Ceci est une suite d'histoire Titre : L'été de toutes les découvertes - chapitre 5 - J5: T’arrête pas ! Encore ! Continue... Auteur : François Email : francois77-1[at]laposte.net (remplacez [at] par @) Personnages : 2 adolescents, 1 petite fille La plus jeune fille a 9 ans Le plus jeune garçon a 13 ans Romantisme Exhibitionnisme Voyeurisme Orgie 1ere fois Inceste Masturbation Texte reçu le 12/03/2021 Texte publié le 19/03/2021 Résumé : À force de constance et de persévérance, les garçons parviennent enfin à emmener Éléonore jusqu'à la jouissance... Rappel : Toutes nos histoires sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n'est qu'une coïncidence. Provient des histoires taboues : /~Histoires_Fr/ Cette œuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin de page. L'été de toutes les découvertes - chapitre 5 - J5: T’arrête pas ! Encore ! Continue... par François Lorsque Damien se réveille ce matin-là, il trouve Éléonore est en train de rouler un gros patin à son frère, qui en profite pour lui peloter consciencieusement les fesses, toujours à l’air. Il prend le temps de profiter du spectacle, pour laisser à sa queue le temps de se dresser dans son caleçon, avant de descendre la fermeture éclair de son duvet et d’inviter sa cousine à venir le rejoindre : - Hé, Éléo, tu viens au chaud ? Tu vas attraper froid comme ça… - Hi hi hi ! Oh oui, j’arrive ! Sans coup férir elle abandonne son premier partenaire pour rejoindre le deuxième et la voici dans le duvet de Damien, à embrasser de nouvelles lèvres pendant que de nouvelles mains se promènent lascivement sur son corps. Ils se bécotent tendrement, jouent avec leurs langues, pendant que Damien l’enlace, d’abord pour l’allonger sur lui, avant de rouler sur le côté et se retrouver au-dessus de son corps menu. La peau de la gamine est douce, chaude, tendre, et il bande, heureux. Dans sa tête il se dit pour lui-même que ça y est, techniquement parlant il « couche avec une fille », pour la première fois de sa vie. Il ne baise pas avec, bien sûr, mais ça lui suffit pour se monter son film et s’exciter encore plus, et s’imaginant tout ce qu’il pourrait faire avec la gamine s’il avait du temps devant lui. Mais il reste quand même lucide, calculateur, et pour ne pas briser les routines il suggère à Éléonore d’enfiler son pyjama et d’aller rejoindre ses parents. Aurélien a suivi ces ébats d’un œil attentif mais en même temps un peu réprobateur. Dès que sa cousine est sortie il interpelle son frère : - Hé dis-donc, tu voulais lui faire quoi là ? Tu veux la niquer ou quoi ? - Hein ? Mais qu’est-ce que tu racontes, ça va pas… Je me ferais tuer si je faisais ça, je ne suis pas un malade moi… - Ouais ben on aurait dit hein… Parce que moi je préfère te le dire tout de suite… Moi je ne veux pas la niquer ! Merde, c’est ma cousine quand même, elle m’a toujours fait confiance, je l’ai toujours protégée, alors je ne vais pas lui faire un coup de pute maintenant. Ah ça non, elle est encore trop petite pour se faire dépuceler. J’aimerais bien baiser, j’avoue, mais pas avec elle. Je veux pas lui faire mal ! - Hé mais Auré, moi non plus je ne veux pas lui faire mal, t’en fais pas ! Bien sûr que c’est notre cousine chérie, mais on va pas abuser d’elle non plus. Là on profite, elle aime ça, elle s’excite, elle nous excite aussi, on s’amuse, mais on ne va pas abuser non plus ! On se fait du bien, c’est tout ! On va juste lui faire des choses qu’elle aime. - Oui, oui, ça je suis d’accord. Surtout que bon, depuis qu’on lui met des mains à la chatte elle est devenue chaude de chez chaude ! Une vraie chaudasse ! - Ouais, t’as vu hein ? Elle aime trop ça, ça se voit tout de suite. Mais bon, toutes les filles aiment ça de toute façon. - Oui, t’as raison. Mais… On la nique pas ! - Non non, t’inquiète… Aurélien se sent soulagé d’avoir vidé son sac et avoir clarifié la situation. Et il est soulagé, aussi, de constater que Damien ne pense pas autrement et qu’il n’a pas d’idée malhonnête derrière la tête. Bon, certes, on ne peut pas dire qu’ils aient des comportements d’enfant de chœur avec Éléonore, les deux garçons. Mais au moins ils sont d’accord sur les choses qu’on peut continuer à faire… et celles qu’il ne faut pas faire. Du moins, pas avec leur cousine. La matinée qui s’en suit est consacrée à des activités en famille dans la forêt toute proche. Plus précisément, tout le monde profite d’un arbre à moitié couché et de ses branches qui pendent par terre pour bâtir une cabane, pour laquelle on rassemble branches mortes, feuillages tombés au sol, branches diverses, mousses… L’ensemble finit par avoir très belle allure et au moment de rentrer déjeuner, tout le monde est fier du résultat. L’après-midi, par contre, les adultes se font porter pâles… Les enfants veulent profiter de leur cabane, maintenant qu’elle est terminée autant qu’elle serve ! Mais les parents sont beaucoup moins pressés, eux… Du coup, fidèles à leur comportement démissionnaire, ils confient Éléonore aux deux garçons et pendant que les jeunes s’occupent les grands peuvent roupiller, buller, regarder la télé, etc. Ils n’en demandaient pas tant, les enfants, ils y retournent donc seuls, en courant, Éléonore en tête. Les garçons suivent derrière, plus tranquillement, avec quelques couvertures et serviettes de bain qu’ils ont empruntées pour que ce soit plus cool par terre. Arrivés à la cabane ils étendent le tout au sol et s’allongent dessus pour profiter de leur nouvel « home sweet home ». Sur le visage d’Éléonore, un sourire espiègle plane : - On va pouvoir rester là maintenant ! Et on est tranquille, on est tout seul… - Oui, on va rester là… Damien n’a plus besoin d’être explicite maintenant. Il devine ce à quoi pense sa cousine, et cette dernière sait que son cousin a compris ce qu’elle attend de lui. Alors en silence, pendant que la petite se laisse faire et collabore avec un grand sourire, Damien lui trousse sa robe, pour contempler un instant sa mignonne petite culotte en coton, rose aujourd’hui, toujours avec un motif de princesse de dessin animé. Il lui masse rapidement la chatte, invite Aurélien à en faire autant, puis sans plus attendre il prend l’élastique, de chaque côté, pour lentement la faire glisser sur ses hanches, puis le long de ses cuisses, jusqu’à la lui retirer complètement. Éléonore le suit des yeux, avec son désormais familier sourire coquin de petite fille qui fait des bêtises. Elle se retrouve alors nue sous la ceinture sans nullement chercher à se cacher. Elle attend, tout simplement, « la suite »… Dès lors, les deux frères se répartissent les rôles, et pendant qu’Aurélien embrasse langoureusement sa cousine, Damien s’occupe du bas. Il a beau jouer les habitués, les blasés, c’est la première fois qu’il a accès en « open bar » à la chatte d’une fille, avec du temps devant lui, avec de la lumière pour bien voir, et il compte bien en profiter pour parfaire ses connaissances théoriques. Alors il s’allonge entre les cuisses d’Éléonore, qu’il prend soin de bien écarter, et il caresse, il tâte, il palpe, il suit du doigt, il explore, il découvre. Le grain de la peau lui semble toujours aussi doux, aussi bandant. Éléonore semble aimer le traitement que lui inflige son cousin car elle reste offerte, détendue, confiante, sans chercher à se dérober, avec des petites ondulations des hanches de temps à autre, accompagnées de ronronnements. Damien se remémore les planches anatomiques consultées en douce à la bibliothèque municipale et il identifie ainsi la vulve, les grandes lèvres. En les écartant délicatement les petites lèvres apparaissent, d’un rose plus vif, et en écartant encore l’orifice apparait, en bas. Bien plus bas qu’il ne l’aurait imaginé, en fait ! Au-dessus de l’orifice, vers le sommet de la fente, ces renflements de chair ça doit être le capuchon qui couvre le clitoris. Il approche son doigt, frôle les chairs intimes, ce qui fait sursauter Éléonore pour de bon cette fois-ci, avec un petit cri étouffé. Le garçon s’excuse : - Oh pardon ! Je t’ai fait mal ? - Hi hi hi ! Oh non, mais… c’était trop bizarre ! Trop bien, mais trop bizarre en même temps ! - Ah oui ? Quand je fais ça ? - Hi hi hi ! Oui, là… Oui… Quand tu le fais doucement, c’est mieux en fait… - Comme ça ? En massant là ? - Hmmm… Oui… Excité par cette nouvelle découverte Damien poursuit ses attouchements tandis qu’Aurélien reprend possession de la bouche de sa cousine. Il lui masse le clitoris, lui caresse les cuisses, la chatte, le ventre avec son autre main, pendant que la gamine ronronne plus fort, soupire, gémit même de temps en temps, lorsque son cousin abandonne sa bouche pour mieux mater ce que fait son frère. Son sourire est alors béat, son visage rayonnant de bonheur. Avec de la suite dans les idées, l’aîné a alors l’idée de mouiller son doigt avec de la salive, Il le glisse dans sa bouche avant de reprendre ses caresses impudiques. L’effet ne tarde pas à se faire sentir et le déhanchement d‘Éléonore s’accentue, ses soupirs deviennent plus intenses. Mais Aurélien, surpris, ne sait pas trop quoi penser de cette réaction et se redresse pour regarder sa cousine. Ses sourcils froncés, son visage qui semble grimaçant, ne le rassurent pas vraiment. Il regarde Damien d’un air inquiet, et son frère préfère s’interrompre. Mais immédiatement Éléonore intervient : - Non, t’arrête pas ! Continue… - Je continue, t’es sûre ? Je te fais pas mal ? - Oh non pas du tout, c’est super bon ! Encore, continue, continue… Rassuré Damien poursuit son manège, pendant que sa cousine est allée agripper la nuque d’Aurélien pour l’attirer à lui et continuer à lui rouler un gros patin. L’aîné, cette fois-ci, prend soin de bien mouiller tous ses doigts pour pouvoir bien masser l’ensemble de la chatte, et pas uniquement le clitoris. Éléonore manifeste son approbation en écartant ses cuisses autant qu’elle peut et en se déhanchant pour envoyer son pubis, sa chatte, à la rencontre des doigts de son cousin. Oh oui, elle aime ça, elle adore ça, aucun doute n’est permis, pense le garçon, trop heureux, trop fier de l’emprise qu’il s’assure sur sa jeune cousine prépubère. Il étale bien sa salive sur la fente, la vulve, les lèvres, le clitoris. Au niveau du clitoris, justement, il lui semble sentir maintenant un petit renflement dur sous ses doigts, qui n’était pas là auparavant. Son instinct, plus que ses connaissances, le guide pour insister à cet endroit-là, pour y concentrer son massage. Et effectivement, la gamine réagit, s’excite encore plus, pousse des gémissements plus aigus. Soudain, sans prévenir, son corps se tend, tremble un peu, comme pris de soubresauts, alors qu’un long soupir vient mourir dans la bouche d’Aurélien. Elle lâche tout, elle retombe inerte par terre, tout essoufflée. Surpris encore une fois Damien s’est immobilisé, il n’ose plus bouger, il ne sait pas bien ce qui vient de se passer. Ou plutôt… il a bien une petite idée mais il n’est pas sûr. Alors il laisse la petite reprendre son souffle avant de venir aux nouvelles. - Ça va Éléo ? Tu vas bien ? - Oh… Je sais pas ce que c’était… Je sais pas comment t’as fait… Je sais pas ce que tu m’as fait mais… c’était super bon ! - Ah oui ?... - Oh oui ! Ça m’avait jamais fait ça avant ! - C’était bon alors ? - Oh oui, c’était génial ! Comme des chatouilles dans mon ventre mais… encore mieux que des chatouilles ! - Alors… je pense que tu as joui... Éléonore réagit à ce mot, qu’elle a déjà entendu, dans la cour de l’école, employé par des garçons. Mais à leur manière de l’utiliser elle avait bien vu qu’en fait ils voulaient faire genre mais qu’ils ne savaient pas ce que ça voulait dire. Aujourd’hui, elle, elle sait… Et ça la rend radieuse. - J’ai joui, tu crois ? C’est ça jouir ? - Oui, je crois bien. Et c’est moi qui t’ai fait jouir… - Et ben c’est super bon de jouir ! La joie d’Éléonore fait plaisir à voir. Et elle est autant due au nouveau plaisir qu’elle vient de découvrir qu’à la satisfaction de se sentir grande, de faire des choses, de savoir des choses que les enfants de son âge ne font pas, ne savent pas. Et ça, c’est grâce à ses deux cousins, qu’elle adorait déjà avant mais qu’elle adore encore plus maintenant. Les garçons, justement, la trouvent tellement craquante après l’orgasme qu’ils la laissent récupérer avec tendresse, des caresses sur le visage, des chastes baisers. Puis Damien finit tout de même par lui demander : - Et… tu veux jouir encore ? - Oh oui ! J’aimerais bien… - On va laisser Auré te le faire maintenant, alors ? Tu veux bien que ce soit lui qui te fasse jouir ? - Oh oui, moi je veux bien ! - Allez Auré, à toi maintenant, essaie, je vais te montrer… Aurélien, qui bande comme un taureau, n’allait pas refuser pareille invitation. Il prend la place de son frère entre les cuisses de sa cousine et essaie de reproduire les gestes qu’il a vu tout à l’heure, de loin, du coin de l’œil, alors qu’il l’embrassait. Pendant ce temps Damien, allongé à côté de la gamine, en appui sur un coude, le regarde faire et le guide de temps en temps, lui suggérant où caresser, comment caresser, comment masser. Éléonore, docile, se laisse faire, et son sourire, ses soupirs, sont la preuve que son cousin s’y prend bien. Les directives de Damien se font plus précises et il montre à son frère en joignant le geste à la parole : - Il faut que tu mouilles tes doigts, comme ça, ça glisse mieux et c’est meilleur pour elle. Hein Éléonore ? - Oh Oui… c’est meilleur comme ça… Hmmm… - Tu caresses bien de chaque côté, doucement, comme ça… Et tu peux descendre loin entre les cuisses, comme ça… Et après tu remontes au milieu mais t’appuies pas… Tel un docteur pervers et lubrique, Damien manipule la chatte d’Éléonore comme s’il avait fait ça toute sa vie, pour faire profiter Aurélien de ses toutes nouvelles connaissances en anatomie. - Regarde, on peut écarter comme ça… Tu vois, le trou il est en bas. Caresse, mais n’appuie pas, ne rentre pas… Oui, voilà. Et en haut de la fente, là, tu vois le capuchon ? C’est là qu’elle adore. Essaie de masser. - Hmmm… Oh, hmmm… Oui, c’est là… - Dès que tu sens que c’est sec, tu mouilles de nouveau ton doigt. Et tu continues, comme ça, en revenant toujours sur le petit bouton dur sous le capuchon. - Hmmm… Oui… Oui… Encore… Encore… Continue… T’arrête pas… - Allez, je te laisse finir tout seul maintenant. Continue pareil et à la fin tu vas voir, elle va jouir. Tu regardes son visage, comme ça tu sauras ce qu’elle aime le plus que tu lui fasses. Aurélien est un élève appliqué, et il suit les indications de son frère. Les deux garçons sont aussi excités l’un que l’autre et bandent dur, très dur... Tout comme son aîné il savoure ce tout nouveau pouvoir qu’il ignorait, le pouvoir d’avoir une fille sous son emprise, qui lui mange dans la main, une fille qu’il ne va pas tarder à faire jouir. Et Éléonore, en cobaye docile, se pâme, tantôt souriante, tantôt crispée, tantôt yeux clos, tantôt son regard intense allant d’un frère à l’autre. Elle se trémousse, se déhanche, sent le plaisir qui monte, ne fait rien pour l’arrêter, jusqu’à ce que soudain ça explose, à nouveau. Une nouvelle plainte voluptueuse, de nouveaux tremblements incontrôlés, avant de retomber inerte, essoufflée, sur la couverture. Éléonore est aux anges, au septième ciel. Aurélien est heureux, heureux comme s’il venait de marquer un but en finale de Coupe du Monde, comme s’il venait de faire du vélo sans tenir le guidon, comme s’il venait d’avoir un 20/20 en math. Ses yeux brillent d’excitation, et lorsque son regard croise celui de son frère chacun peut lire chez l’autre une lueur de désir primitif, concupiscent, un désir dont leur cousine est l’objet. Ils savent, tous les deux, que ce ne sera pas la dernière fois. Que ce jeu, cette étreinte, ou comme on veuille l’appeler, n’est que le premier d’une longue série, qu’ils espèrent tous deux prolonger durant toutes les vacances. Alors avec beaucoup de douceur ils remettent sa culotte à leur cousine, puis s’allongent à côté d’elle, pour partager des baisers bien chastes si on les comparait aux attouchements qu’ils viennent de lui prodiguer. Ce sont à nouveau trois enfants qui s’amusent presque sagement. Ils laissent Éléonore se remettre de ses émotions, mais en fait eux aussi laissent leur cœur s’apaiser et revenir au calme. Et une fois tout le monde au repos, ils poursuivent leurs jeux en forêt, vont grimper aux arbres, s’emploient à parfaire la décoration de leur cabane. Ils ne sont plus que trois cousins-cousine jouant à des jeux de leur âge. La suite de la journée, il n’y a pas grand-chose à en dire… Les enfants sont rentrés un peu tard au gite mais sans que ça ne fasse sourciller qui que ce soit. Les adultes se sont peu à peu habitués à ce trio qui s’autogère sans les solliciter ! Du coup, même pas besoin d’aider à préparer le repas, quartier libre jusqu’au dîner. Dans la foulée Aurélien et Éléonore ne semblent pas intéressés par les activités de soirée proposées, ils iraient bien se coucher direct ! C’est Damien qui doit intervenir pour faire acte de participation et faire des gros yeux aux deux autres, histoire que leur empressement ne devienne pas suspect ! Mais le moment tant attendu arrive enfin, et nos trois comparses se retrouvent sous la tente… Éléonore donne le ton quant à ses intentions, son envie d’aller à l’essentiel, en retirant d’emblée son pantalon de pyjama. Si ça ne tenait qu’à elle, la gamine sauterait sur les deux garçons l’un à la suite de l’autre. Mais Damien devient quand même plus raffiné, plus cérébral, il ne veut pas se comporter comme un lapin affamé. Il contrôle donc le tempo, accordant du temps au roulage de patin et aux douces caresses, sur tout le corps et pas uniquement sur les zones érogènes. Il réserve du temps, aussi, pour des séquences où Éléonore se retrouve avec deux bouches et quatre mains qui se promènent sur son corps offert ; des jeux où la petite se retrouve prise en sandwich entre ses deux cousins qui se frottent lubriquement contre elle. Ce n’est qu’après ces apéritifs qu’ils l’allongent enfin, entre eux deux, pour bien s’occuper de ce qui les intéresse : sa chatte... Damien, toujours lui, a une idée pour rendre leurs jeux encore plus pervers et lubriques : c’est dans la bouche d’Éléonore qu’il va lubrifier ses doigts, avant d’aller lui masser l’entrecuisse. La gamine rigole, trouvant l’idée très amusante, et s’exécute de bonne grâce. Il s’en suit un massage doux, onctueux, glissant, au cours duquel la petite ouvre bien ses cuisses en se déhanchant. Dès lors les deux garçons alternent entre le haut et le bas, et pendant que la cousine suce les doigts de l’un, ceux de l’autre s’activent sur son intimité si sensible, maintenant qu’elle commence à comprendre le mode d’emploi, la manière dont sa chatte fonctionne. À ce petit jeu-là, le premier orgasme lui viendra des mains de Damien. Les gémissements d’Éléonore s’étoufferont sur les lèvres d’Aurélien qui, ayant senti le coup venir, est allé gober la bouche de la gamine. Et lorsque le petit frère prend le relais l’aîné laisse encore libre cours à son imagination. Et pendant qu’Aurélien masturbe le clitoris enfantin, Damien va se promener du côté du trou de la chatte, juste en dessous. Éléonore ronronne, s’excite, approuve, encourage, Damien est satisfait du résultat, mais trouvant que sa cousine commence à faire trop de bruit il va la bâillonner de sa main restée libre. Ça glisse bien dans le trou, trouve-t-il. Et même lorsqu’il ne met pas de salive. C’est alors qu’il comprend que du haut de ses 9 ans, sa cousine mouille déjà de la chatte, qu’elle est déjà une petite femelle, avec ses envies cochonnes, ses chaleurs. Cette soudaine prise de conscience le rend fier comme un paon et lui confirme son emprise grandissante sur la gamine : que pourra-t-elle leur refuser, s’ils la tiennent par les sens ? C’est sous cette double stimulation que surviendra le deuxième orgasme. Éléonore est pâmée, bienheureuse, tout comme cet après-midi. Et… terriblement fatiguée également. C’est tout de même sa quatrième jouissance de la journée, ce qui fait beaucoup d’émotions pour son jeune âge ! Alors ses cousins l’aident encore à se glisser dans son duvet, dans lequel elle s’endort comme une masse, sans même un dernier bisou pour ses jeunes amants. Les deux séducteurs, justement, n’en peuvent plus tellement ils bandent, tellement ils sont excités. Et sans s’être concertés ils commencent tout de suite à se masturber, et c’est avec cet agréable passe-temps qu’Aurélien entame le débriefing de la journée : - Putain, Dam, hmmm… Trop excitant de lui tripoter la chatte comme ça… Je n’aurais pas cru que ce serait si facile… - Ouais, hmmm… Elle est grave chaude en plus, trop excitée ! T’as vu comment je l’ai fait jouir ! Trop face’ franchement, hmmm… Je la fais jouir comme je veux… - On est trop des boss, hmmm… Il suffit de savoir y faire… et on sait trop y faire avec les meufs, hmmm… - Trop, ouais… Oh, hmmm… A la fin j’ai senti qu’elle mouillait dans le trou de sa chatte, j’avais trop envie de la doigter en fait, hmmm… Mais j’ai pas osé… Ohh… - En tous cas… hmmm… elle est grave open… Open de chez open, hmmm… Grave cool… Open bar… - Oui… Ils sont intarissables sur leurs tous nouveaux exploits sexuels… Ils continueraient bien leurs bavardages mais ils préfèrent se concentrer sur leur plaisir. C’est donc en silence qu’ils poursuivent leur masturbation commune et que l’orgasme, enfin, les surprend et les libère… Si vous avez aimé ce texte, remerciez François, c'est une motivation pour continuer d'écrire : francois77-1[at]laposte.net (remplacez [at] par @) Cette œuvre reste la propriété de son auteur. Sauf si stipulé autrement, vous pouvez la republier sur un autre site gratuit à condition de ne rien modifier et de laisser les notices de début et de fin de page. Ceci provient des Histoires Taboues : /~Histoires_Fr/ Gardez à l'esprit que toutes les situations décrites dans ce texte ne sont que des fantasmes. Avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 16 ans est un délit voire un crime passible de nombreuses années de prison dans la plupart des pays du monde.