Ceci est une suite d'histoire Titre : La chaleur de la glace - chapitre 4 - Le vendeur pervers Auteur : Devon Email : auteur_ht[at]tutanota.com (remplacez [at] par @) Personnages : 2 hommes, 1 adolescent Le plus jeune garçon a 12 ans Oral Pénétration anale Gay Texte reçu le 14/03/2021 Texte publié le 18/03/2021 Résumé : Après avoir passé un après-midi torride à se faire baiser par Anton et Michel, un père de famille ayant payé ses services (cf. chapitre 3), Léo s'apprête à rentrer chez lui pour se reposer, enfin pas tout à fait... Ce chapitre, plus court, est une transition avant le chapitre final. Bonne lecture et encore merci à tous ceux qui m'ont envoyer leurs remerciements et encouragements ! Rappel : Toutes nos histoires sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n'est qu'une coïncidence. Provient des histoires taboues : /~Histoires_Fr/ Cette œuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin de page. La chaleur de la glace - chapitre 4 - Le vendeur pervers par Devon En quittant l’hôtel, nous prîmes la direction de centre-ouest de Nantes afin de regagner le domicile de mon jeune amant. Après s’être fait déboîter le cul comme jamais, Léo avait du mal à marcher normalement. Il faisait son possible pour faire comme si de rien n’était, mais il avait encore une démarche de petit canard. Bien qu’affirmant que tout allait bien, je voyais clairement qu’il ressentait une gêne. Je m’inquiétais un peu pour lui mais aussi de la réaction de sa mère, si elle le voyait ainsi… Mais mon petit blondinet me rassura très vite à ce sujet et nous montâmes dans le tram à 18h00 pétante. S’il était épuisé par ces deux heures de baise intense, Léo insista cependant pour faire un détour par la boutique de vêtements qu’il affectionnait tant. Il souhaitait déjà dépenser une partie du pactole qu’il venait d’engranger. De plus, il avait reçu plusieurs SMS de la boutique (pour laquelle il jouait toujours le mannequin) lui indiquant que de nombreuses promotions l’attendaient pour sa prochaine visite. Si l’idée ne m’enchantait guère, j’acceptai sa proposition et nous nous dirigeâmes ainsi vers le magasin. En arrivant devant la vitrine, je me remémorai immédiatement notre dernière venue, où j’avais joui sur le visage de ce petit rouquin que j’aurais tant aimé revoir. C’est Fabrice, le même vendeur que la dernière fois, qui nous accueillit. Dès qu’il nous vit, il stoppa sa discussion avec le seul client présent dans la boutique et vint à notre rencontre. Je ne sais pas pourquoi mais dès que nos regards se croisèrent, j’eus un mauvais pressentiment. Pourtant, l’homme était plus que serviable et prenait grand soin de Léo. Il lui montra les pièces maîtresses de la nouvelle collection, en choisissant celles qui allait indéniablement plaire à mon petit blondinet. Lui qui n’était pas revenu depuis la dernière fois avait donc une multitude de choses à essayer. De mon côté, j’observais la scène avec détachement, en regardant mon portable à plusieurs reprises, tout en donnant mon avis à mon « cousin » (titre que m’avais donné Léo lors de notre dernière venue, cf. chapitre 2). Si tout se passait bien, les choses prirent une tournure particulière quand le dernier client quitta la boutique. La fermeture n’était prévue qu’à 19h00 mais pourtant Fabrice s’empressa de retourner la pancarte indiquant la fin de la journée. Mais il ne nous mit pas à la porte pour autant, bien au contraire ! Il s’empressa de dire à mon chéri : - Pour te remercier de ta fidélité Léo, tu as le magasin pour toi tout seul jusqu’à la fermeture alors profites-en ! Avec son innocence, mon petit ange accueillit cette nouvelle avec joie, sans se poser de questions… Alors que moi, je trouvais cela assez étrange. Je le fis d’ailleurs remarquer à Fabrice : - C’est sympa parce que vous allez perdre des ventes à fermer une demi-heure avant la fin ! - Oh non, ne t’inquiète pas, dit-il en me tutoyant comme si nous étions amis. De toute façon, j’avais prévu de fermer plus tôt ce soir, alors. - Mais du coup avec Léo, cela ne va pas être le cas ! - Ce n’est pas grave, je suis prêt à tout pour Léo, dit-il dans une phrase pleine de sous-entendus. En tous cas, le premier concerné ne nous écoutait que d’une oreille, plongé dans son choix de vêtements. Après avoir tranché, il se dirigea vers les cabines d’essayage, non sans me lancer un regard coquin. Ma parole, il venait de se faire baiser toute l’après-midi et il y pensait encore… Fabrice observait la scène avec intérêt et avait perçu notre échange visuel. Une fois Léo entré dans la cabine, il s’adressa à moi : - Tu ne vas pas le rejoindre cette fois-ci ? - Euh… non, répondis-je devant cette étrange question. - Il a peut-être besoin de son « cousin » pour choisir ! Il avait bien insisté sur le mot cousin et, à cet instant, je compris au ton employé qu’il savait. Je me doutais qu’il allait certainement se passer quelque chose... Et, en effet, quelques instant plus tard, en plus d’avoir fermé la boutique, le vendeur alla baisser les stores pour couper le magasin de la vue des passants. Dans son regard, je perçus immédiatement là où il voulait en venir. S’il avait tout compris concernant moi et Léo, il semblait aussi vouloir en profiter… Mais il fut coupé dans son élan quand mon jeune blondinet ouvrit les rideaux afin de nous montrer sa nouvelle tenue comprenant une jolie veste et un pantalon particulièrement moulant. Satisfait, il retourna en cabine pour continuer ses essayages. À ce moment-là, Fabrice s’adressa à moi : - Il a un sacré petit cul hein ? - … Devant ma surprise et ma non-réponse, il embraya immédiatement : - Il y a une question à laquelle je pense jour et nuit depuis la dernière fois que vous êtes venus… Est-ce que tu l’encules aussi ? Parce que tu sais, je n’arrête pas de me branler à l'idée que cette petite tapette, en plus de te sucer, se fait ouvrir la chatte par une bite ! Cette fois-ci, c’était clair comme de l'eau de roche, l’homme savait tout. Moi qui pensais que nous les avions tous dupés lors de notre dernier passage dans cette boutique, je m’étais bien fourré le doigt dans l’œil ! Mais comment pouvait-il savoir que Léo m’avait sucé dans la cabine. Après tout, nous aurions pu faire plein de choses, autre qu'une fellation. Alors que je réfléchissais dans un silence de plomb, le vendeur reprit : - Il y a des caméras partout si tu te demandes comment je peux savoir… - … - Tu ne pensais quand même pas que je laissais la boutique sans surveillance… - Même dans les cabines ? - Ah, tu sais je vais te faire une petite confidence, dit-il en se rapprochant de moi. Ainsi à mon niveau, il me susurra à l’oreille : - J’ai toujours aimé les jeunes et très jeunes garçons... Je rêve depuis toujours d’en baiser un, de me faire sucer par une petite bouche innocente, de déflorer violement la rosette d'un gamin et lui remplir le cul comme la petite pute qu'il est... Alors j’ai mis pleins de petites caméras invisibles à l’œil nu pour que je puisse me branler tous les soirs devant le corps lisse de tous ces enfants… Tu n'imagines pas à quel point je prend mon pieds à les regarder se déshabiller et à les imaginer se faire baiser par de belles bites d'hommes... Si leurs mamans chéries savaient à quel point leurs progénitures me font bander, elles ne me laisseraient pas les toucher pour réajuster un pantalon, un short... Parce qu'à ce moment-là, je ne pense qu'à une seule chose : les baiser ! Tu sais, j’attendais ce moment depuis si longtemps ou j’en verrais un avaler une bite ! En me disant cela, Fabrice se révéla à mes yeux tel qu’il était : un incroyable pervers. Si en le voyant la première fois, j’avais eu de gros doutes quant à son homosexualité, je savais que maintenant c’était un véritable prédateur, allant bien au-delà de ce que je pouvais imaginer. Du haut de son mètre 85 et avec tous ses tatouages recouvrant ses bras musclés, il cachait très bien son jeu. Avec sa carrure de motard, on ne pouvait pas imaginer qu'il était en fait bien pire que moi ou même que Michel. À l’aide de ses caméras, il avait violé l’intimité de centaines de garçons afin de pouvoir s’adonner à son plaisir personnel. Ainsi, quand Léo ressortit à nouveau de la cabine, je savais qu’il n’allait pas y retourner de sitôt. Il n’avait rien entendu de notre conversation et ne se doutait encore pas de ce qui l’attendait… Alors quand Fabrice l’appela, il nous rejoint avec toute son innocence. - Mon petit Léo, vient-là, je voudrais te montrer quelque chose ! - Oui j’arrive ! - Regarde, j’ai de jolis boxers pour toi et j’aimerai que tu les essais. Je suis sûr qu’ils t’iront à ravir. - Euh OK, répondit-il en repartant vers sa cabine. - Attends mon chaton, pas la peine d’aller en cabine, tu peux les essayer ici. De toute façon ton cousin te voit souvent tout nu je crois. Quant à moi, cela ne me dérange pas, bien au contraire. Tout en disant cela, il se caressa l’entrejambe de façon très grossière. Léo compris tout de suite et sembla s’en amuser : - Décidément, je suis entouré de pervers ! Il se rapprocha de Fabrice et saisit les articles qu’il lui tendait. Il ne prit pas la peine de retourner en cabine et retira ses vêtements sous nos yeux, pour ne rester qu’en sous-vêtement : un joli boxer blanc Calvin Klein bien moulant. Le vendeur se délectait de ce spectacle et ne pouvait s’empêchait de parler à voix haute : - Si tu savais combien de fois je me suis branlé sur toi en imaginant ma bite dans ta bouche ou dans ton joli petit cul de pédale ! - Donc si tu étais si gentil avec moi, c’est juste parce que… - Parce que tu me faisais bander oui ! Et puis vu ton allure et tes goûts de filles, il ne faut pas être devin pour savoir que tu n’es qu'un p’tit pédé… J’attendais juste qu’une occasion se présente et là voici ! - Tu sais que je pourrais te dénoncer sale pervers ! - Si tu me dénonces, j’irai peut-être en prison mais je ne serais pas le seul à y aller… Ton cousin m’accompagnera quand la police verra ta jolie petite bouche de salope avaler sa queue dans mes cabines… Si Léo était pourtant de nature clairvoyante, avant cet instant, il n’avait jamais imaginé que son vendeur préféré avait pu autant le manipuler… Surtout depuis tout ce temps qu’il le connaissait. Maintenant il s’expliquait mieux pourquoi il se chargeait toujours personnellement de lui, de ses essayages ou de ses shootings photos. Toujours est-il qu’il le tenait et qu’il avait décidé de profiter de sa position de force. Mais mon petit blondinet lui dit, d’un ton un peu énervé : - T’es vraiment qu’un gros pervers ! - Oui mon chaton, je l’avoue dit-il en venant lui caresser son torse imberbes, ses cuisses d’enfant puis ses petites fesses. Depuis tes 7 ans, depuis que je t’ai vu dans ce magasin, je me branle sur toi en t’imaginant te faire baiser par ma queue et par des centaines de bites, comme la petite pute que tu es ! Léo semblait tétanisé et se laissait faire sans trop réagir. Il faut dire qu’après l’après-midi que nous avions passé, il était épuisé et n’avait plus la force de se battre. Alors pour le défendre, je m’approchai et je repoussai Fabrice un peu violemment : - Ôte tes sales pattes de mon chéri. - Oh, du calme toi ! Je te signale qu’en un claquement de doigt, je peux te faire taire à jamais et tu ne le reverras plus jamais, ton Léo ! - Si tu fais ça, tu paieras également le prix, répondis-je énervé. - C’est pour ça qu’il va falloir s’entendre ! Après tout je ne demande pas grand-chose, je veux juste que ton gentil cousin me suce… Ce ne demande quand même pas le bout du monde, surtout qu’il a l’air d’avoir l’habitude ! Voulant en finir au plus vite et voyant que cela allait mal finir, Léo finit par se résigner : - Laisse-tombé Anton, je vais la sucer sa bite, qu’on en finisse ! Mais à une seule condition : je repars avec ces fringues gratuites ! - Eh bien voilà ! Tu vois Anton, pas besoin de s’énerver, on finit toujours par s’entendre. Comme je suis très coopératif et que je sais récompenser la bonne volonté, tu auras tous les vêtements que tu veux tant que tu t’occuperas de ma bite, mon chéri. Allez, viens, approche-toi et danse un peu pour moi. En disant cela, Fabrice s’installa sur une chaise et, comme dans un bar à strip-tease, il demanda à Léo de lui faire une petite danse, pour qu’il le chauffe comme l’aurait fait une danseuse érotique. Ainsi mon petit blondinet se rapprocha de lui et commença à se mouvoir comme une pute. De mon point de vue, la scène était très grossière et très malsaine. Le vendeur regardait Léo faire avec délectation et n’hésitait pas à venir le caresser sur tout le corps. Parfois, quand le garçon remuait ses fesses devant lui, les deux puissantes mains de l’homme venaient les agripper avec une envie sauvage que l’on pouvait voir dans son regard mais aussi entendre dans ses paroles : - Oh oui, ton beau p’tit cul de pédale, bouge-le, hummm. Alors qu’il dansait depuis 5 minutes, Fabrice se massait le paquet de plus en plus fréquemment. Voyant cela et voulant en finir au plus vite, Léo vint poser ses mains sur son entrejambe en cherchant une protubérance caractéristique. Il eut du mal à la trouver et se demanda même si son partenaire était en érection. Pour en avoir la confirmation, il le déboutonna et baissa son pantalon, laissant apparaître un sous-vêtement trempé de mouille et déformé par une bosse assez petite. En colère contre son ancien vendeur favori, il n’hésita pas à lui dire : - Elle est toute petite ta bite ! - Ta gueule salope, dit-il se sentant insulté. Je ne te demande pas ton avis, je te demande juste de la sucer ! Sentant qu’il avait touché une corde sensible, le jeune garçon se tut et alla se positionner entre ses jambes pour caresser son paquet. À peine avait-il toucher la bosse au travers du sous-vêtement que Fabrice eut un mouvement de recul. Surpris, mon jeune blondinet demanda : - Bin quoi ? demanda Léo, ce n’est pas ce que tu veux ? - Si, répondit l’homme semblant un peu embarrassé. Il baissa alors son boxer de lui-même laissant apparaître un sexe d’une dimension très moyenne, ne dépassant pas les 12 cm. L’adolescent se rapprocha à nouveau et posa ses mains sur cette queue afin de la masturber et la porter à sa bouche. Mais il n’eut pas le temps de faire grand-chose… En effet, dès que ses mains se posèrent sur le chibre de Fabrice, je vis celui-ci tressauter et il eut un nouveau mouvement de recul. Cette fois-ci, Léo ne le laissa pas faire et, tout en approchant sa bouche, il commença à le branler. Il n’en fallut pas plus pour le vendeur éjacule. Il eut juste le temps d’empaler sa queue dans la bouche de Léo pour lui cracher tout son foutre dans la gorge en râlant de plaisir : - Oh oui putain, c’est trop bon, avale mon foutre sale petite pédale ! Oh putain ça y est je remplis la bouche d'un gamin... Mon chéri fut surpris de cette précocité et avala tout sans broncher jusqu’à ce que le vendeur relâche finalement son étreinte, soulagé mais aussi un peu honteux… Pas d’avoir presque violé la bouche d’un jeune garçon sous mes yeux, non ça ne semblait pas le déranger… Mais c’était plutôt d’avoir joui en moins de 10 secondes alors que Léo l’avait à peine touché ! Ce dernier ne manqua d’ailleurs pas de lui faire remarquer : - Oh moins avec toi, c’est rapide ! - C’est parce que j’avais besoin de me vider les couilles et que ta tronche et ton corps de pédale m’excitaient trop ! Et crois-moi, la prochaine fois, tu verras ce que je peux faire ! - Pas besoin de toi, Anton me suffit. Au moins lui, il n’a pas une bite d’enfant et il peut me faire gémir pendant des heures… Mon petit blondinet n’y allait pas par le dos de la cuillère et ne comptait pas se laisser insulter par le vendeur sans se défendre. En tous cas, il fit mouche car je sentis celui-ci rougir de honte et perdre ses mots… Il finit par marmonner dans sa barbe : - Mouais, c’est ça, il a pourtant l’air d’un sale geek mal monté et… - Ferme-la ! le coupa-t-il. Anton est bien plus beau que toi ! Surtout, il a une vraie bite d’homme et il sait s’en servir lui ! Tu vas voir et j’espère qu’après ça tu pourras me montrer ce que tu peux vraiment faire si tu veux espérer pouvoir un jour profiter de moi à nouveau… Pour étayer ses propos, Léo me défroqua et dévoila mes 19 X 5 cm à Fabrice. Bien qu’ayant joui par deux fois dans l’après-midi, ce que j’avais vu avait réveillé mon désir. Ni une, ni deux et mon blondinet avala ma queue entièrement en plaquant ses lèvres contre mon pubis sous les yeux ébahis de Fabrice. Ainsi, il se mit à me sucer avec passion pendant près de 10 minutes, en montrant l’étendue de son talent : caresses buccales, succions érotiques et baveuses, gorges profondes… Il ne manquait pas non plus de me mettre en valeur : - Oh Anton, j’adore ta grosse bite d’homme, elle est si bonne et tu si doué avec ! En le regardant me sucer de la sorte, le vendeur se branlait en essayant de refaire démarrer son érection. Sa fierté en avait pris un coup et encore plus quand il vit que, malgré le spectacle et son excitation, il ne retrouvait pas sa rigidité. En voyant cela, mon petit chéri se moqua de lui à nouveau : - Hummm Anton, oh moins toi, tu bandes tout le temps même après avoir joui deux fois en moi aujourd’hui ! Pour parachever le tout, sa bouche quitta mon sexe et il me fit allonger au sol pour s’empaler les fesses sur mon chibre. Fabrice ne revenait pas de voir avec quelle facilité ma bite rentrait en lui et surtout comment Léo semblait apprécier cela. Ayant déjà joui par deux fois, je me sentais capable de tenir assez longtemps, bien que mon blondinet se donnait à fond pour danser sur ma bite. Finalement cela fit réveiller le désir de Fabrice qui banda à nouveau. En voyant cela, Léo alla vers lui, se mit à 4 pattes et lui demanda : - Maintenant, on va voir si tu es aussi bon que tu le dis ! Baise-moi et montre-moi ce que tu sais faire ! Vexé, humilié et bien plus encore, Fabrice vint se positionner derrière mon Léo et l’encula d’un coup sec. Il n’eut aucun mal à rentrer étant donné la dimension modeste de son sexe, surtout en comparaison à ce que venait de se prendre le garçon. Il fit une dizaine d’aller-retour rapide, en agrippant bien les cuisses du garçonnet mais aussi en prenant soin de l’insulter copieusement : - Sale pédale, putain de tafiole… Je ne suis peut-être pas membré comme ton cousin mais toi tu n’es qu’une salope, une pute bonne qu’à bouffer des bites. - Baise-moi au lieu de parler, je ne sens pas grand-chose pour l’instant, répondit le garçon avec désinvolture. Outré par le comportement de son ex-vendeur favori, Léo avait décidé de se venger à la hauteur de sa déception. Il ne le ménageait pas et quand il sentit que l’homme ralentissait déjà le rythme, il se mit à l’exciter de plus belle en venant littéralement danser sur sa bite. Fabrice semblait être au paradis, surtout qu’il avait rêvé de ce moment depuis des années. Se retrouver à enculer un gamin de 12 ans, sa bite bien enserrée par cet anus étroit… Les idées se bousculèrent dans sa tête et la vision de Léo s’empalant de lui-même sur son sexe était jouissive. N’ayant plus le contrôle sur la sodomie, l’homme ne put se retenir à nouveau et éjacula dans les fesses de l’adolescent, moins de deux minute après l’avoir pénétré. Inutile de vous préciser qu’il ne fit pas le fier quand son regard croisa celui de Léo qui sentait déjà le jus lui remplir les intestins. Mon jeune amant se décula et alla immédiatement se rhabiller sans dire un mot, du sperme dégoulinant de ses petites fesses imberbes. De mon côté, j’avais remonté mon jean et j’attendais maintenant que nous quittions les lieux au plus vite. Léo prit dans ses mains le pantalon, la veste et les boxers de son choix puis il s’adressa finalement au vendeur : - Tu peux me donner un sac s’il te plaît ? - … - Bin quoi tu as eu ce que tu voulais, à moi d’avoir ce que je veux maintenant ! - Je suis désolé Léo, j’ai perdu les pédales, je…. Je rêvais tellement de ton corps que mes fantasmes ont pris le dessus ! Fabrice qui avait soit décidé de changer de stratégie ou qui regrettait réellement son comportement s’excusa platement et n’essaya même pas de négocier pour les 350 euros de vêtement. Il prit les articles et les mit dans un sac qu’il tendit à mon chéri. Ce dernier le voyant tout penaud, changea également sa manière de s’adresser à lui : - J’accepte tes excuses mais si tu veux espérer me revoir, ne recommence plus jamais ça ! - Promis Léo, je n’agirai plus jamais de la sorte avec toi ! - Très bien, alors entraîne-toi un peu Monsieur le super-précoce parce la prochaine fois, j’aimerai bien te montrer ce que je sais vraiment faire avec ma bouche et mes fesses sans que tu lâches en moins de 30 secondes ! C’est sur ces paroles plus apaisées que nous quittâmes finalement la boutique après une journée plus que mouvementée. En rentrant enfin à son domicile, après avoir salué sa mère et sa sœur, nous nous dirigeâmes dans la chambre de Léo et ce dernier s’écroula sur son lit. Je vins à ses côtés pour le câliner tendrement. Épuisé, il trouva quand même le courage de m’embrasser et de me faire cette confidence : - Merci d’avoir accepté que je voie d’autres hommes. Tu sais si j’ai beaucoup aimé ce qu’on a fait, tu es le seul que j’aime Anton. - Merci mon Léo, moi aussi je t’aime. - Je t’aime et je te promets que je vais m’occuper de toi ! - T’occuper de moi ? - Tu verras, c’est une surprise ! Et sur ces mots, il ferma les yeux et s’endormit presque immédiatement. Je le regardai quelques minutes avant de quitter la chambre, non sans l’avoir bordé dans son lit. Finalement, je me décidai à partir en indiquant à sa mère que nous avions eu une après-midi fatigante. Elle me remercia pour tout ce que je faisais pour son fils et, après m’avoir demandé 3 fois si je ne voulais pas rester dîner, elle se résigna à me laisser rentrer chez moi. Pourtant, si elle savait…. *** Deux semaines avaient passé depuis ce samedi après-midi torride où Léo avait encaissé pas moins de 3 bites différentes. À présent, il assumait pleinement son désir et sa sexualité débordante pour un jeune garçon de 12 ans. S’il avait déjà de fortes prédispositions, notre relation l’avait complètement débridé et il n’hésitait plus à combler sa libido par tous les moyens possibles. S’il m’aimait sincèrement, il n’hésitait plus à me parler ouvertement de ses multiples envies de bites, de son désir d’être possédé et d’être l’objet de tous les fantasmes des hommes. De mon côté, si j’avais accepté ses escapades sexuelles et ses envies, j’eus moins de complexes à fantasmer sur d’autres jeunes garçons. Cela était même devenu un petit jeu entre nous puisque, dès qu’il me voyait reluquer un autre petit mec, il n’hésitait pas à me traiter de vieux pervers. Alors pour lui répondre, je n’hésitais plus à lui lancer un : - Et c’est toi la petite pédale, accro à la bite, qui ose me dire ça ! Si cela le vexait un peu, il ne démentait pas et, pour me rendre jaloux, me taquinait sur le fait que la bite de Michel lui manquait. Mais comme je vous le disais, tout ceci n’était qu’un jeu puisqu’au fond, nous nous aimions et filions le parfait amour. Pourtant, ces derniers jours, j’avais du mal à le voir. À l’approche des fêtes de fin d’années, l’emploi du temps de mon chéri était celui d’un ministre. En effet, entre le collège et ses activités extrascolaires, il n’avait presque plus de temps libre. Il préparait à la fois le spectacle de Noël de son école de danse : une représentation du ballet Casse-noisette, le spectacle de son école de patinage : un autre Casse-noisette sur glace et enfin un récital de piano. Autant vous dire que toutes ses soirées et ses week-ends étaient bien occupés. Ainsi, en l’espace de 10 jours, je n’avais pu le voir que 2 fois : le mercredi à la patinoire et le dimanche après-midi. Il n’était plus question de cours particuliers, du moins pas avant le mois de janvier. Heureusement, il nous restait le téléphone et la visio pour communiquer. Nous nous appelions tous les soirs, avant que Léo ne se couche. Il me racontait sa journée au collège ou à présent tout se passait très bien. Ses ennuis avec les autres garçons avaient disparu depuis que la belle Nina, sa meilleure amie, était devenue l’une des filles les plus populaires de l’établissement. Ainsi, il n’était pas rare que les petits footeux viennent lui demander s’il pouvait leur arranger un coup avec elle. Léo jouissait de son pouvoir et disait qu’il allait voir ce qu’il pouvait faire mais qu’en retour il aimerait bien pouvoir admirer l’équipe de foot du collège dans les vestiaires. Car un autre point important, mon blondinet ne cachait plus son homosexualité. Il avait tellement été traité de tapette, de pédale, de pédé pendant son année en sixième que cela n’étonna personne parmi ses camarades. Mais s’il ne démentait plus son attirance pour les garçons au collège, il n’en avait pas encore parlé ouvertement à sa mère. Bien entendu, celle-ci n’était pas dupe (enfin pas sur tous les plans). Si elle n’avait jamais abordé le sujet avec son fils, les brimades qu’il avait subies l’année dernière, conjuguées à son attitude et ses goûts ne lui laissaient que peu de doutes. Isabelle attendait juste que Léo vienne lui en parler de lui-même. Elle ne pensait pas qu’à son âge il pouvait être apte à savoir et assumer cette différence. C’est finalement hier soir que Léo m’annonça qu’il avait fini par lui en parler, qu’il lui avait tout dit. À ce moment précis, mon cœur battit la chamade et je ne pus m’empêcher de lui répondre : - Tout ? - Mais non pas tout banane ! Je ne suis pas stupide non plus ! Ces paroles me rassurèrent et il continua donc à me raconter son coming-out officiel à sa maman. Cette dernière n’avait pas pu s’empêcher de pleurer devant la sincérité de son enfant. Elle le prit dans ses bras pour l’embrasser et lui dire à quel point elle l’aimait et qu’elle le soutiendrait quoi qu’il arrive, quelle que soit son orientation sexuelle. Isabelle lui dit également qu’elle s’en doutait depuis quelques temps déjà. Sa grande sœur fut aussi immédiatement mise au courant de la nouvelle par Skype. Cette dernière ne sembla pas être étonné, bien au contraire quand elle leur dit en rigolant : - Tu sais maman, les trois quarts des garçons de mon académie de danse sont gays alors ça fait bien longtemps que j’ai deviné que mon p’tit frère adoré n’allait pas finir avec une fille ! Au moins maintenant, je pourrais parler garçons avec lui ! Je sentais Léo très heureux et soulagé d’être à présent totalement outé, que ce soit pour ses amis et sa famille. J’étais également ravi pour lui, même si je me demandais comment notre relation allait pouvoir évoluer sereinement, maintenant qu’il avait ouvertement évoqué le sujet avec sa mère. Elle finirait peut-être par comprendre que notre lien allait bien au-delà de l’amitié… Si elle savait que je n’avais pas de petite amie, question posée lors d’un dîner, elle ne savait encore rien de mon homosexualité. J’avais peur que maintenant que son fils soit « officiellement gay », elle me regarde différemment, finisse par apprendre mon orientation sexuelle et, in fine, ma relation charnelle avec son fils. Mon jeune blondinet, qui avait remarqué mon trouble, tenta de me rassurer. Jamais il ne prendrait le risque de lui en parler et, quand bien même elle finirait par l’apprendre, il ne laisserait personne me faire du mal et surtout pas sa maman. Finalement, l’heure passant, nous finîmes par raccrocher, non sans qu’il ne me chauffe un peu sexuellement et me laisse sur ma faim, la bite bien redressée. Moi qui avais pris l’habitude de le baiser presque tous les jours, ces derniers temps m’avaient fait revenir aux basiques et ma main gauche dut se remettre au travail. Pour me satisfaire, je me connectai sur les réseaux sociaux afin de mater de beaux et jeunes garçons que je suivais. Les réseaux sociaux sont vraiment géniaux pour ça ! Ils permettent d’admirer les plus beaux gamins du monde entier, s’exposant par eux-mêmes ou pire par leurs parents. Certains s’affichent déjà comme homosexuels, alors qu’ils n’ont même pas 10 ans. Une vraie mine d’or et en plus c’est tout à fait légal ! Alors bien sûr, ils ne sont pas nus ou en action mais il suffit d’avoir un peu d’imagination pour se faire plaisir. Il faut les voir ces petites tapettes se trémousser devant la caméra, parfois dans des positions plus que suggestives… J’ai toujours été attiré par les garçons efféminés, ceux pour lesquels on peut facilement lire sur leur front qu’ils sont prédestinés à finir avec une bite dans la bouche. Avec leur silhouette fragile, leur corps fluet, leurs gestes délicats et gracieux, leurs jambes effilées, leur petit cul bien cambré,… J’aime les tapettes, oui j’aime les petits garçons maniérés. Les petits caïds et casse-cous ne m’intéressent pas. Les rugbymans, les footballers arrogants ne sont pas ma tasse de thé. Non, moi ce que j’aime, c’est la fragilité, la douceur, la grâce, la timidité… Depuis que je connaissais Léo, il y avait une catégorie qui était devenue hors concours : les danseurs classiques ! Rien que de voir ces petits gars se trémousser dans leurs collants moulants, vêtements normalement exclusivement féminins, me rendait complètement dingue de désir. Je vous conseille fortement d’en regarder en photo et en vidéo pour comprendre ce que je veux dire. D’autant plus que c’est véridique : plus de la moitié d’entre eux finira avec une queue dans la bouche, tôt ou tard. Je me branlai donc sur un jeune élève de l’école de danse de l’opéra de Paris qui se trémoussait en vidéo dans ses collants gris, avec parfois des poses très subjectives. Je n’avais aucun doute sur le fait qu’il était pédé. La seule question que je me posais étant « était-il encore puceau ? » C’est en tous cas en l’imaginant avec ma bite dans son cul que j’éjaculai puissamment sur ma poitrine. ---- À suivre Si vous avez aimé ce texte, remerciez Devon, c'est une motivation pour continuer d'écrire : auteur_ht[at]tutanota.com (remplacez [at] par @) Cette œuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin de page. Ceci provient des Histoires Taboues : /~Histoires_Fr/ Gardez à l'esprit que toutes les situations décrites dans ce texte ne sont que des fantasmes. Avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 16 ans est un délit voire un crime passible de nombreuses années de prison dans la plupart des pays du monde.