Le récit complet, corrigé est déposé à l'INPI par enveloppe SOLO, il reste la propriété de son auteur.
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes.
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonnées et explications de début et de fin.
Sara
La fillette avait environ neuf ans. il la suivait depuis un bon moment, sans trop se faire remarquer.
L'ensemble rose en tissu élastique et synthétique la moulait admirablement, quel cul elle avait…
Ce
qui l'étonnait, c'était de ne pas apercevoir les coutures de sa petite culotte,
aucune empreinte ni léger bourrelet de tissu.
Une
petite fille de neuf ans, peut être sans culottes, se promenant toute seule un
mercredi en pleine journée dans une fête foraine…
Elle
s'arrêtait de manège en attraction, regardant les autres s'amuser, un peu à
regret, puis elle continuait un peu plus loin.
Pas
de parents ni de copine, pas d'argent, du temps devant elle…
Il
était quatorze heures, elle devait avoir l'après midi de disponible…
C'était le moment ou jamais…
Il
allongea le pas, jusqu'à se retrouver à sa hauteur, puis il l'aborda en lui
parlant le plus gentiment possible…
-
Bonjour
mademoiselle, j'attends ma fille, elle a votre âge… Elle vient me rejoindre
tout à l'heure. Cela vous dirait qu'on fasse des tours de manège ensemble en
l'attendant ?
Interloqué elle rougit un peu, ne sachant pas quoi répondre.
Il reprit
la parole sans laisser de temps mort, se décidant pour la tutoyer
immédiatement.
-
Tu
devrez accepter… Si tu veux tu pourrais devenir une copine à ma fille, elle ne
connais personne ici, je suis sur que cela va lui ferait plaisir.
En plus de toute façon je te donnerai cinquante
francs pour m'avoir rendu ce service…
Il
continua en lui désignant du doigt les autos tamponneuses et sans plus attendre
il inclina sa route vers le stand…
Sans
oublier de lui prendre délicatement la main, la tirant légèrement…
Elle
se laissa faire… Changea de direction… C'était le moment de ferrer le poisson…
Très gentiment il lui demanda :
-
C'est
comment ton prénom, moi tu peux m'appeler Serge…
-
Je m'appelle Sara, répondit elle…
-
Sara,
c'est très joli comme prénom… Bon et bien Sara on va aller acheter des tickets
ensemble et à nous les autos tamponneuses…
Très peu de temps après il se retrouva assis sur une
toute petite banquette, avec le plus beau petit cul du monde à ses côtés…
Elle fut un peu crispée pendant les deux premiers
tours. Au troisième, un gros méchant en voiture rouge vint les percuter en
plein sur le côté.
La gamine se retrouva projeter assez violemment sur
Serge…
Heureusement celui-ci avait prévu l'attaque,
amortissant le choc en déroulant juste son bras gauche autour des frêles
épaules de la petite fille.
La serrant très fort…
Il trouva plus prudent de laisser son bras dans
cette position, se hasardant de temps en temps à dérouler les doigts de sa main
gauche, qui par un curieux hasard se retrouvaient juste au niveau du petit
téton gauche de Sara…
Elle était bien trop occupé à conduire sa petite
voiture bleue pour prêter une quelconque attention à ce petit détail, ou alors…
Il répéta son attouchement plusieurs fois, jusqu'à
pincer très légèrement le bout de son petit sein.
Puis le prenant en étau entre deux doigts. Il les
laissa serrés dessus…
C'était très agréable. Le très léger tissu élastique se prêtait merveilleusement au jeu.
Les joues de Sara changèrent de couleur, virant au
rose vif…
Elle fit semblant de n'avoir rien ressenti, continuant son exercice de virtuose pour éviter les voitures.
Au bout de quelques minutes le bout du sein de la
fillette avait changé de consistance.
Le petit téton était devenu plus dure et s'était
développé un peu.
Il ne relâcha pas la pression de ses deux doigts
pour autant, au contraire…
Il l'accentua un tout petit peu, tirant encore un
peu plus sur le téton…
La petite, tourna son visage vers lui, leur regard se croisèrent, aucune animosité…
Elle avait les yeux tout pétillants, tout son être
était en émoi.
Elle écarta ses cuisses un peu plus, sa jambe droite
toucha la sienne…
Ils leurs restaient deux tours à faire. Dans ce brouhaha personne ne s'occupait d'eux.
Il en profita pour faire glisser sa main droite au niveau de la cuisse de la petite fille,
la gauche remplissant toujours son office de pince à
sein…
Les deux mains de la gamine s'occupaient à plein
temps du volant.
Elle ressentit les doigts du Monsieur se poser juste au niveau du haut de sa cuisse droite,
puis remonter très doucement, vers son entrejambe…
Le tissu élastique était d'une finesse, d'une légèreté incroyable.
Ses doigts descendirent encore jusqu'à effleurer son mont de vénus…
Il risqua son index au niveau de sa fente, de bas en
haut, appuyant délicatement sur le fin tissu du joli pantalon.
Le sillon était bien là, aucune petites culotte pour
enrober ce joli trésor…
Il remonta encore un peu, situant approximativement l'endroit ou devait se trouver son clitoris,
puis il massa délicatement et doucement sur trois
centimètres, de haut en bas, puis de bas en haut…
Ainsi il était certain de couvrir la zone de son
petit bourgeon sensible.
Elle eut un soubresaut, puis cambra ses rein… Il y
était, en plein dessus…
La petite femelle se laissait faire, c'était sur…
Le manège dura quelques longues minutes, pendant
lesquels la conduite de la petite voiture électrique passa au second plan.
Elle zigzaguait lorsqu'il fallait aller tout droit,
le contraire était réciproque.
Le doigt continua à travailler son sexe, enfonçant
parfois légèrement le tissu souple au niveau de son vagin.
Une certaine moiteur se fit ressentir. Elle
commençait à mouiller…
L'électricité se coupa d'un seul coup, ils n'avaient
plus de jetons…
Avec l'élan, la voiture se gara juste à la rambarde
en bois.
Serge descendit le premier. Il tendit aussitôt la
main à Sara pour l'aider à monter sur la balustrade.
Un peu endolori ils se dirigèrent d'un pas très
hésitant vers l'allée centrale de la fête foraine.
Il lui donnait toujours la main.
La petite fille ne sachant plus quoi faire n'osait
plus parler…
Il lui dit gentiment : "Si tu as aimé Sara, on
peut continuer, enfin si tu es d'accord et si tu as le temps".
Elle lui avoua timidement avoir tout son temps,
enfin jusqu'à 19 heures, après elle devait rentrer chez ses parents.
Il continua, tu veux que l'on reste à la fête,ou qu'on aille s'amuser dans ma voiture,
comme on l'a fait dans les autos tamponneuses ?
Bien sur si tu veux on s'arrêtera dans un coin
tranquille pour ne pas être dérangé…
La fillette était loin d'être sotte, les caresses
lui avaient plu, mais elles n'osaient pas dire ce qu'elle préférait, elle
rougit immédiatement…
Voyant que seule l'idée la mettait dans tous ses
états, et qu'au fond elle même était d'accord, il rajouta :
-
"Je
préfère ça aussi, je vais te caresser et t'embrasser partout… Pendant longtemps
ma chérie, tu vas voir, tu vas adorer. Tu es une grande fille maintenant, tu as
le droit de jouer à ça. Bien sur il faudra en parler à personne…".
-
Elle
répliqua qu'elle avait neuf ans, et qu'elle était grande…
-
Elle
rajouta: " et votre fille elle
va vous attendre "…
-
Je
lui avais dit que je viendrais peut-être, ce n'était pas sur…
Reprenant
délicatement sa main et d'un pas nettement plus rapide ils se dirigèrent vers
la parking…
Il
était seize heures, la voiture s'arrêta enfin, dans un sous bois. Ils avaient
roulé plus de vingt kilomètres pour trouver enfin la campagne, et la
tranquillité…
Selon
lui, ils seraient mieux sur la banquette arrière, c'était plus confortable…
Quelques
minutes après en effet, ce fut mieux…
Il
se blottit contre elle, la serrant très fort contre lui, puis il l'embrassa
longuement sur la bouche, sa langue força ses lèvres…
Elle
s'ouvrit, gouttant pour la première fois au plaisir d'embrasser.
Il la caressait en même temps, partout sur ce tissu génial de douceur, bandant comme un turc…
Il
était pourtant hors de question de la violer et de la pénétrer maintenant, elle
aurait pu crier et avertir quelqu'un…
De
plus il n'en avait pas envie, il pensait qu'elle était différente…
L'idéal
serait qu'elle le revoit de son plein gréée de temps en temps.
Pourquoi
pas tous les mercredi…
Il
pourrait avoir une liaison secrète avec elle…
Il
n'y avait que quarante ans de différence d'age…
Rien
que cette idée le fit sourire…
Il
pouvait lui donner l'expérience, elle sa jeunesse.
Contrairement
à ce que les cons en pensaient, c'était elle qui serait gagnante…
Il
lui posa la question gentiment…
Tu
es d'accord pour que je t'apprenne
plein de choses Sara ?
-
Oui je veux bien…
Bon…
Elle était d'accord.
Pour
lui ce ne serait plus jamais un viol, quoi qu'il fasse…
Elle
était consentante…
Les
jeux érotiques d'abord, il verrait comment elle allait réagir par la suite…
Ses
doigts s'égarèrent sur son devant, appuyant légèrement sur sa fente…
Elle entrouvrit ses jambes un peu plus, donnant inconsciemment l'autorisation à l'homme de continuer ses investigations.
Ce
qu'il fit en passant une main sous le pantalon élastique, juste au niveau de
son ventre…
En
passant, les doigts effleurèrent le petit nombril, sa peau extrêmement douce,
velouté et élastique le fit frémir de plaisir.
Il
continua sa descente au paradis, jusqu'à une petite proéminence située juste à
l'entrée de sa fente…
Il
caressa délicatement son petit clitoris…
Elle
ferma les yeux de plaisir, étirant un peu sa tête en arrière.
Pendant plus de dix minutes il s'occupa uniquement de sa fente et du petit bourgeon de chair.
L'attention
qu'il témoignait à ce dernier le fit doublé de volume rapidement.
Le
doigt n'oubliait pas le sillon de son sexe nubile, quel ravissement.
Une chaleur très humide recouvrait son indexe lorsqu'il s'aventurait un peu plus profondément dans son intimité.
Même
sans forcer, ni chercher à la pénétrer plus à fond, il constatait qu'elle
mouillait…
Elle
gémit doucement, un vrai râle de plaisir, unique au monde…
Comme
seules les petites filles à la découverte de l'amour savent le faire…
Il
lui parla doucement. Lui dit qu'elle était belle, qu'il l'aimait, que si elle
voulait il la reverrait tous les mercredi et même pendant les vacances… Il
questionna :
-
Tu
veux bien ma petite chérie ?.
Avec
une voix tremblante et langoureuse de plaisir elle lui avoua…
-
Oui, je veux bien….
Il
continua :
- Maintenant pour que je t'apprenne beaucoup de chose, il faut que tu te laisses faire comme je veux.
- Je vais t'embrasser sur ton minou et sur tes fesses. Pour ça, je vais glisser ton pantalon à tes pieds, puis le retirer.
-
Après
je poserai tes jambes en hauteur sur le haut des fauteuils…
Faire
glisser le léger pantalon en matière synthétique sous ses fesses fut en jeu
d'enfant…
Curieux,
il lui posa la question qui le tourmentait depuis le début :
-
Sara,
pourquoi tu ne portes pas de petite culotte ?
Sa
réponse le dérouta complètement…
-
Pour pas qu'elle se voit…
Intérieurement,
il sourit. Décidément cette gamine l'étonnait de plus en plus…
La
découverte de sa nudité de petite fille ne le troubla pas du tout.
Calmement, il l'admira, elle était plus que belle. Son ventre plat, son bassin étroit et bien formé, le galbe de ses hanches,
ses
cuisses lisses et parfaites, faisaient d'elle un bijou unique, un miracle de la
nature…
Elle
laissa glisser sa culotte jusqu'à ses pieds, l'aida un peu pour aider au
passage des sandalettes…
Il
plia délicatement le vêtement, le roula sur lui même, puis le glissa sous ses
reins.
Les yeux pétillants, elle le laissa faire lorsqu'il prit avec chacune de ses mains une de ses chevilles,
les
déposants en hauteur sur le haut des dossiers des fauteuils.
Le
reste de son corps était magnifique, l'harmonie divine…
Le
pantalon roulé sous ses reins relevait son bassin et son cul, ses deux trous
étaient bien visibles, offerts à ses caresses.
Sa
bouche se retrouva très rapidement à la hauteur du bas ventre de la fillette.
Sa langue commença doucement son travail de lèche. D'abord en plein sur sa fente, de bas en haut,
puis
en tournant délicatement autour du petit bourgeon rose.
Plaçant
ses deux mains sous ses fesses, il les écarta sensiblement…
Juste
pour lui faire comprendre que de ce côté là, ça pouvait s'ouvrir aussi…
Il s'arrêtait de temps en temps pour admirer le spectacle... C'était selon lui le plus beau de la création.
Une petite fille allongée et passive, attendant le travail du mâle…
Un clitoris en érection, une petite chatte légèrement mouillée qui commençait à vouloir s'ouvrir.
Sans oublier un petit trou du cul bien fermé, mais dont il pouvait vérifier l'élasticité en écartant à fond les belles petites
fesses
tenues chacune dans une main…
Il y avait aussi les deux minuscules glandes mammaires, surtout les petites noisettes formant la poitrine naissante qui elles aussi demandaient qu'on les embrassent, qu'on les suces, puis qu'on les étires aussi un peu, sans faire mal.
Juste
pour les faire se développer un peu plus vite que l'avait prévue la nature…
Il
changea de position et les honora l'une après l'autre, poussant le jeu à
mordiller doucement le bout des tétons…
Il revint entre ses cuisses. La lécha à nouveau, longtemps…
Introduisant sa langue de plus en plus profondément, goûtant avec un plaisir intense le liquide suave sortant de son vagin.
C'était
bon, légèrement épicé, le goût vrai de la vie…
La fillette adorait. Fermant ses yeux tout en remuant légèrement sa tête de gauche à droite, la tirant en arrière au maximum,
comme
pour ressentir encore mieux son plaisir.
Il calma le jeux volontairement. Ressortit sa langue, lui embrassa son minou.
Puis
il lui dit qu'il allait se déshabiller aussi.
Pour
lui montrer son zizi, qu'elle pourrait le toucher si elle le désirait…
En
quelques minutes il se retrouva torse nu et en slip.
Agenouillé
sur la banquette entre les cuisses ouvertes de la petite fille.
Les yeux grands ouverts encore pétillants de jouissance, elle fut surprise lorsque, tirant légèrement sur l'élastique de son slip,
son
pénis en érection sortit de sa cachette pour se mettre à la verticale…
Elle
regarda intensément sa bandaison…
Ne
voulant pas qu'elle commence à avoir peur, il lui expliqua…
Tu
es intelligente, je parie que tu sais déjà comment ça fonctionne…
Le monsieur rentre son pénis en érection dans le vagin de la femme ou de la petite fille.
C'est prévu pour, cela ne fait absolument pas mal quand c'est fait doucement.
Quelques minutes après cela donne un plaisir très grand au garçon et à la fille.
C'est
très bon… Tous les papa et maman jouent à ça très souvent…
Pour
aujourd'hui on va se contenter de s'amuser aussi un petit peu, pour que tu
connaisses un peu mieux, regarde comment c'est fait…Tu peux aussi toucher ma
bitte avec tes doigts, tu verras c'est très doux au toucher…
Elle
n'osait pas…
Il
prit délicatement une de ses petites mains. L'amena à la hauteur de sa queue.
Puis ouvrant ses doigts, il les enroula tout autour, juste au dessous du gland.
Il
rajouta à la leçon de choses, qu'en même temps elle pouvait serrer délicatement
et donner un mouvement de poignet de bas en haut.
Cela
s'appelait branler… Toutes les petites filles devaient apprendre cela pour
donner du plaisir à leur partenaire…
La fillette bonne élève s'exécuta... C'était la première fois que la gamine masturbait une queue.
Il
la reprit gentiment plusieurs fois, lui montrant ce qu'il fallait faire, et
surtout ne pas faire…
Il n'était pas en reste non plus…
Sa
main gauche avait entreprit de caresser ses petits tétons, tandis que l'autre
s'occupait uniquement de son clitoris…
Elle
aimait, cela se remarquait à sa façon de bouger légèrement son corps.
Sa
respiration c'était aussi accélérée un peu.
Pendant quelques minutes il savoura ne disant rien, puis il recommença ses explications…
La bitte pouvait être mise aussi dans la bouche, on pouvait la sucer, la mouiller.
Puis
effectuer avec ses lèvres serrées dessus le mouvement de va et vient fait
auparavant avec le poignet…
Il rajouta, que cela s'appelait faire une pipe, ou une fellation…
Que
l'idéal était de faire venir dans sa bouche le liquide produit par les
testicules, qui s'appelait le sperme.
C'était
légèrement salé, mais très bon à avaler, comme de la crème blanche.
Beaucoup
de petites filles aimaient ça, elles avalaient tout sans en laisser…
Même si au début on trouvait ça Salé, il fallait continuer, plus on goûtait plus on aimait ça.
Après
toutes les jeunes filles adoraient ça…
Il
lui dit que si elle voulait essayer, elle pouvait, il était d'accord, lui
assura que beaucoup de filles commençaient leur éducation sexuelle en faisant
des pipes à des garçons…
Il attendit quelques secondes. Voyant qu'elle ne disait rien, il se remonta, se plaça à califourchon au niveau de sa gorge,
sa
bitte au niveau de sa bouche, il lui demanda d'essayer…
La gamine
hésita un instant…
Il
lui demanda d'ouvrir la bouche en grand…
De
peur de paraître ridicule ou peureuse en refusant, elle desserra doucement ses
lèvres, puis les ouvrit en grand…
Il
amena délicatement le gland de son pénis jusqu'à l'ouverture béante et poussa
très doucement avec ses reins…
Une
chaleur divine et moite entoura aussitôt son pénis.
Elle
referma ses lèvres humides dessus…
A l'aide de ses mains, il la remonta un peu en hauteur… Adossant légèrement sa tête contre la portière.
Puis il glissa dessous un petit coussin en satin qui trônait sur la plage arrière du véhicule.
C'était
beaucoup plus confortable comme ça…
Pour
l'instant elle ne bougeait pas, la queue restait inerte dans l'orifice buccale.
Voulant l'aider un peu, il commença un léger va et vient dans sa bouche…
Pendant
deux minutes il s'activa, puis s'arrêta…
Elle
avait compris et continua d'elle même…
La fellation n'était pas parfaite, mais cela coulissait bien. La queue était mouillée convenablement.
La fillette
se débrouillait assez bien pour sa première pipe.
Il
lui palpait toujours son clitoris, sachant par expérience qu'une fillette
pouvait faire n'importe quoi, perdre toute notion de réalité si son petit
bourgeon était bien caressé…
Avec sagesse et méthode… Doucement, sans brusquerie, sans trop toucher, juste effleurer.
Il fallait titiller selon la réaction de la petite, si elle jouissait trop rapidement,
il
valait mieux réduire l'attouchement du petit clitoris et revenir caresser la
fente, les fesses ou toutes autres zone érogènes…
Cela
mettait souvent près de dix minutes pour que le plaisir commence, après rien ne
pouvait arrêter la lubrification du vagin, même à neuf ans…
La première fois était la plus importante. Si le clitoris était bien travaillé, la fillette jouissait intensément.
Lorsqu'en plus la jouissance était accompagnée d'une fellation, il se passait une chose bizarre dans le cerveau,
le pli était pris pour la vie entière. La fillette aura besoin de faire une fellation lorsqu'elle fera l'amour…
Pareillement
pour la première pénétration vaginale…. Juste après celle-ci, il vaut mieux
sodomiser la fillette tout de suite.
L'enculer
aussitôt pour lui montrer que cela rentre aussi de ce côté là.
Qu'elle
s'aperçoive que c'est faisable et que cela ne fait pas mal du tout…
Effectuer
une première sodomie à une gamine tout en caressant en même temps son clitoris
pour faire venir le plaisir en elle…
Une
fois suffit, la petite femelle aime ça toute sa vie…
Mais il en était pas à ce stade, pour l'instant la pipe se déroulait pas trop mal.
Elle n'avait aucun dégoût et l'attouchement vaginal qu'il pratiquait sur la fillette commençait à porter ses fruits…
Des
petits gémissement languissants, des soupirs se faisaient entendre, de plus en
plus fort… Sortant de sa gorge.
La gosse prenait son pied pour la première fois… Il calma un peu le jeu, ralentit ses caresses sur son clitoris.
Il voulait qu'elle soit au maximum de sa jouissance au moment ou il juterait dans sa bouche.
Uniquement
à ce moment là… Ce qu'il lui permettrait d'avaler tout son sperme sans trop se
poser de question…
C'était
pour bientôt, la pression montait dans sa bitte…
Il
l'activa un peu plus vite. Lui rentra même le bout de son indexe dans le vagin,
pendant que le pouce lui travaillait son clitoris…
Il la prévint : " Sara la jutte va bientôt sortir de ma bitte, il faut que tu avales tout au fur et à mesure ma petite chérie, sans rien laisser… Surtout ne laisse pas le liquide dans ta bouche, avale le aussitôt, à chaque fois qu'il rentre…
Comme
le font toutes les femmes…".
Il
lui mentait, il la conditionnait pour qu'elle avale tout, pas comme ces connes
qui pipaient les mâles en recrachant le sperme.
Supprimant
instantanément tous plaisirs à elles mêmes et aux garçons…
Elle
jouissait de plus en plus, gémissant très fort, se crispant de bonheur...
Il lui donnait du plaisir, la preuve tangible qu'il ne violait pas la fillette, cela lui suffisait. C'était l'école de la vie, rien de plus…
Depuis des centaines de milliers d'années c'était comme ça. Le savoir, la connaissance, ainsi que le vrai plaisir étaient enseignés aux plus curieux, aux plus intelligents. Les autres apprenaient bêtement comme des robots, par habitudes,
par
obligations et conditionnements. Un ou une sur cent était différent, voulant
apprendre mieux et plus tôt…
Les
surdoués… Pourquoi vouloir les en empêcher… C'étaient eux qui transmettaient
les messages des Dieux…
C'était
le moment, il la prévint une dernière fois, c'était imminent, il allait juter.
Surtout qu'elle boive tout, sans rien laisser….
Il
se crispa à fond… Puis ne pouvant se retenir plus longtemps, il déchargea, une
première giclée dans sa petite bouche, puis une seconde…
Elle
fut surprise, ouvrit les yeux en grand, ne sut pas quoi faire pendant quelques
secondes.
Il
lui répéta aussitôt d'avaler…
Elle
le fit enfin… Elle déglutit… Le bruit que fit sa gorge en avalant le sperme fut
paradisiaque pour lui…
Puis
vint les autres giclées de liquide tiède. L'une après l'autre…
Puis
une deuxième déglutition, une troisième…
La
petite fille avalait toute la crème, sans arrêter de gémir de jouissance…
Il avait vu juste, les attouchements sur son clitoris lui faisait perdre toute notion de réalité.
Il
savait pertinemment que le sperme avalé dans ces conditions paraissait dix fois
meilleur au goût que sans excitation.
Il prenait son pied, contemplant les yeux de Sara grands ouverts, remplient de curiosité et de plaisir…
Le
bruit que faisait le liquide tiède inondant sa petite bouche, puis celui de la
déglutition de sa gorge, tout était une réussite.
Il
jouissait aussi…
Il y eu de nombreuses giclées, elle avalait tout, rien ne ressortait. Elle avait l'air d'aimer le sperme, du moins elle le supportait…
Le
pli était prit, la gamine aurait besoin et envie toute sa vie d'avaler la jutte
de ses partenaires…
Il
arrêta de la remplir, fatigué il ne bougea plus pendant quelques minutes.
La
petite fille continuait sa fellation, avalant ce qu'elle trouvait…
Toujours
excité elle continuait ses râles…
Ce
n'était pas le moment que cela s'arrête, il fallait la faire jouir…
Il
lui parla doucement, lui dit qu'il allait lécher son minou, mais dans une
position idéal. Nettement mieux pour tous les deux…
Il
rajouta que cela s'appelait : " faire un 69".
Il retira doucement sa queue de son orifice buccal, puis se retourna à califourchon sur elle, sa bouche se retrouva au niveau de sa chatte. Il la lécha aussitôt… La gamine, la queue à quelques centimètres de sa bouche comprit très vite.
L'engin
retrouva sa place au chaud très rapidement…
La jouissance de la petite n'avait pas cessé une seconde, il continua, la fouillant avec sa langue.
S'attardant
sur le clitoris, le titillant avec méthode.
Le
petit bourgeon avait doublé de volume et changé de couleur.
Un beau
rose vif avait remplacé la couleur terne et mat.
La
fillette n'en pouvait plus, elle se crispa en gémissant encore plus fort…
Elle fit entendre un râle long et langoureux. Puis immédiatement se détendit entièrement…
Ses
yeux pétillants, fixes et grands ouverts…
Elle
venait d'avoir le premier orgasme de sa vie…
Il lécha délicatement l'entrée du vagin. Un liquide suave et légèrement épicé se répandit sur sa langue.
C'était
tiède, bon, indéfinissable, inimitable.
Le
goût du plaisir d'une fillette de neuf ans…
Il arrêta de l'exciter aussitôt. Il savait pertinemment que les femelles n'aimaient plus ça.
Après
l'orgasme, ils leurs fallaient des caresses et des bisous…
Il
ressortit sa bitte de son orifice buccal, puis il l'embrassa partout, la
caressant, la vénérant comme une déesse…
Elle adora, ressentant tous les attouchements qu'il lui prodiguait avec une sensibilité exacerbée.
Elle
se détendit à fond, se blottit contre lui.
Elle
était bien…
Il
la laissa se reposer un bon moment, tout en la caressant, flattant son corps.
Il rompit le silence, juste pour lui dire qu'elle avait été terrible, que tout ce qu'elle avait fait était bien…
Que
si elle le désirait, il voudrait bien la revoir.
Comme
seule réponse, elle lui dit qu'il était l'heure qu'elle rentre chez elle…
Il
n'était pourtant que dix sept heures…
N'insistant
pas, il lui dit qu'il allait la ramener près de chez elle.
Trente
minutes après, rhabillés normalement, ils s'arrêtèrent aux abords de la fête
foraine, dans une rue relativement tranquille…
Il
réitéra sa demande… :
-
Tu
veux qu'on se revoie
-
Je veux bien mais quand ?
-
Et
bien Mercredi prochain, même heure, même endroit…La fête ne sera plus là, mais
nous on y sera, d'accord ? En plus je vais te donner mon numéro de téléphone
portable, si tu t'ennuies, ou si tu as des problèmes, tu m'appelles.
-
D'accord…
Il
fouilla sans sa poche, ramena un billet de deux cent francs et un petit carnet.
Il
détacha une petite feuille de ce dernier, y inscrivit son numéro de tél, puis
lui tendit l'ensemble…
Elle
hésita à prendre le billet…
Je
te l'avais promis, mais cache le bien, lui dit-il en mettant un doigt sur sa
bouche, en signe de silence…
Elle
rangea machinalement le bout de papier et le billet dans une de ses poches.
Il
rajouta, perd pas le numéro… Si tu veux me donner le tiens, je suis preneur.
La
gamine hésita, puis lui donna verbalement… Il le nota aussitôt.
N'ait
crainte, je ne t'appellerai pas pour rien.
Si
je tombe sur tes parents, je dirai que je me suis trompé de numéro…
Il
se regardèrent dans les yeux. Un long moment, en silence…
Doucement il approcha sa bouche de la sienne, puis l'embrassa longuement, forçant sa bouche…
Elle
se laissa faire… Le baiser d'au revoir dura une bonne minute…
Pour
finir, il lui murmura à l'oreille… Je crois que je t'aime ma petite chérie…
Elle
rougit, ouvrit la portière de la voiture, puis s'enfuit en courrant…
Le premier rendez vous
La semaine qu'il vécut fut une des plus merdique de sa vie, l'impatience le gagnait sans arrêt. Vivement mercredi…
Il
ne pensait qu'à elle, une fillette de neuf ans… Il n'osait pas téléphoner, de
peur de tout foutre en l'air…
Le
mardi soir il dîna à peine, plus d'appétit…
Il
fut surpris lorsque le téléphone sonna, vingt deux heures.
Ses
connaissance n'appelaient jamais à cette heure…
Décrochant
rapidement, il reconnu aussitôt la belle petite voix de Sara…
-
Serge…?
-
Oui
c'est moi ma puce…Je suis très heureux de ton coup de téléphone, j'ai pensé à
toi toute la semaine, tu me manques beaucoup…
-
Mes parents sont partis au cinéma, je suis toute seule, je m'ennuie…
-
Tu
as eu raison de m'appeler, on se voit demain ?.
-
Je suis libre toute la journée, même le matin…
-
Super,
à l'emplacement de la fête foraine à 9 heures, ça te va ?
-
Oui, mais je préfère neuf heures trente, mes parents partent à neuf
heures, alors…
-
Ok
ma puce…
Ils parlèrent longtemps, la pauvre môme s'ennuyait
réellement. elle était fille unique… Selon elle ses parents étaient loin d'être
marrant…
Ils eurent même le temps, de prévoir leur emploi du
temps pour demain.
Restaurant et parc d'attraction… Ils verraient pour
le reste…
Il raccrocha heureux, s'endormit rapidement, sans se
masturber.
Il valait mieux garder ses réserves pour demain…
Il l'emmena déjeuner dans une petite auberge. Le "Papa et sa fille" dans une ambiance de rires et de gaieté firent honneur
aux plats servis…
Pendant plus d'une heure Serge et Sara firent vraiment connaissance…
Il lui expliqua un peu de quoi était faite sa vie…Elle de son côté récapitula sa trop courte existence,
et voulut démontrer par des faits bien trop évidents que son père était le roi des cons…
Seule sa maman avait encore une place au fond de son cœur…
Le papa se foutait bien de sa fille…De sa femme aussi d'ailleurs…
Une nouvelles et très fraîche apprentie serveuse prenait de plus en plus de place dans la vie du papa commerçant.
Intérieurement Serge se marrait… La nouvelle recrue avait à peine dix huit ans… Le vieux con de papa en avait quarante cinq…
Ca faisait quand même moins d'écart qu'avec Sara… Cinquante moins neuf cela faisait… Quarante et un an d'écart entre lui et Sara…
Entre le papa et la serveuse… Quarante cinq moins dix sept… Cela faisait vingt huit ans… La morale était presque sauve…
Tandis que lui…Aucune circonstance " exténuante…". Si la "marée chaussée en 42, le piquait en flagrant délire…,
il était bon pour quinze ans minimum…
( Excusez moi, il y a des moments ou je fais pleins de fautes… )
Et encore, pour les salauds dans son genre…Il se pourrait bien qu'un jour ils remettent la peine de mort…
Il rigola en pensant ce qu'un ami lui avait dit un jour : " La mort vient toujours d'un manque de savoir vivre…".
La serveuse ne se doutant pas une seule seconde du crime abominable et honteux qui se déroulait sous ses yeux amena le dessert. (Ca va comme ça…?).
Deux immenses coupes de glaces comportant chacune deux belles boules surmontées chacune de crème chantilly et de plusieurs morceaux de bananes…
Le faux papa prit un malin plaisir à déguster la crème blanche en faisant exprès d'en répandre autour de sa bouche.
Puis passant sensuellement sa langue sur ses lèvres, il la retira délicatement…
Sara en rigolant, fit de même immédiatement…
La petite coquine, pas bête du tout comprit immédiatement à quoi Serge pensait…
Le Papa invectiva discrètement la serveuse : Mademoiselle, ma fille a envie d'aller aux toilettes… C'est ou s'il vous plait ?
Toute souriante la jeune femme expliqua immédiatement le chemin à suivre…
Serge se leva aussitôt, puis prenant sa "fille" par la main il l'invita à le suivre.
Sara fut un peu décontenancée, mais rapidement elle se leva et suivit son "papa".
Les toilettes étaient à l'étage… L'un derrière l'autre, main dans la main, ils empruntèrent un escalier en colimaçon, se retrouvèrent d'abord dans une salle inoccupée, puis parvinrent enfin devant la porte des toilettes.
L'étage était désert, cette salle devait servir uniquement à des réceptions comme des mariages ou autres…
Serge ouvrit la porte, regarda encore une fois autour de lui, puis invita Sara à rentrer dans les WC…
La porte se referma à l'aide du verrou sur le couple.
La lumière s'alluma automatiquement laissant apercevoir l'agencement du petit réduit. Juste devant une autre porte entrouverte sur un siège de toilettes standard et banal. Sur la droite, un urinoir pour permettre aux hommes de se soulager.
A gauche un grand évier avec deux robinets…
Serge tira doucement Sara contre lui, la plaqua contre son torse, puis lui murmura à l'oreille : " C'est génial pour faire l'amour, laisse moi faire, tu vas aimer, je te le promet…".
La fillette n'eut pas le temps de répondre. Serge avait déjà enfoui sa langue dans sa bouche, pendant qu'en même temps une de ses mains s'introduisait dans le short en tissu élastique…
La fillette les yeux grands ouverts, déjà en émoi avait sur son visage l'expression du consentement.
Elle se laissa faire lorsqu'il la souleva pour la reposer délicatement sur le bord du lavabo…
Le short élastique glissa sous ses fesses, puis la main continua à tirer dessus jusqu'à ce que celui-ci passe par un des pieds…
L'autre entrejambe du bermuda élastique étant toujours sur une des cuisses, Serge entreprit de remonter le léger morceau de tissu au niveau du bassin…
Tout en continuant de l'embrasser, il lui cala le dos contre le miroir.
Ses petites fesses glissèrent et se calèrent au niveau des cuisses à l'intérieur du lavabo, les jambes écartées à fond…
La gamine était presque à la bonne hauteur…
D'un geste svelte et précis il déboutonna sa braguette.
En une seconde sa bitte fut sortie et se retrouva en érection complète…
Il se cala au niveau du basin de la petite fille, la tira légèrement pour la faire descendre un peu au niveau de sa queue bandante…
La gamine se sentit d'abord glisser sur le lavabo, puis ses cuisses se retrouvèrent très rapidement soulevées et écartées fermement par les bras de Serge…
Une main s'aventura dans l'entrejambe de la fillette, juste à l'entrée du vagin, les doigts fouillèrent un instant l'entrée du conduit vaginal…
La fillette mouillait abondamment ...
Sara anxieuse, en émoi, entièrement cambrée et ouverte sur le lavabo le regardait faire.
Les yeux pétillants, grands ouverts, sans vraiment vouloir parler ni bouger…
En murmurant à son oreille, il la rassura un peu : " Laisse toi faire ma chérie, tu va devenir une femme… Ecarte toi à fond, laisse toi faire, surtout ne crie pas… Lorsque ça va rentrer tu vas avoir un tout petit peu mal, aussitôt après une douce chaleur va envahir ton minou, puis tu vas prendre du plaisir et jouir aussitôt… N'ai pas peur ma chérie…".
Serge se souleva très légèrement, redescendit encore de quelques centimètres la petite. Puis d'un coup de rein long et précis il fit appuyer le gland de sa bitte sur l'entrée du vagin de Sara…
En un instant elle comprit qu'il allait la prendre par devant pour la première fois.
Elle ressentit la queue appuyer sur son bas ventre, d'abord doucement, puis de plus en plus fort…
Ses cuisses, maintenues ouvertes à fond par les mains de Serge lui faisaient mal.
La poussée de la bitte s'accentua, juste en plein milieu de la cible…
Encore plus fortement… La pression devenait presque insoutenable…
La gamine en grimaçant de douleur, timidement fit entendre sa petite voix… Très doucement, de peur qu'on l'entende, elle lui dit que ça faisait mal…
Serge fouilla dans sa poche, en ressortit son mouchoir, le mit en boule, puis dit à Sara de mettre celui-ci dans sa bouche et de serrer très fort avec ses dents…
Il n'attendit pas sa réponse, lui présentant le petit morceau de tissu…
La fillette courageuse, grimaçant de douleur, saisit le morceau de tissu, le rentra presque entièrement dans sa bouche, puis le mordilla aussitôt en serrant très fort avec ses dents.
Serge changea de méthode. A l'aide de ses doigts, il alla à la rencontre du minou de la fillette, tira délicatement de chaque côté sur les lèvres de son sexe, dégageant ainsi entièrement l'entrée de la petite chatte encore vierge.
Puis il écarta encore plus fort les cuisses de la gosse, recala le gland de sa pinne à l'entrée du vagin de la môme et repoussa un grand coup sa bitte dans l'orifice… Il poussa à fond…
La gamine eut un spasme incroyable, tout son corps tressauta… Un cri de douleur, heureusement étouffé par le mouchoir se fit quand même entendre…
Le bout de la queue venait de rentrer dans le vagin de la petite fille…
Le gland entier venait de disparaître dans son bas ventre…
Et quelques centimètres de bitte en plus…
La petite vierge de neuf ans ne l'était plus… Ses yeux étaient grands ouverts, pupilles dilatées, elle fixait le plafond, respiration haletante…
Elle ne bougeait plus… Vaincue par la bitte, pénétrée, forcée par elle…
Serge attendit quelques secondes avant de pousser sa queue un peu plus loin. Puis délicatement sa tringlette démarra…
Il était dans du miel tiède et gluant,
serré à souhait… La petite ruche était striée de l'intérieur, pleine de sillons ondulés, prévus par la nature pour donner du plaisir aux mâles…
Et le premier mâle c'était lui…
La fillette avait l'impression d'être écartelée… Elle ressentait la bitte à l'intérieur d'elle…
L'engin coulissait, rentrait, ressortait de plus en plus facilement, allant de plus en plus profondément…
Elle avait de plus en plus chaud, elle pensait à ce qu'il lui faisait…
"Ce matin lorsqu'il l'avait fait, c'était bon,
mais différent… Son "truc" était aussi long, aussi gros, mais cela
chauffait moins…
C'était rentré plus facilement que par devant, cela
avait fait moins mal…
Mais maintenant c'était meilleur par devant…".
Serge en plus de sa pénétration vaginale, pratiquait une sodomie à l'aide d'un doigt de sa main gauche, tandis que ceux de sa main droite effectuaient un effleurement régulier du petit clitoris…
La gamine mouillait copieusement, la bitte rentrait de mieux en mieux… L'expression de son regard avait changé, en même temps apaisé et en extase.
Ses yeux étaient devenus tout pétillants de plaisir...
Déjà cinq minutes, il fallait se dépêcher, la serveuse pourrait se douter de quelque chose…
Il gagnait…Centimètre par centimètre la bitte forait le petit vagin. Déjà huit centimètres rentraient et ressortaient du bas ventre de la petite fille…
Il poussa encore… Et encore…
Maintenant la fillette jouissait, gloussant de plaisir…
Le petit mouchoir remplissait maintenant un autre office…
Elle le mâchouillait pour ne pas hurler de bonheur.
Il poussa un grand coup à fond…
Elle eut un spasme, puis aussitôt après un grand râle de plaisir…
Il y était … Ses couilles battaient sur son entrejambe…
La bitte était rentrée à fond…
Il s'activa un peu plus, tringla plus rapidement…
Ressortant presque tout, puis replongeant à fond dans la petite moule pleine de miel tiède…
Il y était presque, dans quelques secondes la petite fille prendrait sa "première livraison" de sperme…
Il se contracta une dernière fois… Puis tout partit au paradis…
Le premier jet inonda l'intérieur du bas ventre de la gamine.
Au deuxième jet la gosse ouvrit ses yeux en grands, elle se raidit entièrement, cambra et souleva ses reins…
Elle ressentait la jutte rentrer au plus profond d'elle même, rien ne pouvait empêcher une femelle, même enfant de savourer ce moment…
La nature avait mis des centaines de milliers d'années pour en arriver à ce stade, Alors…
Les décharges furent nombreuses… La gamine rallait de plaisir.
Il arrêta enfin de se répandre, épuisé, vidé, asséché…
La gamine se calma aussi… La tempête était fini.
Cela avait durer dix minutes, il fallait faire vite.
Il se ressaisit rapidement, embrassa la gosse sur la bouche et rentra sa bitte dans son slip.
Puis il s'occupa de sa petite femelle…
Elle était dans un drôle d'état, pas vraiment prête à marcher droite à nouveau rapidement.
Toujours en extase, au bord de la jouissance…
Il prit un essuie tout dans un dérouleur, entreprit de retirer la jutte en excès…
La petite moule laissait "bailler" un surplus de sperme évident.
Il joua un instant avec ses deux lèvres de chatte, les décollant pour voir…
Le sperme n'attendait que ça pour ressortir du conduit vaginal…
Il appuya assez fort sur son bas ventre, du liquide blanc ressortit… Elle était remplie de foutre.
Il l'essuya du mieux qu'il put, puis entreprit de remettre la jambe du short à sa place…Sur le bassin de la fillette.
Il la prit dans ses bras et déposa sa petite les pieds sur le carrelage.
La môme chancelante reprit ses esprits peu à peu.
Elle se massa les fesses et sa petite chatte…
Puis d'une démarche très hésitante, elle se dirigea vers l'autre porte, celle des toilettes.
Les yeux livides, elle baissa son short et s'assit sur le siège des toilettes… Elle avait envie de faire pipi…
Deux minutes après Sara et son "Papa" ressortaient des W.C. Ils redescendirent tout doucement l'escalier…
La serveuse vint à leur rencontre, posant aussitôt la question : " ça va pas ? ".
Le papa répondit aussitôt que sa fille avait trop mangé, elle avait eu un petit "barbouillage"…
La femme ne saurait jamais à quel point c'était vrai…
Il allaient y aller tout de suite, juste après avoir réglé l'addition .
La jeune serveuse s'activa aussitôt à faire la petite note…
Tout fut réglé en un instant.
Serge et Sara se retrouvèrent rapidement dans la voiture…
Il conduisait doucement. Sara n'avait pas encore prononcer une parole depuis son baisage, évitant son regard…
Ce fut lui qui commença à parler : " Sara j'espère que tu ne m'en veux pas, on a fait l'amour comme des grands, tu as été terrible… Je t'aime et je veux te revoir toute ma vie… Je voudrais te faire l'amour souvent comme on l'a fait…
Sara je suis amoureux de toi, je t'aime…"
La gamine fixa enfin ses yeux…
Puis sans parler elle replia ses jambes, se cambra en "chien de fusil", posa sa tête sur sa jambe gauche…
Puis de sa main droite elle chercha la braguette de Serge, descendit la fermeture éclaire, fouilla jusqu'à trouver ce qu'elle cherchait… Elle sortit la bitte par le côté du slip, la branla quelques instant, puis l'engouffra dans sa bouche de petite fille de neuf ans…
Le paradis entre ses jambes le "papa" était prêt à la conduire jusqu'en enfer…
-----------------------------
P.S.
Note sur l'inceste et la pédophilie :
Une petite fille
ou un petit garçon est un être humain, et ne mérite en aucune façon d'être
perturbé dans son développement physique, intellectuel, et sexuel. Le respect
de l'alchimie des trois donne l'amour. Beaucoup de gens n'ont pas eu cet amour
et ne l'auront peut être jamais, c'est le malheur d'une vie, d'un être.
Le véritable
courage dans la vie, consiste à donner le bonheur qu'on a pas eu,
et surtout de ne
pas rendre le mal qu'on nous a fait…
Lorsque Dieu Demanda un volontaire parmi les meilleurs
pour tenter Adam et Eve… Lucifer se porta volontaire, lui qui était pourtant
l'un des sept grands archanges de notre système solaire, ou sa mission était de
garder la planète Vénus. Il devait descendre sur Terre pour aider l'humanité à
faire grandir sa spiritualité en la soumettant à toutes les tentations.
Ce qu'il fit… La tâche que lui confia dieu fut
certainement une des plus importantes de la création. Elle n'est pas finie,
elle doit permettre à l'être humain de s'élever, de révéler sa véritable
lumière intérieur, d'affirmer sa spiritualité en résistant au mal, qui lui même
fait parti intégrante du bien.
Comprenne qui pourra ….
Le récit complet, corrigé est déposé à l'INPI par enveloppe SOLO, il reste la propriété de son auteur.
Vous pouvez publier les extraits sur tous les sites gratuits pour adultes.
A condition de ne rien modifier du texte original et de laisser les coordonnées, notes et explications de début et de fin.