Ceci est une suite d'histoire Titre : La chaleur de la glace - chapitre 5 et fin - Le petit danseur Auteur : Devon Email : auteur_ht[at]tutanota.com (remplacez [at] par @) Personnages : 1 homme, 1 adolescent, 1 petit garçon Le plus jeune garçon a 11 ans Romantisme 1ere fois Masturbation Oral Pénétration anale Gay Texte reçu le 14/03/2021 Texte publié le 18/03/2021 Résumé : Suite et fin des aventures de Léo et Anton, j'espère que vous aurez apprécié. Bonne lecture ! Rappel : Toutes nos histoires sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n'est qu'une coïncidence. Provient des histoires taboues : /~Histoires_Fr/ Cette œuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin de page. La chaleur de la glace - chapitre 5 et fin - Le petit danseur par Devon Nous étions à présent le mercredi 14 décembre et comme chaque mercredi, je me rendis à la patinoire pour mon travail hebdomadaire. J’étais devenu très autonome et je réalisais mes tâches de plus en plus rapidement. Mon efficacité mais aussi mon amabilité étaient très appréciées par mes collègues. Ainsi, j’étais rapidement devenu la mascotte des employés. Mais si j’aimais ce travail et l’ambiance qui y régnait, surtout en cette période de Noël, ce que j’appréciais le plus c’étaient les moments passés avec Léo dans les vestiaires, au début et à la fin de son cours. Surtout que ces derniers jours, nous ne nous voyions plus beaucoup. Après avoir terminé toutes mes tâches, je me rendis donc dans les vestiaires pour y attendre Léo. Il arrivait toujours quinze minutes avant le début de son cours de patinage pour me faire une petite gâterie. En effet, une fois l’équipe de hockey sur glace partie, nous avions les vestiaires périscolaires pour nous tout seul. Après avoir enfilé ses collants blancs et son justaucorps, il me suçait pendant cinq minutes et arrivait toujours à me faire jouir au fond de sa gorge. J’avais ainsi 1h15 pour récupérer avant de le sodomiser à nouveau dans les vestiaires ou chez lui. J’avais aussi pris l’habitude d’assister à son cours en tant que spectateur. Cela ne choquait personne étant donné que je travaillais ici et qu’on me prenait pour le « garçon au pair » de Léo. Toujours est-il que le cours de patinage commençait dans 10 minutes et mon petit chéri n’était pas encore là. J’étais déçu car, égoïstement, j’avais un furieux besoin de me vider les couilles sachant que cela faisait une semaine qu’il ne m’avait pas sucé. Alors que j’allais lui envoyer un texto pour savoir ce qu’il faisait, j’entendis des pas se rapprocher et bientôt la porte s’ouvrit. Enfin mon petit blondinet arrivait ! Mais à peine était-il entré, que j’aperçu une autre silhouette derrière lui… Léo n’était pas seul ! Je n’eus pas de mal à reconnaître le garçon qui l’accompagnait car j’avais déjà eu largement l’occasion de fantasmer sur lui. Il s’agissait de Timothée, son camarade de l’école de danse. Et tout ce que je peux vous dire, c’est qu’il était aussi désirable dans la réalité que sur les photos que j’avais pu voir de lui. Timothée était un jeune garçon magnifique. Si Léo était très fin, lui l’était encore plus. À 11 ans, il mesurait à peine 1m40 et ne pesait pas plus de 28 kg. Il semblait tellement fragile, comme un verre en cristal. Cette fragilité était accentuée par un visage très enfantin orné de multiples taches de rousseur. Une autre caractéristique était qu’il avait les dents du bonheur. Sa peau laiteuse, ses cheveux blonds, coupés au bol, le faisaient facilement paraître un à deux ans plus jeune. Le garçon était aussi ultra timide et, tout comme Léo, il avait peu d’amis. J’avais appris dernièrement, par l’intermédiaire de mon chéri, qu’il était en sixième mais pas dans le même collègue que lui. A la danse, il ne parlait pas beaucoup, ne répondant souvent au professeur et aux autres élèves qu’avec un signe de la tête. Par ailleurs, du fait de sa timidité, il restait souvent seul dans son coin. Pourtant, aujourd’hui, il était bien là en train de se changer sous mes yeux. Il m’avait salué rapidement avec sa petite voix aiguë avant de se placer dans un coins du vestiaire. Léo m’avait présenté comme son baby-sitter mais aussi comme son ami qui travaillait ici. À ce titre, il ne trouva pas étrange que je reste avec eux dans les vestiaires. Tout en discutant avec mon petit chéri, je ne pouvais m’empêcher d’observer son camarade se déshabiller. Très pudique, il m’avait tourné le dos comme pour se cacher à ma vue. Il commença par enlever ses chaussures puis il baissa son pantalon. Je pensais alors pouvoir admirer ses belles jambes imberbes de garçonnet, mais il n’en fut rien. En effet, le garçon portait déjà ses collants gris de danse sous son jean. Toujours est-il que voir son petit cul moulé de la sorte fut tout aussi excitant et me donna une très forte érection. Ses jambes me parurent encore plus fines qu’elles ne le semblaient déjà. Mais c’est quand il enleva son pull et son t-shirt que je pus me rendre compte de sa véritable maigreur. Il était si fin que je pouvais voir chacune de ses côtes se dessiner. C’était assez troublant mais apparemment pas anormal puisqu’il mangeait normalement. Bien que je continuasse de lui parler, je ne regardai même plus Léo, pourtant lui aussi très attirant dans ses collants blancs et son justaucorps. Il m’informa ainsi que Timothée venait s’essayer au patinage car, pour les besoins du spectacle de fin d’année, la présence d’un autre garçon ne serait pas de trop. Comme il avait de bonnes capacités de danseur classique, il « n’avait plus » qu’à maîtriser son équilibre sur la glace. En fonction de sa performance à l’entraînement d’aujourd’hui, le prof de Léo déciderait de sa présence ou non au spectacle, pour un rôle secondaire. C’est ainsi que je me retrouvai devant deux sublimes garçons, l’un dans sa tenue de patinage et l’autre dans sa tenue de danse classique. J’avais une de ses triques et j’aurai voulu pouvoir me vider dans la bouche de Léo. Malheureusement, je devais maintenant attendre la fin du cours pour cela car les deux préadolescents prirent la direction de la patinoire. Profitant que Timothée aille aux toilettes, j’en profitai pour parler à Léo : - Tu aurais pu me prévenir que tu ne venais pas seul ! J’étais tellement excité que j’aurais pu t’attendre dans le vestiaire la bite à l’air ! - Je voulais te faire une surprise, mon pervers adoré ! Je vois bien comment tu regardes Timothée sur la photo de ma classe de danse à chaque fois que tu viens dans ma chambre ! - Oui, enfin moi j’ai envie de toi ! Et peut-être qu’il me fait fantasmer mais je ne peux rien lui faire ! - Tu n’as qu’à jouir dans ma bouteille de jus d’orange comme à nos débuts ! - C’est dans ta bouche ou dans ton cul que j’ai envie de jouir, lui répondis-je pour le chauffer. - S’il te plait mon Anton chéri, j’ai envie de boire du jus d’orange au sperme à la fin de mon entraînement. Après je pourrais m’occuper de toi et… Léo n’eut pas le temps de finir sa phrase que Timothée refit son apparition. Ainsi, après avoir sélectionné leur patins, je les suivis jusqu’à la patinoire, bien placé derrière eux, de manière à mater leur jolis petits culs bien moulés dans leurs collants. Juste avant que l’entraînement ne commence, Léo s’adressa à moi à haute voix : - Anton, tu n’oublies pas ce que je t’ai dit, s’il te plait… Pour faire plaisir à mon blondinet mais aussi parce que j’avais une furieuse envie de calmer mon excitation, je repris la direction des vestiaires. Ni une, ni deux et je commençai à me masturber en prenant soin de toucher et sentir les affaires de Timothée. L’élément le plus intéressant était un boxer, certes encore propre, mais qui sentait bon son odeur. Il n’en fallut pas plus pour que je le porte à mon visage et que je continue ma branlette. En 5 minutes à peine, je sentis la sauce montée. J’eus tout juste le temps de prendre le jus d’orange de Léo en main pour jouir à pleine puissance dedans. Pour le coup, il allait être servi car son nectar allait être très concentré, résultat de 3 jours d’abstinence, performance incroyable pour un jeune homme de 23 ans. Une fois soulagé, je repartis vers la patinoire afin d’admirer ses deux petites merveilles. Timothée avait l’air de plutôt bien s’en sortir même s’il restait très prudent. Il fit une petite chute, sans conséquence, mais qui le fit pleurer comme un gamin. Le pauvre petit chou était définitivement très sensible et une petite égratignure avait eu raison de lui. Après s’être fait réconforter par Léo et le professeur, il retourna sur la glace avec encore plus de retenu. Mais finalement, sous les encouragements, l’essai fut concluant. Même s’il n’était pas très à l’aise, Timothée avait toute les qualités requises pour tenir ce petit rôle secondaire dans le spectacle de fin d’année. Le professeur lui fit même quelques éloges pour le convaincre de s’inscrire pour le reste de l’année scolaire. C’est ainsi que les deux garçons reprirent la direction des vestiaires, cette fois-ci avec le sourire. À regret, ne voulant pas abuser et paraître trop suspect auprès du jeune ami de Léo, je décidai de les attendre à l’entrée de la patinoire. Ils ne mirent pas longtemps à faire leur apparition et à me rejoindre. Timothée, toujours aussi peu bavard, me dévisageai avec ses beaux yeux verts. Mon dieu qu’il était craquant ce petit. Je me remis rapidement à bander alors que Léo fouillait dans son sac pour en ressortir la fameuse bouteille de jus d’orange ou on pouvait clairement voir la coloration de mon foutre. Je savais qu’il allait encore jouer avec mes nerfs et boire sa bouteille devant moi et son nouvel ami. Mais, à nouveau, j’étais encore loin de son audace ! En effet, le garnement tendit la bouteille à Timothée en lui disant : - Tiens mon p’tit Timi, c’est pour toi, moi j’en ai une autre ! Le garçon apprécia le geste et, avec un sourire d’enfant recevant un cadeau, il prit la bouteille et répondit de sa petite voix fluette : - Merci Léo - De rien mon copain ! Il était vraiment trop mignon, innocent… Je n’avais qu’une seule envie, le prendre dans mes bras pour le câliner. Alors quand il porta la bouteille à sa bouche pour boire le jus, j’eus presque des remords de ce que je lui infligeai… Mais le voir boire mon sperme de la sorte était terriblement excitant. Je vis à son regard qu’il avait bien senti que ce jus d’orange était un peu spécial. D’autant plus que le liquide blanc était encore assez voyant. Pourtant, à cause de sa timidité, le gamin ne dit rien et bu toute la bouteille. Léo lui demanda alors : - Il était bon ? - Oui, répondit-il avec un petit signe de la tête - Je rajoute un jus spécial dedans avec plein de protéines, c’est pour ça que ça pas le même goût ! Tu as aimé ? demanda Léo pour couper court à toute question. - Oui, reprit-il avec un petit sourire laissant apparaître ses dents du bonheur. De mon côté, c’était à nouveau ultra tendu dans mon boxer. Je bandai comme un âne à en avoir mal. Heureusement, j’allai à nouveau pouvoir me soulager avec mon petit chéri à qui je ne manquerai pas de demander quelques explications sur son comportement. Mais alors que j’allais demander si on rentrait chez lui, Léo s’adressa à moi : - Bon on te laisse Anton, la maman de Timothée nous attend, je vais prendre le goûter chez lui et maman viendra me chercher après. Au revoir, dit-il, en me faisant un bisou sur la joue avec un regard qui voulait dire « je t’ai bien eu ». - Au revoir, dis-je simplement étonné et très déçu qu’il me laisse en plan sans me prévenir. - Au revoir Monsieur reprit à son tour Timothée avec un joli sourire qui me fit fondre. Heureusement qu’il était là pour me calmer sinon je crois bien que j’aurais fait une scène à mon chéri. Une fois qu’ils me quittèrent, j’envoyai un message à Léo en disant : « Merci de m’avoir prévenu, je vois que je ne compte déjà plus à grand-chose pour toi… » Je n’attendis que 30 secondes avent de recevoir cette réponse : « Désolé, j’ai oublié de te dire mais on se voit samedi, c’est promis. En attendant tu n’as qu’à te branler en pensant à Timothée ! » Enervé, je ne répondis pas et je rentrai chez moi pour travailler mes cours. Malgré l’instant très excitant que m’avait fait vivre Léo, je lui en voulais un peu de me traiter de la sorte. Si bien que pour la première fois, nous ne nous sommes pas appelés de la soirée. *** Nous étions maintenant le samedi 17 décembre et les deux jours qui venaient de passer furent un peu étrange. En effet, je n’eus quasiment pas de nouvelles de mon jeune blondinet, qui se faisait plus que discret. Je commençais même à être inquiet quant à notre relation… Mais heureusement, hier soir, il m’avait finalement rappelé pour me rassurer et me dire de venir chez lui en début d’après-midi. Il précisa également que, cette fois-ci, il serait totalement disponible pour moi. C’est donc à 14h00 pétantes que je me présentai devant sa porte, avec une réelle impatience de retrouver Léo. J’eus à peine le temps de sonner que sa mère m’ouvrit avec un grand sourire, un trench sur le dos et une valise en main. Elle me salua en me faisant la bise et me dit : - Ah Anton, je t’attendais ! Merci beaucoup d’avoir accepté de garder Léo pour le week-end ! J’allais partir à l’instant. - Garder Léo ? repris-je étonné. - Oui, jusqu’à demain soir… Il t’a prévenu au moins ? - … Devant mon silence et en voyant ma surprise, elle reprit inquiète : - Il ne t’a rien dit ? Il m’a pourtant affirmé que tu étais d’accord et disponible et je… - Ah oui, pardon excuse-moi Isabelle ! J’étais à l’ouest, bien sûr que je suis d’accord, repris-je pour faire diversion, ravi de cette nouvelle. - Mais tu n’as pas pris d’affaire pour cette nuit et demain ? - Euh… Je…. Si bien sûr, mais je les ai oubliés chez moi ! Ma mère va me les apporter, balbutiai-je pour me donner de la consistance. - OK très bien alors, j’espère que cela ne te dérange pas trop. - Non pas du tout ! - Super Anton, je ne sais pas ce que j’aurais fait sans toi. ! Encore merci d’avoir accepté, je dois filer pour Cannes et voir ma petite Lana. Mon train est dans 45 minutes... J’y vais, je vous appellerai ce soir ! Les garçons sont dans la chambre de Léo ! - OK ça marche, bon voyage Isabelle. - Merci Anton et bon courage ! La porte se referma et la maman de mon chéri me laissa seul à l’entrée de l’appartement. J’allais donc retrouver les garçons dans la chambre de Léo… Les garçons… Les garçons ? Attends, cela voulait-il dire que Léo n’était pas seul ? Peut-être était-ce juste une erreur de langage. Mon blondinet était tellement dynamique qu’on pourrait croire qu’ils sont plusieurs par moment. En tous cas, je voulus en avoir tout de suite le cœur net en prenant la direction de sa chambre. Il aurait quand même pu venir m’accueillir ! Mais quand j’arrivai devant sa porte, mon cœur se mit à palpiter. Effectivement, Léo n’était pas seul ! Non, avec lui se trouvait le jeune Timothée, avec qui j’avais fait connaissance mercredi dernier. Non seulement ils étaient ensemble mais en plus ils portaient tous le deux leur tenue de danse, à savoir un t-shirt blanc échancré ainsi qu’un collant gris ultra moulant. Les deux garçons étaient assis sur le lit de mon chéri et ils avaient les yeux rivés sur sa tablette. Quand ils me virent, Léo se redressa et vint à ma rencontre pour me faire un bisou sur la joue en disant : - Bonjour Anton ! - Bonjour Léo, répondis-je. Même s’il eut un moment d’hésitation, Timothée lui emboîta le pas et vint à son tour à ma rencontre. Quand je vis qu’il voulait lui aussi me faire un bisou sur la joue, je fus très étonné mais je m’empressai de la lui tendre. Après m’avoir embrassé d’un petit smack, il chuchota avec sa voix fluette : - Bonjour Anton ! - Bonjour Timothée ! Il était définitivement trop choupinou. Rien que de le voir ainsi, de sentir son odeur juvénile, le contact de ses lèvres sur mon visage… Je fondais et surtout je bandais comme un âne. J’avais envie de le prendre dans mes bras pour le câliner, pour le caresser… Mon trouble devait se voir car Léo me fit un clin d’œil, en désignant mon érection du doigt avec un sourire non dissimulé. Après m’avoir salué, les deux garçons retournèrent s’assoir sur le lit et reprirent la tablette en main. Quand je leur demandai ce qu’ils faisaient, ils me répondirent qu’ils jouaient à des jeux. J’acquiesçai et j’allai m’installer à côté d’eux. Après 2 minutes à les observer, je finis par oser poser la question qui me hantais l’esprit : - Mais pourquoi vous êtes en tenue de danse ? - Parce que Timothée aime bien porter ses collants, hein Timi ? répondit naturellement Léo en lui caressant le dos. Le gamin, tout rouge, fit juste un signe de la tête et replongea vite son regard sur la tablette, comme un petit garçon qui aurait fait une bêtise. Il avait tout de même esquissé un sourire, laissant apparaître ses belles dents du bonheur… Mon dieu que son innocence me faisait fondre de désir ! C’est à ce moment-là que mon chéri reprit : - Et puis je lui ai dit que tu aimais bien regarder des petits garçons en collant ! Alors on a voulu te faire plaisir ! Hein Timi ? Le petit garçon ne me répondit pas mais, tout en rougissant, il me fit un nouveau sourire à tomber par terre. De mon côté, mon sentiment était partagé entre une forte excitation et l’envie de faire payer son insolence à Léo. D’ailleurs, je lui fis les gros yeux pour lui dire d’éviter de faire ce genre d’allusion. Il voulait vraiment que j’ai des problèmes ! Mais mon air d’instituteur en colère ne fit rien d’autre que le faire rire et il embraya directement : - Timi, tu ne veux pas montrer à Anton comment tu fais la grenouille ? À ce moment précis, Timothée se releva et alla se positionner sur le sol. Il se mit donc aisément en position de la grenouille, m’offrant une vue plongeante sur son magnifique petit cul, bien moulé dans ses collants et qu’il remuait de façon indécente. Si nous avions été dans un manga, je peux vous assurer que je me serais mis à saigner du nez, tant le spectacle était excitant. Ma bite déjà bien dure, se gonfla à son maximum et me fit presque mal tellement elle bandait ! En voyant ma réaction et surtout ma bosse, Léo vint me susurrer à l’oreille : - Je t’avais dit que je m’occuperais de toi après notre après-midi avec Michel et Fabrice... Que je te réservais une surprise ! J’avais juste besoin d’un peu de temps pour m’assurer que tout irait bien… Mais voici ton cadeau de Noël un peu en avance ! - … - Je t’aime Anton ! Je t’aime et avec Timi, on va t’offrir le plus beau week-end de ta vie ! À présent, tout devenait clair dans mon esprit… Ces derniers temps, Léo n’avait pas cherché à m’éviter… Non il me préparait juste une surprise à la hauteur de son amour. Et quelle cadeau ! Il m’offrait ni plus ni moins qu’un autre magnifique jeune garçon sur un plateau… Un plan à 3 : moi avec deux blondinets de 11 et 12 ans, le fantasme de tout gay pédophile ! Alors que j’étais perdu dans mes pensées, à admirer Timothée, mon chéri voulut me mettre à l’aise. Ainsi, il baissa mon pantalon et me fit comprendre de retirer mon t-shirt. Il ne put s’empêcher de caresser ma bosse avant de reprendre : - Regarde Timothée, Anton est tout excité à cause de toi. Le jeune garçon arrêta donc de se trémousser et il se redressa pour se diriger timidement vers moi. Il n’osait pas me regarder et il se tenait les mains devant son entrejambe. Il rougissait encore à vue d’œil surtout en voyant mon sexe ainsi érigé. - Regarde, tu as vu ? dit Léo en mettant ma bosse en valeur Timothée fixa mon paquet et il rigola comme un gamin. Il avait les jambes croisées et remuait son corps ne sachant pas quoi en faire. Toujours rouge comme une pivoine, il finit par dire avec sa petite voix aiguë : - Ouh lala, il a l’air très gros son zizi ! - Oui il est gros pour toi, viens toucher ! reprit mon chéri - … - Allez viens, n’aie pas peur ! Au moment où sa petite main entra en contact avec mon boxer, je faillis défaillir tellement le moment était excitant, mélangeant toute l’innocence d’un enfant à celle de la perversité d’un adulte. Si Timothée effleura mon paquet, il retira très vite sa main, comme s’il venait de se prendre une décharge électrique. Cela le fit rigoler et il recommença l’opération plusieurs fois. A 11 ans, il n’avait encore rien d’un adolescent, sans aucune pensée impure comme cela pouvait être le cas avec ma petite « salope » de Léo. S’il n’avait qu’un an d’écart, il y avait un monde entre eux. Alors que ses mains se faisaient de plus en plus insistante sur mon sexe, Léo prit l’initiative de me retirer mon boxer, dévoilant ainsi ma bite à notre jeune ami. En la voyant réellement, Timothée eut à nouveau l’air ébahi et finit par dire avec la bouche grande ouverte : - Han ! C’est vraiment un gros zizi ! J’en ai jamais vu d’aussi gros ! - Touche-le, vas-y ! reprit mon chéri. Après un instant d’hésitation, Timothée tendit le bras mais le rétracta aussitôt, sans même me toucher. C’est Léo qui lui prit la main afin de venir la poser sur mon sexe. Ce nouveau contact peau contre peau fut une nouvelle décharge de plaisir pour moi. Mon dieu que ses mains étaient douces, qu’il me faisait du bien, qu’il était beau… Je le regardais avec envie prendre possession de ma bite avec l’irrésistible besoin qu’il la prenne déjà en bouche et que je puisse jouir sur son visage juvénile, orné de taches de rousseur. Alors qu’il me caressait en examinant chaque portion de mon anatomie, il s’adressa à mon chéri en rigolant : - C’est tout chaud, c’est un vrai zizi d’hommes regarde, y’a des poils hihi ! J’avais vraiment l’impression que ma bite était un jouet que le gamin apprenait à découvrir. Plus il me touchait et plus je soupirais, pouvant jouir à chaque seconde. Mais pour éviter cela, Léo attira Timothée vers lui, et il lui dit : - Vient on va faire comme chez toi mercredi, tu veux bien ? Le garçonnet répondit oui d’un léger signe de la tête et se colla contre mon amour. Léo commença par lui faire plusieurs bisous sur le visage : front, joues puis sur ces lèvres, ce qui fit sourire le garçonnet : - On fait des bisous d’amoureux, hihi ! - Oui parce qu’on est des petits pédés Timi, reprit Léo en lui tripotant son sexe au travers de son collant. - Hihi, ça fait du bien à mon zizi ! - Oui il est tout dur comme le mien ! En disant cela, Léo prit la main de Timothée et la posa sur son sexe pour que les deux garçons se masturbent mutuellement au travers du tissu. Le spectacle était tellement bandant que je ne pouvais m’empêcher de m’astiquer en les regardant faire. Mais quand Léo se remit à embrasser Timothée sur la bouche, cette fois-ci en y insérant la langue, les événements prirent une tournure définitivement torride. Les deux blondinets se roulaient une pelle des plus sensuelles sous mes yeux. Tout en s’embrassant, il se caressaient les fesses et se frottaient l’un contre l’autre, comme des animaux en rut. Ainsi, je pouvais aisément admirer leur deux petits piquets tendre les tissus du collant. Après s’être longuement embrassé, ils se séparèrent pour s’inquiéter à nouveau de moi. Alors que j’étais assis sur le lit de Léo, avec ma bite en main, ils vinrent s’assoir à mon niveau, chacun de leur côté. Sans plus attendre, mon chéri commença à me toucher et demanda à Timothée d’en faire de même. Les deux garçons jouaient maintenant avec ma queue, la prenant en main et la faisant claquer contre mon torse. Cela amusait beaucoup Timothée qui rigolait à chaque fois que mon sexe faisait du bruit. Ils jouèrent ainsi une bonne minute avant que Léo ne décide de passer aux choses sérieuses. Sous les yeux de son ami, il prit ma bite entre ses mains et baissa sa tête entre mes jambes. Il déposa un bisous sur mon gland, puis un deuxième et un troisième. En le voyant faire, Timothée rigolait : - Tu fais des bisous sur son zizi, hihi ! Il se redressa alors et répondit à son ami : - Oui, il adore ça ! À ton tour maintenant ! S’il hésita encore un peu, il ne se dégonfla pas (tout comme ma queue) et il déposa un smack sur mon gland. Voir sa petite tête blonde entre mes jambes et sentir ses lèvres sur ma bite était une sensation absolument divine. À chaque fois qu’il m’embrassait le sexe, il finissait par rigoler et parfois il disait : - Hihi regarde Léo, je fais des bisous à son zizi moi aussi ! Sous l’excitation du moment, de la mouille vint perler au bout de mon gland. J’avais peur de sa réaction mais pourtant, en la voyant, il fut beaucoup plus intrigué que repoussé. Ainsi, il ne rechigna pas à la lécher quand mon chéri le lui demanda. Sous les encouragements de ce dernier, il recommença plusieurs fois l’opération jusqu’à ce que Léo ne le rejoigne entre mes jambes. À partir de ce moment, je perdis totalement le contrôle. Je ne sais pas si vous imaginez l’érotisme, la perversité et l’indécence de la scène ! À présent, j’avais deux bouches et deux langues juvéniles qui me caressaient, qui me léchaient de part-et-d ’autres de mon chibre. Non seulement la sensation était divine mais c’est surtout la vision du spectacle qui était magnifique. Lors de mes meilleures branlettes, je fantasmais souvent à l’idée d’avoir deux jeunes garçons blonds, fins, imberbes, entre les jambes à me sucer goulument la bite… Je n’avais jamais imaginé pouvoir vivre cela et pourtant ! Les deux garçons s’embrassaient maintenant autour de mon gland. Les langues se mélangeant entre elles, partageant ma mouille de plus en plus abondante. Ils se donnaient vraiment du mal pour me faire du bien. Si aucun d’entre eux ne me prenaient encore réellement en bouche, je n’en avais même pas besoin puisque sentir leurs lèvres coulisser le long de ma verge et leur langues s’emmêler autour de mon gland me suffisaient. Il n’en fallut pas plus pour que j’arrive au point de non-retour. Alors que je caressais leurs doux cheveux blonds, mon souffle s’accéléra et mes gémissements se firent encore plus intenses. Finalement, je finis par leur dire : - Oh oui les garçons, c’est trop bon, je vais jouir, ça vient, hummm, ça vient ! Ainsi, devant ce spectacle divin et tout en maintenant leurs deux têtes blondes contre ma queue, je déchargeai tout mon foutre, alors qu’ils continuaient à s’embrasser autour de ma bite. Timothée qui découvrait le sperme fut un peu surpris par la nature et la puissance de l’éjaculation. S’il eut un léger mouvement de recul à la survenue du premier jet, me voir jouir ainsi l’intrigua et le fit rigoler, surtout à chaque fois qu’un jet venait lui asperger son beau visage. D’ailleurs Léo fit exprès de diriger mon chibre vers son visage de telle sorte qu’il prenne sur lui la majeure partie de mon éjaculation. Comme il rigolait la bouche ouverte, il en avala une partie, mais il en reçu aussi sur les joues, le front dans les yeux… Je lui avais littéralement tapissé la gueule de mon foutre… Mais il n’en fut pas dérangé puisqu’il continua de me lécher, de me sucer, découvrant la chaleur et le goût de mon sperme. Pour parachever le spectacle, les deux garçons s’embrassèrent en partageant mon nectar… Je venais de vivre un moment incroyable ! Pourtant, le week-end ne faisait que commencer… Bien que venant de jouir, je restai très excité, surtout que Léo et Timothée continuèrent de s’embrasser en se frottant l’un à l’autre dans leur tenue de danseur. Mon chéri en profita également pour lécher mon sperme sur le visage de son camarade, qui rigolait de ces léchouilles. Ce spectacle très sensuel continua pendant 5 minutes jusqu’à ce que, à force de se frotter et de se faire branler au travers de son collant, Timothée eût un orgasme à sec et sa petite bite se mît à tressauter dans le tissu. Il poussa de petits gémissements aigus très excitants qui me laissaient présager du meilleur pour la suite. Autant vous dire que malgré mon éjaculation, je retrouvai très rapidement tous mes moyens et ma bite fut à nouveau bien bandée. Léo, ravi de cela, revint immédiatement à la charge et m’emboucha entièrement sous les yeux subjugués de Timothée. Le jeune garçon découvrit ainsi comment mon chéri s’y prenait pour sucer une bite. Tout y passa : de la simple caresse linguale à la plus cochonne des gorges profondes. C’est d’ailleurs ce qui intrigua le plus notre jeune ami : Comment Léo faisait-il pour avaler entièrement mes 19 cm ? Il avait approché sa tête de l’action et avait les yeux rivés sur ma queue qui apparaissait et disparaissait au rythme de la fellation que me donnait Léo. Timothée ne cacha pas son émoi et, quand mon chéri resta les lèvres plaquées sur mon pubis une bonne quinzaine de secondes, il s’exclama à haute voix : - Han ! Tu arrives à avaler tout son gros zizi aussi longtemps… Comment tu fais ? - … Slurp, slurp… C’est parce que c’est bon ! Pour conclure la démonstration, Léo m’incita à prendre sa petite tête blonde entre mes mains et à lui baiser la gueule de façon très sauvage. Ainsi, je ne me fis pas prier et je me mis à le pilonner avec beaucoup d’entrain. Par moment, lorsqu’il avait mon chibre entièrement dans sa bouche, je le maintenais dans cette position jusqu’à ce que je sente qu’il commence à s’étouffer, toussant et bavant plein de salive sur son menton. Timothée fut encore plus surpris de voir à quel point le sexe pouvait être aussi « violent ». Mais il ne sembla pas s’en offusquer puisqu’il voyait très bien que Léo était très demandeur : - Hummm ! J’adore ta grosse bite Anton ! Baise-moi la bouche, je suis ta petite tapette ! Entendre ces mots aussi vulgaires sortir de la bouche d’un garçon de 12 ans était vraiment jouissif. Le contraste entre sa petite voix aiguë et la grossièreté des propos était saisissante. Léo savait que cela m’excitait et, depuis que nous couchions ensemble, il avait appris à en jouer. Après avoir montré l’étendue de ses talents, mon jeune amant se redressa finalement et s’adressa à son petit copain : - Maintenant mon p’tit Timi, je vais t’apprendre comment bien sucer une bite ! - Je vais devoir l’avaler en entier aussi ? s’inquiéta alors le gamin - Non, bien sûr, moi je n’y arrivais pas au début ! On va y aller doucement ! Ainsi, mon petit chéri commença son cours de fellation dont j’étais le cobaye… Mais le plus chanceux des cobayes ! Léo commença à apprendre à Timothée comment suçoter mon gland et comment jouer avec sa langue dessus : - Imagine que tu lèches une bonne glace ou que tu suces une sucette ! Le gamin, très docile mais également très curieux, s’exécuta et suivi les conseils qu’il recevait de son jeune professeur. Mon gland se retrouva rapidement aspiré dans sa petite bouche. Il fit plusieurs va-et-vient, qui certes manquaient d’assurance et d’expérience, mais qui restaient très plaisants. Rien que le plaisir de voir ce visage juvénile s’activer sur ma bite était jouissif. Par moment cependant, je pouvais sentir ses dents, ce qui me fit grimacer. - Attention Timi, il ne faut surtout pas mettre les dents. Essaie de bien creuser ta bouche, oui comme ça c’est très bien ! Le jeune danseur était très attentif et il apprenait aussi très vite. Bientôt, il n’y eut plus aucun faux pas et je ne ressentis que du plaisir, celui d’être délicieusement sucé par un enfant de 11 ans. Au fur et à mesure de ses va-et-vient, Timothée arriva à prendre la moitié de ma queue dans sa bouche, sous les encouragements de Léo : - C’est bien Timi, tu es très doué - Oh oui mon chaton, Léo a raison ! Tu es vraiment très doué, je vais bientôt éjaculer si tu continues comme ça ! - Tu entends Timi, tu vas avoir encore du jus de zizi ! Heureux de l’apprendre, le garçon se redressa et fit le paon. Il était fier de me procurer autant de plaisir. Ce petit blondinet était définitivement trop choupinou et attachant. Pour parachever son enseignement, Léo lui demanda, tout comme lui tout à l’heure, de se laisser faire entre mes mains. Ainsi, après qu’il fut revenu entre mes jambes, je pris sa tête entre mes mains et, sans même que je lui demande, il ouvrit la bouche quand mon sexe approcha de ses lèvres. Que j’adorais caresser ses cheveux blonds avec sa coupe au bol, tellement caractéristique d’un garçon prépubère. Ses taches de rousseur et ses dents du bonheur venaient parachever cette vision si juvénile de son visage. Je commençai par lui baiser la bouche par des va-et-vient lents, prenant soin de bien l’apprivoiser. Une fois qu’il fut habitué, j’accélérai le rythme jusqu’à ne plus retenir mes coups de rein. Évidemment, je ne rentrai que la moitié de mon pieux dans sa cavité buccale, mais c’était déjà énorme ! Je ne tins pas 5 minutes de plus et, après un ultime va-et-vient, je me déversai entièrement au fond de sa gorge, en bloquant son visage pour qu’il avale tout. Une éjaculation qui fut moins abondante que la première, mais tout de même un peu trop pour Timothée qui n’arriva pas à tout avaler, ne dégorgeant pas assez vite. Ainsi, du foutre vint couler le long de ses lèvres et de son menton… Une vision magnifique dont rêve tout pédophile ! Après cette seconde éjaculation en à peine une heure, mon chibre avait besoin d’un peu de repos. Mais avant de passer à autre chose, je pris le temps de remercier Timothée mais aussi et surtout Léo, pour le magnifique cadeau qu’il venait de me faire. Je les embrassai tous les deux en leur faisant plein de câlins et de chatouilles. Si je connaissais bien la bouche de mon chéri, je découvris le goût très sucrée de celle du petit Timi. Quand je dis très « sucrée », évidemment j’omets le goût âpre et salé de mon sperme qui venait de se déverser dans son palais. En tous cas, lui rouler des pelles fut également très jouissif. Il était tellement maigre et léger que je n’eus aucun mal à le porter dans mes bras pour l’embrasser. Son petit zizi, encore redressé dans son collant, venait se frotter contre mon torse. Par moment, je venais le caresser et le branler, ce qui fit très plaisir à mon jeune ami. Si j’aimais Léo profondément, je dois avouer que ce gamin me faisait trop craquer. Nous restâmes peut-être 1 heure dans la chambre de mon chéri à nous câliner gentiment puis à nous reposer sur son lit. Le reste de l’après-midi passa assez rapidement. Nous goûtâmes un bon chocolat chaud avec quelques biscuits puis nous regardâmes un dessin animé à la télévision. J’étais installé au centre du canapé et les deux garçons chacun à mes côtés, mes bras enroulés autour d’eux. Si j’avais juste renfilé un boxer et un t-shirt, les deux garçons avaient conservé leur tenue de danse, dans laquelle ils se trouvaient très à l’aise. Personnellement cela ne me dérangeait pas tant je les trouvais désirables dans cet accoutrement. Parfois, ces deux petits chenapans venaient loger leur tête contre mes cuisses, parfois ils venaient tout simplement me caresser la bite, comme si ce n’était qu’un jouet pour eux. Si bien qu’à force de me faire tripoter, je retrouvai une belle érection. Mais s’ils continuèrent de me caresser durant toute la durée de film, il ne se passa rien d’autre. Pour le dîner, Ia maman de Léo avait déjà tout préparé et je n’avais plus qu’à réchauffer les lasagnes maison au micro-ondes. Celles-ci furent si succulentes qu’il ne resta bientôt plus rien de l’énorme plat si bien cuisiné. Pour le dessert, nous n’avions déjà plus très faim, si bien qu’un simple yaourt nous suffit. Pour m’aguicher et amuser la galerie, Léo n’hésita pas à prendre le laitage pour un autre type de jus (qui avait déjà bien coulé cet après-midi). Ni une, ni deux, Timothée embraya tel un enfant voulant copier les pitreries de son copain. Bientôt j’eus la vision très perverse de deux blondinets avec du yaourt dégoulinant de leurs lèvres… C’est à ce moment précis que le téléphone sonna, alors que j’étais plongée dans mes pensées Cochonnes… C’était Isabelle qui venait aux nouvelles. Léo décrocha et passa quelques minutes avec sa maman, avant de me la passer pour que je puisse la rassurer. Évidemment, j’omis une bonne partie de l’après-midi dans mon récit de la journée. Je la remerciai aussi pour le délicieux repas qu’elle nous avait préparé tandis qu’elle ne cessait de me remercier pour ce que je faisais pour elle et son fils. Une fois que j’eus raccroché, nous prîmes la direction de la salle de bain. Après les ébats et les effluves de l’après-midi, il était temps d’aller se laver. La douche était assez grande pour nous accueillir tous les trois alors il nous sembla naturel d’y aller en même temps. Les deux garçons quittèrent leur tenues de danse, tandis que moi j’enlevai mon boxer et mon t-shirt. Ainsi, nous nous retrouvâmes totalement nus tous ensemble pour la première fois. Cela me permis aussi de découvrir le corps de Timothée dans son plus simple appareil… Et qu’il était magnifique avec ses jambes fines toutes lisses, son torse et son ventre si maigres que l’on pouvait voir toutes ses côtes se dessiner… Son sexe de quelques centimètres ressemblait à une petite friandise que l’on avait envie de gober. Je le désirais entièrement et je voulais le posséder entièrement tout comme Léo ! Une chose est sûre, je bandais comme un âne, depuis 10 minutes déjà. D’ailleurs ma queue me faisait presque mal tellement elle était tendue. Je n’avais rarement ressenti une telle érection ! Mais pour l’instant, bien que l’envie fût très forte, il n’était pas question de mon plaisir mais plutôt d’hygiène. Une fois tous les trois sous la douche, je pris soins de shampooiner et de savonner ces deux petits diablotins. Ils étaient magnifiques, si glabre, si doux... Laver leurs beaux cheveux blonds, frotter mes mains contre leur peau laiteuse, toute lisse, était un vrai bonheur. Évidemment, j’insistai particulièrement sur leurs parties intimes. Timothée et Léo se laissaient faire et, voyant que leurs petits sexes étaient bien dressés, je ne pus me retenir de les prendre entre mes mains pour les branler délicatement. Ce traitement les fit très vite gémir et voyant cela, je passai à la vitesse supérieure. Ainsi, je m’accroupis dans la douche pour que mon visage se retrouve au niveau de leur entrejambe. Je pris d’abord la petite queue de Timothée en bouche, qui ne mesurait pas plus de huit ou neuf cm en érection. Je l’engloutis donc facilement en entier et le gamin découvrit une nouvelle sensation sublime. Sa petite quéquette était délicieuse avec un goût de vanille. Je n’eus pas à le sucer très longtemps avant que je le sente défaillir. En effet, il avait les jambes tremblotantes et il failli même tomber à terre quand il eut un orgasme à sec. Je dus le retenir dans mes bras pour qu’il ne s’écroule pas. Une fois qu’il retrouva son équilibre, j’embrayai directement avec Léo et je le fis également jouir à sec dans ma bouche en quelques minutes. Les deux gamins voulurent alors me rendre la monnaie de ma pièce mais je les en empêchai car j’avais d’autres projets pour eux… Ainsi, pour finir la douche, je les fis positionner debout, dos à moi, les mains plaquées contre le mur de la douche, de sorte que j’eus un accès privilégié à leurs jolies petites fesses. Je commençai par m’occuper de Léo, en n’y allant assez directement, puisqu’il y était habitué. Ainsi j’insérai mon index, puis mon majeur de son anus et je le doigtai avec du savon pour bien le nettoyer. Inutile de vous dire que mon chéri, très sensible du cul, se mit à gémir et à bander de nouveau sous l’effet de ce traitement. Cela intrigua beaucoup Timothée qui me regardait faire avec beaucoup d’intérêt. Pour finir, Léo me tendit la poire à lavement, que nous avions acheté ensemble, afin de bien lui rincer les intestins. Une nouvelle fois Timothée fut très intrigué mais rigola de voir le ventre de Léo se gonfler et ses fesses recracher toute l’eau. Ainsi après en avoir terminé avec mon chéri, je m’occupai de lui, non pas sans que Léo ne le rassure avant. En effet, pour le jeune danseur, tout ceci était nouveau et jamais personne n’avait jamais joué avec ses fesses. Avant de le doigter et vu comment la poire l’intriguait, je commençai par lui faire un lavement. Je m’attendais à ce que cela soit difficile mais malgré quelques difficultés au départ, le gamin compris assez rapidement ce qu’il devait faire. Il fut même agréablement surpris par cette drôle de sensation d’avoir toute cette eau en lui. Cela le fit rire et il expulsa le tout assez facilement. Une fois bien nettoyer, je lui demandai de s’appuyer contre le mur et de tendre ses fesses vers moi. N’en pouvant plus et étant toujours aussi bandé qu’au début de la douche, je m’accroupis et je me mis tout simplement à lui bouffer le cul. Mon dieu que son anus avait bon goût. Ma langue s’inséra à l’intérieur et n’en ressortit que 5 minutes plus tard quand je le sentis bien lubrifié. Pendant que je lui faisais cet anulingus, le gamin ressentais de drôles de sensations, plutôt agréables pour lui. Mais, avec son innocence d’enfant, il ne put s’empêcher de rigoler qu’un adulte lui mange les fesses par où faisait caca. Il n’aurait jamais imaginé que l’on puisse faire ça ! Alors vous imaginez bien que quand la première phalange de mon index glissa dans son intimité, il eut également un léger sursaut. Son petit trou vierge était bien plus serré que celui de mon Léo et je me disais que j’aurais du mal à le sodomiser ce soir… Pourtant ce n’est pas l’envie qui m’en manquait. Au bout de quelques minutes et avec un noisette de lubrifiant, j’arrivai quand même à insérer mon index en entier dans son anus. Si la sensation fut d’abord désagréable pour lui, il sembla s’y habituer, surtout que Léo faisait tout pour le détendre et le rassurer. Après l’avoir bien doigté, nous sortîmes finalement de la douche pour nous diriger dans la chambre de Léo, toujours nu comme des vers. Mon érection était toujours à son apogée et je commençai à me demander ce qu’il m’arrivait. Mais alors que nous passions devant la chambre d’Isabelle, mon chéri nous interrompit : - On devrait aller dans le lit de maman, on aura beaucoup plus de place ! - Léo, tu ne veux quand même pas que je vous… Enfin qu’on le fasse dans le lit de ta mère ! - Et pourquoi pas ? De toute façon elle a changé les draps pour que tu puisses dormir dedans cette nuit. Alors que tu dormes seul ou avec nous, qu’est-ce que ça change ? Je me laissai vite convaincre et nous nous installâmes donc dans le lit maternel. Mon chéri prit la direction des ébats et il me fit allonger sur le dos, alors que lui et Timothée se positionnèrent chacun de leur côté, leur tête au niveau de mon entrejambe. Je n’attendis pas très longtemps avant que leurs langues parcourent mon sexe qui n’attendait que ça. Mon dieu que c’était bon ! Cette double fellation est tout ce dont j’avais besoin tellement ma queue était étirée et dure. Léo qui l’avait remarqué semblait s’en amuser : - On dirait que ta bite elle est plus tendue que d’habitude ! dit-il en la faisant claquer contre mon ventre. - Je ne sais pas si c’est vous qui me faites cet effet là, mais j’ai l’impression que je vais exploser, répondis-je. - 2 petits blondinets qui te sucent, c’est tout ce dont rêve un pervers comme toi, reprit mon chéri en me taquinant. - Ahah très drôle petite tapette, tu ferais mieux de retourner de me sucer, sinon je vais commencer à préférer ton copain qui sait y faire ! - Ou alors c’est peut-être parce que je t’ai donné les pilule pour bander que Michel a pris la dernière fois ! - … Cette révélation me cloua sur place ! Léo avait profité d’un moment d’inattention pour glisser, non pas une mais deux pilules de viagra dans mon yaourt. Je n’avais absolument rien remarqué ! En plus, il avait consciemment surdosé, de sorte que je bande continuellement pendant des heures. Selon lui, il fallait que je tienne longtemps pour que je les encule tous les deux, toute la nuit. Bien que son incroyable appétit sexuel me fît plaisir, je ne manquai pas de le sermonner sur son geste qui aurait pu avoir des conséquences dramatiques. Mais selon lui, je ne risquais rien puisqu’il avait regardé sur Internet et avait même demandé à Michel combien il pouvait en prendre. D’ailleurs, il me confia également que c’est grâce à lui qu’il s’était procuré ces pilules puisqu’il les avait tout simplement volées dans la poche de son manteau la dernière fois que nous nous étions vus. Bref, après cette discussion et sachant maintenant pourquoi je bandais comme un taureau, les deux garçons purent reprendre leur délicieuses fellations. J’adorais vraiment les sentir et les voir s’embrasser autour de mon gland. Je me disais que j’étais vraiment le plus chanceux des hommes et que de nombreux pédophiles auraient payé très cher pour se faire pomper de la sorte par deux blondinets de 11 et 12 ans. Maintenant que je savais que je ne débanderais pas avant des heures, je me laissai totalement aller. Timothée et Léo jouaient avec ma bite comme deux gamins auraient pu jouer aux Playmobil. En tous cas, ils me sucèrent en même temps, l’un après l’autre pendant près de 10 minutes. Puis voyant que je ne jouissais toujours pas, malgré beaucoup d’efforts, Léo décida de passer à la vitesse supérieure… Sans même me prévenir, il alla se positionner au-dessus de moi et dirigea mon sexe vers son anus. Bien dilaté par mon doigté sous la douche, il n’eut aucun mal à s’empaler dessus, sous les yeux ébahis de Timothée. Je n’eus pas le temps de réagir que déjà Léo dansait et se déchainait sur ma bite. Il avait lâché les chevaux et ne se retenait plus. De mon côté, je prenais mon pied à voir ce gamin s’empaler sur mon chibre comme une véritable pute. Le blondinet aimait se faire enculer et son petit sexe était tendu au maximum. Autre signe de son plaisir, il ne cessait de gémir à haute voix : - Hummm, oh oui Anton, j’aime ta grosse bite ! Encule-moi, défonce-moi ! Je suis ta petite tapette ! L’entendre ainsi me fit perdre la raison. Il n’eut pas à le répéter deux fois et je me mis à l’enculer comme une bête. En lui maintenant les cuisses avec mes mains, je le pilonnais littéralement et faisais claquer mes couilles contre ses petites fesses lisses. La scène était d’une obscénité totale et Timothée n’en revenait pas de voir ça. Il avait la bouche grande ouverte et se demandait comment ma grosse queue pouvait entrer ainsi dans les fesses de son ami. En tous cas, en entendant Léo gémir, il se disait que cela devait être très agréable. De mon côté, je trouvais cela bien plus qu’agréable. Le fait de baiser ce jeune adolescent dans le lit de sa mère donnait un côté encore plus excitant à la chose. Isabelle avait conçu son fils dans ce lit et moi je le fécondais au même endroit 12 ans après… Léo était maintenant à 4 pattes et moi j’étais debout derrière lui à le baiser comme la dernière des salopes. Mon chéri avait déjà eu un orgasme mais il continuait de prendre son pied en remuant son petit cul sur ma queue. Quant à moi, je tins encore 15 minutes avant de me sentir défaillir. Je ne ralentis aucunement mes va-et-vient et, dans un ultime assaut bestial, je déchargeai tout mon foutre à l’intérieur de mon chéri. Ce dernier eu un second orgasme en sentant mon sperme couler dans ses intestins. Ainsi, je finis par le déculer et je pus voir à quel point je lui avais bien élargi son petit trou. Bien qu’ayant joui, je bandais toujours sous l’effet du viagra. En même temps, même sans pilule je crois que j’aurais pu garder mon excitation, puisque la prochaine étape de la soirée consisterait ni plus ni moins qu’à dépuceler un jeune garçon de 11 ans. Autant vous dire qu’il n’y avait rien de plus d’excitant pour moi. Pourtant le défi était immense tant l’anus de Timothée semblait étroit… Cependant, en voyant le plaisir que Léo avait eu, le gamin voulait absolument que je lui fasse la même chose… Il n’avait pas arrêté de me demander : - Anton, tu vas me mettre aussi ton gros zizi dans mes fesses ? - Bien sûr mon petit Timi, j’en ai très envie, répondis-je à chaque fois. Avant cela, après trente minutes très sportives à enculer mon chaton, j’avais besoin de repos. Bien qu’encore tout dur, mes couilles commençaient à être à sec. Ainsi, je m’allongeai sur le lit pour souffler un peu... Mais à peine étais-je en place que Léo demanda à Timothée de venir me sucer, à 4 pattes, afin qu’il puisse lui bouffer le cul en même temps. J’étais vraiment servi comme un roi ! J’avais juste à profiter de la bouche savoureuse du petit blondinet pendant que mon chéri faisait tout le travail de préparation à ma place. Pendant 10 minutes, Léo lécha et doigta Timothée qui faisait tout pour me donner satisfaction avec sa langue. Quel spectacle incroyable ! Un gamin de 11 ans me suçait alors qu’il se faisait bouffer la chatte par un autre garçon de 12 ans. Le repos fut d’autant plus agréable ! Après quinze minutes de détente, une fois bien reposé et une fois Timothée bien préparé, les choses sérieuses commencèrent. Sous les conseils de mon chéri, le garçonnet se positionna à quatre pattes sur le lit, en m’offrant une vue plongeante sur son petit cul. De mon côté, j’étais maintenant debout, derrière lui, avec mon sexe pointé vers son anus. Si déjà ma bite était plus grosse et plus large que la taille et le ventre de Léo, je ne vous raconte pas ce qu’il en était pour Timothée. Je dois dire que si j’étais excité, je n’étais pas très serein sur le fait que je puisse le prendre sans lui faire de mal… Et je n’avais pas tort puisque les premières tentatives furent un échec total ! Malgré une bonne dose de lubrifiant, il me fallut plus de 15 minutes pour que mon gland franchisse la barrière de ses sphincters. Cela se fit au prix d’une très grande douleur et le gamin ne put retenir ses larmes. Pourtant, malgré de vives brûlures, il ne voulut pas que j’arrête. Léo tenta de le rassurer et lui fit comprendre qu’après la douleur, il aurait énormément de plaisir ! Mais ce ne fut pas le cas… Au contraire, plus j’avançais en lui et plus la douleur était intense. Outre les larmes, il se mit à crier quand je le pénétrai un peu plus franchement… Pourtant, je n’avais pas le quart de mon sexe en lui, mais c’était déjà beaucoup trop ! Le voyant souffrir de la sorte me fit tout arrêter ! Je ne voulais pas qu’il ait mal à ce point. Je lui fis donc comprendre qu’il n’était pas prêt pour la sodomie. Mais je crois que cet échec lui fit encore plus mal que ma bite et il sanglota littéralement comme un bébé. En le voyant dans cet état, je m’empressai de le consoler en lui disant que cela n’était pas grave et que nous le ferions plus tard, quand il serait prêt… Mais rien n’y fit et Timothée continua de pleurer. Pour être honnête, moi aussi j’étais déçu et j’aurai vraiment aimé pouvoir le dépuceler ce soir… C’est alors qu’une idée me vint en tête ! Ainsi, je prévins Léo que j’allais m’absenter une petite demi-heure pour aller faire une petite course. Pendant ce temps, je lui demandai de bien vouloir continuer à dilater Timi avec sa bouche et ses doigts… Ce qu’il fit volontiers ! Quand je revins 40 minutes plus tard dans la chambre d’Isabelle, je les découvris en 69, Léo bouffant le cul de son copain, qui lui suçait la bite. Le petit garçon semblait avoir oublié son chagrin et il avait l’air de prendre du plaisir. En tous cas, cette divine vision me fit me mettre à poil en moins de 30 secondes. Inutile de vous préciser que je bandai toujours comme un âne, à la fois sous l’effet du médicament mais aussi de ce spectacle incroyable. Sans plus attendre, je sortis un flacon du sachet tout en prenant soin de bien lire la notice. Mais malheureusement pour moi, il n’était fait aucune mention de l’utilisation de poppers pour un gamin de 11 ans. Alors je fis en sorte de le doser comme un adulte pour bien le dilater. Excité comme jamais, je fis respirer le liquide à Timothée plusieurs fois de suite. Ce dernier tomba rapidement dans une douce euphorie et l’effet escompté fut là. En à peine 1 minute, j’arrivai à rentrer la moitié de ma queue dans son anus, ce que je n’étais pas parvenu à faire en 20 minutes tout à l’heure. La sensation était magnifique et je me sentais vraiment à l’étroit. Mais quand je voulus pousser plus loin, il y eu un nouveau blocage. Alors, pour ne pas brusquer Timothée, je commençai à faire des va-et-vient en ne faisant rentrer que cette partie de ma bite. Si je ressentais beaucoup de plaisir, le gamin ressentait encore des douleurs et je le sentais encore un peu tendu. Alors Léo le fit respirer à nouveau du poppers et Timothée bascula définitivement dans un autre monde. Je n’eus pas à faire beaucoup d’efforts supplémentaires pour que mon chibre progresse à nouveau en lui. Finalement, en lui agrippant ses petites cuisses, je donnai un dernier coup de rein et mes couilles vinrent claquer contre ses fesses, signe d’une pénétration complète. Mon dieu que c’était bon ! Je me demandai encore comment ma bite pouvait rentrer à l’intérieur de ce gamin si maigre. Je devais vraiment lui perforer les intestins, l’estomac et remonter jusqu’à son œsophage ! En tous cas, Timi eu un sursaut quand je vins le pénétrer entièrement. Mais très vite son anus se dilata et s’habitua à mon chibre. C’était incroyable comment je pouvais être à l’étroit à l’intérieur. J’avais l’impression que le moindre millimètre carré de son anus était encombré de mon sexe. Je pouvais sentir ses parois anales sur chaque recoins de ma bite. Mon gland, bien enfoncé dans son ventre, mouillait de plaisir. J’avais même l’impression d’en voir la forme sur son ventre. La baise qui suivit fut certainement la plus sauvage et la plus bestiale que je connus. Pendant une heure de temps, j’ai enculé ce gamin dans toutes les positions possibles et imaginables. Si j’étais devenu une machine, Timothée encaissait sans broncher et gémissait même comme une petite tapette, à la manière de mon Léo. Avec déjà trois éjaculations au compteur et malgré l’excitation de dépuceler un gosse de 11 ans, j’arrivai à tenir à un rythme effréné. Il faut dire que si j’étais excité, mes couilles étaient presque à sec et mon chibre commençait à me faire mal. Alors en tenant fermement ses cuisses entre mes mains d’hommes, je le pilonnais, faisant résonner mes couilles contre son cul à chaque seconde. Sa petite bite bien dressée, le préadolescent jouissait avec sa petite voix aiguë : - Hummm, oh oui Anton, baise-moi avec ta grosse bite, dit-il en reprenant le vocabulaire de mon chéri. Qu’il était bon de l’entendre et de le voir ainsi ! Après l’avoir bien ramoné, Timothée vint ensuite me chevaucher, s’empalant de lui-même sur ma queue… Quelle vision de rêve que de voir ce petit blondinet danser sur mon chibre ! Mais à la fois épuisé et sur une autre planète, le garçon ne tint pas le rythme plus de 5 minutes. Ainsi, alors qu’il s’était écroulé de fatigue sur ma bite, je le pris dans mes bras et le portai debout afin de le baiser dans cette position. Avec la force de mes bras, je le faisais aller et revenir sur ma queue sans aucune retenue. Léger comme une plume, il n’était plus qu’une poupée gonflable dont l’anus venait me branler à merveille. C’est ainsi que j’éjaculai une première fois dans ses fesses, après 25 minutes à le baiser non-stop. Pour autant, je ne m’arrêtai pas là. Alors que les quelques jets de sperme dégoulinaient de son cul, je continuai à l’enculer profondément pour le faire couiner encore plus fort. Le seul moment où je le quittai fut pour donner du plaisir à mon petit chéri, qui commençait à s’ennuyer et à être jaloux. Il ne le fut pas longtemps car je lui donnai rapidement non pas un mais deux orgasmes à sec ! Lui qui avait également respiré une bonne dose de poppers était euphorique voir complètement dithyrambique. Déjà qu’habituellement il couinait comme la dernière des salopes, je vous laisse imaginer dans quel état il était maintenant ! J’avais même peur que les voisins finissent par l’entendre gémir ses « Hummm, oh oui, j’adore ta grosse bite, baise-moi Anton, encule-moi, hummm oui ! » Moi qui aimais les petites tapettes, j’avais la tapette ultime entre mes mains ! Une fois le gamin rassasié, après dix minutes de sodomie intense, je retournai voir son petit copain qui commençait à s’endormir sur le lit. L’interrompant dans son sommeil, je lui fis faire le grand écart et me mit à le baiser dans cette position, jusqu’à ce qu’il ne tienne plus en place. Le voir encaisser ma bite ainsi était jouissif ! La souplesse des petits danseurs était vraiment très excitante ! Pour terminer cette folle soirée, je lui fis prendre la position de la grenouille, de telle sorte que ses petites fesses ressortent bien en direction de mon chibre. Ni une, ni deux et je plongeai à l’intérieur d’un coup sec. Une fois bien profondément en lui, je retirai ma queue lentement mais entièrement avant de replonger à nouveau en lui d’un coup sec. Je répétai l’opération plusieurs fois en accélérant le rythme. Je l’enculai ainsi pendant près de 10 minutes en finissant par le pilonner comme la dernière des salopes. Je dégoulinai de sueur tellement je me dépensai en lui. Mon souffle s’accéléra et je lançai de nombreux râles de plaisir. Malgré la force de ma sodomie, le gamin ne réagissait plus tellement il était fatigué. Il gémissait encore mais plus par réflexe que par plaisir. Il me fallut encore quelques va-et-vient pour jouir une dernière fois à l’intérieur de ses fesses. S’il n’y avait que quelques gouttes de sperme, j’avais pris autant de plaisir que la première fois. Totalement épuisé, les couilles en feu, je m’écroulai sur le lit et m’endormis, entouré de Léo et de Timothée qui étaient eux aussi parti au pays de Morphée. Le dimanche fut beaucoup plus calme que le samedi. J’avais un peu peur des effets à long termes du poppers sur Timothée et Léo mais les deux garçons semblaient avoir parfaitement récupéré après une bonne nuit de sommeil. Ils m’avaient même réveillé avec une double fellation ultra-torride, partageant à nouveau mon sperme en s’embrassant. J’avais aussi pris soins de passer de la pommade et de la crème sur l’anus de Timi, encore marqué par son dépucelage et les multiples sodomies qu’il avait subi hier soir. Il avait « mal à son cucul », comme il disait… Mais heureusement pour moi, cela ne se voyait pas dans sa démarche. Il avait également bien compris l’importance de ne jamais parler de ce qui venait de se passer, sous peine de me causer de gros problèmes. Le gamin ayant peu d’ami ne voulait absolument pas perdre les seuls qu’il avait... D’autant plus qu’il avait beaucoup aimé ce que nous avions fait ensemble. Nous étant levé à 11h00, la journée passa très vite. Cette fois-ci, nous passâmes beaucoup plus de temps à nous reposer et nous câliner devant la télévision. Finalement, la maman de Timothée vint chercher son fils sur les coups de 17h00, très heureuse de le retrouver. Le gamin ne manqua pas de lui dire qu’il avait passé un week-end « super génial avec ses copains ». La mère fut ravie de l’entendre et de le voir aussi joyeux, surtout qu’elle savait à quel point il avait du mal à se faire des amis. Elle ne manqua pas de me remercier et de remercier Léo, qui fit un gros bisou sur la joue à son copain pour lui dire au revoir. Une fois le garçon parti, je profitai des quelques minutes d’intimité qu’il me restait avec Léo pour le remercier comme il se doit de son magnifique cadeau. Sa mère arriva quinze minutes après qu’il m’eut fait jouir pour la dernière fois du week-end. Évidemment, elle ne manqua pas de me remercier à multiples reprises pour ma dévotion et mon attachement pour son fils. Elle m’offrit même un cadeau qu’elle avait ramené de Cannes. Je la remerciai chaleureusement et je culpabilisai presque de lui cacher tout ce que j’avais fait avec son fils durant ces deux jours (et avant). Bien que j’eusse lavé et changé les draps, ce soir elle allait dormir dans le lit ou je venais de féconder son fils et son copain… C’est donc après deux jours et une nuit de folie, avec de multiples orgasmes que je rentrai chez moi, totalement vidé mais heureux ! *** Épilogue Après ce weekend torride, la semaine suivante passa à la vitesse de l’éclair. Je n’avais malheureusement pas eu trop l’occasion de revoir Léo et Timothée, trop occupés à préparer leurs spectacles de fin d’années. Ainsi, cela nous conduisit au début des vacances de Noël et à la fameuse représentation de « Casse-noisette » par l’école de patinage artistique de la ville. Le spectacle était programmé à 15h30 et devait se conclure à 17h00 par un goûter avec les familles. Pour cette occasion, en tant qu’invité d’honneur, j’étais arrivé 30 minutes en avance. Je voulais à la fois saluer mon petit amour avant le spectacle, mais aussi pour m’assurer d’une place de choix dans les gradins. En me voyant installé au premier rang, sa mère et sa grande sœur vinrent me rejoindre et s’assirent à côté de moi. Elles furent très vite rejointes par la mère et le grand frère de Timothée, qui ne savaient pas ou s’assoir avant de nous apercevoir. En attendant le début du ballet sur glace, les deux mamans papotèrent de leurs progénitures et de leur bonheur de les voir si bien s’entendre. Par moment, elles me sollicitaient dans la conversation, me mettant très mal à l’aise… Finalement, les lumières s’estompèrent et la musique de Tchaïkovski raisonna dans la patinoire. Léo avait le premier rôle de ce casse-noisette revisité. Habillé en prince avec ses collants blancs et un chemisier rouge, il livra une prestation incroyable. J’étais totalement sous son charme, enivré par sa beauté et sa grâce. Je n’étais pas le seul car Isabelle avait des étoiles dans les yeux en le regardant danser sur la glace… Elle était fière de son fils ! Timothée aussi ne fut pas en reste et, même dans son rôle secondaire, il épata la galerie. Tout aussi bandant avec ses collants bleu ciel et son chemisier de prince blanc, il me fit grand effet. En tous cas, la représentation fut un franc succès et l’ensemble des élèves furent acclamés après une heure trente d’un show de grande qualité. Une fois le spectacle terminé et après une longue standing ovation, nous prîmes un goûter tous ensemble, dans une extrême bonne humeur. J’étais avec les familles de Léo et Timothée à déguster des pâtisseries et nous discutions des fêtes qui approchaient. Les deux garçons, toujours en tenue, furent beaucoup félicités et sollicités. Le temps passa rapidement et la patinoire se vida petit à petit. Finalement, il ne restait plus que nous et le professeur de l’école de patinage. Ce dernier devant partir me remis les clés de la patinoire. En tant qu’employé, j’avais la lourde tâche de la fermer. Mais avant cela, souhaitant profiter de ce pouvoir, je proposai à Timothée et Léo de venir patiner avec moi, afin que nous puissions profiter de la glace pour nous tout seul. Les deux mamans s’étaient arrangées ensemble pour que les garçons passent la soirée et la nuit chez mon chéri. Si bien que la mère et le frère de Timothée nous quittèrent rapidement. Isabelle et Lana firent de même et me confièrent la garde des deux petits chenapans. Mais avant de partir, et alors que les deux ados faisaient déjà les fous sur la glace, elles vinrent ma parler. Après m’avoir à nouveau remercié pour mon dévouement auprès de son fils, Isabelle finit par avoir ses paroles : - Anton, tu sais, je n’ai jamais vu Léo aussi heureux que depuis qu’il te connait ! Lana aussi et on est vraiment heureuse de le voir comme ça ! Lui qui n’a jamais connu son père, qui a toujours eu du mal à être accepté par les autres garçons, ce n’était pas gagné ! - Oh mais de rien, vous savez Léo est très gentil et très attachant… - Et très beau aussi, m’interrompit Lana en me fixant droit dans les yeux ! - … Après un moment de silence, je finis par balbutier : - Euh, oui aussi ! - Écoute Anton, reprit Isabelle. Je t’apprécie énormément, je te trouve charmant, sympathique… Mais si tu devais faire du mal à mon fils, je n’hésiterais pas à te dénoncer ! - … À ces mots, je me décomposai… Cela dut se voir car la maman reprit rapidement : - Ne t’inquiète pas Anton ! Je suis la mère de Léo et je le connais par cœur. Même s’il ne me l’a dit que dernièrement, j’avais compris depuis longtemps qu’il aimait les garçons. Le fait qu’il m’en parle, les étoiles qu’il a dans les yeux à chaque fois qu’il te voit, quand il parle de toi… Je ne suis pas dupe Anton… J’ai finalement compris qu’il y avait bien plus entre vous que de l’amitié. Il t’aime profondément ! Je sais qu’il ne supportera pas que je m’oppose à votre relation. Je connais mon fils et je ne veux que son bonheur… Et je crois qu’en ce moment son bonheur c’est toi. Alors prends soin de lui, prends soin de lui comme tu le fais déjà ! À ces mots et devant l’acceptation de la maman et la sœur de mon chéri, j’avais les larmes aux yeux. Je ne pus que répondre : - Merci Isabelle, merci Lana, merci ! - De rien Anton ! Maintenant vous n’aurez plus à vous cacher quand tu viendras à la maison ! - De toute façon vous n’étiez plus vraiment discrets sur la fin, reprit Lana en souriant. - … - Allez ne t’en fait pas, c’est normal à ton âge d’avoir une libido débordante ! Évite juste d’en mettre partout sur les collants de Léo, rigola Isabelle. - … Euh, je, je… - Allez maintenant on vous laisse ! Tu me les ramènes d’ici 1h30 et bien sûr tu restes dîner avec nous ce soir ! Tu pourras aussi venir dormir à la maison pendant les vacances. Léo aura un lit 2 places pour Noël… Il me l’a demandé hier soir ! - Oui volontiers, merci beaucoup Isabelle, merci de m’accepter, d’accepter notre relation, vous ne pouvez pas savoir comment j’aime votre fils ! - Si je sais et c’est pour ça que je l’accepte. Tu ne profites pas de mon enfant, tu l’aimes et il t’aime. C’est tout ce qui compte ! Après ce moment rempli d’émotion, la maman de Léo me prit dans ses bras et je ne pus me retenir de pleurer devant toute la tension nerveuse accumulée. Les deux filles me consolèrent et me taquinèrent aussi pour me faire retrouver le sourire. Une fois mes larmes séchés, elles finirent par quitter la patinoire et je partis donc rejoindre les deux gamins sur la glace. Bien entendu, nous discutâmes de ce qui venait de se produire. Léo, étant déjà informé mais ne pouvant rien me dire avant que sa mère vienne d’elle-même m’en parler, me rassura à nouveau sur le fait qu’elles avaient parfaitement accepté notre relation. En revanche, elle ne savait évidemment rien concernant Michel, Fabrice ou encore Timothée… Finalement, après toutes ces révélations, nous nous amusâmes comme des gamins pendant trente minutes. Puis, petit à petit, les jeux innocents dévièrent jusqu’à ce que les deux garnements ne finissent par me prendre en otage… Ainsi, alors que nous étions encore tous les 3 sur la glace, Léo et Timothée baissèrent mon pantalon, mon boxer et s’accroupirent entre mes jambes pour venir s’occuper de mon sexe. Bien que la température fût glaciale, les voir ainsi me fit immédiatement bander, surtout après les avoir vu dandiner leur petit cul. Me voyant dans cet état, ils approchèrent tous les deux leurs bouches et firent patiner leur langue autour de ma bite. Qui a dit que la patinoire était un lieu glacial ? Car en ce moment, ce que je ressentais c’était bien de la chaleur, la chaleur de la glace ! Fin Si vous avez aimé ce texte, remerciez Devon, c'est une motivation pour continuer d'écrire : auteur_ht[at]tutanota.com (remplacez [at] par @) Cette œuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin de page. Ceci provient des Histoires Taboues : /~Histoires_Fr/ Gardez à l'esprit que toutes les situations décrites dans ce texte ne sont que des fantasmes. Avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 16 ans est un délit voire un crime passible de nombreuses années de prison dans la plupart des pays du monde.