autres ont survécu en jouant le jeu.

4. La méthode peut être dangereuse parce qu'elle vise à supprimer des attirances, des pensées et des fantaisies imaginatives.  Ce faisant elle ferme la soupape de sûreté de la chaudière. Tôt ou tard, la bombe peut éclater. On n'évoque ni ne pense le sujet des attirances réprimées, aussi ne pense-t-on pas de manière rationnelle la question des sentiments et sensations profonds de ces personnes et ne cherche-t-on pas de façon pour elles de vivre avec ces attirances. Le plus souvent, il est mis un terme aux contacts avec d'autres personnes ayant des attirances pédophiliques, dès lors proscrits; si bien qu'il sera impossible de s'entretenir avec des modèles positifs. L'auto-assistance est bloquée, il peut en résulter l'isolement par rapport à son propre moi et par rapport aux autres. Particulièrement dans le cas d'une surveillance par la communauté, l'isolement social sera le prochain facteur de stress. La chaudière interne de ces personnes, soumise à une telle pression et dépourvue de soupape de sûreté, peut  tôt ou tard éclater. 

5. J'ai beaucoup d'objections éthiques contre le terrible usage qui est fait du pouvoir et du contrôle dans cette méthode. Bien voir que le programme du traitement non seulement changera le comportement, mais aussi les pensées et les sensations (les préférences) et jusqu'aux rêves des patients: leur esprit. La pléthysmographie ou la phallométrie accèdent de force aux parties les plus privées du corps humain. Le personnel traitant s'introduit de force et de manière intensive dans l'ultime bastion de liberté, l'esprit d'un être humain au plus profond de son intimité. La méthode contraint ses patients à penser et à ressentir d'une manière correcte - d'une manière politiquement correcte. La méthode vise à contrôler la pensée et les sentiments de personnes: il s'agit d'un contrôle de la pensée par une police de la pensée, pour reprendre les termes de George Orwell. Contrôle de l'esprit par L'Etat... similaire au lavage de cerveau de l'ancienne Union Soviétique, aujourd'hui largement utilisé dans le monde « libre » occidental.

Comme l'écrit Dennis Howitt (1995, pp 250-251), on devrait se garder de désigner ces procédés par le terme de thérapie:  « Au lieu d'adopter une pratique déontologique centrée sur le client, la psychothérapie marche sur la tête quand elle s'applique aux auteurs d'infractions sexuelles. [...] On leur apprend à se contrôler plutôt qu'à se comprendre eux-mêmes; [...] il arrive qu'ils fassent l'objet d'humiliations par d'autres patients du groupe et que, de façon générale, ils soient traités de façon telle que cela soulèverait l'indignation si on appliquait ces méthodes à leurs victimes. »

Que la méthode fonctionne en donnant des taux faibles de récidive n'est pas le seul critère. Assassinons tous les auteurs d'infractions sexuelles, enfermons-les à vie, le taux de récidive sera nul. Il y a aussi des critères éthiques.

6. J'ai aussi une objection scientifique à cette méthode. Qui s'adresse à la manière de penser simpliste qui soustend cette méthode. C'est ce que j'exprimais dans mon article  Non une cure mais un contrôle: « Le traitement repose sur une manière de penser très simpliste qui assimile le politiquement correct au fait d'avoir raison, le politiquement incorrect au fait d'avoir tort. Leurs conceptions des contacts sexuels intergénérationnels sont reprises sans esprit critique des conceptions du viol de femmes (par certaines femmes de la première génération de féministes). Femmes et enfants,  les deux ne peuvent être que les victimes des méchants hommes. » 

Ces vues simplistes se fondent également sur des recherches souvent tendancieuses en matière « d'abus sexuel d'enfant » , plus politiquement correctes que scientifiquement correctes ou, pour le dire autrement, davantage sur une idéologie que sur la science.

Margaret Alexander a dû écarter de son analyse 280 des 359 études recensées par elle, en raison de défauts méthodologiques.
Un article de
Frederiksen dresse une liste des partis pris des recherches courantes en matière d'ASE (Abus Sexuel d'Enfant); l'équipe du Dr Rind  a fait de même dans une Méta-analyse aujourd'hui célèbre.

Passant en revue la recherche sur les méthodes de traitement, Dennis Howitt écrit dans son livre bien connu,  (Ch. 7, page 191): « Dans une situation comme celle-ci, prétendre à un succès thérapeutique c'est peut-être, de la part du clinicien, du patient ou des deux, prendre ses désirs pour des réalités.  » 

C'est pourquoi les partisans de la première méthode devraient faire preuve de modestie dans leurs prétentions - comme je le ferai. 

Je voudrais à présent mettre en valeur la méthode d'auto-assistance, mais je ne peux m'appuyer ici sur la recherche dure parce que la recherche sur cette méthode est rare. Mes sources consisteront en vingt années d'expérience personnelle avec cette méthode. Je serai donc humble. 

Méthode d'auto assistance

Assistants, clients et vision

L'hypothèse de base, ici, est qu'il n'y a pas d'opposition entre aidants (helpers) et clients, mais que les membres du groupe sont tous à la fois des aidants et des clients. Les membres s'entraident. Il n'y a pas de statuts différents, tous sont des êtres humains, à la recherche de leur propre manière de vivre avec leurs attirances pédophiliques.

Manifestement, les trois méthodes reposent sur des conceptions complètement différentes de l'être humain. Dans la première, nous sommes en présence d'une vision plus ou moins mécaniste  du comportement humain. Sous-jacente, nous voyons la représentation de l'être humain comme d'un pécheur, commettant le mal presque automatiquement. La deuxième méthode considère que les êtres humains sont essentiellement des êtres sociaux. La troisième se concentre sur la dynamique de la psyché humaine. La seconde et la troisième conception ne voient pas de pécheur, mais une personne à la recherche de la bonne façon de vivre et dans ces deux visions on considère que le client est capable de la trouver.

Méthode

La principale méthode est ici l'entretien de groupe. Habituellement, quelqu'un conduit l'entretien, mais ce n'est pas « le thérapeute ». Il ou elle est simplement l'un des membres qui catalyse les interactions du groupe en demandant à ce que tout le monde s'écoute mutuellement, parle chacun à son tour, exprime ses sensations et échange ses expériences et ses pensées. Ils s'occupent exclusivement des sensations et des sentiments conscients. Les membres du groupe attendent des autres qu'ils expriment leurs sensations, sentiments les plus profonds inclus, mais non qu'ils accèdent à la partie inconsciente de la personne.

Les membres s'apportent mutuellement un soutien tangible dans plusieurs aspects de l'existence. Il s'agit d'un point important parce que beaucoup de personnes en prise avec des attirances pédophiliques ont tendance à vivre comme une minorité isolée, comme le formule Agner Fog  dans son article. Fog parle du « syndrome de la minorité isolée » qu'il observe chez des gens en prise avec des sensations sexuelles déviantes. « Les symptômes de ce syndrome incluent un comportement sexuel stéréotypé et incontrôlé ainsi que plusieurs symptômes sociaux non spécifiques. La cause en est le manque d'un modèle identificatoire approprié et la non-acceptation de son ressenti sexuel. La thérapie de groupe dans des groupes d'auto-assistance constitue un traitement efficace. »   Auprès des membres ayant  moins d'expérience, présentant une paraphilie identique ou similaire, les membres de tels groupes ayant de l'expérience, peuvent jouer le rôle de modèle positif auquel s'identifier et enseigner comment trouver un style de  vie.

Les objectifs 

Le premier objectif  est ici que les participants soient conscients de leurs attirances profondes et qu'ils les acceptent comme  faisant partie d'eux-mêmes au lieu de les combattre. Les nouveaux membres peuvent voir, entendre et ressentir que cela est possible. Les membres sont invités à s'accepter eux-mêmes, ainsi qu'à accepter chaque autre membre, comme une personne, comme un tout, une Gestalt, qui inclut leurs sentiments et sensations intimes.

Ces aspects de la méthode sont également décrits par Van Naerssen et par Van Zessen, tous deux Néerlandais. Dennis Howitt consacre quelques pages à ce qu'il appelle « les thérapies de soutien ». Notons au passage que de très nombreuses personnes qui partagent un même problème, une même maladie, une même situation, des mêmes buts ou des mêmes idées, recourent à la méthode d'auto assistance, comme certains chrétiens, des femmes enceintes, des parents de fils homosexuels, des aveugles, des sourds...

En second lieu, le but est que les membres constatent qu'il existe plusieurs façons de vivre avec leurs sensations. Le site web du groupe JON présente vingt styles de vie et demande au visiteur de chercher le vingt et unième: son propre style de vie. Les nouveaux membres sont de même invités à chercher leur propre style de vie; ils peuvent constater que c'est possible. Il y a plus de possibilités sous le soleil que certains types de comportements stéréotypés. À noter que JON ne recommande pas d'avoir des contacts sexuels avec les enfants.

Les deux objectifs, le premier et le second, peuvent diminuer les traits ou les caractéristiques du syndrome de la minorité isolée. Il existe une méthode supplémentaire: la création de groupes de soutien.

Les groupes de soutien

Les membres d'un groupe de soutien forment pour ainsi dire un cercle autour du client. Certaines communautés religieuses procèdent de la sorte, le groupe JON fait de même. Les membres du cercle prennent contact avec le client au domicile des uns et des autres. Ils l'invitent à faire des sorties, ou bien ils font la cuisine et partagent le repas avec lui ou elle. Ils l'invitent au cinéma ou au théâtre, à faire des excursions ou des voyages. Ils incitent le client à s'intégrer autant que possible à la société et le soutiennent dans cette entreprise.

Ce modèle est décrit par Hugh Kirkegaard & Wayne Northey . Ils décrivent tout d'abord le processus de formation de boucs-émissaires au sein de la communauté. Ils décrivent alors comment les communautés religieuses travaillent à stopper la désignation de boucs-émissaires et débutent un soutien, apporté par ce qu'ils nomment « des cercles de soutien et de responsabilité ». « Le but du Cercle », disent-ils, « n'est pas thérapeutique mais de fournir soutien et responsabilité. ».
Le soutien que peut apporter une communauté religieuse a été décrit par le révérend néerlandais Hans Visser.

En outre, plusieurs sites web fonctionnent de nos jours comme des groupes virtuels ou cercles de soutien. Plusieurs sites web travaillent dans une perspective chrétienne. Heather Elizabeth Peterson a rédigé un long article au sujet de ces sites web. Ainsi que tous les articles que je mentionne, celui-ci figure sur le cédérom et sur le site web que j'ai réalisés.

Résultats

Kirkegaard et Northy écrivent au sujet des résultats obtenus par leurs groupes de soutien:

« Au fil des cinq dernières années, le projet initial basé à Toronto a abouti à la création de trente-deux cercles à Toronto et à Hamilton. Des « membres centraux » (i.e. les clients - N. d. T.) y participant seulement deux ont récidivé à ce jour, l'un pour atteinte à la propriété, l'autre pour une autre infraction sexuelle.  Suite au succès de cette approche, l'an dernier six nouvelles initiatives ont vu le jour localement à travers le Canada, portant actuellement à quarante-cinq le nombre total de Cercles créés. Tandis que la plupart des Cercles ont une durée de fonctionnement comprise entre dix-huit et vingt-quatre mois, les plus longs sont en place depuis cinq ans. Pour les membres centraux dépressifs, en situation de grand besoin, ce genre de communauté intentionnelle est nécessaire à leur bon fonctionnement à long terme dans la communauté .  Pour d'autres, l'assistance offerte par un Cercle pour se réintégrer dans la communauté correspond à un besoin à plus court-terme.  Cependant les relations de soutien avec les amis qu'ils ont rencontrés là-bas, qui connaissent leur histoire et peuvent les reprendre sur leurs comportements, se poursuivent longtemps après que le Cercle officiel a cessé d'exister ».

Deux récidivistes sur 32 clients (un client dans chaque cercle), cela représente un taux de récidive de 6,25%. C'est faible. Si l'on ne prend en considération que la récidive de type sexuel, comme le font la plupart des chercheurs, ce taux est de 3,13%. C'est très faible.

Nous recourons à la méthode d'auto assistance depuis de nombreuses années, dans quelques-uns des groupes de travail région de la NVSH, aux Pays-Bas (pas dans tous les groupes; certains n'offrent pas de soutien du tout). Je travaille depuis approximativement vingt ans pour plusieurs groupes qui emploient cette méthode.

Ce que nous avons constaté, c'est que les participants reconnaissent et acceptent progressivement leurs sensations profondes. Une atmosphère de camaraderie se développe dans le groupe. Des gens arrivés avec un « Oh ! J'ai un gros problème ! On dirait que j'ai certaines sensations ! Qu'est-ce que je dois faire ? » ont changé assez rapidement leur sentiment de panique en un sentiment d'espoir en l'avenir. Nous avons vu chacun d'eux découvrir sa propre façon de négocier avec ses attirances. Quelques-uns ont ensuite disparu avec un « merci ! » D'autres sont restés dans le groupe pour aider les nouveaux venus.

Autre résultat: chaque groupe, puis des cercles de plus en plus larges, ont vu se développer un code éthique. Au fil du temps, nous l'avons appelé «les quatre principes et leur P.S. ». Tout cela est décrit dans mon article « I didn't know how to deal with it », dans un article par le psychiatre néerlandais Gerard Roelofs et dans l'article du psychiatre néerlandais Frank van Ree « Existe-t-il des critères d'une expérience positive ?» De même, Heather Elizabeth Peterson décrit les principes éthiques qui se sont développés progressivement sur les sites web d'auto assistance. Ainsi codes et principes éthiques sont-ils le résultat de groupes d'auto assistance. Peterson signale une augmentation du célibat et la socialisation des désirs. Je puis faire de même concernant les groupes dont je parle. Pratiquement tous les membres en sont célibataires.

J'estime à environ une centaine le nombre de gens aidés de cette façon sur une période de près de vingt ans. Pour autant que je sache, 16 personnes avaient commis une infraction sexuelle une fois et 2 de ces 16 personnes ont pu récidiver, l'un pour une infraction sexuelle, l'autre pour un autre type d'infraction.

Cela représente un taux de récidive de 12,5%, soit le double du résultat de Kirkegaard, mais juste en-dessous de la moyenne de Hanson (13,4%); un peu au-dessus du chiffre de Robinson cité plus haut de 10% pour les gens traités, mais en-dessous de son taux de 20% pour les gens non-traités. Si l'on prend seulement en compte la récidive sexuelle, comme le font la plupart des chercheurs, le chiffre est de 6,25%: une personne en 20 ans de travail avec la méthode d'auto assistance. De plus, on ne peut pas affirmer que la récidive résulte de la méthode d'auto assistance per se, en raison du fait que l'un d'eux, le récidiviste sexuel, a également suivi les autres types de traitement (1 et 3) et en raison du temps écoulé entre l'adhésion au groupe d'auto assistance et la récidive. En outre, ces chiffres ne proviennent pas de « recherche dure » parce que, pour être franc, nous avons manqué de mettre en place et de mener cette recherche. Ce sont des estimations modestes, faites aussi honnêtement que possible. Il faut noter que l'échantillon pour une expérience pratique n'est pas trop petit et que le temps est raisonnablement long (20 ans).

Remarques finales

Aucune méthode ne peut se réclamer d'un taux de 100% de réussite et d'un taux de récidive nul. Il apparaît que chaque méthode a ses propres forces et ses propres faiblesses, surtout si nous opérons des distinctions entre nos clients, comme je le fais dans une des lignes du tableau que j'ai présenté. Comme vous le constatez, mon intention est de ne recourir à la première méthode que pour des clients qui ne sont pas capables de communiquer ni de se contrôler. Pour les clients qui peuvent communiquer, écouter et se contrôler, la méthode de l'auto assistance semble être une bonne alternative. Il s'agit d'une méthode bien plus humaine que la première. Elle est moins coûteuse et, avec ses limites, il se pourrait qu'elle s'avère vraiment efficace. La méthode mérite d'être mise à l'essai et de faire l'objet d'évaluations, puis d'être développée par la recherche. Elle pourrait  surtout être utile, combinée avec les groupes de soutien, pour les gens remis en liberté réintégrant la communauté. Au lieu de se contenter de les enregistrer et de les maintenir sous contrôle, nous devrions d'abord leur apporter un soutien. Si nous les laissons à eux-mêmes, l'isolement social sera bientôt la prochaine source de pression pour leur chaudière intérieure.

Je tiens à répéter que tout que j'ai dit se voulait à la fois discret et modeste. J'ai exprimé seulement « mon humble opinion ». Je terminerai en disant: tous, faisons preuve de modestie et de réserve. Jadis, en fait il n'y a pas si longtemps, la masturbation était tenue pour un mal grave et dangereux, cause de nombreuses maladies - et tel était le cas de l'homosexualité récemment encore. Actuellement, ce sont les personnes avec des attirances pédophiliques qu'on considère comme Le Grand Mal de l'humanité. Comme il a été noté plus haut, plus de 25% des hommes normaux se sont révélés avoir des sensations de ce type. 

Il était une fois, voilà bien, bien longtemps, des sexologues qui affirmaient certaines choses qui plus tard se révélèrent être fausses... Il apparut qu'à cette époque idéologie, religion ou politique les induisaient en erreur. De nos jours, nous sommes des scientifiques que n'abusent plus les idéologies. De nos jours, aujourd'hui, à ce congrès, nous nous entretenons d'une manière rationnelle, humble et polie. Je continuerai à le faire et vous invite à faire de même.

 

1. Titre original : Helping people with pedophilic feelings. L'emploi du terme feelings associé à la pédophilie pourra surprendre le public francophone. L'anglais emploie le terme de feeling pour désigner indistinctement des sensations ou des sentiments. Cette indistinction n'est pas sans poser de problème pour la traduction, surtout lorsqu'on prend en compte cette réalité trop souvent négligée des spécialistes francophones s'exprimant sur le thème de la pédophilie : pour la plupart des sujets pédophiles, le désir sexuel pour des enfants est indissociable d'une dimension affective (qui d'ailleurs préexiste fréquemment au désir sexuel). Avec l'accord de l'auteur, j'ai néanmoins préféré écarter la traduction lourde et maladroite de pedophilic feelings par sensations et sentiments pédophiliques, au profit de celle, à la fois plus légère et plus consensuelle ici en France, d'attirances pédophiliques. Ces attirances quoi qu'il en soit intègrent une double dimension: affective et sexuelle. C'est le mérite du terme feelings que de le souligner. (Note du traducteur)

2. L'auteur emploie ici le terme anglais de client. Les lecteurs francophones non familiers de Carl Rogers seront sans doute surpris par ce terme, en raison des « connotations commerciales » attachées au mot client en français. Dans la terminologie de Carl Rogers et de ses successeurs, le terme client désigne la personne bénéficiant de la relation d'aide.  Ce terme, repris en français par les rogériens francophones, est ainsi plus général que celui de patient, plus neutre et plus respectueux de la personne de celui ou celle qui vient solliciter l'aide. En effet, patient suppose pathologie. Or cette vision ne coïncide pas automatiquement avec celle qu'a d'elle-même la personne en prise avec ses attirances pédophiliques, pas plus d'ailleurs qu'elle est nécessairement la plus objective, lorsqu'elle va de pair avec la croyance dans les mythes démentis par le Centre de Traitement des Auteurs d'Infractions Sexuelles (CSOM - Center for Sex-Offenders Management

J'ai opté en revanche pour la traduction de client par patient dans le cas des méthodes regroupées ici par l'auteur dans la catégorie des traitements, puisque alors il s'agit d'approches de type médical. (Note du traducteur)
 

 

 

ABUS SEXUEL :

LE RAPPORT CAPITAL

           Le rapport Bauserman
            analysé et commenté
       dans la France de l'an 2000

par Philippe Esterie
(avec la collaboration d'Hélène Amboureux)

Table des matières

Va à »

I

Présentation

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II

Le rapport

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1

Abus ou pas abus?

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2

La différence garçon/fille

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3

Pouvoir des mots et propagande

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4

Milieu et violence

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III

Les sectateurs de l'abus: des féministes aux thérapeutes

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1

Les féministes

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2

Les thérapeutes

Va à »

 

 

a

Importance

Va à »

 

 

b

Validité des théories actuelles

Va à »

 

 

c

Satanisme, chapelles et scandales

Va à »

 

 

d

Les escrocs

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e

Les collusions

Va à »

 

 

f

Réaction des politiques

Va à »

 

3

Les logiques de l'abus

Va à »

 

 

a

Une logique criminelle

Va à »

 

 

b

Logique yankee et exception française 

Va à »

 

4

La résistance éclatée

Va à »

 

 

a

L'art du lien

Va à »

 

 

b

Une résistance divisée

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IV

Foucault et l'enfant masturbateur

Va à »

V

Pourquoi?

Va à »

 

 

a

Le porno

Va à »

 

 

b

Le monde homo

Va à »

 

 

c

Les nantis

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d

La justice

Va à  »

 

 

e

L'enfant mutant

Va à  »

VI

Conclusion

I. PRÉSENTATION.

Les travaux du Dr Bauserman et de son équipe ont porté sur l'évaluation des effets de l'abus sexuel sur enfants (A.S.E.).

Les résultats ont été publiés dans la revue de l'A.P.A. Note 1 et repris dans divers articles de publications spécialisées. Ils ont aussi été présentés lors de conférences, comme celle de Rotterdam dont nous donnons ici une traduction française.

Ces recherches ont été effectuées aux États-Unis, un pays où, en principe, la Constitution assure aux citoyens une liberté d'expression très étendue.

Là-bas, sur des problèmes de société majeurs, des positions totalement antagonistes s'affrontent librement : au sujet de l'avortement, les pro-life (anti) et les abortionists (pour) exposent leurs arguments. Ce sont deux conceptions opposées de la vie qui se combattent sur le terrain de la bio-éthique. A propos de l'évolution de la vie et de la différenciation des espèces, Darwin n'exerce pas de monopole absolu. Sa théorie est rejetée par les Créationnistes. Ceux-ci ne s'intéressent pas au chaînon manquant ou aux zones lacunaires de la théorie darwinienne : ils la rejettent en bloc. Fidèles à la lettre des écritures, ils croient et enseignent dans leurs manuels, que Dieu a bien créé l'Univers et tout le vivant d'un seul coup. Ils exposent librement leurs théories qui sont reprises par la presse de vulgarisation.

Le sujet de l'abus sexuel, aux États-Unis comme en France, relève d'un traitement particulier. Qu'on le considère comme un problème de société ou comme un sujet médico-scientifique ne change rien. Il ne donne lieu à aucune controverse. Il est toujours traité de la même façon : quelques chiffres invérifiables, des exemples médusants, des images pénibles viennent bander le ressort émotionnel : on communie dans la rage et dans le dégoût. On emploie partout le terme de pédophilie sans qu'on sache bien quels actes ou quelles personnes il implique. Certains activistes parlent même "d’ambiance pédophile" en l'absence de tout acte, ce qui ne contribue pas à une vision claire du phénomène.

En France, une expression dissidente sur le sujet pourrait valoir à son auteur une condamnation pour incitation à la pédophilie Note 2, et ce d'autant plus facilement que la notion n'a pas été définie. Bien sûr, on sait que le mot pédophile a pris une connotation horrible, en particulier depuis qu'on l'a accolé, des mois durant, au patronyme du psychopathe Dutroux.

Cela dit, a t-on vraiment démontré l'effet systématiquement négatif des actes regroupés sous l'étiquette abus sexuel Note 3?

L'enjeu est de taille. Depuis quelques années, devant les Tribunaux Correctionnels et les Cours d'Assises, on assiste à un afflux considérable d'affaires d'agressions sexuelles et de viols sur mineurs. Il n'est pas rare qu'elles représentent plus de la moitié des crimes jugés lors des sessions d'Assises. Cette explosion de procès ne serait pas due à une augmentation des abus eux-mêmes, mais à un déluge de signalements sous l'effet des campagnes médiatiques. Il faut noter que l'allongement du délai de prescription, étendu à 10 ans après la majorité de la "victime", permet de faire ressortir des affaires fort anciennes, le plus souvent à l'occasion d'un conflit familial ou d'un divorce. Nombre d'accusés se voient condamnés à des peines de 15 à 20 ans de réclusion, même en l'absence de toute coercition.

De fait, le viol n'est pas seulement un acte de violence sexuelle exercé contre la volonté de la victime. Il se définit le plus souvent comme un simple acte technique, une pénétration, quelle qu'en soit la nature, même exercée sur la personne de "l'agresseur" ! L'absence de consentement est induite par l'âge de l'enfant ou même de l'adolescent. On constate que les peines sont sensiblement équivalentes à celles infligées pour des crimes de sang.

Comme l'admettait avec satisfaction la présidente d'Enfance et Partage Note 4 en 1992, des accusés primaires qui auraient, il y a peu, écopé d'une peine avec sursis, se voient aujourd'hui condamnés à 18 ans fermes !

On peut naturellement supposer qu'une pareille sévérité s'appuie sur des certitudes bien établies ; mais sur quelles recherches scientifiques sérieuses se base ce changement de cap ? Comment a-t-on démontré les conséquences de l'abus sexuel et l'étendue de ses effets ? Il faut que tout ceci soit irréfutable. Des conséquences pathogènes graves (les peines le sont) ont dû être clairement identifiées. Un retournement scientifique sans précédent a dû avoir lieu. Les innombrables publications sur le sujet en attestent-elles ?

Souvenons-nous... Dans les années 60, les psychiatres en vue considéraient que la pédérastie était la perversion la plus proche de la normalité hétérosexuelle, l'homosexualité constituant en revanche une réelle anomalie !

Citons le Dr Hesnard Note 5 qui, à la suite du grand sexologue américain Ellis, affirme :

" Nous pensons que l'attirance sexuelle non seulement envers les tous jeunes gens, c'est à dire pour des sujets n'ayant pas dépassé la puberté, mais même envers des jeunes garçons (considérée comme normale dans certains pays) est plus près de la normale que l'attirance envers, non seulement les hommes adultes, mais les hommes après la puberté. "

On connaît les théories de Kinsley, dont le Rapport a eu un effet considérable sur la libération des mœurs dans les années 70 : il considérait les perversions sexuelles comme des phénomènes purement culturels !

Quel nom pourrait-on mettre sur la théorie révolutionnaire qui a fait passer la sexualité transgénérationnelle de discrètement tolérable à totalement inadmissible (quel que soit le prix à payer pour son éradication) ? Comment en est-on venu à enclencher un phénomène d'épuration sociale à la mesure des moyens médiatiques et policiers dont nous disposons ?

Il apparaît qu'aucune découverte majeure sur les conséquences avérées de la sexualité mineurs/adultes n'explique que l'on soit passé d'une répression modulée à une quasi condamnation à mort par voie carcérale. Ni l'abondance des publications sur le sujet (qui se répliquent l'une l'autre), ni l'omniprésence et l'installation à demeure du sujet dans les médias, ne tiennent lieu de théorie explicative démontrant avec toute la rigueur scientifique requise les dangers de l'abus.

Nous étudierons plus loin le vocabulaire et la phraséologie constitutifs du discours sur l'abus. Notons déjà que le terme child abuse désignait au départ, prioritairement, les abus physiques et que l'on a glissé peu à peu vers la notion dominante d'abus sexuel.

Les travaux de Bauserman montrent clairement que rien ne semble autoriser l'extension de la notion originelle d'abus, qui impliquait toujours une idée de contrainte et/ou l'existence d'un carcan incestueux. En fait, on a décalqué la pression morale souvent présente en cas d'inceste sur les autres formes de sexe transgénérationnel.

Pour en revenir à Darwin que nous avions sollicité au début de notre présentation, force est de constater qu'une majorité de nos concitoyens est convaincue d'avoir pour ancêtre une algue bleue. Et pourtant, la Justice ne condamne pas ceux qui croient et proclament que Dieu nous a sortis d'un grand chapeau au milieu des dromadaires et des libellules !

L'approche du Dr Bauserman est radicalement différente de celle de la plupart de ses collègues, auteurs d'ouvrages ou d'opuscules sur le sujet. Il ne procède pas par pétition de principe mais tire ses conclusions de l'examen de données statistiques. Pour évaluer les conséquences de l'abus, il s'intéressera à des études questionnant le sujet devenu adulte sur deux points essentiels :

• la réaction immédiate qu'il se souvient avoir eue et/ou l'impression rétrospective qu'il en a gardé.

• l'influence qu'à son avis cette expérience a pu avoir sur sa vie sexuelle en particulier et sur sa vie en général.

Après avoir recueilli la vision du sujet sur sa propre expérience, il s'intéressera à la mesure objective de son équilibre général (comparé à celui de sujets n'ayant aucun antécédent d'abus). Nous diviserons notre commentaire en trois parties principales :

• Nous rappellerons tout d’abord les points essentiels du rapport Bauserman, et expliquerons ce qui en fait, à notre avis, un rapport capital.

• Nous nous intéresserons ensuite à ceux que nous appellerons "les sectateurs de l'abus". Il s'agit de tous ceux pour qui un intérêt professionnel ou personnel prime la vérité. Nous verrons pourquoi ceux-ci affichent à peu près tous les mêmes certitudes, que nous opposerons aux conclusions différentes tirées par Bauserman. Nous verrons pourquoi les lobbies de l'abus ne rencontrent aucune résistance.

• Nous ferons un parallèle entre le discours actuel sur l'abus et le discours du XIXème siècle sur la masturbation, sujet développé par Michel Foucault dans ses cours au Collège de France.

• Avant de conclure, nous tenterons de dégager des raisons plus profondes, susceptibles d'expliquer l'ampleur du phénomène "d’abusification" que nous connaissons.

II. LE RAPPORT.

Bauserman présente un rapport sur les effets de ce qu'il est convenu d'appeler, depuis quelques années, l'abus sexuel sur enfant.

Il insiste sur la nécessité de travailler, lorsque cela est possible, sur des cas représentatifs de la population dans son ensemble plutôt que sur des échantillons cliniques comprenant uniquement des patients en traitement. Comme le soulignait déjà Kinsey Note 6 :

" Les théories courantes sur les perversions sexuelles sont trop souvent fondées sur l'expérience des gens du monde qui se font soigner dans les cliniques. "

Un malade en thérapie pourra avoir vécu une expérience d'ASE sans que celle-ci explique nécessairement les troubles ressentis. La médiatisation à outrance de l'ASE et la multiplicité des symptômes qui lui sont associés (presque tous, nous le verrons) peuvent inciter un malade à attribuer à l'ASE les troubles qu'il ressent. Le phénomène est connu : on ouvre un livre de médecine et on se croit malade ! Tel malaise anodin n'est-il pas le signe avant-coureur de cette maladie que justement nous craignons ?

Quant aux échantillons judiciaires (qu'il utilise aussi), ils ne sont pas représentatifs non plus de l'ensemble des situations d'ASE.

Soit l'enfant est véritablement victime d'un individu violent ou d'un manipulateur dont les assiduités lui pèsent : il s'agit bien alors d'une grave agression ou d'une atteinte sexuelle, certainement préjudiciable.

Soit (c'est la grande majorité des cas) l'adulte est dénoncé par un voisin, un travailleur social, une mère jalouse, une épouse en procédure, etc. Le rôle des policiers et des experts est bien souvent de faire comprendre et admettre à l'enfant qu'il est "victime" d'un "agresseur". L'approche peut-être tentante pour un mineur qui, à ce stade, en veut souvent à l'adulte non de l'avoir abusé, mais de l'avoir mis en situation de voir sa vie privée sondée par la police Note 7, exposée à ses parents et parfois même publiée dans le journal. Le rôle de "victime" est quand même plus facile à endosser que celui de "petit pédé". L'ado aura bien du mal à ne pas saisir la perche que lui tendent ceux qui souhaitent orienter l'enquête dans un sens prédéterminé : la toute innocence bafouée par le mal absolu Note 8. Dans les affaires d'abus satanique aux États-Unis Note 9, on voit bien comment les experts ont réussi, non sans mal, à dicter aux mouflets ce qu'ils voulaient entendre. Dans son livre Note 10 , le Dr Lopez nous dit : "le psychiatre doit aider l'enfant à mettre des mots sur ce qu'il a ressenti". Aux E.U., le Dr Alvin déclare que lorsqu’un enfant nie avoir été violenté, c'est "alors la défense suprême contre un traumatisme dont l'intégration s'avère impossible". Ce genre de théorie infondée nous mène tout droit à deux aberrations :

• le spécialiste, mu par un énorme "désir d'abus", manipule l'enfant et l’incite à parler d'actes imaginaires ;

• ou alors il reformule le discours de la victime consentante. Il ne peut s'agir, pour lui, que d'un consentement non éclairé. Celui-ci équivaut à un refus, ce qui, "logiquement", implique qu'il y a eu viol !

Tester la validité de cette théorie est un enjeu de taille dans le système judiciaire français actuel. Le nouveau Code Pénal semblait pourtant bien intentionné. Il s'agissait de garantir la liberté sexuelle tout en protégeant les plus faibles des violences sexuelles. Le Code parle d'atteinte sexuelle (art. 227-25 à 29) – il peut s'agir d'une sodomie – pour un acte consenti avec un moins de 15 ans. La peine peut aller jusqu'à 2 ans de prison et 200 000 F d'amende. Mais si le mineur, pour se dédouaner et sous la pression de ses questionneurs, déclare qu'il n'en avait pas vraiment envie Note 11 et que c'était surtout pour faire plaisir à l'adulte, on a alors affaire à un viol et c'est une peine de 20 ans qui est encourue. En fait, quelles que soient les déclarations du mineur, les atteintes sexuelles sont généralement requalifiées en viols ou en agressions sexuelles, en toute illégalité puisque le Code stipule que la "surprise" Note 12 ne peut venir de l'âge du mineur.

Nous reviendrons constamment sur les graves conséquences judiciaires des théories ambiantes sur l'abus sexuel.

On conviendra donc avec Bauserman de la nécessité d'examiner l'ASE et ses effets, en les extrayant de la gangue parasite constituée par le déclenchement de l'action judiciaire.

Les échantillons pertinents sont appelés échantillons de probabilité nationaux. Ils sont constitués par des ensembles de sujets ayant vécu pendant leur enfance ou leur adolescence une relation sexuelle avec quelqu'un de nettement plus âgé qu'eux sans que les autorités soient alertées. Il est fort possible, quand on y pense, que les échantillons non teintés de judiciarité se fassent rares dans les années à venir ! Des campagnes incitent régulièrement nos concitoyens à signaler toute situation équivoque. On fait même obligation aux professionnels de rapporter aux autorités tout cas d'abus dont ils auraient connaissance Note 13. On peut aussi craindre que nombre de personnes concernées, alarmées par les médias et la vulgarisation, se croient désormais en sursis de maux à venir provoqués par leur expérience d'ASE...

Fort de ces échantillons représentatifs, Bauserman se livre donc à une analyse commentée de données statistiques exposées sous forme de tableaux. On notera qu'il a utilisé toutes les études disponibles. Il s'oppose en cela aux méthodes des spécialistes dominants qui font preuve d'une attention sélective en ne s'occupant que des études susceptibles de confirmer leurs préjugés de départ.

Examinons maintenant quels enseignements essentiels Bauserman tire de l'examen de ces études statistiques.

1) Abus ou pas abus ?  

"Abusus non tollit usum" Note 14

Hélène Manseau, universitaire de renom et professeur à l'Université de Montréal, est aussi Docteur en criminologie. Mandatée par le Ministère de la Justice du Québec, elle a mené des recherches sur l'évaluation et le traitement des délinquants sexuels. Dans un livre paru en 1990 Note 15, elle écrit :

" il est impossible de définir en quoi consiste l'abus sexuel, la frontière entre ce qui est permis et ne l'est pas étant laissée à la discrétion des agents chargés de l'identifier (l'abus). "

Cependant, les observations faites par Bauserman permettent de donner une définition simple et convaincante de l'abus – si l’on accepte toutefois de dépassionner le débat.

Toute relation vécue comme indésirable par le mineur peut être appelée "abus". Elle entraînera des réactions négatives, lesquelles peuvent avoir des répercussions sur l'équilibre présent et futur de la victime. Il faut observer avec Bauserman que l'effet engendré peut aller d'un sentiment de gêne passager, ou plus durable, à un traumatisme réel. Des conséquences graves sont donc possibles. Elles sont heureusement fort rares, et se trouvent généralement associées à la violence et à l'inceste. Nous reviendrons, par ailleurs, sur une redécouverte fondamentale : la différence de réaction entre filles et garçons, ces derniers ayant, contrairement aux idées reçues, des réactions largement plus positives.

Il apparaît que la plupart des actes que les spécialistes qualifient d'abus, ou même de viols, ne sont pas vécus négativement par le sujet. En conséquence, ils n’entraînent pas d'effets négatifs Note 16. En outre, parmi les actes contraints ou extorqués, seule une fraction infime causera les graves traumatismes dont les publications pseudo-scientifiques nous assurent qu'ils sont la règle dans tous les cas de sexe transgénérationnel.

Le Dr Coutanceau Note 17 l'a clamé haut et fort dans tous les médias : aucun enfant n'a jamais pu consentir à un rapport sexuel avec un adulte. Qu'est-ce qu'un enfant ? Qu'entend-on par consentir ? Et quelle est la valeur historique et sociologique du mot "jamais" ? Mais nous reparlerons plus loin du discours des champions de l'abusiness (l'abus-business).

Notons d'ores et déjà que Bauserman s'insurge avant tout contre les mensonges proférés au nom de la science. Il observe que le sexe trangénérationnel produit le plus souvent sur les sujets masculins observés des effets neutres, voire positifs. Cela ne lui confère pas automatiquement une légitimité sociale ou morale.

Les parents restent libres de penser qu'une sexualité trop précoce sera moins propice aux apprentissages. La société pourra trouver préférable, en l'état, de favoriser une sexualité réduite à quelques variétés domestiquées, des modèles standardisés (sinon orthodoxes) mieux ciblables commercialement (la garce siliconnée, l'homo clone...).

Il est vrai que la vision sociale de l'orthodoxie laisse parfois songeur... On peut se demander pourquoi il est criminel de visionner les ébats de jeunes gens quasi majeurs Note 18, alors que le sado masochisme scatophage entre adultes apparaît comme une variation acceptable ! Le Code Pénal ne sanctionne jamais la coprophilie, mais il considère qu'au-dessous de 15 ans il y a toujours abus. On notera tout de même que les sanctions prévues pour l'atteinte sexuelle sont relativement modérées. Le législateur préconise une peine maximale de deux ans Note 19. On peut trouver légitime de l'appliquer en cas de stratagème douteux destiné à obtenir les faveurs de jeunes enfants encore peu conscients. Fixer un âge pour la majorité sexuelle n'implique cependant pas de condamner lourdement et systématiquement tout acte commis avant le fatal anniversaire. Il s'agit plutôt de donner au législateur et à la société un droit de regard afin d'éviter les outrances propres à toute sexualité mais encore plus inacceptables si de jeunes enfants ont à en pâtir.

Mais nous sommes loin de cette vision raisonnable qui semble bien correspondre, pourtant, aux intentions premières des rédacteurs du nouveau Code... Nous assistons, au contraire, à une simplification mensongère cautionnée par des thérapeutes carriéristes et à une extension progressive du champ du viol au détriment de l'atteinte.

Toutes ces actions étant, bien sûr, menées au nom des droits de l'enfant Note 20 et sous le haut patronage du démon du Bien... En y regardant de plus près, on s’aperçoit que l'enfant, en matière sexuelle, a surtout le droit de revendiquer ce que les adultes veulent pour lui ! En gros, il faut lui apprendre à dire "non" et bien le persuader que tout acte de plaisir tabou implanterait en lui un "œuf d'Alien" Note 21 qui un jour, c'est sûr, le dévorerait de l'intérieur...

2) La différence garçon/fille.

C'est un stratagème courant dans les sphères de l'abusiness que d'évoquer "l’homosexualité" grecque quand il s'agit en fait de pédérastie. Lancer prématurément Gide et Monterlant dans le brasier pédophile, ce serait risquer d'en étouffer la flamme, de tempérer l'horreur absolue. Alors Gide, Montherlant et les autres deviendront homosexuels... et respectables. Dans son numéro du 24 juin 1997, France-Soir affiche sur toute sa première page la photo d'une statue d'éphèbe avec cette légende :

" entre la statue du bel éphèbe et le sordide catalogue proposant des photos d'enfants nus, tout ce qui sépare le culte du corps juvénile et la réalité crasseuse de l'utilisation de l'enfant comme objet de plaisir. "

L'histoire grecque réinventée. On ne peut rien contre l'ignorance crasse et la désinformation plastronnée à la une. Qui peut nier, pourtant, que l'éraste adulte vivait avec son bel éromène des rapports charnels ? Ce dernier était séduit par son amant sitôt la puberté atteinte, entre l'âge de 12 et 15 ans. Vases et amphores de toutes époques nous présentent des scènes d'hommes et d'éphèbes copulant joyeusement... Nul doute que les Grecs anciens, avides d'imagerie érotique, eussent été aujourd'hui de fieffés vidérastes !

La pédérastie est vieille comme le monde. Bauserman l'a redécouverte en établissant scientifiquement que les garçons réagissaient de façon beaucoup plus positive que les filles.

Le garçon, à moins qu'on ne le bride, a soif d'aventures et d'expériences nouvelles. La fille, bien souvent, vit son premier rapport comme une invasion de son corps. Les féministes radicales en restent d'ailleurs à ce stade même si, fort heureusement, la majorité des femmes évolue !

Cette différence de réaction apparaît dans toutes les études reprises par Bauserman. Les jugements de Cour, qui l'ignorent sans doute, n'en tiennent aucun compte. Au contraire ! Les juges, aiguillonnés par les psys corrects, estiment souvent que c'est plus grave. Le garçon, féminisé, ne court-il pas le risque de voir sa vie sexuelle adulte perturbée ? Ne s'agit-il pas d'un double viol ?

• la volonté irrésistible de l'adulte s'exerce sur le pauvre enfant apeuré ;

• en outre, celui-ci se voit nié dans sa masculinité.

Bauserman montre clairement que, lorsque l'adolescent est consentant, cette hypothèse n'a aucun fondement.

Le Dr West, en 1968, parvenait déjà au mêmes conclusions. Sur la base des échantillons judiciaires disponibles à l'époque, il constate :

" qu'aucun exemple de violence n'a été constaté pour les garçons... ceci n'est pas vrai pour ceux qui s'en sont pris à des filles... quelques uns d'entre eux ont fait usage de la pire violence... 8% avaient été condamnés pour d'autres causes. "

3) Pouvoir des mots et propagande.

Il est essentiel de lutter contre les "abus textuels". Bauserman nous rappelle l'effet stigmatisant des étiquettes posées sur les actes et les dangers de la classification.

Les ouvrages sur l'ASE, qui devraient avant tout étudier, analyser et démontrer, ne sont le plus souvent que de longues diatribes indignées. Grâce à quelques mots-valises que l'on se garde bien de définir, on cultive les préjugés du lecteur. Associer au mot "enfant" des termes tels que "viol", "agression" ou "traumatisme", voilà qui ne peut susciter dans le public que des réactions de rejet haineuses. On parlera des "salauds qui font ça" sans tri et sans distinction.

Il faut rappeler l'influence contaminante du jargon anglo-saxon qui, pour un acte sexuel interdit, parle de molestation Note 22, un mot qui en français implique une violence physique. Le mot crime a un sens beaucoup plus faible en anglais. Sex crime désigne généralement un délit sexuel et rarement un assassinat.

On note aussi des associations d'idées hasardeuses plus ou moins en phase avec l'actualité. C'est ainsi que la pédophilie est aujourd'hui assimilée à une sorte de crime psychologique dont l'effet serait comparable à celui de la bombe à neutrons, née aux Etats-Unis à peu près en même temps que cette théorie ! L'explosion laisse l'extérieur intact, mais dedans tout est détruit. L'enfant a l'air bien portant, mais il est démoli à vie...

Le SIDA a également contribué à contaminer notre pensée associative : suite à un abus, l'enfant devient "traumapositif". Il porte en germe un mal-être ou un suicide à venir !

Toute élucubration jargonnesque visant à prouver que l'abus est toujours gravissime sera la bienvenue et bénéficiera d'une bonne couverture médiatique.

Cette dramatisation du vocabulaire, ce défaut d'adéquation entre le terme employé et l'acte qu'il désigne ont largement contribué à la stigmatisation de l'abus et aux dérives pénales.

On remarquera, pour finir, que les ASE filmés en vidéo sont toujours qualifiés de "viols" sans que l'on ait même identifié l'acteur et donc pu évaluer son niveau de consentement. A ce propos, il arrive (jamais en France) qu'un inconscient haut placé s’écrie : "le roi est nu !". Duncan Shaw, juge à la Cour suprême de Colombie britannique (Canada), déclare que :

" le code criminel canadien, qui interdit la possession de matériel pornographique pédophile, viole la Charte canadienne des lois et libertés qui garantit la liberté de pensée, de croyance, d'opinion et d'expression. "

Le même juge souligne que, même si la pornographie enfantine peut être pernicieuse, aucune preuve ne démontre qu'elle présente un danger pour les enfants Note 23.

A chaque rafle vidéo, on nous a présenté le même bébé en couches-culottes en état d'abus présumé... Image affligeante, certes, mais image de propagande Note 24. Qui a jamais cherché à évaluer, parmi tous les films saisis, le pourcentage de ceux qui témoignent, à l'évidence, du plaisir joyeux qu'ont pris les modèles pendant le tournage ? Un plaisir qu'il faut, à toute force, mettre sous le boisseau...

4) Milieu et violence

Jusqu'à ces dernières années, les bourreaux frappaient et insultaient leur progéniture. Aujourd'hui, ce sont les violences sexuelles qui sont mises au premier plan. L'intérêt suprême de l'enfant n'est donc pas l'enjeu principal, puisque les violences physiques sont beaucoup plus fréquentes et qu'elles sont aussi beaucoup plus dommageables que l'abus sans violence. Bauserman montre qu'elles peuvent laisser chez l'enfant battu des séquelles durables et qu'elles sont en rapport avec des difficultés scolaires, de moins bonnes perspectives d'adaptation à la vie sociale et des problèmes d'équilibre psychologique. Il arrive que des violences sexuelles s'ajoutent aux violences physiques, créant un climat indiscutablement dommageable pour l'enfant.

Mais il se trouve que les abus physiques se vendent beaucoup moins bien que les abus sexuels, qui se prêtent mieux à une exploitation de type idéologique (féminisme hard, féminocentrisme). Là encore, gare à l'outrance, et gardons-nous de confondre la maltraitance caractérisée avec une occasionnelle paire de claques !

Quand on associe abus et milieu, c'est souvent pour affirmer que les prédateurs sexuels s'introduisent comme des loups dans les bergeries pauvres afin d'y exploiter la misère. On ne dit jamais qu'un ado maltraité ou délaissé peut être amené à briser le tabou du sexe transgénérationnel par besoin vital d'attention et d'affection. L'enfant possède un sens inné de la conservation : il préférera naturellement le séducteur au tourmenteur. Les psys de service ont alors beau jeu de prétendre qu'il s'agirait d'une simple quête de tendresse dévoyée en sexualité par l'adulte captateur. Ils ne se privent pas de brandir des concepts ronflants tels que "l'auto-leurre" de l'adulte et parlent du "déni d'altérité" dont celui-ci ferait preuve.

Les recherches de Bauserman montrent que la dimension sexuelle de la relation n'entraîne aucun effet négatif dans un tel cas de figure. Un rapport durable vécu dans un contexte amical aura le plus souvent des effets positifs Note 25. La plupart du temps, un lien fort subsistera après la fin de l'épisode sexuel.

En fait, les situations peuvent être fort diverses en fonction de la qualité des protagonistes. Si l'adulte n'est pas toujours à la hauteur dans son rôle de protecteur et d'initiateur, il est rarissime qu'il se révèle être le monstre que l'on se plaît à dépeindre...

Bauserman montre bien que c'est le milieu, et en particulier les conditions économiques, qui influent sur le développement intellectuel et cognitif de l'enfant. Mais il est bien sûr plus facile de désigner des boucs-émissaires à la vindicte de ceux qui souffrent de chômage et de précarité que d'envisager un meilleur partage des richesses... On sait en outre qu'en dépit de Note 26 discours de plus en plus égalitaristes, l'école est de moins en moins l'ascenseur social qui devrait permettre aux enfants doués des classes modestes de réussir en fonction de leurs mérites.

Il y a tout lieu de craindre que cette extension dangereuse de la notion d'abus, cette préoccupation permanente et soupçonneuse de tout, ne dilue une attention qui devrait se porter uniquement sur les cas lourds d'abus réels et de maltraitance physique. Mais il est certain que la vraie violence fait peur et que les pères cogneurs ne sont pas toujours très accueillants avec les assistantes sociales.

 

III. LES SECTATEURS DE L'ABUS :

DES FEMINISTES AUX THERAPEUTHES.

Il y a deux façons de s'élever : par sa propre industrie, ou par l’imbécillité des autres " (LA BRUYERE).

Avant de voir sur quel terreau social ont poussé, démesurément, les nouvelles théories de l'abus, examinons quels en sont les propagateurs. Voyons un peu à qui le "crime (sexuel)" profite...

Féministes et thérapeutes partagent avec les pédagogistes, les suppôts de l'Art moderne et quelques autres, un jargon scientifico-cabalistique censé en imposer et surtout éviter toute démonstration rigoureuse. Tous deux ont l'art d'enrober le mensonge dont Goebbels disait justement : "Plus il est gros et plus il a de chances d'être cru."

Féminisme dur et thérapie sexuelle ont aussi un autre point commun : ils sont tous les deux nés aux États-Unis. On résiste au maïs transgénique américain, dont on ignore l'effet qu'il peut avoir à long terme sur la santé humaine. On devrait aussi cesser de gober, sans discrimination et avec quelques années de retard, toutes les idées qui ont fait recette aux States...

Il faut rappeler l'importance du puritanisme et du fondamentalisme protestant aux Etats-Unis. Sait-on que la sodomie et la fellation restent des délits (sex crimes ) dans certains Etats ?

Se souvient-t-on que dans certains Etats l'âge légal du mariage est fixé à 12 ans, alors que l'âge de consentement (pour avoir des rapports sexuels) est de 18 ans ! Ne trouvons-nous pas bizarre qu'un Etat dépense 80 millions de dollars pour enquêter sur une pipe extra-conjugale de son président ? Est-il décent que l'homme qui a failli être destitué pour une gâterie soit félicité d'avoir provoqué artificiellement une guerre évitable qui a causé la mort de milliers d'innocents Note 27 ?

Quant à cette culture gaie, américaine elle aussi, n'est-ce pas une ghettoïsation de l'homosexualité naturelle, une façon de la circonscrire, de la contrôler et de la consumériser Note 28?

L'Amérique se caractérise bien par un vieux fond prohibitionniste qui surprend l'Européen moyen. La répression de l'ASE s'explique plus facilement outre-Atlantique. Il est en effet logique de surveiller la sexualité enfantine si on estime déjà, a priori, que tout sexe non procréatif est une faute, un péché qui demande repentance (on se souvient des piteux mea culpa de Clinton).

Les beautés hollywoodiennes font rêver l'américain moyen. Voyeur frustré, imbibé de sucre et noyé de graisse Note 29, il fait du lard... et des dollars. En France, en Europe, nous nous vantons de considérer la sexualité comme un facteur d'épanouissement. Il est bon de faire du sexe même sans désir (Viagra). Comment donc ce qui apparaît si désirable, si indispensable pour l'adulte pourrait-il se révéler profondément destructeur au-dessous d'un âge (lequel ?) fixé arbitrairement par l'auteur de la diatribe ?

Les nouveaux sectateurs, en mal de clientèle, parlent désormais conjointement de pédophilie et d'adolescentophilie  Note 30 ! Ephébophilie aurait une connotation trop grecque, trop noble... A l'évidence, on sent une volonté délibérée de sombrer dans le pathologique, à tout prix Note 31 !

Examinons maintenant chacune des deux sectes et étudions-en les caractéristiques qui peuvent intéresser notre étude.

1) Les féministes.

A la recherche des causes de l'hystérie collective qui a balayé l'Amérique et le monde Note 32, Bauserman évoque le Mouvement des Femmes. Naturellement, il ne s'agit pas de l'ensemble des femmes mais d'une petite caste oisive ou exerçant ce qu'Alain Soral appelle "les faux métiers de la communication" Note 33. Leurs préoccupations sont bien éloignées de celles de la plupart de nos concitoyennes astreintes à une double journée, obligées de cumuler les soins domestiques et familiaux avec un travail extérieur.

Les États-Unis ont certainement produit les féministes les plus délirantes. La terreur qu'elles font régner leur vaut le doux surnom de feminazes. On pense, entre autres monstres, à Andrea Dworkin, citée par Edward Behr dans un livre Note 34 capital et angoissant Une Amérique qui fait peur. Cette lesbienne Note 35, n'ayant aucun intérêt à épargner le sexe rival, écrit le plus sérieusement du monde :

" la seule différence entre le viol et la séduction est qu'avant, le violeur se donne la peine d'acheter une bouteille de vin. "

C'est ainsi qu'il faut sans cesse aller plus loin dans la mise en cause du mâle. Chaque couillonnade gobée fait monter d'un cran l'outrance suivante et ouvre un créneau juteux à la plus rapide. Tout le mal-être féminin aura pour cause les turpitudes masculines. Du viol des femmes on arrivera à l'inceste, que l'on étendra à la pédophilie. Des fléaux tellement répandus, à les entendre, qu'ils doivent devenir la première préoccupation des femmes, un ciment pour leur union, un motif de mobilisation générale.

Faute du moindre élément concret, on aura recours à l'abus satanique, une accusation que toute flippée Note 36 pourra lancer sans l'ombre d'une preuve. N'est-il pas logique que l'immonde fornicateur, enfin démasqué par des femmes héroïques, assouvisse une ultime rage en buvant le sang de bébés sodomisés ?

En dernier recours, le malaise de la femme pourra s'expliquer par un "abus oublié" vécu dans la petite enfance. C'est la théorie dite de "la mémoire retrouvée". Les spécialistes l'affirment : "Si vous avez l'impression d'avoir été abusé, c'est que vous l'avez été" Note 37.

Il faut se souvenir que l'actuelle Ministre de la Justice des États-Unis, Mme Reno, qui a bâti sa carrière sur une hantise obsessionnelle de l'abus, "a montré en tant que procureur sa conviction acharnée en ce qui concernait la culpabilité de prévenus accusés d'abus sexuels sur la seule base d'une mémoire retrouvée" Note 38. Bauserman rappelle le rôle fondamental que le premier magistrat du pays le plus puissant du monde a joué dans la persécution et la torture morale de faux coupables – dont un enfant – et de fausses victimes marquées à vie par des interrogatoires traumatisants. Le F.B.I. vient aussi de reconnaître Note 39 que la secte Wacko ne s'était pas immolée par le feu en 1993, mais que Reno avait ordonné l'assaut suite à de fausses allégations d'abus ! Au cours de l'opération, des engins incendiaires avaient été utilisés, ce qui avait causé la mort de 85 personnes dont beaucoup d'enfants.

Malgré tout cela, il n'est pas question, à ce jour, d'extrader Mme Reno vers La Haye...

Nous ne sommes pas à l'abri, loin s'en faut, de la terreur féminaze qui a secoué l'Amérique. Le cyclone yankee a accouché de l'ouragan qui nous secoue. Freudisme de cuisine et psychologisme réducteur sont partout. Alain Soral fustige un fatras d'idées qui "pose la différence de l'esprit féminin comme une force progressiste en soi, et même comme une alternative souhaitable" Note 40 justifiant par "la cause des femmes l'arrivisme vulgaire de n'importe quelle pétasse. Un mouvement en phase avec l'idéologie dominante et sa féminisation programmée via la parité" Note 41.

Cette fameuse parité, qui agite surtout la caste communicante dont nous avons parlé, postule bien sûr que les femmes ont les mêmes compétences que les hommes, mais surtout qu'il existe des secteurs où elles seules peuvent agir : des zones réservées où les hommes seraient indésirables. Si de tels secteurs n'avaient pas existé, il aurait d'ailleurs fallu les inventer pour justifier la légitime et inéluctable ascension féministe. Par bonheur, il y avait la Protection de l'Enfance...

Mme Ségolène Royal, grande chouchoute des médias, est sans doute un des meilleurs représentants de cette tendance. Il ne se passe pas une semaine sans qu'on la voie dans tous les médias annoncer que tout ce qu'on avait négligé avant elle serait désormais pris en compte : pédocentrisme infantilisant, citoyenneté à toutes les sauces, lutte contre le bizutage. Les élèves difficiles ou inadaptés au système sont censés ne plus exister. Les structures spécifiques peuvent donc être supprimées au profit de classes fourre-tout où chacun est censé progresser à son rythme... Maternage et morale citoyenne sont réputés remédier à l'inadéquation et au manque de performance d'un système tentaculaire. On notera que dans le tandem Royal-Allègre c'est ce dernier qui prend tous les coups, la première semblant jouir d'une totale immunité médiatique, quoi qu’elle fasse...

Il n'est pas indifférent de se souvenir que la première campagne de cette ministre fut la lutte contre "la pédophilie à l'école", une véritable folie médiatique – en 1997 –, qui causa le suicide de plusieurs innocents, ce genre de croisade étant l'aubaine des calomniateurs, maîtres chanteurs et exagérateurs de tout poil !

Avant d'être nommée ministre, madame Royal commentait dans Le Nouvel Observateur le livre de Mme Bouillon, substitut à Bobigny, intitulé Viol d'anges Note 42. A propos des abus sexuels, elle nous disait :

" Pourquoi si peu d'action face à un fléau connu depuis si longtemps ? Il a fallu attendre qu'existent davantage de femmes dans la police. Faudra-t-il attendre qu'il y ait davantage de femmes à la tête des pays du monde entier pour que ce problème soit pris à bras le corps ? On voit bien en quoi une sous-représentation des femmes en politique est lourde de conséquences. "

On voit bien aussi que, dans la mesure où il peut être instrumentalisé et mis au service de l'ascension de la femme, l'abus sexuel est appelé à devenir un sujet prioritaire, essentiel dans la mise en œuvre d'une tactique annoncée. L'homme est clairement suspect de pouvoir violer l'enfant ou de couvrir le viol des autres...

Quelques mois après cet article, Mme Royal était d'ailleurs nommée Ministre de L’Éducation Nationale ! Ne pas lui donner un poste qui la mettait en situation de protéger l'enfant, n'était-ce pas se faire complice de ces violeurs dont les hommes au pouvoir ont assuré l'impunité, sans doute par "esprit de corps" ?

De la même façon, alors que l'Amérique ne brûlait plus que pour les viols, le satanisme et la pédophilie, on a nommé Ministre de la Justice celle qui s'était sombrement illustrée dans ce type d'affaires. On se souvient du carnage de Wacko, mais on oublie souvent de dire que la bombe placée dans l'immeuble fédéral à Oklahoma City (167 morts) était chargée de venger les victimes innocentes de la secte incendiée...

Il devrait paraître curieux à un observateur "persan" qu'une polémique sans fin se soit engagée en France sur le terme "sauvageon" Note 43, alors que personne n'a même songé à contester à Mme Royal et à sa consœur Bouillon le droit d'appeler "ange" un adolescent tout vibrant d'émois pubertaires ! On notera encore une fois le caractère idéologique de tout ce braquage médiatique et de la terminologie afférente.

Cela nous ramène à nouveau au problème essentiel du vocabulaire employé.

Voyons par exemple comment est utilisé le mot "enfant". Pour deux garçonnets de 10 ans meurtriers d'un bambin de 2 ans Note 44, France Info Note 45 parle "d'adolescents de 10 ans". Pour trois jeunes filles de 17 à 20 ans assassinées en 1997 par des ferrailleurs boulonnais, la presse parle alors "d'enfants". Il s'agit donc, contre toute vraisemblance Note 46, d'adultérer précocement les deux petits meurtriers afin de les rapprocher – dans une optique féminaze – de l'homme et de sa dangerosité naturelle. De l'autre côté, il faut infantiliser les malheureuses jeunes filles afin de les agréger artificiellement au champ pédophile ; on crée ainsi un catalogue de victimes bien fourni pouvant servir à tout justifier...

Une nouvelle idéologie est née. "Dans l'imaginaire collectif, la femme sexuellement opprimée a remplacé le prolétaire". Note 47  La femme moderne est aussi la voix du pantin muet et angélique qu'est censé être l'enfant...

L'Internationale féminaze arrive à point nommé pour donner un os à ronger aux victimes de la situation économique. Elle leur offre l'image abhorrée du pédophile friqué qui suce le sang des enfants du peuple. Elle transforme les parents des victimes de l'ignoble et atypique Dutroux en leaders d'un parti Blanc, pour qui la "pédophilie" serait à l'origine de tous les maux du siècle. Capitalisant sans honte sur la douleur suprême, elle envoie Mme Russo Note 48, mère courage et proie facile pour la nouvelle idéologie, plaider à Rome Note 49 pour que la pédophilie (et à terme, sans doute, la dissension morale et sexuelle) deviennent des crimes contre l'humanité. Tâche sans aucun doute prioritaire pour la future Cour criminelle internationale...

Madame Dworkin et le culte goudou Note 50 ont toutes les raisons de se réjouir. Mais pour le couple américain moyen, c'est un désastre. Selon le Dr Lauman de Chicago, 43% des hommes américains ont des troubles sexuels. Ceux-ci seraient dus en particulier à "des tiraillements dans le couple et à une inhibition des hommes face au féminisme agressif... Ils surviennent surtout chez les jeunes du fait de l'inexpérience. Note 51 "

Cela n'a rien de surprenant, puisque la plupart des moyens traditionnellement utilisés par les jeunes mâles pour s'initier au plaisir mutuel relèvent désormais de la nouvelle théorie de l'exploitation sexuelle...

En attendant que naisse cet Homme Nouveau, que les féministes appellent de leurs vœux, beaucoup de femmes restent échouées sur leur liberté sexuelle comme des baleines au pied d'un casino. Espoirs déçus, solitude, amertume. Certaines rêvent devant les jeunes homos, si reposants. Ah les beaux mecs ! Effluves mâles épurées du risque prédateur, loin des rivalités épuisantes. Et puis ce fantasme, plus courant qu'on ne le pense : tous ces beaux ziggies Note 52, n'auraient-ils pas été des compagnons idéaux pour elles si d'aventure, à un âge précoce, un prédateur sexuel ne les avait détournés à jamais de cette féminité brûlante qu'elles ne demandent qu'à offrir ? Si seulement elles avaient pu contrôler, empêcher, être là, tout aurait pu être différent, un merveilleux bonheur...

De fait, la montée en puissance du féminisme exacerbe la rivalité de la femme et du pédéraste à la conquête du jeune mâle impatient.

Comment expliquer le succès du film Titanic auprès des foules féminines de tous âges ? Résumons l'histoire. Un bel éphèbe, délicat et artiste, part à l'aventure. Mais il ne peut résister à l'appel d'une bourgeoise dépressive et bien sapée. La poule de luxe attire à elle le frais Di Caprio, histoire de se décoincer un peu. Subjugué, il oublie sa bohème pour l'héritière en goguette ; il s'engloutit en elle avant de couler à pic dans l'océan.... Morale du film : la femme nantie capte et détruit la vigueur adolescente qu'elle absorbe. Cela lui confère d'ailleurs une longévité exceptionnelle ! Il est possible, naturellement, que les critiques corrects aient une vision du film un peu différente...

Un film en appelant un autre, passons maintenant au second pilier de cette folie : le Docteur "M'abuse", le spécialiste en abus sexuels.

2) Les thérapeutes.

Si l’on admet que la femme (et l'enfant qu'elle protège de son Note 53 corps) constituent le "nouveau prolétariat" dont l'accession au pouvoir va sauver l'humanité, le "nouveau thérapeute" nous apparaît alors avec un air de déjà vu. Des experts en sciences raciales du régime nazi aux psychiatres soviétiques, infatigables pourvoyeurs de goulags, on a toujours assisté à une étroite collaboration entre la psychiatrie et le pouvoir en place. Au service de l'idéologie dominante, les psys donnent souvent une caution scientifique et pseudo-médicale à des processus de ségrégation et d'élimination sociale à grande échelle.

Pour la féministe, la psychiatrie n'est bonne qu'à justifier ses délires émotionnels : préjugé de confirmation dont nous parle Bauserman, et que l'on retrouve dans l'astrologie Note 54 dont la femme est justement grande consommatrice !

a) Importance.

Il faut savoir qu'aux États-Unis n'importe qui peut s'établir thérapeute, après une courte période de formation. Il faut un diplôme pour être coiffeur, pas pour être thérapeute ! En 1992, il y avait 255 000 thérapeutes aux E.U., dont 55 000 ne s'occupaient que de mémoire retrouvée ! En dépit de leur formation plus que sommaire, ils bénéficient d’une confiance aveugle de la part des policiers et des magistrats.

En France, on se souvient avoir vu affluer en fac de lettres, après 1968, un flot d'étudiants en psychologie cherchant surtout, pour la plupart, à y voir plus clair en eux-mêmes. Quels débouchés ces apprentis psychologues pouvaient-ils espérer ? On s'en est longtemps inquiété. Aujourd'hui, paradoxalement, c'est le plein emploi de ces nouveaux thérapeutes qui ne laisse pas de nous préoccuper. S'agit-il de créer de nouvelles maladies mentales, si possible propres et agréables, pour éponger une filière pléthorique? L'opportunisme et le charlatanisme ne risquent-ils pas de déconsidérer toute une recherche en psychologie qui, lorsqu'elle est menée avec toute la rigueur scientifique requise, peut certainement éclairer un peu le mystère de notre existence ?

Le psy est le pivot du nouveau système répressif. Il est chargé de donner une apparence rationnelle à un phénomène apparenté à la pensée magique et à la démonisation. Il transforme, par sa présence rassurante, une croisade fanatique en un processus d'assainissement social consensuel. La coupe des branches pourries ne garantit-elle pas la prospérité et la liberté d'une société régénérée ? Il faut épurer en toute bonne conscience. Le fondement et les bases scientifiques de son discours intéressent moins que sa capacité à conforter les préjugés dominants.

C'est ainsi que des membres du Congrès américain se sont indignés qu'on ait pu financer une étude (celle de Bauserman), parfaitement scientifique certes, mais dont les résultats étaient trop politiquement incorrects. La preuve était faite que la science devait se borner à soutenir l'ordre établi – ou du moins à ne pas le déranger... Déjà Kinsey rappelait au praticien les dangers de la confusion des genres Note 55:

" L'homme de science ne voit pas d'inconvénient à ce que l’Église décide de ce qui est bien ou mal dans le comportement de l'homme, si elle n'essaie pas de justifier son éthique en faisant appel aux origines biologiques d'un tel comportement. Mais, parallèlement, l'homme de science comme tel ne peut pas s'occuper des valeurs morales, du bien social et des valeurs théologiques sans trahir ses propres responsabilités... S'il s'agit de juger de ce qui est sexuellement normal ou anormal, on doit s'assurer, dès que l'on se trouve devant des appréciations contradictoires, que des considérations philosophiques, morales ou sociales n'entrent pas en jeu. "

Conservant à l'esprit cette précieuse mise en garde, examinons l'influence des thérapeutes sur le judiciaire et, en amont, sur l'opinion publique censée s'émouvoir et réclamer une réaction forte de l'institution.

Quand les médias traitent de l'ASE, des spécialistes sont toujours invités à s'exprimer. Soit dans le corps même d'un article de presse qui, du coup, en apparaît plus sérieux, soit dans un encadré censé illuminer d'une objectivité scientifique irrécusable le fait divers développé par ailleurs. Dans les talk-shows, l'expert pose une interprétation sereine et convaincante sur les propos forcément émus de la victime soigneusement choisie. Une catharsis cathodique où le passé traumatique remontera dans un de ces sanglots télégéniques que les remises d'Oscars nous ont appris à aimer et à imiter.

En général, comme le note Bauserman, le psy de service abordera l'abus sous l'angle de ses effets inévitables, invariablement très graves et de son extrême fréquence ("il y en a plus qu'on ne le dit" Note 56). Ces psys médiatiques, on les retrouve souvent à l'autre bout de la chaîne : ils sont chargés de soigner les délinquants sexuels à l'issue de leur passage par le système judiciaire. On ne s'en étonnera pas...

En France, l'équipe du Dr Coutanceau et son centre spécialisé de La Garenne-Colombes ont fait la une des médias. On se souvient du chiffre définitif et facile à retenir concernant le pourcentage de mineurs susceptible de pouvoir consentir à un rapport sexuel avec un adulte : 0 %

Pour comprendre à quoi tiennent les certitudes annoncées de nos psys officiels, il faut relire H. Manseau Note 57 qui nous parle du :

" …lien existant entre des accroissements budgétaires accordés à des institutions et la génération artificielle de clientèles nécessaires à leur expansion… Il s'agit bien, en effet, de justifier les crédits octroyés par le caractère gravissime des dégâts inéluctables créés par l'abus. Une extension de la notion d'abus, un élargissement de son champ, impliqueront bien sûr une extension de la clientèle constituée par les perpétrateurs et les victimes, un plus grand nombre d'actes médicaux et d'ordonnances facturées... "

Il ne faut pas oublier les experts judiciaires qui sont chargés par le magistrat instructeur d'examiner le prévenu. Leur rôle est crucial. Foucault dit qu'ils sont "la bonne conscience du juge". On se souviendra que, jusqu'au milieu des années 80, beaucoup de juges ignoraient l'existence même du mot "pédophilie" et traitaient ce type d'affaire en fonction du dégoût personnel plus ou moins fort qu'ils pouvaient ressentir. Un grand avocat spécialisé dans la défense des délinquants sexuels le clamait voici quelques années dans une conférence remarquable (réservée aux plus hauts magistrats) :

" Il convient de rappeler au juge qu'il ne doit pas confondre son sentiment propre, qui peut l'amener au dégoût, avec la mission dont il est investi et qui doit lui permettre de juger avec sérénité. "

Les critères d'appréciation, réputés objectifs, dont les magistrats disposent aujourd'hui peuvent se révéler plus trompeurs que les sentiment instinctifs de leurs aînés... Les jeunes juges, frais émoulus des écoles de magistrature, reçoivent désormais une formation sur le sujet... dispensée, on le suppose, par les mêmes psys que l'on retrouve dans les médias, à la barre, et dans les centres de thérapie !

Lorsque la victime paraît au Tribunal, il est rare qu'elle présente des signes évidents de traumatisme. L'expert est donc là pour évaluer l'importance de cette blessure invisible et se prononcer sur la probabilité de séquelles à venir. L'exercice relève plus de l'art divinatoire que de la science. Il est guidé par un postulat de départ, intangible : tout abus est traumatisant.

Pour le juge, opportunément lavé du soupçon d'odium auctoris, l'avis de l'expert est fiable. Il s'en remettra donc à lui pour justifier la condamnation du prévenu.

A rebours, on sera surpris de constater que l'arsenal judiciaire fait désormais partie de l'appareil rhétorique et médical du thérapeute. L'un d'eux, membre de l'équipe Coutanceau, affirme :

" la reconstruction de la victime est toujours liée au développement de l'action judiciaire, dont l'espace du jugement constitue le point d'orgue. Note 58 "

C'est un point essentiel. Il n'est absolument pas prouvé que l'action judiciaire profite à la "victime", bien au contraire. Les plus grands pourfendeurs de l'abus constatent eux-mêmes que la "procédure judiciaire peut s'avérer pire pour l'enfant que l'effroyable épreuve qu'il a subie" Note 59. L'expert postule que l'enfant est toujours une victime qui supplie la société d'écouter sa souffrance et de neutraliser son bourreau. La condamnation du coupable, fondée sur la prise en compte et la reconnaissance de la parole de l'enfant, serait alors la première étape d'un long chemin vers la guérison...

Mais la réalité est généralement tout autre. Malgré les pseudo-droits juridiques que lui donnaient la Convention des droits de l'Enfant, le mineur n'a aucune maîtrise sur les poursuites engagées contre l'adulte. Il est fréquemment impliqué dans un processus qu'il n'a ni enclenché ni souhaité. Le plus souvent, il est là par ricochet. Il est pris dans une enquête de type généalogique, où le passé de l'accusé est épluché et tous les jeunes qu'il a côtoyés interrogés et traités en victimes potentielles... Et si quelqu'un s'inquiète de l'effet produit sur l'adolescent victimisé malgré lui, on s'indignera en brandissant un ou deux cas réels, sélectionnés, exemplaires, qui transformeront illico toute objection en complicité de viols d'enfants.

Il est fort rare que les abus policiers ou les viols médicaux soient rendus publics ou sanctionnés. Qui sait ce qu'il est advenu de la plainte pour viol déposée par le père de P... (14 ans ) contre les gendarmes ? Ce récit est paru le 6 juillet 1997 dans le Journal du Dimanche sous le titre : " Dans le château du gourou, la confession de P…, traumatisé par les gendarmes ":

" Mon nom est paru dans les journaux. Vous voyez un peu ce que les copains vont dire. Je me sens sali par toute cette histoire... ce sont les gendarmes qui ont eu les questions les plus dures... si j'avais déjà fait l'amour, si j'avais eu des attouchements avec d'autres hommes, mon père... il m'ont dit "t'es très fort mais les autres, ils ont tous avoué". Après, ils m'ont envoyé chez le toubib, une femme... elle m'a sorti un coton-tige et des instruments pour les prélèvements rectaux... ce sont des méthodes quand même traumatisantes... après, j'ai eu droit au psychologue qui s'est montré moins brutal, mais visiblement ils n'avaient pas ce qu'ils cherchaient... "

Il apparaît clairement que, dans la mesure où ses déclarations ne vont pas dans le sens de l'enquête, P... est brutalisé et humilié. Puisqu'il n'accepte pas d'être une victime plaintive, on le soupçonne d'être complice de son agresseur. Il contrarie beaucoup les gendarmes en refusant de les aider à constituer un dossier lourd, tragique – et générateur d'avancement.

Dans le nouveau dogme, l'enfant est avant tout une abstraction, une norme. Du reste, tout enfant qui ne se conforme pas à l'idée que l'idéologie nouvelle se fait de lui est désacralisé d'office. Souvenons-nous : un léger écart par rapport à la ligne fixée transformait le prolétaire glorifié des régimes communistes en ennemi du peuple. Mais revenons à notre expert, et voyons les buts qu'il poursuit en faisant de la condamnation pénale du coupable le préalable indispensable au suivi thérapeutique de la victime et à sa guérison.

Il faut savoir que, dans les affaires d'abus, la condamnation est aujourd'hui assortie d'une obligation de soins. Celle-ci n'oblige d'ailleurs nullement le thérapeute à guérir quoi que ce soit, puisque les soins ne remplacent pas la sanction pénale mais qu'ils s'y surajoutent. Pour les cas véniels (détention de cassettes interdites par exemple), il est peu probable que le sujet, stigmatisé par l'action judiciaire et surtout enclin au voyeurisme, passe un jour à l'acte. On se souvient que, malgré l'absence de la moindre réalité observable, les spécialistes postulent un risque d'escalade menant le pervers du visionnage de cassettes au meurtre d'enfant. Si rien ne se produit, si le patient ne récidive pas sous une forme aggravée, ce succès pourra être porté au crédit du traitement imposé. L'équipe de spécialistes se verra alors attribuer de nouvelles subventions, des locaux, du personnel afin d'amplifier son action et de sauver toujours plus d'enfants...

Quant aux sujets qui, eux, sont passés à l'acte, la longueur des peines garantit que l'on n'aura pas à mettre à l'épreuve l'efficacité des thérapies avant longtemps. Le sujet sera mort-guéri, fou ou décérébré quand il sortira après une interminable réclusion.

"Sutor, ne supra crepidam" Note 60.

Les affaires d'abus sont le lieu privilégié des usurpations de compétences. Les intervenants s'y prévalent souvent d'un titre acquis dans un domaine du savoir fort éloigné de celui dans lequel ils prétendent faire autorité.

Prenons par exemple Mme Bouillon, le substitut New Age, auteur du Viol d'anges Note 61 que nous avons déjà mentionné :

• Elle s’improvise thérapeute et affirme qu'un enfant abusé se reconnaît facilement par "un travail insuffisant ou excessif à l'école" (sic) ; "un comportement toujours triste ou excessivement gai devraient alerter".

• Elle ne se laisse pas impressionner par les grands noms. Elle connaît le sujet mieux que personne. Elle sait que "Freud a fait progresser la pédophilie". Elle a bien repéré "la sexualité très suspecte de Freud, qui ne comprenait rien aux femmes et était visiblement homosexuel".

• Moraliste de haute volée, elle se demande s’il ne vaut pas mieux un non-pédophile accusé à tort qu'un vrai laissé en liberté. Le bénéfice du doute, qui s'applique aux assassins, ne doit pas profiter aux pédophiles. Rappelons que la dame est Procureur, qu'elle ne se sent tenue par aucun devoir de réserve ou de modération, qu'elle a publié cela chez Calman Levy et que la classe politico-médiatique a accueilli son livre sans réserves. On a vu combien Mme Royal l'avait adoré.

• Madame Bouillon se fait aussi prêtresse de Baal à l'occasion : "la relation sexuelle avec un enfant est un crime contre le sacré, la profanation des profanations, le viol d'anges"...

Voilà donc revenu le temps des grands prédicateurs fous, de la pureté épuratrice (la dame veut rétablir le pilon pour les œuvres impies). On rêvait d'une nouvelle morale laïque, appuyée sur la Raison. On nous ressert une religion sans pardon, sans absolution et surtout sans au-delà ! Le nouveau culte, d'essence féministe, arrive avec ses damnations et ses bûchers ! La parole sacrilège est étouffée ou condamnée...

Comble de malheur, Mme Bouillon se révèle astrolâtre. Elle attend l'ère du Verseau qui (d'après elle) devrait tout arranger !

Il nous faut maintenant parler du livre intitulé Le viol paru dans la collection Que sais-je ? On connaît la réputation de sérieux, d'objectivité et de scientificité qui s'attache à cette collection. On sera d'autant plus surpris de lire ce qui va suivre.

Ce volume est né principalement de l'association d'un psychiatre expert en médecine légale et d'une psychanalyste. On constate avec morosité que, dans ce petit volume, le spécialiste – censé éclairer l'opinion – puise en fait ses informations dans la presse à scandale la plus douteuse sans faire preuve de la moindre distance critique. Il s'inspire en effet d'un livre de P. Meney Note 62, journaliste de TF1 et réalisateur de l'émission Perdu de vue (où il apparaissait juché sur un jubé de Plexiglas, deus ex machina, grand manipulateur d'audimat ) !

Parlons d'abord de deux chiffres importants, cités par Meney et repris par les psys.

D’après eux, il y aurait "un million d'enfants emprisonnés dans les maisons closes en Thaïlande". Rappelons que dans ce pays, en 1995, 26 mineurs ont été retirés à la prostitution. Aucun de ces mineurs n'était enfermé dans une maison close. Il s'agissait soit de jeunes filles à la limite de leur majorité, soit de garçons se livrant à une prostitution occasionnelle. Les chiffres sont donc tout à fait fantaisistes ! Ceux de L'UNICEF, tout aussi faux, donnent 300 000 enfants prostitués pour la même période, ce qui montre bien que les chiffres sont choisis pour leurs qualités émotionnelles et leur impact médiatique, jamais pour leur rapport, même lointain, avec la réalité des faits. Qui cherchera à démentir des chiffres "flatteurs", générateurs de profits ? On verra plus loin comment des escrocs (comme la baronne Botte) les ont utilisés pour faire prospérer leur petite entreprise. Quelle est donc la situation réelle en Thaïlande ? Alors que le gouvernement reconnaît l'existence de 86 000 prostituées adultes de sexe féminin, l'institut démographique de Chulalongkor (dont les évaluations font autorité à l'étranger) fait état d'environ 200 000 personnes exerçant une activité de prostitution permanente ou occasionnelle dont 1000 hommes et enfants... Note 63 Mais qu'importe la vérité, le chiffre de un million d'enfants prostitués plaisait bien aux médias. Il permettait de nourrir toute une imagerie hugolienne faite d'innocents vendus, parqués dans des conditions concentrationnaires pour satisfaire les vices de riches étrangers arrivés spécialement par "viols charters"... Ne doutons pas qu'il fut à l'origine de la conférence de Stockholm organisée par l'UNICEF dans un immense concert médiatique. Au profit de qui ? Au détriment, en tout cas, des enfants d'Algérie, du Rwanda et d'ailleurs, massacrés dans l'indifférence ou affamés sur les routes de l'errance...

On a réussi à créer un secteur de protection hypertrophié et artificiel pour faire oublier les souffrances réelles et immenses des enfants pour qui on ne peut rien faire. Lancer une opération commando dans la chambre d'un touriste sexuel, c'est tout de même moins risqué que de poursuivre des tueurs à machette ou des égorgeurs illuminés !

Examinons un autre chiffre effarant, tiré du bouquin de Meney et repris à son compte par notre expert : il y aurait 2000 meurtres sexuels d'enfants par an en France ! Rappelons qu'aux États-Unis, si toutes les accusations de meurtres satanico-sexuels étaient prises en compte, il y aurait 60 000 victimes par an Note 64. Or le F.B.I. n'en a pas dénombré une seule !

Quant aux meurtres d'enfants à caractère sexuel, quoique surexploités par les médias, ils sont heureusement fort rares. Il font penser à ces quelques figurants qui, au cinéma, repassent sans cesse devant la caméra et laissent croire à une multitude. Dans son livre référence paru dans les années 60 Note 65, le Dr West estimait qu'il s'en produisait environ deux par an Note 66, chiffre stable, pour une population de 50 millions d'habitants. On notera que les meurtres de petites filles sont toujours beaucoup plus fréquents. De 1996 à 1999, nous n'avons pu trouver qu'un seul meurtre de garçon à caractère vraisemblablement sexuel commis sur le territoire national : celui du jeune Adrien, âgé de 12 ans, commis à Thionville en 1998 Note 67.

Les psys officiels, ceux de la mouvance médiatique, ne se contentent pas d'évaluer l'état psychologique du coupable et de la victime, de se prononcer sur le sens moral de l'un ou les éventuels dommages psychiques subis par l'autre. Fascinés par la Cour et ses fastes, ils se prononcent toujours sur le plan pénal ! S'exprimant dans la presse Note 68, le Dr Lacour Note 69 affirme que "l'alourdissement des peines est une nécessité". Les auteurs du Que sais-je ? estiment quant à eux que "la peine doit être infamante et dissuasive".

On peut s'étonner à juste titre qu'un psychiatre, dont la mission est de diagnostiquer et de soigner, puisse ainsi se muer en prescripteur de peine et en défenseur de valeurs sociales contingentes.

Sur le plan professionnel, nous avons déjà parlé des enjeux essentiels en termes de notoriété espérée et de fonds convoités.

Sur le plan humain, on peut évoquer l'étrange relation qu'entretient le thérapeute avec une certaine catégorie de patients, qui représente désormais une fraction non négligeable des hommes coupables d'outrage aux mœurs. Nous voulons parler des sujets dotés d'une intelligence supérieure et d'une excellente insertion sociale – du moins avant leur arrestation... Condamnés pour des actes pédérastiques, les voilà astreints à une thérapie et soumis à un psy parfois moins brillant qu'eux... Les propos du Dr Lacour expriment bien le ressentiment et l'impression de rivalité ressentis par l'expert :

" Je n'ai eu le sentiment que d'être un parapluie, un confesseur obligé... un interlocuteur que l'on essaie de convaincre des joies personnelles et des variations de la morale de cette sexualité selon les époques Note 70" (sic).

Sous la syntaxe chaotique transparaît bien la frustration passée du psychiatre, sa colère face au déni de pouvoir médical opéré par le pédéraste badin, incapable d'admettre cette gravité de l'acte qui fonde la puissance du thérapeute. Mais aujourd'hui les choses ont bien changé et quand le Dr Lacour, quelques lignes plus loin, demande que l'on augmente encore les peines prévues pour ce type de délit, c'est bien pour que le patient, le couteau sous la gorge, se rende enfin au pouvoir de l'expert. Il lui faudra plier ou mourir (parfois les deux). Ce sinistre épisode pourrait s'intituler "La revanche du Dr M'abuse". Par ses aveux et sa repentance, le patient vaincu justifiera du même coup le bien fondé de l'action de son médecin...

La théorie (américaine) du M.P.D.– Multiple Personality Disorder Note 71 permet de voir un monstre tapi sous l'accusé le plus brillant et le plus estimé. A l'égal du "nanti pervers", "l'intellectuel dévoyé" est une caricature chérie des médias.

Quand une petite fille fut sauvagement assassinée dans le petit village de La Motte du Caire, on s'est dit que Roman, le hippie pédoque issu d'une famille intello, ferait un coupable plus séduisant que Gentil, l'abruti congénital. Seul le courage d'un juge d'instruction l'a sauvé d'une condamnation certaine et médiatiquement programmée.

b) Validité des théories actuelles.

Les auteurs des théories officielles sur l'abus utilisent principalement trois méthodes.

• La première consiste à reprendre, sans la remettre en question, une théorie exposée dans un ouvrage publié précédemment – de préférence aux States. C'est ainsi que les mêmes fumisteries se répliquent indéfiniment sans qu'on songe à vérifier les sources d'information ou la base expérimentale de la thèse développée dans l'ouvrage. On vient de voir comment le Dr Lopez et ses comparses Note 72 parvenaient à scientifiser une littérature de caniveau.

• La deuxième méthode, elle aussi très répandue, consiste à réfuter sans argumenter. Un exemple, encore emprunté au Dr Lopez : "Dans les années 50, les psychiatres agrémentèrent (sic) le mythe selon lequel les conditions socio-économiques favorisaient les sévices : il n'en est rien." Ce spécialiste (pas du français, cela est clair ) se permet donc de balayer d'un revers de main tout un ensemble d'études sous l'unique prétexte qu'il écrit en 1993 et qu'il possède donc une supériorité évidente sur les psys des années 50 ! Il ne donne d'ailleurs aucun argument à l'appui de sa réfutation. C'est ainsi, et voilà tout.

Bauserman, lui, démontre scientifiquement le rapport existant entre les abus physiques ou sexuels et le milieu socio-économique Note 73. Nous renvoyons le lecteur à sa démonstration argumentée sur le sujet.

• La troisième méthode consiste à asséner une théorie-choc, bâtie sur un exemple isolé non représentatif de l'ensemble des cas, ou même sur des fantasmes invérifiables. Edward Behr cite ainsi le Dr Summit, psychiatre et expert en abus sexuels, dont les théories ont influencé la plupart des thérapeutes opérant à l'heure actuelle aux E.U. Ce praticien est l'inventeur du Child Abuse Accomodation Syndrome, dont le principe, très simple, est le suivant :

" Quand les enfants nient avoir été abusés sexuellement, c'est qu'ils l'ont été."

En effet, incapables d'assumer l'effet destructeur de l'abus, ils doivent en nier la réalité pour pouvoir survivre. C'est ainsi que, selon Summit, un enfant pourrait être abusé tous les jours et à chaque fois "oublier" qu'il l'a été ! L'idée pourrait paraître comique si elle n'avait, hélas, servi à faire condamner à de lourdes peines de parfaits innocents.

La mode actuelle semble aller vers une théorie qui semble en contradiction avec les dogmes précédents. Mais qui se soucie vraiment de cohérence en ce domaine ? Il s'agit de prendre en compte l'enfant qui, en dépit de tout, affirme qu'on ne lui a pas fait de mal et qu'il était d'accord. On ne peut quand même pas se résoudre à le laisser en dehors du système, le temps qu'il développe les inévitables troubles que la graine d'abus a semés en lui ! Ce serait vraiment dommage... Écoutons le Dr Nicole Korff-Sausse, citée dans le volumineux rapport de l'UNICEF sur le sujet :

" Ce dont il faut protéger l'enfant, ce n'est pas seulement de la violence des adultes, de leur séduction, leur érotisme, leur emprise, mais de sa propre violence, à savoir la sexualité enfantine. "

Un nouveau lobby pointe son nez, n'en doutons pas. Envolé l'ange de Bouillon. L'ado plein de sève et le lascar violent seront placés dans une même catégorie : l'enfant qu'il faut protéger de sa propre "violence sexuelle". Le filon s'annonce juteux. En Grande-Bretagne, un audacieux programme vient d'être lancé. Il s'agit de récolter la bagatelle de 2 millions de livres afin de mettre en place 18 projets dans tout le pays visant à déceler précocement les enfants qui pourraient se révéler être des agresseurs sexuels, cela dès l'âge de 5 ans !

En France, on se souvient d'une campagne lancée par Mme Royal en mars 99, contre les violences sexuelles à l'école. Un gros titre dans les journaux : "Un viol tous les 9 jours" Note 74. Les instituteurs ne sont plus en cause. Ce sont les jeunes qui se violent entre eux… Chaque jour, deux élèves seraient en outre victimes de violences sexuelles de la part de leurs camarades Note 75. Les parents affolés ne peuvent même pas mettre leurs enfants chez les Jésuites puisque, c'est bien connu, ces institutions catholiques sont des nids de pédophiles... Alors, que faire ? Les prêtresses du goudou proposeront sans doute de rogner le sexe du jeune mâle, forcément violeur. D'autres suggéreront que chaque enfant soit surveillé par un "tuteur Note 76  social" chargé d'endiguer sa libido, de le rendre innocent à lui-même en quelque sorte... Ce fut exactement le rôle de la répression anti-masturbatoire au 19ème siècle. Nous en reparlerons plus avant, en étudiant les textes de Foucault.

Ces nouvelles campagnes ont tout lieu de nous inquiéter. Au fur et à mesure que les faits têtus démentent leurs théories, les sectateurs de l'abus en créent de nouvelles afin de continuer à percevoir leurs prébendes. Cette nouvelle bigbrotherisation des petits frères vient d'être illustrée par l'affaire Raoul qui a secoué les E.U. et fait régulièrement la première page de tous les journaux en Suisse pendant deux mois. En France, on n'en sera pas étonné, cette affaire a été d'abord passée sous silence, puis évoquée tardivement et sans éclats après la libération de l'enfant. Dans ce cas, la folie furieuse a fait place à la pure barbarie. Voici les faits.

Raoul, un petit Américano-Suisse âgé de 11 ans, est aperçu par une voisine alors qu'il se trouvait dans le jardin familial en compagnie de sa petite sœur de 5 ans . Celle-ci avait la culotte baissée et, d'après la voisine, le petit garçon l'aurait touchée, ce que le garçonnet dément farouchement. Qu'on lise bien ceci : le garçonnet a été arrêté le 30 août 1999, mis aux fers et amené en prison – où il a passé plus de 2 mois. Il n'a dû sa libération qu'à une lettre des députés allemands à Clinton et à de multiples pétitions et protestations émanant de Suisse. Dans la France où on célèbre avec tonitruance l'anniversaire de la déclaration des droits de l'enfant, on s'en est peu ému, tant qu'il était incarcéré. N'est-ce pas la preuve que l'on prépare bel et bien un processus de pathologisation de l'initiation sexuelle masculine, sous la direction et pour le plus grand profit des marchands d'abus ?

Nous venons de parler des théories fumeuses et invérifiables. Il nous faut aussi dire un mot des fausses informations largement divulguées et facilement épinglables . Elles achèvent de prouver le manque de sérieux global de la plupart des publications consacrées à l'abus.

Le propos mensonger porte parfois sur des points essentiels. Ainsi Hamon, qui se plaît à jouer les hommes de loi, nous déclare Note 77 que :

" Le mineur de 15 ans est lui-même punissable s’il a des relations sexuelles avec d'autres mineurs de 15 ans. Note 78"

Le Code Pénal français affirme le contraire :

" Les rapports sexuels sont libres quel que soit le sexe pour un mineur même avec un mineur de 15 ans Note 79".

Dans ce cas de figure, un jeune homme de 17 ans, au développement adulte et perçu comme tel par l'enfant, peut parfaitement sodomiser un garçon de 9 ans si ça amuse ce dernier. Un an plus tard, notre ado risque 20 ans de prison... Par contre, aux États-Unis, comme on vient de le voir, le sexe entre mineurs est criminalisé... Note 80

Les chiffres totalement fantaisistes, les mensonges patents portant sur des faits vérifiables, devraient nous rendre suspectes les théories bâties sur des éléments aussi apocryphes... Ce sont ces mêmes théories qui, par leurs métastases médiatiques, gangrènent la Justice et entraînent une surqualification des atteintes sexuelles en viols – l'accord de l'enfant impliquant alors, pourquoi pas, un auto-viol...

c) Satanisme, chapelles et scandales.

En matière d'abus, on peut donc dire n'importe quoi si c'est pour le bien supposé des enfants même si, en définitive, cela doit leur faire beaucoup de mal.

Les affaires d'abus sataniques ne doivent pas uniquement être mises sur le compte des traditionnelles outrances américaines. Elles ne peuvent être considérées comme de simples bavures, déjà oubliées, survenues dans le cours d'un processus sain et essentiel visant à protéger l'enfant. Les initiateurs de ces campagnes n'ont jamais fait repentance. Les faux coupables envoyés en enfer et les enfants soumis à la question n'ont pas reçu d'excuses. Les mêmes spécialistes, qui affirmaient contre toute vraisemblance que des enfants victimes d'abus sataniques avaient bu le sang de bébés égorgés devant eux, continuent à faire autorité en matière d'abus. Des enfants sont martyrisés au nom de la nouvelle idéologie de l'abus. Madame Reno est toujours Ministre de la Justice.

Remontons un peu le fil du délire satanique dont la malédiction continue à peser sur nous.

La mode des abus sataniques commence en 83 aux E.U. avec le scandale de la maternelle Mc Martin Note 81. Sitôt les circonstances de l'affaire divulguées par la presse, des répliques imitatives se produisent aux quatre coins des Etats-Unis. L'épidémie atteint bientôt les pays de langue anglaise susceptibles d'être contaminés par les médias américains Note 82. Dès l'année suivante, en Grande-Bretagne, des dizaines d'enfants en bas âge sont enlevés à leur famille suite à de fausses allégations d'abus. Les affaires se multiplient jusqu'en 1991, où le Tribunal d'Old Bailey, confronté à une retentissante affaire de petites filles satanisées par leurs parents, prononce de justesse un non-lieu.

E ans .n France, il faudra attendre 1997 pour qu'une histoire de ce genre éclate, longtemps après que les procès américains aient été annulés et les innocents libérés après 5 ans de prison en moyenne.

En 1984, Paris Match avait publié un reportage sur l'affaire Mc Martin intitulé Sade au jardin d'enfants. Le journaliste y développe la thèse de l'accusation sans aucune distance critique. Il précise, en semblant s'en féliciter, que les coupables (tous innocents !) – au nombre desquels figure une grand-mère de 84 ans – n'iront sans doute pas au bout de leur peine puisque "aucun pédophile n'a jamais survécu dans une prison américaine."

C'est le délire alcoolique d'une mère d'élève qui a déclenché toute cette affaire. Comment a -t-on pu y ajouter foi ?

On peut tenter d'expliquer cette complaisante crédulité par ce que nous appellerons l'effet locomotive. Sur les chemins de l'abus, où les lois de la physique ordinaire ne s'appliquent pas, les wagons sont tirés par une micheline imaginaire... C'est bien pratique. Le journaliste peut facilement raccrocher à la motrice satanique tout un tas de fantasmes liés aux dangers de la sexualité adolescente. Dans le même article, notre folliculaire de Match cite le chiffre de un million de fugueurs automatiquement aspirés par les réseaux de prostitutions ou sacrifiés pour la fabrication de snuff movies Note 83. Le chiffre réel fourni par le F.B.I et le N.C.M.E.C. Note 84 donne de 52 à 158 disparitions de mineurs par an entre 1983 et 1990, dont plus des deux tiers sont des quasi majeurs et fugueurs présumés.

L'abus satanique, considéré comme avéré, vient donc accréditer tout le reste du folklore sexophobique. On peut, en remontant jusqu'à lui, retrouver la trace de notre obsession maladive de l'abus. Profitant de l'effet satanique, on nous balance des chiffres totalement faux sur la pompe aspirante de la prostitution infantile censée pousser à la fugue les enfants américains. On comprend alors la légitime préoccupation des parents affolés et des enfants angoissés, dont certains n'osent même plus ouvrir la fenêtre de peur que quelqu'un ne s'introduise dans leur chambre pour les violer !

Les journalistes et les spécialistes volent au secours des familles. Ils assurent avec dévotion le suivi du moindre acte déviant, à propos duquel on pourra faire sans cesse faire référence au satanisme et aux réseaux de prostitution.

Amalgame et désinformation permettent en tout cas de pisser de la copie...

Aux Etats-Unis, on peut à peu près tout dire. Ceux qui professent des opinions incorrectes s'exposent toutefois à voir leur carrière stagner et leur avenir professionnel compromis.

En France, ce qui ne va pas dans "le bon sens" est tout simplement victime de silence médiatique et donc refoulé dans la non-existence. Les journaux français n'ont, à notre connaissance, consacré aucun article à l'annulation des condamnations dans les procès sataniques aux E.U.

En 1997, soit avec 14 ans de retard, TF1 et A2 ouvrent toutes deux leur journal de 20 heures sur un livre écrit par un journaliste "compatissant" à propos des abus sataniques dont aurait été victime un garçon aujourd'hui âgé de 24 ans. Il aurait été prisonnier pendant 10 ans d'une secte démoniaque nommée "Krypten". On l'aurait séquestré, brûlé à l'acide, soumis à des rituels orgiaques – en Belgique, bien sûr ! Quelques semaines plus tard, V.S.D. démontrait dans un reportage, où étaient interrogés les pseudo lucifériens mis en cause dans le bouquin, l'absurdité de toute l'histoire. Il n'y eut aucun écho de cette contre enquête, ni à la télé ni dans le reste de la presse !

Sur la planète média, tout ce qui est vendable est certifié véritable ! Directement importée des States où elle a beaucoup de succès et gagne bien sa vie, on voit apparaître en France un nouveau personnage public : "la victime-vedette". Elle se trimballe de talk-show en actus, auréolée par un malheur qui fait le bonheur d'une télécaste vendeuse de tabous et friande de confessions salaces.

Pourquoi perdre de l'argent en taisant des choses qui, si elles étaient dites, pourraient rapporter gros ? La vérité du propos est relativement secondaire... L’appât du gain, le vedettariat incitent à des accommodements avec la vérité. Il peuvent aussi être à l'origine d'entreprises organisées de détournement de fonds... et de morale.

d) Les escrocs Note 85.

Nous avons parlé de ceux qui ne vérifient ni la source des informations ni leur exactitude. Il y a aussi ceux qui ne diffusent que les infos qui les arrangent. On connaît également ceux qui bricolent l'information afin de la sensationnaliser. Il y a enfin les escrocs purs et simples... Parmi les héros de la lutte contre l'abus, il y en a beaucoup !

1- Ceux à qui la lutte contre l'abus servait de noble paravent :

• Mme Michaux Chevry, inculpée "d'escroquerie, de faux et usage de faux" à répétition Note 86 était en 1993, Ministre de l'Action Humanitaire. Elle s'illustra alors par une croisade menée contre le tourisme sexuel et fit promulguer une loi sur l'extraterritorialité en matière d'abus.

2- Ceux qui ont prospéré sur l'abus lui-même :

• Madame Gublin, présidente d'Enfance et Partage, une association à l'origine de l'hystérie médiatico-judiciaire en France, a été condamnée en 1996 à 15 mois de prison pour "abus de confiance et détournements de fonds" Note 87.

• Madame Botte, la passionaria pédophobe belge, a fait la une de tous les médias. Elle a été nommée femme de l'année en France et anoblie en Belgique. Elle a aujourd'hui la justice aux trousses Note 88. Elle aussi, c'était son intérêt, avait gonflé les chiffres de la prostitution enfantine en Thaïlande où il fait bon vivre dans les hôtels climatisés (on ne l'a jamais vue au secours des enfants égorgés ou victimes des mines anti-personnel). Afin de détourner plusieurs millions de francs, elle prétendait, au cours de l'année 1995, avoir sauvé "1056 enfants des griffes des marchands d'enfants et des crocodiles étrangers" Note 89. En fait, elle s'est prévalue d'actions effectuées par une O.N.G. appelée Centre de Protection des Droits de L'Enfant qui fait état d'un bilan beaucoup plus modeste : 25 mineurs retirés à la prostitution et 29 au travail forcé. Gageons que, pour ne pas compromettre l'abusiness dont elle était une figure de proue, on n'étalera pas trop l'infamie de Mme Botte.

3- La dernière catégorie, incontestablement la pire de toutes, regroupe "les croisés abuseurs".

Comment expliquer que les journaux n'aient pas suivi les développements judiciaires de l'affaire impliquant l'odieux Père Lefort ? En 1989, ce prêtre fait partie des commissions préparatoires à la promulgation des Droits de l'Enfant. Au début des années 90, il donne des interviews dans tous les médias pour exiger une répression féroce à l'égard des pédophiles, aussi bien en France qu'à l'étranger. Il dénonce en particulier tous ces pédérastes qu'il connaît bien. Il les qualifie de "malfaiteurs" et réclame pour eux un "châtiment exemplaire", apprend-on dans le Matin de Paris du 22/12/95. Dans ce même numéro, on nous révèle que le juge Nelly Delfosse de Nanterre l'a mis en examen pour viols sur mineurs "à la suite de nombreux témoignages accablants et après une longue enquête de la Brigade des Mineurs de Paris".

Bien entendu, les journaux n'ont donné aucun écho à cette affaire ! A quelques mois de la conférence de Stockholm, c'eut été malvenu. On a peu parlé de Botte et encore moins de Gublin... Il ne faudrait pas se livrer à des généralisations hâtives, n'est-ce pas ?

Qu'un hétérosexuel désaxé enlève des jeunes filles et des fillettes, et on n'hésitera pas à considérer tout pédéraste inoffensif comme un Dutroux en puissance Note 90. Mais que nombre des pourfendeurs de l'abus se révèlent être des escrocs ou des violeurs, cela n'entamera pas la crédibilité de toutes ces associations pullulantes, qui prospèrent sur les fonds publics et les dons privés fiscalement déductibles.

Quant à l'UNICEF, étant donné le prestige international dont elle continue à jouir et les sommes considérables que lui rapporte le business de l'enfance malheureuse, comment ne pas considérer les chiffres falsifiés qu'elle publie comme une escroquerie ? On rappellera que cette organisation, soucieuse sans doute de frapper les puritains yankees au portefeuille, dénombrait 600 000 enfants prostitués aux E.U. en 1994 ! Elle faisait des États-Unis une "destination de tourisme sexuel récemment signalée" Note 91.

Seul le désir légitime des fonctionnaires américains de L'UNICEF de travailler près de chez eux peut expliquer la publication de chiffres aussi fallacieux !

e) Les collusions.

La première pourrait également figurer au nombre des escroqueries. Il est question du Dr Catherine Bonnet. Cette pédo-psychiatre connue, spécialiste de l'abus, a publié un livre sur le sujet en 1999 Note 92. Elle vient d'être condamnée en appel à une interdiction d'exercer de trois fois un an Note 93. On lui reproche d'avoir établi des certificats "faux, mensongers et tendancieux" à propos d'enfants présentant des troubles susceptibles d'évoquer d'éventuels abus sexuels (on a vu avec Mme Bouillon qu'à peu près toutes les attitudes d'un enfant pouvaient être interprétées en ce sens). Qu'en est-il au juste ? Il s'agissait pour Mme Bonnet d'aider des mères en instance de divorce à obtenir la garde des enfants. En accusant le père d'abus sexuel...

Il faut se souvenir que dans certains Etats des E.U. les femmes peuvent accuser leur mari de sodomie Note 94 (pratique illégale) pour obtenir la garde des enfants. Comme l'écrit West Note 95 : "la loi a mis une arme dangereuse à la disposition des épouses sans scrupules ou vengeresses". C'est ce qui se passe aujourd'hui en France, en beaucoup plus grave. Quand les lubies d'une psychiatre en quête de reconnaissance rencontrent les frustrations charnelles de mères désemparées, le choc ne peut qu'être générateur de drames. Imagine-t-on le trouble ressenti par le jeune enfant interrogé sur son père, accusé de viols incestueux ? Que dire de celui qu'on arrête, questionne sans relâche et parfois emprisonne sur la base de dénonciations calomnieuses et de certificats de complaisance ? L'association "S.O.S. papas" lutte contre de pareilles aberrations.

Déjà condamnée en première instance, Mme Bonnet publie un livre qui accroît encore le malaise. Avec le souci constant de préparer son procès en appel, elle y utilise à tout propos la "souffrance des enfants" à des fins disculpatoires, elle la jette à la face de ceux qui prétendraient l'accuser... Note 96

Cette affaire Bonnet nous dévoile l'existence de véritables réseaux de l'abusiness. On remarque en effet que le précédent ouvrage de Mme Bonnet était dédié à un juge pour enfants de Bobigny, présent sur tous les plateaux et dans tous les journaux lors des multiples campagnes pédobsessionnelles que nous avons connues... C'est elle, encore, qui rédigeait un chapitre complet du Que sais- je ? co-écrit par le Dr Lopez (qui lui-même fait la pub du précédent livre de Mme Bonnet !). Elle nous y expose ses méthodes : il s'agit d'éviter la "silenciothérapie" et "d'aider l'enfant à mettre des mots sur ce qu'il a ressenti". S’il ne dit rien, le Dr Bonnet – sans doute un peu ventriloque – parlera pour lui. Mais l'enfant doit alors prononcer les mots que Mme Bonnet a envie d'entendre. Il pourra "accuser cet adulte, exprimer sa rage, sa haine, sa révolte d'avoir été désigné comme victime". Quelle est l'origine de cette transe écumante dont l'enfant-victime  Note 97 n'est que le médium innocent Note 98?

Une fois calmée, elle s'étonne que certains parents aient du mal à "reconnaître la souffrance de leur enfant" et la nient. Heureusement, Mme Bonnet va les convaincre d'entreprendre une thérapie le plus vite possible, "sans attendre que s'installent les symptômes". Ceci est capital, du moins pour l'activité professionnelle de Mme Bonnet ! Il ne saurait y avoir qu'un enfant en sursis de symptômes. Mme Bonnet se chargera donc de le victimiser, de lui inoculer un poison, celui de la "rage", de la "haine" qu'elle même doit éprouver vis à vis des hommes... Nous retrouvons là l'effet iatrogène Note 99 de la victimisation que dénonce Bauserman. Mais, non contente de victimiser les enfants "abusés" qui n'en souffrent nullement (Bauserman montre que c'est la majorité des cas ), elle décèle des abus imaginaires pour répondre aux attentes de ses clientes.

A la lecture de ce chapitre du Que sais-je ?, rédigé en 1993, on pouvait prévoir le dérapage...

Les anglo-saxons qui ont repéré la supercherie écrivent le mot therapist (en français, thérapeute) en deux mots : the rapist, ce qui signifie alors "le violeur" ! Comment nier en effet que certains thérapeutes profitent de leur position d'adulte et de médecin pour méduser "l'enfant victime", pris en étau entre les certitudes de la mère et l'engluement complice opéré par le psy ?

On pourrait dire, pour la défense de Mme Bonnet, qu'elle est elle-même prise dans un système qu'elle a contribué à mettre en place et où elle doit tous les jours prouver son utilité ! On ferme les hôpitaux sans patients. Dans le domaine chirurgical aussi, on apprend que des malades sont opérés de faux cancers par des chirurgiens en manque d'actes...

Ne serait-il pas juste qu'un médecin expert qui a – sciemment ou sous l'effet d'un aveuglement coupable – fabriqué de faux certificats d'abus, soit condamné à la même peine que l'on aurait infligée à celui qu'il met en cause, s’il avait été coupable ?

On peut remarquer, à ce propos, à quel point la loi (qui prévoit cinq ans de prison pour les dénonciations calomnieuses) n'est pas appliquée. C'est donc assurées d'une totale impunité que des femmes en colère peuvent tenter de détruire leur conjoint...

L'abusiness, après tout, est un gisement d'emplois qu'il convient de sauvegarder. Mais comment entretenir toute une institution, légitimer d'énormes financements publics ou privés pour les structures, les équipes socio-thérapeutiques, les associations, avec peu de pervers ? Comment pondre un article tous les jours avec peu de pervers ? Comment se faire aimer des parents-électeurs en annonçant des lois, des réformes, de la sévérité accrue, à propos d'un assassinat, atroce, mais qui ne se produirait " "que" " tous les trois ans ?

Pour réussir, prospérer, il faut donc amalgamer, créer un lien de causalité entre des faits qui en sont dépourvus, pour pouvoir à tout moment ressasser le thème obsédant : l'enfant est en danger sexuel ! Bien entendu, les réseaux de l'abusiness ont leurs relais médiatiques. Mais la denrée se fait rare ! On doit tricher, trafiquer de plus belle pour continuer à scandaliser le lecteur.

Dans son numéro du 28/09/98, France-Soir titre sur toute sa une avec une énorme photo mosaïquée : "Stephan, 9 ans, prostitué à Paris". Ce jeune roumain était censé faire partie d'un gigantesque réseau destiné à alimenter la capitale en chair fraîche. La police était impuissante face aux ramification du crime sexuel organisé...

La vérité ? Âgé en fait de 14 ans, il était le seul mineur en cause Note 100. Déjà arrêté et placé en foyer pour délinquance, vols et dégradations de véhicules, il avait fugué pour se trouver des protecteurs argentés...

En 1999, France-Soir Note 101 doit se résoudre à faire sa une et deux pages intérieures avec un seul mineur qui se prostitue très occasionnellement... Pourtant, à peine trois ans auparavant, le même journal nous annonçait que "8000 enfants se prostituent en France" Note 102. On comprend qu'à mesure que le "banc" d'abus s'épuise, on soit obligé d'en inventer. Sinon, que pêcheraient les journalistes et les thérapeutes ? La rubrique pédophilie étant bien ancrée dans les faits divers et de société, il faut l'alimenter, coûte que coûte !

On peut légitimement penser que les truqueurs, les escrocs, les croisés violeurs, les calomniateurs ne seront pas inquiétés outre mesure (peut-être un peu, pour la forme). Il s'agit de préserver l'essentiel, le filon.

f) Réaction des politiques.

Au plan national, il est évident que le champ de leur action s'est considérablement rétréci. La mondialisation rend l'impact de leurs décisions plus difficile à percevoir. Dans le domaine économique et social, l'interdépendance des phénomènes, les pressions internationales, l'importance croissante des décisions prises à l'extérieur du pays, rendent malaisée toute réforme radicale. Pourtant les difficultés subsistent (chômage, précarité, école, insécurité...) et les remèdes ne sont pas faciles à trouver.

L'abus agit comme un test de crédulité publique. Si nos concitoyens, terrorisés pour leurs enfants, gobent "ça", alors on pourra sans doute leur faire avaler d'autres bobards. Pour beaucoup, le conditionnement médiatique opéré au cours de la guerre au Kosovo en est un exemple frappant.

La pédophilie est devenue un sujet consensuel et dérivatif à propos duquel tout le monde ressent la même chose et emploie les mêmes mots pour le dire.

Ceux des politiques qui ne mordent pas à cet hameçon facile se gardent bien, en tout cas, du moindre commentaire. Nul ne peut courir le risque de passer pour trop coulant avec les "violeurs d'enfants". La porte est ainsi ouverte à toutes les surenchères, ce qui conduit en particulier à la défiguration du Code Pénal sous les coups de boutoir d'une opinion manipulée et désinformée.

Toutes les grandes tirades enflammées sur les "viols d'anges" ne sont pas sans rappeler les discussions théologiques un tantinet futiles qui agitaient une Constantinople assiégée et vouée à la disparition...

3) Les logiques de l'abus.

a) Une logique criminelle.

Nous venons de voir comment la caste communicante des sectateurs de l'abus a réussi à imposer son nouveau dogme que nous résumerons d’une phrase : tout abus est systématiquement criminel. Nous allons étudier les conséquences éminemment perverses et liberticides qui en découlent. Les deux qualificatifs "systématique" et "criminel" nous paraissent essentiels pour bien saisir les ressorts de cette idéologie et sa parenté avec toutes les terreurs en "-isme" qui ont été les fléaux de ce siècle finissant.

Parlons d'abord de l'aspect systématiquement criminel de l'abus. Imaginons qu'une personne ait vent d'un cas de "sexe" transgénérationnel. Elle connaît les protagonistes et ne constate aucune conséquence néfaste apparente. Quelle que soit sa compétence professionnelle ou sa valeur humaine reconnue, il lui est interdit d'exercer son propre jugement, d'apprécier la situation dans sa spécificité. La loi de 1997 rend obligatoire la dénonciation de tout abus, soupçon ou rumeur d'abus sous peine de lourdes sanctions pénales.

Qu'est-ce que cela signifie au juste ? En l'absence de toute médiation médico-psychologique ou parajudiciaire, cela revient à mettre en branle une action policière et judiciaire lourde qui entraînera inéluctablement la destruction sociale et morale du déviant et des séquelles probables pour le mineur. Pour avoir voulu éviter cela, des médecins, des éducateurs, des enseignants sont traînés en justice, accusés de non dénonciation. Les médias et les procureurs s'indignent : comment ont-ils pu fermer les yeux ? Coupables, certes, de n'avoir pas soumis leur intime conviction aux rigueurs du Dogme...

Le propre de l'idéologie aveugle, c'est qu'elle doit résister à l'évidence des faits. Celui qui en toute bonne foi, sur le terrain, n'aura pas vu le mal Note 103 sera détrompé par voie judiciaire. Le moindre retard vaudra une mise en examen. Il faut créer un réflexe de délation instantanée. Il n'y a pas lieu de réfléchir puisque le crime est systématique. C'est grâce à ce genre de matraquage idéologique que des enfants endoctrinés d'U.R.S.S. en venaient à dénoncer leurs parents "déviants". Toute tentative pour relativiser "l'horreur pédophile" gonflera de courroux les gardiens du dogme : on l'appellera "banalisation" ou même "apologie de crime contre l'humanité..."

Parlons maintenant de la nature criminelle de l'abus.

Rappelons en préambule que la coupure Note 104 entre générations est aujourd'hui consommée aux États-Unis. En France, elle est en bonne voie. Toute implication forte d'un adulte mâle en milieu adolescent est vécue comme suspecte. Dans l'Etat du Massachusetts, c'est une infraction d'adresser la parole à un mineur inconnu. Il est certain que cette rupture, cette absence de modèle d'identification pour l'ado en dehors de sa classe d'âge, en particulier dans les familles éclatées, est un facteur de violence. Il arrive de plus en plus que des ados d'apparence normale et sans antécédents, commettent des crimes affreux. Assassinats sordides, boucheries scolaires à répétition, incitent une société désemparée à se cabrer et à durcir ses lois. Aux E.U. les coupables des crimes les plus graves sont jugés comme des adultes quel que soit leur âge.

Or, suite aux fausses théories propagées par l'abusiness, les actes sexuels consentis avec un mineur ou même entre mineurs sont hautement criminalisés et traités à égalité avec les massacres de masse ! Voilà pourquoi, en bonne logique, un garçon de 11 ans se retrouve avec les chaînes aux pieds...

b) Logique yankee et exception française.

Aux E.U., en matière d'abus, les institutions agissent avec une barbarie non dénuée d'une certaine logique. L'ex baba-cool Hillary Clinton Note 105, à qui on posait, en 1995, la question : "A quel âge les jeunes peuvent-ils commencer à avoir une vie sexuelle ?", répondait ceci :

" Ma théorie, la voilà : ne faites rien avant 21 ans et ensuite, je ne veux pas en entendre parler. Note 106"

Le sexe est donc un mal auquel on se résignera chez l'adulte déchu mais dont il faudra protéger la jeunesse, aussi tard que possible. La répression sera équitable. Une instit Note 107 qui attend un bébé de son élève de 13 ans sera mise en prison pour 7 ans. Un enfant de 11 ans qui caresse sa petite sœur sera incarcéré. Il faut bien comprendre que la répression sexuelle américaine est d'essence religieuse. Le saupoudrage médico-scientifique est de pure forme, il sert de paravent à un fanatisme moral constitutif. C'est pourquoi les chiffres de l'abus n'ont pas besoin d'être exacts. Le plus souvent, le coupable est un homme mais le démon du sexe peut aussi habiter une femme ou un enfant. Mâle, femelle, enfant ou prix Nobel Note 108, celui qui s'adonne au sexe mineur est déchu de son immunité. L'Amérique est en guerre civile permanente. Contre le Mal, le Péché ou sa version laïque, le politiquement incorrect...

Comme chacun sait, la France est experte en Droits de l'Homme : extrêmement pointilleuse sur le sujet... Ce qui ne l'empêche nullement de copier le fanatisme moral anglo-saxon pour tenter de l'acclimater au pays de la Raison et de l’Égalité... Méconnaissant le fondement intégriste de l'abus-mania, on assaisonne le concept à la sauce hexagonale. Il demeure toujours aussi barbare; il devient, en outre, absurde et discriminatoire.

Constatons déjà que, chez nous, la femme est disculpée à l'avance de tout soupçon d'abus Note 109. On assiste d'ailleurs à un incroyable retournement sémantique. Qu'un prof ou un éducateur ait une relation pédérastique avec un adolescent, il ne peut s'agir que d'un viol, d'une prédation, d'une subjugation de l'ado fragile par l'adulte pervers. Que donne ce même scénario lorsque l'adulte est une femme ?

Paris-Match annonce la couleur : "Moi, Muriel F., coupable d'aimer..." Une institutrice de 34 ans baisant avec un élève de 14 ans Note 110 devient une martyre de l'amour. Comment peut-on s'opposer à une idylle aussi sublime ? La victime (l'adulte, bien sûr ici !) a subi "un rapt psychologique" Note 111. Une femme mûre exploitant un enfant ? Que nenni ! Pour la loi, il s'agit d'un délit dont nul n'avait entendu parler et qui n'a jamais servi à excuser la moindre relation pédérastique : "soustraction sans fraude ni violence d'enfant mineur des mains de celui qui exerce l'autorité parentale". C'est du sur mesure. Évoquer l'aspect sexuel serait tellement vulgaire...

On se demande vraiment ce que font les comités chargés de lutter contre la discrimination anti-homosexuelle ! Sont-ils trop accaparés par le PACS ? Le cas est pourtant flagrant. Des années de prison à coup sûr pour un rapport homo et un satisfecit pour l'amante héroïque. Enfin... un mois de prison avec sursis... à regret, on l'imagine. L'élève était un "séducteur" Note 112, hétéro semble t-il. Eut-il souhaité exprimer sa sexualité précoce avec un homme, on l'aurait changé illico en victime abusée. Magie du verbe.

Revenons à Raoul, qui a le défaut d'être un mâle, mais demeure tout de même un enfant... Devant l'Europe indignée qu'on ait pu emprisonner, menotter, entraver un gamin de 11 ans, le shérif qui l'a arrêté rétorque : "C'est la procédure normale". On ne peut que lui donner raison. Crime violent, sexe interdit sont deux facettes du Mal. Et la logique américaine punit le Mal, quelle que soit la personne qui l'incarne. Pour l'Amérique bien pensante féministe et pédolâtre, Raoul et Mary Letourneau sont des ennemis intérieurs, des Sudistes...

La logique française est un peu chamboulée... On n'ose pas trop avancer la banalité du "touche-pipi" car cette expression (dangereusement dédramatisante) est devenue totalement incorrecte. Alors, pour ne pas changer, on se contente de pester contre le traitement que l'Amérique inflige à ses "enfants criminels," sans distinction. Le cas Raoul est mis en parallèle avec celui d'un autre gamin qui a dégommé un passant à la carabine. Aucun média pour reconnaître qu'un bricolage frère-sœur (quand l'aîné à 11 ans) relève d'une admonestation parentale et non d'un traitement carcéral ! Donner des leçons de Droits de l'Homme aux Américains, ça ne coûte rien mais il ne faut surtout pas risquer de tarir le filon de l'abus !

Cette position absurde appelle deux réflexions.

• Le sexe intergénérationnel étant de nature systématiquement abusive, pourquoi ne pas considérer que Raoul a exploité la naïveté de sa petite sœur, aux yeux de laquelle il jouit d'un prestige de "grand" protecteur ? La France hésite, en fait, entre la logique du prédateur en herbe et celle de l'enfant forcément angélique !

• Raoul, s’il est "coupable", a bien fait preuve de curiosité sexuelle, il a bien pris l'initiative de jeux libidineux sans gravité ni contrainte avec sa petite sœur. En quoi aurait-il pu être victime si cette même curiosité l'avait poussé à provoquer des jeux sexuels avec un adulte ou à y consentir ? Il n'est pas concevable qu'une envie sexuelle enfantine ne puisse ressortir qu'à l'abus. Si on refuse de faire place au consentement explicite du mineur, il faut, à la yankee, sanctionner tout acte tabou quel que soit l'âge de son auteur...

En France, on fait mine de considérer l'affaire Raoul comme le "dommage collatéral" d'une juste cause. On ne peut avouer clairement que le jeu sexuel non violent n'est pas un crime, car cela reviendrait à diminuer la responsabilité de l'adulte abuseur.

Alors on biaise et on demande, en fait, que tous les enfants soient largement déresponsabilisés, même en cas de crime violent. Nul n'admet que le tripotage exploratoire en fratrie n'a pas à intéresser le législateur alors que le crime violent ne peut à l'évidence que le concerner !

En fait, le cas Raoul est la conséquence directe d'une extension démesurée de la notion d'abus. N'oublions pas que la définition même de l'abus est donnée par ceux qui sont chargés de l'identifier. Chez nous, le féminisme médico-médiatique le retaille à ses mesures, quelles que soient les distorsions et les discriminations qui en résultent.

En Amérique, au moins, on respecte des dehors égalitaires dans le traitement judiciaire des interdits sexuels.

4) La résistance éclatée.

On pourrait comparer la lutte contre l'abus à cet antidote administré aux soldats de la guerre du Golfe. Destiné à protéger les G.I.s d'un danger qui s'est révélé imaginaire, le remède-poison a gravement affecté la santé de 100 000 d'entre eux...

Le procureur chargé du dossier Raoul, après l'avoir gardé plus de deux mois en prison, s'est permis de conseiller aux parents un "suivi psychologique" de ce grand pervers. Ce à quoi la mère du gamin a répondu qu'effectivement il serait "soigné, mais uniquement pour le traumatisme subi dans les prisons américaines."

Malgré les conséquences négatives voire tragiques que nous avons évoquées, les sectateurs de l'abus continuent à agir sans rencontrer de résistance. Pour tenter d'en expliquer la raison, il nous faut aborder sommairement les techniques de désinformation. Nous nous en tiendrons aux aspects qui peuvent intéresser notre commentaire.

a) L'art du lien.

Une première technique fréquemment employée consiste à créer un lien artificiel entre un grand crime et le coupable que l'on a sous la main. Ce grand crime peut être réel (Shoah, Dutroux) ou postulé (Kosovo).

• En Belgique, le crime de Dutroux était si atroce qu'il était médiatiquement impensable de se contenter d'un seul coupable. Alors, pour nourrir la meute que l'on avait déchaînée, des ministres furent traînés dans la boue. Ce que tous les morts du sang contaminé n'ont pas réussi à faire en France, un sinistre fait divers a bien failli le provoquer en Belgique: la mise en cause et le balayage d'un gouvernement et des principales institutions du pays. Nos hommes politiques en ont pris de la graine...

• A Bordeaux, on se saisit d'un vieillard, un notable hautain et peu sympathique. Le procès qu'on lui fait n'a pas à être juste et exemplaire. Non. Il doit être symbolique et pédagogique. 55 ans après les faits, impossible de prouver quoi que ce soit. Aurait-il pu empêcher des déportations ? Est-ce que ça aurait été pire sans lui ? On ne le saura jamais. Le vieux Papon n'est plus qu'un macchabée-vivant ( ! ) On l'allonge dans l'amphi judiciaire et on le dissèque au bistouri médiatique pour donner une leçon de mémoire à la jeunesse.

• Au Kosovo, profitant d'une guerre civile attisée de l'extérieur, on anesthésiera le sens critique en lançant le mot "génocide". Cela suffira pour justifier des bombardements humanitaires qui causeront des milliers de morts...

b) une résistance divisée.

Il est possible que certains de nos lecteurs ne partagent pas notre analyse sur les événements d'actualité que nous venons d'évoquer rapidement ! La grande force de la désinformation, c'est justement de diviser ses adversaires. La sensibilité à la propagande est rarement globale. Elle suit la ligne tracée par les clivages idéologiques ou par les intérêts individuels. Ceux qui verront la vérité n'auront souvent ouvert qu'un œil. Chacun dénoncera le mensonge dont il est victime et s'accommodera de celui qui l'arrange. Une lucidité débrayable en somme.

On entendra : "Il est scandaleux de mettre un vieillard de 90 ans en prison... alors que des violeurs d'enfants sont en liberté."

Ou alors : "On pourchasse les pédérastes mais on n'est pas capable d'arrêter Milosevic."

Cela s'explique. Nous sommes quotidiennement accablés de mauvaise conscience humanitaire et soumis à des alternatives truquées : Acquitter Papon c'est cautionner la Shoah..., Ne pas pilonner la Serbie c'est être complice d'un génocide, etc...

Pour finir de sceller notre inertie mentale, la pensée unique multi-supports (il suffit de voir la devanture des kiosques !) laisse croire à une diversité de points de vue et tue la curiosité de chercher des informations plus difficilement accessibles. Au lieu de brûler les livres, on les boycotte et on sature le public d'infos correctes. L'oie, gavée à bloc, n'ira pas chercher d'autre nourriture...

Et pourtant , si toutes les victimes de la pensée unique, au lieu de se crisper uniquement sur la désinformation qui leur nuit, consentaient à unir leurs réflexions sans exclusive...

 

IV. FOUCAULT ET L'ENFANT MASTURBATEUR.

Il est frappant de constater que les actuelles campagnes pédophobes Note 113 jouent exactement le même rôle que les croisades anti-masturbation au 19ème siècle.

Au moment ou Foucault donnait ses cours au Collège de France, ce qu'il est convenu d'appeler "la libération sexuelle" (M.L.F., F.H.A.R. homo, Charte des enfants...) battait son plein. Rien ne laissait présager les campagnes abusives des années 90. Des journaux de gauche défendaient le droit à l'amour intergénérationnel qui était dans le vent. Les Tribunaux, contrairement à ce qu'on voudrait nous faire croire aujourd'hui, sanctionnaient sans faiblesse les attentats à la pudeur – qui toutefois n'étaient pas encore confondus avec le viol...

Étudions point par point les similitudes troublantes entre les croisades branlophobes des 18-19ème siècles Note 114 et les campagnes abusives de la fin du 20ème.

Foucault note que "le discours sur la masturbation prend la forme, beaucoup moins d'une analyse scientifique, que d'une véritable campagne : il s'agit d'exhortations, de conseils, d'injonctions". Foucault parle de croisade. C'est exactement le terme employé à propos des abutineuses dont nous avons parlé. Bouillon est appelée "la croisée anti-pédophile". Botte est baptisée "passionaria anti-pédophile". Le style de toute cette littérature est toujours le même. Jamais d'argumentation construite, pas de définition des termes employés. Juste une hystérie haineuse. Qu'on en juge d'après une page prise presque au hasard dans le livre de Simone Chalon Note 115. Cette grande penseuse, courageuse et nuancée, fait partie des "happy few" immédiatement consultés par les grands médias dès qu'une "horreur pédophile" se produit en France. Elle ne peut contenir sa colère car, dans un coin obscur d'une obscure revue, elle a relevé une opinion dissidente, révisionniste et criminelle sur l'abus Note 116. Voyons les termes utilisés par cette dame :

" Je ne peux que m'insurger... délires littéraires... lâcheté et malignité... je tremble de colère en lisant ce genre d'ineptie... ces ignobles propos... on croit rêver... textes révoltants...l'auteur pousse l'ignominie... etc... "

Le tout dans une seule page (p 104) du bouquin ! Autant dire que l'invective occupe toute la place qui, dans un ouvrage pensé et écrit, devrait être dévolue à la contestation argumentée...

La réfutation cède le pas à l'ire trémulante. Il s'agit, telle une orfraie hérissée, de faire fuir l'adversaire par des vociférations rageuses afin d'occuper seule le terrain. Alors même que l'univocité la plus totale règne déjà...

Qu'un esprit distingué comme M. Finkelkraut s'avise de moduler très légèrement le consensus haineux, Mme Bouquet Note 117 lui vole dans les plumes. Aucun argument n'est nécessaire pour cela. Il suffit de hurler, de faire la preuve par les cris...

A propos du discours sur la masturbation, Foucault parle de "fabulation scientifique". Il s'agit de dénoncer les médecins qui, profitant du préjugé d'autorité que leur confère leur titre, tiennent des propos délirants sans fondement scientifique aucun.

C'est exactement ce que nous avons noté à propos des ouvrages sur l'abus. Bauserman remarque "qu'on a généralement étiqueté les attitudes en fonction de la morale et non de la science, même si ce sont des scientifiques et non des profanes qui utilisent ces étiquettes dont l'usage peut avoir des conséquences graves".

Un des moyens employés par les médecins du 19ème pour faire passer leur conception de l'onanisme "maladie totale" est d'avoir recours à "une sorte de genre littéraire qui est la lettre de malade". Ces lettres sont, pour la plupart, écrites par le médecin lui-même. Il s'agit, on le comprend, d'étayer par des "témoignages vérité" une théorie un peu douteuse. Une sorte d'aveu à la première personne où justement, à travers les déclarations innocentes du malade qui s'épanche, se vérifient les hypothèses du médecin. Celui-ci, une sorte d'anti-Pasteur, au lieu d'étudier une pathologie réelle, crée un patient imaginaire affublé de tous les symptômes de la maladie qu'il a inventée pour sa plus grande gloire.

C'est exactement ce que fait P. Meney dans Les voleurs d'innocence, le document marron qui plaît tant au Dr Lopez. Tout le bouquin est basé sur une lettre de malade qu'un psychopathe assassin est censé lui avoir écrite. Extraits :

" Je me livre au viol de fillettes depuis l'âge de 22 ans et j'en ai près de 60... Des enlèvements comme celui-là, j'en ai fait des dizaines... La ramener chez moi pour la violer mais aussi pour la tuer. Je n'en étais pas à mon coup d'essai... vous la regardez se tordre, pleurer et faire des grimaces... bien souvent la gamine oubliait que je l'avais embarquée de force dans la voiture, et elle commençait à me considérer comme un copain. Elle m'embrassait en partant... Note 118 j'ai trouvé la filière... j'expédie les gamines en Allemagne... dès quatorze ans elles sont retirées de la circulation, proprement et sans laisser de traces... etc. "

Meney précise pour authentifier la chose : "Psychiatres et policiers m'ont dit que ce récit est conforme aux aveux qu'ils ont l'habitude d'entendre". Meney opère un croisement entre le serial killer à l'américaine et "le pédophile qui croit qu'il ne fait pas de mal" pour montrer qu'il s'agit en fait du même homme : l'auteur de la lettre. Sa parabole monstrueuse tend à nous convaincre que l'acte criminel est inscrit dans la pédophilie ordinaire, qu'il en est inséparable. En outre, il laisse entendre que ce genre de personnage est assez répandu puisque les policiers assurent qu'ils ont l'habitude de recueillir ce genre de confession.

Ce faux manifeste, qualifié par le Dr Lopez "d'ouvrage bien documenté", ramasse tous les fantasmes ogresques latents en vue de réalimenter le bûcher pédophobe.

Meney, qui a fait carrière dans la détresse à grand spectacle, sait qu'on peut manipuler l'opinion avec des faux grossiers. Sans risques. Il est absout à l'avance, chacun étant persuadé que cela va dans le bon sens, celui d'une protection renforcée pour nos enfants.

Mais, au fait, qu'est-ce qu'un "bon sens" balisé tout du long par les mensonges, l'amalgame et la désinformation ? Il s'agit de rien moins qu'une incitation à la haine et au meurtre. Qui n'aurait envie, à la lecture de sa lettre, d'estourbir l'ignoble salopard (virtuel) qui, en plus, nous nargue ?

Mais – il faut le rappeler car c'est essentiel – ce monstre cynique, c'est le même qui peut avoir des relations "copain" avec les fillettes qui le remercient et l'embrassent en partant ! Le manipulateur et l'assassin-trafiquant d'enfant fusionnent. La haine du second peut donc légitimement se porter sur le premier.

Les conséquences font partie des faits divers. On assiste à des massacres suite à un soupçon d'attouchement, à l'exécution de "pointeurs" Note 119 par des co-détenus, à des suicides familiaux dus à une accusation, à des autolyses Note 120 de personnes persécutées ou effarées par l'image que la société leur renvoie d'elles-mêmes.

Cette lettre de malade est trop démonstrative du propos calculé de Meney pour être l’œuvre d'un mauvais plaisant. Il s'agit donc bien, à l'évidence, d'un bidonnage criminel.

Après avoir étudié les méthodes propagandistes, venons-en au fond de la théorie branlophobe. Que prétend-elle nous enseigner ? Il s'agit, selon Foucault, de "démontrer la puissance causale inépuisable de la sexualité infantile ou du moins de la masturbation (et de) rapporter à un certain interdit sexuel tout le champ du pathologique, et ceci jusqu'à la mort... son temps d'effet est absolument aléatoire : une maladie de vieillesse peut parfaitement être due à une masturbation enfantine... la masturbation est en train de devenir la causalité universelle de toutes les maladies. En portant la main à son sexe, l'enfant met en jeu, sans pouvoir en calculer les conséquences, sa vie toute entière".

On pourrait dire la même chose de l'abus sexuel, mot pour mot ! Bauserman nous rappelle que des spécialistes contemporains ont tenté d'expliquer la quasi totalité des psychopathologies adultes par l'abus sexuel. La multiplicité des symptômes souvent contradictoires imputables à l'abus permet à celui-ci de devenir le principe explicateur de tout mal-être. L'enfant moderne sera ensorcelé par son abus comme celui du 19ème l'était par son onanisme. De même que la masturbation rendait sourd (et fou), l'abus rendra amnésique (et suicidaire) dans l'intérêt bien compris des spécialistes de la mémoire retrouvée.

En ce qui concerne la thérapie, Foucault nous dit que "cette campagne comporte également des institutions destinées à soigner ou guérir les masturbateurs... des appels de médecins qui promettent aux familles de guérir leurs enfants de ce vice".

On connaît les véritables instruments de torture destinés à empêcher, mécaniquement, les enfants de se branler Note 121. Bauserman nous rappelle fort à propos que la circoncision était destinée à empêcher l'auto-abus lors de la toilette. Foucault nous affirme qu'à la fin du 19ème siècle des médecins pratiquaient encore l'excision sur des petites masturbatrices. Aujourd'hui, les cages à serrures et les étuis péniens ont laissé la place aux verrous psychiques commandés à distance...

Ce culte de l'aveu, dont parle Foucault à propos des médecins onanophobes, peut expliquer l'engouement de nos spécialistes modernes pour la mise en scène judiciaire :

" Il faut que le malade reconnaisse son mal. Il faut qu'il en comprenne les conséquences, il faut qu'il accepte le traitement, bref il faut qu'il avoue... "

Dans un cas d'abus sexuel, l'aveu de la "victime" peut être obtenu par des interrogatoires répétés et orientés jusqu'à obtention de la "bonne" réponse. Nous avons vu ce qui pouvait inciter un mineur à endosser le rôle de victime...

Quant au perpétrateur, d'après la nomenklatura psy, "l'effet cinglant de la judiciarisation et le prononcé du temps de la peine sont des facteurs essentiels pour l'abrasion du risque de récidive" Note 122.

Nous avons eu l'occasion d'assister à un des rares procès pour "tourisme sexuel" organisés en France. Il s'agissait à l'évidence d'étrenner la nouvelle loi, de bien montrer qu'elle existait, sous l’œil des caméras et des journalistes. Jusqu'au jour du procès, un des accusés s'était montré réfractaire à ce qu'il appelait le "lavage de cerveau" auquel on voulait le soumettre. Il avait eu des rapports sexuels avec un garçon âgé d'après lui de 15 ans, au Sri Lanka. Bien entendu, la victime figurant sur des photos qui avaient entraîné le dévoilement de l'affaire n'avait été ni interrogée ni même identifiée. Le substitut furieux agitant la menace d'un procès d'assises et de 20 ans de réclusion, l'accusé fut contraint de reconnaître, à l'aide des mots mis dans sa bouche par le procureur lui-même, qu'il "n'aurait pas renoncé à avoir des rapports avec ce garçon, même si il avait eu moins de 15 ans". Il dut par conséquent avouer qu'il était malade et accepter de se soumettre à des soins au cours de sa longue peine (5 ans) et après. Si on passe sous silence le petit chantage à la mort carcérale opéré par le substitut, voilà un bel hommage rendu par un condamné repentant à la puissance et à la compétence des experts psychiatres ! Un superbe aveu arraché au finish !

Si on fait les comptes, on s’aperçoit que les experts modernes font une meilleure affaire que leurs collègues du 19ème. Pour chaque abus déniché, ils disposent d'une double clientèle potentielle : les "victimes" et les "coupables" soumis tous deux aux soins forcés.

Foucault conclut qu'il s'agit là (il parle de masturbation) d'une "grande persécution physique de l'enfance au 19ème siècle, qui a presque l'ampleur des persécutions contre les sorciers au 16ème et 17ème siècles". Mais quelle utilité sociale a pu avoir cette croisade cruelle ? Foucault pense qu'il s'agissait alors de confier à une famille restreinte la surveillance physique rapprochée de l'enfant, afin que celui-ci puisse arriver sain, apte et docile dans les nouvelles institutions d'état chargées de le former...

Parallèlement, nous devons essayer de comprendre quelle est aujourd'hui l'utilité sociale des campagnes contre l'abus.

V. POURQUOI ?

Qu'est-ce qui peut expliquer l'éclosion et le succès de ces nouvelles théories à ce moment précis de notre histoire ?

Il nous faut revenir, avec un éclairage un peu différent, à l'idéologie féministe dont nous avons parlé. Nous avons vu que celle-ci fait de la femme, dans la famille et au niveau politique, le garant de la protection de l'enfant. Nous avons montré aussi comment cette position servait à promouvoir l'idée de parité.

Or, nous pensons avec Soral que "l'esprit féminin (et son goût des objets)" est également là pour nous "faire accepter le rôle de purs consommateurs auquel le néo-libéralisme nous a déjà condamnés" Note 123.

Dans cette même optique, on constate que tout le folklore libérateur de l'après 68 est aujourd'hui utilisé et encadré pour favoriser des marchés, préserver des intérêts corporatistes, masquer des impuissances.

La rencontre des idéologies progressistes dénaturées et de la société marchande qui les utilise à son profit nous semble être un élément essentiel.

Nous allons prendre quelques exemples.

a) le porno.

Il est un peu le résidu fossilisé, le coprolithe des mouvements de libération sexuelle. Young et les gourous de l'orgasme nous l'avaient prédit : nous allions nous accomplir pleinement par l'épanouissement de nos facultés de jouissance. Désillusion. Le porno, le peep show nous proposent en fait un voyeurisme tarifé, un concentré de génitalité totalement isolé du reste de notre existence, une sexualité parcmètre.

En décembre 96, un des magnats du porno business en France, M. Benazéraf, était invité à s'exprimer sur France Culture. "Il faut baiser les pédophiles", annonçait-il, témoignant à leur égard d'une haine étrange. Comment l'expliquer ?

La pornographie officielle, comme l'homosexualité "gay", sont des formes hautement standardisées pouvant laisser croire que nous jouirions aujourd'hui d'une liberté jamais égalée. Mais le porno normé implique au contraire un rétrécissement du champ érotique. En effet, la prospérité du commerce pornocrate implique qu'en contrepartie la pureté des plus jeunes soit garantie. L'angélisme fait bon ménage avec le culte des démons de midi.

Pour disposer et profiter de tous les supports de diffusion modernes, la pornocratie ne peut pas se permettre d'être accusée de corrompre la jeunesse. Elle doit en rajouter sur la pureté pour mieux tirer profit de la débauche...

De même, la tranquillité du bastion gay suppose l'abolition de la pédérastie. La pureté mythique de l'enfant et de l'adolescent Note 124 sera abandonnée, en compensation, aux gardiens de l'ordre moral (et à leurs alliés objectifs féminazes) résolument hostiles aux pédés et au porno... et qui les ont à l’œil ! Le marketing de la dépravation fait son beurre sur la continence des mineurs.

b) Le monde homo.

Sans doute pour ne pas attirer de trop jeunes oreilles en vadrouille sur les ondes, la station de radio Fréquence Gaie s'est rebaptisée Radio F.G... Entre deux boum-boums techno, de larges plages de pub confirment le pouvoir hautement consommateur de la société gay – et de son franc rose – toute béate d'américanité primaire.

Ceci explique que l'on soit passé d'un premier type Note 125, le modèle homo-pédérastique d'essence grecque discret et furtif, à un second, le modèle gay, plastronnant, revendicateur et très courtisé pour son pouvoir d 'achat.

• Le premier type, susceptible de toucher une bonne partie de la jeunesse, est un modèle transitoire, potentiellement éducatif et compatible avec la famille hétérosexuelle.

• Le second touche une partie réduite – mais influente – de la population. Il est permanent (ghetto), très inscrit dans la société marchande, et généralement incompatible avec une vie de famille hétéro.

• Bien entendu, tous les homosexuels ne s'inscrivent pas dans ce schéma réducteur. Bon nombre d'homos bien intégrés, tolérants et discrets sont ulcérés par la caricature gay !

Malgré la promotion médiatique de la Gay Pride Note 126 et l 'acceptation de l'homosexualité adulte, il semble bien que la plupart des familles refusent, pour leur enfant au moins, le modèle permanent.

Cette homosexualité maniérée, marchande, sidéogène, coupée de la famille hétéro et de l'enfantement, agit comme un repoussoir.

Les parents craignent qu'une expérience précoce prédétermine leurs enfants et les enferme dans le ghetto gay. Et même si l'enfant ne devient pas homo, cette sexualité nuisible pèsera d'un poids insupportable sur son équilibre adulte...

Autrefois, en cas d'expérience précoce, faute d'un modèle gay visible et institué, les parents tendaient à minimiser l'incident qui ne pouvait que s'inscrire dans un processus de maturation hétérosexuelle. Aucun modèle permanent n'existait pour nourrir leur peur que l'enfant soit aspiré par une autre sphère...

c) les nantis.

De temps en temps, pour faire oublier les profits colossaux réalisés par les spéculateurs et les maîtres de "l'horreur économique", on jette un notable en pâture aux classes pauvres.

Déjà, à d'autres époques, puritains et calvinistes prêchaient que le sodomite Note 127 témoignait "d'un mépris envers les pauvres". Les idées puritaines devenaient "dans des mains ignorantes, les armes terribles d'une revanche sociale" Note 128.

On se souvient du notaire de Bruay-en-Artois, trop nanti pour être honnête... Dans cette même région industrieuse, un film d'Yves Boisset présente Une femme flic qui, seule face à l'omerta locale, met fin aux agissements d'une conspiration de nantis ligués pour violer des enfants d'ouvriers Note 129. A quelques kilomètres de là, l'ignoble Dutroux ne pouvait pas avoir agi seul. Il fallait que derrière lui se cachent des pervers haut placés...

On a beau prouver que, dans les pays de prostitution enfantine et adolescente, la clientèle est à 95% locale et que cette prostitution, aux racines purement autochtones, prospère en outre sur la pauvreté dans laquelle on laisse ces pays s'enfoncer, rien n'y fait. Le responsable ne peut être que le passager de "viol charter", ce nanti qui vient pourrir des enfants, frères des nôtres, qui fouillent si dignement dans des tas d'ordures pour survivre. Dans un débat d'Arte sur le sujet, le douteux Zorro suisse Ziegler insistait à plusieurs reprises pour préciser que les salauds corrupteurs étaient "tous en costume-cravate..."

On s'est aperçu, il y a peu, que les moralisateurs des plateaux de télévision, les grands dénonceurs publics, figuraient parmi les nantis les mieux payés de France ! Se mettre du côté des plus modestes en tapant sur les "pervers" haut placés, cela peut rapporter gros !

d) la justice.

André Gide, le "contemporain capital Note 130 " n'a jamais travaillé. Il est le parfait exemple du nanti pédéraste. Au début du siècle il fut juré d'assises ; il pourrait aujourd'hui être jugé pour viols et tourisme sexuel...

La Justice est, nous l'avons vu, soumise aux pressions croisées des médias et des politiques. Les news sont de plus en plus gorgées de judiciaire. L'hermine pâlit sous les flashs.

Dans certains domaines essentiels, notamment la violence physique et le respect de la propriété, elle a du mal à rentrer en condamnation. Que faire contre des bandes de jeunes qui, venus assister au procès de l'un des leurs, huent les magistrates et pissent contre les portes de la salle ? On ne peut pas risquer un embrasement des cités. Les échéances politiques approchent...

Et que dire de ces policiers présents au procès de certains d'entre eux, accusés de "tortures et actes de barbarie" sur des prévenus, traitant en pleine salle d'audience et sans se gêner les magistrates d'"enculées" et de "salopes" parce que le verdict ne leur avait pas plu Note 131 ? Avec succès d'ailleurs, puisque, conscients qu'on ne peut pas se mettre la police à dos, des magistrats libéreront les présumés tortionnaires en appel.

Les crimes commis par des mineurs sont, eux aussi, de plus en plus fréquents. Une association de trente parents dont les enfants ont été tués par des mineurs s'est créée, indignée par le laxisme dont la justice a souvent fait preuve à l'égard d'adolescents multirécidivistes violents Note 132.

Il reste quand même un secteur où la Justice agira sans mollir et sans sourciller. Dans des affaires de mœurs sans violences, des magistrats encouragés par la rumeur publique prononcent des sentences de mort carcérale. Cela compense. Nous citerons cette brève du Parisien Note 133:

" R.T., accusé de viols ou d'agressions sexuelles sur dix enfants, a été condamné à 20 ans de réclusion criminelle... Pour s'attirer l'affection de ses victimes, il leur offrait des cadeaux ou des voyages. "

Voilà donc ce qu'en quatre petites lignes on peut retenir de plus grave pour justifier l'emprisonnement"à mort" d'un homme de 54 ans ! Au lieu de les violer brutalement, ce qui aurait été plus franc, le monstre offrait des cadeaux et des voyages... contre de l'affection. Ça dépasse l'entendement ! Pour la peine, il ne bénéficiera même pas des grâces présidentielles accordées aux mutilateurs et aux assassins...

En matière d'abus et de mineurs délinquants en particulier, la Justice semble inféodée à un secteur psycho-social qui, nous l'avons amplement démontré, a perdu le nom de science en s'affranchissant de l'exigence de la preuve "sans laquelle tout discours se condamne aux fragilités de la croyance et à la naïveté des convictions" Note 134.

Malgré ses errements et sa dépendance, notre Justice sans Pyrénées se voudrait absolue et universelle.

e) l'enfant mutant.

Suite à l'affaire Dutroux, une marche blanche avait fait descendre 300 000 Belges dans les rues. Les médias avaient réussi à persuader la population que des Dutroux il y en avait partout, grâce à la complicité du gouvernement qui comptait en son sein une mafia pédophile (Botte avait les noms).

Au delà du pilonnage médiatique, comment expliquer plus profondément le succès que ces campagnes ont rencontré dans l'opinion ? Nous avons mentionné la revanche sociale, très circonscrite, autorisée contre les pourris au pouvoir qui s'envoient les enfants du peuple.

Il semble bien, aussi, que la protection de la jeunesse permette d'occulter un problème que notre société a du mal à regarder en face : la protection contre la jeunesse.

L'incarcération de plus de deux millions de personnes a permis de réduire un peu la délinquance globale aux E.U. En revanche, le nombre des mineurs arrêtés pour meurtre a augmenté de plus des deux tiers Note 135 ! De temps à autres, un massacre scolaire – 6 en 18 mois ! – émeut l'opinion. On se demande avec combien d'années de décalage les mêmes carnages vont se produire en France... On sait que, chez nous, les crimes de mineurs explosent déjà et que la violence scolaire est en constante augmentation.

Dans ce contexte, la protection sexuelle semble être le dernier pouvoir entre les mains de parents qui ne peuvent plus "corriger" leurs enfants – dans tous les sens du terme.

C'est aussi l'ultime rempart dressé contre un monde extérieur marchand et dédivinisé.

En outre, on constate que le progrès technique permanent accentue le décalage entre générations. Les enfants nés avec l'informatique s'y meuvent avec aisance, parfois avec génie, alors que les parents, eux, piétinent. Les vedettes du sport ou de la chanson, de plus en plus jeunes, ont moins à attendre de leur famille que de leur coach ou de leur producteur qui sauront les guider et gérer leur ascension.

Les parents conservent encore la "garde du corps" de l'enfant. Ils ne peuvent, toutefois, l'exercer seuls. Il doivent collaborer avec les institutions scolaires et socio-éducatives chargées de les assister et de les orienter dans leur tâche. Un refus pourrait entraîner un soupçon de dérive sectaire, voire sectaro-pédophilique.

En s'obnubilant sur un agresseur sexuel largement fantasmé, les parents donnent une forme tangible à toutes les forces diffuses qui éloignent et menacent leurs enfants. Ceux dont les enfants, privés d'amour, ont rencontré le pédéraste consolateur, sont les premiers à vouloir la mort de celui sur qui la société les autorise à rejeter la responsabilité de tout le malaise familial !

La consubstantialité parent-enfant, poussée à l'extrême, est parfois illustrée par des faits divers tragiques. C'est le rituel d'anéantissement familial. Le parent suicideur, pour qui l'enfant n'est qu'un prolongement de lui-même, donne la mort à sa progéniture avant de se supprimer. Mais c'est dans la discrétion que meurent ces enfants sans prénom, victimes de rancunes adultes ou d'une explosion de normalité bourgeoise...

VI. CONCLUSION.

Comment le rapport Bauserman a t-il été accueilli aux E.U. ? Très fraîchement, comme on pouvait s'y attendre ! Des attaques virulentes ont été portées contre la très puissante A.P.A. Note 136 qui publie la revue où l'article de Bauserman avait paru. Les médias, à l'instar du fameux docteur Laura – une Ménie Grégoire yankee – y sont allés de leurs hoquets courroucés, "on croit rêver", "ça me rend malade", accusant tout simplement l'A.P.A. de complicité avec les violeurs d'enfants... Les attaques étaient si violentes que les journaux ont pu parler d'une véritable croisade menée contre les auteurs du rapport.

L'A.P.A., passablement ébranlée, publia deux communiqués contradictoires, l'un affirmant qu'elle avait toujours lutté contre l'abus sexuel et qu'elle continuerait à le faire et l'autre qu'elle avait examiné la recherche incriminée sous toutes les coutures et l'avait trouvé scientifiquement valide.

Le Congrès eut une réaction très américaine : il demanda comment une recherche qui aboutit à des conclusions aussi incorrectes avait pu être financée. Des députés s'insurgèrent à l'idée que les deniers publics aient pu servir à obtenir des résultats aussi désagréables, fussent-ils scientifiquement incontestables. En réalité, aucun fonds n'a été investi dans cette étude. Les chercheurs l'ont menée bénévolement durant leur temps libre. Quant à l'autre A.P.A., Note 137 également mise en cause, voyons ce que dans un jargon impayable ses représentants ont déclaré (textuellement) :

" Nous n'acceptons pas les recherches incorrectes, et toute recherche qui déclare possible le consentement de l'enfant est incorrecte. "

" Un enfant ne peut consentir s’il n'a pas atteint l'âge où il est légalement autorisé à consentir. "

Le moins que l'on puisse dire, c'est que de tels sophismes nous renvoient plus aux interdits religieux qu'à la rigueur scientifique !

Pour finir, l'A.P.A. déclarait qu'elle n'avait tenu compte que de la valeur scientifique de la recherche et avait négligé ses implications sociales et politiques, ce qu'elle promettait de ne plus faire à l'avenir... Le rapport fut transmis à Clinton qui, au mois de juin 99, ne l'avait toujours pas lu.

Le problème, il est vrai, est délicat. Si malgré des contre-études qui, n'en doutons pas trouveront facilement un financement, on n'arrive pas à nier la validité du rapport Bauserman, la justice américaine s'expose à une cascade de procès en réparation, intentés par ceux qu'une conception trop systématique de l'abus a fait condamner.

Il serait préférable de contraindre Bauserman à abjurer sa théorie, comme Galilée avait dû le faire en son temps... Revenons un instant à nos Créationnistes que Darwin, on le sait, dérange dans leurs convictions religieuses. Nul doute que, s’ils étaient au pouvoir, ils s'indigneraient qu'on dilapide l'argent public pour étayer des thèses évolutionnistes...

Les capacités de réaction et d'adaptation du système de l'abus sont proportionnelles à la force qu'il a déjà acquise. Celle-ci, on l'a vu, est considérable. Il serait donc illusoire d'espérer qu'il implose tout à coup sous l'impact d'une vérité révélée ! On a donc toutes les raisons de craindre que la recherche scientifique soit de plus en plus bridée par les interdits et inféodée aux idéologies à la mode.

Pour notre part, nous admettrons, à l'instar de tous les experts qui l'ont examiné, que le rapport est scientifiquement irréprochable. Nous rappellerons, avant de conclure, quels en sont les points forts :

• Le rapport remet en cause des théories infondées sur la définition de l'abus et sur ses conséquences.

• Il permet de recentrer l'attention sur les abus réels, physiques, moraux ou sexuels.

• Il devrait, en toute logique, interdire que des relations consenties entre un adulte extérieur à la famille et un adolescent soient assimilées à des viols et traitées sur le même plan que les sévices réels dont certains enfants ont à souffrir.

• Il devrait interdire aussi que des condamnations en justice soient fondées sur la théorie notoirement fausse voulant que l'abus sexuel cause systématiquement des dommages irréparables. L'aspect potentiellement négatif de certains types de rapports inter-générationnels ne doit pas occulter la possibilité (statistiquement supérieure) d'effets positifs ou neutres.

• Les Droits de l'Enfant, totalement fictifs, devraient commencer à être respectés. Ils ne devraient pas permettre que la violence soit confondue avec l'initiation sexuelle. Il ne devrait plus être possible que les auteurs d'atteintes physiques parfois définitives soient traités avec plus de compréhension que les auteurs d'actes socialement proscrits, mais dont le caractère dangereux ou même non bénéfique est plus que douteux. L'échelle des peines encourues doit être revue et redevenir proportionnelle à la gravité reconnue et avérée des actes commis. La logique pernicieuse, qui permet aujourd'hui à l'infanticide d'être plus recevable que l'aventure sexuelle Note 138, finit par aboutir à l'incrimination et à l'emprisonnement de jeunes enfants coupables de jeux sexuels entre eux. Elle doit être dénoncée.

• Les apprentis sorciers de l'abusiness doivent cesser de sacrifier ces enfants qu’ils font commerce de protéger.

• Toute personne arguant d'une théorie prétendument scientifique pour obtenir la condamnation pénale d'un délinquant sexuel, ou entretenant sciemment la confusion entre un interdit religieux, moral ou social et une vérité expérimentale établie, devrait être poursuivie.

Le rapport Bauserman montre aussi que les folles campagnes émancipatrices des années 70, revendiquant une liberté sexuelle totale et sans contrôle de l'enfant, se sont révélées éminemment critiquables et contre-productives.

Même si elles sont minoritaires, les réactions négatives existent, le rapport le montre bien. Pour les filles, c'est une minorité importante, et chez les garçons il existe aussi de vraies victimes de l'abus. La même étude, qui interdit de considérer tout pédéraste comme nuisible, prouve aussi que certains d'entre eux au moins le sont.

Le traumatisme est rare dans les rapports pédérastiques. Néanmoins, on ne peut retirer à la société son droit de regard sur les pédomaniaques compulsifs, les fétichistes de l'imberbe, dont les délires obsessionnels peuvent relever de soins psychologique ou d'une sanction pénale adaptée.

Parmi tous ces fous d'enfance, combien cultivent un talent ou une passion qu'ils auraient à cœur de transmettre à l'éphèbe de leurs songes ? Même si beaucoup d'érastes se fantasment volontiers en nouveaux Socrates, doux initiateurs à une vie charnelle mâtinée de philosophie ou maîtres platoniques, le contexte actuel ne favorise guère l'émergence des mentors modernes. Ils sont aujourd'hui remplacés, avec un succès fort mitigé, par des acteurs sociaux de terrain, des éducatrices spécialisées...

Monterlant écrivait :

" Les mouvements de jeunesse sont pleins d'hommes que, du dehors, on admire d'être si zélés et qui ne le sont que parce que c'est là qu'ils satisfont leurs penchants fondamentaux. Ils ont fait coïncider leur devoir et leur plaisir, ce qui est sûrement la meilleure façon de donner au devoir une bonne trempe. "

Il ne faut surtout pas imaginer que ces éducateurs troubles se livraient à des orgies pédophiles ! La plupart sublimaient leurs désirs... Au moins n'étaient-ils généralement pas mis au pilori pour une attention trop tendre portée à leurs garçons, une caresse sur les cheveux ou un baiser au coucher.

Aujourd'hui, pour continuer avec Montherlant, l'abbé De Pradts (La Ville dont le prince est un enfant) serait mis en garde à vue dès l'acte I et le Supérieur inculpé pour non dénonciation ! A la fin, Souplier, coupable de viol sur un camarade plus jeune (c'est la scène de la remise) serait emmené menottes aux poignets...

Une des pièces majeures du répertoire dramatique français, revisitée par un metteur en scène correct, l'effet serait cocasse si on arrivait à oublier qu'une entreprise de nettoyage éthique est en marche. Aux E.U., dans les universités, on fait la chasse aux œuvres européocentrées qui représentent quand même l'essentiel de notre héritage culturel. On impose des quotas d’œuvres féministes, ethniques, gays, sans égard pour leur valeur intrinsèque... En France, Mme Bouillon propose d'interdire toute œuvre de fiction laissant envisager une possibilité d'amour sexué transgénérationnel. Mme Bouillon, qui est aussi procureur de son état, nous ramène au problème le plus grave, le plus difficilement réversible, celui sur lequel nous voulons clore ce commentaire: les dérives judiciaires.

Le nouveau Code Pénal permettait de distinguer nettement entre l'atteinte sexuelle et l'agression. Il proposait une majorité raisonnable en deçà de laquelle un contrôle et une répression modulable pouvait s'exercer au cas par cas. Il a hélas été dénaturé et détourné de ses buts initiaux. Des intentions louables ont cédé le pas à une répression infondée dans sa férocité.

Il faudrait donc revenir à l'esprit du nouveau Code, en étant bien conscients qu'en l'état, notre société n'est pas près de tolérer une pédomanie en roue libre qu'elle a elle-même installée en retirant à l'éraste tout rôle éducatif.  Souhaitons toutefois que l'étude publiée par Bauserman, Rind et Tromovitch contribue à réintroduire la Raison dans nos tribunaux séculiers possédés par les démons du temps...

Lausanne, décembre 1999.

 Le Monde du 26 janvier 1977:

Nous avons reçu le communiqué suivant:

"Les 27, 28 et 29 janvier, devant la cour d'assises des Yvelines vont comparaître pour attentat à la pudeur sans violence sur des mineurs de quinze ans, Bernard Dejager, Jean-Claude Gallien et Jean Burckardt, qui arrêtés l'automne 1973 sont déjà restés plus de trois ans en détention provisoire. Seul Bernard Dejager a récemment bénéficie du principe de liberté des inculpés. Une si longue détention préventive pour instruire une simple affaire de "moeurs " où les enfants n'ont pas été victimes de la moindre violence, mais, au contraire, ont précisé aux juges d'instruction qu'ils étaient consentants (quoique la justice leur dénie actuellement tout droit au consentement), une si longue détention préventive nous parait déjà scandaleuse. Aujourd'hui, ils risquent d'être condamnes à une grave peine de réclusion criminelle soit pour avoir eu des relations sexuelles avec ces mineurs, garçons et filles, soit pour avoir favoris et photographié leurs jeux sexuels. Nous considérons qu'il y a une disproportion manifeste d'une part, entre la qualification de "crime" qui justifie une telle sévérité, et la nature des faits reprochés; d'autre part, entre la caractère désuet de la loi et la réalité quotidienne d'une société qui tend reconnaître chez les enfants et les adolescents l'existence d'une vie sexuelle (si une fille de treize ans a droit à la pilule, c'est pour quoi faire?) La loi française se contredit lorsqu'elle reconnaît une capacité de discernement d'un mineur de treize ou quatorze ans qu'elle peut juger et condamner, alors qu'elle lui refuse cette capacité quand il s'agit de sa Vie affective et sexuelle. Trois ans de prison pour des caresses et des baisers, cela suffit. Nous ne comprendrions pas que le 29 janvier Dejager, Gallien et Burckhart ne retrouvent pas la liberté." 

Ont signé ce communiqué:

 

Louis Aragon, Francis Ponge, Roland Barthes, Simone de Beauvoir, Judith Belladona docteurMichel Bon, psychosociologue Bertrand Boulin, Jean-Louis Bory, François Chatelelet Patrice Chéreau, Jean-Pierre Colin, Copi, Michel Cressole,
Gilles et Fanny Deleuze, Bernard Dort,  Franoise d'Eaubonne, docteur Maurice Erne, psychiatre Jean-Pierre Faye, docteur Pierrette Garrou, psychiatre Philippe Gavi,
docteur Pierre-Edmond Gay, psychanalyste, docteur Claire Gellman,                docteur Robert Gellman, psychiatre André Glucksmann, Félix Guattari,              Daniel Gurin, Pierre Guyotat, Pierre Hahn, Jean-Luc Henning,  Christian Hennion,
Jacques Henric,  Guy Hocquenghem,  docteur Bernard Kouchner,  Franoise Laborie,
Madeleine Lak,  Jack Lang, Georges Lapassade, Raymond Lepoutre, Michel Leyris,
Jean-François Lyotard, Dionys Mascolo, Gabriel Matzneff, Catherine Millet,
Vincent Montail,  Docteur Bernard Muldworf,  psychiatre Négrepont, Marc Pierret,
Anne Querrien,  Grisldis Ral,  Franois Régnault, Claude et Olivier Revault d'Allonnes, Christiane Rochefort, Gilles Sandier, etc…
 

 

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