Ceci est une nouvelle histoire Titre : Trio d'amour - chapitre 1 Auteur : PoèteDePassage Email : LePoeteEnfantin[at]protonmail.com (remplacez [at] par @) Personnages : 1 homme, 1 femme, 1 petite fille La plus jeune fille a 8 ans Romantisme Exhibitionnisme Voyeurisme 1ere fois Inceste Masturbation Oral Pénétration vaginale Texte reçu le 13/03/2021 Texte publié le 18/03/2021 Résumé : Lorsque la simple union d'un homme et d'une femme, permet la réalisation des plus grands fantasmes... Rappel : Toutes nos histoires sont purement imaginaires. Toute ressemblance avec une personne vivante ou morte n'est qu'une coïncidence. Provient des histoires taboues : /~Histoires_Fr/ Cette œuvre reste la propriété de son auteur. Exclusivité Histoires Taboues : Toute reproduction est interdite sans l'autorisation de son auteur. Trio d'amour - chapitre 1 par PoèteDePassage Avant Propos : Tout d'abord je tiens à prévenir mes lecteurs et lectrices habituel(le)s que cette histoire va contenir beaucoup de vulgarité par rapport aux textes que vous me connaissez. Et encore plus de perversité. Il sera aussi question d'un thème que je n'ai jamais abordé auparavant sur H.T. : la zoophilie. L'écriture étant pour moi un exutoire, cette histoire s'apparentera à mes "confessions" où je me livre à vous sans filtre. Elle est en réponse à des raisons personnelles, émotionnelles et sexuelles. Agrémentée d'une douce influence extérieure... Une façon malgré moi de tourner la page sur un chapitre court de ma vie, mais qui aura intensément compté pour moi... Cette histoire n'engage que moi, comme toutes celles que j'ai pu écrire auparavant. Mes trois personnages principaux n'auront aucun prénom comme dans "Au delà du rêve". De cette manière chacun de vous pourra mieux s'identifier à eux, afin d'avoir votre propre expérience de cette histoire. Bonne lecture et surtout gardez à l'esprit que ce qui suit n'est que, pure fiction... *** Je vais vous conter l'histoire de ma rencontre avec celles qui sont aujourd'hui ma femme et ma fille. Ou, comme elles préfèrent que je le dise, mes putains. Tout a commencé par des échanges qui ont fait suite à mes écrits. Une lectrice, charmante, toute sincère dans ses paroles qui, en quelques phrases m'avait séduit. Un vrai coup de foudre, malgré la distance qui nous séparait. J'étais auteur depuis déjà quelques années. Et jamais je n'aurai pensé vivre l'une de mes histoires. C'est étrange parfois comme la vie nous fait des surprises. Du jour au lendemain on peut tout avoir comme tout perdre. Moi qui étais un pédophile célibataire, sans projet de famille, je me rêvais en père aimant et mari amoureux. Car ma charmante lectrice avait une fille de 8 ans, dont elle me parlait souvent. Nous avons commencé par échanger des idées, des fantasmes, de ce qui nous motivait au quotidien. Et vous ne le croirez pas, mais nous étions semblables dans notre façon de penser. À tel point que nous avons établi le projet de se voir un jour. Quand on a la chance de rencontrer son alter-ego féminin, on y voit comme un signe du destin. J'ai alors passé des heures à tchater avec elle, à fantasmer sur elle et son enfant. J'en avais même fini par perdre la notion du temps. Je me réveillais le lendemain épuisé pour aller au travail, mais tellement heureux à l'idée de la retrouver le soir par écrans interposés. C'est vrai que quand on aime on ne compte pas. Et moi j'ai aimé... Comment ne pas être amoureux d'une femme qui, en plus de connaître votre pire secret, n'en n'éprouve aucune honte et vous aime pour cela ? Une femme dont votre attirance pour les enfants, fait votre charme à ses yeux. Car oui, ma lectrice fantasmait sur sa propre fille. Elle m'avouait son attirance sexuelle pour son enfant. Et de son envie de la voir se faire baiser par un homme. Tout comme cela lui était arrivé dans son enfance. Elle vous le racontera peut-être un jour... *** Il est vrai qu'au début je n'y croyais pas. Moi un simple auteur qui ne faisait que fantasmer sur les petites filles, je me retrouvais au cœur d'un projet pédophile dont une simple femme avait le pouvoir de rendre possible. Simplement en acceptant de me rencontrer un jour. De nombreuses fois j'avais douté. J'avais même imaginé un piège, comme il en est si fréquent de nos jours. Mais j'ai voulu y croire. J'ai voulu croire à la sincérité de cette femme qui projetait de m'offrir sa fille, pour que celle-ci se fasse prendre sous ses yeux. Il y a des moments où l'on se retrouve face à des choix. Des choix où une décision, plutôt qu'une autre, fait avancer votre vie ou l'arrêter net... Voilà le dilemme face auquel je me suis retrouvé. Et j'ai décidé d'aller jusqu'au bout, car si ma lectrice était vraiment sincère, nous pouvions accomplir ce que peu d'élus en ce monde pourraient réaliser un jour. Et à l'image des "Néo-hippies" que j'avais imaginés, nous formerions un couple qui transgresserait les règles arbitraires de la société qui nous entourait. Tout ça, dans le secret de notre intimité. Nous nous sommes alors retrouvés virtuellement pour l'initiation sexuelle de sa fille. Je n'avais que ses écrits et ma foi en elle pour vivre les étapes. Une foi qui, j'avoue, a souvent vacillé car je ne pouvais qu'imaginer cette jeune femme et sa fille dans des positions obscènes. C'était très difficile pour moi, car nous devions éviter les flux vidéo, qui nous auraient fait repérer et compromis notre projet. Nous avons même failli nous brouiller pour une histoire de photo. Mais il me fallait au moins un support visuel soft pour étoffer mon imagination. De plus, cette photo était pour moi la garantie que mon interlocutrice ne me menait pas en bateau, car c'était toujours le risque avec une relation à distance. Des promesses, des paroles et au moment de se retrouver, un empêchement mystérieux qui fait que "c'était trop beau" pour être vrai. Heureusement que ma partenaire virtuelle n'était pas ce genre de femme à faire espérer dans le vide. Cela a pris plusieurs semaines avant qu'elle n'accepte de m'accorder enfin cette photo tant attendue. Je l'ai reçue presque par surprise, car le temps passait et mon espoir aussi. Elles étaient magnifiques toutes les deux sur cette photo. La petite fille était au premier plan, en haut blanc à motifs. De beaux cheveux châtain, longs qui descendaient de chaque côté du visage et lui arrivaient à la poitrine. À sa droite par dessus son épaule, le visage presque collé contre le sien, se trouvait sa maman, ma femme, ma putain. Cette femme avec laquelle j'avais déjà eu tant d'échanges à l'aveugle et dont je découvrais enfin le visage. Je me souviens qu'elle me disait, qu'elle ne se trouvait pas belle. Pour moi, elle était ce qu'il y avait de mieux. Dans ce monde où la beauté n'est portée que sur le physique, l'ouverture d'esprit de cette femme, son courage, sa tendresse envers sa fille, faisaient d'elle à mes yeux celle que je voudrais chérir pour toujours. Je voulais qu'elle retrouve foi en l'amour, foi en l'homme. J'étais vraiment heureux de cette photo, qui me permettait enfin de mettre un visage sur mes amours. Dès lors je pouvais me sentir véritablement dans ce rôle de Papa, qui baiserait bientôt sa petite fille 8 ans. Car le projet final était bien là. Réaliser ce fantasme commun à un pervers et une salope, dont la petite fille allait servir de réceptacle à nos vices. L'incarnation du fantasme ultime, la personnification du tabou absolu, la pédophilie dans sa forme la plus interdite... *** Il y a des étapes dans une relation. Et bien que je lui montrais souvent mon impatience, ma putain d'amour savait toujours trouver les mots pour m'apaiser. C'est beaucoup plus difficile pour un homme d'aimer à distance. On a besoin de contact et d'espoir. Et pour moi qui n’avais pas eu de mère, j'affectionnais particulièrement les mots doux qu'une femme pouvait me dire. Mon impatience pouvait s'apparenter à de l'autorité, mais elle n'était au fond qu'un signe résiduel de la peur d'un petit garçon. Un petit garçon qui n'avait pas su retenir sa mère quand celle-ci est partie, pour refaire sa vie ailleurs. Et ce sentiment d'abandon ne l'avait jamais quitté. Cette peur qui faisait de lui un maladroit lorsqu'il voulait retenir les gens qu'il aimait. Mais heureusement que ma putain me comprenait. Elle aussi avait souffert dans sa vie et je reconnais qu'entre elle et moi, j'étais le plus immature, bien qu'ayant le même âge. Je lui serai toujours reconnaissant d'avoir fait preuve de patience envers moi et de m'avoir expliqué quand ça n'allait pas, car un couple c'est comme ça. Moi je me suis livré sans jamais lui mentir. Déballant mes fantasmes les plus profonds, car je voulais cette femme plus que tout au monde. Je voulais de cette putain qui fantasmait aussi fort que moi sur des thèmes que n'auraient pas compris la plupart des gens. Oui nous étions faits l'un pour l'autre. Et ce, quoi qu'on puisse en penser. On s'était mis d'accord pour qu'elle prépare sa fille à notre rencontre. Psychologiquement, émotionnellement et surtout physiquement... Nos séances virtuelles ont pris une plus grande ampleur, quand je me suis mis à discuter avec la gamine. Enfin je commençais à effleurer des doigts mon rêve : - Bonsoir ma petite chérie ! - Coucou papa ! Papa. Ce terme, je ne l'avais jamais envisagé avant ce projet. Je discutais avec cette petite fille, comme si je la connaissais depuis toujours. Il n'y avait que les mots pour établir le contact, toujours pour éviter le flux vidéo. Mais que c'était bon de discuter avec elle ! Que c'était bon de lui dire combien j'allais l'aimer, à la fois comme un papa, mais aussi comme un amant... J'adorais ses petites fautes d'orthographe que je reprenais, en lui disant comment écrire. Je me voyais de plus en plus dans ce rôle paternel, attentionné au développement de sa fille, dans tous les sens du terme... Pour cette enfant qui n'avait pas connu son père, la notion de "Papa" s'agrémentait peu à peu de connotations sexuelles et d'idées délicieusement perverses. Ainsi sous le regard bienveillant de sa mère, une petite fille de 8 ans échangeait avec son pédophile sur leur future rencontre et la façon dont il se comporterait avec elle. Un conditionnement subtil qui garantirait sa soumission, son silence et quoi qu'on en dise, son consentement. Jusque-là, je n'avais jamais été aussi proche d'une enfant que par nos écrans interposés. Je me masturbais d'une main pendant que j'écrivais de l'autre. J'imaginais ses petits doigts qui tapotaient sur le clavier, écrivant souvent en phonétique lorsque les mots étaient compliqués. Moi je m'appliquais dans mon écriture, car je ne voulais pas réduire nos échanges à de simples allusions sexuelles et mises en scènes perverses sans intérêts. Je projetais d'élever cette enfant comme la mienne et l'éduquer comme un bon père le ferait. En lui offrant un avenir et lui léguant tout ce que j'avais acquis... Aux caresses physiques de sa mère, qui me répondait de temps en temps, se joignaient les caresses de l'esprit que lui prodiguaient mes mots. Il fallait préparer cette petite fille à aimer se faire prendre, à vouloir plaire à "son papa" quand elle le rencontrerait enfin. Je comptais sur sa putain de mère pour cela. Car celle qui est aujourd'hui ma femme, est avant tout une putain qui a été conditionnée dès son plus jeune âge. Moi qui avais le plus grand respect pour la gent féminine, celle qui est aujourd'hui ma salope, m'a ouvert une porte secrète sur la pensée profonde de certaines femmes qui se reconnaîtront peut-être à la lecture de cette histoire. Lorsqu'elle m'a demandé comme preuve d'amour, de la considérer comme elle se voyait, j'ai d'abord refusé. Je me suis demandé comment une femme, pouvait-elle avoir ce fantasme de nos jours ? Comment pouvait-elle me demander de la traiter comme une salope, une putain, une chienne ? J'ai eu beaucoup de mal à m'y faire au début. Mais j'ai fini par comprendre qu'elle ne plaisantait pas à ce sujet. Lorsqu'elle me racontait son enfance, je comprenais à quel point, l'absence de père avait pu être déterminante. Elle adorait se faire remarquer par les hommes. Et même si elle ne l'avouait pas, c'était bien de l'attention qu'elle recherchait. Elle avait vite compris que certains hommes lui en auraient donné, uniquement dans un contexte sexuel. Mais pour cette petite fille de l'époque, c'était déjà beaucoup. Infiniment plus que ce qu'elle aurait eu de son père absent. *** Je comprenais bien la responsabilité que j'avais. Et contrairement aux hommes qui avaient pu abuser d'elle durant l'enfance, je ne voulais pas faire de sa fille une putain pour les autres. Je la voulais pour moi et pour moi seul. Je voulais faire de sa gamine, ma petite putain à moi. Une fille à papa qui se donnerait à lui, quand il le voudrait. Et qui apprendrait à écarter les cuisses pour demander quelque chose. Je voulais de tout ça. Je voulais de tout ce que cette femme me proposait. Et s'il fallait que je devienne plus vulgaire pour l'avoir, alors j'étais prêt à laisser agir mes plus bas instincts pour l'obtenir... Alors que ma putain initiait sa fille à l'autre bout du pays, moi je me livrais à de l'exhibitionnisme. Car je leur envoyais des photos de ma bite, comme j'aurais pu le faire pour une autre femme. Mais quand vous savez que de l'autre côté de l'écran, c'est une petite fille aux côtés de sa maman qui découvre votre sexe en érection, le plaisir est infiniment plus grand. Par la même occasion, cette petite fille commence inconsciemment à désirer votre queue. Je dois avouer qu'à la façon dont nous l'avons éveillée à la sexualité, nous ne lui avons laissée aucune chance. Nous l'avons très vite conditionnée à devenir une petite putain. Ainsi quand je discutais avec elle, l'enfant se trouvait sur les cuisses de sa mère, adossée contre elle. Ma putain ouvrait les jambes pour écarter celles de sa fille. Et pendant que la petite s'appliquait à écrire, sa mère lui caressait sa petite chatte. Je lui parlais de sexualité, en commençant par les bases, avec la différence entre garçons et filles, d'où sortait le pipi, la présence d'un autre trou dans sa fentine,... Et sa maman passait à la pratique le soir même pour me raconter la fois suivante. Je me souviens du bonheur de cette femme qui en rêvait depuis si longtemps ! J'étais heureux d'avoir pu l'aider à réaliser ses fantasmes avec sa fille. J'espérais qu'elle me le rendrait un jour... Ce n'était qu'une question de temps avant que l'on ne se rencontre et je brûlais d'impatience à l'idée de concrétiser mes fantasmes aussi. J'avais un petit sextoy qui représentait le vagin d'une pucelle et un petit matelas que j'assimilais au corps de la petite fille. En glissant le vaginet en dessous du matelas, j'avais la vague impression d'un corps de fillette sous le mien. Je me glissais dans le sextoy et m'enfonçais d'abord lentement jusqu'à pilonner le matelas en pensant à cette gamine. Ridicule me direz-vous. Mais pour le pédophile que je suis, c'était un entraînement très sérieux. Car dans l'année même où avaient débuté mes premiers échanges avec ma correspondante, j'allais baiser une véritable petite fille de 8 ans sous les yeux de sa maman. *** Le plus beau souvenir que j'avais eu avant de concrétiser notre projet fut celui-ci : Un soir nous avons décidé de faire l'amour à trois. Et malgré la distance, j'ai pu être présent en pensée. Grâce à la complicité de ma salope, j'ai pu faire l'amour à sa fille, car je lui dictais quoi faire et comment le faire. En contre partie, elle me répondait en insistant sur les réactions de la petite. Le dépucelage de la gamine s'est fait dans l'intimité de leur chambre. Car c'était un moment où la mère avait besoin d'une concentration absolue, alors que sa fille devait au contraire se détendre totalement. Et ma putain me raconta ce qui s'était passé. - J'ai utilisé un gros feutre très arrondi. J'ai léché sa minette et guetté son orgasme. Quand ce fut le bon moment et qu'elle s'est retrouvée au plus fort de son excitation, j'ai forcé. À peine un petit cri ! Comme elle saignait un peu, je n'ai pas léché ensuite. J'ai laissé le feutre dans sa chatoune et elle s'est endormie comme ça. C'était merveilleux ! - Oh oui ma chérie ça devait être magnifique ! Tu sais comme j'ai tellement envie d'elle ! - Oui amour, je le sais. - C'est vraiment difficile pour moi de vivre cela qu'à travers des mots. J'aurais tellement aimé y assister ! - Sois patient, tu nous auras un jour toutes les deux auprès de toi. C'est promis... Je voulais y croire. Je pensais parfois qu'elle me berçait de promesses. Mais seul le temps m'aurait fait comprendre comment notre relation allait évoluer. (Au prochain chapitre : La rencontre.) Si vous avez aimé ce texte, remerciez PoèteDePassage, c'est une motivation pour continuer d'écrire : LePoeteEnfantin[at]protonmail.com (remplacez [at] par @) Cette œuvre reste la propriété de son auteur. Exclusivité Histoires Taboues : Toute reproduction est interdite sans l'autorisation de son auteur. Ceci provient des Histoires Taboues : /~Histoires_Fr/ Gardez à l'esprit que toutes les situations décrites dans ce texte ne sont que des fantasmes. Avoir des relations sexuelles avec un mineur de moins de 16 ans est un délit voire un crime passible de nombreuses années de prison dans la plupart des pays du monde.